Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityMilan ► Tonight is the night - Page 2
Le deal à ne pas rater :
SSD interne Crucial BX500 2,5″ SATA – 500 Go à 29,99€
29.99 €
Voir le deal


Milan ► Tonight is the night

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tonight is the night
Elle rit en l'entendant. "Je peux le faire si tu veux." Le taquine-t-elle légèrement pour l'ennuyer. Elle en serait capable en plus, pour voir comment il réagirait et s'il serait capable à la longue de la prendre au sérieux. Mais elle pas envie de lui prendre la tête comme ça, ni la sienne en fait. Elle a juste envie de se laisser aller, de profiter de l'instant présent et elle a ce sentiment qu'avec lui, c'est quelque chose de tout à faire possible, surtout quand une partie du passée nous rattrape... L'absence de Benji, le retour d'Ezechiel dans sa vie... Rien ne semble aller, du coup, Milan est son échappatoire, encore une fois. Elle l'apprécie pour cela, même si elle sait qu'elle ne devrait pas s'approcher plus de lui, qu'elle risque de se brûler... Mais il est captivant, fascinant... Il l'intrigue, l'attire. Elle lui sourit, un peu niaise sur le coup à ses mots. "Et une Beth impatiente aussi." Précise-t-elle un peu en le regardant, complice. Elle le fixe alors, suite à sa réaction, son insistance sur le mais, comme s'il avait beugé dessus. Elle trouve cela un peu drôle, le sujet de conversation beaucoup moins. Elle soupire alors. "Longue histoire." Comment lui balancer qu'en réalité, elle avait tout pour être une Eliot ? Que son père en était un, qu'il n'avait jamais cautionné ce choix et que de base, elle l'avait fait uniquement pour le provoquer, mais que maintenant, elle voulait calmer un peu le jeu... Elle aurait pu l'améliorer encore en allant chez les bleus, mais elle ne voulait pas, parce qu'elle ne les aimes pas, eux et leurs putains d'air supérieurs alors que sans le fric de papa et maman, sans leur noms, ils sont que dalle, même pas comparable à de la merde. Elle se retourne vers lui, quand il répond, précisant qu'il la trouve plus calme. "Il est vrai que je fume moins et que j'ai jamais prit de drogues dures." Beth rit un peu avant de venir s'asseoir sur lui. "Mais je ne sais pas si ce calme que tu dis est une bonne chose ou pas." Après tout, est-ce qu'il le disait comme un compliment ou pas ? Par contre la suite, lui fit un peu monter le rouge aux joues et elle se surprend à le regarder, se demandant s'il est sérieux dans ses dires... Surtout qu'il l'embrasse doucement en prime. Elle se remet à sourire un peu, en le regardant. "Merci." Murmure, comme une confidence.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
↔Tonight, is the night. ↔

► Feat Annabeth&Milan



JUKEBOX
J'suis pas très fort en analyse de personnalité, en subtilité, ni en prospection. Mais j'ai l'impression d'faire toujours le même effet aux gens. J'attire sans le vouloir des âmes qui me paraissent torturées. J'sais pas, quand je les regarde, y a un truc étrange dans leurs yeux, une sorte de tristesse que j'ai jamais su vraiment apprivoiser. J'sais pas si c'est moi le fou à être toujours aussi heureux, ou si ce sont eux qui ne réalise pas que pour flotter il faut savoir vivre dans un monde sans gravité. Rien n'est grave, tout est beau, suffit de planter un regard de paillette dans l'horizon, d'hausser les épaules et d'se dire que c'est bon, on est en vie, y'a pas de drame à jouer. Les drames j'les laisse pour les feuilletons de télé. Et là, j'crois que c'est ce que j'perçois dans les yeux de Beth, elle a l'air préoccupé par je ne sais pas trop quoi mais j'vois bien qu'elle s'met presque automatiquement à sourire quand elle me voit. Peut-être que j'suis un clown et que je ne le sais pas. Sans réfléchir, assis là devant mon briquet, j'essaye de loucher les yeux vers mon nez pour voir si je n'y porte pas une boule rouge. Pt-être qu'elle est invisible. Et ouah, je ne m'étais jamais rendu compte du fait qu'il était presque impossible de voir son nez, c'est marrant. Longue histoire ? D'accord, j'suis pas vraiment curieux, si elle n'a pas envie d'parler, je n'insiste pas. Fumer moins ? Pas de drogue dure ? Là, ma bouche se tord légèrement comme si j'réfléchissais intensément : "C'est quoi des drogues dures ?". J'connaissais même pas se terme, puis vu l'effet que les taz font sur mon pénis, j'aurais du mal à appeler ça "dur". Elle vient s'asseoir sur moi et très vite mes airs d'abrutis qui ne comprend rien à la vie s'effacent et laissent place à un sourire presque niais. J'passe un de mes bras autour de sa taille tandis que de l'autre main j'tiens ma bière et mon joint : "T'as l'air ... j'sais pas, triste, ou je ne sais pas trop quoi. Il y a quelque chose qui ne va pas ?". Ouai, je ne saisis vraiment pas les subtilités, j'sais pas si elle aime son calme, ou si elle le déteste, puis moi, j'aime pas, j'me sens bizarre, j'voudrais qu'elle soit ... plus apaisé. Un compliment et un baiser, j'crois que c'est les meilleurs pensement du monde. j'souris comme un con en la regardant rougir : "Tu dis merci quand on te fais des bisous toi ?", je la taquine un peu avant de boire quelques gorgées de bière.



