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if the whole world was watching, i'd still be dancing with you (carmiprad)

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On va s'occuper de son bleu. Ouai, on va s'en occuper, on va faire passer la douleur et... voilà. Oui, voilà. Je me convaincs de tout ça quand je sors de la salle de bain complètement nue. Je ne fais même pas attention à mon absence de tissu sur le corps, je ne pense plus à rien sauf à oublier. À oublier qu'il me fait craquer et que ça devrait pas. Non, on a dit qu'on était des plans cul, pas de sentiments, pas d'attaches, rien. Pourtant là, sur le coup, on a carrément rien du plan cul et c'est déroutant. Mais agréable parce que je suis amenée à voir un autre Darwin, une autre facette de sa personnalité que je suis sure, il cache à tout le monde. En même temps, rares sont les hommes qui se laissent faire de la sorte, qui se laissent aller à leur part de fragilité - et pas de féminité, merci bien - et c'est agréable. Pour moi, ça l'est. Sans son mur, sans ses barrières et ça me déboussole pas mal, je dois bien l'avouer. Je reste de longues minutes dans la cuisine, incapable de bouger, incapable de réaliser ce qu'il vient réellement de se passer, ce que l'on vient de vivre. Je n'ai aucune séquelle alors forcément, j'ai l'impression que ce n'était qu'un mauvais rêve. Un très mauvais rêve et le jeune homme dans ma chambre en est l'exemple même. Je le vois passer dans mon champ de vision et je ne réagis même pas. J'ai besoin de temps. Un léger soupire et je me concentre sur mes mains, plaquée sur le plan de travail. Inspire, expire. Et n'explose surtout pas. Ouai, c'est pas le moment de craquer, de faire une syncope ou je ne sais trop quoi. Je souffle légèrement, le préviens que j'arrive et me re-concentre. Allez, oublie tout et file.

Je me redresse, attrape tout ce que j'ai sorti pour lui et souffle légèrement. Un peu de glace, un petit massage et un bon gros dodo. Oui voilà, ça ça fera du bien. Son regard fixé sur la porte, je le regarde et souris. Il a l'air tellement mal et je sens mon coeur fondre un peu plus. Je pose le bol de glace, le torchon et l'arnica à côté de lui et ce n'est qu'à ce moment précis que mon reflet me parviens, dans le miroir près de l'armoire. Ah. Oui. Un timide regard vers Darwin qui est toujours obmibulé par la porte et le couloir. J'enfile une petite culotte, un t-shirt trop grand pour moi et me glisse derrière lui. " Je vais commencer par mettre la pommade, ça va te piquer et puis, passer les doigts dessus, ça n'arrangera rien " Soufflais-je au creux de sa nuque, fermant les yeux quelques secondes. Je n'avais jamais fais attention au fait qu'il était si musclé. Enfin bon, il faut dire que je ne l'ai vu qu'une fois avant ce soir, au final. Je débouche le tube de crème et le pose directement sur son bleu ce qui le fait réagir légèrement. Je me colle à lui, embrasse son épaule gauche avant de glisser mes doigts sur la droite et étaler doucement la crème, le plus doucement possible. Mes caresses doivent avoir l'effet d'une plume sur son bras. D'une plume avec une enclume oui. Et lorsqu'il y a de la pommade partout, je soupire légèrement. " Je vais masser le contour un peu du bout du doigt. Prends mon autre main et si ça fait mal, tu serre, je m'en fou "

