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no one's better for me than you, no one's better than me for you. (carmingham)

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Assise en tailleur sur le lit, l'ordinateur devant moi, je tente de compléter mes cours. Mon stage commence dans deux jours. Nous sommes le 24 septembre et le 26 septembre je serai officiellement une stagiaire au F.B.I. Ça risque d'être une sacré aventure en tout cas. Je passe de longues minutes à regarder comment tout se passe là haut et qu'est-ce qu'il se passe si on échoue pitoyablement à l'épreuve du détecteur de mensonge. Je l'ai raté une fois et je me demande si j'arriverais à leur mentir, à mentir à une machine aussi perfectionnée que la leur. J'en doute. Il faut que je dise tout à mes proches pour ne plus rien avoir sur la conscience, ne plus avoir peur de me faire griller. C'est pour éviter que mon travail soit touché, pour éviter que je fasse n'importe quoi quand on apprendra ce que j'ai fais. Il y a tellement de choses que je dois faire et la première concerne Cole. J'ai peur, avec les élections et tout ce qui va avec, que la guerre qui anime les mather et les eliot se transforment rapidement en une guerre Forbes-Wildingham. Je peux faire confiance à Wade mais si Cole continue, tout ce qu'on a fait, Wade et moi, pourrait être une bonne baffe dans la gueule de mon petit ami. Son téléphone vibre sur la table de nuit à côté de moi et je ne bouge pas. Jusqu'à ce que j'entende mon téléphone sonner dans l'appartement. Je saute du lit et file le chercher, en vain. " Cole, je trouve pas mon téléphone, je prends le tien pour m'appeler " Lâchais-je simplement en attrapant le cellulaire. Et quand je le déverrouille, les premières lignes du texto de cette Lucky apparaissent. Je fronce les sourcils, déverrouille l'écran et... Mes yeux glissent sur l'écran, stupéfaite, l'estomac nouée. Je tremble, littéralement. Je reste là quelques secondes et sors en trombe de la chambre. " Cole ! " Hurlais-je comme je n'ai jamais hurlé. " C'est elle ? Tu continues de lui parler ! Tu joues les victimes parce qu'elle est entrée dans ta chambre mais tu continues d'entretenir le truc ! " Beuglais-je, en tremblant comme une feuille. " Tu préfères sa tenue de l'autre fois ?! " C'était la goutte d'eau là. J'étais complètement folle. Je l'aime à crever, à encaisser son caractère de merde dans une épreuve comme celle là et lui... Lui, il n'en a visiblement rien à secouer. J'ai toujours son portable en mains et je ne compte pas lui redonner, à moins de lui éclater dans le visage tellement je suis en colère et je me sens mal, terriblement mal. Terriblement conne.
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 Je passais le plus clair de mon temps à l’hôpital, le chevet de Noah, puisqu’il fallait s’y relayer sans quoi ces mathers sans scrupules essayaient de s’introduire dans sa chambre… Il y avait aussi fallu gérer tout le fracas médiatique autour de la prise d’otage, et je ne pouvais pas laisser ma mère et Victoria seules devant ces vautours de journalistes, sachant très bien quel autre fait marquant de notre histoire familiale cela risquait de leur rappeler. Et puis il y avait la Eliot House. Ma confrérie. Les élections m’avaient permis d’accéder à une petite parcelle du pouvoir que j’ambitionnais. L’ensemble de notre plan n’avait pas fonctionné, mais il fallait qu’on continue malgré tout, que Noah soit fier de nous quand il reviendrait à lui, parce qu’il avait intérêt de revenir à lui ce petit con, le contraire était juste… inenvisageable. Je rentrais donc de la EH et jetai un œil désespéré aux lieux, mon duplex acheté en fin d’été, et je me mis aussitôt à ronchonner: « Le décorateur d’intérieur est pas encore repassé ? » J’allais dire à Hippo qu’il n’était pas si bon que cela, ce type qu’elle m’avait chaudement recommandé. Je montai dans la chambre pour trouver Kyla qui révisait, embrassai doucement son front en abandonnant mes clés et mon téléphone sur la table de chevet. « Je vais prendre une douche, à tout à