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i’ve been thinking too much ( cece )

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La vie nous donne souvent du fils à retordre. Amare le savait un peu trop. Une mère décédée trop tôt, un père absent, une vie de merde jusqu’à qu’on lui donne sa chance de briller. Et puis maintenant, il y a sa « nouvelle » vie. Celle qu’il a choisi. Il montre que sa gentillesse à un prix, que son amour est maudit, et que son contact est dangereux. Mais pour certaines personnes, pour des êtres exceptionnels, il donne sa gentillesse aisément gratuitement, il donne un amour béni et sain, il se laisse approcher sans grogner ni montrer des dents. Comme avec Romy. Comme avec Cecilia. Les deux jeunes femmes sont les plus proches du jeune américain. Elles sont les seules à voir qu’il n’est pas qu’une montagne de défauts, bien qu’elles en sont très bien consciente. Romy encore, voit peut-être son premier amour, celui à qui elle tient encore et toujours, mais Cece. Elle sait de quelle famille il vient, elle sait qui est le frère d’Amare. Sabian. Les deux jeunes hommes sont aussi brisés qu’étranges. Incompréhensible et impossible à capturer. Mais Cece a réussi à les amadouer. Comment ? Il se le demande tous les jours. Mais bon, il a rendez vous avec elle dans une demi heure dans le centre ville et il a encore un joint à la bouche et son pyjama sur lui. Se levant paresseusement et jetant la fin du joint dans la poubelle en métal, il se débarrassa de son bas de pyjama, le laissant en caleçon à se balader dans le couloir pour rejoindre sa salle de bain. Il en avait rien à faire que les gens le voient. Il était pas mannequin pour rien. Son corps est son gagne pain. Après vingt bonnes minutes sous le jet d’eau froide, il en sortit, enfin réveillé, et enfila ses vêtements. La chaleur de Boston le rendait malade. Il frissonnait à cause du vent mais mourrait de chaleur en même temps. Un jean et un débardeur avec une écharpe pour protéger sa gorge, il sortit de la MH et se dirigea vers le Starbuck du campus où il avait rendez vous avec Cece. Une clope à la bouche, il pris sa moto et roula comme un malade, slalomant entre les voitures jusqu’à atteindre sa destination. Même pas un casque, juste ses gants et le voilà dans le petit café, voyant la chevelure blonde de Cecelia. Il vint vers elle et déposa un léger baiser sur sa joue. « Salut Cece. » Il en avait rien à foutre de paraître doux avec elle. Si Sabian était comme un grand frère pour lui, Cece était sa grande soeur. Il aimait passer du temps avec elle, elle ne le jugeait pas pour toutes les conneries qu’il faisait, pour les filles qu’il utilisait, ni pour son vocabulaire de charretier.


@Cecilia Von Liechtenstein
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Si la vie te donnait un millier de raisons de te faire chier, il fallait que tu contre-attaques avec un millier de raisons de sourire dans les moments les plus difficiles. Si ces derniers temps, je me focusais à jouer mon rôle de princesse héritière, prenant la pause pour la caméra, m'affichant avec Andrew pour promouvoir notre image de royaux qui allait se marier dieu sait quand mais au fond de moi, je ne disais pas non à prendre une pause de porter ce masque pour redevenir moi-même une journée, tout le monde avait le droit à une petite pause. Si son appel avait été comme un matin de Noël dans ma vie, je voudrais voir mon téléphone vibrer sans arrêt avec son nom à l'afficheur. Amare. J'adorais ce type, il était un ami extraordinaire, un vrai ange gardien et surtout, mon coeur ne pouvait pas s'empêcher de s'affoler à chaque fois que j'étais en sa compagnie, tout simplement parce que son nom de famille était Lindley. Oui, le même Lindley qui servait de nom de famille au plus grand psychopathe qui était rentré dans ma vie avant de me faire tomber follement amoureuse de lui. La vie avait voulu nous séparer, laissant une plaie béante dans mon coeur que je devais tenter de recouvrir avec le temps mais bon, une chance que j'avais des distractions qui m'empêchait de broyer du noir et de retomber dans mes habitudes de délinquante. Il m'avait compris autant que l'avait fait son demi-frère alors c'était normal qu'on s'entendait à merveille. Il me rappelait tellement Sabian, la même approche, la même personnalité qui méritait d'être connu avant de porter un jugement trop hâtif. J'attends Amare au Starbucks avec impatience, un livre de Shakespeare, habillée convenablement pour la saison d'automne. J'avais hâte de le revoir et surtout m'excuser de mes absences ces derniers temps. Un léger baiser sur la joue me sortit de mon livre et je souriais: ''Hey Amare! Comment tu va? Ca fait un bail.''. Je rangeais aussitôt le bouquin dans mon sac à main et poussait l'autre café devant lui: ''J'ai pris la peine de le commander avant que tu arrives.''.
