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'cause you're my love (carmingham ♡)

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Je sors rapidement de l'avion et laisse Noah après une bonne petite discussion d'une heure entre New-York et ici. Je sais que je vais le retrouver au mariage et on aurait pu s'y rendre ensemble, avec la même voiture si tout avait été différent. Ouai, si on ne s'était pas pris la tête pour des conneries, s'il n'était pas aussi froid que l'Antarctique avec moi. Si tout avait été différent, ça aurait été sympa. Mais là, je devais retrouver Kalista le plus rapidement possible et je devais me débrouiller pour me préparer dans la limousine qui nous conduirait de l'aéroport à l'église où se déroulerait le mariage. Je stressais énormément mais j'avais tellement hâte de retrouver mon petit ami, surtout pour un moment comme ça. Je trouve rapidement Kalista et après quelques minutes à discuter, j'attrape ma robe Oscar de la Renté rouge, enlève la robe Dior que j'avais sur moi jusque là ainsi que mon soutien gorge. Je me tourne pour que Kalista ne voit rien ou pour qu'elle ne croit pas que je lui fasse des avances alors que je n'en avais rien à faire. Je me tortille dans tous les sens pour rentrer dans ma robe et lui laisse le soin de monter la fermeture le long de mon dos. Rapide retouche de maquillage, mes cheveux sont toujours nickel et je passe mon collier Swarowski acheté par mon père pour l'occasion. Il me manque déjà. Et j'ai tellement peur de retourner là haut pour son enterrement... Aux prochaines vacances, je vais le voir. De temps en temps, j'irai le voir à Miami avec ou sans Cole. Avec, ça m'arrangerait bien. J'enfile mes chaussures 'hot Chick' noires Louboutin et on sort rapidement de la limousine qui nous arrête devant l'Église. J'embrasse la joue de ma meilleure amie et file à vitesse grand V vers l'arrière de l'Église où les deux grandes familles se préparent. Je demande mon chemin à un vigile qui traine dans le coin et devant la porte, je souffle fortement. Je toque un coup ou fait tourner la poignée dans ma main. J'entre. Il est de dos et je vois son reflet dans le miroir qui fait et refait son noeud papillon. " Il semblerait que je sois juste bonne à faire des noeuds papillons aujourd'hui " Soufflais-je en m'avançant vers lui. Si j'étais partie en colère de Cambridge il y a une dizaine de jours, je ne l'étais plus vraiment maintenant. Enfin, je crois.
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Je fulminais ce matin. Je n’étais pas raciste envers les russes, mais ils avaient ce truc, ce chic, de toujours trempés dans des affaires louches. Peut être que si ma mère avait été fiancée à un anglais, ça aurait été différent. Ou peut être que ce type je lui aurais trouvé tous les vices du monde également. Mais en ce qui concernait ce Petrov, c’était fondé. Même si mes relations en dents de scie avec ses enfants avaient tendance à virer vers le mieux ces derniers temps, je voyais toujours cette union d’un très mauvais œil. Ma mère avait quand même été blessée l’an dernier, lors d’un attentat qui visait son futur mari… Et puis l’oncle Petrov s’était fait zigouillé peu de temps après. Alors quoi ? Je devrais peut être laisser tomber le trois pièces sur mesure confectionné pour l’occasion et opter pour un gilet par balle… Fébrile, ma main tendait pour la énième fois de nouer ce fichu nœud pap autour de mon cou, alors que mes pensées étaient accaparées par les noces à venir, lorsque la porte s’ouvrit finalement. Mon regard dans le miroir aperçut donc son entrée, dans sa robe rouge, sublime, rayonnante… Kyla. J’aurais pu sourire si j’avais pas été si crispé, si je ne ruminais pas depuis la veille l’idée qu’elle n’allait jamais venir. Après tout, on ne s’était presque pas parlé ces derniers jours, on s’était disputé encore une fois lorsqu’elle avait visité l’appartement. Fallait croire qu’on n’était bons qu’à cela. Qu’à s’engueuler. « T’es là… » soufflai-je alors qu’elle s’approchait, confessant son rôle dans le nouage de nœuds papillons. « Merci… » ajoutai-je en sentant ses doigts s’activer sur le tissu de l’objet, ce remerciement s’appliquant davantage au fait qu’elle était là, avec moi, devant moi, plutôt qu’à l’aide qu’elle m’apportait pour fignoler les derniers détails de mon apparence. Je savais plus trop où on en était elle et moi, après les nombreux différents de l’été, j’étais confus, perdu, mais je savais que je la voulais à mes côtés pour cette journée qui s’annonçait éprouvante.