l’heure… » soufflai-je en m’éclipsant vers le salle de bain. Quelques minutes plus tard, je n’avais même pas eu le temps de me déshabiller que la voix de ma petite amie résonnait, m’informant qu’elle m’empruntait mon téléphone pour essayer de retrouver le sien. Je me glaçais un instant, repensant à de récents échanges de sms sur lesquels je n’avais absolument pas envie qu’elle tombe… Du genre, cette fille à qui je demandais ses mensurations, ou encore pire, mes textos avec Lucky… « Non attends j’ai… » Trop tard. La porte s’ouvrait à la volée sur une Kyla furieuse qui avait visiblement trouvé du premier coup d’œil matière à hurler contre moi.  C’était visiblement les sms de Lucky qu’elle avait découvert, vu ce qu’elle me reprocha aussitôt. Je blêmis et trouvai aussitôt quelque chose à répliquer pour ma défense : « Elle m’a écrit pendant le gala, elle arrêtait pas de me regarder, je pouvais pas prendre le risque qu’elle me saute dessus, j’étais en pleine campagne, ça m’aurait complètement discrédité. » Sauf qu’elle remontait le fil des textos, et elle y trouva donc de quoi m’incriminait de plus en plus. « Pourquoi tu fouilles dans mon téléphone d’abord ? » demandai-je alors d’une voix dure, accusatrice. L’art de retourner la faute contre l’autre. Toujours. Je fis un pas vers elle, ma main se posant sur la sienne pour essayer de lui reprendre l’objet, pour l’empêcher d’y fouiner davantage et d’y trouver quoi que ce soit d’autre…  
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J'avais loupé quelques jours de cours à cause de mes impératifs à Miami et il fallait absolument que je rattrape mon retard, surtout avec mon stage qui commençait dans deux petits jours. C'était un stage depuis la 'maison', certes, mais j'allais devoir me rendre deux à trois fois par semaine à New York pour être réellement formée. Ça allait me prendre énormément de temps, me fatiguer plus que de raison alors si je pouvais être à niveau avant que ma vie ne devienne un remake de métro-boulot-dodo, ce serait bien. Un baiser sur le front, un petit sourire et je le laissais filer vers la salle de bain. Exit les idées de partie de jambes en l'air dans la douche, je n'avais pas le temps pour ça et puis, il avait peut être besoin d'un peu de temps pour lui. Vu son caractère bien ronchon, j'évitais de le déranger au maximum, n'ayant aucune envie de l'entendre me remballer. Ça devrait pas si on venait à copuler sous l'eau chaude mais avec Cole, on était jamais sure de rien. Mon portable sonne, je n'ai pas le temps de descendre que ça ne sonne plus et je ne le trouve pas. Kyla ou l'art de semer ses affaires partout. Alors j'attrape son portable parce que c'est le chemin le plus rapide, la chose la plus simple à faire et que je n'ai littéralement pas une demi heure à perdre pour chercher mon cellulaire. Sauf que j'aurais peut être du perdre du temps pour le chercher. Ou pas. Je débarque dans la salle de bain, complètement folle, hystérique et à deux doigts de tout casser. C'est donc ça ? Pendant que j'encaisse ses états d'âme, que je suis là pour lui, il fricote avec une pétasse par textos ? Je l'écoute et le regarde droit dans les yeux. " Et tu m'expliques en quoi parler de cette soirée va la calmer ?! Arrête de te chercher des excuses ! " Surtout que je lui ai proposé de partir de cette soirée et qu'il n'a pas voulu parce que c'était trop tôt. " Prends moi pour une conne Cole ! " Lâchais-je en bouillonnant de plus en plus. Sa main se pose sur la mienne et je le regarde droit dans les yeux. " Enlève ta main de là ou je te jure que je te brise les os ! " Crachais-je en le dévisageant. Je retire ma main et serre ma prise sur ce téléphone de malheur. " Je fouille pas ! Elle vient de t'envoyer un message en disant qu'elle a envie de te voir et que ça lui a fait mal au coeur de te voir si atteint à l'hôpital ! " Lâchais-je en secouant le cellulaire. " En fait c'est ça, t'aimes tellement être au centre de l'attention que je te suffis pas " Crachais-je, serrant les dents pour ne pas pleurer. Non Kyla, tu ne verseras pas une putain de larme.
