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Jamya Une rencontre étrange

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Ce soir est une soirée peu captivante, je ne trouve pas trop d'intérêt. J'ai tenu à changer de bar pour une fois pour voir ce qui se passe ailleurs ! Je suis du genre à tester beaucoup de choses ce n'est pas un nouveau bar qui allait me faire peur. Cette fois, je suis tombé dans un endroit sans intérêt, la musique inintéressante au possible. Je crois qu'il y aurait eu bien plus d'ambiance en me faisant une improvisation plutôt que la musique qu'il passait. Heureusement quand je choisis un nouveau bar, je sors dans une tenue classique, mais classe, pas mes robes moulantes. J'évite quand même de passer pour une prostituée dans un endroit que je ne connais pas. Je ne sais pas sur qui je pourrais tomber après tout.

Après quelques verres, ce n'est pas encore ça, je n'arrive pas à me mettre dans l'ambiance. Je crois que ce bar n'est pas pour moi. Je commence à me faire draguer par un gros lourd, qui voulait me peloter, surtout qu'il avait bien une bonne vingtaine d'années de plus que moi. Je trouve ça dégoutant. Je finissais par prendre mes affaires et mettre les voiles. C'est définitif, se barre, n'est pas pour moi. Une fois sortie, je prenais un petit bout de spacecake dans mon sac. J'en avais emmené au cas où je termine la soirée avec quelqu'un pour qu'on s'amuse un peu. Je crois que ce soir, je vais m'amuser tout seul.

Ce foutu bar et loin de mon bus en plus, il est plus de minuit, alors les bus de la ville ne circulent plus. Bon bah comme souvent, il faut que je rentre à pied. J'ai l'habitude, je n'ai pas de voiture ça coûte trop cher et j'ai les frais du bus à partager avec mon jumeau. On est gitan où on ne l'est pas, ce bus, c'est notre petit bijou à nous. J'avais mis mes écouteurs, je ne peux pas vivre sans musique et c'est ce qui me fait passer le temps plus vite quand je marche.
Je commence à baisser la musique de mon portable, j'avais un mauvais pressentiment. Je n'avais pas trop le temps de réagir que je sentais des grosses mains se poser sur mon épaule.
"Tu es tout seul jolie demoiselle" comme à mon habitude, je répondais spontanément.
"Non, je suis avec mon ombre, au revoir" Je pensais m'en débarrasser, je n'ai pas envie de me prendre la tête "Oh non tu reste-la-toi" Je sentais sa main me retenir. Ma main se posait sur la sienne pour la retirer "Me toucher par toi !" Je commençais à m'énerver, je ne supporte pas ce genre de gros lourd.

Je n'avais pas trop le temps de réagir que je me prenais un coup-de-poing dans la tête. Une chose est sur lui avait pas mal bu, il puait le whisky, je crois même qu'il ne sait pas boire parce que c'est très désagréable. Je lui fais à nouveau face, je ne suis pas du genre à me laisser faire. Je n'ai clairement pas le physique pour lui tenir tête, mais je ne veux pas fuir ou me faire rabaisser. J'ai des valeurs. Sauf qu'a force d'avoir des idées comme cela, monsieur s'amusait avec moi, il me ruait de coup tant que je me redressais. Heureusement, il n'a pas essayé de me violer ou quoi que ce soit. Un bruit dans la rue, une voix, ou autre chose, je ne sais pas le fait fuir et me laisser là. Je m'aide de la mure à côté de moi pour me redresser. Je veux juste rentrer chez moi. Je crois que quelques côtes ont dû se briser, je sens que mon visage ne doit pas être beau à voir. Je pense qu'a une chose rentrée alors je commence à avancer, même si j'ai mal, je dois partir d'ici. Je sais qu'Olek va être fou en me voyant. Je pense juste à pouvoir m'allonger.
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Nat & James