Mon bras glisse le long de son dos, de ses côtes et j'entremêle mes doigts avec les siens. Et je commence, massant légèrement la blessure. C'est pour permettre au sang de circuler, de se déplacer. J'en connais des tactiques pour faire passer ce genre de blessures. Et il n'y avait jamais personne pour m'aider. J'étais souvent seule dans la salle de bain, assise sur le carrelage à masser mon ventre, mon bras. Et quand ça touchait le visage, c'était toujours plus embêtant parce que là, y a aucun moyen d'accélérer les choses et à part le camouflage... " Ça va ? " Soufflais-je en le regardant légèrement. Il pouvait se laisser aller en plainte, je n'en avais rien à faire. Il fallait juste qu'il se détende même si ce n'était pas forcément facile, j'en avais conscience. Je descends rapidement pour couper court à cette torture. " Voilà.. " Soufflais-je en retirant ma main de sa peau, gardant l'autre entremêlée avec la sienne, par contre. J'embrasse sa joue et souffle, au creux de son oreille, " Tu veux un anti-douleur ? J'ai des trucs qui peuvent te faire du bien " Lâchais-je simplement, ne me rendant même pas compte que je passais limite pour une dealeuse là, sur le coup. " J'ai eu un accident au summer camp et on m'a prescrit des anti douleurs que j'ai jamais pris " Soufflais-je avec un léger sourire entendu. Ouai, s'il pouvait éviter de croire que j'étais une droguée de base, ça serait vraiment pas mal. Il n'a rien entendu/fait attention de ce que Sage a dit mais là, c'est autre chose.
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Elle est là, dans l'autre pièce et moi, je l'attend tout simplement assis sur le lit, fixant cette porte ouverte menant à ce couloir qui serait vachement menaçant avec des flammes, comme la Eliot House un peu plus tôt dans la nuit, avant qu'on ne soit évacué, avant qu'on ne se retrouver à l'hôpital et puis finalement ici. Comment on était arrivée ici d'ailleurs ? Avec un Taxi ? J'en sais rien. Il est quel heure aussi ? Je crois qu'il doit être l'heure de se lever non ? Le soleil est bientôt là ? Ou bien peut-être pas, peut-être que c'est encore réellement la nuit noir dehors ? Je n'en sais rien et je ne me tourne pas vers la fenêtre de la chambre de la jeune femme pour tenter de voir les premiers rayon de l'astre solaire, non, je reste irrémédiablement fixé sur cette porte, bien plus captivante... ou pas. Non, en réalité, c'est juste pour me rassurer un peu, parce qu'elle est ouverte, parce qu'on n'est pas piégé dans une pièce fermé, qu'on ne va pas devoir éclater encore une porte et surtout qu'il n'y a pas d'incendie ici...

Kyla passe alors la porte, je la suis du regard un instant, pour tenter de voir ce qu'elle tien entre ses main et une fois les objets plus ou moins identifiés, j'en reviens à ma contemplation de la porte ouverte, ignorant un peu la jeune femme, zappant complètement le fait qu'elle se promène nue devant moi, enfile une culotte juste à côté ainsi qu'un t-shirt. Je reporte cependant mon attention sur elle, quand elle vient me rejoindre sur le lit pour se mettre dans mon dos. M'adressant alors la parole, je tourne légèrement la tête pour la voir en coin et l'écouter. Douloureux ? J'acquiesce, pour dire que j'ai compris et tourne la tête, pour ne pas la voir faire, parce que quand on sent et qu'on voit, la douleur nous semble pire... Du moins, c'est toujours l'impression que j'ai eu. Puis le pire aussi, c'est comme maintenant, quand on sait que ça va faire mal, parce qu'on redoute, on a déjà mal avant que ça arrive en fait, même si au final ça peut être bien moins douloureux que l'on s'imagine.

Je regarde donc ailleurs, restant silencieux alors qu'elle couvre mon épaule de pommade, chose légèrement douloureux, mais le pire arrive, quand elle me donne son autre main en me disant de serrer si j'ai mal. Je fixe alors sa main et la libère de la mienne. Je refuse de lui faire mal, serrant alors juste les poings, je ferme également les yeux et serre les dents, pour accusé la douleur, pour ne pas laisser entendre que j'ai, alors qu'elle me fait mal à me masser de la sorte... C'est du sadisme à l'état pur ce qu'elle me fait et moi, comme un con, je la laisse faire, parce qu'elle doit avoir raison, elle sait supposément ce qui est meilleur pour les coups que moi, je me suis jamais renseigné la dessus, j'ai jamais cherché à faire partir un hématome plus rapidement. Et quand elle me demande si ça va, je me contente de faire aller ma tête de bas en haut, dans un acquiescement faible. Je ne vais pas dire non, je ne vais pas lui montrer que ça me fait un mal de chien...

Cependant, quand elle retire ses doigts de mon hématome, je ne peux réprimer un soupire de soulagement de franchir mes lèvres alors que je me détends un peu. C'est fini... En partie, parce que j'ai toujours mal, il va falloir un moment maintenant avec que ça se calme... Je tourne la tête vers elle, mon regard cherchant le sien alors qu'elle vient de me proposer des anti-douleurs. "Non, ça va aller." Ouais, c'est ça Darwin, joue au fier alors que t'as juste l'air d'une loque humaine, magnifique idée... Je lui souris, un peu crispé. "Il t'es arrivé quoi ?" Se concentrer sur elle, sur la conversation, pour oublier la douleur, pour simplement penser à autre chose, parce que de toute façon, même si j'ai envie de dormir là, j'y arriverais pas à cause de la douleur, alors autant discuter en attendant que ça se calme un peu...
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Je lui tends ma main et il ne la prend pas. Je le comprends, vraiment mais je n'abandonne pas, je ne vais pas le laisser souffrir en silence comme ça alors je pose ma main sur la sienne, sur le poing qu'il a déjà fermé pour supporter ce moment tout sauf agréable qui va suivre. Ça va faire mal, terriblement mal et je ne peux que me mettre à sa place. Il doit avoir quelque chose de fêlé ou de cassé, c'est pas possible autrement. J'aurais mieux fait de rester avec lui dans cette salle d'examen avant de me faire mettre dehors par ce médecin. Ouai, j'aurais du me calmer, me mettre assise à côté de lui et attendre patiemment. Mais non, j'en avais fais qu'à ma tête, gamine insupportable que j'étais. Je voulais tout contrôler mais j'étais incapable de contrôler quoi que ce soit. Dans ces moments là, il fallait que j'apprenne à lâcher prise et à rester à ma place... La bonne blague, je ne restais jamais à ma place. J'étais une vraie emmerdeuse et je n'écoutais personne d'autres que ce que je me disais : aide le, défends le. Mais il n'avait pas besoin de ça. Il avait juste besoin de quelqu'un pour le soutenir et j'avais failli sur cette mission. Ça n'étonnerait personne, impulsive et irréfléchie comme je peux m'être.

