And every day is like a battle (ADALIE)

“And every day is like a battle"

charlie & adam ★★★

C'est comme une bombe. Ton coeur explose. En mille morceaux. Cette révélation fait tomber Adam de cent étages. Il s'écrase violemment au sol, encore sonné par cette nouvelle. Il reste muet quelques instants, quelques minutes même, face à cet aveu, ô combien difficile à avouer. Cette fois-ci, il comprend tout. Tout s’éclaircit dans son esprit. Il comprend le pourquoi du comment. Il comprend pourquoi Charlie était si réticente de lui confier. Sauf les docteurs et son père sont au courant... et lui. Lui. A cet instant, Adam se sent privilégié. Mais aussi mal à l'aise, après tout ce qu'il a fait à la jeune femme. Il lui a fait mal. Il doit se rattraper. Il veut être là pour soutenir Charlie dans cette terrible épreuve. C'est toujours délicat d'apprendre ce genre de nouvelle, le croate a peur d'être maladroit dans ses mots. Alors, il opte pour les gestes. Doucement, il vient la prendre dans ses bras et la serre contre elle. Il veut lui dire, lui transmettre qu'il sera là pour elle, jusqu'au bout. Adam reste quelques instants ainsi, n'ose pas bouger. Il ferme les yeux, dans l'espoir de les rouvrir et se dire qu'il s'agissait juste d'un mauvais rêve. Sauf que lorsqu'il les ouvre de nouveau, il est toujours dans cet hôpital. Il est toujours avec Charlie. Je... je.. Putain il arrive pas à trouver les mots. Il est plus touché qu'il ne l'imaginait. Charlie est atteinte d'une tumeur au cerveau. Foutue tumeur. Je veux être là pour toi Charlie. Te soutenir, t'épauler, te protéger, me faire pardonner. Je veux être là pour toi comme tu la étais pour moi. Jamais il ne l'oublierait. Ces souvenirs étaient marqués au fer rouge dans son coeur. Les docteurs t'ont affirmé que la tumeur n'allait pas se propager, si tu suivis correctement ton traitement ? Il avait besoin d'être rassuré, il ne voulait pas perdre à nouveau l'un de ses proches.

