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Mon prince, il y a (pas) un cadeau dans mon ventre. - PV

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En ce moment, ça n'allait pas fort. Je ne pouvais pas le cacher. Non, je ne parlais pas de mon état mental, j'allais très bien pour l'instant, même si je me tapais quelques colères contre quelques personnes, il semblerait que mes hormones me jouent des tours. Un soir, je n'avais pas été bien du tout, des nausées à en tuer un âne, et une humeur des plus exécrables, sans parler du fait que j'avais des envies spéciales, comme manger des tonnes de biscuits, de soda. Ce qui était loin de mes habitudes. Le soir-même, je souhaitais au moins calmer mes nausées. Mais ce en fut pas une boite d'anti-douleurs pour l'estomac que me donna le pharmacien, mais un test de grossesse. Je le regardais, perplexe. Ça ne coutait rien d'essayer et je lui tendis la carte de Swann pour payer mes achats, et au cas où le test aurait été négatif, il m'avait donné un boite d'anti-vomitif. Ce matin même, j'étais allé dans la chambre Swann, nous allions passés la soirée ensemble, c'était bien plus agréable ici que dans la mienne. J'avais encore un peu de temps. Il était 8h aujourd'hui, et j'avais une envie pressante d'aller aux toilettes. Ça tombait bien que je devais le faire. Cinq longues minutes d'attente, un stress absent car je ne croyais pas en une possible grossesse, ce n'était clairement pas possible. Puis c'est là que le résultat apparut. « Positif ? » Je penchais la tête, surprise. Je relisais la notice, mais c'était bien ça. J'étais enceinte... de Swann ? Le seul homme avec qui je ne me protégeais pas, et le seul avec qui j'avais eu des rapports. Alek ne comptait pas, j'avais pris toutes les précautions du monde en vérifiant bien après notre ébat. Je me sentais perdue, je ne savais plus quoi faire. Je jetais le test dans la boite qui finit dans la poubelle, je me rafraichissait au lavabo, puis voyant mon reflet dans le miroir, je ne pus m'empêcher de relever mon top et de toucher mon ventre? « J'allais être enceinte ? » Ce n'était pas de la joie qui m'animait à ce moment là, mais plutôt de la peur. J'avais trop besoin de Swann pour avoir un enfant de lui, il me jetterait s'il le savait. J'avais peur. J'essayais de me faire à l'idée que de toute manière, il finirait bien par se lasser de moi, non ? Rien que cette idée me faisait encore plus de mal. Ne plus être avec Swann, ça me faisait carrément mal. Il pouvait être ruiner, il pouvait être tout ce qu'il voulait mais m'imaginer le perdre était une douleur insoutenable. Je décidais de me changer les idées, d'arrêter de devenir paranoïaque. D'ailleurs, le soir même, je m'étais carrément jeter dans ses bras. Sans aucune explication, à peine nous avions été dans l'ascenseur qu'il n'avait déjà plus de chemise, et une fois dans la chambre, il n'avait plus rien. Je m'étais jeté sur lui en lui faisant « plaisir » dans l'entrée, puis je l'avais poussé contre la table pour commencer les préliminaires et après maintes endroits de notre chambre, le parcours se finissait dans le lit. Essoufflée, à présent détendue, j'étais à présent allongée dans les bras de Swann. J'étais très pensive. Une fois que nous faisions plus l'amour, ma possible grossesse faisait surface, ma peur de le perdre que ce soit par la grossesse ou qu'il finisse par se lasser de moi, j'avais peur. Mes yeux suintaient à cette pensée, et je cachais ses petits yeux dans les bras de Swann, pour qu'il ne le voit pas et pour que je me sentes rassurée dans ses bras. Je n'arrêtais pas de me dire que mon avenir était à présent incertain. Une fois que mon self contrôle revint à la normale, que mes yeux n'affichaient plus ma peur, je levais le regard vers mon maitre. Je posais ma main sur sa joue, en souriant...de façon peu joyeuse. J'avais encore du mal à me remettre. Mon prince... Je déposais mes lèvres contre les siennes. Souhaitez-vous manger avant que nous prenions notre douche ? Il fallait juste faire comme si tout allait bien dans le meilleur des mondes.
