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MY KIND OF LOVE ◮ charlie.

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L’été 2012, deux mois qui avaient, au départ semblés être très long au départ, pas parce qu’il y avait trop de jours bien au contraire mais parce que je participais pour la première fois au Summer Camp et que je n’avais pas forcément une bonne image de ce dernier. Trop d’images stéréotypées en tête dirons-nous. Les premiers jours n’avaient pas forcément été faciles, je m’étais énormément ennuyé mais la suite m’avait permis de ne plus voir le temps défiler sous mes yeux, j’étais parvenu à trouver du charme à mes vacances en profitant à fond de mes amis, Roxanna malgré son départ anticipé, Ethan mon meilleur ami qui avait néanmoins quelques soucis ces derniers temps, Damen que je n’avais pas vraiment vu, mon seul regret en somme puisque j’étais habitué à le voir très régulièrement jusqu’à maintenant. Teodora et notre amitié améliorée avait à elle seule donné du punch à mon été, notre attirance sexuelle était toujours présente mais nous avions pris une décision, nous ne ferions plus l’amour à partir de maintenant, j’étais trop préoccupé par une autre femme et elle était également amoureuse d’un garçon, Romane. Enfin, Charlie qui représentait vraiment la surprise de mes dernières semaines d’été. Voilà maintenant une petite semaine que je n’avais pas pu la revoir, la dernière fois nous avions eu droit à une petite soirée au lac avec des amis, alors que les choses devenaient intéressantes avec un jeu de la bouteille qui représentait une occasion en or pour faire quelque chose de plus avec elle l’orage avait tout détruit, en parfait gentleman j’avais pris un tsunami d’eau pour raccompagner la petite brunette. Depuis ce jour, avec la fin du Summer Camp et le retour à Cambridge avait la rentrée qui se profilait je n’avais plus eu une seule minute à moi, je m’étais néanmoins attelé à la bombarder de messages sur son téléphone, vous en voulez plus ? Elle me manquait terriblement et c’était vraiment rare. Je me demandais même si l’amour n’envahissait pas mon cœur ? N’y avait-il après tout pas que la distance pour faire prendre conscience des choses ? C’était mon point de vue en tout cas.

Aujourd’hui, pour la première fois depuis notre retour j’avais enfin le loisir de faire ce qui me plaisait, je n’avais rien de prévu et j’avais tout naturellement sauté sur l’occasion pour proposer à Charlie de me rejoindre dans ma chambre pour y faire une petite journée cinéma, j’avais pu télécharger quelques films depuis mon retour, des comédies, des films d’horreurs et quelques films romantiques que nous pourrions visionner si mon envie de lui sauter dessus n’était pas trop forte bien sûr… Elle avait accepté mon invitation pour mon plus grand plaisir, simplement habillé j’attendais patiemment après avoir fait le ménage dans ma chambre que la petite brune me rejoigne, de nombreux sentiments s’entremêlaient, tout d’abord l’excitation à l’idée de la revoir, le stresse puisque je me sentais troublé par la jeune femme et enfin l’envie parce qu’il était rare que je sois autant attiré par quelqu’un. La porte vibrait me signalant que quelqu’un venait de frapper à la porte, ouvrant cette dernière je me retrouvais face à la petite brune. Non sans un sourire amusé je lui demandais. « La guerre commence demain je suppose ? Sauf si tu es prête à me mettre la première carotte de l’année dans ma propre chambre ? » Ironie quand tu nous tiens, je me décalais pour qu’elle puisse entrer ne me gênant pas pour la dévisager sans aucune discrétion. Elle était vraiment très belle et je sentais déjà mon cœur qui se réveillait. « Tu veux quelque chose à boire ? Tu préfères un film romantique à souhait ou un bon film d’horreur bourrin ? »

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Charlie n’avait pas vu défiler le Summer Camp. Trop occupée à faire la fête, la brunette n’avait pas réalisé à quel point les jours avaient filé d’une manière précipitée. L’été lui avait apporté un gros lot de surprise, mais sans contester, la plus grande restait sans aucun doute Soliman. Un rapprochement comme elle n’aurait jamais pensé qu’il soit possible après une discussion au sommet de la montagne, et un rapprochement tel qu’elle avait même acceptée de le suivre à un bain de nuit qu’il avait organisé avec ses amis. Et alors que les jeunes s’apprêtaient à jouer au fameux jeu de la bouteille, un orage les avait tous surpris, les obligeant à regagner leurs chambres ; et en bon gentleman, Marlson l’avait même accompagné jusqu’à son chalet. Chose impensable quelques temps auparavant, mais bizarrement pas déplaisant. Plus étrange encore, les deux n’avaient pas hésité à s’envoyer une tonne de messages, alors qu’il y avait encore quelques semaines, Charlie ignorait même complètement le numéro de Soliman. Cependant, elle était heureuse que ce soit enfin la rentrée, et regagner Harvard ainsi que ses petites habitudes, et peut-être aussi pour pouvoir le retrouver. A la fin du Summer Camp, Charlie était retournée pour une petite semaine à Londres, chez ses grands-parents, pour leur rendre visite certes, mais aussi refaire sa garde-robe, et quoi de mieux que Top Shop pour cela. Ses achats faits, elle était revenue à Cambridge, prête pour cette nouvelle année qui s’annonçait surprenante.