Je partais d’une soirée plutôt bien arrosée. J’aimais boire, c’était un fait. Ce que j’aimais le moins c’était de rentrer à une heure pareille. Je supposais directement qu’Harley n’irait en aucun cas être super heureux de me voir de la sorte. Je puais l’alcool, le tabac, et j’avais les vêtements qui collaient. Encore une nuit où je vais dormir comme un ange, du moins. C’était l’idée que j’avais, ce désir ardant au plus profond de mon corps. Dormir, dormir, et encore dormir. En saluant vaguement mes collègues de boulot, je leur signale mon départ en ajoutant qu’il était l’heure qu’ils ne devaient guère s’en faire parce que j’allais bien trouver un taxi dans ces rues gorgées de mondes. Mon cul ouais. Pas un foutu chat, personne. Je logeais les ruelles les mains dans les poches, le regard valsant sur les trottoirs afin de scruter un signe de vie. À la limite je me serai cru dans walking dead, et encore dans cette série il y a les zombies et ils sont bien plus présents. Je me tais, me braquant. J’entends des bruits, j’aurai dit une femme et un homme, voire plusieurs hommes. Je ne sais pas ce que je vais faire si je tombe nez-à-nez avec un groupe de gars, je pense pas être à la hauteur, vu mon degré d’alcool, à la limite je préfère qu’ils me demandent gentiment de leur donner mon argent et mon portable plutôt que de me battre, quoique. Je finirai bien par en attraper un, un jour ou l’autre. En marchant d’un pas plus rapide, plus élancée, je remarque une silhouette très fine adossée contre un mur. Intérieurement je ne suis pas quelqu’un qui va voir les gens, je suis pas ainsi, je passe mon temps à éviter les gens que je ne connais pas, à éviter de rencontrer des gens lorsque je suis seul. Mais là, bizarrement je ne pense pas que je dois agir de la sorte. Naïvement je me dirige vers cette femme… J’aperçois des coups, des blessures plutôt graves au niveau de son faciès. « Madame ? Vous allez bien ? » Je me penche en avant, afin d’examiner en profondeur les coupures qui logeaient le visage de la jeune femme. Aussitôt, j’enfuis ma main dans l’une de mes poches et j’appuis sur de nombreuses touches afin d’appeler l’hôpital. En tout cas, l’alcool a bien descendu. « Bonsoir, je suis Dr. Anderson je vous appel pour une bagarre qui s’est déroulée à Harbor area, oui voilà. J’étais dans un bar et j’ai vu cette femme ainsi. Elle a des blessures grave, au niveau du visage. Oui voilà. » J’étais précis, du moins j’essaie d’expliquer à la personne ce que je pouvais voir. Non seulement je n’avais pas abordé la jeune femme, mais je restais à une distance de sécurité. Histoire qu’elle ne sorte pas un poignard et n’hésite pas à l’utiliser. « Madame… Je suis médecin, j’ai téléphoné à l’hôpital. Qui vous a fait ça ? » Je penche mon visage sur le côté, j’ai envie de poser ma main sur son épaule, mais je me retiens. Je retiens tout contact en règle générale et cette situation n’est pas différente des autres. « Vous devez aller à l’hôpital, vous ne pouvez pas marcher ainsi. » Je suis encore un peu soumis à l’alcool, mais je sais de quoi je parle, et ce que je fais. M’imposant face à la jeune femme. « Je vais poser mes mains sur vos épaules, je dois examiner si vous avez quelque chose de casser. » Je sors immédiatement mon badge qui signalait mon métier et mon nom et prénom. Histoire qu’elle ne pense pas que je mens.

