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Brothers ? » ft Ael

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Les propos suivants de son jumeau poussèrent bien évidemment Happy à revenir légèrement sur ses pas pour lui faire face. Effectivement, il disait vrai : Ael aurait très bien pu être à sa place, vivre une vie misérable, être obligé de devenir un gigolo pour survivre. Seulement ils n’auraient quand même pas eu les mêmes problématiques de santé, autant dire ce qui est. Si le beau brun regardait avec suffisamment de finesse ce frère sorti de nulle pas, ce dernier ne portait pas d’appareillage auditif, il n’était donc pas condamné à être sourd à brève échéance. Un détail sur lequel Happy pourrait presque l’envier, s’il n’avait pas décidé une bonne fois pour toute de ne surtout pas envier ceux en bonne santé. « Difficile à dire ce qu’ils ont décidé ou pas. Vrai que ça aurait pu être toi, mais comme j’ai une maladie qui a été décelée à la naissance, de ce que j’en sais, cela a peut-être pesé dans la balance aussi. Je m’en fous, c’est un détail pour moi. Tant mieux si tu as eu une belle vie. Et navré que tu ne t’entendes pas avec tes parents, sincèrement… » Il restait avec le cœur sur la main envers et contre tout, pouvant difficilement être cruel face à son propre frère. Même s’il avait envie de lui demander ce qui s’était passé avec son père, pour le moment, il se retenait.

@Ael C. Raudenfeld
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Tu n’avais jamais pensé à comment ils avaient pu choisir lequel faire adopter entre les deux jumeaux, tu en avais clairement rien à faire, tu aurais pu être à la place de ton jumeau, tu le savais parfaitement depuis que tu avais découvert sa présence dans ce monde. Mais tu ne l’étais pas et pour être honnête, tu n’avais pas de pitié pour lui. La vie était une chienne, il est vrai que tu avais eu une vie que beaucoup aimeraient d’avoir, mais tu n’avais rien demandé encore une fois, tu n’avais pas demandé à être d’être un Raudenfeld et celui qu’on a gardé en prime de ça. Après, tu te doutes bien qu’il doive détester tes parents connaissant clairement la vie qu’il avait eue, mais non, tu n’avais aucune pitié, jamais pour personne. « J’en savais rien, désolé pour toi. Après peut-être que ça a pesé dans la balance pour que ce soit toi qui sois adopté et pas moi, puis ça ne m’étonnerait pas de la part des parents. Mais après tout aurait pu être autrement, j’aurais pu être celui malade, j’aurais pu être à ta place. La vie est une connasse, je n’ai pas décidé de vivre comme ça, comme tu n’as pas décidé d’avoir la vie que tu as eue. » Tu haussas les épaules après la suite de sa phrase tout en reprenant la parole encore une fois. « J’en ai rien à foutre, le père n’est qu’un gros con alors, bon. Ils méritent ce que je ne les porte pas dans mon cœur. »
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« La vie est une connasse, ça, je ne peux qu’être d’accord » admit Happy en haussant les épaules. Il n’attendait pas que son jumeau soit désolé, pourquoi le serait-il d’ailleurs ? A aucun moment il n’avait choisi sa vie, pas plus qu’Happy ne l’avait choisie. Avec des ‘si’ on pouvait refaire le monde, mais aussi plonger dans une rêverie totalement inutile, puérile et dangereuse même. « Aucune raison d’être désolé. Tu n’y est pour rien » fit-il en toute bonne foi, lui faisant ainsi comprendre que le fait qu’Ael n’ait pas de pitié pour lui l’arrangeait. Cela le mettait plus à l’aise, et lui permettait de voir son frère de façon différente. De façon plus positive, sans nulle doute, mettant de côté le tempérament chieur que ce dernier lui avait pourtant présenté depuis le début de leur conversation. Ceci étant… Ael remontait grandement dans son estime alors qu’il parlait de l’abandon de son jumeau, et du peu d’estime qu’il avait pour leur père. « Je pense que ma maladie a dû pencher dans la balance. Vu comment tu me décris le paternel, je suis de moins en moins étonné. Je peux te demander… ce qu’il t’a fait ? Tu n’es pas obligé de me répondre bien sûr, mais je suis curieux. Curieux de te connaître. »

