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You're safe. Casey

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Isaiha venait de terminer de se faire soigner et grognait contre la douleur provoquée par ses blessures. Il savait pertinemment qu’une fois à l’appartement, il s’occuperait d’elles beaucoup mieux que tous ces médecins trop pressés de parer au plus urgent. Dans un sens, il comprenait très bien qu’il n’était qu’un patient peu important car ses blessures étaient superficielles mise à part sur son avant-bras droit mais de l’autre, il préférait de loin la médecine naturelle à celle chimique. Il s’apprêtait à quitter un couloir lorsqu’il entendit vaguement deux hommes parler de sa sœur jumelle. Isaiha fronça les sourcils. Quelle était cette histoire de Casey en petite culotte à la Winthrop House ? Sur le moment, le jeune amish n’avait eu qu’une seule idée en tête : aller frapper ces deux vauriens qui osaient colporter des propos douteux sur sa sœur, la prunelle de ses yeux. Il se sentait furieux mais se força à se calmer. La violence n’avait jamais rien résolu et il était tout simplement un non violent à la base. Tout de même… pour une fois dans sa vie, il eut envie de frapper quelqu’un. A la place, il s’éloigna rapidement de ce fameux couloir, partant à la recherche de sa sœur qu’il retrouva sur un brancard, un étage plus bas. « CASEY ! » s’écria-t-il avant de courir vers elle pour la prendre dans ses bras, trop heureux de la savoir saine et sauve. « Comment vas-tu ? Tu n’as rien ?! » demanda-t-il dans leur langue maternelle avant de se rendre compte d’un détail. « Mais t’es en petite culotte ?! » s’étonna-t-il en ôta son T-shirt pour le lui tendre. « Mets ça de suite, tu n’es pas en tenue correcte » dit-il d’un ton autoritaire. Qu’il soit torse nu, lui par contre, ça ne le gênait pas.



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Tout s'est passé vite, très vite, peut être même un peu trop vite. Mais au moins, avec tout ça, j'ai décuvé à vitesse grand V et la perfusion que m'ont mis les infirmières aident quand même un peu, je dois bien l'avouer. Allonger sur le brancard, le drap sur le corps, je regarde le plafond. J'espère que Maxence va bien et que Meleya s'occupe bien de lui. Oui, oui, attention Meleya, si tu fais bobo à mon Maxou, je vais te mettre la fessée ! Une voix me fait sursauter et quand je vois mon frère, je souris largement. " Isaaaa ! " Je le regarde de partout après avoir écrasé mes lèvres sur sa joue. " Non j'ai rien du tout. J'ai pas pris feu " Pourtant j'étais complètement bourrée quoi... " Et toi ? " M'inquiétais-je rapidement. Je le regarde de partout et ça à l'heure d'aller. Je l'espère, je l'espère vraiment parce que sinon, ça va être la fin du monde. Je peux pas vivre sans mon gros doudou attitré moi... Je l'écoute et me regarde. Merde, j'ai laissé tombé le drap. " Non mais j'ai le drap ! " Lançais-je pour me défendre mais rien à faire, il me file son t-shirt que j'enfile. " Maxence m'avait prêté son t-shirt mais il a un peu brûlé et tu vois, là, il m'a un petit peu collé à la peau " Soufflais-je en montrant mon ventre. " Du coup ils ont du le découper pour me soigner et je crois qu'ils ont oublié de me ramener un haut... " Ouai, rien que ça. La grande classe, mon frère m'a vu seins nus quoi.... " Amanda va bien ? " Ne parlons pas de moi, voilà.
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L’adrénaline quittait peu à peu son être à mesure qu’il entendait la voix de Casey. Elle était en vie, saine et sauve, il pouvait respirer tranquillement. Pour le coup, il ne s’offusqua pas de la voir seins nus, il avait tellement d’autre chose à penser -mais sûrement se sentirait-il gêné à un moment ou un autre quand l’intensité du moment redescendrait d’un cran. « Une petite brûlure sur le bras et une bonne intoxication à la fumée mais rien de grave, je survivrai mais la Lowell.. la Lowell a brûlé » répondit-il avec une certaine incrédulité teintée de tristesse. Sa seconde famille avait souffert cette nuit et il ne savait absolument pas ce qui se passerait par la suite. En somme, il était totalement perdu mais au moins, Casey allait bien. « Je suis tellement soulagé que tu ailles bien mais qu’est-ce que tu fichais à la Winthrop House ? » demanda-t-il car si ses souvenirs étaient bons, ce Maxence appartenait à cette confrérie. Sa question était légitime : que faisait-elle en pleine nuit dans une confrérie exclusivement masculine ?! « Je ne sais pas… elle n’était pas avec moi ce soir, je dormais sur le canapé du salon de la Lowell House quand le feu a commencé à ravager la bâtisse » avoua-t-il. Sur le coup, il n’avait pas songé un seul instant à sa petite-amie et il s’en voulait un peu. Il serra à nouveau sa sœur dans ses bras. « J’ai eu si peur quand j’ai entendu que tu faisais partie des blessés » lui confia-t-il.



