Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityAnna&Noah - N'y a-t-il que dans les crématoriums qu'on trouve un peu de chaleur humaine ? - Page 2
-43%
Le deal à ne pas rater :
-100€ Pack rééquipement Philips Hue Play : 3 barres lumineuses ...
129.99 € 229.99 €
Voir le deal


Anna&Noah - N'y a-t-il que dans les crématoriums qu'on trouve un peu de chaleur humaine ?

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

N'y a-t-il que dans les crématoriums qu'on trouve un peu de chaleur humaine ?



Baiser des putes sans âmes en prenant plaisir à leur faire mal, c’est comme de frapper dans un punshing ball. Comme de taper dans de la viande putride. A la recherche d’une substance, n’importe laquelle, pour remplir son corps vide, on se laisse aller aux pires exactions. Et on les paye pour qu’elles la ferment, on les paye pour qu’elles s’agenouillent, on les paye pour qu’elles ouvrent la bouche, on les paye pour qu’elles écartent les cuisses et se baisent seules devant vos yeux sadiques avec une bouteille de whisky. Je torture, c’est ma manière de désenclancher la morne vacuité qui m’habite. Mais à trop répéter ces frasques, on finit par s’ennuyer. Une fille que l’on paye ne vous fournit pas l’excitation qu’attend tout bourreau. Ce qui est plaisant, c’est d’accaparer une proie docile et de la regarder consentir à ce que vous lui fassiez mal. Quand je regarde cette fille, je sens mes abysses se durcirent. Je veux cracher sur son visage. Quand j’étais petit, je cassais mes jouets. Maintenant que je suis grand, je saute à pieds joints sur les jouets des autres enfants. J’ai faillis me faire écraser, je n’en ai rien à faire. Elle reste, elle consent. A ce que je la blesse. Il n’y a qu’à voir mon regard se noircir pour comprendre que je ne serais pas le genre sympathique à t’écouter parler. Ne parle pas, ferme la. Je tourne les talons et ne suis pas surpris quand je remarque qu’elle me suit. Elles sont toutes comme ça. A la recherche du danger, de ce qui pourrait les faire trembler. Ma petite, tu n’as pas idée de ce que tu viens de faire. Accepter de danser avec le diable. Et je vais tellement te torturer que tu te rendras insupportable à toi-même : « Je suis ». Finis-je par enclencher, avant de me stopper net, me tournant vers elle pour lui faire face, maquant de la faire trébucher dans ses pas pressés. Et j’esquisse un sourire machiavélique en regardant son visage déconcerté, laissant volontairement ma phrase en suspend : « C’est moi qui pose les règles ». Dis-je, le regard noir, lui faisant comprendre qu’on allait jouer. Je remarque un espèce de café de l’autre côté de la rue : « Viens. », dis-je avant de me mettre en marche d’un pas ferme, traversant la rue sous les coups de klaxons, sans prêter aucune attention aux voitures qui s’arrêtent, ni au mec qui me gueule dessus. J’entre dans le café et m’installe au comptoir.

© charney for ilh
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

N'y a-t-il que dans les crématoriums qu'on trouve un peu de chaleur humaine ?



Je me demande où je suis et qui il est. Il ne suffit de rien pour tomber - c'est le cas de le dire - sur ce quelqu'un qui fera tout basculer. Il n'y a rien de bon chez lui, du moins c'est ce qu'il laisse exprimer. J'ai déjà mal, avant que quoique se soit n'ai commencé. Comment ça marche ce jeu là ? On se crache à la gueule à tour de rôle après avoir regarder l'autre chialer ? Mais en réfléchissant bien, c'est plutôt moi qui vais souvent chialer, souffrir et même vouloir m'enfuir. Pour l'instant j'ai besoin de le suivre, comme si je pourrai avoir des regrets de ne pas l'avoir fait en rentrant chez moi ce soir. Je le suis même si ma raison me dit de le fuir. Ferme là. Si je pouvais avoir ma conscience entre mes mains parfois, je le donnerai un grand coup pour l'assumer. Ne le suis pas, suis le. Je viens de crier, de lui dire que c'est un connard. Il ne se retournera pas. Il va me laisser là, sans que je ne puisse revoir son regard qui donne envie dans un premier temps de le réconforter. Mais après il donne envie de le frapper. Il se retrouve d'un coup sec et je manque de tomber. mes mains s'agrippent à son t-shirt et se défont aussi vite qu'elles le peuvent. Il n'a pas envie qu'on le touche, qu'on le répare il se complait bien trop dans son malheur, je ne pense pas me tromper là-dessus. Il est ? Moi aussi je suis. C'est lui qui pose les règles. Je ne trouve rien de mieux que de bouger la tête pour acquiescer sans même réfléchir à mon geste. être bouche bée, ne plus savoir quoi dire et attendre que ça vous tombe dessus. J'attends qu'il continue en silence. Puis il travers la rue après m'avoir lancé un simple "viens". Je le suis manquant de me faire écraser deux fois. la première fois je m'excuse et la deuxième je lance un regard noir au conducteur, comme lui. On entre dans un café miteux, deux tabourets semblent nous attendre au comptoir. J'attends qu'il dise quelque chose, qu'il commande, mais visiblement il ne le fera pas. Personnellement j'ai besoin d'un truc fort. Deux shots de vodka. Pas de merci ni de sourire. Je reste à fixer les bouteilles d'alcool qui me regardent. J'attends la suite.