Fiche de réponse créée pour ILH ®



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tonight is the night
Beth, ce soir, elle est bien, malgré ce qui se passe dans sa tête, dans sa vie, elle est contente d'être là, avec lui, de le revoir en dehors du Summer camp, d'être restée en contact avec lui et surtout d'avoir accepté ainsi sa proposition de le rejoindre, même si le lieu ne l'aide pas réellement, il faut qu'elle s'y fasse et elle s'y fera. Elle penche d'ailleurs un peu la tête quand il la questionne sur les drogues dures et elle rigole un peu. "C'est tout ce qui rend dépendant physiquement et psychologiquement... Comme l’héroïne et la cocaïne." Elle ne connaissait pas réellement ce sujet, elle savait juste que souvent on désignait surtout ces deux drogues là en dure, pour le cannabis, c'est différent, c'est pour ça, qu'elle a accepté son premier joint, qu'elle a commencé à fumer cette merde.

Blondie est alors surprise par les propos de Milan, non pas qu'elle n'apprécie pas qu'il s'inquiète comme ça pour elle, juste que ça la surprend assez. Elle se colle d'ailleurs un peu plus contre lui, son bassin contre le sien, son regard rivé sur lui alors qu'elle reste à califourchon sur ses jambes, appréciant de sentir la main du jeune homme sur sa taille. "J'ai... Juste quelque soucis avec mon colocataire..." Souffle-t-elle, en grimaçant un peu. "C'est rien de bien grave, juste... embêtant." Non, elle n'allait pas commencé à lui parler de ses démons, de ses peurs, etc. Alors, elle préfère simplement tout mettre sur le dos de Benji, c'est plus simple, plus mieux.

Elle secoue la tête quand, il lui parle de son merci. "Je disais merci pour le compliment !" Précise-t-elle alors avant de rire un peu et de se rapprocher de ses lèvres pour venir faire autre chose qu'un petit bisous. Elle vient tout simplement prendre ses lèvres pour un vrai baiser qu'elle fait durer. Mais quand il se termine, elle recule, reprenant un peu son souffle en riant légèrement. "Là, c'est à toi de me dire merci alors." Elle se moque un peu, mais elle se veut joueuse avec lui, taquine pour sentir de sa bulle, pour arrêter de penser aux merdes qui lui arrivent présentement.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
↔Tonight, is the night. ↔

► Feat Annabeth&Milan



JUKEBOX
Drogues dures ? Dépendant ? C'est bizarre, dans la bouche de Beth, tout ça devient moins marrant. Pourquoi les gens se sentent-ils obligés de médicaliser les choses ? J'veux dire, on ne peut pas juste vivre et pas s'prendre la tête sur les effets et les conséquences ? J'connais plus de gens dépendant à la bière qu'aux drogues. J'aime pas ce truc psychologique, mon côté Roswell m'pousse à croire que c'est un sale coup du gouvernement pour nous tenir en cage. Et moi les cages, je les casse, je m'en libère. J'me sens presque amer en écoutant sa description, ouai, c'est vachement moins marrant vu sous cet angle là, comme de donner la recette du coca ou les méthodes de fabrication d'un hamburger macdo. J'aime bien m'berner d'illusion, ça parait moins compliqué, moins prise de tête, et bon sang, qu'est ce qu'on en a à branler : "J'crois que pour en venir à l'héro, faut vraiment avoir une sale vision de la drogue. J'sais pas, moi j'vois ça comme un coin de paradis en pillule, c'est amusant puis ... c'est nul d'en faire un problème. La drogue n'est pas un problème, elle ne crée rien. Enfin j'crois pas. S'il y a de la dépendance, c'est qu'il y a un problème chez la personne qui l'devient à la base. J'ai toujours tourné à toute sorte de problème, j'ai jamais eu de problèmes. J'ai l'air d'avoir des problèmes ?", dis-je en souriant, haussant les épaules. Puis j'vois bien qu'il y a un truc qui cloche, j'croyais que Beth était comme moi, qu'elle s'prenait pas la tête outre mesure. Mais y a un truc dans ses yeux qui sent ... la mélancolie. Et le plus naturellement du monde, parce que j'suis pas le genre à passer par quatre chemins, j'lance : "Beh t'as qu'à dormir dans ma chambre le temps que ça aille mieux ?". Puis j'aime bien la voir sourire, j'préfère ça. J'savoure le baiser qu'elle me tend, ses lèvres douces, et son corps contre le mien. Ils sont bêtes les gens à penser que le paradis c'est loin : un toit, un pétard, une bière et une jolie fille, voilà l'Eden. J'tends encore le visage quand elle s'retire, et murmure avec ces yeux pétillants : "Mmmh, non, je n'en ai pas eu assez encore ...". A mon tour de refaire durer un nouveau baisé, à peine penché sur elle, tenant fermement sa taille.