Dans son dortoir universitaire, au sein de la confrérie des Mather, Charlie prenait le temps de ranger ses nouveaux vêtements dans son placard, jetant ceux faisant partie des anciennes collections, quand soudain son blackberry rose vibra, signe qu’elle avait reçu un message. L’attrapant sur son lit, elle se rendit compte que celui-ci provenait de Marlson qui lui demandait de venir le rejoindre dans sa chambre, pour un après-midi cinéma. Un sourire se dessinant sur ses lèvres, la jolie brune lui répondit qu’elle sera là dans une vingtaine de minutes, ce qui lui laissait le temps de se préparer. Et bien. L’année commençait plutôt fort ; et elle n’était pas mécontente de revoir le brun aujourd’hui, au contraire, même si cela restait encore assez perturbant pour elle. Abandonnant sa tâche, la jeune femme saisit les fringues qu’elle avait préparées et mises de côté, ( tenue )s’habilla aussitôt, en ôtant sa chemise de nuit, puis se dirigea vers la salle de bain de la confrérie, lissant à la va-vite ses cheveux, avant de s’appliquer un peu de maquillage, histoire d’avoir l’air présentable, expédiant le tout en une dizaine de minutes. Elle retourna ensuite dans sa chambre, dénicha son sac rouge Vuitton dans le placard, puis y fourra le strict nécessaire, sans oublier d’y ajouter une bouteille de manzana, son alcool favori. Car oui, pour ne pas perdre ses bonnes habitudes, Charlie cachait des bouteilles dans le dortoir, au cas où l’envie se présenterait, et l’après-midi avec Soliman était une occasion idéale. Vérifiant qu’elle n’avait rien oubliée, l’étudiante en mode s’extirpa ensuite du dortoir, pour prendre le chemin de la maison de confrérie des Winthrop, dont Marlson faisait partie. Ce n’était pas très loin, et elle y fut en un rien de temps, frappant ensuite à la porte de sa chambre, attendant qu’il vienne lui ouvrir. Ce qu’il fit, d’ailleurs, lançant aussitôt une remarque : « La guerre commence demain je suppose ? Sauf si tu es prête à me mettre la première carotte de l’année dans ma propre chambre ? ». Léna fit une grimace, entrant d’abord dans le dortoir du jeune homme, qui était d’ailleurs plutôt propre. Et en tant que maniaque de la propreté, c’était un bon point. Se tournant alors vers lui, elle répondit, amusée : « Non, on peut attendre demain je pense. Sauf si t’as vraiment envie que l’on commence la guerre maintenant. » A la vue du tee-shirt de Soliman, Charlie ne put retenir un léger rire, tandis qu’il lançait : « Tu veux quelque chose à boire ? Tu préfères un film romantique à souhait ou un bon film d’horreur bourrin ? ». S’asseyant sur le bord du lit du brun, la Mather sortit la bouteille de son sac, la posant à son côté, avant de répliquer, avec un petit sourire : « Je prévois toujours pour la boisson... Et pour le film… ce que tu veux. Sauf si on pouvait éviter les films d'horreur ; pas que j'ai peur hein, mais bon. » Si, justement, elle avait toujours été traumatisée dès qu'elle regardait un film de la sorte. Rivant son regard vert vers Soliman, elle ne put s'empêcher de se dire combien il était beau et que passer du temps avec lui n'était pas désagréable du tout, loin de là.