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Je pensais juste essayer un nouveau bar ce soir. J'avais une tenue du plus soft. Je suis du genre autonome, alors je sors seul dans un bar. Surtout d'habitude que je rentre avec quelqu'un a mettre dans mon lit alors je ne vois pas l'intérêt d'emmener quelqu'un avec moi. J'avais passé une soirée nulle, aucun intérêt. Faudrait que je fasse du bénévolat en chantant pour espérer que ce fameux bar est juste un peu d'ambiance. D'ailleurs, j'allais sincèrement remercier mon ami qui m'a conseillé ce fameux bar. Je crois que finalement, j'allais plus prendre conseille auprès de lui.
Je pensais pouvoir rentrer tranquillement mais non, c'est une soirée pourrie de chez pourrie. Forcément pourquoi ce contenté de si peu ? J'allais décrocher le grelot ce soir.
Je sentais que c'était un peu trop balaise pour moi, même si j'ai su me battre. Je suis née Gitane, je ne suis pas née avec une cuillère en or dans la bouche, j'ai grandi dans la nature en ayant de la boue sur les genoux. Je sais ce que veux dire se défendre. Bien sûr quand on a 7 ans, c'est totalement autre chose quand on est une femme de 26 ans face à des hommes bien plus massifs. Je ne peux clairement pas tenir.
Je sens qu'ils ne m'ont pas fait du bien, mais j'ai encore un peu d'amour-propre pour ne pas m'écrouler et pleuré comme un bébé, ce qu'on appelle une fierté gitane. Ils ont fui en entendant des pas. J'entends sa voix, il m'appelle Madame. Je suis peut-être sonné parce que ce qui sa passe, mais ce n'est pas pour ça qu'il allait me toucher ou quoi que ce soit.
"Ouais, c'est bon ça va, et m'appeler pas madame ! Je n'ai pas 40 ans" Je l'entendais l'appeler l'hôpital, c'est une blague ? Jamais de la vie, je mettrais les pieds là-bas, je ne suis pas mourante alors je refuse d'y mettre les pieds. Je n'aime pas être enfermé dans ce genre d'endroit sans très bonne raison. Je pensais à Olek qui luit quand il allait voir ma tête allait retourner tout Boston pour trouver qui m'avait fait ça ! Je ne serais même pas les reconnaitre. Le mec qui se prétendait médecin me demandait qui avait fait ça.

"Je dirais que c'est Dupont et Dupont, j'ai leur nom et leur adresse même si tu veux !" Je soupirais, ça faisait mal, je crois que quelque cote son casse. Je ne connais pas les gens qui m'ont fait ça.
Je repensais à l'hôpital.
"Hors de question que je mette les pieds dans un hôpital ! Je ne suis pas mourante !" Il voulait mettre sa main sur mon épaule pour regarder si j'ai quelque chose de casser. Surtout, il m'a dit que je ne devais pas marcher comme ça. Je sentais bien que j'avais un mal de crâne atroce.
"À bah oui je ne vais pas rentrer en rampant ! C'est bon, je suis toujours debout, c'est que ça va !" Je commençais à m'éloigner de lui sauf que c'était un tout petit peut compliquer de marché, mais je me démontais par a continuer d'avancer. Je n'allais pas faire ma petite fragile, ce n'est pas moi.
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Nat & James