Alors doucement, alors que je le sens tressaillir sous mes gestes, que je le sens se tendre, je continue ce que je suis entrain de faire. Il a mal mais je n'abandonnerais pas parce que ça n'arrangera rien. Il faut souffrir pour ne plus avoir mal, aussi dingue que ça puisse paraître. J'essaye tout de même d'être douce, mon index n'appuyant pas trop fort non plus parce que c'est pas le but, de lui faire encore plus mal. Et de mon autre main, autour de son poing, je caresse sa main. Il n'est pas seule dans cette tourmente, il n'est pas seul ce soir ni demain soir. Les autres jours, ce sera autre chose puisque je dois retourner bosser à Quantico et je n'ai aucune envie de le faire, je dois bien l'avouer. Je veux seulement rester ici, avec lui, l'aider à surmonter tout ça parce que ça se voit qu'il est atteint et je déteste ça. Derrière lui, je vois tous les muscles de son dos se contracter pour encaisser la douleur que ça lui provoque et je ne bouge pas, préférant rester là plutôt qu'autre chose. Et quand j'ai fini, quand j'arrête de faire passer mes doigts sur ce bleu que je n'imaginais pas si gros, je l'entends soupirer. Le supplice est fini, pour le moment.

Alors que j'embrasse son autre épaule, je tente de capter son regard pour lui proposer des médicaments, pour lui proposer quelque chose pour l'aider, pour le soulager. "Non, ça va aller." Mais il refuse. Je ne peux pas le forcer alors je lui souris légèrement et me glisse à côté de lui. "Il t'es arrivé quoi ?" Sa question me prend de court même si c'est tout à fait normal qu'il me demande ce qu'il m'est arrivé. Qu'est-ce que je dois lui raconter ? Le mytho le plus gros de l'histoire du mytho ou la vérité ? J'en sais trop rien. " Des petits soucis à cause de mes... fréquentations " Soufflais-je rapidement avec un léger sourire. J'entends le cycle court de la machine sonner et je me lève rapidement pour tout mettre dans le sèche linge. " Je vivais avec Dante et des ennemis à lui ont cru que j'étais sa copine et voilà " Soufflais-je depuis la salle de bain, deux mètres à côté. C'est la version courte, très courte. " Ils ont voulu me faire peur ou lui faire peur et ils m'ont.. frappé. J'avais deux côtes fêlées, des bleus partout sur le corps, le visage... J'étais vraiment pas belle à voir " Soufflais-je en me rappelant encore le geste de recul de la part de Cole à l'hôpital... Ce moment où il n'avait pas voulu m'embrasser et où notre couple avait commencé à partir à la dérive. " Je suis restée dix jours à l'hôpital avant de partir en Europe quelques temps " Lâchais-je en mettant le programme en route et retournant vers Darwin. " Enfin bref, j'étais plutôt amochée, insupportables avec les infirmières mais je prenais rien " Soufflais-je en revenant près de lui. " Tu veux t'allonger ? Ça sera peut être plus agréable que d'être assis au bout du lit, tu ne crois pas ? " Lançais-je simplement en lui faisant signe de se mettre un peu mieux dans le lit, plus haut, face à moi...
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Assis sur le bord de son lit, j'ai les yeux fermés, tout en étant crispé et tendu à souhait à cause de sa main qui masse douloureusement mon bleu. C'est du masochisme pur que de la laisser faire, mais je suis assez con pour croire qu'en réalité, elle est sérieuse, qu'elle dit pas n'importe quoi en disant que ça aide à faire passer les coups bleus beaucoup plus vite, parce que si ce n'est pas le cas, je sens que je vais juste morflé pour rien et j'aurais ainsi découvert qu'en réalité cette jeune femme est sadique. Enfin, dans tout les cas, pour l'heure, j'essaie surtout de me concentrer sur son autre main, celle posée doucement sur mon poing serré et qui fait ainsi preuve d'un peu de douceur pour moi, qui me fait comprendre que je ne suis pas seul, malgré la douleur, qu'elle reste là pour moi et dans un sens, je m'accroche à ce geste, cette main simplement posée alors que je souffre en silence, me refusant à laisser entendre un seul son significatif de ma douleur. Je ne suis plus désireux de me montrer faible devant elle, déjà qu'elle m'a entendu pleuré et qu'elle a failli me voir le faire en plus... Je refuse de lui permettre de m'entendre gémir encore de douleur, de passer pour la mauviette de service, pour une chochotte de merde. Ouais, c'est dans un sens un certain élan de machisme et probablement également de masochisme. Enfin, dans tout les cas, elle en sait rien, parce que pour l'instant, je reste irrémédiablement silencieux.

