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'cause you're my love (carmingham ♡)

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Je détestais la décision que j'avais pris de ne pas intégrer la eliot house et encore plus quand je l'entendais dire que je n'aurais pas le droit d'y mettre les pieds et tout ce genre de choses. Ça me dépassait mais après tout, j'espérais que ça ne serait pas pour rien. J'étais donc partie pour me faire encore un peu plus exclure de cette confrérie que j'avais évité pour son bien et seulement pour ça d'ailleurs. Je le regarde et quand il baisse le visage, je sens mon ventre se tordre dans tous les sens. " Regarde moi dans les yeux " Lâchais-je sur un ton tout sauf doux auquel je l'avais pourtant habitué pendant toutes ces semaines ensemble. Je voulas voir sa culpabilité éclater en plein jour. Je la haissais déjà cette Lucky. Une mather. Je grimace et soupire. " Ouai je sais, je suis au courant " Lançais-je en croisant les bras au niveau de ma poitrine. Pas la peine de lui rappeler que ma meilleure amie les avait vu et m'avait prévenu dans la journée. " Comment elle a fait entrer dans le bâtiment et dans ta chambre ? Tu ne fermes plus à clé ? " Demandais-je en fronçant les sourcils. " Quelqu'un lui a ouvert et je veux que tu découvres qui. Ça vient forcément de chez vous, t'as du m'ouvrir quand je suis venue en mai " Lui rappelais-je en restant toujours le plus neutre possible alors que je bouillais littéralement. J'ai envie d'hurler et de le frapper. " C'est toi que je vais attacher avec des menottes. Ça me dégoûte qu'elle t'ait touché. Encore " Parce que ce n'était pas la première fois que j'entendais son nom. Merci Londres et la discussion qu'on avait eu. " Si même la nuit il faut que je t'etouffe, on va finir par y arriver " Ma voix était monocorde et je ne prononçais pas un mot plus haut que l'autre. Qu'est-ce que c'était difficile putain. Mais je ne devais pas gueuler maintenant. On aurait bien l'occasion de se déchirer plus tard, aucun soucis là dessus. Et puis, on parle de sa soeur, de son petit ami et tout ce qui va avec. Cole n'accepte pas et quand je l'entends rire quand je parle de Tate et Noah, je me sens mal. Mon coeur se serre et je tourne le dos quelques secondes. " Ouai et tu sais quoi ? Tout le monde dit que t'es comme eux, pas fais pour être en couple. Surtout pas avec une prostituée voyons " Lâchais-je en perdant mon calme petit à petit. " Et elle pense pareil pour moi. Que tu serai mieux seul qu'avec moi " Je soupire fortement, ayant perdu mon sourire légendaire, ma bonne humeur et ma joie. Je m'assois sur le divan et l'invite à me rejoindre parce que je me dois de le rassurer sur tout ça, sur ce mariage dont personne ne voulait à part les principaux intéressés. Qu'est-ce que c'est dommage. " Elle est consciente des risques Cole. C'est pas une gamine " Soufflais-je avec un léger sourire. " Je t'autorise à le tuer de tes propres mains si lui survit. Mais tu sais, elle aurait pu partir en décembre après l'attaque et la mort du père de Kali. Elle auraut pu, Nikolaï nr l'aurait pas retenu mais elle est encore là... " Elle était là pour lui. Elle l'aimait et j'espérais fortement qu'il le comprendrait à un moment ou à un autre. " Une femme amoureuse est prête à n'importe quoi pour l'homme qu'elle aime. À se mettre entre parenthèses, à se faire discrète pour que son homme brille... C'est ça l'amour.. " Je parlais pour Elizabeth ou pour moi là ? Peut-être bien pour les deux. Je le regarde et soupire légèrement. " Je sais bien Cole... Et il n'y a plus qu'à espérer que les gorilles qui sont partout sauront les protéger si jamais il y a a nouveau un soucis... Je ne l'espère pas mais ils sont protégés amour " C'était la première fois que je donnais un petit surnom à Cole. " Je peux pas te promettre que tout ira bien... J'aimerai te rassurer mais j'ai pas ce pouvoir malheureusement... " Si seulement je pouvais lire dans une boule de cristal tiens, ce serait sympa comme tout... Mais c'est pas le cas. " J'espère qu'il ne lui arrivera rien... " Soufflais-je en serrant sa main dans la mienne. " Arrêtons de penser au pire. De toute façon, on peut rien y changer. Elle t'écoutera pas, elle écoutera pas ta soeur... " Puis de toute façon, c'est trop tard.
