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Heal My Wounds. Gab

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Isaiha n’avait pas dormi de la nuit. Comment aurait-il pu dormir en sachant qu’une personne avait été blessé en tentant de l’aider. Il avait essayé de se tourner et de se retourner dans son lit mais il avait rapidement compris que cela ne servait à rien de s’entêter. Le sommeil ne voulait pas de lui et son corps en avait assez d’être malmené de la sorte. A cinq heures du matin, il entrait dans la salle de bain et se posait devant la glace. Son torse était couvert d’ecchymoses. Ce n’était rien en comparaison de sa lèvre coupée, de sa pommette violacée ni même de son arcade sourcilière gauche.  Il se sentait idiot, il se sentait mal mais au lieu de s’inquiéter pour lui-même, il pensait à cet homme, cet autre bizut lowell qui lui était venu en aide. Gab l’avait sorti d’une bagarre qu’il n’avait jamais voulu provoquer. Isaiha avait simplement souhaité qu’un des deux hommes cesse d’importuner une serveuse. Quelle idée… non seulement la serveuse lui avait demandé de s’occuper de ses affaires mais en prime, ils lui étaient tous les deux tombés dessus à la sortie de ce dinner. Le jeune homme ne comprendrait très certainement jamais ce monde moderne. Un soupire plus tard et il prenait sa douche en essayant de faire le moins de bruit possible afin de ne pas réveiller sa sœur. Puis, durant les heures suivantes, il s’attela à la sculpture d’un personnage en bois -l’un de ses passe-temps. Ce n’est que vers dix heures qu’il prit la route de la Lowell House bien décidé à remercier son sauveur comme il se doit. Il le trouva dans l’un des salons, encore désert de la confrérie. « Bonjour » l’interpella-t-il assez timidement. « Comment te sens-tu ? » demanda-t-il en tenant l’une des lanières de son sac à dos qu’il portait en travers de l’une de ses épaules.

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Il a mal. Comment pourrait-il en être autrement ? Il fallait qu'Ambroise n'oublie pas qu'il a la taille et l'allure d'un cornichon ! Question muscle c'est inexistant. Pourtant, hier soir il s'est senti pousser des ailes pour Isa. D'ailleurs, Ambroise ne s'est même pas comment tout cela à démarrer. Sa nuit est douloureuse, il n'arrive pas à dormir parce qu'il souffre de tout son corps. Oeil au beurre noir, lèvres gonflées, mâchoire qui lui fait mal ... puis les hématomes. "PUTAIN !" Ambroise jure, cela n'arrive jamais d'habitude, sauf aujourd'hui. Il n'y a personne alors il peut se l'autoriser. Il se lève avec difficulté. Il boite en plus du reste. Ils ont voulu lui casser le genou, mais heureusement Ambroise s'en est rendu compte avant qu'il lui mette le coup. Lorsqu'il se regarde dans le miroir il se dit qu'il ne reconnait pas l'homme qui s'y reflète. Il se le promet, plus jamais il ne se battra. Puis d'ailleurs son ami n'a rien fait. Il n'a pas bougé d'un poil alors Ambroise venait pour le défendre. C'est en colère qu'il émerge dans la salle de bain. Il prend une douche brûlante. "AIE !" Il sert les dents. Lorsqu'il sort de la douche il commence a voir les bleus. Il pousse alors un soupire puis fil s'habiller. Il va se rendre à l'université pour quelques petits soucis d'administration. Son dos le fait souffrir, mais Ambroise part tout de même. Il faudra qu'il aille faire un saut à l'hôpital ou au médecin pour prescrire des radios. Alors qu'il tourne les pages d'un livre il entend une voix familière. Comment peut-il lui demander comment il va ? Quel culot ! Ambroise croise le regard de son ami et lui répond :" J'crois que je devrais passer quelques radios." Il hausse les épaules et s'assoit à une table, toujours son ouvrage en main.
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Ambroise ou plutôt Gabriel puisque ce dernier souhaitait qu’on l’appelle par son second prénom semblait souffrir le martyre à cause de ses blessures. Isaiha n’en était que plus désolé pour lui et surtout se sentait que davantage coupable et redevable à son égard. « Il serait préférable en effet que tu passes des examens » lui dit-il en fronçant les sourcils, ne sachant guère comment s’excuser, le remercier et l’aider. Ce n’était pas évident pour lui de dépendre d’un English en dehors d’Amanda. Qu’est-ce qu’un English ? Simplement un membre étranger à la communauté amish. Le jeune homme avait beau avoir été excommunié suite à son départ, il continuait de se sentir amish au fond de son cœur. « Je pourrais t’accompagner…C’est le moins que je puisse faire pour te remercier de m’avoir secouru » reprit-il bien vite la parole en posant un regard soucieux sur son ami. Il se sentait réellement responsable de son état de santé. Qu’est-ce qui lui avait pris de croire que dans ce monde moderne, on pouvait résoudre un conflit avec bon cœur et de sages paroles ? Il avait été naïf de croire que ce serait si facile ni même que la victime du harcèlement ne souhaitait pas d’aide. Par moment, Isaiha se sentait totalement dépassé par cette violence lui qui avait vécu dans un cocon durant toute sa vie. « D’ailleurs, je te suis redevable et je tâcherai d’honorer la dette que j’ai envers toi… Je tenais également à te remercier de m’avoir aidé » lui dit-il en posant la petite sculpture d’un loup qu’il avait créé après sa douche. Ce n’était pas grand-chose mais pour lui, c’était une façon de montrer sa gratitude.