Je partais d’une soirée plutôt bien arrosée. J’aimais boire, c’était un fait. Ce que j’aimais le moins J’arquais un sourcil. Nom de Dieu, ça m’apprendra à vouloir aider les gens. Je fusille d’abord la jeune femme, et je me souviens que je suis encore alcoolisé et que c’est sans doute les effets. D’habitude je ne suis pas ainsi, encore heureux. Imaginez la tête des patients si juste parce qu’ils ne veulent pas se faire guérir je haussais les épaules en crachant un tant pis, et je partirai. D’ailleurs, à cette idée je me retiens de rire. Pas que la situation est marrante, mais on va dire que je suis très mal à l’aise. Encore une fois, même l’alcool ne résous pas grand-chose. Je pousse un soupir et je me décale afin de laisser la jeune femme marcher comme bon lui semblait. En la voyant ainsi penchée, je me doutais qu’elle avait quelque chose de cassé, mais si elle était autant têtue, autant profiter de prendre une grande respiration avant de foncer tête la première contre un mur. C’est ainsi, que j’appelle les gens butés qui ne veulent pas accepter de l’aide. « Vous savez, si vous avez quelque chose de brisé… Vous n’allez pas aller très loin, au mieux vous pourriez arriver chez vous si votre bâtiment est à… Cinq minutes, sinon vous allez vous évanouir à cause de la douleur. » Après tout, je disais simplement les informations, concernant ce qu’il pourrait se passer. Mais je ne peux rester ainsi. Je m’approche de la jeune femme, et en posant une main un peu plus lourde sur son épaule, je l’incite à rester droite et sans bouger. Elle ne peut ni me frapper au risque de se faire très mal, et au pire elle peut me cracher à la gueule en me foutant une claque. Peut-être que je serai davantage réveillé. J’incline le visage pour trouver son regard, et à l’instant où cela est fait. Je lui souris, très faiblement. « Je suis médecin, et vous devez aller à l’hôpital, de toute manière c’est déjà appelé. » Haussement d’épaules, comme pour dire que c’est déjà fait, et qu’elle ne peut pas courir pour éviter l’affrontement de l’hôpital, et qu’en plus de cela… Elle pourrait tomber dans les pommes, et je veux éviter d’avoir ça sur la conscience. Je relève son visage pour observer les traits sur ce dernier, qui défigure ces jeunes traits féminins. Je sais que c’est un homme qui a fait ça, mais je ne comprenais pas pourquoi. Et même si je ne voulais pas savoir, les urgentistes risqueraient de me poser la question, si la jeune demoiselle reste têtue. « Je sais que c’est un homme. Vous ne vous souvenez pas du visage ? » J’essaie de lui parler, d’éviter le sujet de l’hôpital, ou même de ces blessures. D’ailleurs j’en profite pour poser une main tout bonnement professionnelle sur ces côtés, que je témoigne d’une légère grimace en sentant. « Je suppose que vous êtes sortie seule, vous étiez en train de rentrer ? » Vu l’heure, c’était plutôt possible, bien que quelques jeunes aimaient rester jusqu’à 8h00 du matin, bizarrement je n’en trouvais pas le besoin. Boire quelques verres, m’amuser et rire avec mes collègues me suffisaient, et de rentrer vers 3h00 également. Je retire ma veste, et je la pose sur les épaules de l’inconnue face à moi, même si elle l’a met parterre, faudra pas dire que je n’ai pas essayé. « Je suis James, et vous ?... »
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Je crois que j'allais me contenter des bars que je connais la prochaine fois. Heureusement que demain est un autre jour. J'avais l'air d'avoir une sale tête pour que mon bienfaiteur me regarde avec ses yeux-là. D'ailleurs quand je l'envoyais bouler parce que je ne suis pas une fille fragile qui va se laisser faire par quelques inconnues. Il me foudroyait du regard. J'étais peut-être sonné, mais je n'avais pas perdu m'a répartie.
"Oh ça va, je ne suis pas une demoiselle en détresse non plus !" Je sais bien que c'est une sorte de saint, quoi que je puisse le sentir de là qu'il doit être quelque peu alcoolisé. Je le suis aussi un peu, mais rien de comparable a mon habitude et justement, j'évite de me mettre la tête à l'envers quand je sors dans un endroit totalement inconnue. Déjà, il avait compris de ne pas m'appeler Madame ne me plaisait pas. C'est déjà un début.