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C’est bizarre comment certaines personnes s’imposent à vous comme une roche dans une étendue d’eau. Présente, solide, indétronable. Amare connait peu de personnes comme ça. Romy, Cece, Sabian. Peut-être Ashleigh. Mais c’est tout. Un nombre de personnes limités qui ne seront remplacées pour rien au monde. Il retrouve d’ailleurs l’une d’entre elle dans un café un peu trop populaire à son goût. Vêtu d’un t-shirt blanc, d’un jean noir et de sa veste en cuir de la même couleur qu’il a adopté après son passage à Paris, il rejoint la belle blonde, princesse d’un pays dont il n’arrive pas à prononcer le nom sans faire une faute. Elle est un pilier pour lui. Lors de ses aller-retour à Boston, il avait eu l’occasion de la connaître grâce à son frère. Elle a rapidement imposé sa couleur. Avec elle, il faut sourire, profiter de la vie, et il l’avoue, avec elle, il sourit plus, il fume moins, il prend soin d’elle comme Sabian l’aurait fait. Veillant sur elle sans le moindre répis. Déposant un baiser surprise sur sa joue, il s’annonce à elle. « Ça va bien princesse, et toi ? » S’asseyant en face d’elle, il prit le café qu’elle lui tendait. « Merci. » Prenant un gorgée, réchauffant son corps du vent qui frappait la ville tel un monstre, il la regardait attentivement. Il la voyait souvent dans les journaux, accompagné de ce prince anglais bien différent de son frère. « C’est gentil. » Déposant le gobelet chaud, il demanda à un serveur un cookie de chaque variété. Faisons nous plaisir. « Alors princesse. On oublie mon frère dans les bras d’un prince de pacotille ? » Pas besoin de passer par quatre chemins avec Amare. Droit au but, c’est beaucoup mieux. Mais par contre, l’inverse est incompatible. « Désolé si je suis direct. Mais bon, j’ai Sabian d’un côté et toi de l’autre. Autant dire que j’en entend parler quand il passe un coup de fils tous les 36 du mois. »
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Si mon illustre soeur jumelle avait ses fréquentations dont je ne me mêlais pas, je savais qu'elle pouvait juger les miennes mais elle était si différente de moi. J'aimais bien sortir de l'ordinaire, m'entourer de personnes qui pouvait me comprendre et surtout qui savait définir la vraie Cecilia. Amare faisait parti de ses personnes. Il était sympa, un côté à la bad boy qui me rappelait son frangin, l'homme qui faisait battre chaque partie de mon corps quand il posait son regard sur moi, qui me rendait dingue simplement à cause de son attitude de merde mais qu'au fond de lui, se trouvait un homme merveilleux qui méritait simplement d'être compris et aimer, il était rentré dans ma vie comme un coup de vent et la douleur de notre séparation à l'aéroport était toujours vive, si seulement je pourrais avoir un signe qu'on allait se revoir un jour, j'étais tombé amoureuse seulement 2x fois dans ma vie, Ael et lui, mais l'amour que j'éprouvais pour Sabian n'était pas simple. Il était dur, compliqué et complètement dévastateur au point d'en souffrir dans le plus profond de mon âme mais je l'aimais Sabian, rien n'allait changer sa. J'avais hâte de passer cette journée avec Amare, je me sentais si bien avec lui. Je faisais à croire de lui donner un regard mauvais quand il m'appelait princesse, je ne pouvais pas lui en vouloir, c'était véridique: ''Je fais beaucoup mieux depuis que tu es là.'' . C'était si apaisant pour l'esprit de se retrouver avec quelqu'un de normal, je pouvais ranger les révérences, les bonnes manières princesse, respirer quoi. Je buvais mon café, me préparant à tout et sa question me faisait un peu mal au coeur, je lui souriais et lui répondait au tac: ''Sans ton frangin, je n'ai plus rien. Je ne peux plus aimer, alors je dois continuer d'avancer en espérant qu'un jour, je pourrais le revoir.''. J'étais fiancée à contrecoeur, il le savait bien. Je croquais dans ma pâtisserie et riait: ''Tu n'as pas à t'excuser, au moins il t'appelle! Comment il va d'ailleurs?''.