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 Son ton était sec, son ordre de la regarder dans les yeux indiscutable et je m’exécutais, regard penaud, brillant d’une lueur coupable, tout à fait conscient d’avoir été à deux doigts de l’erreur fatale cette nuit là, endormi comme je l’étais, persuadé de l’irréalité de ce moment, je n’osais imaginer l’issue de cette visite nocturne si Kalista n’avait pas été là… C’est avec une froideur déconcertant et un calme effrayant qu’elle déclara être déjà au courant. Bien sûr, elle savait. J’avais eu beau supplier Kali de se taire ma traitresse de future cousine avait du parler, forcément…  Et c’est avec un flot de reproches que Kyla accueillit mon aveu. « Roh.. J’en sais rien moi comment elle a fait, je vais faire changer les serrures. Et installer des digicodes. Si je suis élu crois-moi ce genre d’incident n’aura plus lieu… » affirmai-je d’un ton impérial, oubliant un instant que j’avais à faire à ma petite amie et pas à mon potentiel électorat. Tu joues ta défense Cole là, pas ta campagne. « J’ai peut être oublié de fermer, je sais pas… Peut être que j’espérais que toi tu viennes me rejoindre en petite tenue, me faire ce genre de surprise… » Heureusement que je n’avais pas choisi la filaire droit, parce que clairement, j’aurais fait un piètre avocat. Kyla restait calme, malgré cette apparence, je me doutais qu’elle fulminait et que mon argumentaire c’est pas ma faute, c’est à cause des locaux, était complètement irrecevable. Je sentais l’agacement la gagner de plus en plus et ce n’était pas le sujet de ma sœur et de ses amours tordus qui allait aider. Kyla me tourna carrément le dos quand on évoqua le cas de Tate et Noah, clairement deux de mes meilleurs amis mais que je ne voyais pas en couple, clairement. La voix de ma petite amie reprit alors, objectant que l’opinion générale s’accordait à dire la même chose à mon sujet. « Ils ont raison. Tous. Je ne suis pas fait pour être en couple. » Je m’approchai d’elle dans son dos en acquiesçant ainsi, mes mains s’ancrèrent sur sa taille et ma bouche se perdit dans son cou après avoir lentement poussé ses cheveux sur le côté. « Je suis fait pour être avec toi. » lui soufflai-je à l’oreille. Qu’elle arrête d’écouter les bruits de couloirs. Qu’elle arrête de s’inquiéter de ce que Vic pouvait penser. Puisque ma jumelle ne prenait pas en considération mon avis sur ses fréquentations, elle n’aurait surement pas le loisir d’avoir son mot à dire sur les miennes. Kyla m’attira sur le divan pour poursuivre le débat sur les noces à venir, noces qui de toute façon, auraient lieu dans tous les cas, qu’importe mon désaccord à ce sujet. Kyla tenta de me rassurer, de m’affirmer que ma mère savait ce qu’elle faisait, qu’elle saurait s’entourer d’une sécurité sans faille. « T’as raison, on ne devrait pas perdre notre temps à débattre sur ça… Les dés sont jetés de toute façon désormais. » Mon regard se perdit un instant sur la Rolex à mon poignet et je revins planter mes prunelles dans celles de ma petite amie : « Il nous reste encore quelques minutes, je pense qu’on peut occuper plus judicieusement ce temps. » Et sans lui laisser le temps d’objecter, je fondis sur ses lèvres pour m’en emparer, l’embrassant avec envie, la condamnant surement à une retouche maquillage après cela mais qu’importe, elle m’avait trop manqué pour que je ne profite pas un peu de ce petit tête à tête.
