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Comme un cheveu sur la soupe

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Grâce à Paris ou parce que le destin était finalement avec moi ce jour-là (je penche en réalité pour la premiere option pour ma part), ma première journée n’avait pas été catastrophique. Je n’avais eu quelques minutes de retard au final, et j’avais réussi à faire passer pour une mauvaise orientation sur la route. A cette heure matinale, et la circulation dense liée à l’afflux de travailleurs, il était facile de s’engouffrer malencontreusement dans les embouteillages et de ce fait, mon excuse était passée comme une lettre à la poste. La proposition d’un déjeuner sur le pouce avec Paris avait été une option à laquelle je n’avais pas voulu me passer, et même si c’était pour passer simplement une demi-heure avec lui, c’était toujours cela de gagner. Et cela avait eu du bon, je lui avais raconté mon début de journée et était repartie tout aussi motivée après ! Il avait ce don fabuleux de me donner l’impression que je pouvais soulever des montagnes que je n’allais pas m’en priver !

Au final, les 3 premiers jours de mon stage étaient passés à une vitesse hallucinante, tout en étant assez épuisant également. Autant dire que le mercredi après-midi avait été une aubaine pour moi. L’occasion de souffler, et puis de me concentrer – oui, tout de même un peu – sur mon père et la raison de sa séparation avec ma mère. Paris avait réussi à me tenir écarter de tout ceci jusque-là mais, une fois posée chez nous, avec un peu de temps à passer avec mon père, il était logique que j’en vienne à vouloir comprendre ce qu’il se passait. J’avais tenté de rester neutre, tout en compatissant dans le fond à la contrariété de mon père. Oui, il était contrarié : se séparer de ma mère n’était pas une chose aussi facile pour lui finalement, mais pourtant quand je lui disais de réfléchir plus sérieusement à la question, il se montrait bizarrement catégorique. Et ça, j’avoue que j’avais du mal à m’y faire. Je n’ai jamais été très proche de ma mère ; pas par choix, mais parce que cette dernière ne m’a jamais accordé d’attention maternelle évidentes…mais malgré cela, j’avais de la peine pour elle. J’osais à peine imaginer l’état dans lequel elle était **elle fait la fête, elle est libre ** Nan, ce n’est pas vrai…je suis sûre qu’elle a de la peine ** tu l’as déjà vu avoir de la peine, toi ?! **…Et si elle n’était pas atteinte par cette séparation ? Si finalement mon père avait raison : et s’il pouvait être bien plus heureux sans elle, plutôt qu’avec elle ? C’est avec ce doute en tête que j’avais décidé d’en parler à Paris dans l’après-midi, et que celui-ci avait fini par me dire de ne pas me mettre de pression plus que ne s’en mettait mon père. Je ne pouvais pas savoir ce qui était bon pour lui, lui seul le pouvait maintenant. Bon okay, il n’a pas tort, mais…comment dire…c’est pas pour autant qu’on ne peut pas chercher à l’aider dans sa quête du bonheur ? Peut-être que la séparation n’est pas la meilleure des solutions ? Paris lui, il a vu défilé de multiples « beau-père »…moi je n’ai jamais - malgré un contexte familiale peu modèle et plus que bancale – connu de séparation. Pour moi, un couple qui se mariait pour le meilleur et pour le pire, restait ensemble, justement MÊME pour le pire !!! Bon c’est un peu exagéré, je sais que c’est passé de mode tout ça, et que plus personne ne croit à ses mots. Mais moi, si ! Et mes parents qui divorcent, j’ai du mal…et je veux que ça change. Sauf que mon père ne m’écoute pas, que Paris me demande de rester à ma place et que…..ma belle-mère débarque parce qu’elle a appris que mon père était dans le coin, et aussi parce qu’elle doit récupérer les ! Je sais : rien à voir, mais croyez-moi c’est un élément important !!