Adam resta silencieux. J'avais eu beau annoncer ça le plus délicatement possible, en le rassurant tout de suite avec quelques détails et explications, le jeune homme semblait tout même sous le choque. Je le fixais, un peu inquiète et anxieuse à l'idée qu'il ne me regarde plus jamais de la même façon. Après tout j'avais refusé pendant un bon moment d'en parler à mes proches pour cette raison. Par peur que l'on me traite différemment, que l'on soit au petit soin avec moi, comme si j'étais une poupée en porcelaine. Peur que l'on me regarde avec pitié, que l'on se comporte différemment en ma présence. Puis j'avais aussi refusé d'en parler parce que j'avais trop peur de voir les rôles s’inverser. Normalement c'était moi la chirurgienne, le médecin qui s'occupait du patient, celle qui soignait, qui aidait. Et là, j'étais devenue la patiente. Et c'était plutôt difficile de faire le premier pas, et d'aller demander de l'aide. Il m'avait d'ailleurs fallut quelques semaines avant de me décider à rentrer à New York pour en parler à mon père. Alors forcément il avait fallut que le destin me pousse à le dire à Adam, en m'enfermant dans cette salle d'attente avec lui, sinon au jour d'aujourd'hui il ignorerait encore ma maladie. Ça n'avait pas été évident de le lui annoncer, mais il fallait bien avouer que lle savoir dans la confidence me rassurait un peu.Toujours silencieux il finit par me prendre dans ses bras, visiblement trop bouleversé pour dire quoi que ce soit. En même temps ça se comprenait, ce n'était pas évident de trouver les mots dans ce genre de situation. Je savourais silencieusement ce moment, ce contacte qui m'avait tant manqué. Puis il s'éloigna de nouveau, reprenant sa place, tentant de me rassurer, et certainement de se rassurer un peu aussi, en m'annonçant qu'il voulait être là pour moi, comme je l'avais été pour lui par le passé. J'esquissais un sourire, touchée. « T'avais pas vraiment le choix en faite... T'étais déjà là pour moi, tu le savais juste pas. » dis-je en esquissant un sourire amusé. « Je voulais pas te le dire tout de suite, parce que je savais pas comment te le dire... Puis parce que je te faisais un peu la gueule aussi. » ajoutais-je en pouffant de rire avant de conclure avec un petit sourire sincère collé aux lèvres :  « Mais si vraiment j'allais mal je comptais t'appeler en premier. » Oui, parce que jusqu'ici je m'en sortais bien toute seule, mais j'avais toujours prévu de l'appeler en cas de dépression. Il avait toujours été en premier de ma liste, même devant Feryel qui vivait pourtant avec moi. Je savais que je pouvais compter sur lui et ce même s'il m'avait tout de même légèrement brisé le cœur cet été. « Non, les docteurs n'ont rien affirmé. Faut voir comment la tumeur réagit au traitement, puis si elle réduit assez peut-être qu'ils tenteront de me la retirer chirurgicalement. Mon père travail là dessus et c'est l'un des meilleurs du pays, donc... ça devrait aller, pas de soucis à se faire. Puis en attendant je vais bien. C'est le traitement qui me rend malade plus que la tumeur en faite ! » je terminais un pouffant de rire. Il n'y avait pas grand chose de drôle la dedans, si ce n'est peut-être l'ironie de la situation. Sans le traitement je me sentais parfaitement bien, mais il fallait que je le continu, car si en apparence ça allait, sans ces médicaments la tumeur allait rapidement faire son nid et les conséquences pouvaient être terribles. Et pas ''terribles conséquences'' je ne parlais pas de la mort. Non honnêtement, ça, ça ne m'effrayait pas plus que ça. Au contraire d'ailleurs, une part de moi était presque rassurée à l'idée de mourir, de rejoindre ma mère quelques part où il n'y a plus de stresse, d'examen, de conflits etc...Ce qui m'effrayait pas contre c'était de perdre ma carrière à cause de cette tumeur, de perdre la vue, de perdre mes jambes, de  finir en légume coincé dans un lit d'hôpital pour le restant de mes jours. Clairement je ne voulais pas de ça. Je préférais donc risquer ma vie avec un traitement épuisant, et une dangereuse chirurgie, plutôt que de finir dépressive et inutile.

“And every day is like a battle"

charlie & adam ★★★

C'est dans ces moments-là qu'on aimerait de tout coeur remonter le temps et faire les choses autrement. Eviter les erreurs qui brisent les cœurs en silence. Eviter les mensonges envers ceux qu'on aime. Eviter de gâcher son argent inutilement dans des jeux. Ces derniers temps, Adam apprend de ses erreurs. Il essaye d'aller de l'avant et rendre sa vie meilleure, car actuellement, c'est un sacré champs en ruines. Toutes ses bases se sont écroulées, il n'a plus de pilier pour aller de l'avant. Adam a joué avec le feu, avec la vie et a risqué à plusieurs reprise de perdre. Par miracle, la vie semblait lui donner une nouvelle chance. Il s'était réveillé de son coma, contre toute attente. Le croate prenait cela comme un signe de destin. Un signe qui voulait dire : ne gâche pas tout cette fois-ci. Le Katrya allait commencer par Charlie. Il voulait retrouver leur complicité d'antan. Doucement mais sûrement, les deux amis semblent retrouver leurs repères. Il y a de la taquinerie dans l'air, des confidences mais surtout du soutient. Adam écoute d'une oreille attentive la jolie blonde. Il ne la quitte pas du regard. Malgré sa maladie, Charlie restait une femme forte, qui avait cette faculté de voir le positif. Elle arrive même à faire doucement rire le croate en détendant l'atmosphère. Ca lui fait chaud au coeur d'apprendre, que malgré tout, Adam restait le number one sur la liste de Charlie. Il se disait qu'il n'avait pas tout perdu avec elle, qu'il y avait encore une lueur d'espoir. Encore heureux que je reste le premier ! sort-il sur un air taquin. Cela passait toujours mieux, que de le dire d'une voix trop sérieuse. Adam ne savait pas être sérieux, ou alors, c'était vraiment très très rare. Il est rassuré d'entendre que le père de Charlie était l'un des meilleurs chirurgiens du pays. La quincy était entre de bonnes mains. Est-ce que j'ai le droit de t'accompagner à tes traitements ? Il voulait être là pour la jeune femme, mais être tout seul, n'était pas fun. C'était mieux à deux. Adam voulait lui changer les idées, qu'elle ne pense pas à ses soucis, et surtout qu'elle se sente normale, et pas malade. Charlie, il faut que je t'avoue quelque chose aussi... c'était au tour des grandes révélations d'Adam. Il ne voulait plus laisser Charlie dans l'ignorance, elle aussi, avait le droit de savoir la vérité sur sa disparition de l'an dernier. C'était le moment ou jamais de le dire. L'an dernier, je n'étais pas là car... c'est pas facile d'en reparler, ça lui rappelle de mauvais et douloureux souvenirs Car j'ai fait de la prison. Il se pince les lèvres nerveusement. J'ai eu du mal à en parler autour de moi, car je ne voulais pas vous inquiéter. Et voilà, c'était dit.