   

© charney for ilh
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

N'y a-t-il que dans les crématoriums qu'on trouve un peu de chaleur humaine ?



Je ne suis pas quelqu’un d’aimable, de stable ou de sympathique. Je ne suis pas ce qu’on appel un bon ami, je ne suis pas bon à fréquenter, je n’ai rien à apporter, rien à donner. Je ne suis pas de ceux qui vous font la cours avec des jolis mots, ni de ceux qui s’inquiètent de votre sort. Je suis celui qui n’en a rien à branler de vos gueules de mort-nés, celui qui rêve de grande épidémie et de vaccins en petits nombres. Elle aurait dû le voir, le comprendre. Que je n’étais pas du genre à me laisser amadouer, que je n’étais pas du genre à me rendre appréciable. Tout au contraire. Plus je suis détestable, plus ça me plait. Et cette stupide fille saute à pieds joints dedans. Elle aurait dû voir mon regard perdu et mes airs de voyous froids. Tourner les talons, s’en aller par l’autre voie. Mais elle est là, elle reste. Et moi j’ai besoin de tuer l’ennui. De casser quelque chose de joli juste pour le plaisir de le voir agoniser. Ses mains qui s’accrochent à mon haut m’arrachent une crispation non feinte. Je déteste qu’on me touche, hait la promiscuité et méprise tous ceux qui pensent pouvoir m’approcher. Et quant elle acquiesce à mes dires en un geste de soumission ultime, sans aucune forme de rébellion ou de contestation, j’efface mon sourire. Regard sévère. Je méprise ce genre de filles, prêt à tout, même à se mettre en danger avec un inconnu franchement pas avenant. Elle n’a pas idée de ce qui l’attend. Elle ressemble fortement à toutes ces catins que mon père se tapait. J’ai envie de lui cracher dessus. Mais plus tard. Pour l’heure, entamons les préliminaires, commençons le jeu. Elle ne sait pas que ceux qui font les règles sont toujours gagnants ? Dédaigneux je m’éloigne d’un simple « viens », avant d’entrer dans ce café nauséabond. Comme elle, comme toutes, comme tout. Je m’installe sans la regarder, elle vient sur le tabouret à côté de moi. L’imprudente se permet de commander sans aucune forme de politesse. Je regarde le serveur, lui faisant comprendre de ne pas s’exécuter d’un regard. Et je me tourne vers elle, sévère : « Présente lui tes excuses pour ton manque de politesse. Et commande quatre whiskies. ». Voilà comment on commence la soumission. En humiliant la victime face aux inconnus.

© charney for ilh
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

N'y a-t-il que dans les crématoriums qu'on trouve un peu de chaleur humaine ?



J'sais pas ce qui me prend, de quoi j'ai besoin. Me prouver quelque chose, ou prouver quelque chose mais à qui ? J'ai du mal, du mal à croire en ce que je fais et savoir dans quoi je me suis embarquée. Je suis dedans, bien trop dedans pour me barrer. Je me retrouve à traverser une rues bondées par des gens qui sans aucun doute sont mille fois plus heureux que le mec que je suis entrain de suivre, mais ça ne me retient pas non plus. On entre dans ce bar qui sent le renfermé. J'ai besoin d'air au moment même où je franchis les portes. Je m'installe à côté de lui sans le regarder. J'ai mon coeur qui se sert. Je n'ai pas peur de la suite, j'ai juste hâte qu'elle arrive. Je commande sans même regarder le serveur ce qui passe pour du mépris total. Ce n'est pas moi qui agit mais mon inconscient, celui qui détient la mauvaise Anna. Je vois du coin de l'oeil qu'il ne bouge pas, que mes shots n'arrivent pas devant moi. Et ça m'exaspère. Mais je comprends mieux le pourquoi du comment. Je tourne la tête vers ce mec qui pense pouvoir m'ordonner de commander autre chose. Non. Mes yeux le fixe, un air de défi se lit sur mon visage, je ne suis pas son chien et encore moins sa chienne. Je déglutis, il a dit vouloir donner les règles pas des ordres. Je ne baisse pas le regard, j'attends sa réaction.




© charney for ilh
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

N'y a-t-il que dans les crématoriums qu'on trouve un peu de chaleur humaine ?



