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somebody else ♣ anna

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i don't want your body, but i hate to think about you with somebody else
somebody else - the 1975
— with @Anna D. Guerlain


Tes yeux essaient de rester à l’endroit qu’ils devraient être, mais t’échappes quand même quelques regards au niveau de ses lèvres. Tu réalises que c’est une proximité que tu ne t’étais jamais permis auparavant. T’aimerais qu’elle te déplaise, ou du moins, tu préfèrerais ne pas ressentir l’ambiance de plus en plus méconnue pour vous deux. T’es pas aveugle, tu vois bien qu’Anna est bourrée d’atouts autant physiquement que mentalement. T’sais pas pourquoi, mais cet aise que t’as eu dès le premier jour avec Anna l’a à elle seule classée dans autre chose qu’une aventure d’un soir. Donc tu t’étais jamais questionné à savoir si vous seriez un jour attirés l’un par l’autre. Tu te sors de tes réflexions, la déposant sur le sol, tout en retournant à la réalité en moins de deux secondes grâce à Anna qui recommence à nouveau à vouloir tout comprendre. « J’croyais que j’étais venu ici pour passer un bon moment. » Ah, commences pas à casser les couilles avec ton humeur ridiculement changeante. T’essaies de rattraper le coup et de lui donner un semblant de réponse parce que t’as pas mieux à offrir. « J’aime juste pas .. les étiquettes. » Tu sais pas comment t’exprimer. Tu veux pas faire partie de sa vie d’une façon importante. Ou en fait, tu sais juste que t’es pas capable d’offrir quelque chose de bien sur n’importe quel niveau relationnel. T’es le meilleur pote de personne, t’es le frère de personne, t’es le fils de personne, t’es personne. L’alcool à cette façon de t’amener dans ce trou bien dark que tu gardes au fond de ta tête, et putain, t’haïs ça. Parce que tu ressens. Et ressentir, c’est pas pour toi. Tu mets le feu à ta cigarette alors que tu la tiens entre tes lèvres, et la tire longtemps, comme si c’était une question de vie ou de mort que tu t’emboucannes suffisamment pour décompresser. « J’suis juste .. Caleb. Tu comprends? Me voit pas autrement. » Ouais pas meilleur pote ou quoi que ce soit d’autre. Vous êtes saouls, donc t’es même pas sûr si elle va te comprendre. Si elle se souvient de quoi vous parler en fait. Tu prends ta cigarette entre tes doigts avant de diriger le bout en feu vers toi, la déposant entre les lèvres d’Anna sans lui demander la permission. T’en prends une autre, extirpant à nouveau une bonne quantité de fumée.


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Il me dépose parterre et je le regarde avec gros yeux comme une gamine. Ce n'est que la bière qui coule entre mes lèvres qui rehausse mon âge. J'attends un semblant de réponse, quelque chose que je puisse comprendre sans trop me torturer l'esprit. Nous étions là pour passer une soirée sans prise de tête et j'ai réussit à semer le trouble dans nos esprits. Comment est ce qu'on avait pu en arriver là avec seulement une phrase qui soulevait pleins de sous entendus ? Les mots qu'il me sort me laisse sans voix, genre on passe une mauvaise soirée, carrément. Si ma présence te dérange, ou n'est pas agréable faut le dire. Non je ne me vexe pas. Si, je me vexe. Non. Et puis merde. Je finis le peu de bière qu'il me reste et n'espère plus vraiment de réponse à mes questions, il est bien trop imprévisible pour ça. Les étiquettes ? je me retourne vers lui en fronçant les yeux me demandant ce qu'il insinue. Je me repasse en tête nos échanges de tout à l'heure et... je me rappelle lui avoir dit être mon meilleur pote. Je ne vois tellement pas le problème, la faute que j'ai pu commettre. Ok. T'aimes pas les étiquettes. Je hausse les épaules, ne sachant pas vraiment comment réagir ni comment comprendre son reproche. En était ce un, un reproche ? Je le regarde allumer sa cigarette et l'envie silencieusement. Il tire dessus comme s'il voulait la consumer en une seule fois. Je me demande bien ce que lui dérange dans les "étiquettes" comme il dit, ça fait quoi d'être l'ami de quelqu'un. Je me sens un peu blessée, peut être que finalement c'est moi qui ne lui convient pas en tant qu'amie. Je ne m'attendais pas vraiment à ce qu'il renchérisse sur quelque chose du moins je crois que j'espérais qu'il fumerait sa clope et que la discussion serait close. Mais non, il va plus loin, beaucoup trop loin. Je ne bouge plus, je suis figée. C'est quoi son putain de problème. Je ne réponds pas tout de suite et je suis juste soulagée quand je sens le filtre entre mes lèvres. Je ferme les yeux et prends une longue taffe, bien trop longue ce qui me fait tousser. La fumée dans mes narines, celle qui m'étouffe est bien trop présente dans mon esprit. Mais je m'en fous, j'ai besoin de cette nicotine. Je vais vers la fenêtre du salon et l'ouvre pour aérer ou pour m'aérer je ne sais pas. Je tourne le dos à Caleb, essayant de rassembler mes idées avant de prendre finalement la parole. J'suis pas assez bien pour être ton amie, c'est ça ? Ou tu te donnes le style du mec intouchable qui n'aime personne à part sa petite personne ? Je me retourne sur mon dernier mot. Je sens les larmes qui me montent, j'suis bien trop sous pression et un peu soule pour avoir ce genre de discussion.