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Les changements d'humeur chez Asmahane ne m'avait guère échappé ces temps derniers. Elle semblait bien plus à vive qu'à l'accoutumée, ce qui m'étonnait un peu de sa part. Du moins, tant qu'elle demeurait fidèle à elle-même avec moi, rien ne me gênait. Ses habitudes alimentaires avaient, elles aussi, m'avaient surprise : depuis quand s'était-elle découverte un tel amour pour les sodas et biscuits ? Songeais-je tout en observant d'un air las l'homme qui souhaitait me racheter une énième fois mon cabaret. Quand comprendra-t-il qu'un tel lieu n'est pas à vendre ? Que ce petit bijou sera mien jusqu'à ce que je ne puisse plus m'en occuper ? Ce n'était pas simplement les alléchants chiffres d'affaires qui me plaisait, mais les souvenirs rattachés à lui. J'y avais certes éprouvé de bien agréables plaisirs, mais j'avais fait une merveilleuse rencontre : Asma', mon esclave en quelque sorte. Après avoir consumé notre passion charnelle une nuit durant, je ne pouvais plus me passer de ce corps... De tout d'elle. Si bien que je lui proposai dans les secondes qui suivirent notre envolée de travailler à temps plein pour moi, ce qui me permettait de veiller sur elle, que personne d'autre que moi ne la touche. Je n'aurais pas pu tolérer le regard d'un homme différent de ma personne sur sa silhouette, que quelqu'un puisse caresser ses cheveux blonds, sa peau douce et dénuée de défaut. Non, j'ai bien réfléchis. Une énième fois, ajoutai-je mentalement tout en me relevant et rajustant mon blaser Yves Saint Laurent. Et il n'est toujours pas à vendre, même pour cinq millions huit. À vrai dire, je ne le céderai même pas pour un milliard. Non, même pas pour tout l'or du monde. Après une brève poignée de main, j'écourtais notre entrevue. Cet imbécile m'avait retenu, s'accrochant à moi tel un roquet. Ainsi, je n'avais pu déjeuner et je sentais s'agiter en moi mon appétit que je refoulais : j'avais malheureusement d'autres chats à fouetter. La démarche pressée, je regagnais la limousine qui m'attendait au coin de la rue depuis une demie-heure déjà, et m'y écroulait presque. J'envoyais un message à Asma la prévenant de mon départ imminent, non sans oublier de spécifier mon désir un peu trop présent de mon corps contre le sien. Pour mon grand dam, nous nous étions cernés par les embouteillages. Après huit minutes de dures labeurs, je me résolus à terminer le chemin à pied. Merde! m'exclamais-je dans l'instant tout en ouvrant la portière et m'élançant sur le trottoir, manquant de près de me faire tailler un short par un motard particulièrement déplaisant. Je percevais un 'Connard' et divers noms d'oiseaux fuser à mon égard. Que la populace était charmante en ce jour ! Je parcourrai le macadam avec empressement, n'hésitant aucunement à jouer des coudes afin de me frayer un passage. Je n'avais plus envie de patienter, je la voulais là, ici maintenant près de moi, ce qui n'était pas encore le cas. Encore une ou deux rues, et je pourrai enfin répondre à nos envies que j'espérai commune. Je courrai presque désormais. Plus que quelques mètres... Je posai ma main sur la poignée, et la porte se déroba. À peine arrivé qu'Asma se jeta sur moi littéralement avec une sauvagerie que appréciais tout particulièrement. L’ascenseur fut témoin de nos baisers et étreintes passionnées tandis que la table, assista à nos préliminaires. À présent exténué, nous étions l'un contre l'autre dans mon lit, et j'étais soulagé qu'Aza ne soit pas présente, de peur qu'elle gâche ce merveilleux moment. Mon Prince... Cette voix, cette manière de prononcer mon surnom... Souhaitez-vous manger avant que nous prenions notre douche ? Malgré ses paroles, son regard me parut différent. Je fronçais les sourcils tout en me mettant sur le flanc et approchant mes lèvres des siennes. Asma... Tu fais, je t'autorise à me tutoyer. Oui, nous étions arrivé à un niveau d'intimité où je pouvais me permettre cette autorisation. Je caressai d'une main ses cheveux soyeux, tout déposant quelques baisers sur sa joue, qui aboutissaient sur sa délicieuse bouche. À vrai dire, tu sais très bien de quoi j'ai faim. Mais si tu veux manger, ne te retiens pas. L'on a livré du soda et des gâteaux à foison. Soudainement, je me mettais à califourchon sur elle afin de l'embrasser avec d'avantage de fougue.