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Venir ici, maintenant, pour lui, c'était le minimum que je pouvais faire, que je devais faire. Ce n'est pas parce que j'avais mal pris ses SMS critiques et ses ronchonnements constants à propos de mon absence pour diverses choses - et ses choix pourris - que j'allais l'abandonner comme ça, maintenant. Je l'aimais trop pour ça et ce mariage était le point de départ de mon retour définitif à Cambridge. Je l'avais prévenu. Si je venais, c'était pour ne plus repartir. D'ailleurs, alors que je poussais la porte de sa petite salle pour se préparer, je me demandais bien où le conducteur de la limousine allait mettre ma valise puisque j'étais partie à vive allure et sans cette dernière. Pas qu'il y ait des objets importants mais quand même un peu. Enfin, je suis sûre que Kalista saura m'aiguiller et qu'elle s'est chargée de ce petit détail. Je le regarde dans le miroir et un léger sourire se dessine sur mes lèvres. Je suis tellement heureuse de le voir, tellement contente. Et il me suffit d'entendre sa voix pour me convaincre que j'ai fais le bon choix. Je l'aime trop pour continuer tout ça. Il y allait avoir des hauts et des bas, aucun doute là dessus, mais on en ressortirait plus fort, encore et toujours. " Oui je suis là, où voulais-tu que je sois ? " Soufflais-je avant de me rendre compte que lui, tout comme Noah il y a quelques heures, étaient incapable de nouer son noeud papillon à cause du stress ou je ne sais pas quoi. Je lui adresse un sourire quand il me dit merci et fais son noeud papillon à la perfection. Les deux côtés sont égaux, bien lisse, pas de plis rien. " Je me devais d'être là pour toi Cole et... Je suis de retour, pour de bon " Lâchais-je, mes mains sur ses épaules. " On va avoir une année compliquée tous les deux mais je veux la passer à tes côtés mon année, tu m'entends ? Je veux la passer avec toi, main dans la main. On sera plus fort à deux que chacun de notre côté " Soufflais-je sérieusement en le regardant droit dans les yeux. " J'en ai marre de m'endormir dans un lit froid en me demandant ce que tu fais, avec qui tu es et si tu penses à moi comme je pense à toi " Lançais-je, mon regard toujours perdu dans le sien. Je t'aime Cole. Je t'aime et je ne veux que plus rien ni personne essaye de nous séparer. " On fera bien des erreurs parce qu'on est pas parfait mais je veux les faire avec toi ces erreurs " Soufflais-je avant de l'embrasser tendrement. On avait pas beaucoup de temps pour nous avant que la cérémonie commence alors je voulais tout lui dire maintenant. " Je suis de ton côté et je me battrais avec toi, à tes côtés quoi qu'il arrive " Lançais-je avec que mes bras se sont enroulés autour de sa nuque et que mes lèvres frôlent les siennes quand je lui dis, mon regard toujours dans le sien. Je lui ouvrais mon coeur, mon âme une fois de plus. Et maintenant, c'était pour de bon. On avait assez merdé pendant cet été. C'est lui et moi contre le reste du monde.
