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tathena=Jusqu'au temps que la mort nous sépare?

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Tathéna= Jusqu'au temps que la mort nous sépare?
feat. Athéna
Je ne savais pas comment je ne pouvais penser que le père d'Athéna aurait pu me reconnaître, je ne sais pas si c'était encore les gaz qui me jouait des mauvais tours. Tout semblait si vague et si loin. Une partie de moi était heureux de savoir qu'Athéna avait fini par mettre sa fierté de côté un peu pour venir me voir, au fond de moi c'était un bon signe non que malgré tout ce qu'on avait traversés, on pouvait finalement essayer d'être des amis? Je hochais la tête et dit: ''Ah je me suis trompé, c'est vrai, je l'ai jamai rencontrer et il devait pas savoir qui j'étais pas vrai?''. M'étonnerait qu'Athéna avait pu parler de moi à un autre homme, je n'avais pas été si important quand même pour elle pour qu'elle se donne la peine de parler de moi. Je n'avais pas le temps de répliquer que je perdais le contrôle de mon corps. Déjà que je n'entendais plus dans mon oreille gauche, voila les convulsions, mais y se passe quoi?! Je regardais rapidement autour de moi, les machines devenaient folles et je paniquais, je sentais les larmes coulés sous la panique: ''Je veux pas mourir Théna...''. Je n'avais plus le contrôle, c'était la panique et surtout, je n'entendais plus rien. Des infirmières arrivaient en trombe dans la salle, une s'occupait de me donner une injection, l'autre s'occupait de lire mon dossier: ''Il a rien rempli pourtant, mademoiselle qu'est-ce qui passe ? Il s'est plaint d'un truc?''. Un médecin rentrait dans la chambre d'hôpital et venait m'examiner les yeux,, voir mes vitaux et regardait soudainement Athéna: ''Est-ce qu'il a une surdité?! ''. La ligne sur la machine indiquait maintenant que j'étais en arrêt respiratoire, chouette.

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Tathéna || Jusqu'à ce que la mort nous sépare
Mon père n'a jamais officiellement rencontré Xavi qui était pourtant mon premier copain avec qui je suis restée pendant des années. Alors certes ca n'a jamais été vraiment officiel mais j'aimais Xavi plus que de raison, il était mon monde, j'avais besoin de lui tout le temps. Avec le temps justement on a du s'éloigner parce que j'ai finis par quitter la Suisse mais il restait toujours lui même après tous ce temps. Si il était resté, si il s'était battu on serait surement encore dans notre relation un peu spéciale mais non, j'avais décidé de donner une chance à Tate mais une chose était sure, Tate ne méritait pas de connaitre mon père, c'était une voie au fond de moi qui me le disait et au fond j'avais raison, je me suis faite prendre pour une conne, un remplacement en attendant que sa Willow ne revienne rien de plus. Je ne comprends même pas pourquoi Tate m'a demandé de venir alors que Willow accourerait surement mais j'y vais, je dois être trop conne une fois de plus. Je suis mal à cause de Madisson dans un sale état elle aussi. Tate me fait une remarque sur le faite que je n'ai pas parlé de lui a mon père, je trouve ça un peu gonflé de sa part je reprends "Arrête Tate, fait pas le vexé alors que t'avais surement pas parlé de moi à tes parents non plus. Et je lui aurais parlé de toi je lui aurais tous dis, il aurait plutôt eu envie de te défoncer je crois. Tu le connais pas quand il s'agit de moi. Une fois il a foutu Xavi dehors c'était chaud." oui une fois où il est rentré plus tot et ou il m'a trouvé sur le canapé à discuter à Xavi, ça lui a pas vraiment plus. Il est comme ça mon père, il donnerait tous pour moi, il me protège. Je commençais à etre en manque de drogue, c'est à ce moment là que Tate a commencé à devenir bizarre, tremblant de partout. Je réagis rapidement, je le tiens descendant son lit et le mettant sur le coté. Il panique, interieurement moi aussi, je le regarde reprenant "Tu vas pas mourir, t'en fais ..." j'appelle à l'aide et il est rapidement pris en charge. Tous va très vite, on me fait m'éloigner puis voilà qu'on me pose des questions, je ne sais pas, je ne sais plus, je suis moitié déconnectée j'ai envie de vomir je panique je regarde l'infirmière qui me parle reprenant "Euh non je crois pas ... Oui ... il a eu une bombe qui a explosé près de lui, il a perdu en audition d'une oreille" qu'ils fassent quelque chose, je ne supporterais pas de le voir mourir comme ça.



