Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(ROMAËL) J'suis pas quelqu'un de bien, j'suis pas une belle personne. - Page 2
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(ROMAËL) J'suis pas quelqu'un de bien, j'suis pas une belle personne.

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J'suis pas quelqu'un de bien, j'suis pas une belle personne.
Romy & Azraël

Je ne sais pas vraiment ce que ça fait d'avoir un enfant. Je ne peux qu'essayer de deviner étant donné que je n'en ai jamais eu, et que je n'ai même jamais eu de parents avant mes quatorze ans. Selon mes suppositions, je devine donc que ça ne doit pas être facile, surtout les premières semaines. Quand je vois Hendrix, je me dis qu'à la place d'Azraël je serais H24 avec lui et donc complètement exténuée. J'ai donc proposé à ma jumelle d'aller nous promener, souffler un coup et je lui ai suggéré à ma manière qu'elle laisse son fils au père de ce dernier histoire qu'elle puisse avoir une pause elle aussi. Mais sa réponse me fait immédiatement froncer des sourcils. « Comment ça on peut pas compter sur lui ? » je demande immédiatement, presque sans l'écouter me dire qu'il y a un parc pas loin. Cela ne me déplaît pas de me promener avec mon neveux, mais je me fais un peu du soucis pour ma soeur. D'autant plus que cette dernière prend la fuite pour aller chercher la poussette et la couverture d'Hendrix. J'aime pas trop ça mais je reste silencieuse même à son retour. Je me permets d'installer l'enfant dans sa poussette, prenant étrangement le plus grand soin à ce qu'il soit bien attaché et bien couvert. Si quelqu'un me connaissant bien me voyait là tout de suite, il n'en reviendrait pas. Azraël finit par me proposer de pousser la poussette et je réponds d'un vif hochement de tête. En fait, tout cela m'amuse. C'est nouveau pour moi, ça m'occupe l'esprit, ça m'amuse. Je pose donc mes mains sur la poussette et nous dirige hors de l'appartement d'Azraël en faisant des grimace à Hendrix toutes les deux minutes. Puis alors que nous marchons, je me lance une nouvelle fois pour aborder un sujet délicat. « Du coup, Alex t'aide à t'occuper du bébé ? » je finis par dire franco. C'est pas mon genre de tourner autour du pot. J'aime que les choses soient claires et pour avoir une réponse claire, il faut une question claire.


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CODES ©️ LITTLE WOLF.


Désolée pour le retard :TT:
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Moi, j'pouvais m'en occuper n'importe quand. Lui laisser l'occasion de le faire le temps d'une balade c'était pas vraiment ce qui allait me déranger. Et puis le but était quand même de faire en sorte que tout aille pour le mieux histoire de ne pas avoir le droit à un grand silence par la suite. Parce que j'avais clairement pas envie de la voir couper les ponts avec moi après ça. Disons que j'étais le genre de nana à parfois fournir un peu trop d'espoir quitte à me manger vingt trois mur dans la face par la suite. Et j'voulais pas que ça arrive. Pas quand j'arrivais enfin à trouver un semblant de stabilité dans ma vie. Peut être qu'elle s'en rendait pas compte mais au fond, j'avais besoin d'elle. Genre vraiment. Et j'pouvais pas l'expliquer parce que ça pouvait paraître stupide mais.. Y avait ce truc qui manquait à ma vie. Ce truc qui avait fait que je m'étais toujours sentit incomplète et.. Quelque part, je me plaisais à penser que cette part là, c'était peut être qui la comblerait. Ouais, j'étais conne par moment. Peut être trop idéaliste aussi mais c'était comme ça. Et j'voulais pouvoir m'y raccrocher. « Comment ça on peut pas compter sur lui ? » Ouais, je suis une lâche. J'avais esquivé la question parce que j'savais pas comment placer ma réponse. Disons que même dans ma tête c'était compliqué et.. Le dire à haute voix ne ferait que rendre les choses encore plus réel. Alors j'préférais taire ce qui allait pas. Au fond, j'passais toujours énormément de temps à travailler sur l'image que je pouvais refléter pour que personne ne se doute du désastre qu'était la réalité. C'était idiot mais au moins, on me posait pas trop de question. Là ? Je m'étais juste grillé toute seule. Une débutante. Semblait-il qu'elle n'allait pas insister. Preuve étant qu'on était désormais dans la rue marchant en direction du parc dans le plus grand des silences. C'était compliqué de savoir quel sujet aborder. « Du coup, Alex t'aide à t'occuper du bébé ? » Pitiééé. Tout mais pas ça. J'me mordais la lèvre gardant le silence quelques secondes. Donnant sûrement l'impression qu'encore une fois je ne répondrais pas. Ouais, t'inquiète pas. C'était la vérité, il s'en occupait d'Hendrix. J'pouvais pas le lui enlever. C'est juste que.. Disons qu'on s'comprends plus et.. On ne se parle quasi plus. Ce qui commençait à devenir pesant en fait.
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Romy & Azraël