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L'idée d'être enceinte de Swann s'estompa aussi vite que les vêtements de mon prince qui s'envolaient partout et que finalement, nous faisions l'amour avec une sauvagerie sans nom et comme à notre habitude. Je me posais plus d'autre question que comment j'allais lui faire l'amour, à quel moment j'allais dominer pour jouer encore plus. C'était ça. Car au fond, je dissimulais la peur de le perdre pour de bon s'il apprenait que j'étais probablement enceinte de lui -car oui, les tests n'étaient pas totalement sur à 100%-, et combien même je ne l'étais pas, je me demandais s'il ne se lasserait pas de moi un jour et déciderait de me jeter ? Après tout, j'avais mis tous mes sentiments dans ma relation avec Swann depuis qu'Alek m'avait brisé en mille morceaux, lui ne m'avait jamais fait le moindre mal, c'était mon prince, mon amant et lorsque je le regardais alors que j'étais dans ses bras, je me sentais vraiment heureuse. Asma... Tu fais, je t'autorise à me tutoyer. M'avait-il dit alors que je lui proposais de bonnes choses. J'avais acquiescé, si je pouvais le tutoyer, c'était aux rares occasions comme là, mais c'était pas facile de jongler. Je fis un signe de tête positif alors que je fermais les yeux sous la caresse de sa main dans mes cheveux. À vrai dire, tu sais très bien de quoi j'ai faim. Mais si tu veux manger, ne te retiens pas. L'on a livré du soda et des gâteaux à foison. Je me mis à rougir, c'est vrai que j'avais eu plutôt faim en ce moment. S'il n'y aurait pas eu le test, si je me serais laissé dans l'ignorance, je m'en serais peut-être pas rendu compte. D'un coté, j'avais commencé à manger mal depuis peu. Mais je fis mine de sourire, comme ci c'était rien de grave. D'accord, je vais te faire ça. Je l'accueillais avec plaisir au dessus de mes cuisses, appréciant le goût de ses lèvres sur les miennes. Je passais mes mains sur son torse avant de le pousser délicatement. Je glissais ma main dans sa nuque pour approcher son visage du mien afin de l'embrasser. Je reviens vite mon prince. Je te rapporte de quoi te satisfaire. Je caressais sa joue avant de sortir du lit, et mettre son peignoir afin de pouvoir aller dans la cuisine. Si je croisais sa sœur, je doute qu'elle soit contente de me voir nue, bien qu'à la réflexion, c'était pas non plus une bonne idée d'avoir le peignoir de Swann, mais je ne pouvais pas faire autrement. Je faisais chauffer de l'eau alors que je mettais quelques pains aux raisons apportés par le boulanger, du thé, des biscuits, de la confiture, jus d'orange etc... tout ce qu'il pouvait lui faire plaisir. Quelques temps après, je revenais dans la chambre en posant le plateau sur le lit. Voilà, mon prince. J'espère que ça sera à votre convenance. Les pains sont encore chaud du boulanger, et j'ai mis ce que vous pourriez désirer. Je m'asseyais sagement sur le lit alors que je versais du jus d'orange dans deux verres et que je pris un sachet de thé que je mis dans son bol. Je ne me rendais pas compte que nous étions comparables à un couple qui prenaient le petit déjeuner au lit un dimanche matin. Ma vision des sentiments étaient erroné après tout, je n'avais accordé d'yeux que pour Swann.
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La belle se vêtit de mon peignoir, ne me donnant malheureusement pas l'occasion d'admirer encore un peu plus son corps. Elle s'en alla nous préparer de quoi nous rassasier tandis que je calais mes mains derrière ma tête tout en fermant les yeux, étant désormais spectateur de nos instants merveilleux qui passaient en boucle dans ma tête. J'esquissais un mince sourire à ces visions que je qualifiais de torrides tout en roulant sur le flan, entendant les pas d'Asma. Celle-ci m'apportait un plateau rempli de mets qui me faisait d'ores et déjà envie, n'ayant pas mangé depuis des lustres me semblait-il. Voilà, mon prince. J'espère que ça sera à votre convenance. Les pains sont encore chaud du boulanger, et j'ai mis ce que vous pourriez désirer. Après qu'elle ait déposé le plateau sur le lit, je l'attirai dans mes bras, afin de profiter d'avantage de sa présence. Après quelques baisers volés et m'être redressé, j'entreposai le plateau sur mes cuisses et m’affairai à lui préparer ses tartines. Les rôles se seraient-ils inversés ? Après tout, cela ne me faisait pas de mal d'être de temps en temps serviable, même s'il c'était encore très rare. J'étalais avec générosité de la confiture de fruits rouges - sa préférée - sur trois morceau de pain, et au besoin je lui en referai d'autres. Je laissais déraper ma main le long de sa cuisse, tout en préparant mon thé avec l'autre qui était libre. Merci Asma... murmurai-je tout en laissant ma boisson infuser. Après m'être saisis d'un pain aux raisins que je coupais en deux, je lui servis un verre de jus d'orange tout en scrutant son visage. Quelque chose la tracassait-elle ? Si quelque chose te tracasse... Commençais-je tout en fronçant légèrement les sourcils. Fais-en moi part, je te pris... Achevais-je tout en croquant ma viennoiserie qui était tout simplement délicieuse. Je n'aimais pas la voir aussi étrange, soucieuse même. Je caressais sa joue avec tendresse tout en lui adressant un regard assez doux. Tu pourrais m'avouer que t'as vidé mon compte, ou que mon cabaret vient de bruler, de ta part, ça ne me dérangerait pas. Après quelques instants de réflexions, je rectifiais le tire. Quoique, je tiens trop à mon cabaret... Mais bon, tu m'as compris je suppose.