Il était 18h30 quand on a entendu frapper à la porte. Paris alla ouvrir, et Grace Maconahey fit son apparition, les bras grand ouvert, à hurler dans l’entrée « Maman est là les chéris !! Il est où mon câlin d’accueil ?! » Kaleigh, Danika, et Matthew arrivèrent, chacun à un rythme différent – de la plus excitée des gamines au plus ramolo des ados – et Aaron, qui s’était découvert un nouveau partenaire d’échec depuis Lundi en la personne de mon père, se levait enfin de sa place devant la table basse pour venir dire bonjour à sa mère



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Ces trois derniers jours, Paris avait tout fait pour retarder du mieux qu’il le pouvait cette fameuse conversation entre le père et la fille. Ce n’était pas tant qu’il ne souhaitait pas qu’elle ait lieu mais plutôt qu’il cherchait à préserver Summer du mieux qu’il le pouvait. Le Dunster connaissait parfaitement sa petite-amie pour savoir que même si elle tentait de se convaincre qu’elle n’était en rien concernée, elle allait se rendre malade de la situation. Le problème, c’est qu’à être totalement concentrée sur cet objectif, il avait oublié quelque chose de fondamental à savoir : sa mère. Paris avait peut-être lâché au cours d’une conversation que le père de Summer se trouvait à la maison et qu’il s’était séparé de sa femme. Quelle idée d’avoir aiguisé la curiosité insatiable de sa génitrice car à présent, elle venait ni plus ni moins de débarquer à l’improviste et se faisait déjà entendre dans tout le duplex. « M’maaaan » lâcha-t-il complétement dépité en fermant la porte derrière elle, rattrapant son manteau de justesse ainsi que son sac. Elle abusait mais en même temps, il se marrait comme un crétin en la voyant apparaitre dans une tenue des plus élégantes. « Désolé, je crois que j’ai du dire à ma mère que ton père était là… célibataire » s’excusa-t-il auprès de Summer non sans l’embrasser comme pour lui rappeler combien elle l’aimait de tout son petit cœur. « John… C’est bien ça ? Grace Maconahey, la mère de la petite canaille qui a volé le cœur de votre si adorable enfant » se présenta-t-elle tandis que Danika s’approchait d’eux. « Je crois que maman veut que ton papa soit son nouveau jardinier » dit-elle du haut de ses huit ans révolus. Paris en était choqué et cela devait se lire sur son visage car la petite le regarda comme s’il était idiot. « Ben quoi ? c’est pas comme ça qu’on dit ? Matthew dit que les grandes personnes adorent planter des choux et des roses… par contre il a dit que le jardin de maman était trop vieux pour ça. Je comprends pas… suffit de mettre un peu d’engrais et les roses vont pousser » reprit-elle avec toute son innocence. « MATTHEW !! » gueula-t-il aussitôt avant de courser son frère dans tout l’appartement pour lui apprendre la vie. « Qu’est-ce que j’ai dit ?? » demanda-t-elle à Summer avant de lui prendre sa main et de la conduire vers les deux « ainés » en pleine conversation sur le couple Pammer.



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J’étais dans le canapé, en train d’essayer de discuter calmement avec mon père de ses futurs intentions, mais malheureusement pour moi, je n’avais eu aucune réponse : La sonnerie de la porte nous avait interrompu, et une fraction de secondes plus tard, c’est la voix de ma belle-mère qui retentissait dans la pièce. Et que dire de son entrée de diva ? Je voyais Paris faire preuve d’un très bon réflexe pour rattraper son manteau et son sac derrière, et je comprenais à ses premières paroles que Grace Maconahey allait nous faire son show. Entendons-nous bien : habituellement, j’adore voir Grace à l’œuvre, ça a quelque chose de divertissant quand on a la chance de ne pas être sa cible pour la soirée. Mais là, j’avoue que je commençais à paniquer et me dire que son arrivée n’avait rien de bon. Ce qui me rassurait encore moins, c’était la remarque de Danika au moment où cette dernière venait dire bonjour à sa mère. Je fis de gros yeux en fixant Danika, puis ensuite Paris avec un air qui disait « Elle plaisante n’est-ce pas ? Dis-moi qu’elle plaisante. ». Mais Paris lui, était bien plus occupé à vouloir régler les comptes avec son frère à propos de cette comparaison avec le jardinier. C’est complètement sous le choc des images qui se jouaient dans ma tête, que je sentais la main de Danika dans la mienne et que je la suivais vers Grace et mon père. Il fallait que j’intervienne avant que cela ne dégénère, surtout que…

John : Enchanté de vous connaître ! Je suis ravie de pouvoir mettre enfin un si joli visage sur un nom. J’ai beaucoup entendu parler de vous…

Grace : Des vertes et des pas mures, j’en suis sûre ! Paris a pas mal de casserole à raconter à mon propos.