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Je n'avais même pas pensé à Isaiha en voyant la Lowell brûler ce soir parce que pour moi, il était à la maison. Je veux dire, Maxence n'a pas voulu me ramener à la maison parce qu'on pensait que y aurait mon frère et s'il m'avait vu dans cet état, il m'aurait tué.... Surtout que j'ai vomis comme pas possible, ça l'aurait réveillé et ... Olala, j'en ai mal à la tête rien que d'y penser. " Je sais, j'ai vu... Mais pourquoi t'étais pas à la maison ? " Demandais-je comme si j'allais lui faire la leçon alors que j'étais à moitié à poil - enfin plus maintenant grâce à lui - et franchement pas dans mon état normal. Je lui souris et grimace légèrement. Qu'est-ce que je faisais à la Winthrop ? Je vomissais dans leur toilettes ! Pas sûre qu'il ait vraiment envie d'entendre cette réponse. " J'étais avec Maxence " Mon meilleur ami, le gars le plus gentil au monde que je rêve d'embrasser depuis le bal mais... rien. Et je dois dire qu'avec le départ de Priam, cette envie de Maxence grandit à chaque fois que je le vois. Je crois même que je veux plus avec lui. Mais c'est mal. Bouh, pas bien ! " Faut pas avoir peur.. tu sais très bien que si je faisais partie des blessés c'est que j'étais pas morte... " Soufflais-je légèrement. Non mais je suis sérieuse là ? Qu'est-ce qui m'arrive ? Je lui souris, embrasse sa joue et me décale pour lui laisser de la place. " Tu veux le drap peut être du coup ? " Demandais-je en riant légèrement.
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Ce qu’il faisait à la Lowell House ? Bonne question. Isaiha n’arrivait pas encore trop à se l’avouer qu’il aimait vraiment le campus d’Harvard et surtout l’ambiance chez les violets. « Je lisais un livre pour mon prochain cours de botanique quand je me suis à nouveau endormi sur le canapé du salon. Je crois que personne n’a cherché à me réveiller, ils sont habitués à force » répliqua-t-il avec une petite grimace. Casey avait l’habitude qu’il découche et le pire, c’est que ce n’était même pas pour voir sa petite-amie mais réellement étudier. Amanda lui avait d’ailleurs reproché il y a peu qu’il y passait trop de temps mais il n’arrivait pas à lui faire comprendre qu’il avait l’impression de retrouver une communauté, une appartenance à un groupe. « Tu étais avec Maxence… dans sa chambre.. en pleine nuit… dans cette tenue ? » lui demanda-t-il assez difficilement. Pourtant, malgré cela, il la reprit dans ses bras, trop conscient de la chance qu’il avait qu’elle soit saine et sauve. Le sermon pourrait bien attendre quelques minutes. « Ne parle pas de malheur » grommela-t-il avant de s’assoir à ses côtés sur le brancard. Tout de même, Casey avait un drôle de comportement si bien qu’à la fin, il glissa une main derrière sa nuque pour amener son visage à quelques millimètres du sien : « Tu sens l’alcool… Casey Buchanan, tu as bu ?! » grogna-t-il en la fusillant du regard. Finalement, la peur avait cédé sa place à la protection fraternelle.



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Je l'écoute et acquiesce. Dois-je lui dire que la présidente de sa confrérie s'en est prise à moi il y a quelques mois de ça ? Qu'elle m'a prise de haut et m'a mal parlé pour un malencontreux baiser avec Maxence ? Non, je pense qu'il vaut mieux éviter le pire... " Tu sais que tu peux lire à la maison, au chaud, dans ton lit hein... " Soufflais-je comme si j'étais entrain de lui prouver par A + B que la maison c'était mieux que la Lowell House... J'avais hésité à y entrer puis, j'ai fini par renoncer. Je préfère bien m'intégrer à Harvard avant d'intégrer une confrérie. Chaque chose en son temps. " Mais non ! J'étais habillée au début mais il m'a aidé à enlever ma robe " Lâchais-je de la manière la plus innocente qui soit. Ouai, j'ai renversé de la vodka dessus, je puais à douze kilomètres et il a donc décidé d'enlever ma robe. Avec mon consentement bien sûr ! Faut dire qu'avec Maxence, j'aurais été consentante de tout et n'importe quoi. Un câlin et j'enfilais le haut qu'il me donnait pour lui faire plaisir mais aussi parce que j'ai froid comme ça... Il s'approche de moi, je me recule, ouvrant grand les yeux et je le dévisage rapidement. " Oops " Soufflais-je avec ma petite tête d'ange. " C'est pour ça que j'étais à la Winthrop. Maxence voulait pas que tu me vois comme ça " True story. Je mens pas, jamais cap'tain !