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Une fois sur le lit, une fois assise, je me retrouvais à nouveau dans ses bras. Ça me réconfortait tellement de sentir ses lèvres contre les miennes, son corps si proche du mien, je me sentais bien seulement quand j'étais contre lui. Mais ce fut de courte durée car il se releva pour s'occuper de mon petit déjeuner. Je souris tendrement avant de me glisser à coté de lui lui pour poser ma tête sur son épaule, mes jambes longeant les siennes et mes mains posées sur son torse, je restais ainsi contre lui à me blottir dans ses bras. Son parfum m'envoutait, mon cœur continuait de battre à la chamade à l'idée de retrouver ses lèvres, lorsque l'on aurait fini de manger. Je le laissais faire, ne me préoccupant de mes pensées qui me tourmentaient à l'heure actuelle. Tellement de choses à dire à Swann, mais j'avais peur de lui avouer. Je pris le verre qu'il me servait, buvant qu'une simple gorgée, j'avais seulement faim parce que j'étais enceinte -à ce que je croyais-. Si quelque chose te tracasse... commença-t-il. Fais-en moi part, je te pris... Je ne savais pas par où commencer mon prince. Devais-je lui parler d'Alek, de mes sentiments pour lui, ou encore de ma grossesse, de ma richesse ou encore des douteurs que j'avais quant à ses envies envers moi, la peur qu'il se lasse de moi. c'est compliqué.. Je souris tendrement à Swann, alors que je le regardais manger. Mon verre sur le bord de mes lèvres, sans boire, je me laissais le droit de l'admirer. Perdre un homme comme lui, c'était impossible. Je me sentais tellement nerveuse. Tu pourrais m'avouer que t'as vidé mon compte, ou que mon cabaret vient de bruler, de ta part, ça ne me dérangerait pas. Au point que je ne pus m'empêcher de sourire lorsqu'il osait dire ça. D'un coté, ça me réconfortait, de l'autre, ça n'empêchait pas pas quand même que je devais lui dire. Quoique, je tiens trop à mon cabaret... Mais bon, tu m'as compris je suppose. ajouta t-il. Je me rapprochais de lui pour poser ma main sur sa joue, frôlant accidentellement ses lèvres afin de le regarder directement droit dans les yeux. Je déposais un chaste baiser sur ses lèvres avant de me concentrer pour enfin lui parler. J'espérais qu'il ne m'en voudrait pas. Mon prince... tellement de choses me tourmentent actuellement. Je m'en veux d'avoir attendu pour vous en parler. Je... je ne sais pas comment aborder cela, c'est tellement délicat... je pris le plateau que je posais à coté de moi, je voulais qu'il se concentre sur moi, et qu'en cas de colère, qu'il ne renverse rien sur le lit. Mes yeux ne quittèrent pas les siens. Récemment, j'ai voulu voir ce que c'était de tenter l'amour, et j'ai été déçue, très déçue. Cette personne m'a fait du mal intérieurement, mais ça a été bénéfique sur un autre point cette mauvaise aventure... Je rapprochais mon visage du sien, je mourrais d'envie de l'embrasser. J'ai compris que...je vous aimais plus que tout. Puis mes lèvres se posèrent sur les siennes dans un baiser très langoureux. Je ne m'arrêtais pas seulement à ça, je le poussais légèrement sur le lit pour qu'il s'y retrouve allonger, moi aussi dessus de lui alors que je retirais le peignoir afin de me retrouver nue pour mon prince.