Pourtant, quand ses doigts se retirent de mon bleu, je pousse un soupire de soulagement, parce que la torture est enfin finie et que je peux me détendre un peu, relâchant mes muscles, desserrant les poings. Je retourne d'ailleurs doucement ma main pour attraper la sienne et la prendre doucement, refermant un peu mes doigts sur celle-ci. Je tourne ensuite la tête vers elle, pour croiser son regard, frissonnant un peu quand elle dépose ses lèvres sur mon épaule valide. Un geste agréable, plaisant, et surtout, très doux que je ne peux qu'apprécier à cet instant. Je me raccroche d'ailleurs à sa tendresse pour faire fit de la douleur qui continue de me vriller l'épaule droite. Je cherche donc à me concentrer sur elle, encore plus, sur sa présence, sur sa personne et je me met donc à la questionner, pour qu'elle me raconte ce qui lui est arrivé pendant le Summer Camp même si j'avoue que ma question n'est pas spécialement précise, mais je suppose qu'elle va savoir que je la questionne sur cela et non pas sur autre chose. Ça me semble plus que clair en réalité, vu qu'elle m'en a parlé juste à l'instant sans trop en dire, alors elle devait bien se douter qu'elle allait atiser un tant soi peu ma curiosité et donc me pousser à la questionner non ? Sauf si elle pense que je suis le genre de mec qui s'en fiche de tout, ce qui, pourrait être pas mal comme style de vie, mais hélas, je n'arrive point à être ainsi.

Je la laisse donc parler, raconter ce qu'il y a à dire sur son accident, les coups qu'elle a eu cet été et cherche à la retenir quand elle s'éloigne de moi à cause du bip sonore de la machine pour signaler qu'elle est finie. On s'en fiche du linge la maintenant, ce qui compte pour moi, à cet instant, c'est pas d'avoir des fringues propres, bien que je crois pas que je vais rester avec simplement une serviette autour de la taille pour le reste de la nuit, journée, vu qu'on est déjà dimanche et que l'aube n'est plus si loin maintenant, enfin, je crois... "Et après tu me fais des remontrances parce que je suis un peu amoché..." Soufflais-je parce qu'à l'entendre c'était assez grave et elle avait critiqué ma gueule un peu amoché par Alexander et Sage alors qu'elle, ça avait semble-t-il été bien pire... Enfin, c'est pas réellement comparable je crois, mais dans tout les cas, maintenant, elle revient vers moi et c'est ça le plus important. Je suis d'ailleurs un peu sortit de ma léthargie, merci à la douleur. "Il est où le Jogging ?" Parce qu'au final, je ne sais plus où je l'ai posé, s'il est ici dans la chambre ou bien dans la salle de bain, j'étais un peu, beaucoup à l'ouest et avant de me coucher sur le lit, de m'installer comme il faut, il faudrait réellement que je m'habille un peu mieux, parce qu'une simple serviette...
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C'est de la torture pure et simple, je le sais bien mais je ne veux pas qu'il souffre pendant des semaines et des semaines pour rien. Si je pouvais, je claquerais des doigts et je le ferais tout oublier. Parce que je le sais très bien que, pour lui comme pour moi, comme pour toutes les personnes qui ont subi cet incendie, il va y avoir des séquelles... On ne pourra pas s'en sortir comme ça. Certains gèreront mieux que d'autres mais je sens que Darwin sera dans la deuxième catégorie de personne, celles qui n'arrivent pas à garder la tête hors de l'eau, ceux qui sombrent petit à petit, qui ne dorment plus la nuit avant de se sentir réellement en sécurité. Et est-ce que je peux lui en vouloir, est-ce que quelqu'un peu lui en vouloir ? Non. En Europe, je flippais dès que je sentais mon portable vibrer parce que j'avais peur qu'il s'agisse de Dimitri m'annonçant que j'allais passer la nuit en "bonne compagnie". La peur, il n'y a rien de pire, ça te bouffe jusqu'au fin fond de l'estomac. C'est le début de la fin et il ne faut pas avoir peur, jamais. Mais c'est plus facile à dire qu'à faire. La peur c'est tellement.. Tellement de chose. C'est la facilité, en quelque sorte. Se recroqueviller, position foetale et voilà. C'est pourquoi je pose ma main sur son poing, poing que je caresse du bout des doigts. Parce qu'il n'est pas seul et qu'il peut avoir peur, aucun soucis là dessus, même s'il n'en dira rien. Un homme, franchement, ça craint sur certains points. Assise derrière lui, je regarde son épaule et j'ai mal pour lui, quand j'y pense. J'ai super mal pour lui mais je continue parce qu'une fois que la douleur sera passée, il me remerciera. Il ne le sait pas encore mais il le fera d'une manière ou d'une autre.