J'arrivais un peu malgré moi à détendre l'atmosphère, faisant même rire légèrement Adam. Ça me rassurait de voir que le choque de l'annonce était passé et qu'il ne semblait pas me regarder différemment. Enfin de compte, j'aurais du lui dire dès que je l'avais appris début Juin. Peut-être que ça nous aurait évité bien des disputes. Il me taquina un peu et je ne pu m'empêcher de faire de même en lâchant : « Enfin après durant l'été t'as manqué de te faire détrôner par Feryel quand même. » Oui parce que bon, même s'il l'on avait un moment sympa là tout de suite et que l'on se confiaient l'un à l'autre, je n'oubliais pas pour autant cette histoire avec Billie, ce baiser et ce coup de fil qui m'avait vraiment blessé. J’essayais de pardonner parce que je me rendais bien compte que la vie était trop courte pour lui en vouloir pour ça, mais ça restait tout de même dans un coin de ma mémoire. Je secouais lentement la tête lorsqu'il me demanda s'il pouvait m'accompagner durant mes traitement. « non, ya rien d’intéressant à voir. Je suis branchée à une machine et je révise mes cours, ou je dors. Et après je rentre chez moi et je me tord de douleur, je vomis tout ce que je peux vomir.... Donc.... non, tu viendras pas, je vais t’épargner ça. » Je pouffais une fois de plus de rire et pourtant j'étais très sérieuse. Je n'avais en aucune cas envie qu'il ne me vois comme ça. Il me savais malade c'était suffisant. Je préférais que tout ce qui touche à cette maladie reste secret, ainsi il ne me verrait jamais comme étant vraiment malade et ce serait parfait. Puis, puisque l'on était dans le confidence, Adam se lança aussi, timidement il m'expliqua pourquoi il n'était pas là l'an dernier. J’écarquillais malgré moi les yeux. J'avais du mal à y croire. Adam ? En prison ? Ça me semblait impossible. Il faisait tellement bcbg que je ne l'imaginais pas du tout derrière les barreaux. En faite, je ne voyais même pas comment il avait pu finir dans un endroit pareil. « En prison ? » répétais-je choquée. « T'as fais quoi ? » demandais-je enfin, avant de rajouter en plaisantant : « T'as tuer quelqu'un  ? » j'étais sur le point d'ajouter ''avec tes beaux yeux bleu'' mais je préférais me retenir,  pour ne pas passer pour une idiote qui essaie maladroitement de la draguer. Après tout ce n'était ni l'endroit ni moment pour faire ce genre de remarque... puis j'étais bien trop sobre pour sortir ce genre de connerie sans le regretter après.