Il m'informait aussi que si je n'habitais pas a minutes, j'allais jamais arriver a rentré de toute façon. Un juron sortait de ma bouche. Je ne pouvais pas rester la quand même.
"Ouais bah rajoute quarante-cinq minutes !" Je sentais que la douleur se faisait bien plus vive, mais je suis quelque peu borné pour pas lui donner raison. J'allais essayer de repartir comme ça, mais je sens sa main sur mon épaule bien plus lourdement, je ne pouvais pas le repoussé, je n'en avais pas la force. Je me décidais a ne plus bouger. En même temps, la douleur était un peu forte, d'ailleurs même si je suis totalement crispé, je ne peux pas retenir une larme de douleur qui coule sur ma joue. Il me répétait qu'il est médecin
"C'est bon, j'ai compris ça!" Faut dire qu'il l'avait tellement répété. Il me relançait sur le visage de l'homme qui a fait ça.
"Oui, ça va, c'est bon, j'ai eu le temps de voir son visage, je ne suis pas la dernière des abrutis, il a pas fait ça en quelques millisecondes !" Je me laissais un peu tombé contre le mur. Je crois que je n'avais pas bien le choix. J'allais me retrouver aux urgences et je sais que Olek allait débarquer en furie. Rien que l'idée que mon jumeau se mette dans un état pareil m'angoisse. Il me demandait si je rentrais chez moi.
"A bah non, je suis avec Casper! Il me tient compagnie pour rentrer !" J'étais fatigué de ses questions bateaux. Finalement, je commence à me calmer un peu sur le sarcasme parce qu'il a la gentillesse de me mettre ça veste sur les épaules.
"Natalya..." Je fermais les yeux quelques secondes pour essayer de calmer la douleur, mais bien sûr en inspirant plus profondément, je ne pouvais pas m'empêcher de me contracter sous la douleur que ça produisait.
"Il ne m'a pas loupé, c'est ça ?" Je crois que je connaissais déjà ça réponse. J'ai l'impression que ma tête va exploser. Je prends peu à peu conscience de mes blessures avec l'adrénaline qui redescend. Je n'avais toujours pas rouvert les yeux.
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En levant les yeux en direction de la jeune femme, je fronçais vivement les sourcils. Je n’aimais pas ce genre d’attitude et admettons que je ne fasse guère attention, je n’hésiterai pas à lui soumettre le fond de ma pensée. Néanmoins, je prends sur moi, et je me tais. Je soupire même vulgairement. Je sais qu’elle est sous le choc, qu’elle est encore secouée par les événements, mais je ne pense pas que cela lui donne l’autorisation pour me parler de la sorte surtout que je viens l’aider et non l’engueuler comme elle le fait. Au moment où elle se calme, je fus surpris qu’elle m’annonce son prénom, et dans un léger hochement de tête j’inclinais celle-ci sur l’une de mes épaules. « Non, il ne vous a pas loupée. » Cette fois, je m’approche d’elle, sans ambiguïté je dépose mes mains sur ces frêles épaules afin de l’inciter à me regarder afin que je puisse observer longuement l’état de ces blessures. Dans l’ensemble au niveau de son visage, ce n’était pas grave. Mais la zone qui m’inquiétais le plus était au niveau du ventre et des côtes. « Je vais soulever votre haut. Ne pensez pas que j’abuse, ou autre. Je veux juste voir vos côtes si elles sont en mauvais état. » Je ne voulais pas lui faire peur. L’ambulance n’allait pas tarder et je savais qu’ils voudraient un résumé de tout cela, ce qui est normal dans un sens. En levant du bout de mes doigts le haut de la jeune femme, juste assez pour scruter sa peau, malgré la noirceur de la nuit, j’admettais une grimace en déposant mes doigts sur la zone entourée d’un bleu et d’un noir profond. Sous mes doigts, je pouvais sentir les os. Et ce qui me disais que cela n’était en rien une bonne nouvelle. Je pris une grande respiration. « Il faut vraiment aller à l’hôpital. Je vais vous accompagner. » Même si je suis en congé et que j’ai terminé mon service il y a juste quelques heures. Je prends sur moi, honnêtement. Loin l’idée de ne pas aimer travailler, mais quand on bosse autant d’heures à la suite, il est vrai que l’envie était plus d’aller me coucher. L’alcool ? Je ne pense pas être aussi saoul qu’avant, mais je sais que je vais devoir passer des examens si je veux pouvoir suivre cette patiente.