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Non, sa présence ne te dérange pas. Tu t’exprimes juste tout le temps trop mal. Réfléchir avant de parler, c’est pas ton fort. Faudrait que tu t’achètes un filtre aussi, hein. Tu préfères ne pas répliquer, tu sais déjà que tu viens de la vexer. C’était pas ton but, mais c’est fait. C’est pourquoi tu décides de lui donner une réponse. Tu peux pas toujours n’être qu’un pauvre crétin. Et puis t’es pas là pour foutre la merde. C’est pourquoi ton premier réflexe sous l’influence de l’alcool est d’y aller en explications pas très précises, en lui disant que t’aimes pas les étiquettes. Tu tires à nouveau sur ta cigarette après avoir tendue l’autre à Anna. Tu la fixes alors qu’elle se déplace jusqu’à la fenêtre. Tu t'assois sur le bras du canapé, n’étant pas sûr de la suite de cette discussion. Tu te sens coupables au moment même où t’as l’impression que sa voix ne cherche qu’à se briser alors qu’elle réplique. Anna, pas assez bien. Non, mais putain, elle comprend vraiment rien. « Arrêtes d’insinuer quoi que ce soit. » Tu dis, te relevant aussitôt, t’approchant d’elle. T’es nul pour consoler les gens, pour trouver les bons mots. « Tout ce que tu dois retenir de ce soir, c’est que j’suis un crétin et que j’sais pas c’que je dis quand je suis saoul. » Ouais, c’est un fait indéniable. Mais bon, ce que tu as dit, tu le penses. Anna, tu l’sais très bien qu’elle n’est pas rien pour toi. T’as juste toujours préféré ne pas torturer ton cerveau à savoir ce qu’elle est véritablement. Tu constates qu’elle n’ose pas te regarder dans les yeux, donc tu te décides à déposer le côté de ton index sous son menton, question de lui remonter le visage et qu’elle n’ait pas le choix de te regarder. « J’suis un crétin, d’accord? » Ouais, tu te répètes mais t’as picolé, elle s’attend à quoi? « On ne s’est jamais pris la tête, pourquoi commencer ce soir? » Wow, maintenant t’es le gars saoul raisonnable. Mais t’es pas ultra-bipolaire toi, ou quoi?