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Compliqué ? Je fronçais les sourcils tandis que je croquais dans ma viennoiserie. Piqué au vif, je ne demandais qu'à en savoir plus, espérant secrètement qu'il ne lui était rien arrivé de grave. Mon prince... tellement de choses me tourmentent actuellement. Je m'en veux d'avoir attendu pour vous en parler. Je... je ne sais pas comment aborder cela, c'est tellement délicat... Sa main sur ma joue, ses lèvres à quelques centimètres des miennes... Avait-il un don pour me déconcentrer de toute conversation un brin sérieuse ? Comme lors de notre rencontre, j'ai eu le droit à être témoin de ses talents buccaux alors qu'il fallait avoir une véritable discussion - Pour tout avouer, je ne me plaignais qu'à moitié. Asma' éloigna le plateau de nous deux pour une raison que j'ignorai jusqu'alors. Récemment, j'ai voulu voir ce que c'était de tenter l'amour, et j'ai été déçue, très déçue. Cette personne m'a fait du mal intérieurement, mais ça a été bénéfique sur un autre point cette mauvaise aventure... Je tombais de haut. Qui était cet imbécile qui avait osé malmener son cœur que je lui fasse savoir comment l'on traite ce qui était à moi ? Je me promettais que dès que son nom ne me sera plus un mystère, d'aller lui régler son compte. Je restais muet tant tout cela m'abasourdissait. J'ai compris que...je vous aimais plus que tout. Mon souffle se coupa à peine sa phrase achevée. Elle m'aimait ? C'était très étrange à penser à vrai dire, et j'éprouvais une certaine chaleur tout le long de mon corps qui m'était agréable. L'amour et moi-même, cela n'a jamais été une grande histoire. À part ma sœur dont j'essayais de me détacher au prix de divers blessures mentales, et Asma bien évidement, je n'avais ouvert mon cœur à grand monde. Une question nouvelle me taraudait désormais : étais-je amoureux de cette jeune femme ? Je regardais sa chevelure couleur blé tandis que nos lèvres se séparaient, m'étant fin à un fougueux baiser. Cette fois-ci, au lieu de céder à l'appel de ses charmes dont je rêve presque chaque nuit, je reprenais simplement l’ascendant sur elle en la maintenant tendrement contre le matelas. Je ne te lâcherais que si dans un premier temps, tu me décline l'identité de ce... de ce salaud, et de deux... J'esquissai un faible sourire qui ne tarda pas à s'effacer complètement, mes yeux communicant cependant tout mon attachement pour sa personne. Explique-moi ta dernière phrase. Je caressais tendrement sa joue, avant de mettre au point une délicieuse vengeance. Je me mettais à m'emparer de ses lèvres avec passion, et de laisser courir sur ses peau. Je lui déposais de doux baisers sur ses joues, le long de son cou... Vois-tu à quel point c'est délicat de réfléchir lorsque quelqu'un vous fait ce genre de chose ? Lui susurrais-je avec malice.
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Je l'embrassais fougueusement, je venais de lui dire que je l'aimais, que seul lui était dans mon cœur. Je me retrouvais à avoir chaud, à apprécier la chaleur de son corps contre le mien. Mais ce fut de courte durée, une fois notre baiser rompu, il vint à retourner la situation pour reprendre son habituel domination sur moi. Je ne te lâcherais que si dans un premier temps, tu me décline l'identité de ce... de ce salaud, et de deux... Je me pinçai la lèvre, je me sentais perplexe à ce qu'il me disait. Oui, j'avais souffert d'aimer un homme dont je me sentais déçue, mais j'avais compris tout autre chose ce jour-là, ce quelque chose que Swann ne semblait pas comprendre. Explique-moi ta dernière phrase. me demandait-il. Je rougissais, je n'osais pas redire ce que je lui avais dis précédemment. Je me plongeais dans un silence qui se voulait parlant, c'était tellement prenant de savoir que l'homme qu'on aimait ne comprenait pas cet amour, qu'il ne semblait pas avoir compris que vous étiez à présent entièrement à lui. C'est alors que je me mis à frémir sous les baisers de Swann, que ce soit les caresses de nos lèvres ou son jeu sur ma peau, je n'en pouvais plus, je trouvais ça vraiment sadique. Vois-tu à quel point c'est délicat de réfléchir lorsque quelqu'un vous fait ce genre de chose ? Je me mis à rire un peu, il fallait avouer que je n'avais pas pris le temps de réfléchir, j'avais profité de chaque baiser, de chaque caresse que Swann m'offrait. Je glissais mes mains sur sa nuque pour le rapprocher de moi alors que je glissais mes jambes autour de ses cuisses pour sentir son bassin contre le mien. Je le vois, parce que je préfères cent fois sentir vos lèvres sur mon corps, que de repenser à ce garçon. Ce n'est pas