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no one's better for me than you, no one's better than me for you. (carmingham)

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J'ai mal. J'ai tellement mal au coeur mais je peux rien faire contre ça. Fallait que je lui dise, que je balance tout, que je vide mon sac parce que j'en ai besoin, tellement besoin. " Si mon but c'était de vouloir te faire du mal, j'aurais attendu encore et encore " Parce que j'étais même pas sure de tout ce qu'il ressentait pour moi, surtout pas après avoir vu ces textos. J'étais complètement accroc à ce type et s'en était encore plus difficile, encore plus désolant, encore plus blessant. Parce qu'en lui cachant ça, en lui cachant ma grossesse, j'avais essayé de le préserver, de nous préserver, de nous éviter bien des soucis. En vain. " J'en ai parlé à personne " Lâchais-je en filant chercher mon ordinateur parce que c'était la seule chose dont j'avais besoin, au final. Les fringues qu'il y avait ici, c'était pas très grave. J'enverrais Dante ou Drew les chercher demain. Ou je passerais dans l'après midi pour faire mes valises, selon mon humeur. " Parce que tu crois que j'ai pas voulu te le dire ? Mais c'était jamais le bon moment. Y a pas de bon moment pour ce genre de révélations. Au bal, dans l'avion, à Londres, tu m'aurais quitté ! Tu serais resté chez toi, t'aurais plus voulu revenir et c'est pas ce que je voulais... Je peux plus supporter tout ça. J'en ai marre d'avoir peur que tu découvres tout ça... Surtout que je sais que t'as des infos sur Wade qui pourraient le mettre dans la merde grâce à Ivy. Elle parle beaucoup cette petite quand elle s'y met " Je soupire fortement et ferme les yeux quelques secondes. " Ouai parce que j'ai essayé de récupérer toutes tes photos, les dossiers compromettants à ton sujet. Tu vois, y a pas que ta soeur qui tente de limiter tes frasques " Et c'était bien le seul point commun qu'on avait elle et moi. Et que Forbes foutait un peu notre vie sans dessus dessous mais là, c'est moi qui l'ait choisi. Je l'écoute et déglutis difficilement. Je me retiens de lui en coller une deuxième, ça ne ferait rien, ça ne changerait rien. " Tu me dégoûtes Cole. Tu me donnes envie de gerber " Lâchais-je, furax, prête à lui sauter dessus, pour l'égorger. " Je suis peut être la pire merde du monde à tes yeux à l'heure actuelle mais y a une grande différence entre moi et toi. Mes erreurs, je les assume et je tente pas de les mettre sur le dos des autres " Lançais-je en le regardant de haut en bas. " Grandis Cole, grandis un peu et rends toi compte que mes erreurs font celle que je suis aujourd'hui et sans tout ça, sans mes conneries à la MH l'année dernière, sans mon épisode avec Dimitri, je serai pas celle avec qui tu voulais vivre et avec qui t'étais prêt à élever un enfant " Soufflais-je calmement en balançant les coussins du canapé à l'autre bout de la pièce pour trouver mon téléphone. Je pose la main sur la poignée de porte et me retourne vers lui. " Je demanderais à Dante ou Andrew de passer récupérer mes affaires demain " Lâchais-je en ouvrant la porte d'entrée, prête à partir.