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— with @Anna D. Guerlain

Voilà ce que ça donne d'aller vers des sujets trop sensibles. Je suis vexée et je joue ma petite fille blessée alors que tout avait bien commencé. je m'en veux d'avoir l'alcool à moitié triste, mais je mets ça sur son dos à lui. Tout allait bien avant qu'il ne dise qu'il n'est personne. Comment ne peut on pas avoir d'identité auprès des autres ? Wow, c'est un sujet un peu trop compliqué pour toi ce soir, Anna. Voilà ma conscience qui se réveille. Je tire sur ma clope une nouvelle fois en appréciant mieux la sensation de la fumée dans ma gorge que la fois précédente. Nous nous dévisageons alors que je viens de lui poser une question à laquelle je n'attends pas vraiment de réponse. Il se relève et s'avance vers moi en disant qu'il est un crétin. je le fixe encore préférant ne rien d'autre que de la merde. Soit disant qu'il a dit n'importe quoi avec l'alcool. Mais moi je sais, je sais que quand on est saoul on dit souvent un peu plus la vérité que quand on est sobre. Mais je ne reviendrai pas sur ce terrain glissant. Je ravale mes larmes et me contente de baisser la tête ne supportant pas son regard. Seulement je n'ai pas le droit à beaucoup de répit. Il relève ma tête vers lui à l'aide de son index et me redis qu'il est un crétin. Je pense que tu as fait le record du monde du mec qui a dit le mot crétin plusieurs fois en l'espace de trente secondes. Je ne souris pas, il est bien trop difficile à suivre ce soir. Comment on peut jongler sur plusieurs humeurs à la fois en si peu de temps ? Cette question reste en suspend dans ma tête comme si je pourrai y répondre plus tard. J'acquiesce d'un léger signe de tête à sa question et m'avance un peu vers lui. Qui a dit qu'on se prenait la tête ? Je tente un petit sourire, moi aussi je joue au yoyo avec mes émotions ce soir. Je porte ma cigarette à mes lèvres et la termine avant de la jeter par la fenêtre. Si Tarantino était là, il nous en voudrait de prendre si peu au sérieux son film. Je reviens vers Caleb me positionnant tout près de lui à tel point qu'il peut sentir l'alcool que j'ai ingurgité.

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Tu prends la peine de relever son visage afin qu’elle dirige son regard sur toi. T’as l’impression que tu dois réparer l’ambiance de merde que t’as installé. Tu souris d’une façon hésitante lorsqu’elle te dit qu’tu détiens probablement le record du monde pour le mot crétin. Vous étiez sur le point de vous prendre la tête juste parce que vous êtes un peu trop saouls. Ce soir ça se confirme ; vous êtes deux vrais dramas queens sur l’alcool. « T’as probablement raison. » Tu dis, riant légèrement de toi-même. Tu finis par être soulagé losqu’elle te dit que vous n’êtes pas nécessairement en train de vous prendre la tête. Tu regardes Anna jeter sa cigarette par la fenêtre, et dès qu’elle termine sa réplique sur Tarantino, tu te diriges vers la fenêtre à ton tour afin de jeter la tienne, à peine est-elle arrivée à tes côtés. « Mieux vaut se faire pardonner alors! » dis-tu, prenant Anna par le bras, question qu’elle ne reste pas plantée là seule à bouder. Tu t’assoies sur le canapé, prend ta bière que tu dégustes lentement, tapotant la place à tes côtés, afin qu’elle comprenne que tu la veux assise près de toi. « Avec tout ce que t’as bu, j’suis sûr que tu tiendras pas jusqu’à la fin du dernier film. » dis-tu, changeant totalement le sujet de la conversation. « Et j’assume, moi aussi. » Tu renchéris, esquissant un sourire à la commissure de tes lèvres. Tu décides donc de prendre le coussin à tes côtés et le déposer sur tes jambes, tapotant finalement ce dernier. « Donc pour me faire pardonner, installe toi. » Bah quoi, on t’as toujours dit que t’es confortable, y’a des bonnes chances que vous finissiez par vous endormir beaucoup plus tôt que prévu, donc t’es simplement à ses besoins de lui proposer de se coucher sur tes jambes. « J’suis confortable, j’t’assure! » Tu souris comme un gamin et honnêtement, tu te sens déjà mieux dans cette ambiance beaucoup moins tendu. T'sais pas pourquoi, mais t'as besoin qu'Anna soit proche. T'as besoin de contact physique.

