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“Ce qui importe, ce n'est pas le voyage, c'est celui avec lequel on voyage.”Jaley
Je le regardais de mes grands yeux clairs. Il était beau, ainsi détendu. On aurait dit que ces épaules ne transportaient plus le poids du monde et que désormais il était pleinement heureux. Je sais, que je vais dire cela d’un air égoïste, mais j’espérais que ce bonheur soit un peu grâce à moi finalement, que dans un coin de sa tête il est bien à mes côtés. Je démarre la voiture et lorsque ces lippes viennent sur les miennes, je les épouse parfaitement en infiltrant ma muqueuse entre ces chaires de manière à prolonger cet échange qui me paraissait bien trop court à mon goût. Je le vois s’installer comme il faut, et poser sa main sur ma cuisse pour qu’ensuite je prenne l’initiative de démarrer la voiture et de conduire dans un rythme plutôt léger. Je mettais en fonction le GPS, histoire de ne pas me tromper de route mais également d’arriver à l’heure au chalet. Il faut dire que j’avais une heure précise et que c’était déjà tout préparé. Mon regard, quelques fois voyage sur le corps endormit de mon tendre amour, il est là bien confortablement installé sur le siège. Je pouvais entendre sa respiration m’infirmer qu’il dormait bien. Conscient que nous nous étions levés un peu trop tôt et qu’évidemment je n’allais pas lui interdire de se reposer davantage. La radio allumée, j’écoutais attentivement les informations ainsi qu’en valsant sur les stations de musiques qui m’incitaient à tapoter le volant de mes doigts. Nous allons passer une excellente semaine, loin de tout le monde, nous et uniquement nous. Après une heure de route, je remarquais une station d’essence. Je décidais de me garer pour faire le plein et d’acheter au moins six paquets de cigarettes et quelques bouteilles d’alcools. Lui et moi, savions comment nous étions en soirée et peut-être que nous pourrions nous lâcher encore plus grâce à ça, bien que ne nous manquons guère d’imagination au niveau du sexe. Je revenais bien vite dans la voiture, m’assurant que mon absence n’a pas perturbé Harley, en le connaissant il m’aurait cherché partout en panique total. Surtout que je n’avais pas prévenu que j’allais sortir de cette manière. En reprenant la route, baissant un peu la vitre je prenais une cigarette que je bloquais entre mes lippes en l’allumant. Tirant dessus tout en rejoignant ma destination. Il ne manquait pas grand-chose, mais je ne connaissais absolument pas le lieu ni l’adresse. Je n’y ai jamais mis les pieds. C’est bien la première fois que je sors de ma zone de confort.
Arrivés peu de temps après, je me gare à côté du chalet. Et mes yeux s’agrandissent. C’est magnifique. Le lieu est splendide. Certes, nous étions cachés des grandes villes et même si quelques habitations nous entouraient cela ne risqueraient pas d’anéantir nos moments. Au contraire, peut-être faire de nouvelles rencontres assez éloignés des mentalités des gens de la ville. Je me détache, Harley dors toujours alors pour ne pas le réveiller je décide de prendre les valises et de transporter les sacs dans la demeure où nous résiderions durant un laps de jours. Tout semblait magnifique. L’odeur de la nature venait chatouiller mes narines mais également l’odeur du bois. Le chalet était construit avec cette matière, et malgré tout la décoration était d’une finesse, d’une élégance qu’on ne pouvait douter de ne pas passer de magnifiques soirées. En quelques sortes, j’avais tout prévu. Quelques bougies parfumées, je fis le tour de la maison pour m’assurer qu’il n’y avait personne. Et surtout je gagnais la cuisine où étaient installés comme prévu quelques bonnes assiettes typiques et quelques plats quotidiens que nous avions la coutume de dévorer sans gêne. Rassuré, et abordant un sourire satisfait. Je