un « salaud », je pense, car si je n'avais pas eu mal avec lui, si je n'avais pas été déçue par cette aventure, je... je n'aurais jamais compris une chose, un sentiment que j'avais renié ressentir depuis que je vous connais. Ce que j'essaie de vous expliquer, c'est qu'à cause de cette histoire, j'ai compris que vous étiez la personne la plus importante pour moi, que vous étiez le seul et l'unique à m'avoir entièrement... vous avez mon cœur, mon âme, mon corps, ma vie... mais aussi mon amour, ma plus grande loyauté, et cela pour toujours. Je vous aimes, mon Prince. Et je sais bien que vous n'avez pas d'amour pour moi mis à part celui de mon être, de ma chaire, mais... tant que je suis à vos cotés, tant que je suis dans vos bras, je serais la femme la plus heureuse du monde. Et je ferais tout pour combler vos désirs. Je souris tendrement, avant de repenser qu'il y avait deux autres petits « détails » que je devais lui dire, ces détails qui faisaientt que je me retrouvais encore plus proche de Swann, mai aussi encore plus dans le doute quant à notre relation, et à sa évolution possible. Mais je n'osais pas en parler. Je passais mes mains sur son torse, ses épaules, c'était si bon de l'avoir contre moi. Nous devrions passer à autre chose, je voudrais que vous soyez bien, pour vous dire que... que vous … hum... Je retournais la situation pour me retrouver au dessus de Swann. Ce n'était peut-être pas le moment de lui dire les autres choses. J'embrassais rapidement mon prince avant de quitter le lit pour m'enfuir dans la salle de bain que je laissais grande ouverte. Sur le pas de la porte, je lui fis signe. Venez. dis-je alors que je me glissais dans la grande douche italienne de mon prince, je faisais couler l'eau pour l'attendre sagement. J'attrapais mon gel douche -oui j'avais deux douches vu que j'en partageais une avec lui- que je m'étalais sur le corps, moussant un peu, le savon s'en allait vite étant donné que l'eau coulait, il fallait que Swann vienne pour frotter mon corps, non ? Et puis je voulais le prévenir d'une manière plus... enfin qu'il soit prêt à recevoir les nouvelles, je voulais qu'il l'apprenne avec douceur, le préparer. Je ne voulais pas être là à lui dire « Hey, mon prince, j'ai peur que vous me quittiez un jour, mais en plus de ça, je suis enceinte de vous. » Non, je ne pouvais pas.
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Dans l'immédiat, je faisais abstraction de la belle entourant de ses jambes fuselé mon bassin, je ne faisais que penser à cet imbécile, à ce salopard à qui je ferais payer cette mésaventure. Oser attrister ma propriété ! Mon Asma ! Je le vois, parce que je préfères cent fois sentir vos lèvres sur mon corps, que de repenser à ce garçon. Ce n'est pas un « salaud », je pense, car si je n'avais pas eu mal avec lui, si je n'avais pas été déçue par cette aventure, je... je n'aurais jamais compris une chose, un sentiment que j'avais renié ressentir depuis que je vous connais. Ce que j'essaie de vous expliquer, c'est qu'à cause de cette histoire, j'ai compris que vous étiez la personne la plus importante pour moi, que vous étiez le seul et l'unique à m'avoir entièrement... vous avez mon cœur, mon âme, mon corps, ma vie... mais aussi mon amour, ma plus grande loyauté, et cela pour toujours. Je vous aimes, mon Prince. Et je sais bien que vous n'avez pas d'amour pour moi mis à part celui de mon être, de ma chaire, mais... tant que je suis à vos cotés, tant que je suis dans vos bras, je serais la femme la plus heureuse du monde. Et je ferais tout pour combler vos désirs J'ai dû retenir mon souffle dès le début de son monologue, comme aspiré par ses paroles. Même si un nombre non négligeable de jeunes filles en fleur s'étaient précipitées devant moi pour m'avouer un amour parfait, je n'avais jamais prit la peine de les écouter... Là, j'étais tétanisé : que répondre ? Que faire ? Malheureusement, ces sentiments n'étaient pas tout à fait réciproquent même si j'appréciais grandement Asma en tant que personne, et non en tant qu'amante. Je décidais de garder le silence, ne pouvant faire mieux. Ses mains sur mon torse firent naître un mince sourire sur mes lèvres. Je lassais alors les miennes s'égarer sur sa poitrine d'une douceur incomparable... Nous devrions passer à autre chose, je voudrais que vous soyez bien, pour vous dire que... que vous … hum... Nos langues se rencontrèrent : la belle retourna la situation, me dominant à présent. Il me tardait de savoir ce que c'était que ces "autres choses", même si je n'eus pas le temps de lui poser la question qu'elle s'enfuyait déjà vers la salle de bain.Venez.