Je file à la salle de bain, reviens rapidement pour le retrouver, pour être avec lui et clôturer cette conversation qui ne me plait guère. Les erreurs de Cole en douze volumes s'il vous plait. Là, on a l'un des premiers volumes. Monsieur qui drague une minette pour avoir des informations sur son demi-frère. L'imbécilité même qui m'a envoyé à l'hôpital. Mais j'oublie totalement cette partie quand j'en parle avec Darwin parce que ce serait trop compliquée, trop difficile à expliquer que mon ex petit ami s'est fait passer pour mon meilleur ami qui fait parti de la mafia et c'est mon autre ex qui me faisait surveiller. Ouai, non, le but n'est clairement pas de le faire fuir, loin de là. "Et après tu me fais des remontrances parce que je suis un peu amoché..." Je le regarde et ris légèrement. " Ouai mais moi je suis super sexy avec le visage tuméfié, avec des côtes fêlées et tout ce qui va avec " Soufflais-je en haussant les épaules. " Je faisais peur surtout, j'ai donc déjà fais Halloween en avance tu vois, seule dans ma chambre d'hôpital " Lâchais-je en souriant largement. J'embrasse ses lèvres, tendrement, doucement, glissant une main dans ses cheveux encore un peu humide et je souris. " Les bleus, les visages blessés, c'est pas ce qui me fait le plus kiffer " Finis-je par souffler avec un léger sourire avant de l'inviter à s'allonger dans le lit, pour être un peu plus à l'aise. "Il est où le Jogging ?" Je fronce les sourcils et réfléchis quelques secondes. " Dans la salle de bain, je pense " Lâchais-je simplement. " T'as du le prendre avec en allant à la douche non ? " Ouai, c'est obligé, aucun doute là dessus. Un dernier baiser arraché et je me glisse sous les draps en l'attendant. Je suis bien gentille et tout ce qui va avec mais je ne vais pas aller lui chercher son pyjama et lui passer aussi, pendant qu'on y est.. " Si jamais t'as faim ou t'as soif, regarde dans le frigo ou dans le placard juste au dessus y a des céréales et des gâteaux " Soufflais-je simplement, un sourire sur les lèvres. J'avais quand même hâte de le revoir venir auprès de moi, de me glisser dans ses bras et de discuter un peu de tout et de rien. De sa vie ici, de son intégration aussi... Ça n'avait pas été facile pour moi à mon arrivée alors pour lui qui ne parle pas anglais à la perfection... Mais je dois avouer que son petit accent le rendait encore plus sexy. J'avais vraiment un truc avec les étrangers, avec les mecs qui ont un accent à te faire mouiller ta culotte au premier mot.
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Je me rends bien compte que les paroles de la jeune femme me relate quelque chose d'assez grave pour elle et qui ne date pas de si longtemps que ça... Des souvenirs probablement encore frais dans son esprit, douloureux peut-être même alors j'essaie d'en rire un peu, parce que c'est le mieux à faire, pour ne pas qu'elle s'écroule maintenant, après ce qu'on a vécu ce soir, alors que moi-même je vacille un peu trop, que je fais tout pour ne pas craquer... Parce que je me rends bien compte que si Kyla venait à craquer, je ferais de même. La voir se tenir encore debout après ça, lutter encore tout simplement, me montre un exemple à suivre en quelque sorte... Après tout, je suis encore assez jeune, plus jeune qu'elle, même si elle ne le sait pas encore et que je ne compte pas lui dire maintenant, ce n'est pas le moment, ni même le sujet à aborder, comment lui balancer que je suis bien plus jeune qu'elle ? Que je n'ai même pas encore la majorité dans ce pays parce que j'ai que dix-neuf ans ? Ouais, ça se dit pas, alors je vais simplement taire cela et si elle fini par me demander mon âge à un moment où un autre, j'aviserais à ce moment-là pour savoir si oui ou non, je lui dis la vérité.