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 Quand j’annonçais que j’allais prendre une douche, c’était TOUJOURS une invitation sous entendue pour me rejoindre… J’aurais presque pu croire qu’elle avait saisi l’allusion d’ailleurs, mais comme elle avait mon téléphone en main et l’air furieux quand la porte s’ouvrit, je saisis aussitôt que ce n’était pas pour faire des cochonneries sous l’eau qu’elle venait de me rejoindre. Je compris bien vite qu’il s’agissait des sms de Lucky, me défendant avec une explication un peu douteuse, replaçant les messages échangés dans leur contexte, à la date du gala d’anniversaire d’Harvard. « Je voulais pas d’esclandres, si elle m’avait senti sur la défensive, elle aurait très bien pu aller crier partout qu’on couchait ensemble. »  Excuses bidons, qui ne prirent pas du tout sur Kyla, pas dupe. Je voulais lui reprendre mon portable des mains, craignant qu’elle ne prenne les coordonnées de Lucky, qu’elle aille la questionner ensuite parce que je savais que dans la version que la mather lui livrerait, j’aurais probablement bien moins l’air d’une victime innocente. Sauf que ma petite amie ne lâcha pas l’objet, m’ordonnant de retirer ma main. J’obtempérais, avec un regard sombre, lui reprochant alors de fouiner. Ce n’était jamais de la faute de Cole Wildingham, toujours celle des autres. Kyla m’expliqua alors qu’elle n’avait pas chercher à m’espionner, mais que Lucky venait de m’écrire, qu’elle avait envie de me voir, et elle avait parlé de me –voir atteint à l’hôpital-. « Je suis pas –atteint- n’importe quoi. » me défendis-je en levant les yeux au ciel. « Tu vois qu’elle dit n’importe quoi, rends moi mon téléphone. » tentai-je à nouveau avant d’expliquer : « Je l’ai juste revue à l’hosto quand une bande de mather a essayé d’entrer dans la chambre de Noah. Ils voulaient surement sa morphine ou je sais pas… » Mais la brune ne semblait pas prête à écouter un traitre mot de ma défense, elle m’avait déjà condamné. « Oh crois moi Kyla, si je voulais être le centre de l’attention je ne choisirais pas une mather pour être à mes côtés. » Quoi ? C’était pas ça qu’il fallait répondre ? J’aurais du lui dire que j’avais besoin de personne, qu’elle était la seule et l’unique ? Je crois qu’il serait vraiment temps de m’acheter –être en couple pour les nuls- 
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Tout était tellement étrange ces derniers temps que je ne savais plus comment agir et réagir avec Cole. Il n"y avait plus beaucoup de communication et j'avais tellement de choses en tête que je n'étais plus vraiment non plus celle que j'étais avant. Et j'avais peut être besoin et envie de plus. Et quand je voyais ces textos, je me rendais compte que c'était limite peine perdue. Allez Kyla, arrête de rêver. T'es peut être la fille avec qui il dort mais visiblement, t'es pas celle qu'il tente de séduire. " Arrête de te trouver des excuses ! " Lâchais-je énervée par ses paroles, par ces mots qu'il tentait de me faire gober. Mais si j'avais pu gober bêtement tout ce qu'il me servait comme excuse à l'époque, ce n'était plus du tout le cas. Aujourd'hui, j'étais méfiante, j'avais peur et je me crispais dès qu'il y avait une femme dans le lot. " Et en plus de ça, tu te mens à toi même " Pitoyable. Pensais-je sans rien dire. Il était atteint par tout ce qu'il s'était passé pendant le mariage de sa mère, surement encore plus parce que c'est lui qui a dit aux Russes que Nikolaï était derrière la porte alors que c'était Noah derrière... " Une bande de Mather menée par Sage ? Je doute que ce soit pour la morphine " Lâchais-je en levant les yeux au ciel. Je passais beaucoup de temps à l'hôpital pour voir Madisson. Je le regarde et quand il me répond qu'il n'aurait pas choisi une mather pour être au centre de l'attention, ma bouche s'ouvre légèrement. Je le regarde, incrédule. " Tu me dégoûtes " Crachais-je en le regardant droit dans les yeux. " Et dire que je dors plus la nuit pour ce que j'ai pu faire l'an dernier alors que tu... tu fricotes avec une putain de Mather alors que je suis à deux mètres de toi ! " Je pose mes mains sur mes tempes, inspirant et expirant difficilement. C'est pas possible, tout ça est une belle et grosse blague. " J'ai rien dis pour tout ce qu'il y a eu avant qu'on se mette ensemble mais putain ! Putain de merde ! " Chassez le naturel, il revient au galop. Excédée, j'étais vulgaire et ce n'était rien comparé à ce que j'étais capable de faire. " On est ensemble bordel ! " Et du coup, je ne pouvais pas faire comme si rien ne s'était passé. " T'as joué au pleurnichard en me disant qu'elle s'était introduite dans ta chambre mais ça t'a bien plu ! " Et c'était le pire. J'avais vraiment cru qu'il était mal suite à ça mais visiblement, ce n'est pas le cas puisqu'il continuait à entretenir cette relation malsaine à douze mille pour cent.