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Amare aime bien avoir des amis complètement différents. Il n’en a pas un qui ressemble à l’autre et celle qui se démarque bien des autres, c’est Cecilia. Elle est une princesse, une vraie fille, un grande blonde élancée, gracieuse et délicate. En clair, son total opposé et pourtant, ils sont très proches. Depuis son retour à Boston, les deux se voient assez souvent. Leur point commun est évident : Sabian. Le frère adoptif d’Amare les a réunis bien avant qu’il ne disparaisse. Quand Amare est partis, les deux jeunes gens se connaissaient déjà. Des meilleurs amis que rien n’a pu séparer. Mais l’amour s’en est mêlé et depuis, c’est le chaos. « C’est cool de l’entendre. T’es bien une des seules personnes qui m’ont manqué lors de mon absence. » Et c’est vrai. Cecilia l’accepte comme il est, elle n’essaye pas de le changer, de le manipuler, elle l’aime comme il est, dans toute sa connerie et avec son côté sociopathe. Elle l’aime comme il est et c’est ce qu’il aime le plus chez elle. Mis à part ses longues jambes interminables. « Tu vas le revoir Cece. Et s’il n’appelle pas, c’est qu’il sait que ça ferait plus de mal que de bien. » Il but un peu de sa boisson, un peu mal à l’aise pour une fois face à une princesse en deuil d’un amour perdu. « Il va bien. Il cherche encore sa famille biologique. » Il se sent coupable parfois d’avoir pu connaître sa mère et de savoir qui est son père alors que Sabian a toujours eut ce vide face à leur absence. Il ne pensait qu’à ça quand il l’a rencontré chez les Lindley. « J’aimerais l’aider mais j’ai toujours su qui était mes parents alors je ne saurais pas par où commencer. Je voulais lui donner de l’argent mais il refuse ce con. » Il a enfin les moyens de l’aider mais Sabian et sa fierté sont indissociables. « Dis moi ? Si Sabian ne revient pas, tu vas vraiment te marier à ce gars là ? » Il faut qu’il sache parce que dans le cas contraire, il ne sait pas comment il pourra préparer Sabian si ce dernier veut retourner à Boston.