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« Oui je sais bien mais j’aime bien leur salon » avoua-t-il assez penaud. Il aimait l’ambiance qui y régnait car rare étaient les fois où cela ne se finissait pas en un petit concert improvisé ou alors en une séance de dessin. Isaiha aimait cela car de toute sa vie, il n’avait osé exprimer sa fibre artistique. A la Lowell, il n’était pas jugé, c’était même tout le contraire, on le poussait à s’ouvrir davantage, à jouer de l’harmonica, à expérimenter de nouvelles choses. Il adorait cela… c’était devenu tellement vital mais il n’osait pas vraiment le dire à sa sœur de peur de la blesser. La dernière chose qu’il souhaitait, c’était qu’elle s’imagine qu’il s’éloignait d’elle. « PARDON ?! » s’écria-t-il alors que la conversation s’orientait sur sa tenue plus que légère. « Il t’a aidé à enlever ta robe ?! Je vais l’attacher derrière mon cheval et le trainer par terre » grogna-t-il le poing serré. Personne n’avait le droit de déshabiller sa sœur. Casey était une créature fragile, une jeune femme mais elle était comme un ange : asexué. L’idée même qu’elle puisse se donner à un homme le rendait fou de rage car il savait que personne ne serait digne d’elle. Elle était son petit bijou. Néanmoins, Isaiha du se rendre compte d’une chose : elle sentait l’alcool à plein nez et ça aussi, ça le rendait furieux. « Je peux savoir pourquoi tu as bu ?! Tu es totalement ivre ma parole. Est-ce que tu te rends compte de combien cela aurait pu être dangereux pour toi ?! C’est décidé, à partir d’aujourd’hui, tu ne sors plus sans moi » lâcha-t-il d’un ton qui ne souffrait pas beaucoup de contradiction. « Je suis ton frère, le seul homme de la famille alors à présent, tu feras ce que je te dis, quand je te dis »



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" T'aimes pas le notre ? " Casey ou l'art de ne rien comprendre. Faut dire que moi je suis pas tout là... On a un appartement ensemble et il est plus souvent ailleurs qu'à l'appartement et c'est vraiment pas agréable pour moi... Sauf dans ce moment où j'aurais préféré être avec Maxence à la maison qu'à la Winthrop house, bien entendu. Parce que ça n'avait pas été franchement facile de se retrouver dans le brasier et de devoir - tant bien que mal - se sortir de là. J'aurais pu mourir et puis, je me suis dis que c'était vraiment n'importe quoi tout ça. Ils nous critiquent tous, ces grands Américains mais rien n'a fonctionné ce soir et trois maisons ont brûlé. Au final, moyens ou pas, on ne peut réellement rien faire face à une tragédie et je me ferais un plaisir de leur expliquer dans une de mes prochaines vidéos. Mais plus tard, parce que là Isaiha commençait à s'énerver après Maxence et ça, c'était hors de question ! " Hey ! Je te permets pas ! Tu laisses Max tranquille tu veux ! " Lâchais-je en fronçant les sourcils. " Elle était sale ma robe, j'avais renversé quelque chose dessus, ça collait et j'avais froid. Maxence est le plus respectueux des hommes, tu m'entends ? " Ouai, il avait clairement pas réagi à ma poitrine dénudée toute à l'heure alors bon. " Ça aurait pu être dangereux mais ça ne l'a pas été " Lâchais-je simplement en fronçant les sourcils. " Tu vas plus me quitter ? Et tu vas faire comment pour aller à la Lowell ou voir Amanda ? " Demandais-je simplement en le toisant. Ah ouai hein ! J'ai peut être bu comme un puit sans fond mais y en a dans la cabeza de ta petite soeur mon grand. Et puis... Il me parle comme il le faisait avant. Enfin non, il a jamais eu à le faire. " Tu rêves ! " Lâchais-je en colère. " Pars de là ! Maxence va revenir ! " J'étais déçue là. Et en colère. Je suis pas un bébé ok ?