John : Oh... fit-il, gêné. En réalité, c’est de la part de Summer que j’en plus appris sur vous !

Grace : Alors, dans ce cas ! Vous pouvez la croire, tout ce qu’elle dit est vrai ! dit-elle, rassurée parce qu’elle savait que je ne saurais jamais rien dire de méchant sur quelqu’un… J’ai appris pour votre séparation. Rebondit-elle très vite. J’aurais bien envie de vous dire que je suis désolée pour vous, mais : premièrement je ne connais pas encore votre femme, et deuxièmement, je suis sûre que vous retomberez bien vite sur vos pattes. Un bel homme comme vous…

** ALERTE **

John : Oh vous me flattez, Grace. Je peux vous appelez Grace, n’est-ce pas ?!

** ALERTE COPINAGE **


Grace : Bien sûr John, soyons familier, c’est tellement plus agréable !


** ALERTE POTENTIEL SEXAGE **

Danika : (qui me tire vers elle pour me dire quelque chose à l’oreille) C’est comme avec le dernier monsieur que maman a rencontré….

** ALERTE ALERTE ALERTE **


« Bon euh…si on allait tous s’asseoir, hein ! » Je le désignais le canapé d’un geste de la main, et tentait d’amener la conversation, vers autre chose « Grace nous a confié les enfants pour la semaine comme tu le sais papa, et on s’était dit qu’un petit dîner tous ensemble, ce serait idéal »

Grace : Surtout que John est là maintenant on va pouvoir faire plus ample connaissance…

Je sais pas pourquoi mais je ne peux pas m’empêcher d’y voir un sens caché dans cette phrase. « PPPARRRIIISSS !!! MATTHEW !!! Venez par ici… » Venez moi me sauvez. Ou plutôt, venez sortir mon père des griefs de ma belle-mère !




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Paris était bien plus occupé à courser son petit frère et à le plaquer sur un lit pour le chatouiller tout en le menaçant des pires sévices s’il continuait de raconter des conneries à leur sœur. Toutefois, la menace ultime avait été de lui dire qu’il ferait en sorte de venir tondre la pelouse torse nu pile poil quand sa petite voisine chérie se montrerait. Il n’y avait rien de mieux que de jouer sur le complexe d’infériorité d’un adolescent pour obtenir tout ce qu’on voulait de lui. Ce n’était pas sportif ? Tant pis ! C’était l’éducation à la Maconahey, il fallait s’y faire. Le cri de désespoir de sa fiancée le ramena sur terre. « Je crois que maman est en train de draguer le père de Summer » grimaça Paris tandis que son frère pouffait de rire. « Encore un beau-père ? Ce serait con, tu pourrais plus te marier avec Summer… » lâcha-t-il avec un grand sourire tandis que Paris lui enfonçait la tête dans un oreiller. « Crétin ! » grogna-t-il avant de redescendre dans le salon pour voir sa mère en pleine parade nuptiale. Décidément, elle ne changerait jamais pour certaines choses. « M’man, je crois pas que John ait envie de t’allonger sur la table basse et de te faire ton affaire devant les petits alors reboutonne ton décolleté » murmura-t-il à l’oreille de sa mère qui le fusilla du regard avant de soupirer.