rejoignais la voiture alors que j’ouvrais la portière passagère là où étais installé Harley qui depuis le début du voyage n’a fait que dormir, en grognant par les virages mais aussi par le bruit et le vent. Je le réveillais doucement. De mes lèvres sur les siennes, et ma main sur sa joue. Je le rassurais en disant que nous étions bien arrivés, et que son cadeau était maintenant en face de lui. Bien que cela ne soit qu’une façade et bien il pouvait déjà avoir un arrière-goût de la chose du moment que lui et moi irons vivre éloigner de tout. Je l’aide à sortir du petit habitacle, et malgré le froid qui frappait mon visage je lui tendis ma main pour que nous rejoignant la demeure. Fermant la voiture à clef, je pénétrais dans le chalet en lui laissant la main libre. Jamais auparavant je n’aurai fait ça, pour personne d’ailleurs. C’était un besoin, de lui montrer que quelques fois partir ainsi, sortir de notre zone de confort, de cette routine ou quotidien nous ferait le plus grand bien. Pour ne pas nous manquer, et oublier les choses que l’autre pourrait faire. Je m’approche lui, il est heureux. Cela se voit sur son visage sur l’expression qu’il laisse paraître. J’entoure sa taille de mes bras en l’incitant à aller visiter avec moi les multiplies pièces que ce chalet avait. Je parle des chambres, des salles de bains. De la salle cinéma où je pensais à lui, quand nous irons voir de merveilleux films d’horreur ou… Autre, installés dans nos sièges l’un contre l’autre et pour seul bruit celle de la nature et du film. Puis vins le moment de la piscine couverte. Moi-même, je restais impressionné. Je me demandais pourquoi nous ne pourrions pas acheter une maison à Boston, et en me rappelant que cela était une mauvaise idée, que cela pour moi ou pour Harley. Il n’est pas préférable d’être dans une telle maison seulement à deux. Nous faisons le tour assez rapidement. Pour revenir dans la salle principale en lui dévoilant les plats qu’une femme ou un homme nous avait chaleureusement préparés. « C’est le premier et dernier repas…Après on devra se débrouiller. » Oui, on sait cuisiner. Honnêtement je ne me débrouille pas mal niveau cuisine. Mais il faut avouer que c’est toujours plus agréable de manger quand c’est les autres qui préparent, enfin bon. Je ne vais pas grogner, puisqu’à tout moment j’avais la disponibilité de téléphoner et de m’assurer que le diner ce soir serait préparé par des mains expertes et pas des mains qui ne savent pas faire grand-chose à ce niveau. Je l’entoure subitement de mes bras, pour le redresser du sol et de faire une place sur le comptoir. Là où je décidais de l’installer pour me loger entre ces cuisses et de plonger mon regard dans le sien. Je marquais cette image dans ma mémoire, en approchant mes lèvres pour les unir aux siennes, de jouer avec sa langue et surtout de passer mes doigts dans ces cheveux en l’obligeant à incliner son visage pour que j’aille accès à sa nuque où je marquais une légère pression tout en créant une marque de possessivité. « On va passer de bons moments ici. Et on pourra revenir en hiver. Quand il y aura de la neige partout. C’est mieux, mais je me suis dit que même à ce temps. Sans neige nous saurions très bien. » Mes mains passent derrière son dos, sous son pull en frôlant sa peau du bout de mes doigts. Mon visage se plaçant sur son torse en ressentant toute sa chaleur se manifester contre la mienne. Je sais que tout cela semble niais, totalement absurde venant d’un homme comme moi. Mais quand on aime comme j’aime Harley, tout nous dépasse et on donne son maximum. On ne fait pas semblant, on veut que cela fonctionne et pour ça. On déplacerait des montagnes si nécessaires. Parce que oui, je suis fou amoureux de cet homme, et je sais que c’est le bon. Que c’est celui qu’il me faut pour le restant de mes jours.
