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en amour sur une échelle de 1 à 10 je crois que je suis tombé de l'échelle

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Mon portable avait vibré, tremblant sur le bois de mon bureau, m’arrachant à mes révisions. Mon regard se détacha de mes notes, car il n’en fallait pas beaucoup plus pour faire vaciller ma fragile concentration. Les cours avaient beau me passionner, j’avais une fâcheuse tendance à me laisser distraire trop facilement. Et lorsque le prénom de Veïa s’afficha sur l’écran de mon portable, s’en était fini de ma séance studieuse. Adios les cours, bonjour ma clochette. La demoiselle s’excusait, elle ajoutait même que je lui manquais et c’était plus fort que moi du coup, fallait que je l’interroge, que je la questionne sur ce qu’elle faisait, large sourire niais aux lèvres, oubliant d’un coup Freud et les autres lectures qui m’attendaient pour la semaine suivante, préférant m’inviter chez la jolie blonde. J’attrapai ma veste, lançai un dernier regard à mon reflet dans le miroir avant de me rappeler que non, je n’allais pas à un rencard. Je lui avais assuré qu’on pouvait être de simples amis, c’était censé tout solutionner entre nous, alors il fallait aussi que je m’y tienne. Je me rappelais bien de l’adresse, celle qu’elle m’avait donné à la fin de l’été, et je pénétrais dans son immeuble avant d’aller sonner à sa porte, bizarrement un peu nerveux mais aussi impatient parce que j’étais complètement sincère quand je lui disais qu’elle m’avait manqué. On s’était revu dans ce bar avec Adriel, mais la soirée avait été un peu étrange alors j’espérais que ce soir, on allait poser les bases de notre nouveau départ purement amical…  
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en amour sur une échelle de 1 à 10 je crois que je suis tombé de l'échelle
— Denys

Je l'avais envoyé ce message, limite j'étais sur le point de tremblé un peu, d'incertitude et d'un peu d'espoir d'avoir une réponse dans les plus bref délais. Je le gardais au creux de mes mains comme s'il était l'objet le plus précieux de l'univers. Je l'avais eu cette petite notification que j'entendais, je ne savais plus combien de secondes c'étaient écoulé entre temps, mais assez pour que j'ai eu le temps de penser de n'avoir jamais de réponse, alors que peut-être aucune minute n'avait été achevé. J'avais ce sourire un peu trop niaiseux sur les lèvres, ce petit quelque chose que je ne pouvais pas me permettre d'avoir. J'ai peut-être oublié les courant nord pendant un moment et cette promesse d'être amical l'un envers l'autre. J'avais ce doute dans ma tête, surtout quand il me proposait de lui même de venir me voir, lorsqu'il me disait que ça faisait mal d'être en froid. J'avais ce stress et ce petit bonheur au creux de mon coeur qui me faisait oublier notre soirée étrange avec Adriel. Qui me faisait oublier qu'au fond je n'avais même pas le droit de repenser à certaine chose. Malgré moi je courrais vers la salle de bain, me regarder un instant dans le miroir, j'avais envie d'être belle, assez belle pour qu'il cède un peu. Mais qu'est-ce que tu fais bon sang Veïa, non t'as pas le droit tu le sais très bien. T'es tellement masochiste que t'es prête à accepter quelque chose qui te plait pas pour ne pas le voir s'envoler un peu trop loin. T'es prête à attendre comme une conne qu'il effleure de nouveau ta main. Un long soupire s'échappait de mes lèvres, je serrais un peu le rebord de l'évier. C'est dur d'avoir l'air tout simplement normal. Je me rassoie dans le salon, je me tortille sur le sofa, je ne sais plus me tenir, je me relève sans cesse. Je tourne en rond jusqu'à la sonnette retentisse. J'ai envie de me précipiter vers la porte, mais je me retiens pour y aller d'un pas lent. J'ouvre la porte et mon coeur palpite un peu sans vraiment m'en rendre compte. Parce que Denys il est si beau surtout parce qu'il ne le sait pas...c'est mon peter pan et il a le bonheur niais d'un enfant. «Hey...» Je le laisse rentré avec un sourire sincère, mon regard le toise comme à mon habitude. Il est maintenant dans mon univers, dans mon petit chez moi. Je l'invite à s'asseoir sur le sofa, je ne sais pas trop comment faire, je joue avec mes mains un peu tendues. «Tu veux quelque chose à boire ? à manger ?» Je devis mon regard vers le plan de travail où repose quelques gâteaux, puis ensuite vers ma tortue qui s'agite dans son terrarium. Il en a des choses que tu ne sais pas sur moi encore.