Fiche de réponse créée pour ILH ®



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tonight is the night
Beth, elle doit le reconnaître, elle apprécie l'innocence du jeune homme à côté d'elle, il est tellement pur dans un sens, mais en même temps, débauché... C'est un étrange mélange, qu'il l'intrigue et l'attire, parce qu'elle sait, qu'elle ne devrait pas être là avec lui, parce que c'est pas bon pour elle, à cause de l'odeur, de sa présence, de tout ce qu'il pourrait impliqué si elle venait à rechuter dans ses démons, pas si éloigné que cela... Après tout, elle a quitté la mather seulement en juin dernier, alors autant dire que rechuter dedans, serait tellement, simple, tellement facile en même temps... Elle penche un peu la tête en le regardant. "Tu n'es pas dépendant ? Tu en es certain ?" Parce qu'au final, il existe plusieurs façons de dépendant, ceux qui le réalisent, le savent tout simplement et les autres ceux qui ne s'en rendent pas compte et qui ont besoin d'un oeil extérieur pour le remarquer. Le principe du malade qui ne réalise pas qu'il est malade. Étrangement, la Lowell aurait tendance à mettre Milan dans la seconde catégorie de dépendant, ceux qui ne le savent pas encore, parce qu'il est facile de dire je ne suis pas dépendant, j'arrête quand je veux, mais quand on veut finalement arrêter, on y arrive pas, parce qu'il est trop tard, parce qu'il est tout simplement plus facile de continuer que de chercher à arrêter. Se laisser détruire et pourrir, c'est tellement plus facile que de résister, de se relever. Parce que si on se bat, on prendra encore des coups, alors que si on se laisse coulé, une fois qu'on a touché le fond, on peut pas aller plus bas. En théorie...

Elle lui parle alors vaguement de ses problèmes avec Benji, sans en dire trop et elle est alors surprise par les propos du jeune homme, ne s'attendant pas réellement à une telle proposition de sa part, elle le fixe, le dévisage un peu, en mode, il vient réellement de dire ça ? Elle fini cependant par sourire, quand elle réalise qu'il lui a bien proposé un endroit où dormir, où se cacher en quelque sorte, parce que si elle rentre à la Lowell, il saura qu'elle est là, et elle n'a pas envie de le voir débarqué, elle a envie de le voir inquiet, de s'imaginer qu'elle est simplement partie, qu'elle a disparu. C'est enfantin, gamin, puéril, tout ce que vous voudrez, mais elle a besoin de ça, de se rassurer un peu et de se dire que peut-être Benji l'apprécie encore, qu'il comprendra aussi ce qu'elle peut ressentir quand il part ainsi, plusieurs jours sans réellement prévenir... Elle veut se venger.

Beth se comme alors contre lui, venant capturer ses lèvres dans un baiser qui se veut plus ou moins long, elle s'écarte ensuite, en rigolant, le taquinant un peu et il ne manque pas de faire de même en répondant, ce qui fait encore plus rire la jeune femme. Elle se laisse alors aller contre lui, déposant sa bière à côté d'eux pour venir glisser ses doigts, probablement un peu froid sur sa nuque, la caressant doucement dans le baiser. Elle se presse même un peu plus contre son corps, peut-être un peu aguicheuse malgré elle.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
↔Tonight, is the night. ↔