La réponse à ma petite plaisanterie arrive assez rapidement et elle en rigole un peu avant de se justifier... Je n'essaie même pas de l'imaginer comme elle se détruit, je sais juste qu'elle a du souffrir, avoir mal... Je la plains un peu. "J'espère plutôt qu'on fêtera Halloween autrement tout les deux qu'à l'hôpital." Lançais-je alors doucement, pour tenter de commencer à lui faire penser à autre chose, j'aurais pas du la questionner sur ça, enfin, je sais pas, j'étais curieux de savoir, mais en même temps, lui rappeler un autre évènement sombre après l'incendie de cette nuit, c'était pas le bon plan... je crois. Même si elle semble allez bien. Je la regarde alors, refusant son offre de m'installer sur le lit maintenant, la questionnant sur l'emplacement du jogging, étant jusque là, un peu à l'ouest... Je l'écoute et me lève ensuite de son lit pour me diriger vers la salle de bain et ainsi enfiler le jogging appartenant à son meilleur ami. Je l'entends alors me parler de la possibilité de manger et je réfléchis un instant. Est-ce que j'ai faim ? Non. J'aurais plus tendance à dire que j'ai soif, après cette soirée, j'ai toujours l'impression que ma gorge est sèche.

Je m'avance donc vers la cuisine ouvrant le frigo pour regarder ce qu'il y a dedans, cherchant une boisson qui pourrait simplement me tenter avant de simplement prendre une bouteille d'eau. La sortant du frigo avant de le fermer, je me mets ensuite à la quête d'un verre, faisant attention de ne pas lever mon bras droit et me faire encore mal à l'épaule à cause d'un geste à la con. Je le bouge le moins possible au final et j'ai cette satanée impression d'être une sorte d'automate caduc, parce que j'ai l'impression que tout mes gestes sont mécanique, trop réfléchit... J'ouvre plusieurs placard avant de finalement trouver le bon et je me serres un verre d'eau aussi rapidement que possible. Une fois cela fait, je range la bouteille et bois mon verre pour le déposer ensuite près de l'évier.

Je reprends alors la direction de la chambre pour venir m'installer sur le lit, près de la student. Je m'installer à côté d'elle, sur mon flanc gauche, pour ne pas m'appuyer sur ma mauvaise épaule et je l'invite en silence à venir se caler dans mes bras, pour un peu de chaleur humaine. Mon regard ne la quittant d'ailleurs plus.
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Rien de tout ça n'est facile mais il faut faire avec. Je ne me sens pas forcément très à l'aise de parler de ça à Darwin parce qu'on est déjà dans une situation difficile donc si je pouvais éviter de parler de choses qui me font du mal, ça serait vraiment pas mal. Seulement, c'est plus fort que moi. Il me pose une question et je réponds. Parce que plus que d'avoir mal au coeur, j'ai besoin d'en parler et que ça sorte de moi, que je puisse m'endormir paisiblement dans les bras du jeune homme ce soir, comme si c'était possible. J'en ai besoin plus que tout et je me rends compte, à ce moment là, quand je suis face à lui et que je ne bouge plus, que je suis comme sur 'pause', que je devrais faire quelque chose pour arrêter de bloquer ainsi. C'est pas la première fois que ça m'arrive et il me faut quelques secondes et c'est la voix de Darwin qui me sort de cette torpeur. "J'espère plutôt qu'on fêtera Halloween autrement tout les deux qu'à l'hôpital." Je souris et acquiesce. " Je vais faire Halloween en pyjama oui.. " Lâchais-je simplement. Il est tout bonnement hors de questions que je sorte de mon appartement le 31 octobre et le 1e novembre une fois que la nuit sera tombée. C'est bien le seul jour de l'année où je ne sors pas de chez moi et ce, depuis mon plus jeune âge.

À la recherche du jogging de Dante, Darwin sort de la chambre et j'en profite pour me glisser dans les bras quelques secondes. Je ferme les yeux et soupire doucement. Comment on a pu en arriver à ça sérieusement ? Comment une soirée qui se devait être aussi sympa et calme a pu virer à ce point au cauchemar ? Non parce que là, c'est à croire que tout et tout le monde s'est tourné contre nous. Je passe mes mains sur mon visage et essuie rapidement les larmes qui perlent aux coins de mes yeux. Je ne veux pas qu'il me voit comme ça, pas ce soir, on a assez eu d'événements forts en émotions et qui arrachent le ventre pour les six mois à venir. Si seulement. Ouai, si seulement. J'entends du bruit dans la cuisine et je me redresse dans le lit, voyant ma boule de poil débarquer rapidement. Un saut sur le lit et Pattenrond monte jusqu'à moi, jusqu'à mes jambes, son lieu de prédilection pour les câlins et les papouilles. Ma main sur sa tête, je joue un peu avec lui avant de le prendre dans mes bras et de le serrer dans ces derniers.

