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Comme un cheveu sur la soupe

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Paris avait un don ! Vraiment ! J’en oubliais presque que mon plus gros problème se trouvait dans la pièce d’à côté ! Enfin pas tout fait oublier quand même : Parce qu’à vrai dire, quand Paris me taquinait par rapport à Vegas, pour mieux me faire asseoir sur le plan de travail de la cuisine, je me rappelais bien vite d’une autre présence non loin : « Naaannn, arrête… » Murmurais-je en rougissant « Nos parents et les enfants sont juste à côté ! Et je n’ai pas envie de rivaliser avec ta mère, en passant pour la plus chaude des deux ce soir » ricanais-je nan sans attraper Paris par la nuque pour l’attirer à moi pour l’embrasser. Je gardais ses lèvres collées au mienne un moment, avant de relâcher la pression pour mieux emprisonnée sa lèvre inférieur gentiment entre mes dents « Est-ce qu’on peut reparler de cette rouquine tarée que t’as l’intention de te faire à Vegas ?! » je souriais tout en fixant la bouche de Paris avec envie : « Si je te laisse quartier libre pour passer une nuit avec elle, tu m’offre quoi en contrepartie ? » Je l’embrassais à nouveau avec passion, soudain bien plus motivée à m’intéresser à mon homme qu’à nos parents.


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« J’adore quand tu rougis, tu le sais ça ? » lui demanda-t-il une fois qu’elle eut relâché sa lèvre inférieure, ses mains toujours présente sur ses hanches non sans rigoler. Paris lui jeta un petit air coquin. « Vraiment ? Je pensais que tu voulais lui montrer combien toi tu n’es pas une meurt de faim, la bave aux lèvres etc » la taquina-t-il en blottissant son visage contre sa poitrine comme à la recherche d’un petit câlin. Le Dunster n’était pas un obsédé sexuel mais Summer l’avait totalement contaminé aux câlins et il arrivait de plus en plus fréquemment qu’il vienne les chercher lui-même. « Mais si tu veux reparler de cette fameuse rouquine, je ne suis pas contre » murmura-t-il en relevant la tête pour mieux se voir emporté dans un baiser passionné. « Bébé… sérieusement, si tu continues, je t’embarque incognito dans un coin tranquille pour te faire ton affaire » grommela-t-il en tentant d’être raisonnable mais avec elle, c’était limite un mot inconnu au bataillon. « Pour en revenir à ton deal… si tu me laisses une nuit de débauche avec cette rouquine, je te promets de jouer les rouquins timides comme à notre première rencontre ou te faire l’amour sur ma moto ou même là où tu voudras » souffla-t-il avec un sourire séducteur tandis que ses doigts tiraient légèrement sur son haut pour venir se glisser dans son dos, sous le tissu.



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Bien loin des tracas de tout à l’heure, je dévorais Parsi du regard, bien que je sache que tenter le diable n’était pas très raisonnable. Mais c’était plus fort que moi : quand ce genre de petit moment arrivait, j’avais toujours l’impression qu’on était seuls au monde ! J’en venais à oublier tout le monde, les parents, les enfants…Ashlynn aussi parfois. C’est horrible, je le sais, mais malgré le fait que je vis chaque jour un pur bonheur avec Paris, j’ai souvent cette égoïste envie de ne l’avoir que pour moi. Et dans ces moments-là, j’en serais presque à me plaindre de ne pas être comme tous ces autres étudiants, à vivre innocemment, en ignorant tout de la vie d’adulte, des responsabilité et du quotidien difficile, des fin de mois instable. Mais je ne le faisais pas. Je ne plaignais parce que Paris réussissait toujours à me faire oublier tout ceci, comme je vous l’ai dit ! « Pourquoi j’ai l’impression que c’est toujours moi qui tente malicieusement l’autre » lui demandais-je tout en lui volant un énième baiser, prenant son visage en coupe pour mieux détailler ses traits avec un énorme intérêt. Dieu que cet homme était beau ! « C’est vrai quoi…c’est toi qui m’a assise là, nan ?! » d’une main, je caressais ces cheveux, lissant une mèche contre sa tempe, avant de venir lui embrasser sensuellement la joue, répondant à sa proposition, riant légèrement près de son oreille « Toi ? Timide lors de notre première rencontre ? » avouez qu’il y a de quoi rire. Je me reculais pour fixer Paris et en me mordant la lèvre, je rajoutais, mutine : « Je te préfère quand tu es sûr de toi ! C’est sexy, et…rassurant ! » Je dis bien, « sur de lui » hein, pas macho, y’a une grosse différence. Surtout que je n’ai jamais eu à penser un jour que Paris était macho…Ma deuxième main vint alors rejoindre l’autre pour venir caresser la nuque du Dunster, jouant avec ses petits cheveux entre mes doigts, massant de temps en temps son large cou « Tu peux me prendre ou tu veux, tout me convient tu le sais bien !....enfin, ou tu veux, certes ! Sauf ici ! » Finissais-je par dire, en me rappelant que le reste de la famille allait bientôt venir nous chercher si on ne sortait pas de cette cuisine « Bien que j’ai très envie de toi, il va falloir qu’on soit plus raisonnable que…ces deux célibataires qui ont besoin de se rassurer là-bas » Oui, parce que bon : okay, ma belle-mère ne cachait pas son jeu, et je sais qu’elle s’amuse plus avec moi qu’autre chose. Mais je connais aussi mon père. Et vu ce qui est en train de vivre – même si c’est lui qui a pris la décision de cette séparation – il ne doit pas être vraiment très sûr de lui et sur de ses « atouts » charme. 26 ans de mariage pour en arriver là….Ça doit pas vraiment le rassurer. Je fixais Paris droit dans les yeux avant d’attirer son visage contre ma poitrine, là où il l’avait logé quelques minutes plus tôt, l’enlaçant avec amour, juste parce que je ne peux pas m’empêcher de lui faire un câlin « On y retourne où…on s’accorde encore un petit instant câlin ? » demandais-je tout en venant déposer un baiser sur le haut du crane de Paris, puis un autre, l’englobant dans ma petit bulle d’amour !  