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  Ok, se taire serait peut être plus sage, parce que visiblement, chaque mot que je pouvais sortir pour tenter de prouver mon innocence l’agaçait d’autant plus. J’étais surement aller trop loin dans mes textos pour me faire passer pour un ange maintenant qu’elle les avait tous lu. Je m’écrasais donc un instant, ravalant mes excuses, pestant néanmoins en entendant Kyla m’énoncer le sms reçu à l’instant, où Lucky m’avait trouvé atteint. Je niais tout. Rien ne pouvait m’atteindre. J’étais Cole Smythe Wildingham, je ne laisserais pas une bande de russes mettre ma vie sans dessus dessous. Alors j’expliquais, sans fausse excuse, l’altercation qu’il y avait eu avec les mathers à l’hôpital, devant la chambre de Noah. Et le pire, c’était que j’y croyais à ma théorie de la morphine. Ou bien ils étaient venus là pour prendre des photos, pour se moquer, pour rire de nos malheurs… Parce que j’avais jamais saisi l’intensité du lien qui liait Sage et Noah, pensant naïvement qu’elle n’était qu’un plan cul parmi les autres pour le brun… Il me le fallait vraiment, ce bouquin –le couple pour les nuls- « On s’en balance de la raison qui les a faits débarquer là bas. Ils n’ont pas à mettre les pieds dans sa chambre, c’est tout. » m’énervai-je. Et encore moins si c’était pour aller répandre partout le bruit que j’étais atteint, touché, affaibli, par les évènements. Et je m’illustrais une fois encore dans ma grande maladresse en affirmant à Kyla que ce n’était pas une mather que j’aurais choisie si j’avais voulu me mettre en avant, mauvaise réponse. La tension monta d’un cran et Kyla eut alors ces paroles intrigantes. « Ce que tu as pu faire l’an dernier ? » Je répétai, sans comprendre, pensant par là ensuite qu’elle se référait peut être à son passé d’escort. Occasion idéale pour rebondir à nouveau, me faire également accusateur : « Ouais t'as raison, parlons en de ça. Si j’ai manqué le titre de président, c’est surement à cause de ton passé d’escort, parce que les gens aiment jaser là dessus, que ça a rendu ma candidature très controversée… » J’étais en train de lui dire que c’était à cause d’elle que je n’étais pas président ? La meilleure défense c’est l’attaque, c’était ce qu’on disait en tout cas. « Oublie ces textos ok. » Oublie ces textos et j’oublie le fait que je n’ai pas été élu par ta faute ?  
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Tout allait déraper et je le savais très bien parce que j'avais trop laissé les choses s'aggraver. Je lui avais trop laissé croire que j'étais la petite amie rêvée, celle qui ne dit rien, qui laisse son homme faire ses magouilles à la con sans ne jamais rien dire parce qu'elle n'a rien à dire. Je lui avais trop laissé penser que je n'étais qu'une potiche et c'était fini. Le mariage, les russes, l'altercation avec Méline. Je refusais tout ça, je refusais de le laisser croire qu'il pouvait me balancer comme une chaussette et que je serai toujours là. On s'en balance des raisons, certes, mais tout ça... Mon dieu. Je parle beaucoup. Beaucoup trop et je déglutis difficilement quand il relève mes mots. Ce qu'il s'est passé l'année dernière. Je déglutis et n'ai pas le temps d'ouvrir la bouche qu'il m'accuse de sa non élection à la présidence. Je le regarde, incrédule et ma main part. Je le gifle et sers les dents. " J'ai demandé à ta soeur et à Tate de ne pas accepter mon dossier à la EH pour pas te porter préjudice, pour que tu puisses faire ce que tu voulais de la EH... " Crachais-je en le regardant droit dans les yeux. J'avais l'impression que mon coeur était dans ma main à ce moment là. " Je me suis foutue entre parenthèse pour tes ambitions à la con " Lâchais-je en claquant son téléphone contre le lavabo. L'écran vola en éclat, craquant sur l'émail. " Tu veux savoir ce qu'il s'est passé l'année dernière ? Je me suis droguée. Parce qu'un homme m'a rendu faible. J'ai avalé, sniffé et fumé tout ce qui me passait sous la main pour oublier " Lâchais-je. Mais lui, il n'aura pas ce plaisir de me voir descendre en enfer. " Et j'ai couché avec Wade " Lâchais-je, sentant un poids s'enlever de mes épaules. Je lâche son portable qui tombe dans le lavabo et le regarde. " Voilà, tu sais tout. Allez, dis le, c'est aussi parce que j'ai baisé avec ton demi-frère que t'as perdu la confrérie ? Parce que j'ai fais un séjour en psychiatrie ? C'est ça ? Tous tes problèmes sont de ma faute ? Trop d'importance pour ma petite personne ! " Crachais-je, le corps droit comme un I. À croire que j'avais une poussée de confiance en moi.