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 « Quelque part à mettre le plus de distance possible entre nous… » Ma surprise de la voir apparaître dut se lire sur mes traits. Etonnement ravi, mais étonnement quand même. Depuis qu’on s’était mis ensemble, officiellement, il y avait eu juillet, quelques semaines dans notre bulle de bonheur, et encore, même à ce moment là, on avait trouvé moyen de s’engueuler comme par exemple quand le sujet Sophia et sa pseudo grossesse avait été abordé. Et puis ensuite, aout n’avait été qu’une grosse parenthèse où notre couple avait été mis en suspend. Septembre prenait presque le même chemin. Parce que se voir deux fois dans le mois, merci bien, mais pour le coup ça m’avait fait ronchonné. Elle ne pouvait pas comprendre qu’elle me manquait ? Peut être que j’aurais du juste lui dire ça, plutôt que de me plaindre à répétition dans mes sms chonchons. « Mais je suis content que tu ne l’aies pas fait. » Mettre le plus de distance possible entre nous, ça s’entend. Je la remerciais ensuite et ses doigts nouèrent le nœud papillon autour de mon col, ajustant ce dernier, d’une main experte alors qu’elle reprit la parole en avouant que son retour était désormais définitif. Je l’écoutai ensuite enchainer, m’avouer qu’elle ne voulait plus de ce gouffre entre nous, qu’elle voulait qu’on soit ensemble, malgré toutes les embuches qui se profilaient. La première étant surement ce mariage. La suivante serait surement le retour sur le campus. Le fait qu’elle se soit fait refouler l’entrée à la EH, et ça, ça me rendait dingue, j’allais tuer Tate et ma frangine pour ça. Des obstacles, toujours plus d’obstacles, mais qui ne semblaient pas avoir raison de sa détermination. Ses lèvres trouvèrent les miennes alors que mes mains se posaient sur sa taille. Mon pouls s’accéléra sensiblement quand sa voix résonna de nouveau, qu’elle souffla contre mes lèvres qu’elle était à mes côtés quoi qu’il arrive. « Kyla… » Mon front se posa contre le sien, mes doigts resserrèrent légèrement leur emprise pour l’attirer un peu plus contre moi : « Je veux pas te perdre… Je ne veux plus te perdre… » Parce que concrètement, cet été, je n’avais fait que cela : la perdre et la reperdre, un peu plus sans cesse. «  Je suis désolé pour l’appartement… » La dernière embrouille en date. Parce que oui, si au début j’avais joué les étonnés, feignant n’avoir pas remarqué la proximité entre le duplex et le logement de miss Dunford, mes excuses du moment étaient bien l’aveu implicite que j’avais choisi d’acheter en connaissance de cause.
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" J'ai dis que j'arrêtais avec ça et t'as dis que tu devais me menotter pour être sûre que je parte plus, je te rappelle " Soufflais-je en parlant rapidement de notre conversation dans le taxi à Miami quand on est parti pour l'hôtel y a quelques jours de ça. Je les attendais ces putain de menottes autour de mes poignets. Genre comme jamais. Peut être que ce soir, on aurait le temps pour s'amuser un peu, pour s'arracher un peu plus. Parce qu'on était bon qu'à ça tous les deux. Et là, ce mariage, ça signait le retour de Kyla Carmichael-Jobs sur les bancs de l'université. Je commençais déjà bien mon année scolaire avec quinze jours d'absence mais mes professeurs avaient été prévenus donc, c'était l'important. Et puis il y avait tant de choses... On va avoir tant de choses à affronter cette année et je voulais toutes les faire avec lui, à ses côtés et pas autrement. C'était tout ce que je souhaitais en fait. C'était ce dont j'avais besoin, sa main dans la mienne, ses yeux sur moi et seulement sur moi. J'avais besoin de me sentir aimée et soutenue après tous ces soucis. On en sortirait grandis, vainqueurs et encore plus fort. Je