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C'est quand même une chance d'être le détenteur d'un record du monde. Quoique comme ça concerne le mot crétin ça devient un peu moi éclatant. Ca semble le faire sourire et notre soirée prend de nouveau une nouvelle tournure. Dire qu'on n'est pas entrain de se prendre la tête nous rassure tous les deux. C'est dingue comme tout peut changer aussi vite, avec de simples mots. Nos cigarettes terminées, Caleb suggère qu'on se fasse pardonner par Tarantino et j'acquiesce. Oui, allons honorer son chef d'oeuvre. Il me prend par le bras et je le laisse me diriger vers le canapé. Il s'assoit pendant que je m'ouvre une autre bière et m'installe tout prêt de lui comme il me l'a implicitement demandé. Non mais je ne vais même pas te contredire. Je ris légèrement avant de boire une gorgée, l'alcool me réchauffe. Je le regarde installer un petit coussin sur ses jambes et ce n'est que quand il me dit de m'installer sur ses genoux que je comprends. Je le regarde un sourire aux lèvres. Je ne doute pas que tu es confortable, mais si je m'allonge je m'endors tout de suite. Je lève les yeux au ciel et m'avance vers lui, passe mes jambes sur les siennes. Mes cuisses viennent se poser sur son coussin et ma tête vient se poser sur son épaules. Je suis ni plus ni moins sur lui, au moins je ne m'endormirai pas. Ca va ? Je prends pas trop de place ? Je ris contre son torse une main posée sur son ventre.



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Vous êtes enfin de retour sur le canapé, c’est pas trop tôt. Ton humeur sombre s’est évaporée aussi vite qu’elle s’est imposée. T’es content de retrouver cette complicité indéniable petit à petit, parce que tu te voyais pas retourner chez toi, tous les deux boudants comme des bambins chacun de vôtre côté. Tu détestes le conflit. Ou du moins, tu détestes ça quand ça implique Anna. « Tu marques un point. » Tu prends la peine de lui dire que vous ne serez pas capables d’écouter tous les films, mais tu lui proposes de se coucher sur toi, ce qui l’endormirait certainement. Toi et la logique, vous êtes pas copains en ce moment. Tu la vois finalement se rapprocher encore plus de toi, déposant ses cuisses sur le coussin, sa tête sur ton épaule droite, s’installant à son aise. Elle te demande si elle prend trop de place et honnêtement, t’as juste envie de rire parce que t’es pas habitué d’être autant démonstratif physiquement. « Non, ça va. » dis-tu, étouffant un rire ridicule avant de renchérir. « Mais je t’avertis, j’vais devoir te tuer si tu comptes dire à qui que ce soit que l’alcool me rend .. » Tu trouves pas les mots, t’as envie de lui dire que tous ces rapprochements physiques, aussi futils soient-ils, te sont d’une certaine façon nécessaires en ce moment. « Plus accessible physiquement. » T’éclates de rire, parce que tu te trouves tellement trop ridicule. Allez, assumes que t’es qu’un gros ourson câlineux dès que l’alcool te monte à la tête. « Silence maintenant! » dis-tu, déposant ta main gauche sur celle d’Anna qui se trouvait toujours sur ton ventre. Tu soulèves ton bras droit, celui qui tient Anna au creux de son épaule, avant de le mettre derrière cette dernière, l’enroulant de ta chaleur, t’offrant une meilleure proximité.

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L'alcool accentue ma fatigue accumulée depuis quelques jours. Je n'ai pas envie de dormir là tout de suite maintenant seulement si je m'allonge sur lui on est foutu. Alors je m'installe d'une autre manière tout en restant en contre lui voir plus. Je crois que je ne pourrai pas être plus près enfait, les distances et l'alcool ça fait quatre voir douze. Je lui demande si je ne l'écrase pas et visiblement ça lui donne envie de rire. Je penche la tête sur le côté comme pour comprendre pourquoi il rit. Et je me mets à rire moi aussi, son rire est communicatif. Ouuuuuh ! Je vais avoir de quoi négocier si à l'avenir on a quelques... soucis. J'sais pas si ce sont les mots exacts mais en gros je considère que j'ai un dossier si je veux le faire chanter. Je sens vraiment que l'alcool a fait son effet. Je ne suis pas trop éméchée mais joyeuse, assez pour être assez tactile avec lui. Ok chef. Il pose sa main sur la mienne et ce tout petit contact me fait du bien. Ce soir j'ai envie de plus, j'ai besoin de plus. J'ai besoin de cette chaleur humaine, d'être prise dans les bras de quelqu'un et ce soir ce quelqu'un se trouve être Caleb. Je me blottis contre lui et ma tête se fraie un chemin jusque dans le creux de son cou. Mes lèvres hésitent et après quelques secondes d'attente elles déposent un collier de baisers sur son cou jusqu'à son menton. Et puis je ne bouge plus, j'attends. Je ne sais pas vraiment ce que je recherche en faisant, j'en avais juste envie.