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J’attendais cette soirée avec une impatience que je ne dissimulais pas énormément, le pire dans tout ça c’est qu’il y avait eu besoin d’attendre six longues années avant que la discussion qui nous démangeait tous les deux soit enfin engagée, certes on ne pouvait pas dire qu’il y avait eu énormément d’éléments de mis sur la table mais ma sincérité avait eu son effet sur Charlie qui avait compris qu’il y avait certes eu un moment pendant lequel j’avais été le pire des fils de pute qui existait mais que notre relation n’avait pas été basée sur de mauvaises intentions sur toute sa durée. J’étais vraiment tombé amoureux d’elle et je venais seulement de le comprendre, aujourd’hui j’avais l’impression désagréable d’être passé à côté de quelque chose qui aurait pu me combler de bonheur, une vie en couple avec la petite brune. Depuis notre retour du Summer Camp il y avait comme un sentiment de manque qui s’était installé en moi, Charlie n’était pas à Cambridge, elle avait pris une semaine à Londres pour rejoindre sa famille et nous n’avions pas attendus son retour pour renouer contact par SMS, des dizaines de messages que je lui envoyais et qu’elle me transmettait également, ce soir j’étais comme un gamin qui attendait le début de la journée à Noël, impatient d’avoir enfin ses cadeaux. « Non, on peut attendre demain je pense. Sauf si t’as vraiment envie que l’on commence la guerre maintenant. » Je souriais amusé en dévorant du regard la jeune femme qui avait une nouvelle fois su faire preuve de goût dans sa manière de s’habiller. « Je suis capable d’attendre un jour de plus mais… Pas deux, c’est trop nul sinon… Et puis, me faire botter le cul par Batman c’est cool ! » Référence pourrie à son t-shirt et le symbole de l’homme à la combinaison noire. « Je prévois toujours pour la boisson... Et pour le film… ce que tu veux. Sauf si on pouvait éviter les films d'horreur ; pas que j'ai peur hein, mais bon. » Je la regardais sortir sa bouteille de Manzana, je sortais de mon frigo une bouteille de limonade et une bouteille de vodka prenant au passage deux verres. « Parfait, j’ai envie d’être sadique… On va regarder Insidious, un film d’horreur qui ne fait pas bien peur à mon avis… » Je lançais le film depuis ma clé USB sur la télévision éteignant les lumières après avoir servi un verre à Charlie ainsi qu’un second verre pour ma pomme. M’allongeant à côté d’elle sur le lit je buvais une petite gorgée du liquide qui squattait mon verre ne quittant pas la petite brune des yeux, le film faisait sursauter sur pas mal de passages. « Tes vacances à Londres étaient bien ? Tu sais… Tu m’as manqué ! Si tu le dis à quelqu’un je serais obligé de t’assassiner néanmoins… » Je souriais amusé.
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Se retrouver dans une chambre avec Soliman uniquement n’était pas un fait nouveau. Six ans auparavant, c’était quasiment devenu une habitude entre les deux jeunes, lycéens à l’époque, de passer de longues nuits ensemble. Cependant, après tout ce temps écoulé, Charlie avait comme l’impression que c’était la première fois ; il fallait dire que tous deux avaient évolué différemment, et se retrouver de cette manière était plutôt bizarre. Ce n’était plus non plus les mêmes sentiments haineux qui l’animait, et elle se sentait étrangement fébrile de se retrouver à ses côtés. Et elle ne perdit donc pas une minute après s’être rapidement préparée pour le rejoindre dans la maison des Winthrop, où il lui avait ouvert la porte, commençant immédiatement à lancer une pique ironique, évidemment, ce à quoi Charlie n’avait pas hésité une seconde pour répliquer, tout en entrant dans le dortoir universitaire. Pour un homme, c’était plutôt bien rangé, et propre, et ça n’en était pas déplaisant, ces derniers étant plutôt connus pour le bordel qu’ils faisaient. « Je suis capable d’attendre un jour de plus mais… Pas deux, c’est trop nul sinon… Et puis, me faire botter le cul par Batman c’est cool ! » . Après s’être assise sur le lit du brun, la Kovalevski tourna son regard verdoyant sur lui, comprenant aussitôt l’allusion à Batman quant à son tee-shirt. Arquant alors un sourcil, l’étudiante en mode répondit, d’un ton sarcastique : « Ne t’inquiète pas, deux jours c’est trop pour moi aussi. Et… je ne suis pas Batman, mais Catwoman. Je préfère. » Puis, la conversation revint sur la boisson et le film à choisir pour le regarder. Tout en sortant sa bouteille de manzana, Charlie pria en silence, espérant ardemment que ce ne serait pas un film d’horreur, pour éviter de se pisser dessus, tellement elle avait horreur de les regarder. Mais avec sa chance habituelle, Soliman reprit la parole, la fixant à ce sujet : « Parfait, j’ai envie d’être sadique… On va regarder Insidious, un film d’horreur qui ne fait pas bien peur à mon avis… ». Bien sûr. Et merde. Tentant d’être indifférente, Léna n’ajouta rien de plus, se contentant de saisir le verre que lui tendit le Winthrop, pour le remplir de la boisson alcoolisée, avant qu’il n’éteigne les lumières et lance le film à la télévision depuis sa clé USB. Se calant confortablement sur le lit, la brunette ferma à demi les yeux, essayant tant bien que mal d’éviter les scènes effrayantes et de sursauter par la même occasion, tenant fermement son verre, quand la voix de Soliman retentit dans le silence : « Tes vacances à Londres étaient bien ? Tu sais… Tu m’as manqué ! Si tu le dis à quelqu’un je serais obligé de t’assassiner néanmoins… » . Léna releva les yeux sur ce dernier, un léger sourire sur les lèvres : « C’était parfait. Tu sais, c’est Londres quoi. J’y envisage d’y vivre après mes études d’ailleurs… » Sur une seconde de silence, elle reprit, plus ironiquement : « C’est vrai ce mensonge ?… N’empêche que si tu m’assassines, je te manquerai encore plus, non ? (a) » Se taisant à nouveau quelques instants, la jolie brune continua, d’un ton plus doux mais hésitant : « Et puis, tu m’as manqué aussi, en fait. Vraiment. » Elle était bien là, allongée à côté de lui sur son lit. La situation était plaisante, la proximité également. Pas désagréable du tout, loin de là. Prenant une gorgée de sa manzana, qui était délicieuse en passant, Léna se mit à fixer Soliman en se tournant légèrement sur le côté ; non seulement cela lui éviterait de visionner le film, mais en plus, c'était beaucoup, beaucoup mieux de le regarder.
