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the weather reflects what's in my body (carmingham)

Anonymous

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Le coeur qui se décompose un peu plus alors que le temps passe. Et quand il fait sa pseudo révérence, j'ai envie de poser mes mains sur ses épaules et de lever mon genou tellement fort que je vais lui éclater le pif et le défigurer pour les trois semaines à venir. Ouai, j'en suis arrivée à ça avec lui. Je le déteste, il me file la gerbe et je le trouve aussi fort peu ragoutant que son frangin à la con ou bien le rat que cette très chère Méline nous a ramené après la descente des Eliots chez les Mather. Cette fille a vraiment un grain et ça fait peur à voir... Mais c'est ma soeur et je l'aime comme elle est. Parce que ouai, on aime les gens comme ils sont, à moins d'être trop con. " Tu me fatigues " Finis-je par souffler en levant les yeux au ciel. Si seulement il savait que j'avais foutu un joli coup de poing dans la gueule de son frère, que j'avais bien des ambitions avant de rendre définitivement ma belle carte étudiante : défoncer du mather et bien comme il faut. Je voulais les faire couler, les anéantir et tout ce que j'avais pu raconter à Briony ou Wade, les prévenir de la probable attaque de Cole contre leur famille avait eu l'effet escompté. Je m'étais alliée au diable et voilà que le diable décidait de faire cavalier seul. Et face à lui, je tentais de reprendre ma consistance, de lui montrer que j'avais tourné la page alors que c'était pas du tout le cas, ce baiser l'avait montré. Je l'aime et je l'aimerais un bon bout de temps, celui là. On pourra me le faire oublier temporairement mais sur le long terme, j'ai plus de doute. " Non j'ai pas fini Cole. J'ai pas fini et j'aurais jamais fini parce que t'as tout gâché pour ton égo de merde. Tu nous as tué dans l'oeuf et t'es un putain d'hypocrite. Ils penseraient quoi tous ces connards qui ont voté pour toi s'ils apprenaient que tu te tapais une mather ? Ils penseraient quoi de savoir que t'as enfreint la moitié des règles que tu les as tous obligé à signer hein ? Dis moi voir Cole, après les problèmes avec Noah, tu t'es pas dis que tu devrais peut être arrêter de mentir et de bluffer ? " J'étais méchante, terriblement méchante mais mon ton était calme. " Arrête de détruire tout ce que tu touches " Finis-je par souffler en le regardant dans les yeux. " Je te déteste tu vois. Je déteste encore plus que je t'aime et je suis contente. Parce que c'est le bon chemin vers l'indifférence " Lâchais-je sèchement avant de le regarder. " Va soigner ta main et jouer ta victime pleurnicharde comme tu sais si bien le faire " Soufflais-je en tournant le dos et en cherchant Darwin du regard, plus loin. Un sourire à son égard et je me dirigeais vers lui, tournant le dos à l'homme que j'aimais, le laissant comme un con au milieu de cette scène en mouvement, le laissant comme il m'avait laissé il y a quelques temps : démuni et à la rue.
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Y’avait plus cette note amusée, cette touche attendrie, dans son –tu me fatigues-. Il était passé ce temps où mon cinéma et mes caprices de gosse de riche l’amusaient. Là, le show n’était clairement plus à son goût. Et pour sa défense, on venait de manquer de cramer tous les deux, alors le temps de la comédie n’était surement pas bien choisi. Mais je la continuais ma mascarade de mec insupportable, détestable, intouchable. Elle me remercia pour ma fidélité, retrouvant étonnamment son calme. C’est le moment où je devrais le lui retourner, ce merci. Y’avait tellement de choses qu’elle m’avait apporté. Malgré tout. Malgré cette fin chaotique. Et pourtant, je me murais dans ce rôle de gros con dans lequel j’excellais tant. Oscar du meilleur acteur, again. Et ce n’est pas un flot d’applaudissements que je récoltais mais un flot de reproches. Je serrai les dents, laissant ses paroles glisser sur moi, ma mâchoire se crispant sensiblement un peu plus lorsqu’elle aborda le cas de Noah. J’affrontais son regard, m’obligeant à ravaler la rage et la peine que ces mots pouvaient avoir sur moi. J’avais voulu la faire partir, il me semblait être à deux doigts d’y parvenir. Il suffisait de le porte encore un peu, ce masque de connard qui m’allait si bien. « Une chance pour toi que je ne te toucherais plus alors… » répliquai-je quant à ma tendance à détruire tout ce qui passait sous mes doigts. Et la conclusion arriva, s’échappant de ses lèvres, cinglante mais libératrice : elle me détestait, et la haine l’emportait sur l’amour. But atteint. Pas d’au revoir, pas d’adieu. « Oh et là tu ne m’embrasses pas ? » lançai-je avec une ironie narquoise alors qu’elle me tournait le dos et s’éloignait. Mon regard se reporta sur ma main, puis sur les forces de l’ordre… Tant pis pour mon bobo, je retournais à la charge en m’avançant vers eux, malgré leur air exaspéré de me voir revenir dans leur direction. Parce qu’en discours anti mathers j’étais clairement intarissable, et parce que j’étais trop énervé pour jouer, comme elle disait si bien –les victimes pleurnichardes-
 

RP TERMINE
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