Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJamya Une rencontre étrange - Page 2
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Jamya Une rencontre étrange

Anonymous

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Je crois qu'il faudrait que je fasse un peu plus attention de fois quand je m'habille. Je pensais bien que de fois, je prend des risques stupide et Olek me l'a déjà dit, si ça ne dépendait que de lui, il aurait déjà brûlé mes robes courtes et toute mes tenues un peu trop sexy a son goût, mais je l'ai menacé de brûlé son matos de tatoueurs s'il faisait ça. C'est un comble qu'une fois que je sors en simple slim avec un haut assez simple que je me fais viole ment agressé dans la rue. Au moins, ce n'était pas sexuel. Je crois qu'autrement, je serais arrivé a le castré. Surtout s'il avait essayé d'être aussi près de moi, je mords ou je tape, mais en fait vu qu'il avait toujours gardé une certaine distance, je n'avais pas pu faire quoi que ce soit. Alors ce qui me valait un aller en ambulance a l'hôpital. C'est dommage, je n'avais même pas pu constater si les ambulanciers étaient sexy ou non.
Je sais que le médecin qui s'est occupé de moi avec quelque chose dans le regard qui me disait que je n'allais pas m'intéresser a lui. Je ne sais pas trop une intuition féminine.
J'avais enfin fini par me réveiller à l'hôpital. J'avais l'impression de planer à cause de la morphine.
Je voulais me lever. Je savais que je n'étais pas dans le bus avec Olek, pourquoi je ne suis pas dans notre bus??
Sauf que des mains me retiennent. J'étais persuadé que c'était Olek en face de moi sauf que non apparemment ce n'est pas lui. Je ne sais pas ce qui se passe, mais je sais que je ne peux pas résisté au poids des mains en face de moi.
"Pourquoi je comprends rien, mais pourquoi tu ressembles à Olek??" Je crois que je suis totalement perdu. Je comprends plus ce qui ce passe. Je sens sa main sur ma joue. J'ai aucune force pour le repousser, mais je me sens totalement perdu. Je le vois qui me foudroie du regard quand je voulais enlever le truc sur ma main. Je ne comprenais pas tout.
J'ai l'impression d'être comme dans un rêve. C'est peut-être ça, je dois surment rêvé.
"Je suis entrain de rêver, c'est ça ? Je veux me réveillé dans mon lit moi!" Je suis totalement perdu. La seule chose que je fais, c'est resté coucher dans le lit. Je ne veux pas me faire attacher comme il a dit!
"James, c'est bizarre comme prénom ", c'est bien la seule chose que j'avais compris son prénom. Je rigolais toute seul. Sauf que d'un coup, je grimaçais
"ça fait mal!!! C'est trop bizarre !" Sérieux ils ont du mettre une sacré dose de morphine ou je la tolère pas je sais pas ce qui ce passe mais je suis loin d'être dans mon état normal. Mais je ne perdais pas le fil il se dit pas être Olek, mais moi, je le vois en tant que Olek, je n'allais pas lui posé a nouveau la question parce que mon cerveau avait été simple incapble de me faire comprendre ce qu'il avait raconté
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Nat & James

Je ne sais pas vraiment ce que je fous là, je sais que je devrais appeler les urgences psychiatriques parce qu’elle commence à avoir des allusions. Je me sens d’un coup compressé, et lorsqu’elle parle, je fronce vivement les sourcils. Cela doit être son frère, je me recule davantage pour ne pas recevoir un coup venant d’elle, puisqu’elle ne me semble pas être dans son état normal.  «  Je ne suis pas votre frère. Je suis le médecin. » Je n’ai jamais une patiente exemplaire, surtout lors des moments ainsi. Je faisais que rentrer chez moi, et je me retrouve coincé dans le lieu où je travaille parce que j’ai ramené une femme totalement amochée et que c’était mon devoir de rester ainsi. Du moins, c’était ce que mes supérieurs ne cessaient tous de dire. En prenant son dossier en main, je regardais les lignes que le médecin venait de la prendre en charge, rien d’anormal. Juste le fait que dans son sang il y avait de la drogue, mais pas énormément d’alcools. Ce qui en soit m’étonnais plutôt. « Il va bientôt avoir la police, pour vous demander ce qu’il s’est passé, si vous voulez porter plainte. » C’est les procédures, je ne fais que dire ce que je dois dire. C’est aussi simple que cela. Je repose le dossier vers le lit de la patiente, et je viens m’installer sur la chaise à côté d’elle. Les traits de la jeune femme étaient tirés, elle paniquait ou elle avait peur. Les deux pour moi, ont la même définition. « Je sais que mon prénom est bizarre. Je pense être autant bizarre que mon prénom. » Je tentais malgré tout de mettre un peu moins de tension dans cette chambre, je n’aimais pas être pris au piège et encore moins en me sentant mal à l’aise. C’était une inconnue, et je n’avais aucune idée de comment me placer. L’alcool s’était dissipé, enfin c’est ce que je ressentais et même si les résultats diraient tout le contraire à mon avis. Je me tais, durant un laps de temps. Décidé de rester ici, le temps que la jeune femme reprenne son esprit et soit apte à parler aux agents de police et surtout que son état soit plus stable. « Vous allez encore sentir des douleurs, c’est normal. On ne peut pas vous donnez trop de morphine. Le but n’est pas de vous endormir mais de savoir où est le problème. » Dès qu’on saurait où est le véritable problème, le médecin ferait le nécessaire pour qu’elle ne ressente rien.

En passant une main sur la longueur de mon visage. Je me rappelais que cela faisait maintenant ou quasiment 24h00 que je n’ai pas fermé l’œil. Et je peux vous dire que je sens particulièrement mon corps se relâcher et mon cerveau quémander une pause. Je me tords sur le siège, en entourant mon corps avant d’entendre mon téléphone vibrer.  « Je reviens. » Je me redressais en lui offrant un faible sourire, et je quitte la pièce en décrochant le numéro. C’était Harley, je lui expliquais en détail les événements et lui rassurait ma présence d’ici peu. Moi-même, j’avais envie de dormir. De me reposer. Mais ce n’était pas le moment, je voyais des infirmières pénétrer dans la chambre et aussitôt je raccrochais en me postant face à elles. « Je peux voir le traitement ? » Je fronce les sourcils en regardant les notes. Dos à la patiente, j’examinais le tout. Je ne sais d’ailleurs pas pourquoi, mais je ressentais le besoin d’être honnête et de prendre au minimum soin de cette patiente qui n’est finalement pas la mienne.


CREDIT TO KAIJI FROM ILH
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