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 Le clac sonore de sa paume s’écrasant bruyamment sur ma joue résonna pendant quelques instants contre la faiënce de la salle de bain. Mon visage avait vrillé un peu sous le choc, la surprise. Ma peau m’élançait, rougissant surement à l’endroit de l’impact alors que je me tournai à nouveau lentement vers elle pour venir planter mon regard dans le sien alors qu’elle corrigeait mes dires : elle avait carrément demandé à ne pas entrer à la EH. Elle avait fait la demande auprès de Tate et Vic, les anciens dirigeants, et ce pour ne pas me porter préjudice, pour laisser jouer les petits chefs dans ma cours de récréation préférée. J’en restais muet, surpris, ne réagissant même pas quand elle écrasa mon portable en le brisant contre l’émail du lavabo. Et lorsqu’elle continua dans ses révélations, je serrai les dents. Kyla, droguée. L’an passé, elle avait pris de la drogue, volontairement, dans un moment de faiblesse. De mieux en mieux… Et l’apothéose, la goute d’eau, la cerise sur le gâteau fut finalement ces mots suivants : elle avait couché avec Wade. « Tu as… quoi ? » réussis-je à articuler, sourcils froncés, air dégoûté sur le visage, la défiant de répéter, comme pour m’assurer que j’avais bien entendu. J’entendis à peine la suite, son petit speech parce que ça bourdonnait dans ma tête. Je passais instant ma main sur mon visage, mon index et mon pouce venant masser mon front avant d’ouvrir la porte de la salle de bain à la volée. « Dégage d’ici Kyla. » Et soyons clair je ne parlais pas que de la salle de bain. Dans le doute et pour plus de clarté je répétai : « Dégage de chez moi, je ne veux plus te voir. » Mon duplex. Mon appart. Que j’avais acheté pour NOUS DEUX et qui se retrouvait surement dans les listes des biens à vendre dès le lendemain parce que ça n’avait plus aucun sens. J’étais envahi par un flot indescriptible d’émotion : de la colère au dégoût en passant par la déception. Et puis ce sentiment de trahison, parce qu’elle avait beau s’outrer pour quelques sms, là elle venait de mettre la barre sacrément haut.  