@Ael C. Raudenfeld
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Tu n’étais pas réellement désolé, tu ne savais pas comment faire pour l’être dans le fond, mais c’était ce genre de chose qu’on devait dire dans ce genre de moment alors, autant le faire. Autant le dire même si ce n’était pas sincère, il ne te connaissait pas encore, il ne pouvait pas savoir que ce genre de sentiment n’était pas intégré dans ta personne. Tu étais un connard et tu ne le cachais pas, déjà rien qu’à voir comment tu avais pu l’aborder, comment tu avais pu lui répondre. Il ne fallait pas qu’il te fasse des idées, qu’il pense que tu étais un homme simple, qui ne se prenait pas la tête comme lui en faîte, tu ne l’étais pas du tout. Tu profitais de la vie que tu avais eue, tu profitais de l’argent, tu profitais de savoir que tu serais l’homme à la tête de l’entreprise de ton père parce qu’il était évident que tu n’allais pas donner ta place à ton jumeau, tu n’allais même pas lui donner un seul pourcent de ce que tu allais avoir dans le passé. « Ma mère n’est pas mieux non plus, mais elle n’est pas si conne que lui. » Il ne fallait pas mentir, tu aimais plus ta mère que ton père, mais ils se ressemblaient assez dans le fond. « Il dicte ma vie et je déteste ça. Il m’a fiancé à ma meilleure amie sans que je ne le veuille et il fait en sorte que je fasse des études que je n’aime pas pour lui faire plaisir, parce qu’il veut que je sois comme lui, mais ça ne sera jamais le cas. Alors, je le supporte de moins en moins. »
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Face à la connerie évidente de papa, Happy écarquilla deux grands yeux surpris. Enfin, la surprise devenait de plus en plus désagréable, au fur et à mesure qu’il se découvrait des atomes crochus avec son jumeau. Étonnant aussi, n’est-ce pas ? Pourtant, en tant que frères, quelque chose les liait déjà, mais en tant que jumeaux, cela ne pouvait qu’être renforcé. L’américain esquissa une petite moue aux dires d’Ael, ne sachant pas s’il devait le plaindre ou juste partager sa colère. La deuxième solution lui paraissait tout de même beaucoup plus viable, cependant. « Et tu les continues, les études que tu n’aimes pas ? » s’intéressa-t-il non pas par curiosité maladive ou pour apprendre quelque chose histoire de pouvoir l’utiliser contre lui, non. Ce n’était pas le genre d’Happy et il ne voulait surtout pas devenir ainsi. Plutôt crever. « T’as bien raison de vouloir vivre ta vie et d’être toi, tout simplement. Tu ne pourras pas être comme lui, autant qu’il percute… et est-ce que je peux te demander si on a genre… un autre frère, ou une sœur ? Histoire que je connaisse… ta famille… »

@Ael C. Raudenfeld
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« Pas le choix si je veux reprendre l’affaire et comme je veux le faire alors, autant que je fasse ce qu’il me dit. Après je sais que je serais libre. » Tu savais que c’était con de faire une telle chose, mais tu n’avais pas le choix. Tu devais le faire juste pour reprendre l’affaire des hôtels et faire en sorte que ça soit encore mieux qu’actuellement. Tu voulais devenir beaucoup mieux que ton père, tu voulais qu’on parle de toi, mais pas seulement pour les hôtels, mais aussi pour ce que tu étais. C’était clairement compliqué à comprendre surtout pour un homme qui n’avait pas été dans ce milieu et qui ne serait sûrement jamais. « Je serais meilleur que lui, c’est évident. » Tu passas ta langue sur tes lèvres restant tel que tu étais avec ton jumeau, tu n’allais pas changer pour lui. « Ouais, on a une petite sœur Lola et une demi-sœur Bruna. Parce qu’en plus d’être con, il est infidèle. » Ouais enfin tu n’étais pas non plus super proche de Bruna pour être honnête et elle n’était pas réellement de ta famille dans ta tête. Ce n’était pas comme Lola, Lola qui était la seule femme de ta vie, ton bébé, ton amour et surtout ta confidente, celle à qui tu pouvais tous dire sans le moindre souci.
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« Je ne savais pas que tu voulais reprendre l’affaire… mais clairement une fois que tu en seras à la tête, il ne sera plus en position pour te chercher des poux » fit-il valoir, de façon somme toute logique. Happy ne connaissait pas les affaires de son « père biologique » qu’il refusait d’appeler ainsi à cause de l’abandon caractérisé qu’il lui avait fait subir et que l’américain subissait encore. Le futur véto avait la rancune tenace pour tous ceux l’ayant offensé, et refusait catégoriquement de donner la moindre dose de confiance à ces abjects personnages. Il n’existait pas d’autre mot pour lui. « Tu l’es déjà » reprit-il sans même sourciller une seconde. Après tout, Ael n’avait abandonné personne. « Bruna, ça me dit quelque chose… en revanche Lola pas du tout. Tu as une photo de notre sœur ? » demanda-t-il, curieux. Son jumeau n’était pas obligé de lui répondre, cette dernière ne se trouvant peut-être même pas à Harvard, mais Happy voulait en apprendre plus. « Tu sais quand on a le défaut d’être con, en général ça va avec ! Faut pas être fut-fut pour tromper sa femme… »