Je sais pas trop ce qui me prend à vouloir jouer les "grandes" soeurs, à vouloir jouer les confidentes avec Azraël. Voire même à jouer les babysitters avec Hendrix. C'est tellement pas mon genre de me préoccuper des gens, de prendre de leurs nouvelles, de leur proposer d'aller se promener pour en profiter pour leur demander des nouvelles de leur couple. Je pourrais dire que ça m'ennuie sévèrement, que ce qu'elle me répondra ne viendra pas altérer ma soudaine bonne humeur, mais je sais que c'est faux. Bizarrement, j'en viens à me faire du soucis pour ma jumelle, pour mon neveu. J'en viens à leur souhaiter d'être heureux, et surtout à vouloir participer à ce bonheur. A ma façon, évidemment, mais quand même. Alors je lui demande si son mec, Alexander l'aide à s'occuper de leur fils. C'est quand même important je suppose. C'est pas simple d'être parent, mais ça aide d'être deux à jouer le jeu. Sa réponse me rassure un peu. Je ne souhaiterais pas à Hendrix de grandir sans connaître ses parents, comme moi et sa mère. Je lui souhaite d'être aimé par son père autant que par sa mère. Je hoche donc la tête en silence et je n'ai pas besoin de m'enquérir davantage après d'Azraël pour qu'elle se confie un peu plus. Elle m'explique alors que ça va pas bien dans son couple et je ne peux cacher mon embarras. « Je vois ... » je me contente d'abord de dire. « Tu sais, j'y connais rien à l'amour, aux couples et tout ça. Je suis pas sûre d'être de très bon conseil. Mais je me dis que l'arrivée d'Hendrix et tout ce que cela implique ne doit pas vraiment vous aider à communiquer. » je dis, insinuant clairement que s'occuper d'un enfant demande beaucoup de temps, d'implication, et peut détourner l'attention de ce qu'il se passe dans son couple par exemple. « Vous devriez peut-être vous prendre des vacances rien qu'à vous deux, ou ne fut-ce qu'un weekend pour discuter. » je finis par lâcher en haussant des épaules. En réalité, je ne sais vraiment pas de quoi je parle. J'ai été en couple, ouais, mais c'était franchement pas pareil qu'entre Alex et Az. Je ne suis pas sûre que mon avis sur la question puisse vraiment les aider, mais en tout cas je lui aurait proposé une solution. Je ne serais pas restée à l'écouter les bras croisés.