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Je retins mon souffle jusque ce que la porte s’ouvre, m’attendant presque à ce qu’elle reste close, que la demoiselle ait finalement changé d’avis. Mais c’est avec un sourire nerveux que je saluais la demoiselle qui apparut finalement devant moi. « Hey. » Je levai ma main pour accompagné mon salut d’un petit geste. Une bise ou une accolade aurait surement été quelque chose de plus spontané, mais j’y avais réfléchi dans ma tête avant de venir et il me semblait plus sage de limiter les contacts physiques entre nous. Du moins, jusqu’à ce que cette amitié que je prônais tant soit solide. Je fis quelques pas à l’intérieur, découvrant les yeux en détaillant la pièce. « L’appart d’une fée… » commentai-je avec un petit sourire avant qu’elle n’attira mon attention en me proposant quelque chose à boire ou à manger, désignant des yeux les appétissants gâteaux qui reposaient sur son plan de travail. « C’est toi qui les a fait ? » demandai-je avant d’ajouter : « J’en veux bien un, ils ont l’air délicieux… » Et la dernière fois qu’elle m’avait offert de ses pâtisseries maison, c’était lors de nos retrouvailles surprises au bungalow avant qu’on ne finisse dans le même lit… Non chasse ses souvenirs Den’ ça ne collait pas vraiment avec la tentative d’amitié dans laquelle on se lançait.  
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— Denys

J'ai l'impression de me livrer un combat contre moi même en pensant que je peux être amical avec Denys. Parce quand on y pense on a jamais vraiment été ensemble de cette façon. Oui nous rigolons et nous apprenons à nous connaitre, mais on se retrouve aussi très facilement dans les bras de l'un et de l'autre. Il était enfin chez moi er ce matin me semblait presque irréel. Je ne pensais plus avoir la chance de l'accueillir ou encore moins l'envie de l'inviter ici. J'avais un sourire sur le visage, l'esprit encore dans la brume et le coeur un peu amoché. Je n'avais plus le droit d'être triste ou rancunière envers lui. «Oui c'est moi, j'en prépare très souvent.» Pour ne pas dire à toute les semaines. Je me relève pour lui sortir une assiette pour y déposer la patisserie que je dépose ensuite sur la table basse du salon. «J'espère que ça va te plaire.» Rare sont ceux qui n'aiment pas mes gâteaux et c'est encore plus important pour moi que Denys les aime. L'appartement est impeccable comme à son habitude, il est un petit peu décoré et certaine n'ont pas encore été déballé de leurs boîtes. Certaines choses à Camilo traines dans la pièce rappelant que lui aussi il existe dans mon petit univers. Je n'arrive pas à détacher mon regard de lui. J'ai l'impression que c'est un miracle que je ne l'ai pas encore touché, pas embrassé...Maintenant c'est interdit, encore plus interdit que lorsqu'on c'est retrouvé au bungalow.

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 Mes prunelles détaillèrent l’endroit, bien rangé, à la déco soignée, observant avec une certaine curiosité et un peu de retenue aussi. Je ne voulais pas lui donner l’impression de l’espionner ou de tout scruter. Mais j’étais quand même content qu’elle ait accepté ma visite, depuis notre toute première rencontre je rêvais de découvrir son univers, son chez elle… Et c’est sur les pâtisseries posées non loin que mon regard finit par être attiré, acceptant qu’elle m’en offre un. Elle confirma que c’était du fait maison, et je n’avais pas encore croquer dedans que déjà, la dernière dégustation de ses œuvres culinaires me revint en tête, et surtout ce qui avait suivi cette dégustation, au bungalow, cet été… Je m’assis sur le canapé devant la table basse et saisis le gâteau, prenant un morceau avant de commenter : « Délicieux. Comme ceux de cet été. » Mauvaise idée de remettre ce souvenir sur le tapis surement. D’ailleurs, j’avais à peine laisser s’échapper ces mots de ma bouche que je lui lançai un petit regard gêné. « Enfin, tu sais, ce que tu avais fait pour Lyra… Quand tu étais venue la voir et que… » Tu t’enfonces Den, tu t’enfonces… Je me mordis la lèvre pour me couper, et je finis par croquer à nouveau dans la pâtisserie, histoire de me faire taire… Et puis, pour faire passer mon malaise, je me levai ensuite pour m’approcher du terrarium, intrigué. Observant l’animal qui s’y agitait, pour éviter les sujets gênants, c’était la distraction parfaite : « Elle est à toi ? » demandai-je à la blondinette.  
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— Denys