Les jeux de soumissions sont un art subtil. Souvent, les faibles d'esprit les perçoivent comme une pure perversion sans aucune forme de sensualité. Mais c'est faux. La soumission a quelque chose de foutrement excitant, elle desine sur le corps des femmes des traits voluptueux, comme un amer millésime. Je ne connais pas cette fille, je ne sais pas pourquoi ces idées me passent par le crâne. Elles ne sont ni préconçues, ni définitives. Je m'établis sévèrement à la recherche d'une jolie chose à briser. Tuer l'ennui, mon maître mot, le reste n'a guère d'importance. Se complaire de défiance, se battre dans des luttes stériles et insignifiantes, j'ai déjà donné. Ce n'est pas ce que je cherche, le défis m'ennuie autant que les filles qui l'appuient. Je ne suis pas d'humeur à m'élancer dans une nouvelle course. Ce que je veux, c'est du neuf, de la subtilité, de l'inédit. Quelque chose que je n'ai pas encore gouter. Alors, son refus de commander le whisky et de s'excuser me laisse de marbre. D'un geste dédaigneux, je me redresse : "La rébellion, c'est d'un ennui mortel". Lui insinuant bien que si on joue, c'est à mon jeu, je ne suis pas d'humeur à jouer au sien. Je me lève, balance quelques billets au comptoir, pour le dérangement, sans quitter la jeune fille des yeux : "Et toi, tu m'ennuie aussi. Quand tu seras moins ... encline à jouer les fortes filles sans intérêt, tu demanderas Noah Arjen d'Aremberg". Je glisse ma carte avec mon numéro sur le comptoir. Sans plus aucune forme de procés, je ne lui accorde plus la moindre importance et m'en vais.  

© charney for ilh
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

N'y a-t-il que dans les crématoriums qu'on trouve un peu de chaleur humaine ?



Je viens de refuser de lui obéir même si quelques minutes plus tôt j'ai accepté de le suivre pour accepter ses règles. Peut être ne suis je pas assez soumise pour accepter la soumission. Cette phrase ne semble avoir aucun sens dans mon esprit et ne me rappelle rien de familier, rien que j'aurais pu déjà rencontrer. C'est en cela que je ne suis pas à l'aise mais que je n'ai pas peur non plus. Je ne connais pas ce genre de situation et ne côtoie jamais des personnes comme lui. Il a besoin de tout contrôler, de me contrôler pour se sentir bien. J'ai envie de jouer à ce jeu, crois moi j'en ai envie. Je ne suis juste pas experte en la matière et il est difficile de dire amen à tout. Mon "non" semble l'avoir agacé, semble l'exaspérer et je sens que la suite n'aura rien à voir avec ce que j'avais imaginé. L'ennui mortel. La rébellion. Ma mâchoire se tend et je ne quitte pas son regard, seulement quand son regard à lui se fait dur je baisse le mien. Et puis il s'attaque à ma personne, au soit disant jeu que je suis entrain de jouer. Il pose quelques billets sur le comptoir, ce qui m'exaspère. Il va prendre la fuite, encore. Tu n'es pas assez bien pour lui Anna, pas assez intéressante trop ennuyeuse. On ne m'avait jamais dit ça, il voulait commencer à me broyer lentement. Il se tourne sans même me regarder. Je saisis un verre vide qui se trouvait sur le comptoir et sans réfléchir je le lance de toute mes forces contre la porte d'entrée du bar miteux. Il explose en mille morceaux, aux pieds de mon bourreau. J'aurais pu viser son crâne mais le jeu ce serait arrêté. Je ne joue à aucun jeu. La soumission n'est pas une chose innée. Toi retourne sur ton trottoir à t'en faire pour ta petite vie minable. Je jette sa carte je ne sais où et m'en vais vers l'arrière salle du bar où doivent se trouver les toilettes. J'entre dans une toute petite pièce sombre à peine éclairée et m'agrippe au lavabos en évitant de regarder mon pauvre reflet dans le miroir. Tu es ennuyeuse Anna.

© charney for ilh
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

N'y a-t-il que dans les crématoriums qu'on trouve un peu de chaleur humaine ?



Je crois que cette fille n'a pas compris qui j'étais. Je crois qu'elle s'emballe un peu trop. Pour saisir toute la subtilité de mes frasques, il faut s'enfoncer dans le crâne une réalité abjecte, mais non moins palpable : je n'accorde strictement aucun intérêt ni aucune importance à sa misérable personne. Elle se targue d'un "non" de défiance et je la regarde avec la blase de celui qui a déjà vu mille fois ce genre de procédé. Je ne cherche pas à jouer à des jeux d'ennui, du type, je te force, tu résiste. Aucun intérêt, surfait, trop vu. Si cette inconnu n'a rien de plus à m'apporter que les autres, alors je n'ai aucun intérêt à rester, et quand je m'ennuie, je ne m'attarde pas. Convaincu que je ne la reverrais probablement, je laisse néanmoins ma carte au cas où, elle change d'avis, se rattrape, et comprends dans quelles genre de machinations je veux l'impliquer. Ma démarche impérieuse ne prête attention à aucun effet. Pas même à ses cris qui résonnent dans mon dos dont je fais un écho fuyant tant je lui prete aucune attention. La porte du café franchis, j'ai envie de briser quelque chose de laid cette fois. Pour la perte de temps occasionné. Une clope au bec, un regard noir aux passants qui m'observent. Mon téléphone en main et sans plus attendre, je commande une nouvelle putain. Taper dans la viande, puisque c'est ce qu'il me reste.  

© charney for ilh
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)