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Je le regarde droit dans les yeux. Je ne voulais pas qu'il en reste là. C'était trop facile ça, de dire qu'on allait changer la serrure sans chercher à aller plus loin. " La serrure était forcée ? " Demandais-je simplement, comme pour lui faire ouvrir les yeux. La Eliot House était une forteresse impénétrable, à moins d'être un as de l'informatique ou du crochetage de serrure. Et je ne sais pas, je ne pense pas que ce soit le cas de la blonde. C'est peut être une rebelle dans l'âme mais ça doit s'arrêter là. " Cherche à savoir qui l'a aidé Cole. Il y a des gens en qui tu ne peux visiblement pas avoir confiance à la EH " Soufflais-je simplement. Il y a des gens prêt à ouvrir les portes aux Mather. C'était donc les soucis assurés, quoi qu'il dise. Je le regarde et soupire. " Mon genre de surprise c'est plutôt d'attendre nue au milieu de l'appartement que tu rentres " Lâchais-je simplement. Et puis, comment est-ce que j'aurais pu entrer à la EH ? Le soucis était encore et toujours le même, à moins que quelqu'un nous ouvre de l'intérieur, une fois que les portes sont fermées, aucun risque d'entrer... Et je ne voyais pas Tate ou Victoria laisser tout ouvert, surtout après l'arrosage de Cole lors de la soirée du quatre. Et puis c'était risqué ... Bref, j'étais persuadée que quelqu'un avait aidé cette peste à entrer dans les locaux mais mon petit ami n'en dirait rien, loin de là. Je me demandais presque si ça ne le gênait pas plus que ça, au final. On avait tellement de choses à régler, à prendre en compte, à faire pour s'en sortir et... On en avait pas fini. Fallait s'y faire. Je tourne le dos et m'écarte un peu, serrant la mâchoire, mordant l'intérieur de ma bouche pour ne pas pleurer, ne pas crier. Parce que si j'étais calme à l'extérieur, j'étais un volcan à l'intérieur quoi... Mon coeur rate un battement quand il me dit qu'ils ont tous raison, qu'il n'est pas fais pour être en couple. Il joue à quoi là, au juste ? Et je sursaute quand ses mains se glissent sur ma taille. Ses lèvres sur mon cou. Pas fais pour être en couple, fais pour être avec moi. J'aimerais y croire. J'aimerais que tout le monde le voit et y croit en fait... J'avais pas besoin de l'aval des autres pour être heureuse mais je devais avouer que ça faciliterait bien les choses parce que j'avais besoin de me sentir bien, en sécurité quelques temps au moins. Surtout dans un moment comme celui-ci. " C'est toi et moi contre le reste du monde, donc " Soufflais-je en posant mes mains sur les siennes. " J'aimerais tellement que tout soit plus facile, je dois l'avouer " Lançais-je à vois basse, me tournant dans ses bras pour me glisser sur le divan et l'embarquer avec moi. Ses peurs, je les comprenais et je les partageais. J'avais peur pour la vie de sa mère, du père d'Oksanna et puis, pour la notre un peu. On allait à leur mariage là... Et les évènements en France et dans le monde entier nous montrait bien qu'on était jamais en sécurité, même quand on croit l'être. Mais bon, tout était bien surveillé, il n'y avait qu'à voir le nombre de sécurité que j'avais vu entre l'entrée et cette salle. Je lui souris légèrement, quand il parle que les dés sont jetés et je vois bien son regard dévier vers sa montre. Son père. Il pense à son père. Je ne connais pas l'histoire de ses parents, s'ils étaient séparés avant qu'il décède ou si elle est veuve, du coup. Mais je ne doute pas d'une chose, si son père l'aimait réellement - bien qu'il l'ait visiblement trompé avec la mère de Wade - il aurait voulu le meilleur pour Elizabeth. Et, d'une certaine façon, c'était Nikolaï le meilleur. " Réconforte toi en te disant qu'on va bien manger, que tu vas danser avec la plus belle femme de l'audience et que ce soir, cette plus belle femme te fera tout oublier " Soufflais-je en passant mes mains de ses joues à ses cheveux, me rapprochant de lui alors qu'il parle d'occuper ce temps de manière plus judicieuse. Ses lèvres sur les miennes, ses baisers se font forts, pressants. J'en ai envie. Autant que lui. Peut être même plus que lui, comme si c'était possible. De ma main droite, je soulève un peu ma robe et me glisse sur lui, à califourchon pour être encore plus proche, ma poitrine collée à son torse. " J'ai hâte de ne t'avoir que pour moi ce soir... " Soufflais-je contre ses lèvres en l'embrassant à nouveau avec passion et envie. On allait devoir se frustrer tous les deux mais j'étais prête à passer la soirée en ressentant quelques picotement à chaque fois qu'il me frôlerait parce que je rêvais qu'il m'arrache ma robe plutôt que de le regarder dans le blanc des yeux encore des yeux durant.