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Et dans tout ça, j'savais plus quoi faire moi. C'était comme être enfermée dans un cercle vicieux sans aucune issu de secours. J'avais depuis longtemps laissée tomber les tentatives de conversation puisque de toute évidence, elles n'étaient d'aucunes utilité. Et concrètement, à chaque fois qu'on essayait, on finissait par se prendre la tête puisqu'on était incapable de trouver un point d'entente. J'reprochais son égoïsme, il me reprochait mon manque de compréhension. Mais il comprenait pas lui. J'avais tout abandonné pour lui. J'avais abandonné mes études pour me consacrer à notre vie de famille. Et il était censé faire pareil, il l'avait dit mais au final, il retournait à Harvard devenant même le président de la Mather pendant que moi, j'étais la pauvre nana sans diplôme qui se retrouvait avec un gamin sur les bras. J'en avais des aspirations pourtant, j'avais des tas de projets dans ma vie. J'aurais jamais pensé devenir le genre de mère au foyer attendant sagement que son mari rentre et pourtant, c'était plus où moins ce que j'étais. Alors j'savais même pas comment il faisait pour ne pas comprendre que j'pouvais être blessée dans cette histoire. Il ne m'avait pas concerté, m'avait simplement foutu devant le fait accomplit et par surcroit, il s'attendait à ce que j'accepte en fermant ma gueule. C'était pas ce qui s'était passé. J'pouvais pas le laisser continuer à m'écraser comme ça. Et venait un moment où je ressentais un ras le bol surpuissant. J'avais juste envie d'être loin de lui et c'était affreux d'entretenir ce sentiment envers l'homme qu'on aimait. Il est surtout égoïste. Et je le savais. Je l'avais toujours su. J'avais juste été la dernière des idiotes de croire que peut être il pourrait changer. Il ne changerait jamais bien trop centré sur son propre petit bonheur. Ouais mais.. Il fait semblant d'écouter et tout redevient pareil quand on retourne dans la réalité. Alors on pouvait bien tenter de s'enfuir pour quelques jours mais ce ne serait que s'accorder un peu de paix avant que la tempête revienne. Au final, y avait pas réellement de solution et moi, j'étais fatiguée de me battre pour lui quand il n'y mettait pas du sien de son côté. J'suppose que c'est le destin. Peut être qu'on était pas fait pour être ensemble. Et quelque part, on avait toujours eu un effet destructeur l'un sur l'autre. Peut être que s'acharner ne changerait pas le dénouement et que viendrait un moment où l'ultimatum serait là. Se quitter ou souffrir continuellement.
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J'ai franchement pas l'habitude de jouer les confidentes, même avec mes amis les plus proches. Quand quelqu'un que j'aime a un problème, je me contente en général de lui changer les idées, ou bien d'aller casser la tronche à la personne qui lui a fait du mal. Mais en l’occurrence, je ne suis pas sûre que ça soit vraiment ce dont Azraël a besoin, là tout de suite. C'est comme si notre lien m'aidait à comprendre ce qu'elle ressentait, à trouver les mots pour l'apaiser, ou du moins à chercher à trouver ces mots. J'aimerais la réconforter, la rassurer. Juste être là pour elle en fin de compte. Car ce ne sont pas mes conseils qui l'aideront dans cette histoire. Je vois pas en quoi je vais pouvoir la conseiller, j'ai du avoir été en couple trois fois dans ma vie, et ça n'a jamais vraiment duré bien longtemps. Je ne fais pas partie de ces personnes qui ressentent le besoin de se caser. A sa place, je larguerais ce Alex. Sauf que c'est pas possible. Car elle l'aime, ça se voit. Moi, je suis pas sûre d'en être capable. D'aimer. Alors en général, je me débrouille pour pas m'attarder avec les personnes qui ne me méritent pas. Je dis bien en général. Je passe ma main sur son épaule alors que je sens qu'elle est à deux doigts de craquer. Je sais pas si elle a déjà eu l'occasion de parler de cela à quelqu'un d'autre que moi, mais je me dis que ça peut pas lui faire de mal de s'exprimer, de tout lâcher. « Tu sais quoi ? J'y crois pas au destin. » je lui dis en haussant les épaules. C'est quoi ça, le destin ? Une invention pour faire croire à l'Homme qui n'a pas de libre arbitre, qu'il ne peut pas décider ce qui est le mieux pour lui, décider de son futur, son avenir. Une notion que, par définition, je ne pourrais jamais accepter. « Je le connais pas tant que ça ton Alex, mais de ce que j'entends, je me dis qu'il aurait bien besoin d'un coup de pied au derrière. » je lui lance. Une pointe d'humour. J'essaye d'éclairer ce visage de porcelaine avec un beau sourire. « Si tu tiens vraiment à lui, à votre couple, il va falloir que tu prennes les rennes. C'est ça ou tu le quittes, mais tu peux pas rester malheureuse. » je rajoute en toute simplicité. Sérieusement, c'est pas bien compliqué. J'ai pas dit que c'était facile à faire, mais je pense qu'elle a toutes les cartes en main pour régler cette situation. Az et moi, on a grandi dans des foyers et des familles d'accueil. On a été taillées dans la même roche. Je sais de quoi elle est capable. « Puis si franchement ça va pas, t'as qu'à m'appeler et j'viens lui mettre une raclée. » que je termine. Clairement sur le ton de l'humour. Quoi que.