n'avais aucun doute là dessus. Il prononce mon prénom et je sens ses bras se fermer autour de moi, mon pelvis se rapprochant du mien. Je ne le quitte pas du regard, son front contre le mien, mes bras se resserrant autour de lui. Mourir étouffée qu'on avait dit. Entre mes seins... Il en était pas loin. " Tu me perdras pas " Soufflais-je à voix basse. En fermant les yeux quelques secondes. Et je déglutis difficilement quand il parle de l'appartement. " Tu sais le pire dans cette histoire ? Tu m'as pris la tête parce que j'avais pas été là pour choisir l'appartement avec toi mais si j'avais été là, jamais de la vie je t'aurais dis de prendre celui là " Soufflais-je en embrassant sa mâchoire. " Je vais continuer à vivre avec Dante aussi un peu... Parce que t'as besoin de la voir et je veux pas être là quand elle débarquera " Et une fois encore, je m'effaçais. " À moins que tu veuilles que je reste tout le temps là haut avec toi, si t'es là tous les soirs... " Parce que si je devais dormir seule, autant que ce soit avec mon meilleur ami à côté pour pouvoir l'emmerder de bon matin. " Et quand t'es pas là, je veux un chat.. " Je souris largement. " Dante aime pas les chats... Il veut pas que j'en ai un " Soufflais-je avec une mine triste. J'étais vraiment entrain de lui dire "si tu veux faire mieux que Dante" là ? Ouai, surement. " C'est pas grave pour l'appartement, on évitera de se balader tout nu près des fenêtres c'est tout... " Lâchais-je en l'embrassant tendrement. " Ou on fermera les volets " Soufflais-je en mordillant légèrement sa lèvre inférieure, large sourire sur le visage, toujours collée à lui. Que quelqu'un entre et je le flingue !
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  « Les menottes ? On garde ça pour ce soir non ? Parce que ça ferait peut être mauvais genre comme bracelets pour le mariage de ma mère… » rigolai-je, avec un sourire qui en disait long sur les idées salaces qui me venaient en tête quand on parlait de menottes…  Et très rapidement, c’est la tendresse qui remplaça l’expression perverse qui ornait mon visage. Mes bras l’attirèrent un peu plus contre moi, mon front se posa sur le sien et je laissais échapper ma crainte de la perdre. Parce que c’était le sentiment que j’avais depuis cet été, depuis que ma coucherie avec Ivy avait été révélé… Alors elle ne m’avait pas largué, certes, mais j’avais l’impression qu’elle me quittait quand même doucement. Une sorte de longue rupture, douce, plus acide, plus sournoise, et qui à l’arrivée ferait encore plus mal que ses séparations brutales, annoncées et assumées. Mais elle objecta, non, je ne la perdrais pas. Je lui offris alors mes excuses pour l’appartement, aveu indirect que j’avais bel et bien choisi en tout état de cause l’endroit pour sa proximité avec le logement de ma BFF. Elle souligna avec une certaine ironie combien mes ronchonnements avaient été doublement déplacés pour le coup. « Donc en fait, c’est un peu de ta faute aussi si on a Hippo comme voisine… » Que je répliquai malicieusement en sentant ses lèvres contre ma peau. Elle allait rester un peu chez Dante, et je grimaçais un peu : « Tu viendras chez moi quand t’en auras marre des cafards alors. » Moi aussi j’allais jouer le double logement. « Je compte garder ma chambre à la Eliot tu sais… Mais tu ne pourras plus y venir. Avec Tate, si on passe aux élections, on va un peu durcir les règles… » Et ça allait passer par un contrôle plus rigoureux des allers et venus dans nos bâtiments. Enfin peut être qu’on ne passerait pas, ni lui, ni moi… Peut être qu’on ne serait pas élu. Pour l’heure, c’était juste inenvisageable pour moi. Je secouais la tête en l’entendant parler de chats. « T’es pas sérieuse là ? Tu me vois avec une bestiole ? Et j’en fais quoi moi du machin