Je ne me fis pas prier pour la rejoindre. À peine à l'entrée, je la contemplais déjà étaler le gel douche sur son corps, et je rêvais presque de le faire à sa place. Aussitôt, je la rejoins avec joie, frémissant légèrement au contact de l'eau. Je posais mes lèvres non loin de son oreille, embrassant en douceur cette partie tout en laissant mes bras l'enlacer un temps. Toi, tu parviens à me rendre heureux juste avec ta présence, c'est déjà un début, non ?
J'étalais une nouvelle noisette de ce liquide sur elle, sans manquer de m'attarder sur certaines parties que j'adorais tant. Dos à elle, je collais mon corps au sien, brisant cette mince distance nous séparant. Hmm...
Laissais-je échapper avant de l'embrasser dans le cou, ne pouvant résister à la tentation.[/justify]
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SWANN & ASMAHANE

Mon cœur se mit à battre lorsque je vis son corps apparaître dans la salle de bain. Il s'approchait, il battait encore plus fort. Et lorsqu'enfin il vint à être contre moi, je me retrouvais à nouveau bien au dessus de l'éternel plaisir. Je l'accueillais avec un grand plaisir, j'étais tellement bien dans ses bras, ça me confortait pour ce que j'avais encore à lui dire. Ce n'était même pas la grossesse qui m'importait beaucoup, mais savoir qu'un jour, il pourrait se lasser de moi, c'est ce dont j'avais peur plus que tout. Toi, tu parviens à me rendre heureux juste avec ta présence, c'est déjà un début, non ? me murmura t-il. Je ne pouvais que répondre par un sourire qui était la description même du bonheur que je ressentais sous cette douche. J'étais tellement bien, et Swann aussi vu qu'il exprimait le fait qu'il était heureux à mes cotés. Ce n'était qu'un début, je tenais à préciser parce que... même si j'avais le « pouvoir » de lui offrir plus que mon corps, plus que ma présence, ce n'était pas sans amour que je voulais avoir plus que ça. C'était en sachant que lui et moi, ce serait toute la vie. Je me sentais enivré par cet homme, que ce soit sa présence, sa tendresse qu'il avait à mon égard, tout me plaisait et me perdait. Ses mains sur mon corps étaient la torture de mon amour, la torture que je pouvais que répondre par les mêmes caresses. J'aurais pu l'inciter à me faire l'amour dans la douche si l'image de Swann qui pouvait me délaisser un jour ou l'autre, me faisait tellement peur. Sw...prince... Je prenais l'une de ses mains pour me retourner, et le regarder droit dans les yeux. Je pris son visage pour l'embrasser tout en le poussant contre le mur de la douche. Je glissais ma langue entre ses lèvres en forçant le passage pour pouvoir sentir la chaleur de son être, pour profiter de l'instant présent. Je ne lui avais pas tout dit, je n'osais pas le dire. Et lorsque j'arrêtais notre baiser, je lui avouais. Je n'ai pas tout dit... mais je ne sais pas comment commencer. Je … alors que l'eau coulait sur nos corps, que je frissonnais alors que j'avais chaud, j'essayais de prendre mon courage à deux mains. Promettez moi que quoi qu'il arrive, quoi que je vous dise... Vous ne m'abandonnerez jamais. Depuis que je vous connais, je me sens vraiment vivre enfin ma vie, je n'ai plus l'impression d'être un objet d'hommes sales, mais une personne proche d'un bel homme, un homme bon... promettez le moi que je resterais à vos cotés... Il fallait que je le dise. C'était le plus important car ça le concernait aussi. Ne serait-ce pour lui affirmer mon amour pour lui, je ne devais rien lui cacher. Je … je suis enceinte de vous. Vous êtes le seul homme qui ai pu me faire ce... ce truc. Je vous promets que je m'arrangerais pour arrêter ça, j'allais prendre rendez-vous pour...faire disparaître l'erreur que j'ai commis. Je tenais juste... à ce que vous sachiez que je l'ai été parce qu'il n'y a pas que moi qu'il serait issu. Pardonnez moi... Je me laissais glisser le long de son corps pour me mettre quasiment à genoux, mais non pas pour lui faire plaisir, mais pour poser ma tête contre le ventre de Swann. J'avais peur qu'il m'abandonne, je l'aimais trop pour passer un énième épisode de ma vie ainsi sans lui.