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« Elle a fait ça proprement, elle a pas laissé de traces… » Je me rendais même pas compte du double sens douteux de mes mots, parlant vraiment de la serrure et de l’entrée de la demoiselle dans mon antre. « Ca doit être un truc qu’ils apprennent là bas, dans leur confrérie d’escrocs.» Crocheter des serrures, picoler comme des trous, rouler des joints. Oui, voilà l’image néfaste que je me faisais de la MH. « Tu peux arrêter cinq minutes de critiquer MA confrérie. » fis-je, sur un ton un peu plus ferme, un peu plus froid, un peu plus autoritaire. Je n’étais pas encore élu que déjà je m’y voyais, défendant la EH comme mon bébé. Je n’étais pas niais, bien sûr que je savais qu’un certain ménage allait s’imposer parmi nos rangs. Mais pour l’heure, je n’avais pas envie d’entendre d’énième critique vis à vis de cet endroit que j’avais fini par percevoir comme une seconde maison, ces étudiants qui étaient devenus comme une seconde famille. Imparfaite, se tirant dans les pattes, mais une deuxième famille quand même. Comme quoi l’attachement de Vic dont je m’étais amusé, moqué un peu à mon arrivée en janvier, il avait été contagieux. Et me voilà gagné de ce même sentiment. L’ambiance était devenue glaciale entre nous, alors que pourtant, au fond de moi, j’étais sincèrement ravi de la retrouver après nos trop longues séparations de l’été. Peut être qu’il y avait des sujets qu’on aurait simplement du éviter. Mes lèvres se perdirent dans son cou alors qu’elle me tournait le dos, lui réaffirmant que j’étais fait pour être avec elle.  « Plus facile ? Comment cela ? » Je n’avais jamais connu d’histoire –facile- si bien que je n’en comprenais même pas le sens. Il y avait bien eu, dans ma jeunesse, l’illusion que mes parents formaient un couple parfait, vivaient un amour – facile – mais le verdict était tombé ensuite, après la mort de mon paternel : leur amour, leur mariage, leur couple, n’était que des conneries, une comédie, des foutaises. Mon père s’envoyait en l’air avec une traînée qu’il avait mis en cloque et il léguait une partie de sa fortune au morveux qu’il lui avait fait dans le dos de ma mère, dans notre dos… Belle image du couple. Belle image du mariage. Belle image de la fidélité. Je me cherchais pas d’excuse non. J’étais juste sincère dans ma question : les histoires d’amour – faciles – je ne savais tout simplement pas ce que c’était. Et puis, assis sur le sofa, on évoquait les noces à venir, la journée à supporter, et les paroles de Kyla me ramenèrent un peu à la réalité : de toute façon, les dés étaient lancés, les jeux étaient fait, plus la peine d’espérer pouvoir y changer quoi que ce soit, alors elle avait raison, autant tâcher de profiter du luxe et de l’abondance avec lesquels cette cérémonie allait rimer. Il ne nous restait pas beaucoup de temps pour ce petit aparté, et plutôt que de le gâcher en parlotte, je voulais le passer à la dévorer. Littéralement. Mes lèvres emprisonnèrent les siennes et elle vint se glisser à califourchon sur moi. Mes mains resserrèrent sa taille, ma bouche captura la sienne après son aveu, ma langue s’infiltrant entre ses lèvres pour jouer avec la sienne. Et après ce nouveau fiévreux baiser, je lui soufflai : « J’ai hâte de te retirer ta robe… » Avant de reprendre mon baiser enflammé…