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« Bien sûr que si ! » s’exclama-t-il en secouant la tête. Isaiha ne voulait pas lui donner l’impression qu’il n’aimait pas vivre avec elle. C’était même tout le contraire et Casey se devait de le retenir. « C’est juste que je ne suis pas certain que nos voisins apprécient beaucoup quand je joue de l’harmonica ou de la guitare » expliqua-t-il. La guitare, Isaiha l’apprenait encore ou plutôt, il apprenait à dompter ce nouvel instrument. Ses doigts n’étaient pas encore très agiles mais avec de l’entrainement il espérait pouvoir savoir à en jouer avant la fin de l’année. Toutefois, son premier amour restait l’harmonica. En parlant d’amour, le lowell ne put s’empêcher de s’inquiéter des fréquentations de sa sœur et surtout de ses occupations avec les hommes. Il refusait de laisser à Casey la liberté dont il jouissait avec Amanda. C’était idiot, macho mais c’était plus fort que lui. « Et tu as bu pour te réchauffer peut-être ? » n’hésita-t-il pas une seconde à lui demander sur un ton ironique. Sa sœur se devait d’être exemplaire et surtout se montrer raisonnable et sage. « Je ne connais pas ce Maxence donc pardonne moi de douter de ses motivations envers ma sœur… Et si je dois m’absenter et bien tu resteras sagement à l’appartement, tout simplement ou tu viendras avec moi » décréta-t-il en fronçant les sourcils. Il était hors de question qu’il s’en aille et elle aurait beau tempêter, il ne la laisserait pas à moitié nue dans ce couloir d’hôpital. « Je ne bougerai pas et je compte bien faire sa connaissance !! » dit-il buté en la fusillant du regard. Malheureusement pour lui, être en froid avec sa sœur n’était pas la chose qu’il appréciait le plus et encore moins de voir cette déception dans son si joli regard. « Casey… je m’inquiète juste pour toi. Les hommes… ils n’ont pas la retenue des amish ni leur côté respectueux des femmes. Ils veulent tous arriver à leur fin et je m’inquiète pour toi. Je ne veux pas qu’on te brise le cœur »



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" On se fiche bien de ce que nos voisins pensent " Soufflais-je simplement. Je commençais à croire qu'Isaiha n'aimait pas vivre avec moi, qu'il se sentait presque obligé de vivre avec moi et ça, ça me faisait sacrément mal au coeur quand on voit la complicité qu'on avait à l'époque. J'ai l'impression d'avoir perdu mon frère et c'est douloureux... J'aurais peut être du en profiter et pleurer parce que lorsqu'il redevient 'lui même', j'ai presque envie qu'il parte. Ouai, carrément quoi ! Il m'accuse, me pose des questions auxquelles je ne veux pas répondre. " J'ai bu parce que j'avais envie d'oublier que Priam reviendrait jamais " Lâchais-je simplement en le défiant du regard. S'il pensait que je n'en avais rien eu à faire du jeune Dunster, il se mettait le doigt dans l'oeil et tout ce qui avec. J'allais très mal suite à ce départ mais je n'avais pas le choix. Et quand on a pas le choix, on fait avec, ce que je faisais à l'heure actuelle. Je souffrais en silence et j'essayais de décompresser au maximum, ce qui était franchement difficile. " Oui voilà, laisses moi à l'appartement que je puisse faire ce que je veux avec qui je veux, c'est pas comme si ça allait changer quelque chose " Lançais-je méchamment. Il m'avait laissé à l'appartement l'autre fois. Il était parti bosser, Priam s'était pointé et c'est passé ce qu'il s'est passé. Je ne regrette rien, pas une seule seconde de ce moment charnel avec lui, loin de là même. " Tu rêves ! Tu pars ! Oust ! " Râlais-je en poussant mon frère à l'aide de mes mains et de ma force de mouche. Sans compter que j'étais fatiguée et que je n'avais aucune envie de me battre avec lui ou avec qui que ce soit même. Je voulais juste être tranquille quoi. Être tranquille et attendre Maxence. Et déprimer. Je tourne le visage pour ne pas le regarder plus longtemps. Déçue, blessée. J'entends sa voix et soupire. " T'arrives trop tard pour ça Isaiha " Murmurais-je, défaitiste comme jamais. Il arrive beaucoup trop tard mais je ne lui en veux pas, je ne lui ai parlé de rien, c'est ma faute et seulement ma faute. " J'ai fais l'amour avec Priam. Et il est parti. Je l'ai fais avec lui parce que je le voulais vraiment. Il a pas profité de moi, il était presque à me dire non parce qu'il savait qu'il allait partir. Mais je le voulais. Alors je suis désolée de te décevoir Isaiha, de voir que tu ne connais que des hommes qui ne respectent pas leur compagne et les femmes en général mais moi, je tombe sur les bonnes personnes " Je suis peut être plus douée pour voir qui est un bon citoyen et le différencier d'un con ? Ouai, peut être bien.
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