“And every day is like a battle"

charlie & adam ★★★

Encore heureux qu'il reste le premier. Le savoir permettait à Adam de tenir le coup dans ses moments difficiles. Il savait que malgré toutes les erreurs qu'ils avaient pu commettre dans le passé, il restait encore des personnes qui l'attendait. Il n'était pas seul, il n'avait pas tout perdu. Ses meilleurs amis étaient toujours là pour lui. Charlie aussi. Cela avait le don de réchauffer son coeur. Et en retour, le croate voulait être présent pour les personnes qu'il aimait. C'est pour cela qu'il demande à Charlie s'il avait le droit de l'accompagner lors de ses séances. La femme n'a pas vraiment envie, c'est compréhensible mais une partie d'Adam voulait vraiment être là pour Charlie. Même le teint blafarde à cause de sa maladie, il la trouvait toujours belle. Ce n'était pas ce cancer qui allait les séparer, ils allaient le battre ensemble. T'es sûr ? Il lui demande une dernière fois, et n'insistera pas si elle ne veut pas. C'était son choix, pas le sien, il sera le respecter. Finalement, la conversation dérive sur un tout autre sujet. Adam voulait être honnête envers Charlie. Ne plus se cacher derrière ses mensonges sans fin. Il voulait recommencer sa vie sur de nouvelles bases solides. Et cela, commençait par dire la vérité à Charlie. Rien que la vérité. La stricte vérité. Il lui avoue qu'il avait passé quelques mois en prison. Bien évidement la blonde lui demande les raisons de son séjour en prison. Le Katrya prend son courage à deux mains, prend une grand inspiration avant de se lancer. Non je n'ai tué personne. commence-t-il doucement afin de la rassurer. J'ai comment dire... j'ai un peu trop fait le con avec les jeux d'argent. Faire le con, voilà le qualificatif qui décrivait parfaitement le jeune homme. Un beau petit con. J'ai fréquenté les mauvaises personnes, les dettes se sont accumulées, j'me suis fait prendre, et ils m'ont balancé en prison pour me punir en quelque sorte. Il n'est pas fier de son histoire, croyez le. Adam s'était retrouvé au mauvais endroit au mauvais moment. J'avais peur de vous le dire.. car je ne voulais pas qu'ils s'en prennent à vous tant je n'avais pas régler ses différends. A présent Adam reprenait le droit chemin et avait presque régler ses problèmes d'argent. Je te rassure maintenant ça va mieux, j'essaye de reprendre ma vie en main, et de faire les choses mieux. Pour accompagner ses mots, Adam prend doucement les mains de Charlie dans les siennes. Il la regarde droit dans les yeux. Et ça commence par toi Charlie, j'ai plus envie de faire le con. Ses mots se voulaient sincères et honnêtes. Cette fois-ci, il s'était promis de ne plus faire les mêmes conneries. Est-ce que tu m'accordes une deuxième chance ? Est-ce que tu nous accorde une deuxième chance ?

Sûr ? Pour le moment oui j'étais sûr. Après rien ne me disait si dans quelques temps j'allais regretter ou non d'avoir refuser de l'avoir à mes côtes. « Le jour où j'ai besoin de quelqu'un je t'appelle. » oui voilà, c'était plus raisonnable, on ne sait jamais. Il m'annonça ensuite être allée en prison, et évidemment ma première question fut ''pourquoi ?'' parce que bon, on peut faire de la prison pour tout un tas de chose de nos jours. Je me préparais mentalement à toute les réponses possibles, essayant de me convaincre que je l'aimerais toujours autant et ce même s'il venait m'avouer avoir fait quelque chose de terrible. Adam resterait toujours Adam et ce même les mains tâché de sang. C'était l'une des rares personnes que je me voyais soutenir quelques soit la situation. C'était certainement un peu naïf de ma part, mais oui, si Adam venait à tuer quelqu'un, je serais peut-être la première à l'aider à enterrer le cadavre. Ouais, je l'aimais à ce point, c'était flippant. Je fus tout de même soulagée en l'entendant me dire qu'il avait eu des soucis à cause des jeux d'argent et de mauvaises fréquentation. Oui parce que bon... j'étais pas vraiment en état d'aller enterrer un cadavre maintenant !Je hochais lentement la tête alors qu'il expliquait le fait qu'il ait préféré laisser ses proches dans l'ignorance par peur de représailles. J'aurais certainement fait pareille à sa place. Enfin … j'imagine. Puis il me prient les mains avant d'ajouter un truc trop mignon. Je ne pouvais tout simplement pas lui dire non, puisque de toute façon il y avait bien longtemps que je lui avais accordé une deuxième chance, ma fierté c'était juste mise au milieu, m'empêchant de faire le premier pas pour me réconcilier avec lui. « évidemment que je t'accorde une seconde chance. » dis-je simplement en esquissant un sourire touché. « faudra juste ne plus embrasser Billie. » j'ajoutais ça sur le ton de la plaisanterie, mais au fond je n'en pensais pas moins. Je l'avais encore de travers ce baiser. En faite plus que le fait qu'il l'embrasse c'était surtout le fait qu'il m'ait embrasser devant tout le monde juste avant ça qui m'avait blessé. Il était passé pour gros coureur de jupon et moi j'étais passé pour une conne devant toute ma confrérie. Autant dire que c'était blessant. « Tu vas rester encore longtemps à l'hôpital ? » demandais-je enfin, changeant de sujet, mais bon, mon docteur n'allait pas tarder à venir me chercher pour que je passe mes scans, donc autant que je sache quand  Adam allait sortir pour tout de suite prévoir notre prochaine rencontre.