Arrivés peu de temps après, je me gare à côté du chalet. Et mes yeux s’agrandissent. C’est magnifique. Le lieu est splendide. Certes, nous étions cachés des grandes villes et même si quelques habitations nous entouraient cela ne risqueraient pas d’anéantir nos moments. Au contraire, peut-être faire de nouvelles rencontres assez éloignés des mentalités des gens de la ville. Je me détache, Harley dors toujours alors pour ne pas le réveiller je décide de prendre les valises et de transporter les sacs dans la demeure où nous résiderions durant un laps de jours. Tout semblait magnifique. L’odeur de la nature venait chatouiller mes narines mais également l’odeur du bois. Le chalet était construit avec cette matière, et malgré tout la décoration était d’une finesse, d’une élégance qu’on ne pouvait douter de ne pas passer de magnifiques soirées. En quelques sortes, j’avais tout prévu. Quelques bougies parfumées, je fis le tour de la maison pour m’assurer qu’il n’y avait personne. Et surtout je gagnais la cuisine où étaient installés comme prévu quelques bonnes assiettes typiques et quelques plats quotidiens que nous avions la coutume de dévorer sans gêne. Rassuré, et abordant un sourire satisfait. Je rejoignais la voiture alors que j’ouvrais la portière passagère là où étais installé Harley qui depuis le début du voyage n’a fait que dormir, en grognant par les virages mais aussi par le bruit et le vent. Je le réveillais doucement. De mes lèvres sur les siennes, et ma main sur sa joue. Je le rassurais en disant que nous étions bien arrivés, et que son cadeau était maintenant en face de lui. Bien que cela ne soit qu’une façade et bien il pouvait déjà avoir un arrière-goût de la chose du moment que lui et moi irons vivre éloigner de tout. Je l’aide à sortir du petit habitacle, et malgré le froid qui frappait mon visage je lui tendis ma main pour que nous rejoignant la demeure. Fermant la voiture à clef, je pénétrais dans le chalet en lui laissant la main libre. Jamais auparavant je n’aurai fait ça, pour personne d’ailleurs. C’était un besoin, de lui montrer que quelques fois partir ainsi, sortir de notre zone de confort, de cette routine ou quotidien nous ferait le plus grand bien. Pour ne pas nous manquer, et oublier les choses que l’autre pourrait faire. Je m’approche lui, il est heureux. Cela se voit sur son visage sur l’expression qu’il laisse paraître. J’entoure sa taille de mes bras en l’incitant à aller visiter avec moi les multiplies pièces que ce chalet avait. Je parle des chambres, des salles de bains. De la salle cinéma où je pensais à lui, quand nous irons voir de merveilleux films d’horreur ou… Autre, installés dans nos sièges l’un contre l’autre et pour seul bruit celle de la nature et du film. Puis vins le moment de la piscine couverte. Moi-même, je restais impressionné. Je me demandais pourquoi nous ne pourrions pas acheter une maison à Boston, et en me rappelant que cela était une mauvaise idée, que cela pour moi ou pour Harley. Il n’est pas préférable d’être dans une telle maison seulement à deux. Nous faisons le tour assez rapidement. Pour revenir dans la salle principale en lui dévoilant les plats qu’une femme ou un homme nous avait chaleureusement préparés. « C’est le premier et dernier repas…Après on devra se débrouiller. » Oui, on sait cuisiner. Honnêtement je ne me débrouille pas mal niveau cuisine. Mais il faut avouer que c’est toujours plus agréable de manger quand c’est les autres qui préparent, enfin bon. Je ne vais pas grogner, puisqu’à tout moment j’avais la disponibilité de téléphoner et de m’assurer que le diner ce soir serait préparé par des mains expertes et pas des mains qui ne savent pas faire grand-chose à ce niveau. Je l’entoure subitement de mes bras, pour le redresser du sol et de faire une place sur le comptoir. Là où je décidais de l’installer pour me loger entre ces cuisses et de plonger mon regard dans le sien. Je marquais cette image dans ma mémoire, en approchant mes lèvres pour les unir aux siennes, de jouer avec sa langue et surtout de passer mes doigts dans ces cheveux en l’obligeant à incliner son visage pour que j’aille accès à sa nuque où je marquais une légère pression tout en créant une marque de possessivité. « On va passer de bons moments ici. Et on pourra revenir en hiver. Quand il y aura de la neige partout. C’est mieux, mais je me suis dit que même à ce temps. Sans neige nous saurions très bien. » Mes mains passent derrière son dos, sous son pull en frôlant sa peau du bout de mes doigts. Mon visage se plaçant sur son torse en ressentant toute sa chaleur se manifester contre la mienne. Je sais que tout cela semble niais, totalement absurde venant d’un homme comme moi. Mais quand on aime comme j’aime Harley, tout nous dépasse et on donne son maximum. On ne fait pas semblant, on veut que cela fonctionne et pour ça. On déplacerait des montagnes si nécessaires. Parce que oui, je suis fou amoureux de cet homme, et je sais que c’est le bon. Que c’est celui qu’il me faut pour le restant de mes jours.
©S a n i e
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