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Je le regarde et fronce les sourcils. Il croit donc sérieusement qu'elle a fait ça toute seule avec le dispositif de sécurité dont ils disposent et quand il s'énerve presque après moi, je fronce les sourcils et le dévisage. " Tu baisses d'un ton tu veux ? " Soufflais-je avec un léger sourire sur le visage. Hors de question qu'il me parle de la sorte et s'énerve alors qu'au final, je cherche juste à lui ouvrir les yeux. " On leur apprend pas à crocheter des serrures Cole. Ce sont des camés anti-conformistes, ça s'arrête là " Soufflais-je gravement. Et franchement, j'y croyais pas à tout ça. Je restais persuadée que quelqu'un l'avait aidé à pénétrer dans l'enceinte de la Eliot House et j'avais ma petite idée. Lucky aurait pu aller dans n'importe quelle chambre si elle avait voulu voler ou faire chier un Eliot. Mais non, elle s'était retrouvée dans sa chambre, sa chambre à lui. Qui lui avait donné la localisation d'ailleurs ? Il y a anguille sous roche, aucun doute là dessus. " Je compte profiter de mon refus pour entrer à la EH pour pouvoir t'aider à régler les soucis que vous rencontrez mais aussi infiltrer la MH... Je veux leur faire croire que je vous en veux pour gagner leur confiance " Soufflais-je rapidement avant de m'éloigner. Ça n'allait pas lui plaire comme idée, oh que non... Ou peut-être que si. Peut-être qu'il verra que je suis réellement faite pour le EH... Ses mains sur ma taille, ses lèvres dans mon cou, je soupire. " Plus facile comme... Pas de sale pestes qui entrent dans ta chambre la nuit, pas de gens qui complotent contre toi, moi, nous... Qu'on nous laisse un peu tranquille quoi... À chaque fois que je me dis que c'est bon, c'est fini et qu'on passe un cap, il y a quelque chose d'autre qui arrive... " Soupirais-je légèrement. Et tout ça, c'est chiant. " On en sort toujours plus fort mais je te veux que pour moi " S'il n'avait vu qu'une once de mon caractère jaloux et possessif, il le voyait un peu plus à ce moment là... Je détestais savoir que des filles s'approchaient trop près de lui et tout ce qui va avec. C'était suffoquant pour moi, surtout ce dernier coup à la EH... " Tu vas vraiment mourir étouffé entre mes seins " Soufflais-je avant qu'on se mette à discuter du mariage, de sa mère, des craintes qu'il avait et même si je voulais lui dire que tout irait forcément bien, je n'en avais aucune idée. Je l'espérais. Oui, c'était ce que j'espérais le plus fort du monde mais on était bien placé pour savoir que rien ne se passe jamais comme il faut, comme on le souhaite. Sinon ce serait trop facilr voyons. Il en avait assez de discuter et puis, il m'avait tellement manqué que voilà, je me glissais sur lui rapidement, profitant de ses lèvres, de son corps... Je glisse mes mains sur son torse, deboutonne sa veste et glisse mes mains dans son dos, sur sa chemise mais bon. " J'ai hâte que cette journée soit passée... " Soufflais-je en prolongeant son baiser de longues secondes, mon corps réactif à la moindre de ses caresses. Oh mon dieu... Je souris et me détache de ses lèvres quelques secondes. " On devrait y aller Cole... " Soufflais-je en mordant ma lèvre inférieure pour me reprendre. " Si on continue comme ça, je vais avoir envie qu'on fasse l'amour toute la cérémonie et réception et... Ça va être insoutenable " Lâchais-je en l'embrassant une dernière fois, sursautant et glissant rapidement de ses cuisses quand quelqu'un frappe à la porte et ouvre cette dernière. " Excusez moi, je croyais que vous étiez seul Monsieur Wildingham " Je suis dos à la porte et heureusement ! Je dois etre aussi rouge que ma robe. " Votre mère souhaiterait vous voir. Ainsi que votre +1 " Lacha l'employé avant de ressortir. Je soupire fortement et l'embrasse avant de refaire le bouton de sa veste de costume. " T'es parfait Cole " Soufflais-je en replaçant son noeud papillon, stressée, ayant terriblement envie de lui arracher ses fringues. Pourquoi on n'était pas resté chacun à un bout de la pièce ?