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Le côté princesse était toujours présent, c'est sûr, c'était un côté de moi qui allait toujours être présent mais aussi, je le faisais seulement pour sauver les apparences. Je détestais ce statut mais je faisais comme si de rien était. Sabian avait toujours détester mon statut, il avait fait de moi sa princesse rebelle et mon dieu, qu'elle me manquait cette Cece là. Une chance qu'il y avait des personnes qu'Amare pour me rappeler qui j'étais. Oui Ariana était la personne la plus importante de ma vie mais j'avais besoin de certaines personnes qui était là pour me combler, je ne parlais pas du plan physique mais qui me comblait spirituellement. J'étais prête à passer un super moment et surtout de ranger mon côté princesse le temps qu'il faut pour partir à l'aventure avec Amare si il le fallait. Je riais à son propos: ''Oh mais je suis honorée, j'avais besoin de te voir Amare.''. Être en contact avec les Lindley, c'était un besoin vital. Il me marquait, me chamboulait et donnait un nouveau souffle à ma vie. Je l'adorais pour ce qui l'était, il était pas là à me traiter comme une merde et surtout, les apparences princières, il s'en foutait, il m'aimait pour ce que j'étais et cela était rafraîchissant. Je souriais en coin, un peu triste mais comprenant entièrement sa réponse: ''Je veux bien te donner le bénéfice du doute mais son silence me tue à petit feu Amare, je veux seulement savoir qu'il est heureux quoi.''. Je hochais la tête, sa quête continuait et c'était ce qui comptait le plus, qu'il obtient les réponses à ses questions. Je continuais de manger ma pâtisserie, je réussissais à rire malgré la bouche pleine. J'avais et lui dit: ''Tu es vraiment surpris qu'il refuse? Plus tête de mule que lui tu meurs.''. La question qui tue, c'était imaginable, de penser à sa mais je refusais de penser à sa pour le moment. ''Je ne peux pas le prédire. Si Sabian ne revient pas, j'aurais probablement perdu le plus grand amour de ma vie. Je devrais probablement l'épouser à moins d'un foutu miracle. Dieu merci que j'y crois.''.
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Faut être un idiot de première pour ne pas voir qu’Amare est le dernier des mecs à présenter à sa famille, à ses petites copines toutes mignonnes. Mais Sabian, il a assez confiance envers le jeune homme pour le laisser s’approcher de Cece. En même temps, Amare savait pertinemment que s’il touchait à Cece, il se prendrait la raclée de sa vie et s’en souviendrait jusqu’à sa mort sans doute. Alors Cece, elle fera à tout jamais partie des filles qu’il ne touchera pas, des filles qui ont réussi à l’étourdir autrement que par son corps de rêve. C’est une amie, une si bonne amie qu’il sait qu’il peut lui dire que son frère lui manque, que sa vie prend un tournant inattendu. Il pose sa main sur la sienne, bien content qu’elle partage les mêmes sentiments que lui à son égard. Les deux sont presque parents à force. Ils savent énormément de choses l’un sur l’autre. Amare ne dit pas forcément tout, mais Cece a réussi à déchiffrer le jeune homme un bon nombre de fois. Et lui de même. « Je sais Cece. Crois moi si je pouvais, je t’aurais déjà dit tout ce que je sais. Mais je ne sais rien. A part qu’il les cherche. » Et ce n’est pas forcément signe de bonheur chez lui. Chez n’importe qui d’ailleurs. « J’avoue. Tu marques un point. Ce gars a une tête plus dure qu’un diamant brut. » dit-il en riant faiblement. Le métisse ne riait pas souvent mais lorsqu’il le faisait, c’était clair, sincère, pur. Il le faisait lorsque son coeur le lui permettait, lorsque l’occasion était propice et lorsque la personne en face de lui était de confiance. Jusqu’à présent, sa confiance n’a jamais été brisée et il prit pour garder cela intact. Il lui posa la question par rapport à Andrew, ce prince anglais qui avait sa main dans la sienne sur bon nombre de photos. « Tu auras perdu l’amour de ta vie. Je ne sais pas si un jour je pourrais parler comme ça. Quoi qu’avec Romy, j’aurais pu le dire. » Il n’a pas honte de dire que la brune a été la femme qu’il a le plus aimer, même s’ils étaient jeunes et inconscient à l’époque. « Si tu l’épouses, je promet de m’occuper de Sabian. Mais fait le pour une bonne raison et pas juste parce que Sabian ne revient pas. Je veux te voir heureuse blondie. » Il y tient. La princesse est une bonne personne et c’est rare de dire ça à propos d’une personne royale qui a littéralement un pays à ses pieds. « De toute façon, il est censé donné des nouvelles à Noël. Je te tiendrais au courant à ce moment là. » Il commanda une autre tasse de son café chic et reprit une part de pâtisserie pour la jeune femme. « T’as vraiment besoin de te détendre chère amie. Une belle part de tarte ne te sera certainement pas refusé avec moi. »