Ce n'est que lorsque je vois Darwin revenir que je repose le chaton sur le lit. Le jeune homme s'installe et je regarde chacun de ses mouvements. Je me glisse rapidement dans ses bras, glissant mon bras gauche autour de lui pour être au plus près. Je tire le drap sur nous, doucement, et ma main glisse dans son dos. " Ça va aller ? " Soufflais-je simplement avec un sourire, toujours soucieuse de son bien être, de la manière dont il allait réagir et autre. Mon regard perdu dans le sien, je l'embrasse doucement. Mes lèvres sur les siennes, je ferme les yeux. Je souris contre ces dernières et garde les yeux fermés. " J'espère que t'apprécies le manque de déco dans cette chambre et le fait que Pattenrond va bientôt se caler sur nos jambes " Soufflais-je en entremêlant doucement mes jambes dans les siennes et ça ne loupe pas, la boule de poil me grimpe dessus et marche sur moi pour se poser au niveau de nos genoux. Je ris légèrement et ouvre les yeux. " Ce chat est une vraie éponge. Dès qu'il sent que quelque chose ne va pas, il se colle à la personne... " Un sourire sur le visage, je regarde Darwin et je me perds encore une fois dans son regard, dans ses yeux bleus et tout ce qui va avec. " Tu peux rester là autant de temps que tu veux, même quand je serai retournée à Quantico tu sais " Oui, s'il voulait un lieu où dormir, il pouvait rester là. Tant qu'il emmène pas une ou des pétasse dans mon lit, j'ai rien contre. Parce que ça, je crois que ce serait l'affront ultime quand même, quand j'y pense. Enfin, pour le moment, j'étais juste bien souriante et bien gentille. J'offrais l'hospitalité à l'homme qui me faisait tout oublier, un juste retour des choses, en quelque sorte.
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Je me doute bien que j'ai posé une question qui ne fallait pas... Alors j'essaie de rattraper le coup comme je peux, même si c'est, je l'admets assez maladroit, mais en même temps, vu mon état, je crois que c'est tout à fait normal, ma confiance en moi semble envolée, disparue je ne sais où, même si là, j'essaie de la faire revenir... Je la regarde alors quand il me parle de le faire chez elle en pyjama et je ris un peu. "Si je suis là, je ne pense pas que tu resteras longtemps en pyjama." Si tout va mieux, pourquoi est-ce que l'on se retiendrait hein ? Pourquoi on se retrouverait bloqué dans des vêtements à la con alors que l'on pourrait s'amuser tout autrement ? Après tout de base ce week-end il devait être autrement, il devait y avoir du sexe, de la baise à profusion... Donc ce n'est que partie remise, à quand l'un comme l'autre, on ira mieux, dans quelque jours peut-être si elle ne doit pas repartir, et j'espère qu'elle va rester, j'ai pas envie de devoir encore tout faire par texto et appel téléphonique... Je le reconnais, je sors un peu de ma léthargie, assez pour réaliser qu'il faudrait que je m'habille enfin et c'est quelque chose que je vais faire. La questionnant comme un con pour savoir où j'ai laissé le jogging, la réponse qu'elle me donne est la plus logique qui soit et je me lève, allant maintenant dans la salle de bain pour y aller et l'enfiler, laissant la serviette là. Je passe ensuite à l'étape cuisine et verre d'eau pour boire un coup comme elle me l'a proposé.