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J'étais en colère, terriblement mal, l'estomac à l'envers par tout ce que j'avais accepté tout et n'importe quoi ces derniers temps avec lui. J'avais encaissé, accumulé et je commençais à faire n'importe quoi. En fait, j'avais tout accepté pour lui montrer qu'on pouvait tout pardonner, absolument tout. Ou pas. Parce que je balançais enfin ce que j'avais sur le coeur, ce que je cachais depuis des mois de relations avec lui. Y a un an, on aurait jamais pu être ensemble parce que j'étais plus souvent fourré chez les Mather qu'autre chose. Je ne lui explique même pas pourquoi. Que j'ai été harcelée, qu'on m'a fait chanter, qu'on m'a manipulé parce que je n'étais qu'une petite chose fragile. Son regard, sa rage, sa colère ne me faisait plus peur. Je ne me sentais pas pousser des ailes mais j'en avais assez. Et je devais tout balancer pour être sûre qu'il n'allait rien découvrir. Une bonne chose pour mon stage qui commençait après-demain mais moi, j'étais mal à en crever. Je regrettais déjà. Apprends à te contrôler et à la fermer Kyla. " Oh ça va ! Ça voulait rien dire à l'époque et encore moins maintenant " Crachais-je, usant de ses excuses bidons, des mensonges qu'il me tartinait depuis des semaines, des mois et plus encore. " On était pas ensemble, ça veut rien dire, je m'en fous de lui " Lâchais-je après son premier 'dégage d'ici'. " Ça te rappelle rien ? " Et voilà que j'étais arrogante, que je lui rebalançais toutes les merdes qu'il m'avait servi pendant des semaines, à mesure que ses anciennes conquêtes étaient "enceintes", qu'elles se glissaient dans ses draps la nuit, qu'il les draguait par texto. " Pas besoin de le demander deux fois " Crachais-je en sortant de la salle de bain et filant dans la chambre où j'attrape mon ordinateur et le glisse dans mon sac à mains. Je le regarde, de l'autre bout du couloirs et souffle, les dents serrées. " Le pire dans cette histoire c'est que je suis amoureuse de toi, je suis tellement amoureuse de toi que je préfère me tirer une balle dans la jambe que de te mentir " Et j'allais en souffrir de tout ça, comme jamais. Je le savais. " Si toi t'as envie de te mentir, tant mieux. Mais je vivrais pas dans le mensonge, pas après tout ce qu'il s'est passé cet été " Lâchais-je en enfilant une paire de chaussures. Je marche vers lui, perchée sur mes talons hauts. " J'ai plus aucun secret pour toi maintenant et ça aurait toujours du être comme ça... À toi de voir si t'es capable de faire avec ou non " Lançais-je en le regardant droit dans les yeux avant de descendre les escaliers, tremblant de la tête aux pieds. Il avait notre couple entre les mains, notre relation entre les mains. Et je détestais ça parce qu'il allait être attiré par cette Lucky, par toutes ces filles qui lui tournaient autour maintenant que j'avais lâché la bombe.
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 Ca me dégoûtait. De l’imaginer prendre des substances illicites là bas, entourée de ces salopards de mathers, et pire que tout c’était la vision ensuite de la jeune femme s’abandonnant dans les bras de Forbes. Wade. J’allais le tuer ce salopard. Aussitôt, l’image de leur danse lors du bal, son regard alors, tout ça me revint en tête et ça n’accentua qu’un peu plus ma colère. Surtout lorsqu’elle me ressortit mes propres mots, ceux que j’avais utilisé pour minimiser mon aventure avec Ivy ou le nombre de conquêtes que j’avais eu avant qu’on soit en couple Kyla et moi. Je soufflai, soupir exaspéré, ouvrant la porte pour qu’elle la prenne, pour qu’elle dégage, sentant peu à peu le point de non retour approcher. Je fis quelques pas dans la chambre en l’observant s’activer, récupérer son ordi, avant de prendre le chemin de la sortie. Elle se retourna finalement pour reprendre la parole. Je ne retenais même pas la déclaration dans ses mots. De rage ce n’était que l’affirmation qu’elle ne me mentait pas qui me restait en tête, et en travers de la gorge. Un rire mauvais s’échappa de mes lèvres avant de répliquer : « Oui, t’es incapable de me mentir ? T’appelles ça comment alors ? Une omission ? Une rétention d’information ? T’attendais quoi pour me le dire ? Que je sois complètement accro, que ça me fasse bien mal ? » Bien joué. « C’est comme pour ta suspicion de grossesse en fait, j’suis toujours le dernier au courant. » Ca m'étonnerait même pas que Dante ou Méline soient au courant tiens...  « T’aurais pu me le dire au bal, quand t’as appris que c’était lui mon demi frère. T’aurais pu me l’avouer dans l’avion pour Cap Breton, quand on a décidé de se mettre ensemble. T’aurais pu aussi me le dire quand je t’ai avoué pour Ivy et moi. Ou même à Londres, quand j’ai mis cartes sur table… » Je fulminai, j’étais furieux. Ouais c’était pas du mensonge certes, mais c’était de la vérité à retardement et ça me mettait tout autant hors de moi, comme tout ce qui concernait Wade. Elle s’avança, perchée sur ses talons, me toisant, son regard planté dans le mien, me défiant presque. « Je te l’ai dit, si je veux me mettre en avant je choisirais pas une mather à mes côtés. Et une ex droguée qui se faisait sauter par ce bâtard de Forbes, c’est pire qu’une mather. »  
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