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Je savais que ce n'était pas Sabian que j'avais en face de moi mais bordel que je remerciais Dieu que s'y il avait dû partir de ma vie, un ange gardien m'avait été donné en retour avec la présence d'Amare. Il était un des seuls qui m'empêchait de devenir folle ici, je savais que je pouvais compter sur lui pour me botter les fesses, me faire revenir à la raison et surtout de me donner des conseils comme un frère le ferait pour sa soeur et surtout, il me comprenait mieux que qui compte, excepté son demi-frère quoi. Sa main se posait sur la mienne, mon regard se posait dans le sien, comme si je tentais de déceler une réponse qu'il me cachait, comme si il avait un secret à me dire même si pour être honnête, je ne savais pas comment se passait sa communication avec Sabian, je le remerciais simplement de me dire ce qu'il savait, allégeant mon coeur un peu de savoir qu'il allait bien mais tourmentant mes esprits sur ce qu'il faisait en Europe, en espérant qu'il soit toujours le même quoi. ''Tu en fais déjà beaucoup pour moi, Amare. Je sais bien que tu me cacherais rien sur lui et je t'adore pour sa.''. Je tapotais sa main, compatissante avant de reprendre mon café entre mes mains et d'en boire, comme si cela aidait la recette pour guérir les blessures de mon âme. Je souriais, il savait que j'avais raison, plus con et tête enflé que Sabian tu meurs, il était imbattable dans sa catégorie, il est bien unique dans son genre. Il devait me remonter le morale ou le goût de pleurer? Je le regardais , la mine basse: ',Je te souhaite jamais de vivre ce sentiment d'abandon et de souffrance Amare.''. Je finissais d'engloutir ma pâtisserie, parler avec l'émotion m'ouvrait l'appétit, après mon énorme bouchée, je lui répondis en le regardant dans les yeux: ''Tu dois me le promettre Amare, je veux que tu me promets aujourd'hui dans ce café que tu prendras soin de lui, que tu veilleras aucune petite salope le fasse souffrir, qu'il soit heureux et que mon amour pour lui sera éternel même si la vie ne veut pas qu'on soit ensemble. J'essaie d'être heureuse Amare, je te le jure mais sans lui, comment on définit le bonheur?''. Je devais sonner tellement dépressive à ses oreilles mais c'était vrai. Noël? C'est parfait, il allait faire son cadeau de Noël à son frangin, il avait un coeur malgré ses allures de mec dur et intouchable. Je riais, il avait raison: ''Je sais mais sa risque de tomber dans mes fesses, un autre morceau de tarte mais je t'en pris, vas-y. Assez parler de moi, je veux savoir ce qui passe dans ta vie, j'ai manqué un bout?''.
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Parfois, il est plus facile de se confier à des étrangers. Mais Amare n’est pas un étranger pour la blonde. Il est le frère de l’homme qu’elle, l’ami dont elle a besoin dès qu’elle ne va pas bien. Et elle est la même chose pour lui. Amare n’a qu’une meilleure amie, Romy, mais Cece prétend aussi à ce titre tellement ils sont proches l’un de l’autre. Leur proximité, en dehors du fait qu’ils partagent un être exceptionnel, vient aussi du fait qu’ils ont su s’apprivoiser petit à petit. Qu’ils se sont découverts et ouverts l’un à l’autre. Parfois, il lui parle de Romy, parfois il lui parle de sa mère. Elle sait beaucoup de chose sur lui. Il garde toujours une part de mystère, toujours secret, mais la pression peut se faire de plus en plus forte chez Amare. Il le ressent souvent cette impression d’avoir toujours à prouver quelque chose. Il sourit aux mots de la jeune femme. Sa main dans la sienne, il sent la gratitude qu’elle éprouve pour lui. Il lui permet d’être toujours connecté à Sabian d’une