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  J’étais furieux, et qu’importe ce qu’elle avait espéré en attendant si longtemps pour m’avouer la vérité, cette horrible et écoeurante vérité, si c’était pour me blesser davantage ou pour me préserver, au final le résultat était le même... Je me répétai mentalement que je n’étais pas atteint. Pas touché par les évènements récents, pas en train de m’étouffer avec ma propre culpabilité devant l’état dans lequel se trouvait Noah… Alors continuons la mascarade, continuons de faire comme si les révélations de Kyla, et l’issue évidente vers laquelle elles nous plongeaient, comme si ça me laissait indifférent. Je levai les yeux au ciel en entendant ses excuses à elle. « Jamais le bon moment ouais… » Moi j’avais trouvé le timing pour lui avouer pour Ivy, pour lui avouer pour Sophia, pour lui lister le nom de mes conquêtes. Je n’avais pas attendu qu’il y ait un –moment- pour ça. Alors oui, vas-y Kyla, accuse moi donc de ne pas assumer mes deux dernières rencontres avec Lucky, ou la tension sexuelle qui régnait malgré moi avec la mather. Allons-y, désigne moi du doigts comme étant celui qui n’assume rien. « Moi j’ai joué la carte de l’honnêteté au sujet de mon passé, j’ai pris le risque de te perdre, j’ai passé tout août loin de toi, parce que tu m’imposais cette distance à cause d’une pauvre sauterie de rien du tout avec une personne que tu ne connaissais même pas. Et là, tu veux quoi ? Que je te pardonne de m’avoir caché depuis des mois cette histoire avec le mec que je déteste le plus sur cette terre ? » m’énervai-je alors qu’elle ne semblait pas saisir l’ampleur de ses révélations. « Je pourrais coucher avec Delilah, avec Méline ou même avec les deux en même temps qu’on ne serait toujours pas à égalité en terme d’erreur toi et moi. » C’était pour dire à quel point je lui en voulais. « Mais t’as raison, c’est moi qui manque de maturité. C’est moi qui n’assume pas. C’est moi qui dois grandir… Allez va-t-en Kyla. C’est fini. Envoie tes potes chercher tes affaires c’est parfait… » Ne plus la voir. Ne plus la croiser pour chasser ces flashs et images dégoûtantes qui envahissaient déjà mon esprit…  
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" Non c'est jamais le bon moment Cole ! T'as pris quel risque de me perdre ? Tu savais très bien que je te pardonnerais n'importe quoi parce que c'est ce que je fais depuis notre première rencontre ! Et que je suis bonne qu'à ça. Faisons n'importe quoi, Kyla pardonne " Crachais-je au bord de l'étrangler tellement j'étais en colère. Je commençais à perdre mes moyens, à bouillonner et à me sentir partir, craquer. J'allais finir par être méchante, vraiment très méchante. Et j'allais le regretter parce que je l'aimais, ce gros con. " Parce que je savais qui était Wade pour toi quand ça s'est passé ? Parce que je savais qu'il était ton frangin quand j'ai couché avec lui ? PARCE QUE JE SAVAIS QUE J'ALLAIS TOMBER AMOUREUSE DE TOI PEUT ÊTRE ?! " Finis-je par hurler, perdant littéralement mes moyens alors que la conversation allait en direction de ce point de non retour. " Si j'avais couché avec lui y a six mois, y a deux mois, je comprendrais mais là... Je te connaissais pas à l'époque, je savais même pas que t'existais " Soufflais-je en fermant les yeux quelques secondes. " Sauf que tu vois, si tu couchais avec elles, ce serait une erreur en pleine connaissance de cause. Et là, tu gagnerais haut la main, comme à chaque fois " Lançais-je en reprenant mon souffle. Inspire, expire. Tout va bien se passer. Je récupère mon portable et ne tarde pas à filer. " J'assume ce que j'ai fais. Je me déteste pour l'avoir fais mais je l'assume tu vois. Je l'assume au point que je sais qu'à la seconde où je vais passer cette porte, je vais te perdre. Non, j'assume au point où je sais qu'à la minute où ces mots ont passé mes lèvres, je t'ai perdu " Je sens les larmes monter et je refuse, je refuse cordialement de pleurer devant lui. Et même une fois dehors. " Si ce qu'il y a entre nous est vrai... On trouvera un solution " Soufflais-je dos à lui. " On en sortira plus fort parce qu'on est fait pour être ensemble " Je me retourne. " Et parce que si tu tiens à moi un tant soit peu, on s'en sortira. Surtout si tu m'aimes autant que moi... Autant que je t'aime " Lâchais-je en claquant la porte derrière moi, ne lui laissant pas le temps de répondre ou d'entendre sa réponse, son rire et sa connerie ambulante. Direction les escaliers parce que l'ascenseur, ça craint.