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Tathéna= Jusqu'au temps que la mort nous sépare?
feat. Athéna
Je pouvais sentir que les effets du gaz anesthésiant étaient encore présent mais j'arrivais à avoir une conversation avec Athéna. Je voulais vraiment que cela se passe bien entre nous et je ne voulais pas qu'on se prenne la tête alors que j'étais assis dans mon lit d'hôpital en l'écoutant parler. Elle était si belle mais si chiante à la fois, c'était tellement évident de voir pourquoi j'étais tombé amoureux d'elle, son caractère de merde faisait justice à sa beauté dommage qu'elle n'avait pas pu me faire confiance, elle n'avait jamais su combattre ses propres insécurités. Je riais légèrement: ''Je savais que tu étais futée Athéna. Mais t'inquiètes, Papa et Maman Murray sont bien au courant du nom de la fille qui a fait qu'ils ont pu voir leur fils 2 fois de plus dans la même année.''. Et oui, pour une fois que j'avais parlé d'une fille à ma famille, c'était presque un miracle. La discussion allait devoir reprendre plus tard quand mon corps décidait de me faire convulser, un état de choc à cause du traumatisme que j'avais vécu au mariage. L'infirmière transmettait rapidement l'information sur mon état et soudainement, je sentais mes yeux roulés et ..........la ligne flatte. Arrêt cardiaque. Je ne sentais plus ce qui se passait autour de moi. Je ne croyais pas que j'allais subir sa mais le corps humain était imprévisible.

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Tathéna || Jusqu'à ce que la mort nous sépare
Il y a des fois ou il faut le dire, il est relou. Je ne sais franchement pas à quoi il joue ou même ce qu'il cherche à faire ça. On est plus ensemble, il ne m'aime pas alors pourquoi toujours me chercher comme ça ? Je le regarde, il m'en voudrait presque de ne pas avoir parlé de lui à mon père mais il devrait plutot me remercier, grace à moi il aura encore un visage impeccable et aucune trace si il se fait opérer. Oui mon père est un homme tolérant mais pas du tous avec les hommes que je peux fréquenter, il faut le dire, je ne lui ai jamais présenté personne tous simplement parce qu'avec Xavi c'était compliqué et bon ... Il le connaissait après il le tolérait on va dire mais je ne l'ai jamais présenté officiellement à mon père, puis Maxime qu'il n'a jamais rencontré et enfin Tate, même chose il ne l'a jamais rencontré. Bonaventure on était pas ensemble donc bon c'est la même chose. C'est quand même une étape de présenter quelqu'un à son père, surtout que moi j'ai pas de maman pour le tempérer faut le dire, d'habitude c'est le role des mères ca faire en sorte que le père soit pas trop méchant avec le potentiel gendre. Tate me sort alors qu'il avait parlé de moi a ses parents, honnetement ça me chose, pourquoi il a fait ça au juste ? Je le regarde et je reprends après un instant "On était même pas ensemble officiellement Tate. Va pas me dire que si je te disais Vas y maintenant on se met ensemble officiellement c'est du sérieux tu me dirais oui, ou alors tu me tromperais dès que tu en aurais l'occasion. T'as joué mais si ça a pu permettre à tes parents de te voir plus j'en suis contente pour eux honnetement." oui même si ils ne sont pas proches. C'est alors qu'il s'est senti mal, je n'ai pas compris et il a finit par convulser. Rapidement de l'aide est arrivé pour le prendre en charge alors que je suis plus que paniquée. Je regarde le personnel de l'hôpital "Faites quelque chose je vous en supplie ... Tate !" le moniteur devient plat alors que je commence à pleurer, il peut pas me faire ça non. Une infirmière me regarde reprenant "Mademoiselle Campbell vous devez sortir maintenant, laissez nous prendre en charge votre ami" il n'a pas le droit de faire ça, je vois le moniteur devenir plat et je reste dans mon coin incapable de réagir ou même de partir je tombe en arrière atterrissant sur un siège derrière moi le regardant alors qu'il était entrain de mourir. Ma vie craint vraiment faut le dire.