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Me retrouver seul dans ma propre chambre accompagné de Charlie me rendait forcément nostalgique, j’avais des souvenirs plein la tête des quelques semaines de notre relation, c’était dans une chambre qui ressemblait énormément à celle-ci que je lui avais fait connaitre sa première expérience sexuelle avec un garçon, c’est dans une chambre comme celle-ci que nous avions vécus des journées et des journées dans le même lit à se câliner en dévorant des bols de glace avec du Coca-Cola en guise de boisson. Des bons souvenirs qui me manquaient un peu. En plus d’être nostalgique j’étais très nerveux, être aussi proche d’une fille qui faisait battre mon cœur de plus en plus fort depuis le Summer Camp risquait de faire naitre un désir physique encore plus fort que lorsque nous étions ensemble dehors, normal j’ai envie de répondre mais je ne voulais surtout pas me comporter comme un goujat, j’étais bien trop éduqué pour ça et puis… Je n’étais pas attiré par l’idée de baiser une petite fois Charlie pour dire de me vider les couilles, je préférais prendre mon temps avec elle. « Ne t’inquiète pas, deux jours c’est trop pour moi aussi. Et… je ne suis pas Batman, mais Catwoman. Je préfère. » Je souriais une nouvelle fois tout en cherchant le rapport avec Catwoman dans son t-shirt, j’abandonnais mes recherches ne trouvant aucune réponse logique pour être honnête. « J’ai hâte d’être à demain alors, ça promet d’être… Fort savoureux ! » Je lui tirais la langue tout en lui adressant un regard défiant, j’étais curieux de voir ce qu’il y aurait vraiment demain, et si elle passait la nuit avec moi ? Je ne pensais pas à ça pour le moment. Je décidais d’être sadique en lui proposant de regarder un film d’horreur qui était d’ailleurs une bonne surprise puisqu’il me faisait parfois frissonner, j’étais suffisamment ouvert aux histoires de fantômes dans la vraie vie pour avoir une sensibilité en regardant des films concernant directement ce sujet. Je n’étais pourtant pas plus intéressé par le film que par le temps qu’il faisait dehors, la seule chose qui me prenait toute mon attention c’était Charlie. Je ne la quittais pas du regard. « C’était parfait. Tu sais, c’est Londres quoi. J’y envisage d’y vivre après mes études d’ailleurs… » Je buvais une petite gorgée de mon verre alors que nos deux mains étaient à quelques centimètres de se toucher. « Ah oui ? Tu m’enverras un ou deux messages sur facebook histoire que je ne pense pas que tu sois morte… » Oui, elle allait véritablement me manquer si elle s’en allait mais je ne comptais pas le lui dire ce soir. « C’est vrai ce mensonge ?… N’empêche que si tu m’assassines, je te manquerai encore plus, non ? (a) » Je pouffais de rire un instant, elle n’avait pas tort, mon petit rire était suivi d’une moue faussement boudeuse. « Oui c’est vrai et puis… T’es même pas marrante, je t’assassinerais puis j’irais profaner ta tombe pour que tu deviennes un esprit vengeur comme ça on pourra continuer à se voir tous les deux… » J’avais des idées de fou mais c’était une manière de lui couper l’herbe sous le pied en trouvant le répondant nécessaire pour lui répondre. « Et puis, tu m’as manqué aussi, en fait. Vraiment. » Mon cœur battait la chamade, je sentais tout mon corps envahi par un frisson, j’aimais l’entendre me dire des choses comme ça. Sans prévenir je déposais ma main sur la sienne ne faisant rien de plus pour le moment à part la dévorer du regard. « On est deux… J’avais hâte d’être à ce soir. »
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« J’ai hâte d’être à demain alors, ça promet d’être… Fort savoureux ! ». Assise sur le lit, Charlie réfléchit un instant aux jours qui allaient suivre cette soirée. Ce serait quand même super étrange que leur habitude de se clasher dès qu’ils se croisaient quelque part revienne dès le lendemain, surtout après tous les –bons ou presque- moments qu’ils avaient partagé ensemble ces derniers temps. Mais alors quoi ? Tout irait bien ? Peu probable également, étant donné leurs caractères respectifs ; et c’était bien connu qu’on ne changeait pas de caractère. La suite s’annonçait vraiment inattendue, c’était le moins que l’on puisse dire. Relevant alors son regard vers Soliman, Charlie pencha légèrement sa tête sur le côté avant de répliquer, sur un ton ironique : « Tu ne seras pas déçu, je t’assure. » Alors qu’en réalité, elle ignorait elle-même totalement comment elle allait réagir, et ce qui allait se passer. Mais bon, autant avoir l’air sûr d’elle et confiant. Elle aviserait bien sur le coup. Surtout que pour le moment, elle avait d’autres chats à fouetter. Passer la soirée avec Marlson, et seulement lui, c’était quelque peu stressant, même s’ils étaient censé regarder un film. Cette