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i don't want your body, but i hate to think about you with somebody else
somebody else - the 1975
— with @Anna D. Guerlain
somebody else - the 1975
— with @Anna D. Guerlain
Ton coeur bat à tout rompre. Comme s’il voulait te rappeler qu’il était toujours bien en place et fonctionnel. Il te fait comprendre qu’en ce moment t’es plus que l’ombre de toi-même ; ce soir, il n’est plus question de retenu. Tu comprends pas trop, parce qu’en temps normal, t’aurais évité de faire un truc du genre. Et là, t’es pris au piège. T’as pas envie d’arrêter, parce que t’acceptes au plus profond d’toi d’te perdre en Anna. Fais pas le con, tu l’a choisis. Et putain, viens pas t’en plaindre demain. Tes mains se permettent de dessiner son corps à plusieurs reprises, avant d’effacer une bonne partie de la proximité qui te rendait déjà à bout d’souffle. Tu l’écoutes à peine que tes lèvres et ta langue se perdent dans un délicieux baiser langoureux qui t’oblige à restreindre toute distance entre vous deux. Tu rends le baiser un peu plus sulfureux à chaque vêtement retiré, et tu t’y perds complètement. Y’a plus d’Anna. Y’a plus de Caleb. Y’a juste vous. Mais tu t’en fous, t’as pas peur. T’y penses pas, tu profites. Parce que tes lèvres se frayent un chemin rapide à son cou et tu t’oublies au travers de sa respiration saccadée.
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Tu te réveilles un peu perdu. Tu vois à ta droite un cadran affichant “4:09”. Tu vois que t’es dans une chambre et tu réalises à tes côtés que c’est Anna, complètement nue. Et .. tu l’es aussi. Et t’as pas besoin de Sherlock Holmes pour te rappeler c’qui s’est passé, comment vous êtes partis à rire comme des cons complices nus sur le canapé et comment vous êtes venus vous coucher dans son lit en rigolant encore une fois, mais comme des bambins. Et puis vous vous êtes endormis. Mais là, tu réalises que ça va vraiment pas. T’as tellement trop bu. Et puis, t’as bougé, si vous voyez c’que j’veux dire. Ton premier réflexe ; sortir de la chambre, sans réveiller Anna. Tu prends tes vêtements au salon et tu réalises que ça aurait été un putain de bordel si ses colocs auraient été là. Une chance. Tu t’habilles et tu sors fumer une clope. T’es satisfait de voir que t’as pas réveillé Anna. Et puis tu retournes à l’intérieur en réalisant que fumer c’était une idée de crétin. Parce que ça t’étourdie plus qu’autre chose. Tu te diriges dans la salle de bain, prends la première pilule qui te donne l’impression qu’elle va régler ton mal de tête et tu retournes à la chambre. Tu t'agenouilles près d’elle et tu la regardes quelques secondes. Tu t’sens comme un pervers vraiment pas correct et tu te relèves. Tu te penches à nouveau comme si t’avais envie de déposer au minimum un baiser sur sa joue mais tu te refuse encore une fois à t’exécuter et tu étouffes un simple « J’suis désolé.. » avant d’partir en taxi, réalisant qu’t’allais probablement être un connard face à cette situation le lendemain. Comme d’habitude.
END.
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Tu te réveilles un peu perdu. Tu vois à ta droite un cadran affichant “4:09”. Tu vois que t’es dans une chambre et tu réalises à tes côtés que c’est Anna, complètement nue. Et .. tu l’es aussi. Et t’as pas besoin de Sherlock Holmes pour te rappeler c’qui s’est passé, comment vous êtes partis à rire comme des cons complices nus sur le canapé et comment vous êtes venus vous coucher dans son lit en rigolant encore une fois, mais comme des bambins. Et puis vous vous êtes endormis. Mais là, tu réalises que ça va vraiment pas. T’as tellement trop bu. Et puis, t’as bougé, si vous voyez c’que j’veux dire. Ton premier réflexe ; sortir de la chambre, sans réveiller Anna. Tu prends tes vêtements au salon et tu réalises que ça aurait été un putain de bordel si ses colocs auraient été là. Une chance. Tu t’habilles et tu sors fumer une clope. T’es satisfait de voir que t’as pas réveillé Anna. Et puis tu retournes à l’intérieur en réalisant que fumer c’était une idée de crétin. Parce que ça t’étourdie plus qu’autre chose. Tu te diriges dans la salle de bain, prends la première pilule qui te donne l’impression qu’elle va régler ton mal de tête et tu retournes à la chambre. Tu t'agenouilles près d’elle et tu la regardes quelques secondes. Tu t’sens comme un pervers vraiment pas correct et tu te relèves. Tu te penches à nouveau comme si t’avais envie de déposer au minimum un baiser sur sa joue mais tu te refuse encore une fois à t’exécuter et tu étouffes un simple « J’suis désolé.. » avant d’partir en taxi, réalisant qu’t’allais probablement être un connard face à cette situation le lendemain. Comme d’habitude.
END.
© SEAWOLF.
(Invité)