“And every day is like a battle"

charlie & adam ★★★

Son coeur explose lorsqu'elle lui accorde une seconde chance. Adam est l'homme le plus heureux du monde à cet instant. Et il se fait la promesse de ne pas gâcher sa nouvelle chance. Leur nouvelle chance. Le croate avait fait comprendre à la jolie blonde qu'il sera toujours présent à ses côtés, pour le meilleur, comme pour le pire. Comme quoi, ce moment de faiblesse avait eu le don de les rapprocher. Les deux jeunes gens semblaient avoir remis les compteurs à zéro pour partir sur des nouvelles bases. Un petit sourire naît sur les lèvres d'Adam, lorsque la quincy parle de sa rivale. La jalousie était une jolie preuve d'attachement. D'amour, peut-être ? Qui sait ? Promis, je ne l'embrasserai plus. Ses mots se voulaient sincères et il comptait les honorer. Adam était conscient que ce qu'il avait fait à la pool party était mal. Il avait joué avec le coeur des filles. Il s'était comporté comme le dernier des connards. Et au fond, ce n'était pas ce qu'il était vraiment. Adam n'avait pas un coeur de pierre. Il attendait juste la bonne personne à aimer. Il était encore perdu dans le labyrinthe de l'amour. Un labyrinthe sans fin.

Charlie lui demande ensuite s'il restait encore longtemps à l'hôpital. Les docteurs vont vérifier si mon état est stable et c'est tout. répond-t-il avant d'ajouter Si tu veux, je peux t'attendre et on ira boire un café après ensemble ? En dehors de cet hôpital beaucoup trop triste. propose-t-il avec un sourire, en attendant avec hâte sa réponse.

Il n'embrasserait plus Billie, c'était une bonne nouvelle. J'esquissais malgré moi un petit sourire, contente d'entendre ça et un peu rassurée aussi, de me dire que j'avais moins de concurrence s'il arrêtait de rouler des patins à Billie. Je changeais ensuite de sujet, lui demandant combien de temps il allait rester ici, à l'hôpital. Il m'assura que ses docteurs voulaient simplement vérifier si son état était stable et m'invita même à aller voir un café une fois mes scans terminé.  « Je suis un peu habillé comme une caca là. » dis-je en pouffant de rire.  « Mais tu peux venir boire un café à la maison si tu veux ? Feryel est en cours normalement, donc on pourra continuer de discuter tranquillement. » Au même moment une infirmière entrait dans la salle d'attente, appelant mon nom. Je me levais donc de mon siège, souriant à Adam avant d'ajouter :  « Je devrais pas en avoir pour longtemps, donc je t'attendrais devant l'hôpital si tu veux. Sinon envoie moi un sms, que j'attende pas pour rien. » Puis je partais avec l'infirmière pour aller passer ces fameux scans.


HJ: c'est ultra court sorry. Je pense que ça clôture plus ou moins le rp. à voir ce que tu voudras jouer par la suite