Vous savez quand vous avez cette impression de déjà vu, cette impression de revivre le même moment. Il y avait encore ce mal à l'aise, cette façon de nous regarder qui malgré tout n'était peut-être pas assez amical. Il c'était emmêlé lui même dans ses mots et dans sa gêne en se rendant compte de ce qu'il disait. Dans mon cas il n'avait pas de rougeurs sur mon visage pour rappeler la gêne, même si elle était un peu présente. Un petit rire nerveux pris place dans l'atmosphère, parce qu'au fond j'aurais tout donné pour retourner à ce fabuleux moment, sauf que je n'avais pas le droit de le dire. Je le gardais au creux de ma tête, des retrouvailles aussi magiques la première rencontre. «Oui je sais...tu auras surement plus de chance de le terminer celui-là.» Je n'étais pas mieux je m'enfonçais aussi dans le malaise et j'avais presque fais exprès en plus. Pas aucun baiser pour l'interrompre cette fois si. Il s'échappa en posant ses yeux sur ma tortue. Elle nous a sauvé pour une fois, par chance. Mais pour qui ? Il n'y avait pas trente choses différentes dans l'appartement pour lui permettre d'avoir une porte de sortie à chaque fois. «Je suis fan de reptiles.» dis-je avec un sourire en coin en regardant le petit animal. S'il avait bien une chose qui me manquait de ma demeure familiale c'est la grande collection que j'avais eu autrefois. «Il me reste que cette tortue à Florence j'avais toute une collection de toutes sortes.» Je ne lui avais jamais parlé de ma vie en Italie, je lui avais évoqué l'erreur de mes parents pour Harlow, mais rien de plus.

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 J’avais jeté moi même le trouble ambiant, alors je ne finissais pas ma phrase, mordant dans le gâteau pour m’empêcher de m’enfoncer davantage. Mais finalement, le clou, c’est Veïa en personne qui l’enfonça avec sa répartie, concluant que cette fois j’aurais davantage de chance de le terminer son gâteau. « Hum.. Ouais ouais… » Me levant, sur mes deux jambes, délaissant le canapé, je fondais vers la tortue, observant le petit animal à travers la paroi vitrée de son habitat. Veïa me raconta alors qu’elle était fan des reptiles. « Toi ? » fis-je, surpris. « Je comprends pourquoi tu rêvais d’embrasser notre crapaud au lac. » rigolai-je alors, confondant au passage reptile et batracien. Mon truc c’était la psycho, pas la science nat’ désolé. Et c’est plus sérieux et plus concentré que j’écoutais la suite de ses confidences, prenant conscience du peu de choses que je savais sur la demoiselle. On ne se connaissait que depuis cet été au final, il nous restait tellement à découvrir l’un de l’autre. Disons que nos bouches avaient pris l’habitude de s’occuper à autre chose qu’à parler lorsqu’on était ensemble. Peut être qu’avec nos résolutions purement amicales, nous allions en découvrir davantage l’un sur l’autre. « De toute sorte ? T’avais quoi comme animaux du coup ? » Et reprenant ensuite, toujours plus curieux : « T’as vécu longtemps à Florence ? »  Je savais pas si c'était une bonne idée, de plonger ainsi tête baissée dans le monde de Veïa, mais c'était ce que je voulais : apprendre à la connaitre, en savoir plus sur elle, pour mieux comprendre aussi cette attraction qu'elle exerçait sur moi, cette attraction contre laquelle je devais lutter si je voulais être crédible dans mon rôle de simple pote.
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— Denys

Je n'avais pratiquement aucune gêne à enfoncer le clou. Au fond de moi je ne voyais pas comment nous pouvions être amical, pour moi c'était un simple mensonge pour essayer de faire autrement. Je suis agacé part tout ça, mais je suis encore là et je serai malheureusement toujours là. Il était surpris que je puisse aimer ce type d'animals. «C'était pas le crapaud que je rêvais d'embrasser...» dis-je en regardant ma tortue d'un air un peu rêveur. Continue dans ce chemin Veïa comme si ça pouvait t'aider. Pourtant c'est vrai je n'aurais pas embrassé ce batracien, je n'avais que de yeux pour lui et sur les belles étoiles qui brillaient dans le ciel. «Elles sont fascinantes tu ne trouve pas ?» Je reprenais la parole de nouveaux en faisant référence à ma tortue. Au premier regard elle pouvait sembler ennuyante et pour moi ce n'était pas du tout le cas. Le sujet changeait, mais il restait toujours avec la même idée derrière la tête et il était question de moi pour le moment. . «Serpent, lézard, caméléon. » Je racontais très peu de choses sur mon passé, sur ma vie en Italie, je l'avais laissée derrière moi en pensant que cela me ferait du bien de partir de zéro sur le continent américain. «Toute ma vie jusqu'a ce que j'arrive ici.» Je le disais comme si c'était un pur hasard, alors que c'était un choix éclairé, une grande étape pour me libérée. Je posais mon regard sur lui à la recherche du siens, à la recherche d'un peu d'espoir et de tendresse. «À ton tour de me dire quelque chose...» Je suis aussi curieuse que toi d'en savoir d'avantage.