situation qui se présentait n’était pas nouvelle en réalité, mais la dernière fois qu’ils s’étaient retrouvés seuls dans une chambre remontait à six ans ; un bon bout de temps donc et ils avaient grandi depuis. C’était d’ailleurs à cette époque-là que Charlie avait couché pour la première fois avec lui, et la première fois tout court et les souvenirs affluaient au fur et à mesure que les minutes s’écoulaient. Après s’être allongée à son côté, son verre d’alcool à la main, Charlie l’écouta lui répondre, après qu’elle lui ait avoué qu’elle souhaitait vivre à Londres après ses études. « Ah oui ? Tu m’enverras un ou deux messages sur facebook histoire que je ne pense pas que tu sois morte… ». Un sourire vint illuminer son visage ; Londres, c’était sa ville. Et de plus, celui lui éviterait de voir ses parents et Apple à longueur de temps, c’était donc parfait. « Ahah, j’essaierai d’y penser… Toi, tu veux vivre où en fait ? » Elle n’avait aucune envie de se projeter trop loin dans le futur. Non pas que celui lui faisait peur, car elle savait très bien qu’elle réaliserait son rêve de devenir styliste étant donné sa détermination, mais elle se sentait si bien à Harvard, qu’elle n’avait aucune envie d’en voir la fin. Et puis, cela signifiait qu’elle ne verrait plus Soliman. Mettant ses pensées de côté, Léna reporta à nouveau son regard vert sur Marlson, tandis qu’il continuait : « Oui c’est vrai et puis… T’es même pas marrante, je t’assassinerais puis j’irais profaner ta tombe pour que tu deviennes un esprit vengeur comme ça on pourra continuer à se voir tous les deux… ». Sans pouvoir se retenir, elle éclata de rire, avant de le frapper sur le bras : « Mais t’es un psychopathe toi. Tu commences vraiment à me faire peur là, arrête de regarder des films d’horreur, ça ne te réussit pas. Et puis si ça se trouve, je t’assassinerais avant. » Avant de boire une gorgée de sa manzana. Vrillant à nouveau son regard vers le film, dont elle n’avait rien suivi depuis le début, trop occupée à parler avec Marlson, elle sentit soudain la main du jeune brun se poser sur la sienne. « On est deux… J’avais hâte d’être à ce soir. ». Sans se tourner vers lui, la Kovalevski laissa son verre sur la table de chevet située à côté du lit et reporta sa main sur son cœur. Ah si, c’est bon, il battait. Elle était encore vivante, c’était déjà bien. Avalant difficilement sa salive, Léna releva à nouveau son regard sur lui, répondant d’une petite voix qui ne lui ressemblait pas : « Moi aussi. » Délicatement, elle entrelaça ses doigts dans ceux de Soliman, son coeur se remettant à battre de manière rapide. C'était vraiment étrange mais elle trouvait cela réellement plaisant.
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Je faisais peut-être le beau depuis tout à l’heure concernant notre petite querelle qui était en standby depuis la fin du Summer Camp mais au fond je savais très bien qu’il n’y aurait pas grand-chose de plus à dire. Cette année pendant au minimum quelques jours au cas où quelque chose arriverait entre temps Harvard serait caractérisé par son calme légendaire et pas par les nombreuses disputes qui marquaient au fer rouge les couloirs de l’université. Je redoutais le possible retour de cette horrible relation basée sur la haine puisque je ne me sentais même plus suffisamment fort pour lui faire du mal volontairement, Charlie avait un véritable effet positif sur moi, elle me permettait de me sentir revivre, elle redonnait des couleurs à mon paysage progressivement, chassait les nuages et évitait qu’un orage trop important anéantisse mon petit cœur. Même si je ne m’attendais pas à un tableau totalement blanc à en juger par nos caractères respectifs je ne me voyais pas non plus lui hurler dessus à longueur de journée. Les prochains jours seraient donc définitivement décisifs. « Tu ne seras pas déçu, je t’assure. » Je me contentais d’un petit hochement de tête pour lui faire comprendre que sa réponse me satisfaisait pleinement, je rentrais dans son jeu comme à mon habitude mais l’un comme l’autre ne perdions pas de vue le fait que c’était pour une fois ironique et non à prendre au premier degré. Nous changions radicalement de sujet une fois devant le film, tous les deux allongés sur mon lit alors que des idées malsaines envahissaient parfois mon esprit le temps de quelques secondes. « Ahah, j’essaierai d’y penser… Toi, tu veux vivre où en fait ? » Elle me posait là une question qui était bien difficile pour moi à répondre. Je ne me penchais que très rarement sur mon futur, je préférais en effet vivre au jour le jour et aviser en conséquence. « C’est une bonne question… Je pense que si je devais vivre ailleurs qu’aux Etats-Unis ça serait au Brésil ou en Espagne, j’aime l’ambiance caliente des deux