Nous entendions enfin les sirènes et dans un léger soupir de soulagement je fis signe aux urgentistes de s’arrêter à notre niveau. L’un deux sortait, et me serrai la main en me gratifiant d’un léger sourire. « Natalya, je ne sais pas son âge, mais je marchais et je l’ai vu appuyée contre le mur, les blessures au niveau du visage sont fictives, cependant j’ai pu sentir au niveau de ces côtes que cela est tout de même grave. Je viens avec vous. » Le gars haussait un sourcil, en posant une main amicale sur mon épaule. « Mais, tu as fini non ? Et tu as bu. » Je hausse les épaules, avant de fourrer mes mains dans les poches, le regardant sans gêne.  « Je suis médecin, et je connais mon état. Si je suis sobre ou non. Je ne vais rien faire, juste être présent et voir comment vont les choses. »

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Je voyais bien que mon comportement ne plaisait pas a monsieur le médecin, mais je suis comme ça. Je ne laisse jamais approché par qui que se soit. La seule personne qui me connaît, c'est mon jumeau. Autrement personne, Jeremiah qui correspondait le plus a un meilleur ami s'est barré sans rien me dire. La confiance, ce n'est pas mon truc. Alors faire confiance à un médecin, sachant qu'en temps que Gitane a part les plantes médicinales, on va que très peu chez le médecin qu'en cas d'urgence.
Faut dire que si j'arrive à éviter les coma éthylique comme une pro ainsi que les overdose alors je ferait tout pour éviter les hôpitaux.
Bien sûr quand je lui demande si l'autre abruti qui n'avait rien de mieux à faire que tabassé une fille en plaine lui ma pas louper, il confirme.
Je commence à sentir l'adrénaline qui descend. Je sens la douleur qui m'envahit. James me dit qu'il va soulever mon t-shirt. Je crois que je n'ai pas bien le choix faut dire. Je n'ai pas vraiment la capacité physique de le repousser.
"Je crois que je ne pourrais pas te repousser de toute façon, vu ma douleur, je crois que j'ai déjà ma réponse" J'ai du mal a respiré maintenant que je prends conscience de mes blessures et ça fait un mal de chien. Les larmes coulent toujours sur mon visage, elle tombe très peu souvent faut dire. Je pleure que de douleur physique autrement le reste, je ne me prends jamais la tête pour ça.
Je sens ses doigts sur mes cotes et je trouve rien de mieux a dire que
"Va falloir payer pour toucher" J'avais déjà un mal rien que sentir ses doigts sur ma peau. Bien sûr, je ne suis pas une prostituée et avec ma tenue, il a pu comprendre que ce n'était pas le cas. Je ne vendrais pas mon corps. Je suis peut-être du genre à me faire plaisir avec des hommes, mais pas de ça ! J'ai ma fierté. Je commençais a rire toute seule sauf que ça me faisait un mal de chien, je me fermais totalement a cet instant là. Je n'avais jamais ressenti une douleur aussi vive. Il me disait qu'il voulait m'accompagner
"Tu sais que tu sens l'alcool James, mais j'avoue que la une chose m'attire, c'est une très grosse dose de morphine !" J'avais envie de planer d'oublier cette douleur horrible. Je le voyais s'éloigner un peu. Je n'allais pas le suivre parce que je ne tenais déjà plus contre mon mur. Je crois que dés qu'on sent la douleur tout change. Ce doit être le bruit de l'ambulance que j'ai entendu, je commence a ne plus être connecté avec la réalité, je crois que je suis en train de perdre connaissance. Je finissais par me rendre compte qu'un truc n'allait pas
"James, je crois que je vais tomber dans les pommes" Je me laisse glissé sur le sol, j'ai encore les réflexes de base pour éviter d'aggraver les choses. La dernière chose que je vois, c'est des silhouettes bougées.
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Fausse manipulation. Jamya Une rencontre étrange  2442039969 Jamya Une rencontre étrange  2474380249
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Je me suis déjà dans des situations bien plus étranges que ça. Surtout que ce soir, je n'avais pas pris de drogue. J'avais juste quelques verres dans le sang. Je mettais déjà battue quand j'étais défoncé, mais jamais comme ça. J'avais eu des plans bien foireux avec des potes toxicomanes, mais je m'en étais toujours sortie sans aucune égratignure. Sauf que là s'en était loin d'être le cas. Je pensais à une seule chose, c'était voir mon jumeau. C'est de lui que j'ai besoin a cet instant pas de ce fameux James qui tient a ce que j'aille a l'hôpital sans rien me demander. Heureusement que j'ai vraiment ramassé au niveau des blessures autrement, je serais déjà partie en courant pour pas qu'il me rattrape et que je puisse rentrer tranquillement. Je mettais vu tombé dans les pommes. J'avais senti que mon corps me lâchait totalement. Je suis sûr que Olek la sentie aussi, j'en suis persuadé, je sens quand lui, il n'est pas bien du tout, alors a cet instant, je suis presque sûr qu'il le sais que j'ai un problème.
Je me rappel encore quand on était goss et que a chaque fois que l'un pleurais, on allait se réconforter mutuellement. J'ai toujours été très proche de mon jumeau depuis notre naissance.
Je suis un peu comme dans un rêve, quoi que je ne sache pas ce qui est un rêve ce qui viens de ce passé ou maintenant ? Les médicaments me retournent le cerveau, je rêve de chose un peu bizarre.
Mais je me vois rentré dans notre bus totalement indemne et aller me coucher après avoir fait un bisou à Olek.
C'est que quelques heures plus tard que j'ouvre les yeux dans une salle blanche. Je le sens bien que je ne suis pas dans mon état normal. C'est de la drogue, mais surment pas celle que je consomme habituellement. Je me sens dans les vapes. Je n'ai pas la moindre idée ou je suis. Je vois une silhouette dans ce qui doit être un fauteuil. Bien sûr pour moi, ça ne peut être que Olek
"Olek, on est ou là? Pourquoi on n'est pas dans notre chez nous ?" Je suis dans les vap alors je ne me rend pas trop compte que je suis dans un hôpital. Je ne sais pas si en fait, c'est la morphine qu'ils m'ont injectée ou si c'est parce que je délire et que je suis dans un état plus grave que je pensais. D'ailleurs, je ne perds pas le nord, on n'est pas chez nous alors bien sûr, j'ai le réflexe de me lever. Du moins d'essayer, je sens un énorme poids sur ma poitrine.
"Olek je veux rentrer chez nous ! Pourquoi je n'arrive même pas à me lever ! Ce n'est pas mon lit ça !" Ok je suis défoncé, mais ce qui est marrant, c'est que je m'en rends a peine compte. Déjà, un gros point positif, je n'ai plus mal.
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Nat & James