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« Mais tout simplement parce que tu es la tentation incarnée bébé » lui répondit-il avec un grand sourire. Summer n’avait pas besoin de faire grand-chose pour attiser son désir ou le provoquer. Il suffisait qu’il l’aperçoive en pleine concentration à mâchouiller son stylo ou qu’elle remette une mèche de cheveux derrière son oreille. Paris avait toujours été plutôt un partisan de la lingerie, des poses aguicheuses pour s’enflammer mais depuis qu’il avait fait la rencontre de sa fiancée, il avait revu ses critères. A présent, chaque geste du quotidien était un appel à la luxure… Il était totalement sous le charme de sa petite femme, de son bébé. Summer dégageait quelque chose, il ne pouvait pas vraiment l’expliquer mais cela le rendait fou… fou d’elle. « Je plaide coupable mais je voulais un câlin et comme t’es plus petite que moi, c’est beaucoup plus pratique de te poser ici » lui sourit-il avec l’air le plus innocent du monde. « En boite de nuit, la toute première fois, crois-moi, j’en menais pas large »rigole-t-il. Depuis qu’il avait découvert que la belle rouquine et Summer ne faisaient qu’une, il ne passait pas un seul instant sans le lui rappeler par des petites touches par-ci par là. Il était heureux tout simplement d’avoir succombé deux fois à la même femme. Idiot n’est-ce pas ?! Faut croire qu’il y avait un être romantique qui sommeillait en lui… enfin qui hibernait car faut pas pousser non plus. Le jour où Paris Maconahey détiendrait la médaille de l’homme le plus romantique de la planète, toutes les poules feront le salue vulcain et auront une coupe au bol comme Spock.

« J’aime pas être raisonnable » grommela-t-il et elle ne l’aidait pas non plus à l’être mais il faut croire que la perspective de voir son père finir dans le lit de sa belle-mère refroidissait quelque peu ses ardeurs. « Ma mère me pourrira combien de temps ma vie sexuelle voire ma vie tout court ? »soupira-t-il avant de la déposer au sol. « Vaut mieux qu’on y retourne sinon je vais te garder rien que pour moi » ajouta-t-il en déposant un baiser sur son front. Si cela ne tenait qu’à lui, il l’aurait amené à leur chambre pour changer la nature du câlin mais ils devaient encore jouer les chaperons.



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Paris avait une multitude de facette, mais jamais je n’aurais pu croire un jour que l’homme qui se trouvait en face de moi, serait un fervent demandeur de câlin, un ancien timide, un mec emprunt à un manque de confiance en lui. Et pourtant, il me rappelait bien souvent que lui et moi s’était rencontré il y a quelques années dans de toute autres circonstances, mais que pourtant j’étais tombé sous le charme avec la même intensité. Et aujourd’hui, dans mes bras, je souriais à ses remarques en l’enlaçant amoureusement, lui traduisant tout mon amour, et ma volonté de le sentir prêt ! Et tant pis si je passais pour une tentatrice, je voulais bien l’être moi, tant que le tenté en question était mon charmant Dunster ! « Pour moi, ce soir-là tu ne me donnais pas l’impression d’être timide ou nerveux. J’étais juste contente que tu t’intéresses à moi. Alors forcément, depuis, je te le rends au centuple mon amour ! Quitte à jouer les tentatrices pour t’offrir tous les câlins du monde ! »

Finalement il fallait bien que Paris et moi soyons raisonnables. Il me prenait soudain par la taille pour me soulever avec une aisance déconcertante, et moi j’étais juste en train de me dire qu’il n’avait même pas idée à quel point sa démonstration de force, et ses mains ainsi imposante sur ma taille, me faisait de l’effet ! C’est quand même dingue de se dire que votre fiancé vous donne chaud rien qu’en vous agrippant la taille. Je me pendais volontiers à son cou pendant ma descente et fermait les yeux pour me délecter du contact de ses lèvres sur mon front. Ces petits moment de tendresse comme celui-ci, qu’il me réservait…Dieu que je les chérissais ! Je me sentais toute chose à chaque fois….ridiculement agréable. Pitoyablement adorable…ouais je sais, je dois sans doute être pitoyable selon certains. Mais que voulez-vous, je suis accro, je suis accro ! Point !!

« Je te suis…et j’essaye de me calmer promis. Je ne panique pas par rapport à ta mère…Et… » J’arborais un sourire aguicheur et lui répondais pour le relancer « Et je tâcherais de ne pas trop te… « TENTER » pendant le dîner…Je me réserve ce droit pour plus tard ! » Je lui fis un clin d’œil et lui pris main entre les miennes, prête à le suivre, levant sa main vers mon visage au passage pour lui embrasser sa paume.




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