pays. » Je souriais, j’aimais l’ambiance festive même si je me doutais bien qu’au bout d’un moment comme un peu partout il y avait un effet de lassitude qui s’installait. Je partais par la suite dans un délire un peu spécial je dois l’avouer mais Charlie semblait me suivre, parfait, je ne faisais donc pas un énorme flop. « Mais t’es un psychopathe toi. Tu commences vraiment à me faire peur là, arrête de regarder des films d’horreur, ça ne te réussit pas. Et puis si ça se trouve, je t’assassinerais avant. » Je gloussais pendant un temps, elle était vraiment marrante la petite. « Tu ne savais pas ? C’est de moi qu’on adapte la plupart des histoires glauques des séries policières… Je suis le plus grand tueur en séries de l’univers… Et, si tu me tues et bah je te hanterais aussi, on en reviendra au même point. » Je lui tirais la langue, j’avais pris soin de prendre un ton bien sadique pour lui faire croire que j’étais un sérial killer mais au final j’avais fini par pouffer de rire tellement ce que je racontais était absurde. « Moi aussi. » Sa main contre la mienne me rendait encore plus dingue, mon cœur battait tellement fort que j’étais presque anxieux à l’idée que tous les étudiants d’Harvard puissent l’entendre battre. Je souriais très naïvement m’approchant de son visage pour y déposer un baiser à quelques centimètres à peine de ses lèvres. Je perdais le contrôle de mes sentiments.
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Allongée sur le lit de Soliman, à côté de ce dernier, dans la maison de confrérie des Winthrop, Charlie trouvait ce moment plus que parfait. Elle se sentait bien, tout simplement et pourtant, quelques mois, voire quelques semaines auparavant, il était bien le dernier avec qui elle souhaitait écouler ne serais-ce qu'une minute de son existence. Et là, elle avait naturellement accepté son invitation de passer toute une soirée en sa compagnie, à regarder des films, et ça lui plaisait, en plus. Gros retournement de situation, pour résumer. Le comble étant qu’ils arrivaient même à avoir une conversation dite « normale « discutant à propos de l’avenir. L’avenir justement ; Charlie se l’était toujours imaginée en grande styliste de mode mondialement renommée, qui voyagerait sur un yacht, à boire du champagne toute la journée avec tous les jet-setteurs du moment. Et même si évidemment, on ne pouvait prédire ce qui se passerait dans le futur, pour l’instant, elle désirait que tout cela reste ainsi. Surtout lorsqu’elle apercevait sa sœur Apple et son ventre « énorme « : c’était bien son pire cauchemar. Encore qu’il ne fallait jamais dire jamais, mais ce n’était sûrement pas dans ses plans prochains. Ce qu’elle voulait avant tout, c’était profiter de sa jeunesse au maximum. Alors après lui avoir avoué qu’elle espérait pouvoir vivre à Londres à la fin de ses études, Charlie lui retourna la question. La réponse de Soliman était comme hésitante, indécise : « C’est une bonne question… Je pense que si je devais vivre ailleurs qu’aux Etats-Unis ça serait au Brésil ou en Espagne, j’aime l’ambiance caliente des deux pays. ». L’Espagne, un pays qu’elle adorait, pour y être allée de nombreuses fois pendant les vacances estivales, plus jeune. Et c’était clair que l’ambiance caliente comme il le disait, ne manquait pas. Cependant, c’était quand même bizarre de se dire que d’ici quelques temps, elle ne reverrait probablement plus la moitié, voire plus, des gens qu’elle connaissait, lui inclus. Et elle n’en avait pas envie. Oui, vraiment, elle espérait qu’ils se donneraient quand même des nouvelles de temps à autre. Tournant sa tête légèrement vers son côté, Charlie répondit, sur un ton assez sarcastique : « L’Espagne, c’est juste trop cool… Et puis, plus tu seras loin, mieux je me sentirais. » Cette phrase commençait à devenir de plus en plus fausse. Mais elle n’allait tout de même pas lui avouer qu’elle ne voulait pas qu’ils perdent contact, pas maintenant. La discussion s’ensuivit par les délires carrément psychopathiques de Soliman, qui parlait de profaner sa tombe pour faire d’elle un esprit vengeur ; et sur la remarque de Charlie, il répliqua aussitôt, clairement amusé : « Tu ne savais pas ? C’est de moi qu’on adapte la plupart des histoires glauques des séries policières… Je suis le plus grand tueur en séries de l’univers… Et, si tu me tues et bah je te hanterais aussi, on en reviendra au même point. ». Venant placer sa main sur la bouche de Marlson, la Kovalevski ne résista pas à éclater de rire, avant d’ajouter : « Tais-toi Marlson, évite de dire des conneries pour une fois. Et j’aime pas parler de tous ces trucs, ça me fout les boules, alors voilà… Et te fous pas de moi sinon je t’étripe. » Et c’était vrai ; elle détestait tous ces trucs se rapportant à la mort, aux