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  J’étais mauvais, amer, un goût âpre dans la bouche… Ce sentiment que j’avais déjà eu, celui d’être le dernier con au courant, il m’avait déjà envahi quand elle m’avait révélé être enceinte avant le SB, après en avoir parlé à ses potes avant bien sûr, il m’avait aussi pris à la gorge lorsque finalement, elle avait appris qu’il n’y avait pas de grossesse mais qu’elle me l’avait caché. J’avais à nouveau ce sentiment de trahison, mais de manière encore plus accrue. Ils me sautaient aux yeux moi, tous ces moments où elle aurait très bien pu se lancer et m’en parler… J’avais bien trouvé le courage moi, de me dévoiler, de parler de mon passé et pourtant dieu seul savait que j’étais loin d’être un enfant de cœur, qu’à chaque révélation j’avais vraiment eu la peur au ventre qu’elle me raye de sa vie. Elle n’était pas d’accord, elle n’avait jamais vu les choses sous cet angle, parce que pour elle, elle pardonnait tout, qu’importe mes actes passés, mes agissements. « Je vais t’économiser de l’énergie alors : ne te fatigue pas à me pardonner ça… » Cette dispute, cette discussion, ces textos qu’elle avait découverts… Qu’elle ne me pardonne pas, qu’elle s’en aille. Pour l’instant c’était tout ce que mon cerveau en colère était en mesure d’exiger d’elle. Ne plus l’avoir dans mon champ de vision pour essayer de chasser les flashs écœurants de la brune dans les bras de mon demi frère. Je secouais la tête avec un air dégoûté lorsqu’elle m’asséna ses excuses, le fait que c’était antérieur à nous, à notre rencontre, qu’à l’époque on ne se connaissait pas, ça ne faisait que m’énerver un peu plus et cette nouvelle déclaration sous entendue n’y changea rien, ne faisant pas descendre mon animosité. « Bien sûr, je devrais passer outre le fait que tu as couché avec le type que je déteste le plus au monde, celui qui a ruiné ma vie, la vie de ma sœur, tout ça pour une question de date… » repris-je avec une voix chargé d’un sarcasme qui soulignait déjà bien combien cette option était inenvisageable pour moi. « Désolé, si toi tu pardonnes, moi je n’en suis pas capable. » Encore moins maintenant. J’étais au plus mal, au fond du gouffre, même si je m’obstinais à nier que les récents évènements m’y avaient envoyé, combien ils m’avaient atteint. Et c’était ce moment, sous prétexte qu’il n’y en avait jamais eu avant, qu’elle avait choisi pour m’asséner ce coup. Je ris donc un peu jaune quand elle affirma qu’elle assumait. Elle se tourna et c’est dos à moi que le ton baissa quelque peu, que ses lèvres laissèrent échapper des paroles plus calmes, plus posées, qui ne suffirent néanmoins pas à calmer mes nerfs. Je restais de marbre, fermé, froid, imperméable à ses mots. « Va-t-en s’il te plait… » Avant que je flanche, avant que je craque… Elle se retourna quand même, affrontant un instant mon regard pour me souffler sa confiance en nous, dans le fait qu’on trouverait une solution, si je l’aimais autant qu’elle m’aimait, sans me laisser le temps d’ajouter quoi que ce soit, elle fila là dessus. Mes doigts effleurèrent un instant le bois de la porte d’entrée qu’elle venait de claquer, le souffle coupé, sourcils froncés, refusant de céder aux émotions qui m’envahissaient. Parce qu’au final, j’étais persuadé de l’aimer plus qu’elle ne m’aimait. La preuve, je m’étais dévoilé, je m’étais montré sous mon vrai jour, mes défauts et impairs au grand jour. Je n’avais jamais cherché à lui plaire en me faisant passer pour un monsieur parfait, en lui cachant les travers de mon passé contrairement à elle… Brisé et désabusé, je remontais à l’étage, attrapant mon ordinateur pour pianoter des consignes par mail à mes employés pour obtenir un nouveau téléphone, conscient que cette épreuve, j’allais devoir la traverser avec le soutien de mes amis, de mes piliers…  
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