@Ael C. Raudenfeld
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« Tu me connaissais pas avant aujourd’hui c’est un peu normal que tu ne sois pas au courant. » Quoi ? C’était vrai. Tu n’allais pas faire genre c’était pas grave, sa phrase était juste stupide et tu n’avais pas envie de le cacher alors, tu lui faisais comprendre à ta façon comme d’habitude de toute manière. Tu passas ta langue sur tes lèvres en pensant à ça, à ce que tu allais faire de ta vie et surtout à la personne que tu voulais être. Tu voulais juste être la personne dont tout le monde aurait le prénom en bouche, mais tu n’étais pas encore là, tu reposas ton attention sur le jeune homme, sur ton jumeau avant de parler de ta sœur, de la femme de ta vie. « Je la partage pas. » Ouais, autant mettre les choses au clair rapidement. Tu pris tout de même ton téléphone pour chercher une photo de ta sœur et toi pour lui montrer assez vite. « Ouais, enfin après il fait ce qu’il veut de sa queue. » Tu étais juste tomber sur des papiers puis sur la jeune femme en question, rien de plus. La seule personne qui restait une pure Raudenfeld à tes yeux était Lola et personne d’autre.
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« Ouais enfin… en t’entendant parler de ton père je pensais pas que tu voudrais reprendre son affaire, c’est ça que je voulais dire » expliqua-t-il plus clairement. A croire qu’Ael ne fasse aucun effort pour comprendre les sous entendus d’Happy, et que le futur véto soit en train de marcher sur des œufs devant ce jumeau sorti de nulle part. Pas évident de patauger ainsi dans la semoule, alors que l’américain n’était pas franchement doué pour causer famille. Manifestement, son frère non plus, vu la rétorque qu’il lui imposa au sujet de leur sœur. « Je veux juste voir une photo, qui a dit que j’allais te la prendre ? Faut que t’arrête d’être sur la défensive, t’es limite pire que moi et pourtant y’a du level chez moi ! » fit-il en esquissant une petite moue, quasi surpris qu’Ael lui montre tout de même une photo sur son téléphone. Paradoxal, ce petit… « Elle est mimi ta sœur. Je comprends que tu veuilles la protéger ! »

@Ael C. Raudenfeld
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Tu levas les yeux au ciel ne répondant pas, parce que franchement ça allait juste te prendre la tête, tu étais bien trop différent de l’homme en face de toi, tu savais qu’il y avait plus qu’un monde entre vous et tu n’avais clairement pas envie que cela change, chacun avait sa façon de voir les choses. « Je ne suis pas sur la défensive, c’est juste tu ne sais pas ce qu’elle a pu vivre à cause de nos parents, tu sais rien d’elle. Donc ouais, je n’ai pas envie que tu viennes et que je ne sais pas, tu lui fasses encore du mal parce que je te connais pas assez pour être certain que tu ne lui feras rien. C’est la femme de ma vie, c’est mon rôle de la protéger contre les autres. » Tu croisas les bras devant ta poitrine montrant à quel point tu n’avais pas envie de rire, de rire sur ta petite sœur un truc du genre. Il en était juste hors de question qu’il se rapproche d’elle, s’il avait envie de lui faire du mal. Tu ne le supporterais pas et tu risquais de lui faire du mal, réellement. « Hm. » Tu fis juste un bruit de bouche montrant que toutes ses choses, tu le savais déjà.
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