crimes… Mais elle oublia bien rapidement tous ces trucs obscurs lorsqu’elle sentit la main de Soliman sur la sienne, avant qu’elle n’entrelace leurs doigts. Comme c’était bon. Elle aurait donné n’importe quoi pour rester ainsi bien longtemps encore. Puis, elle vit Soliman se rapprocher vers elle, pour déposer un baiser non loin de ses lèvres. Oh God. Son cœur eut plusieurs ratés, et elle réalisa soudain qu’elle n’avait même pas tenté de reculer. Bien au contraire. Relevant son regard vers Marlson, Léna vint passer son autre bras dans le dos du brun, tout en se mettant à chuchoter, un léger sourire sur les lèvres : « Je te déteste quand même hein. » Et avant même de réfléchir à ce qu’elle faisait, la Kovalevski posa délicatement ses lèvres sur celles de Soliman, avant de l’embrasser le temps quelques secondes. Les souvenirs revinrent aussitôt ; ses lèvres lui étaient familières et lui rappelèrent combien elle aimait les sentir sur les siennes. Mais reculant légèrement, la brunette continua sur le même ton : « Mais si tu racontes ça à qui que ce soit, je serais obligée de te tuer. » Elle était vraiment, vraiment bien là.
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Je m’étais retrouvé un peu con lorsqu’elle m’avait parlé de partir de Cambridge et des Etats-Unis plus généralement, je ne me voyais pas partir d’ici un jour pour être tout à fait franc, j’aimais mon pays et je comptais y faire carrière en étant psychologue pour les enfants, une cible qui me tenait particulièrement à cœur parce qu’il était inhumain de faire souffrir des gamins innocents. Au-delà de cette carrière dans la psychologie j’étais tenté par une certaine forme d’art, depuis que je trainais avec Ulükah un ami à l’université je m’étais laissé aller à des exercices spéciaux concernant tout particulièrement le chant, j’aimais pousser la chansonnette il n’y avait rien de nouveau sous le soleil jusque-là mais je m’étais découvert un réel talent qu’il ne restait plus qu’à travailler pour qu’il soit mis en avant à son maximum. Je me surprenais à rêver d’une carrière comme d’autres artistes, pas forcément être une star mondiale mais sortir un disque pourquoi pas ? Passons. Je n’avais pas envie de voir Charlie partir à des milliers de kilomètres de moi, pas maintenant alors que nous commencions seulement à renouer contact l’un avec l’autre, pas au moment où je comprenais enfin que le bonheur avait été à ma portée et qu’il n’était pas trop tard. « L’Espagne, c’est juste trop cool… Et puis, plus tu seras loin, mieux je me sentirais. » Je souriais amusé, elle ne ratait pas une occasion de placer un sarcasme, j’aimais ça surtout qu’il n’y avait plus aucun premier degré à prendre dans ses propos. « C’est vrai ce mensonge ? » Elle aimait cette expression je ne m’étais pas gêné pour la ressortir espérant tout de même que ce mensonge était un vrai mensonge pour le coup. « Tais-toi Marlson, évite de dire des conneries pour une fois. Et j’aime pas parler de tous ces trucs, ça me fout les boules, alors voilà… Et te fous pas de moi sinon je t’étripe. » Je me tordais de rire, notre délire était légèrement glauque je vous l’accorde mais c’était quelque chose d’habituel à bien y réfléchir, il était rare que nous prenions des fous rires sur des trucs classiques. « Je pense que c’est toi la tueuse en série en vérité… La preuve tu veux m’étriper vilaine ! » Je gloussais une nouvelle fois alors que je saisissais l’occasion de sa main sur mes lèvres pour la saisir, elle répondait positivement à cette petite demande d’affection puisqu’elle glissait ses doigts entre les miens. Je perdais le contrôle de mon corps, de mon esprit et je n’hésitais pas à lui déposer un léger baiser sur le bord des lèvres, elle s’approchait m’entourant de son bras. « Je te déteste quand même hein. » Je souriais amusé, je m’apprêtais à répondre quelque chose de très sarcastique je me retrouvais ENFIN face à ce que je recherchais pour avoir une éclaircie dans cette brume sentimentale. Charlie m’embrassait et même si ça avait été très court je sentais mon cœur qui était à quelques centimètres de totalement se décrocher tellement il battait fort, mon corps tout entier était pris d’une impulsion électrique, je savais qu’elle était faite pour moi. « Mais si tu racontes ça à qui que ce soit, je serais obligée de te tuer. » Une main sur mon torse tentant presque de calmer mon cœur je lui répondais avec un petit sourire amusé. « On en revient toujours au meurtre alors ! » Je gloussais ne me faisant pas prier pour faire quelque chose qui me faisait envie depuis tellement longtemps, je venais entourer la mâchoire de Charlie de mes doigts m’avançant pour renouer contact avec ses lèvres, cette sensation était tellement agréable, ma langue rejoignait rapidement sa consœur.