certaine manière et c’est le plus beau cadeau qu’il puisse lui faire. Elle reprit son café et il pesta sur son frère. Il pesta sur lui et ne comprenait pas son désarroi, n’ayant jamais eu à l’expérimenter comme lui, ou Romy. Sa mère était malade alors il a su dès le début qu’elle ne l’avait pas abandonné, qu’elle n’avait pas eut le choix, réellement. « Ne jamais dire jamais. Je réussi à échapper à ça, en ne m’attachant pas. C’est simple. » Et triste à dire. Il sait qu’il vivra seul s’il ne s’ouvre pas un peu aux autres. Mais il préfère la solitude à une vie de souffrance. Amare est fort, il peut vivre seul, il l’a fait durant deux ans et ne s’est pas plaint une seconde. Alors non, il vivra seul et à peine heureux, mais au moins, il ne souffrira pas. « Je te promet Cece. Mais autant que tu veuilles son bonheur, lui, il veut le tient. Alors tu devras découvrir comment être heureuse sans lui, malgré tout. Il n’est pas partie pour te retrouver en mille morceaux. » Il est arrivé au bon moment Amare. Au moment où sa vie reprenait un semblant de normalité, mais en même temps, au moment où elle doutait le plus. Il lui proposa une autre pâtisserie, elle pouvait se l’accorder. « Connerie. Tes fesses sont bien trop musclé pour ça. » Il but un peu de son café, mordit dans sa part de tarte et réfléchis un peu à ce qu’il pouvait bien lui dire. « Alors, j’ai beaucoup de contrats pour la fin d’année qui arrivent alors attend toi à me voir sur beaucoup de panneaux publicitaires. Et puis, en gros pas grand chose. Je couche à droite et à gauche, m’amuse chez les Mather et vit ma vie d’étudiant. » Il a une vie à peu près normale pour le moment. Pas d’embrouille, pas de soucis. « Oh et mon père veut qu’on passe du temps ensemble mais je l’ai envoyé paitre. »
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Pour ce qui était le cas de Sabian, est-ce qu'il y aurait vraiment quelqu'un qui pourrait me cacher un truc sur l'amour de ma vie? Peut-être que certains pourraient penser que j'étais trop sensible pour connaître la vérité sur ses actions mais j'en avais bavé dans le passé. Si tout le monde avait su ce que j'avais subi depuis mon viol au Liechtenstein, il verrait que la petite Cece était capable d'en prendre sauf que Sabian avait chamboulé ma vie, disparu de la carte mais heureusement qu'il y avait un membre de la famille qui était tout pour moi, un vrai ange gardien ce Amare. Il me permettait de rester moi-même, de s'assurer que je ne devienne pas folle dans ce monde qui pouvait m'être si familier et inconnu à la fois. Je riais légèrement: ''Voilà un de mes problèmes, je m'attache si facilement à quelqu'un qui m'offre ce que je veux, qui me fait sentir libre et invincible, au risque d'en souffrir.''. Même si il était plus jeune que moi, il était rempli de sagesse. Ces dernières paroles, je refusais de les assimiler, c'était la pure vérité, je voudrais lui crier à pleine poumons que si j'étais une merde en ce moment dans ma tête, c'était de sa faute à lui, à ce psycopathe au regard de feu qu'on avait en commun mais si je voulais que son bonheur, il fallait être réciproque: ''Tu as raison mon cher, mais c'est difficile. Je suis persuadé qu'il m'a déjà oublier dans les bras d'une pure inconnue qui aura poser les yeux sur lui en croyant qu'elle pourra croire à l'amour avec Sabian même si pour lui, c'est le moyen de s'exprimer, de combler un besoin...''. Bordel qu'il fallait que j'arrête de me torturer avec sa, j'allais devenir dingue comme Harley Quinn. Je continuais de bouffer ma pâtisserie, rigolant: ''J'avoue que mes fesses méritent alors un peu d'amour sucré.''. Fini de parler de moi et de mon doute le plus cru, au tour de prendre des nouvelles de Amare. Je hochais la tête, c'était la facilité, tout ce que le monde voulait après tout. ''Wow, c'est vrai que je suis en compagnie d'un mannequin de calibre Dolce & Gabana ici. C'est bien, j'ai de plus en plus envie de venir chez les Mathers...Plus que j'y pense, peut-être que ma place est parmi vous. Et tu va pas le regretter de ne pas le voir ton père?''. Je lui en voulais pas sur ce point, mon paternel était mort dans mon livre à moi pour le sale coup qu'il avait osé me faire.
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