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Je m’emportais et ça ne lui plaisait pas du tout… Peut être qu’on devrait simplement changer de sujet, bannir les conversations au sujet de la EH pour le restant de l’année même, sauf que, si j’étais élu, ça deviendrait une de mes principales préoccupations, cette confrérie et les projets qu’on avait fait mes amis et moi pour la redresser, la remettre dans le droit chemin… Mais pour l’heure, on y était pas, on pouvait encore se contenter d’esquiver ça, parlons d’autre chose et surtout, cessons les accusations infondées au sujet de mes camarades.  Kyla évoqua alors son plan, l’idée de rebondir sur son rejet de la Eliot pour attirer les mathers vers elle, s’en servir pour mieux les espionner, obtenir des infos… « J’ai pas très envie que tu t’approches de ces gens Kyla… » Si ça ne me dérangeait pas d’envoyer mes bizuts, ou Ivy, dans la –gueule du loup-, ce n’était pas le cas en ce qui concernait ma petite amie… Puis je me remettais pas trop de l’image d’elle dansant dans les bras de Forbes au bal. La savoir là bas, proche de lui, alors même qu’il avait déjà montré qu’il était prêt à l’utiliser contre moi, non merci. Je fondis sur elle ensuite, mes lèvres contre sa peau, marquant ainsi un peu plus ma possessivité, ce geste tendre illustrant bien ce que mes mots avaient laissé sous entendre : je ne voulais pas risquer de la mettre en danger… Et la MH, c’est le danger. Et elle, elle me souffla qu’elle voulait du plus facile, c’est à dire moins de détracteurs, moins de sales pestes, et le terme désignait clairement Lucky, pour tenter de me séduire… « Je ne suis qu’à toi Kyla… » la rassurai-je alors, laissant échapper un petit rire à ces mots suivants, reprenant mon fantasme de mourir étouffer entre ses seins. Puis, d’une conversation à l’autre, on finit par se retrouver bouche contre bouche, nos lèvres dévorant mutuellement celles de l’autre, Kyla à califourchon sur moi, ses mains ouvrant puis se glissant sous ma chemise. Mon pouls s’accéléra alors que mes mains cherchaient à se frayer un accès sous sa robe, tentative interrompue par l’entrée imprévue d’un employé que mon regard fusilla sur place. Je me décomposais un peu en l’entendant évoquer ma mère et son envie de me voir et je le congédiais d’une voix autoritaire : « C’est bon, dites lui qu’on arrive. Vous pouvez disposer… » Et j’avais le cœur qui tambourinait encore d’excitation sous l’effet de ses baisers. Kyla me rhabilla, ajustant mon nœud pap, me rassurant sur mon allure mais le stress refit surface. Je repoussais doucement la demoiselle avant de me lever. « Je ne suis pas parfait du tout. Faut que je me calme un peu là… » Et que je mette un peu de distance entre nous pour avoir l’air un peu plus présentable. J’allais jusqu’au lavabo, passai un peu d’eau fraiche sur mon visage en ronchonnant : « J’ai eu un coup de chaud tu vois… » J’essuyai ensuite ma peau avant de jeter un coup d’œil rapide à mon reflet. « Là c’est mieux ? » demandai-je alors à ma petite amie.