Je reviens près d'elle, dans la chambre sans dire un mot, venant simplement prendre place à ses côtés en faisant un peu attention à son chat. J'ouvre finalement les bras et l'invite à venir se blottir contre moi, chose qu'elle fait assez rapidement sans se priver et ce qui m'arrache un petit sourire, parce qu'un peu de chaleur humaine, encore, ça fait du bien... Du réconfort, voilà de quoi j'ai besoin là et j'en trouve clairement à ses côtés ce soir. Je la laisse nous recouvrir des draps, m'enlacer aussi et je baisse finalement le regard sur elle. "Oui." Parce qu'il faut bien, qu'on a pas le choix, qu'on est vivant. "Et toi ?" La questionnais-je à mon tour, parce qu'après l'incendie, je lui ai fait parlé d'un autre souvenir douloureux, amer pour elle, alors je me doute bien qu'elle est chamboulée au fond, ses yeux un peu humide le montre, même si je fais celui qui ne voit rien pour ne pas encore la faire parler de tout ça, parce que si elle veut en parler, elle le fera d'elle-même et non pas parce que je pose encore des questions. C'est fini la curiosité pour ce soir, ou plutôt ce matin en vue de l'heure... Je ne peux d'ailleurs réprimer un bâillement, juste avant qu'elle ne vienne m'embrasser. A quelque seconde prêt, ça aurait pas été très beau tout ça. Mais je réponds à son baiser, doucement. Je continue alors de la fixer quand elle me parle de sa déco et de son chat. "J'ai pas regardé la déco." Parce que pour le chat, il vit sa vie, il fait ce qu'il veut, je ne vais pas le chasser, sauf s'il décide de m'attaquer. Je sens lors les pattes du chat et finalement son poids en partie sur ma jambe et rit un peu quand Kyla prend la parole pour me faire une remarque. "Il est attentionné." Soufflais-je doucement en posant enfin ma tête sur l'oreiller après avoir déposer un léger baiser sur sa joue. Me retrouvé allongé comme ça, au calme, après toute cette agitation, ça me fait du bien, ça me pousse à rejoindre encore les bras de Morphée... "Merci." Marmonnais-je alors en sombrant lentement dans le sommeil.
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Il a mis les pieds dans le plat en me posant des questions sur ça, sur ce qu'il s'est passé cet été mais je ne peux m'en prendre qu'à moi même. C'est moi qui ait amené le sujet et c'est d'ailleurs pour cela que je réponds sans soucis, tout en restant vague. Je n'ai pas envie de parler de ça. S'il veut, on peut parler du beau temps, de Pattenrond ou même de Croutard. De tout sauf de ça, de tout sauf de ce qu'il s'est passé avec Cole dans le passé, de ce qu'il se passe avec lui à l'heure actuelle. J'ai vraiment été idiote de l'embrasser tout à l'heure, de dire à Théa que je l'aimais, les larmes aux yeux. Mais c'est plus fort que moi. Je l'aime et je ne peux rien faire contre ça. Ça finira par passer, comme un putain de virus de merde qui affaiblit, un virus dont on a l'impression qu'on ne se débarrassera jamais. Le virus Cole. Ça lui va bien ça, tiens. Mais je reviens dans cette chambre, sur ce lit, non loin de Darwin. À parler d'Halloween et de ma vision d'Halloween : un pyjama en pilou rose, un paquet de pop-corn et des dessins animés pleins d'amour. "Si je suis là, je ne pense pas que tu resteras longtemps en pyjama." Je ris légèrement et hausse les épaules. " Pas sûre que t'ai envie de moi en pyjama Hello Kitty hein " Je ne mentais jamais là dessus, je ne cachais jamais mon côté enfantin à se balader en pyjama à l'effigie de différents personnages. Ni mon côté gamin à regarder des Disney. On devrait peut être faire ça tiens, se caler devant un Disney pour tout oublier, pour retourner en enfance et rêver. Mais il quitte rapidement la chambre pour aller passer le jogging de Dante et j'en profite pour jouer avec Pattenrond qui débarque, comme si le chaton avait compris qu'il ne devait pas venir avant.

Je suis une vraie enfant à ce moment là, c'est comme si j'avais tout laisser tomber, que j'avais laissé ma fierté et ma force à la porte. Ou peut être même à la Eliot House. J'y ai tout laissé là haut et depuis, c'est la crise de folie. Je joue avec le chaton comme une enfant et c'est lorsque je vois Darwin revenir que je me reprends, que je me ressaisis et que je me blottis dans ses bras à peine il s'installe dans le lit. Je me sens bien à ce moment là, comme en sécurité alors qu'on a bien vu que tout peut se bousculer en un claquement de doigt, qu'on peut se retrouver piégé dans un incendie sans rien voir venir. La vie est tellement fragile, elle ne tient à rien et on peut disparaître de cette planète en un rien de temps. " Oui ça va... Ça ira mieux après une bonne nuit de sommeil " Soufflais-je simplement, mes lèvres se perdant sur les siennes, doucement, calmement, posément. Comme un baiser plein de sentiments alors que ce n'est pas le cas Tu m'entends Kelly, j'le friendzone de loin. Et puis, je tente de changer de sujets, de parler de quelque chose de plus joyeux, de mon super décor et bien entendu de mon chaton trop mignon. Un sourire sur le visage, les lèvres de Darwin sur ma joue, je ferme les yeux. " De rien, c'est normal " Soufflais-je simplement, bougeant légèrement pour mieux me caler contre lui, comme si on s'emboitait parfaitement, qu'on était fait pour être l'un avec l'autre. Et c'est sur cette douce pensée, le sourire collé aux lèvres, son souffle caressant ma peau, que je m'endors paisiblement, aussi fou que cela puisse paraître.

rp terminé ♡
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