► Feat Annabeth&Milan



JUKEBOX
Plus j'la regarde, plus j'parle avec elle, plus j'réalise que ... ouai, en fait, peut-être qu'elle a un soucis avec la drogue. Pt-être que comme beaucoup de personnes, elle voit ça d'un mauvais œil, comme un truc pas bien, un truc pas net. J'suis pas là pour tenter le diable ni prêcher la bonne parole. Moi, je sais que les seuls problèmes qui existent sur terre, avec n'import quelle chose, comme avec les prods, ce sont les êtres humains qui les crée. Moral à deux balles qui tend à nous tenir bien attachés en laisse. J'vise pas à la persuader du fait que c'que j'dise soit vrai. J'lui expose ma vision, moi c'est comme ça que j'ressens les choses et sincèrement, tout est plus beau quand on arrête d'en faire un drame : "Bien sûre que j'suis dépendant. Mais pas à la drogue elle-même. J'suis dépendant à la légèreté, au bien être, à la joie, à la jouissance, à la putain de liberté ! La drogue ne crée ni n'enlève rien, elle catalyse des choses qui sont là et qu'on n'voit pas forcément. Du genre, si un soir j'me sens triste et grognon et que j'fume un pétard, tu peux être sûre que j'vais baliser, bader et pas bien dormir. Si en revanche j'me sens bien avec moi-même, dans mes baskets, et que j'ai juste envie de profiter du moment, alors la drogue va venir accroître ce sentiment de légèreté". J'me tourne vers elle, à peine plus sérieux. Peut-être que c'est ça que j'devrais faire comme métier, disséquer les mensonges, dire la vérité : "Le problème c'est pas la drogue. Le problème c'est nous. Moins on s'frustre, moins on renferme de sentiments néfastes et nocifs à l'intérieur de nous, plus on est léger. Et plus on peut atteindre le nirvana avec quelques paras", en haussant les épaules. Et j'finis par esquisser un rire : "J'vais pas arrêter un truc qui m'fait grave du bien, ce serait complètement ... stupide. Et y a rien d'mal à s'faire du bien". Une gorgée de bière, les jambes tendues, je l'accueil dans mes bras et la trouve incroyablement jolie. J'lui propose le plus naturellement du monde de dormir dans ma piaule si elle n'sait pas où aller. J'me prends pas la tête plus que ça, au moins elle sait qu'elle aura toujours un endroit où s'réfugier. Puis on s'met à rire, à s'taquiner. Elle m'vole un baiser, j'viens encore la happer. Mon sourire s'éclaircie quand ses doigts passent à ma nuque, et au bord de ses lèvres, je susurre : "J'peux te faire visiter ta nouvelle piaule maintenant si tu veux ... ". Clairement aguicheur, avec ces yeux pétillants de frivolité.


Fiche de réponse créée pour ILH ®



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Mais tout va bien pour toi ?
Beth, elle n'a pas réellement de soucis avec la drogue dite douce, non, vu qu'elle en a déjà consommée, peut-être même un peu trop par le passé, quand elle vivait encore sous ce toit, quand elle était une mather à part entière, bien que pas forcément bien intégré aux autres parce qu'elle se laissait aller un peu trop à ses problèmes, à ses démons... Elle s'était tellement souvent pris la tête avec Wade par exemple, quand elle le réveillait en pleine nuit parce qu'il dormait dans la chambre juste à côté de la sienne... Ouais, les bad trip, elle en a connu quelque s'un en quelque sorte... Mais pour ça, elle n'a pas réellement besoin de fumer ou quoi pour que ça parte en vrille dans sa tête, pour la nuit. Dans tout les cas pour le moment elle écoute Milan parlé sans interrompre, lui laissant lui donner sa vision des choses et il est vrai que la jeune femme l'envie, dans ses paroles, dans sa façon d'être... Mais en même temps, elle se dit qu'ils n'ont pas le même vécu, qu'il a du avoir une vie moins douloureuse que la sienne, pas de démons comme elle peut en avoir, pas une culpabilité comme elle traine depuis presque dix ans maintenant... Elle reste silencieuse un moment quand il a fini de parler, réfléchissant un peu. Mais elle trouve rien à dire d'assez bien, de cohérent en quelque sorte, alors elle préfère tout simplement se taire et venir plus près de lui.

La blonde accepte la proposition du mather pour dormir dans sa chambre, comme un refuge qu'elle aurait pour fuir son colocataire, un endroit de paix où il ne pensera pas à venir la chercher, après tout, il ne connait même pas encore l'existence de Milan... Donc ouais, elle aurait clairement la paix ici, ce n'est pas plus mal, alors pour sur qu'elle a accepté de venir chez lui, s'imposant un peu dans un sens. Elle vient l'embrasser doucement, pour goûter ses lèvres, le provoquer également alors qu'il répond au baiser, lui en donnant ensuite un autre, elle apprécie, s'amuse de cela et rigole un peu alors qu'il lui propose de rentrer visiter sa chambre. Elle penche un peu la tête, laissant ses doigts glisser sur la gorge de Milan doucement. "Ne sommes nous pas bien... ici pour le moment ?" Elle le regarde, le repoussant un peu plus en arrière pour qu'il se retrouve couché et non plus assis. La blonde se couche alors sur lui, faisant quand même attention de ne pas l'écraser de son poids alors qu'elle le regarde dans les yeux, venant l'embrasser à nouveau, se collant encore plus contre lui, peut-être un peu trop entreprenante là.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)