quand tu seras chez le rital ? » Faut lui donner des croquettes ? Changer sa litière ? Non, hors de questions. Que je pensais d’abord, avant de voir sa petite moue, avant d’entendre son ton plaintif, son ton accusateur aussi à l’égard de son coloc. Et là, je me sentis fondre. Cole Wildingham devant Kyla Carmichael : aucune volonté. « Ok, peut être qu’on prendra un chat alors… » Et finalement, elle ne m’en voulait plus pour l’appartement, elle arrivait même à en plaisanter et se coller un peu plus contre moi. « Ta robe est sublime au fait… » la complimentai-je, mes mains se perdant un peu plus bas sur le tissu du vêtement… « Est-ce que tes dessous sont assortis ? » demandai-je en imaginant alors de la jolie lingerie rouge… On avait certainement pas le temps pour ça, mais bordel, ça faisait trop longtemps pour que je la serre platoniquement dans mes bras sans que mon esprit divague à ce genre de pensées…
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" D'accord. À partir de ce soir tu m'attaches à toi et je ne pars plus " Plus jamais. Je ne voulais pas rester loin de lui, oh que non. J'avais assez joué avec ça et ça avait été assez difficile comme ça. Je crois que ça m'avait vraiment permis de comprendre que je le voulais à mes côtés pour toujours et à jamais. Amoureuse jusqu'au nombril et tout ce qui va avec quoi... Je souris légèrement et me rapproche de lui, l'embrasse, profite un peu tant qu'il n'y a personne, pendant que je peux profiter de lui, tout simplement. Parce qu'une fois qu'on sera dehors, je ne pourrais pas vraiment l'embrasser à tout va, lui dire qu'il m'a manqué et que je serais toujours là. aujourd'hui était le début d'un engagement définitif. On avait fini la période d'essai. " Un appart ça se vend aussi facilement que ça s'achète " Lâchais-je avec un large sourire sur le visage avant que mon sourire s'efface. Ah ouai, carrément. " Ok. Durcir les règles au point d'interdire l'accès de la confrérie à sa petite amie " Soufflais-je, incrédule, déçue et sur le cul. En fait, j'avais raison d'avoir refusé d'intégrer leurs rangs. Ça ressemblait de plus en plus à une secte là haut en fait. Mais je ne préférais pas parler de ça. " Fais gaffe, Dante risquerait de t'interdir l'accès à son appartement du coup " En fait, je crois que c'est une bonne idée. Je ne veux voir aucune copine de Dante débarquer à la maison et lui, il ne voudrait surement plus voir la tête de Cole avant un bon bout de temps. " Tu te retrouveras pas seule avec le chat parce que si t'es là, je serais là Cole " Sauf quand il verra sa meilleure amie. Là, je décamperais et je prendrais le chat avec s'il faut. Il ne manquerait plus qu'elle essaye de tuer mon minou d'amour ! J'avais toujours voulu un chat mais à la Lowell House ce n'avait jamais été possible et puis Dante n'aimait pas les animaux alors... Il ne me restait plus qu'à jouer la corde sensible avec Cole. Et ça fonctionnait d'enfer. Large sourire sur les lèvres, je l'embrasse. " Pas de peut-être... On prendra un chat. Il sera mignon comme tout... T'auras deux femmes pour toi " Soufflais-je en riant légèrement. Bon, un chat et une femme, ok, mais l'idée est là. En tout cas, puisque sa meilleure amie habitait dans le coin, il faudra se retenir. Rien faire trop près des fenêtres au cas où elle nous espionne. " Merci... C'est un cadeau de mon père. Il m'a dit qu'en rouge, je ferais vaciller ton coeur et que tu me pardonneras pour ces semaines loin de toi.. " Lâchais-je en frissonnant alors que ses mains glissent sur mon corps. " Je t'aurais bien dis que je n'ai rien en dessous mais c'est pas vrai " La seule fois où je l'avais fais, on avait même pas couché ensemble. " Tu verras ça ce soir... " Soufflais-je en glissant mes doigts dans ses cheveux. " Je te laisserais