Il n’y a que sur moi, que ce genres de choses peuvent arriver. Je soupire, presque angoissé. Je la regarde ainsi, couchée sur ce lit d’hôpital. Cette inconnue qui m’a presque agressée lorsque je l’aidais et qui m’a littéralement cité à partir en la laissant là. C’est assez idiot de ça part, elle sentait la douleur alors à quoi bon résister à quoi bon dire à la seule personne qui est apte à vous aider de finalement lui gueuler dessus ? Honnêtement, si cela ne tenait qu’à moi. Je serai parti, parce que merde. Je déteste les humains, je déteste les gens qui ne veulent pas accepter de l’aider et encore moins les gens qui ne sont pas capables de voir qu’il y a un problème, et putain. J’en vois souvent. Alors que le médecin qui s’occupe d’elle intervient dans la chambre, je le juge d’un simple regard en estimant qu’il ne méritait pas ma parole. Je le connaissais mieux que personne, il se pensait mieux que les autres alors qu’il n’était en rien formé pour être au statue d’un secteur. Mais en vain, je ne suis guère en mesure de l’insulter même ma conscience se fout dans un coin en le fixant d’un air de dégoût. « Tu veux quoi Fred ? » Il hausse les épaules, et il me tend le dossier de la jeune femme. Je le scrute du regard, je dois avouer qu’elle n’est venue que très rarement à l’hôpital. Qu’elle a un frère jumeau qui d’ailleurs aurait dû être prévenu. Et il semblerait qu’elle n’avait pas vraiment bue. Je ne sais pas si cela peut me rassurer vu les examens de sang et le reste de drogue qu’elle avait. Ce n’est pas mon problème. Je ne suis qu’un simple passager dans sa vie. Je l’aide, et je me tire. C’est ce que je voulais faire. Il me demande si je la connais, si je savais pourquoi elle était dans un état pareil. Et j’en ricane, presque grossièrement. « Je ne suis pas disponible. Je ne suis pas comme toi. » Un clin d’œil, en signe de provocation. Puis il se casse en levant les yeux au ciel. Ouais, casse toi mon pote. Tu fais parti des gens que je ne respecterai jamais.

J’entends la voix de Nat, elle s’est réveillée en panique. D’abord, je me lève de mon siège pour m’approcher grandement d’elle, et au moment où je le sens se redresser mes mains se déposent sur ces épaules en l’incitant à ne pas se bouger de trop. Elle risquerait de se briser. « On ne bouge pas. C’est moi… James. Je suis le gars qui vous a trouvé dans la rue. Je ne vous veux aucun mal, on est juste dans un hôpital vous êtes gravement blessée…Olek est votre frère jumeau… N’est-ce pas ? » Je la fixe longuement, en posant ma main sur ça joue pour que nos regards se croise. Qu’elle n’aille pas peur. Qu’elle soit rassurée. « Calmez-vous… Vous devez vous calmer, ou vous risquez de retomber dans les pommes. » À ma voix, je repose lentement la tête de la patiente sur son oreiller. Je place correctement les perfusions en la foudroyant du regard. « Ne touchez pas à ça. Si vous enlevez cela vous fera une horrible douleur, et je serai dans l’obligation d’appeler les infirmières et elles devront vous attacher, vous ne voulez pas ça, si ? »



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