HJ : et je ferme mon blocktruc t'as vu ? 'cause you're my love (carmingham ♡) - Page 2 2474380249
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Je le regarde et hausse légèrement les épaules. Je crois que ça lui plaise ou pas, je le ferais quand même et pour plusieurs raisons. " Pourtant, je suis ton meilleur atout... T'es sur que je ne te cacherais aucune information au moins " Lâchais-je simplement. Bon, ça n'allait pas être facile de me faire accepter mais je n'hésiterais pas une seconde à leur prouver que je veux vraiment le mal de la Eliot House alors que, bien entendu, ce n'était pas le cas mais alors absolument pas le cas. " Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour les faire fermer les portes de leur putain de maison " Lançais-je simplement. Déterminée, comme toujours. Surtout là avec tout ce qu'il se passe. Je voulais vraiment montrer ma loyauté aux bleus de l'université et je savais très bien que me débarrasser de leurs ennemis - ou du moins participer à cette chute - me vaudrait une sacré récompense. " Mes deux soeurs y ont fait un passage et ça s'arrêtera là. Je ne veux plus que personne entre chez eux " Soufflais-je fortement. Il ne manquerait plus que mon fils, dans vingt ans, pour me faire chier et faire chier son père entre dans cette confrérie de drogués. Non, non, je ne crois pas. " Léo n'est peut-être plus là mais je me suis jurée de les anéantir comme il a voulu m'anéantir " Soufflais-je simplement. Ouai, on avait bien la Mather House en horreur tous les deux et pour des raisons bien différentes. " Je t'en ai jamais parlé mais un mather m'a fait chanter l'an dernier à cause de photos un peu... dénudée " Lâchais-je simplement. " Il pensait que c'était Delilah, blablabla, je m'en suis occupée mais je les laisserais pas recommencer leurs conneries avec une autre fille " Lâchais-je. Me confier là dessus, maintenant, c'était peut être pas l'idée du siècle mais je crois que depuis quelques heures, rien de ce que je fais est l'idée du siècle. Je suis du genre grande conne qui ouvre trop sa bouche. Cet évènement avec Léo a déterminé pas mal de choses dans ma vie : ma descente en enfer dont je ne voulais pas parler, en aucun cas, mais aussi ma tentative de suicide et mon envie d'intégrer la cellule cyber-harcèlement du F.B.I. pour punir ceux qui font ce genre de choses. Je ne pourrais pas laisser ça arriver à d'autres personnes. J'ai déjà échoué avec Dimitri en me barrant comme une faible mais là, je ne laisserai pas tomber, jamais. Bon, pour le coup, je laissais tomber parce qu'avec ses lèvres contre les miennes, sa langue qui caressait la mienne, j'oubliais tout. Je voulais quelque chose de plus facile, je le voulais lui encore et encore. Son rire m'électrise, me fait sourire. " J'aimerais tellement qu'elle le comprenne, que tu n'es qu'à moi " Soufflais-je avant de l'embrasser à nouveau. On avait beau discuter de tout et de rien, on revenait toujours pareil : ses mains sur mon corps, mes bras autour de sa nuque et nos lèvre pressées l'une contre l'autre, comme si nous lâcher allait être le début de la fin. J'étais en manque de lui, de son corps dans mes bras, de ses lèvres, de son odeur, de sa voix et de tout ce qui faisait que j'étais amoureuse de lui. En plus, le mariage, les festivités qui allaient suivre et tout ça rajoutait bien une couche à mon caractère déjà bien fleur bleue... On se relève rapidement après l'interruption d'un employé des Wildingham et je souris. " Calme toi alors et essaye d'être convaincant de la racine de tes cheveux jusqu'à tes chaussures " Soufflais-je. Autant dire, trouve un moyen de reprendre tes esprits et vite parce que y a quelque chose qui te trahit et bien comme il faut. Ça m'arrache un sourire d'ailleurs. Dieu qu'on va s'amuser ce soir, je le sens... Je le laisse se ressaisir, je pose une dernière touche de blush sur mes joues, de rouge à lèvres sur ces dernières et je lui tends la main. " C'est parfait " Soufflais-je en posant un dernier regard sur lui. Un baiser sur sa joue - merci l'encre à lèvres qui ne fait pas de traces - et je souffle, au creux de son oreille. " Si ça va pas, je suis là. Je suis ta bouée, ton phare au milieu de l'océan, d'accord ? " Un dernier petit baiser sur ses lèvres et j'ouvre la porte, ma main dans la sienne, en direction de la pièce qu'occupe sa mère. " Entres avant moi " Soufflais-je à voix basse alors que la porte était entr'ouverte et qu'on entendait la voix de sa mère se demander où est-ce qu'il était. Il est là. Là pour ce grand jour. Le dernier jour du reste de sa vie.
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