Le Dunster s’installa près de sa fiancée qui visiblement, ne lâchait plus son père des yeux. « Du calme, ma mère va pas te le manger » lui dit-il en prenant sa main dans la sienne. « Alors qui veut boire quelque chose ? Matthew, tu t’occupes de faire le service ? » demanda-t-il à l’adolescent très vite suivi de Kaleigh et Danika qui voulaient s’amuser à jouer les serveuses. « Au fait, m’man, il parait que tu as rencontré quelqu’un récemment ? » tenta-t-il de casser le coup de sa mère du mieux qu’il le pouvait. « Oh non..je suis tout ce qu’il y a de plus célibataire. Une femme libre dans sa tête et dans son corps semble effrayer les hommes. Et vous John, vous êtes du genre aventureux ? Je suis sûre qu’un bel homme comme vous doit vivre à cent à l’heure… » minauda-t-elle avec un petit sourire séducteur. Paris grimaça d’impuissance en se tournant vers Summer l’air de dire : je crois qu’on est mal barré. « D’ailleurs, vous savez ce que je fais quand je viens de rompre ou que je n’ai pas le moral ? Je vais faire un tour à Vegas. Vous y êtes déjà allé ? » demanda-t-elle tandis qu’Aaron prenait la parole pour la première fois de la soirée. « Vous allez faire des enfants tous les deux ? »… Merci Aaron, nous savions que nous pouvions compter sur toi pour plomber l’ambiance !



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Je stressais, tout le monde pouvait le sentir ! Enfin…tout le monde sauf mon père et ma belle-mère bien évidemment. Sur le coup, j’avais souhaité me mettre entre deux sur le canapé, mais Grace est agile et maline. En deux temps trois mouvements, elle s’était faufilée aux côté de mon père sans que je ne puisse réagir. Si bien que j’avais appelé Paris à l’aide et que ce dernier avait débarqué avec l’intention de régler la situation : il n’y avait qu’à voir comment il s’était approché de sa mère pour lui murmurer je ne sais quoi. Mais quand il revint vers moi pour m’annoncer que sa mère n’allait pas manger mon père, que je pouvais me détendre, je ne pouvais m’empêcher de lui serrer la main un peu plus fort tout en me penchant vers lui pour lui répondre dans un murmure précipité : « Excuse-moi de penser le contraire, mais là tu vois…ta mère à l’air de crever la dalle si tu vois ce que je veux dire ! » sous-entendu, y’a bien longtemps qu’un mec ne lui ai peut-être pas passé dessus et ça commence à la titiller sérieusement. Alors forcément Paris se renseigna tout de suite sur un potentiel amant en cours, mais malheureusement pour moi Grace ne répondait pas dans la demi-mesure, exprimant clairement qu’elle était une femme ouverte d’esprit, libre sexuellement, et surtout DISPONIBLE ! Le pire, c’est quand elle demanda à mon père le genre d’homme qu’il était ! Il s’est mis à bégayer. A BÉGAYER ! Chez les Wingfield, le bégaiement c’est traître ! C’est signe de trouble évident. Et rien que de voir mon père être ainsi nerveux pour répondre à Grace, cela ne me disait rien qui vaille ! « Mon père est un sédentaire !! Un pantouflard, un mec bien dans son petit quotidien » rétorquais vivement avec un sourire tout de même pour ne pas paraître suspecte dans mon comportement. « Bah je t’en prie…fais-moi passer pour un vieillard en fin de vie ! » répondit mon père, un peu déçu. « Ce n’est pas dans ce sens-là que je voulais le dire…je dis simplement que tu aimes que les choses soient….stables, et réfléchies ! » Du coup, effectivement mon père passe pour un peureux, ou un croulant qui ne vit pas à fond ! Mais perso, je m’en fiche : tout ce que je veux, c’est éviter que ma belle-mère le considère comme un homme sexuellement intelligent. Le truc, c’est que ça a légèrement mouché mon père, si bien qu’au moment où Grace a parlé de Vegas en lui demandant s’il y était déjà allé, la réaction de mon père était prévisible : « Nan mais vous savez quoi, Grace ? J’adorerais y aller avec vous ! » Oups…Je serre la main de Paris un peu plus fort, et tire limite dessus pour qu’il fasse quelque chose. « Vous allez faire des enfants tous les deux ?! » Là je sens que je m’étouffe avec ma salive ! Je me mettais à tousser et rougir avant de rire nerveusement à l'attention d'Aaron « Mais nan, p’tit cœur, voyons…c’est…enfin…nan ! Ils ne vont pas faire d’enfants ! »