me déshabiller et profiter de tout ça... " Riais-je légèrement avant de l'embrasser avec passion. " Ta mère n'a pas besoin de toi par hasard ? " Soufflais-je entre deux baisers. "Si on sort pas d'ici, on va être en retard pour la cérémonie " Soupirais-je, de ma voix de ronchon. Je m'écarte de lui et je regarde rapidement mon reflet dans la glace. " C'est toi qui emmène ta mère ? " Demandais-je simplement. " Je la connais déjà d'ailleurs... Ta soeur ne lui a rien dis pour mes anciennes... activités ? " Demandais-je un peu embarrassée. " Parce que je m'entends bien avec Elizabeth.. " Lâchais-je simplement. Ouai, désolée Cole mais je connaissais ta maman avant de te rencontrer. " Je t'interdis de te dire que je t'ai caché ça. J'avais juste pas envie de parler de la Russie, encore. J'ai fais le lien y a quelques semaines en parlant avec Kalista. Elle m'a dit que tu m'avais lobotomisé pour ne pas avoir fait le rapprochement avant " On en avait parlé après Ibiza quand j'avais débarqué dans sa chambre à pas d'heures. Il m'avait dis que sa mère avait été attaquée parce qu'en couple avec un Petrov et je n'avais même pas été fichue de faire le lien, de me rendre compte que c'était les hommes de Dimitri qui avaient tenté un attentat contre sa famille... C'était de la folie. Mais bon, on était littéralement fait pour se connaître.
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 C’est avec des idées mal placées que j’imaginais déjà les jeux que l’on pourrait s’inventer avec cette paire de menotte comme accessoire. Mauvaise idée, surtout juste avant de se rendre à la cérémonie. Parce qu’à moi, il ne m’en fallait guère plus pour m’emballer, pour m’enflammer, surtout après cette longue période d’essaie, de disette sexuelle, qui m’avait donc laissé particulièrement en manque… L’espace de quelques secondes, quelques minutes, ses paroles assurées, réconfortantes me réchauffèrent un peu, éclipsèrent tout le cirque qui nous attendait dehors, et puis ensuite, c’est mon tour aussi de faire mon mea culpa, de m’excuser. Elle sourit, elle resta calme, me souffrant déjà l’idée de revendre le bien dans lequel j’avais investi. J’haussai les épaules… Et puis je savais qu’elle avait raison, que c’était une option, que, qui plus est, comme ma BF prendrait une chambre à la confrérie, que je comptais bien garder la mienne, on aurait tout le loisir de se croiser là bas donc pas besoin d’être voisin à côté en plus de ça. Bref, je n’écartais pas l’idée de déménager bientôt, mais mon interlocutrice se rembrunit quand j’évoquais autre chose : mon projet pour durcir les règles de la maison. « T’es pas Eliot Kyla… » soufflai-je d’une voix presque désolée avant de réexpliquer, quelques faits marquant qu’elle avait peut être manqué : « Je me suis fait agressé par une tarée de mather qui m’a balancé de l’alcool dessus à la soirée de rentrée, en plein milieu de nos jardins. » m’insurgeai-je. « Je dis pas que c’est TOI le problème, je dis juste que si on commence à laisser entrer les autres étudiants, les mathers en profiteront pour nous jouer ce genre de tour. » Et puis, bien sur, le coup de Grace, au final, ce n’était rien. Ca m’avait coûté un pressing, mais allons bon, ce n’était pas grand chose pour mon portefeuille bien garni. « Et puis y’a pas eu que ça… » J’avais l’air moins assuré, plus penaud, plus gêné pour le coup… Il fallait que je lui dise pour l’autre intrusion qui avait eu lieu un soir, mais le moment était peut être mal choisi non ? Cédant pour le chat, bien trop facilement, parlant alors de cette petite vie qui nous attendait dans mon luxueux duplex, elle s’y voyait déjà, retrouvant le sourire et ses lèvres le chemin des miennes pour mon plus grand plaisir… Qu’est-ce qu’elle m’avait manqué… Qu’est-ce que ça m’avait