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Tathéna= Jusqu'au temps que la mort nous sépare?
feat. Athéna
On arrivait à se prendre la tête même alors que j'étais à moitié drogué et elle semblait dans tous ses états, c'était typiquement nous quoi. Je secouais ma tête et j'aurais souhaité qu'elle ne sache jamais que j'avais parlé d'elle à mes parents, c'était quand même la première fois en 26 ans que j'avais fui les États-Unis à deux reprises pour la Suisse à cause d'une fille, mes parents avaient même pas pris notre conversation au sérieux en plus mais cela avait été difficile de me convier à eux tellement elle occupait une place énorme dans ma vie. Je toussotais et lui dit: ''Tu comprends pas encore? J'ai jamais fui pour une fille, tellement que tu me chavirais, tellement que mon coeur débordait d'amour pour toi. Oui si tu me dirais, allez je te donne une chance Tate aujourd'hui, essayons d'être un couple, toutes les autres ne compteraient plus pour moi parce qu'enfin je saurais qu'on a une chance ma belle, c'est vrai.''. C'était vrai, je n'avais rien à perdre et surtout j'avais 26 ans maintenant, c'était fini les conneries de coucheries de gauche et à droite, j'étais prêt à me ranger quoi pour vivre enfin une histoire d'amour qui en vaudrait la peine. La suite serait pour plus tard, je devais lutter pour ma vie. Mon coeur s'arrêtait de battre après que mes convulsions furent contrôler. Je voulais vivre, je désirais respirer le bonheur avec quelqu'un, finir mon bac quoi. Les infirmières et le médecin s'activaient comme des abeilles. On sortait le défribilateur, on pouvait les collants sur mon torse et on chargeait à 200........rien. On augmentait la charge à 230 ....un pouls! Je me réveillais en sursaut en cherchant mon air! On me donnait un masque à gaz et je reprenais mon souffle tranquillement en éclatant en sanglots, je ne montrais pas mes sentiments mais la, c'était trop.

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Tathéna || Jusqu'à ce que la mort nous sépare
Je n'arrive plus à le comprendre. C'est vrai, un coup il m'aime l'autre non, il me dit je t'aime il doit réfléchir alors que je lui dis que moi aussi. J'ai beaucoup supporter niveau conneries de sa part. C'est vrai, il faut le dire j'ai été patiente, j'ai essayé de prendre sur moi, d'être gentille mais c'est trop enfaite. Il pense quoi ? Que j'aurais parlé de lui à mon père ? Après tous ce qu'il a fait ? Mon père l'aurait tué lui même si il avait su c'est trop quoi. J'ai aimé Tate, sincèrement mais au final je me suis rendue compte qu'on était pas heureux lui et moi, que ses jeux avec les autres ne me convenaient pas. J'ai besoin d'un truc solide, pas de ça enfaite. Une fois de plus il me fait une sorte de déclaration tandis que je lève les yeux au ciel, c'est le gaz qui le fait divagué ils ont du trop forcer la dose je ne sais pas. "C'est le gaz qui te fait délirer Tate, tu n'es pas amoureux de moi tu ne l'as jamais été et si on était ensemble on ne serait pas heureux. Je ne comprends même pas comment tu as pu parler de moi à tes parents enfaite, pas au bout de 6 mois ... pas après tous ce que tu as fais..." oui peut être que la page se tourne mais le livre n'est pas encore complètement fermé, c'est Tate quoi, il sait dire de belles phrases, faire espérer, j'essaie de ne plus y croire. En ce moment même je suis minable, en manque de drogue, je me sens mal, j'ai chaud puis froid je tremble jusqu'à ce qu'il fasse un arrêt. Je reste de mon coté de la chambre je les supplis je panique je me mets à pleurer, je ne veux pas être responsable de ça, je m'en remettrais pas, j'ai déjà perdu Alexane par ma faute je le sais, je ne peux pas. Je ne sors pas de la pièce, je tombe sur le siège derrière moi je ne respire plus je n'y arrive pas, des larmes coulent sur mes joues, j'ai l'impression que c'est la fin je m'en voudrais toute ma vie si ce sont mes derniers mots. Je l'appelle une nouvelle fois espérant qu'il revienne je ne sais pas ça peut pas se finir comme ça "Tate !... Tu peux pas me faire ça comme elle !" et là le miracle intervient, dieu, une puissance divine je ne sais pas, il revient. Une infirmière lui met un masque tandis que moi je reprends ma respiration difficilement faisant fort avec le stresse j'avais l'impression d'étouffer de crever tellement ça me faisais mal de partout. Mais il était encore vivant.