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Summer était en mode panique, il pouvait le sentir rien qu’à sa façon de lui broyer la main depuis deux minutes. Il comprenait très bien son angoisse, Grace était une femme très libre et qui assumait sa sexualité débridée mais Paris connaissait l’envers du décor : sa mère avait simplement besoin de se rassurer, de plaire aux hommes. C’était sa façon à elle de supporter la vieillesse mais pour le coup, elle avait franchement mal choisi sa proie. La dernière chose qu’il souhaitait, c’était bien qu’elle couche avec son beau-père. Paris n’assumerait jamais que sa famille fasse exploser celle de Summer. Elle lui en voudrait très certainement à vie -ou du moins à sa mère et il savait qu’il finirait par défendre Grace. Bref, autant éviter les emmerdes, ce serait plus simple pour tout le monde. « Arrête, c’est de ma mère dont tu parles… pitié, me colle pas des images dans la tête » grommela-t-il. Paris était même prêt à payer un gigolo à sa mère si cela pouvait calmer sa fiancée.

Pour la rassurer, il n’hésita pas à l’embrasser tendrement histoire qu’elle cesse de regarder le couple en mode stressée de la vie. Si ça continuait, elle allait les punir et les envoyer chacun dans une chambre juste pour être certaine qu’ils ne se croisent plus. « Je vous confirme John que vous êtes loin d’être un vieillard en fin de vie… Cela faisait longtemps que je n’avais pas croisé un homme aussi bien portant » ronronna Grace Maconahey en osant même lui faire un petit clin d’œil et un petit serrage de biceps en règle. « M’man… » soupira-t-il en se retenant d’aller se cacher dans un placard, trop honteux du comportement libidineux de sa propre génitrice. Et après, il s’étonnait de vouloir toujours sauter sur sa fiancée… les chiens ne font pas des chats. Toutefois, avec sa manie de vouloir réduire son père à une image bien trop lisse, Summer avait piqué l’orgueil masculin de ce dernier. « Hein ?! Comment ça Vegas ? » s’écria-t-il avant que la voix d’Aaron ne viennent tous les couper dans leur élan. « Ah d’accord… parce que la dernière fois que maman est allée à Vegas, je suis né alors je me posais la question » lâcha-t-il innocemment avant de partir lire son livre comme si de rien n’était. « Désolée, mon fils est trop éveillé par moment mais Vegas est une bonne idée. Cela vous détendra et je pourrais vous faire faire le tour Maconahey ! Paris le connait bien, il s’amusait souvent à amener ses conquêtes là bas. Une chance qu’il n’ait pas fini marié » rétorqua-t-il tandis que son fils la fusillait du regard. « Vous savez quoi ?! On va venir avec vous… Des vacances entre adultes hein bébé, ça nous ferait du bien »



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Je sais bien que je devrais pas parler de Grace et de sa vie sexuelle comme ça – ou manque de vie pour le coup – mais c’est plus fort que moi, je panique. Et quand je panique, j’imagine le pire. Paris se plaignait, mais il fallait tout de même qu’il comprenne « Ouais bah, sans image précise dans ce cas : imagine comment toi tu serais, si tu n’avais pas couché avec une femme depuis plusieurs mois, hein ?! Et bien là, c’est dans c’est le même état qu’est ta mère en ce moment ! » ELLE A FAIM !! Voilà comment elle est ! Et j’adore ma belle-mère, mais quand il s’agit de sa vie sexuelle, j’ai un peu tendance à me sentir mal à l’aise…encore plus si mon père est dans l’histoire.