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Ambroise a mal partout. En même temps il a reçu beaucoup de coups. D'ailleurs, le jeune homme est en colère contre son ami. Pourquoi n'a t-il pas réagi ? Il est resté figer comme une statue. Les coups on plu sur Ambroise qui a présent à les lèvres défoncées, un oeil au beurre noir et bien autres coups encore. Pour oublier Ambroise s'est dit qu'il allait se rendre à la maison des Lowell. Il avait besoin d'ouvrages et puis il n'avait pas envie de rester tout seul dans son logement. De ce fait, il était parti pour l'université. Il s'est dit qu'il n'y aurait pas beaucoup de monde, pas de sitôt en tous les cas. Par contre il faudrait qu'il passe voir un spécialiste, peut-être se rendre aux urgences ? Si son psychiatre le voit dans un tel état Ambroise sera mal ... Alors, il pousse un long soupire. Son médecin traitant il devient quoi lui ? Il s'empare de son téléphone. Isa est là, il veut accompagner Ambroise voir un spécialiste. "Non, ne te donne pas cette peine." Il range son téléphone au fond de sa poche quand Isa lui montre une petite sculpture d'un loup. "C'est pour moi ?" Il demande alors à Isa, captant son regard.
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Que pouvait-il faire pour se faire pardonner et surtout pour se racheter. Gabriel ne pourrait jamais comprendre les raisons l’ayant poussé à se laisser battre puis, à ne pas avoir été d’un grand secours lorsque les coups se sont reportés sur lui. Il se sentait lâche et misérable alors qu’il n’avait fait que se conformer aux mœurs amish. Ces derniers étaient des non violents et ne répondaient jamais ni aux attaques verbales et encore moins aux attaques physiques. Seulement, son inaction était surtout motivée par une peur trop ancrée en lui pour être débusquer facilement. « J’insiste, c’est le moins que je puisse faire et puis, je te suis redevable. Je veux pouvoir t’aider » lui dit-il avec assurance bien que parler lui était douloureux à cause de sa lèvre fendue. Ils devaient offrir un sacré tableau à qui voulait bien les voir. Amochés tous les deux, assez raides l’un avec l’autre. « Oui, je l’ai fait ce matin. J’aime.. Enfin j’aime bien travailler le bois » avoua-t-il assez gauchement.  

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Ambroise n'est pas de nature à être colérique d'habitude. Seulement, son ami ne l'a pas aidé. Il l'a laissé se faire tabasser sous ses yeux et ça Ambroise l'a en travers de la gorge. Il est venu le secourir et lui est resté impassible. Ambroise aurait aimé de l'aide, en vain. Alors, lorsqu'il s'est réveillé avec tous ses bleus, toutes ses marques, Ambroise n'a pas qu'en vouloir davantage à son ami. D'ailleurs il se demande s'ils sont sincèrement amis. Ambroise n'a clairement pas envie de lui parler quand Isa lui offre un loup fait dans le bois. Ambroise s'empare alors du cadeau. "Merci, c'est très aimable de ta part." Il fixe alors le loup un instant, il est réellement très bien fait. "Tu sais tu n'était pas obligé, mais c'est très gentil de ta part et c'est très beau." Ambroise le range précieusement dans la poche de sa veste. "& puis tu n'as pas besoin de venir aux urgences avec moi, ça va sans doute durée un moment ..."
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La lâcheté n’avait aucune excuse, Isaiha en avait bien conscience et il s’en voulait d’avoir été paralysé par la peur. Il se fichait bien qu’on le frappe, il avait déjà connu ce genre de passage à tabac parce qu’il était différent, parce que sa famille vivait marginalement. Pourtant, il ne pouvait excuser sa lâcheté de n’avoir rien fait pour aider Ambroise. Il s’en voulait et ne savait guère comment exprimer ce sentiment. Comment expliquer ses raisons ? Ambroise pourrait-il les comprendre ? « C’était le moins que je puisse faire pour te montrer que je suis reconnaissant du fait que tu aies voulu m’aider… et te demander pardon de ne pas avoir réagi face à ton propre danger » osa-t-il enfin aborder un point important comme s’il refusait qu’il y ait un fossé entre eux. Isaiha n’avait pas beaucoup d’amis, en réalité, il les comptait sur les doigts d’une main et il ne voulait pas que le lowell se méprenne sur ses intentions ou même sa loyauté. « Cela ne me dérange pas d’attendre avec toi aux urgences… Je te suis redevable et j’ai cette dette au fer rouge à effacer. Je peux appeler un taxi pour nous y conduire » lui proposa-t-il car il doutait que le jeune homme puisse accepter de monter sur son porte bagage. D’ailleurs, ce ne serait pas vraiment l’idéal vu son état.

