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► Feat Nienke&Milan
JUKEBOX
La retenue légère, comme une évasion qui ressemblerait à l'évaporation de mon corps et de tout le reste. Mes lèvres posées délicatement sur les siennes, l'embrassant, sans l'embrasser vraiment, je cherche, je crois, l'étourdissement qu'elles m'avaient provoqué la dernière fois. Qu'elle m'avait provoqué à chaque fois. Comme si ce geste servait à nous reconnecter, c'est par là, je crois, que nos sens se mettent à communiquer. Et je sens son odeur, elle me parait familière. Aussi familière que celle des fleurs dans mon jardin intérieur. Ses mains gagnent mes cheveux, un frisson s'allume à la pointe de ma pilosité capilaire, rend électrique toute ma nuque, et descend encore. Comme un courant, entre mes omoplates, sur me colone vertébrale, jusqu'à mes chevilles. Je ne sais pas pourquoi elle a hésité. A fermer les yeux, à me laisser faire. Je me souviens avec une douleur amere de ce qu'elle m'avait demandait dans cette bibliothèque. Et si c'était moi le méchant ? Je ne veux pas être méchant. Je ne suis pas méchant. Mes sourcils se froncent comme pour faire fuire cette pensée et mes lèvres viennent un peu plus s'appuyer sur les siennes. Le contact, je veux le contact. Celui qui faisait qu'avec elle je me sentais parfaitement là, et complètement ailleurs. J'entends mon prénom murmuré, je redresse doucement la tête. Je la regarde avec des yeux différents, moins vides, moins aliénés, plus profond. Je pourrais me liquéfier sur place à tant la regarder. Elle est si belle, mon dieu, comment est-ce possible ? Et sans plus réfléchir, sans plus retenir, sans plus écouter que la vague de chaleur qui vient me claquer de plein fouet, je me jette sur elle. La douce brutalité, ma bouche vient attraper la sienne et l'embrasse pour de vrai. Comme si c'était la première fois, comme si c'était la dernière et qu'il fallait n'en rien rater. Mon corps se colle au sien, j'entends le livre qu'elle tenait dans ses mains tomber au sol et moi, je l'attrape par les hanches. Je la fais grimper sur moi comme si j'étais un arbre, pour l'avoir tout contre mois, pour la serrer dans mes bras. Je l'embrasse avec poésie et fougue, mes lèvres, ma langue, mon souffle, tout vient procéder à cette connexion. Et mes bras enroulés autour de son corps la tienne fermement, l'étouffe presque. Quelques pas en avant, je la plaque au mur. Pour que mes hanches la soutiennent, que mes bras puissent soulever doucement sa robe le long de ses cuisses. Mes mains glissent, se posent dans le bas de son dos. Je l'embrasse comme on mord, je la touche comme on griffe, le souffle haletant, parfois coupé. J'peux bien mourir ici et maintenant, ça n'a pas d'importance.
La retenue légère, comme une évasion qui ressemblerait à l'évaporation de mon corps et de tout le reste. Mes lèvres posées délicatement sur les siennes, l'embrassant, sans l'embrasser vraiment, je cherche, je crois, l'étourdissement qu'elles m'avaient provoqué la dernière fois. Qu'elle m'avait provoqué à chaque fois. Comme si ce geste servait à nous reconnecter, c'est par là, je crois, que nos sens se mettent à communiquer. Et je sens son odeur, elle me parait familière. Aussi familière que celle des fleurs dans mon jardin intérieur. Ses mains gagnent mes cheveux, un frisson s'allume à la pointe de ma pilosité capilaire, rend électrique toute ma nuque, et descend encore. Comme un courant, entre mes omoplates, sur me colone vertébrale, jusqu'à mes chevilles. Je ne sais pas pourquoi elle a hésité. A fermer les yeux, à me laisser faire. Je me souviens avec une douleur amere de ce qu'elle m'avait demandait dans cette bibliothèque. Et si c'était moi le méchant ? Je ne veux pas être méchant. Je ne suis pas méchant. Mes sourcils se froncent comme pour faire fuire cette pensée et mes lèvres viennent un peu plus s'appuyer sur les siennes. Le contact, je veux le contact. Celui qui faisait qu'avec elle je me sentais parfaitement là, et complètement ailleurs. J'entends mon prénom murmuré, je redresse doucement la tête. Je la regarde avec des yeux différents, moins vides, moins aliénés, plus profond. Je pourrais me liquéfier sur place à tant la regarder. Elle est si belle, mon dieu, comment est-ce possible ? Et sans plus réfléchir, sans plus retenir, sans plus écouter que la vague de chaleur qui vient me claquer de plein fouet, je me jette sur elle. La douce brutalité, ma bouche vient attraper la sienne et l'embrasse pour de vrai. Comme si c'était la première fois, comme si c'était la dernière et qu'il fallait n'en rien rater. Mon corps se colle au sien, j'entends le livre qu'elle tenait dans ses mains tomber au sol et moi, je l'attrape par les hanches. Je la fais grimper sur moi comme si j'étais un arbre, pour l'avoir tout contre mois, pour la serrer dans mes bras. Je l'embrasse avec poésie et fougue, mes lèvres, ma langue, mon souffle, tout vient procéder à cette connexion. Et mes bras enroulés autour de son corps la tienne fermement, l'étouffe presque. Quelques pas en avant, je la plaque au mur. Pour que mes hanches la soutiennent, que mes bras puissent soulever doucement sa robe le long de ses cuisses. Mes mains glissent, se posent dans le bas de son dos. Je l'embrasse comme on mord, je la touche comme on griffe, le souffle haletant, parfois coupé. J'peux bien mourir ici et maintenant, ça n'a pas d'importance.
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