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soliman & charlie ;



taylor swift ;; mine.

Ils n’étaient pas censés regarder un film à la base ? Non parce que le film défilait sur l’écran de télévision, mais Charlie n’avait de yeux que pour Soliman. En plus, c’était un film d’horreur alors il valait beaucoup mieux reporter son attention sur le jeune homme, qui était bien plus agréable, que sur cette sombre histoire de fantômes. Allongée à côté de lui, elle l’écoutait lui dire que s’il devait quitter les États-Unis, il irait vivre au Brésil ou en Espagne, et Charlie n’avait pas hésité à lui avouer combien elle aimait ce pays, pour y être allée de nombreuses fois, sans cependant s’empêcher de lancer une petite pique sarcastique, en passant, comme quoi plus il serait loin, mieux elle se sentirait. Totalement faux, surtout en ce moment. Et elle ne voulait vraiment pas penser à ce qui se passerait plus tard, au cas où ils perdraient contact un jour. Il allait vraiment falloir qu’elle profite de sa présence un maximum, avant qu’il ne quitte l’université, car il terminerait sûrement ses études avant elle. Et elle n’en avait aucune envie. « C’est vrai ce mensonge ? ». A sa remarque, Charlie laissa échapper un léger rire ; bizarrement, cette expression l’avait toujours amusée ; elle la trouvait illogique –car elle l’était évidemment- mais elle restait drôle. C’était une de ses phrases favorites, et la brunette la ressortait dès que l’occasion se présentait. Sur un sourire malicieux, la Kovalevski répliqua, sans attendre davantage : « Non… Mais fais comme si c’était vrai. » Mais qu’est ce qui lui arrivait ? Elle ne se reconnaissait plus. Elle n’était pas cette Charlie, calme et posée, dont le cœur se mettait à battre de façon irrégulière pour un simple regard, un sourire ou un toucher. Non, elle se montrait généralement plus froide et forte, car elle savait les conséquences qu’engendrait ce genre de ressentiments, à la fin, et ce n’est pas ce qu’elle désirait. Succombait-elle réellement au charme de Soliman, alors qu’elle s’était dit « plus jamais « ? Plutôt effrayée par cette idée, sa gorge se serra. Pourtant, c’était elle qui six ans auparavant, s’était promis de passer toute sa vie à le haïr et lui faire toutes les crasses imaginables dès qu’elle le croiserait. Là maintenant, ça révélait presque d’une mission impossible. Voilà, il se mettait à rire, et elle oubliait quasiment tout ; comme une idiote. Comme toutes ces filles stupides qu’elle prenait un malin plaisir à critiquer d’habitude. Et bien, apparemment, elle n’était pas mieux. « Je pense que c’est toi la tueuse en série en vérité… La preuve tu veux m’étriper vilaine ! ». La jolie brune l’observa un instant, avant de prendre une petite inspiration : « Au contraire, je me trouve trop gentille. » Surtout avec toi, faillit-elle ajouter, mais elle se retint. Après tout, il ne la forçait pas à se comporter de cette façon, c’était elle qui le faisait de son plein gré. Et ça la troublait. Sentir sa main sur la sienne fut certainement le summum. Puis avant même de réfléchir à ses actes, elle se rapprocha de lui pour l’embrasser doucement. Elle aurait pu mourir sur-le-champ, qu’elle serait heureuse. Se détachant de ses lèvres au bout de quelques instants, afin de pouvoir tout de même lancer une remarque, Léna en profita pour reprendre sa respiration. Non pas que ça avait été essoufflant ni rien, mais il fallait qu’elle retrouve ses esprits au plus vite. « On en revient toujours au meurtre alors ! ». La Mather sourit ; sans retirer son bras du dos de Marlson, elle répondit : « Oui mais là, c’est un cas de force majeure. » Et avant même qu’elle ne puisse esquisser un geste, Soliman se rapprocha à nouveau d’elle, pour reprendre possession de ses lèvres. Tout son corps s’enflamma et la brunette répondit avec passion à ce nouveau baiser, toute crainte envolée, passant sa main sous le tee-shirt du Winthrop afin de lui caresser le dos. C’était juste parfait. Retirant ses lèvres une nouvelle fois, Léna souffla, se plongeant dans les yeux de Soliman : « J’ai envie d’être la tienne ce soir. » Avant d’ôter son tee-shirt qu’elle jeta à terre, révélant ses sous-vêtements blancs, puis de s’emparer à nouveau de ses lèvres. Au pire, elle le regretterait le lendemain.
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