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Tu viens d’entreposer entre ses mains une arme dangereuse ; elle est au courant que t’es tellement plus tactile quand l’alcool s’éprend de tes actions. Bon, ça semble futile, mais tu démontres ce côté de toi que très rarement aux personnes qui te connaissent bien ; t’es souvent saoul avec des donzelles qui ne passent même pas la nuit, donc c’est un point de toi que seulement les gens de passage voient. T’as un coeur ; pas de chance! Tu recentres ton attention sur Kill Bill, demandant le silence à ton tour. T’étouffes un rire éphémère à son “chef” et vous voilà concentrés sur le film. Ta main sur la sienne, t’as l’impression d’avoir automatiquement créé une ambiance différente. Les secondes s’écoulent à peine que ses lèvres s’approprient la chaleur de ton cou, action qui te laisse surpris. Tu sens son élan s’arrêter à l’aube de ton menton et ton cerveau réagit très rapidement. « Je t’ai pas demandé d’arrêter. » Tu dis, alors que tu descends de peu ton visage afin d’égaliser tes lèvres aux siennes.Ton regard se dépose au fond du sien pour une centième fois ce soir, mais tu peux pas t’empêcher d’y voir quelque chose de différent. Ça te brûle jusqu’au fond de tes entrailles, t’as besoin de ressentir. De t’y mêler, de t’y perdre même. T’aurais envie de t’excuser, y’a quelque chose au fond de toi qui te dis que ce que ton corps demande en ce moment même ne devrait pas arriver. Mais t’évites ta conscience en mettant fin à cette ambiance palpable. Tes lèvres s’écrasent violemment contre les siennes comme si toute retenue s’était volatilisée au même moment où t’avais décidé d’éteindre ta tête. Tes mains s’approprient sa taille et t’as déjà oublié comment t’as fait pour te retrouver sur elle qui est présentement couchée sous toi. Vos lèvres se séparent et t’as l’impression d’attendre une approbation beaucoup plus prononcée venant d’elle. Tu t’es permis ses lèvres, t’iras pas plus loin si l’alcool lui fait juste accepter son sort et qu’elle n’en a pas vraiment envie.

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J'me sens bien sur lui. Je ne me pose pas un millier de questions, je fais ce qui me passe par la tête comme poser tous pleins de baisers dans la chaleur de son cou. J'attends, hésitante, ne sachant pas vraiment comment il va réagir à cette approche plutôt un peu trop engagée de ma part. Mon attente se fait très courte puisqu'il réagit presque aussitôt et me fait clairement comprendre que je ne devais pas m'arrêter. je sens mes joues rougir avant qu'il ne vienne poser ses lèvres contre les miennes. Mon coeur s'emballe sous cette intimité naissante, je ne contrôle plus rien et c'est le mieux que je puisse faire. L'alcool est présent dans mon corps mais pas assez pour me pousser à faire des choses que je n'ai pas envie de faire. Je me retrouve rapidement sous lui sans qu'on n'est compris comment c'était arrivé. Nos baisers deviennent fougueux et mes mains vont se réfugier dans ses cheveux pour accentuer ce moment privilégié. Je me perds sous ses caresses et mon esprit se laisse complètement saisir par ce rapprochement. Et puis nos lèvres se détachent, je ne peux m'empêcher de laisser échapper un léger grognement de frustration. Mon regard s'ancre dans le sien, je vois qu'il attend mon accord pour aller plus loin. Je t'ai pas demandé d'arrêter. Je n'ai même pas finit ma phrase que ma bouche est déjà sur la sienne de peur qu'elle puisse disparaitre. Ma langue se faufile entre ses lèvres tandis que mes mains se faufilent sous son t-shirt pour le lui retirer. Il retire le mien presque aussitôt et nous nous retrouvons peau contre peau en un rien de temps.

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