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Tathéna= Jusqu'au temps que la mort nous sépare?
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Je me demandais si cela valait vraiment la peine que je discute avec Athéna. À moitié encore sous les effets du gaz anesthésiant, j'étais un foutu moulin à parole et bordel que c'était gênant. C'était comme si il n'y avait aucun bouton qui avait la fonction de me faire arrêter de parler, il semblait plus que j'avais de choses à dire, plus que je devais gesticuler et surtout tenter quelque chose avec Athéna: communiquer. Je roulais des yeux et avait eu le temps de dire: ''Ok Théna, la ferme. Tu sais que j'ai été amoureux de toi, arrêtes de dire le contraire bordel que tu me casses les couilles. Comment tu peux le savoir, tu nous as tuer avant même qu'on aille eu la chance de naître. Bravo princesse, oui j'ai parlé de toi à mes parents tellement que tu m'obsédais, que c'était la première fois qu'une fille me donnait envie de remuer ciel et terre pour un sourire, du temps à sa compagnie quoi.''. Le corps en état de choc, j'avais eu un attaque cardiaque. Mon coeur avait subi trop de détresse à cause de la fusillade et de ma dispute avec Athéna. C'était trop pour lui, il représentait mes relations amoureuses de ces derniers temps et il avait trop été mis à l'épreuve le pauvre. Dieu avait décider que l'heure de mon trépas n'était pas pour tout de suite puisque tranquillement, je sentais mon coeur battre dans ma poitrine, tourner ma tête dans toutes les directions avant de reprendre mon souffle. J'avais failli y rester. Masque sur la bouche, je la voyais apeuré dans un coin la pauvre. Je lui faisais signe de se rapprocher.

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Tathéna || Jusqu'à ce que la mort nous sépare
J'ai beau essayé je n'y arrive pas. Je n'arrive pas à croire Tate, je sais qu'il veut être sincère, honnête mais au final il ne l'est pas. Il s'est moqué de moi une fois. Il aura beau me dire n'importe quoi je me rappelle de son "je dois réfléchir" quand je lui ai dis que j'étais amoureuse de lui au bal et ce qui m'énerve par dessus tous ? C'est qu'il n'assume pas ses conneries et qu'il soit là à me sortir des grands mots comme quoi ses parents savent que j'existe ou je ne sais quoi. Je le regarde avant de lever les yeux au ciel en entendant ses paroles. "Je dis le contraire si je veux Tate. Quand t'aime quelqu'un tu le friendzone ? Tu le rabaisses ? Tu parles de ses problèmes à communiquer à tout le monde ? Tu la trompe ? Tu penses vraiment que c'est ça aimer quelqu'un Tate ? Je nous ai tué parce que j'en pouvais plus de tes conneries en puissance, on joue pas avec quelqu'un qu'on aime. Tu te rends pas compte toi j'ai l'impression, à croire que t'as jamais fais un pas de travers. Tu crois que tu peux tous faire et que parce que tu as parlé de moi à tes parents je devrais tous pardonner ?" ça m'énerve quand il me sort des trucs comme ça. Et là c'est le drame, il perd connaissance et de longues minutes s'écoulent alors que moi j'ai l'impression que je vais crever tellement j'ai peur. Je pleure, je l'appelle, je ne veux pas qu'il meurt. J'ai l'impression de revoir Alexane entrain de mourir pris de moi sans que je ne puisse rien faire. J'essayais de respirer, je voulais que lui aussi respire, il pouvait pas me faire ça. Il finit par revenir à lui alors que j'étais dans un coin de la salle. Je respire fort avec le stresse et il me fait signe d'approcher mais j'en suis incapable comme si, si je le faisais c'était prendre le risque de le perdre vraiment. Je finis par me relever doucement pour aller vers la fenetre, l'ouvrir, m'assoir et allumer une cigarette basculant ma tête en arrière comme si je pouvais enfin respirer et reprendre mes esprits. Je peux pas faire ça.



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