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Je voulais pas le quitter mais je ne voulais pas souffrir non plus. Alors y avait un moment où je devrais faire un choix si les choses ne s'arrangeaient pas. Le problème, c'est qu'avec Alex, j'avais toujours été la nana la plus faible du monde. Et même si j'pouvais lui hurler dessus pendant des heures, même si dans mes moments de colère j'pouvais en venir en main, j'étais incapable de m'éloigner de lui. J'avais essayé sans jamais réussir parce que quelque part, j'étais convaincue de ne pas pouvoir exister sans lui. C'était moche de penser ça, de ne même plus se considérer comme une personne à part entière. Mais il était là la force de mon amour pour lui. C'était tellement puissant que sans sa présence, j'savais pertinemment que je pourrais m'écrouler d'une seconde à l'autre sans aucune chance de m'en sortir. Et je détestais ce sentiment. Putain quoi. J'avais toujours été la nana la plus indépendante au monde, à vivre pour moi avant les autres, à rire à la face des gens. Maintenant, j'étais comme éteinte et cette relation m'épuisait. J'avai de lui comme avant. J'voulais plus de cette guerre qu'on ne cessait de se livrer incapable de reprendre le dessus sur tout ça. Tu devrais, il est fourbe pourtant. Preuve étant que j'avais été abandonnée, adoptée par une famille de psychopathe violent, trimballé de foyer en foyer sans jamais personne ne voulant réellement m'accueillir et si j'avais toujours été fière de la tournure de mes études, maintenant je n'avais même plus ça. Alors le destin existait et était une pute de première. Je sais.. Mais je.. J'pète les plombs, il promet de changer et on repart toujours à zéro. Alors j'y arrive plus là mais.. Je l'aime tellement. J'peux pas le quitter. Même si c'était la dernière solution qui me restait j'pourais pas. Puis j'le connais, si j'lui pose des ultimatums, si j'vais trop loin, c'est lui qui finira par s'en aller. Et j'me retrouverais de nouveau seule. Solitude, mon démon le plus ancré. J'suis pas sûre que tu fasses le poids mais.. On peut tenter. J'esquissais un léger sourire tentant de relativiser. Mais même moi, j'avais beau être la pire des teignes disposant d'un caractère qui laissait à désirer, frapper sur Alex me ferait perdre toute crédibilité. En un mouvement il pourrait m'envoyer dans un mur et clairement, j'avais plus l'air d'une crevette que de la prochaine reine du ring.
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J'suis pas quelqu'un de bien, j'suis pas une belle personne.
Romy & Azraël