Paris m’embrassa pour me rassurer, et je respirais un bon coup profondément en fermant les yeux au contact de ses lèvres. Il faut que je me calme, ils ne vont pas se sauter dessus là, sur la table basse. Faut pas déconner ! En parlant de table basse, je prenais mon verre qui avait été servir depuis quelques secondes par Matthew, tandis que je cherchais un moyen de discréditer mon père aux yeux de Grace ! Le coup du sédentaire n’a pas eu l’effet escompté bien au contraire : voilà que John Wingfield se sentait piquait au vif et aurait été prêt à accepter n’importe quoi pour éviter de passer pour un vieux chnoque au placard ! Vegas ?!! PAS une bonne idée ! Mais alors vraiment pas !! Grace était chaude à ce sujet – enfin chaude tout court apparemment – et vu la réaction de mon père, on courrait à la catastrophe. Je buvais mon verre pour hydrater ma gorge qui semblait bien sèche après avoir gardé la bouche ouverte un peu trop longtemps suite à la réaction de mon père puis la première remarque d’Aaron. Mais quand ce dernier rétorquait tout de suite après mes explications que la dernière fois que sa mère est partie à Vegas, il avait été conçu, l’inévitablement arriva : Je recrachais mon verre par surprise, pour éviter de m’étouffer en le buvant. Je lâchais instinctivement la main de Paris pour porter la mienne à ma bouche « Pardon, je…je …j’ai failli avaler de travers, alors…j’ai. Enfin pardon, je vais nettoyer. » Déclarais-je tout en me levant pour aller rapidement en cuisine chercher de quoi essuyer. Et au moment de revenir dans le salon, mes oreilles ne manquèrent pas d’intercepter la remarque de Grace concernant Paris et sa manie d’amener ses conquêtes à Vegas. Automatiquement, je baissais les yeux pour les poser sur Paris en fronçant légèrement le regard et lui décochait un « voyez-vous ça…un lieu de prédilection… » Grace à raison : une chance qu’il n’est pas fini marié pour le coup ! Ou pire : CONÇU ?... Enfin, après tout ça j’en sais rien je ne sais pas comment est arrivée Ashlynn, alors allez savoir !!

Je me penchais sur la table basse, en tentant au mieux de ne pas être énervée en plus d’être angoissée, et je commençais à nettoyer la surface de la table quand Paris proposait qu’on aille à Vegas tous ensemble ! Là, je me redressais comme un piquet, en pivotant vers Paris, mes mots dépassant tout contrôle de ma personne « Nan, mais t’es complètement malade ?! » Sérieusement ?! Il me fait quoi là ? Le but n’est CERTAINEMENT pas de laisser SA MERE, et MON PERE se faire un trip à Vegas et s’éclater tous les deux là-bas ! « Nan, nan, on…on va..on va pas à Vegas, c’est…c’est pas po-poss-possible ! Les enfants, on en….NAN, on peut pas y aller… » et voilà…à mon tour de bégayer.




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« Mais j’ai pas envie d’imaginer ma mère !! Et puis, perso, je me laisse jamais mourir de faim de ce côté-là quitte à me payer une pute s’il le faut » grommela-t-il tout bas pour n’être entendu que d’elle. Leur conversation était surréaliste, il n’avait absolument pas envie de se figurer sa mère, la bave aux lèvres courant derrière un mec en lui disant d’une voix caverneuse : BAISE-MOI, BAISE MOI. Oh bravo, il venait de se l’imaginer et ce n’était pas beau à voir. Il n’allait pas pouvoir voir sa mère en face durant au moins quelques minutes le temps que son cauchemar ne cesse. Heureusement, le baiser qu’il offrit à sa belle pour la détendre, le ramena à des pensées bien plus sages ou « normales », c’était au choix. Le problème c’est qu’il n’y avait pas un Maconahey pour en rattraper un autre et Aaron, du haut de ses huit ans, venait ni plus ni moins que de choquer tout le monde et cela le plus innocemment du monde. Matthew lui, était mort de rire dans un coin, cachant son visage hilare derrière sa console de jeu. Les filles, elles, jouaient à la poupée dans un coin, totalement indifférente au reste du monde.

« Non mais c’est pas ce que tu crois.. enfin si… Bordel, merci maman » grogna-t-il tandis qu’il se passait la main sur son visage. Grace lui lança un petit coup d’œil satisfait et il su qu’il venait de payer son commentaire sur son décolleté. Bordel, il avait une famille totalement timbrée mais une chose était certaine : s’ils allaient à Vegas, ils avaient tout intérêt à suivre le mouvement. « Mais je ne suis pas… Bébé, est-ce que je peux te parler deux minutes en privée ? » lui demanda-t-il avant de la saisir par le poignet pour l’amener dans la cuisine histoire de parler tranquillement. Grace, elle, avait déjà récupéré toute l’attention de John Wingfield. « Bébé, écoute moi… Tu connais ma mère, si tu lui dis non, elle va tout faire pour braver l’interdit. Le mieux qu’on puisse faire, c’est d’aller là-bas avec eux et de les surveiller… Crois-moi, c’est la meilleure chose à faire. On confiera les petits au vieux Bob et à sa femme. Les gosses les adore donc autant en profiter mais si tu veux pas que ton père couche avec ma mère, on a intérêt à jouer les chaperons »