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Cela avait mis de mauvaise humeur Ambroise. Il ne comprenait pas et à force d'essayer de comprendre il s'était lassé. Il en voulait énormément à son ami. Il n'avait guère envie de passer plus de temps avec lui, seulement voilà il lui avait fait un présent pour s'excuser. Ambroise vit naitre un léger sourire sur ses lèvres. Le loup en bois lui plaisait beaucoup. Il le fixait un temp. Il avait été dans les détails s'était indéniable. Il lui demande ensuite pardon et Ambroise ne peut qu'accepter ses excuses. "OK. Je te pardonne." Il regarde encore un instant ce petit loup avant de le ranger dans sa poche. "Tu sais, je pense qu'il y en aura pour un moment à l'hôpital, je me suis vraiment pris une sacrée raclée !" Ambroise hausse alors les épaules. C'est vrai qu'il a mal dans tout son corps. Il devrait aller se faire soigner, mais il craint que cela ne dure trop longtemps. Il n'aime pas faire perdre du temps aux personnes qui sont présentes pour lui. "Bon. OK. Mais ensuite on revient ici, je dois faire des recherches pour un dossier que j'ai à faire." Ambroise lui offre alors un sourire sincère. Il n'en veut plus à son ami, ou peut-être alors qu'un tout petit peu. Après tout comment pourrait-il en vouloir à l'un de ses amis ?
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Les sculptures d’animaux en bois l’avaient toujours détendu mais il n’avait jamais réellement songé à les offrir avant son arrivée à Boston, comme cadeau. La première personne qui en avait eu le droit avait été Amanda, sa petite-amie. Gabriel était le deuxième et il espérait vraiment que cela puisse atténuer sa rancœur à son égard. Cela semblait être le cas mais pour Isaiha, le pardon se méritait et il ne comptait pas s’arrêter là. « Je te remercie de ton pardon mais je saurais me racheter auprès de toi » lui dit-il avant d’insister pour l’accompagner à l’hôpital. « J’ai tout mon temps ! » mentit-il légèrement car il avait des cours à travailler. Le Lowell se devait de donner le maximum pour étudier car il partait de loin, de très loin mais le travail ne lui avait jamais fait peur. « Tu fais quelle recherche ? »lui demanda-t-il en lui souriant à son tour. « Tu as besoin d’aide pour marcher ? » demanda-t-il après coup, prêt à l’aider quitte à le porter sur son dos. Isaiha était prêt à tout pour soulager la souffrance de son ami. Une souffrance dont il était le premier responsable malheureusement. « Je voulais te demander… ma bizutrice m’a donné pour défi de faire une caricature de trois lowell et je me posais la question de savoir si tu accepterais que j’en fasse une de toi ? »

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Ambroise a mal partout. Il s'est pris une raclée, cela est indéniable. Il souffre, sa lèvre inférieure à prit un sacré coup ! Toutefois, Ambroise n'est pas de ceux qui aime se plaindre. Il préfère avancer et passer à autre chose. Bien sûr, il savait qu'il allait prendre des coups, mais il n'avait jamais pensé que son ami serait rester aussi statique. Il n'a pas levé le petit doigt pour lui venir en aide. Cela a fait beaucoup de mal à Ambroise, qui est toujours touché, malgré le cadeau de son ami. Il pousse alors un long soupire, passant une main lasse dans sa chevelure. A-t-il envie d'aller à l'hôpital ? Pas le moins du monde ! Mais doit-il s'y rendre ? Oui, plutôt deux fois qu'une ! Il doit avoir besoin de soin. Peut-être fait-il une hémorragie ? Non, il ne le pense pas, mais l'idée lui fait peur. Il se demande ce qu'il va faire quand son ami reprend la parole. Il veut se racheter. Ambroise aurait bien envie de lui dire que c'est trop tard, que le mal est fait, mais il ne veut pas heurter son ami. Après tout Ambroise tient à lui, sinon il n'aurait pas cette allure. Quand Isa lui demande ce qu'il fait comme recherche, Ambroise esquisse un sourire. "Je fais un dossier sur des romans policiers suédois. C'est pour moi, c'est personnel. Cela n'a aucun rapport avec mes cours ici." Parler de romans lui fait renaitre un sourire sur le visage. "Je préfère aller à l'hôpital une autre fois, plus tard dans la journée sans doute." Il hausse les épaules et un rictus apparait sur son visage. Quand Isa lui demande s'il peut faire une caricature de sa personne, Ambroise ne sait quoi répondre, puis il dit : "Si je peux t'aider, d'accord."
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