Quand j'entends Azraël dire du père de son enfant qu'il est fourbe, je peux pas m'empêcher de me sentir mal à l'aise, de ressentir un certain pincement au coeur. Comment ont-ils pu en arriver là ? Je suis pas du genre à prôner l'amour ou quoi, mais quand deux personnes sont heureuses ensemble, je leur souhaite de le rester. Il m'avait semblé qu'ils étaient heureux, qu'ils s'aimaient. Pourquoi auraient-ils eu un enfant dans ce cas ? Alors que s'est-il passé pour qu'elle puisse avoir une opinion aussi négative d'Alexander ? Pour le coup, je peux pas m'empêcher de me mettre dans la team Az. Je peux pas m'empêcher de me dire que c'est de sa faute à lui, qu'il a du foirer quelque part. Point de vue qui s'ancre davantage en moi alors qu'Azraël me confie qu'elle n'oserait pas le quitter, qu'elle aurait plutôt peur que ça soit lui qui s'en aille. Involontairement, je serre les poings et la mâchoire. Ca me rend franchement dingue d'entendre ça. « De ce que t'en dis, ça m'a l'air d'être un gros con. » que je lâche avant de soupirer pour me calmer. Impulsive, j'ai du mal à contrôler mes émotions, à rester rationnelle. Ma jumelle souffre et j'aime pas ça. J'aimerais l'aider. Aller botter le cul de son mec. « Tu me connais mal alors ... » amusée de l'entendre penser que je ne serais pas à la hauteur face à Alexander. « On dirait pas comme ça, mais je me défends très bien. » que je rajoute. Je vais pas rentrer dans les détails, mais nous dirons que j'ai grandi dans des foyers, dans la rue et que je fais de la boxe. J'ai sûrement l'air fragile mais il n'en est rien. « Franchement, ça me fait chier pour toi que tu sois dans une telle situation. Si jamais t'as besoin de squatter quelque part ou quoi, t'as mon numéro ... » je lui dis, un peu embarrassée. C'est ma façon à moi de lui dire que je suis là, pour parler ou juste pour manger un paquet de chips. C'est nouveau pour moi, prendre soin de quelqu'un d'autre que moi. Surtout que je ne suis pas très douée pour cette dernière.

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Ouais, j'avais souvent l'habitude de me clasher moi même dans mes propres pensées. Mais le seul truc qu'on pourrait me reprocher était d'être hyper réaliste. Parce que vraiment, à côté d'Alex, j'faisais pas le poids. Et même si j'étais certaine que jamais il ne lèverait la main sur moi, il était pas ce genre de gars, si la malchance venait s'abattre une nouvelle fois sur moi, j'finirais avec deux jambes en moins avant d'avoir pu lever le petit doigt. Non c'est.. J'poussais un soupire avant de me mordre la lèvre. J'crois qu'on se comprends juste plus. Et puisque la communication était la base d'un couple, forcément que ça nous aidait pas. On plongeait de jour en jour et je me demandais si on serait vraiment capable de s'en sortir. Si cette fois, on serait assez fort pour ne plus se déchirer à chaque fois. T'es la prochaine reine de la baston ? Gosh, t'aurais du être là alors au moment de l'émeute devant la Eliot. Parce que c'était sacrément partit en vrille ce jour là et je comptais plus le nombre de nez en sang que j'avais pu croiser. C'est gentil. Vraiment, et j'étais touchée qu'elle me propose ça. Mais je passais mon temps à fuir. Les trois quarts du temps, j'étais chez Maxine. Comme si me réfugier chez elle allait me sauver de mes démons. C'était pas la réalité. J'faisais que repousser les moments fatidique et forcément, ça ne m'avançait à rien. Et toi alors ? On parle de moi mais j'sais pas ce qui s'passe dans ta vie. Et quelque part, j'aimerais bien être au courant. Savoir des choses, des anecdotes. Je te demande pas de me faire confiance, je sais que c'est compliqué, j'suis encore une inconnue pour toi mais.. C'est en faisant des petits pas qu'on pourrait construire notre relation. T'en as fais un aujourd'hui et ça prouve qu'on est sur la bonne voie.
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