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Je tentais de faire bonne figure –peine perdue quand on sait que j’ai presque craché sur tout le monde il y a de ça quelques minutes – et j’aurais pu réussir si je n’étais aussi paniqué à l’idée de laisser mon père aller à Vegas avec la mère de Paris. Ce dernier d’ailleurs ne m’aidait pas beaucoup…enfin c’est ce que je croyais, vu qu’apparemment il avait une idée en tête. Je le regardais l’air sceptique en le voyant se lever pour me demander de le suivre pour parler en privé. Et je traînais à sa suite alors qu’il me tirait par le poignet dans la cuisine. A peine arrivé, je soupirais pour me détendre, puis croisais les bras pour écouter ce que Paris avait à me dire. Je peux reconnaître qu’il avait raison : si on disait non à sa mère, elle ferait tout le contraire. Et si je laisse mon père y aller seul avec elle, je suis sûre qu’il serait incapable de la tenir à distance, bien trop poli et désorienté en ce moment pour cela…Mais je en sais pas, quelque chose en moi m’assurait que c’était une mauvaise idée  « Ce que je préférerais moi, c’est qu’on les sépare plutôt que de les laisser se connaitre davantage à Vegas ! Je ne le sens pas ce traquenard ! J’ai cette petite voix dans ma tête qui me dit « non non, mauvaise idée ! » » Déclarais-je tout en secouant la tête. Avant de préciser avec un ton insistant « Et NON, je ne suis pas folle ! » Un dernier soupir de ma part, et au final, je cédais à l’argumentation de mon homme, avançant vers Paris pour l’attraper par la taille et le tirais vers moi. L’entourant de mes bras, j’agrippais l’arrière de son t-shirt au niveau du bas du dos, et me collais à lui tout en prenant un ton plus doux « J’espère vraiment qu’on a raison de faire ça…quant à toi : » je tirais un peu plus sur son t-shirt avant de poser les mains sur son fessier « T’as pas intérêt de trouver une conquête là-bas ! C’est fini ce ptit rituel là… »


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Paris avait préféré l’entrainer dans la cuisine afin de parler plus librement. Il savait très bien que sa mère ne ferait rien ce soir surtout qu’elle avait compris que cela paniquait grandement sa belle-fille. Le problème, c’est qu’elle allait justement en jouer simplement pour énerver Summer. Sa mère de temps en temps, était une véritable gamine mais ça, cela faisait des années qu’il le savait. Son bébé en prenait tout simplement pas encore toute la pleine mesure d’une telle information. « Ma mère ne couchera pas avec ton père, elle aime plaire tout simplement mais elle ne fera jamais rien qui puisse nous faire du mal » tenta-t-il de la rassurer mais il croyait en ses paroles. Qu’est-ce qui découlerait d’une coucherie d’un soir ? Mise à part faire du mal autour d’elle, Grace ne gagnerait rien -peut-être un orgasme mais John Wingfield semblait un peu rouillé apparemment. « Et puis, elle voit que ça te fait paniquer alors c’est encore plus marrant pour elle… Désolé, ma mère est une gamine de cinq ans enfermée dans le corps d’une nana de je cite : dis mon âge et tu ne pourras plus jamais te reproduire Maconahey Jr » ajouta-t-il avec un brin d’humour pour essayer de la détendre. Summer vint se blottir contre lui et il entoura sa taille d’un bras, l’autre cherchant visiblement à la déstresser à l’aide d’un petit massage. Un petit rire secoua ses épaules à l’avertissement de sa fiancée. « Mince, moi qui voulait me faire une petite rouquine qui entend des voix dans sa tête… Merde, c’est pas du jeu » bougonna-t-il en la faisant reculer jusqu’au plan de travail où il la souleva pour l’y asseoir et se glisser entre ses jambes. « Tu veux que je te détende ? » lui demanda-t-il d’un ton taquin -visiblement, il n’y avait pas que la mère qui était une meurt de faim ce soir.


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