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Mon prince, il y a (pas) un cadeau dans mon ventre. - PV Tumblr_lhlg1zayt31qhf93co1_500

Notre proximité m'était si agréable... Songeai-je tout en embrassant son cou avec délice. Il m'était presque impossible de concevoir une journée sans elle, si bien qu'il m'arrivait de craindre pour une raison inconnue qu'elle parte. Si cela devait arrivé, je ferais sans nul doute l'impossible pour la garder pour moi seul. Sw...prince... Swann ? Asma a-t-elle vraiment manqué de m'appeler Swann ? Etonné, je sourcillais sans qu'elle puisse le voir, étant dos à moi. Je ne l'interdisais pas de me nommer ainsi, mais au bout de tant d'année où j'étais son Prince, cela me faisait quelque peu étrange... À la rigueur, qu'elle m’appelle Aleksander, mais Swann c'était moins beau, pas assez russe sans doute. Je me fis pousser contre le mur froid de la douche, afin qu'elle m'embrasse avec passion. Je le lui rendais avec plaisir, toujours désireux que nos baisers soient bien plus intenses et longs à chaque fois. Je n'ai pas tout dit... mais je ne sais pas comment commencer. Je … Peut être par le début ? Promettez moi que quoi qu'il arrive, quoi que je vous dise... Vous ne m'abandonnerez jamais. Depuis que je vous connais, je me sens vraiment vivre enfin ma vie, je n'ai plus l'impression d'être un objet d'hommes sales, mais une personne proche d'un bel homme, un homme bon... promettez le moi que je resterais à vos cotés... Comment abandonner une telle personne ? Elle m'était devenue tout aussi indispensable que ma sœur ! Je bloquais sur ledit homme bon... Ce n'était pas tout à fait l'adjectif qui me qualifiait le mieux, mais je l'acceptais quand même. Je caressais ses cheveux mouillés avec un faible sourire, même si la suite m'inquiétait tout de même. Je … je suis enceinte de vous. Vous êtes le seul homme qui ai pu me faire ce... ce truc. Je vous promets que je m'arrangerais pour arrêter ça, j'allais prendre rendez-vous pour...faire disparaître l'erreur que j'ai commis. Je tenais juste... à ce que vous sachiez que je l'ai été parce qu'il n'y a pas que moi qu'il serait issu. Pardonnez moi... Les premiers mots m’assommèrent. Abasourdi, je tentais au mieux de comprendre la suite de ses paroles. Une erreur ? Etant donné que j'étais le père, il était impossible qu'il s'agisse d'une erreur. La belle glissa le long de moi, la tête collée à mon ventre. À vrai dire, il aurait été plus logique que ce soit l'inverse, mais peut importe. Asma... Murmurais-je avant de m'accroupir et de diriger mes lèvres vers les siennes, que mon souffle chatouillait à cause de ma respiration. Je caressais sa joue avant de déposer un baiser sur ses lèvres. Je ne lui en voulais pas d'être enceinte, ce n'était pas vraiment de sa faute. Surement un peu de la mienne... Je lui en voulais plus de vouloir avorter qu'autre chose, comme si la décision ne tenait qu'à elle. j'ai appris durant mon enfance que ma mère ne voulait pas d'Aza et de moi, et a longtemps songé à ne pas nous avoir, et ainsi, je m'étais juré de détester tout ce qui touchait à l'avortement... Si tu avortes de... cet, ton... plutôt notre enfant - enfin, vu ton ventre je ne sais pas si je peux l'appeler ainsi - je crois que je ne pourrais plus jamais te revoir. Même si ma mère adorait mon père, elle a longtemps songé à avorter, et un jour alors qu'elle avait découvert quelque chose qui l'avait faite sortir de ses gonds - je devais avoir seize ans, âge où j'aimais être entouré de jolies filles, ce qui n'a pas changé sauf que je me suis contentée d'une qui est parfaite - elle m'a balancé que de toute manière, elle avait hésité à ne pas m'avoir, et regrettait de ne pas avoir suivi ses envies. De plus, c'est comme un meurtre. Cette dernière excuse était un peu plate, mais elle n'était pas tout à fait fausse. Je m'étais surpris à lui révéler « ce secret » étant donné que même Aza n'était pas au courant de cela. Et puis, s'il est de moi, il est loin d'être une erreur... et même si je ne peux pas répondre à tes sentiments, ça ne me dérange pas vraiment... Comme tu es loin d'être une inconnue pour moi, et tu es certainement l'une des... Je retenais ma respiration. Personnesquej'apprécieleplus,sicen'estpresquelapremière. Lâchais d'une traite à voix basse. Généralement, lorsque je laissais le peu d'humanité que j'avais, s'exprimer mon cœur se dévoilait tout entier.
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