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  Si la tortue avait été ma porte de sortie à moi, il semblait que de son côté Veïa, elle, ne souhaitait pas éviter les sujets qui fâchent. Parce que l’allusion à notre délire de crapaud, allusion censée détendre l’atmosphère, ne fit que raviver la tension ambiante lorsque la demoiselle me corrigea en me signifiant que ce n’était pas sur le crapaud qu’elle avait eu envie de poser ses lèvres alors. « Veïa… » soufflai-je simplement, sur un ton mi désolé, mi réprobateur. J’allais pas y arriver, à jouer le jeu du pote, si elle de son côté ne s’y prêtait pas non plus. Alors oui, c’est sur le reptile qu’on se concentra, que mes yeux se fixèrent tout en écoutant mon interlocutrice m’expliquer sa passion pour ce genre d’animaux. « Je préfère les tortues de mer… » confiai-je alors. Souvenir de mes baignades australes. Voir les tortues nager sous soit, assister à une ponte nocturne, ou encore à une éclosion d’œufs, c’était magique. « T’en as déjà vu ? » J’étais surpris en tout cas par ce goût hors norme. Imagine la tête des Cabots si tu ramenais toute ton vivarium d’Italie à la confrérie. Les filles c’était plutôt les chats et les chihuahua normalement leur délire. Mais Veïa n’était définitivement pas comme les autres. C’était surement aussi pour ça qu’elle me plaisait tant. « Tu les as laissé à quelqu’un là bas ? » questionnai-je quant à ses animaux. Je l’interrogeai sur son temps passé dans son pays d’origine et elle me réclama ensuite d’à mon tour, lui dire quelque chose. « Te dire quelque chose ? » rigolai-je, loin de me percevoir comme un sujet de conversation très passionnant. « Je sais pas, dis-moi ce que tu veux savoir. » répondis-je alors, prêt à me prêter à l’exercice.
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— Denys

Il fallait me ramener à l'ordre un peu et il s'en chargeait très bien en prononçant mon nom simplement avec un peu de reproche. Comme une enfant je me sentais mal de me rappeler de certains souvenirs qui me faisaient du bien. «Pardon...» dis-je simplement sans vraiment le regarder pour autant. Dans ma tête je me disais plutôt que c'est lui qui avait commencé sur cette lancée , je n'avais que suivie le chemin qu'il avait commencé à tracer. Je sourie en attendant qu'il préférait dans son cas les tortues de mer. C'est vrai qu'elles sont aussi magnifiques je n'ai jamais eu forcément la chance de les observer c'est ce qui est bien dommage. «Non pas en vrai. Ça pourrait être un de mes prochains objectifs.» Je ne savais pas comment j'allais faire, mais quand je le pourrai j'irai faire un autre voyage, parce que je n'arrive pas à me dire que je pourrai rester encore un long moment à Boston sans bouger. Pas tant que l'atmosphère sera aussi lourde. Je n'avais pas de honte pour mes goûts excentriques, j'ai toujours été différente, même dans ma famille étant la seule blonde j'avais du mal à me retrouver. Je fronçais les sourcils en repensant à l'Italie et à ma demeure là-bas. «Non je les ai vendu, mes parents sont pas aussi fan que moi et ils ont pas le temps de toute façon. » Je voulais avoir une information venant de lui par la suite, il restait étonné et ne savait pas ce qu'il pouvait bien me dire. Ce qu'il ignorait c'est que chaque détail de se personnalité pouvait me fasciné. Il a peut-être oublié qu'en ma présence il n'a pas besoin de réfléchir, à moins que nous ayons perdu cette habilité de se laisser aller, de ne pas penser en la présence de l'un et de l'autre. «C'est quoi ton plus grand rêve ? » Je commençais peut-être un peu trop fort.

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