manqué. Mes mains l’attirèrent un peu plus, mon esprit divagua à nouveau, allant imaginer la lingerie qu’elle pouvait avoir sur elle, sauf que Kyla me rappela à l’ordre : je ne le saurais que ce soir. Je jetai un coup d’œil à ma montre : « On a pas le temps là ? » suppliai-je en me pressant un peu plus contre elle. Sauf que non, on avait pas le temps, que mon interlocutrice me soufflait que j’avais surement ma mère à aider, merci de l’amener dans la conversation maintenant, ça coupait bien toute envie de penser à sa mère entre deux baisers. Je m’écartais à regret l’observant qui réajustait un peu sa tenue après mes baisers passionnés, une moue boudeuse et frustrée sur mon visage. « Bien sûr que c’est moi… Je suis contre tout ce cinéma mais c’est moi… » Et le pire c’était que j’allais devoir sourire, faire appel à mes dons de comédiens. Je fronçais les sourcils en écoutant la suite de ses révélations : Kyla connaissait déjà ma mère. « Non, Vic ne lui a rien dit… Enfin elle a intérêt, surtout qu’elle se ramène avec Silver, qu’elle est en couple avec cet abruti et qu’elle me l’a annoncé par téléphone après me l’avoir caché pendant des semaines. Donc si elle a dit quoi que ce soit qui pourrait ruiner notre relation, je… » Je faisais quoi ? Victoria c’était ma sœur jumelle, mon sang, mon tout… « Elle me ferait jamais ça. » Parce qu’elle sait, qu’elle était la seule d’ailleurs à qui je l’avais dit, que j’aimais Kyla. Et quand elle m’expliqua comment elle connaissait ma mère, je me rembrunis à mon tour, parce que la raison, c’était bien les affaires louches dans lesquelles trempées les ruskov et dans lesquelles l’ex copain de ma petite amie trempait également. « Je veux pas y aller… » soufflai-je simplement dans une longue plainte, caprice enfantin, soupire inutile, parce que je n’allais pas y échapper. En aucun cas.
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Je l'écoute et le regarde d'un regard qui se veut neutre. J'essaye de ne pas m'énerver même si je dois bien dire que je manque cruellement de patience et que je ne supporte pas qu'il m'empêche de le rejoindre à la Eliot House la nuit, s'il y reste. Non, franchement, ça ça me rendait dingue. Et quand il mettait bien en avant que je n'étais pas Eliot, j'avais envie de lui dire que si je n'étais pas Eliot, c'était purement et simplement parce que je n'avais pas envie de lui porter préjudice, que je voulais le meilleur pour lui et le meilleur, ça passait par m'éclipser et me faire discrète au niveau de sa confrérie. Peu de gens m'apprécient chez lui et ça allait se confirmer toute à l'heure lors de la réception. Les regards de Noah, de Victoria et de tas d'autres gens. Je ne comptais même plus le nombre de personnes qui ne pouvaient pas me voir en peinture à cause de lui, à cause de sa grande bouche et de son comportement en arrivant. Forcément, je passais pour la pétasse qui avait menotté le grand queutard de la ville. Je ne m'en voulais pas une seule seconde pour ça, il l'avait choisi. Je l'écoute et soupire. " C'est pas de ma faute si votre sécurité est pourri quand même... " Lâchais-je en haussant les épaules. " Enfin, c'est de ses erreurs qu'on apprend à avancer, à faire mieux " Soufflais-je simplement comme pour lui dire que maintenant, ils feront attention. Et quand il me dit qu'il n'y a pas eu que ça, je déglutis difficilement et le regarde droit dans les yeux. " Y a eu quoi d'autres ? " Demandais-je d'un voix douce, comme pour l'inciter à la confidence alors que c'était l'apocalypse dans mon petit corps à ce moment même. Je ne savais pas du tout à quoi m'attendre. En fait si mais je voulais voir s'il allait se défier ou non, je voulais voir si je pouvais avoir confiance en lui ou pas. C'était important pour moi tout ça, important pour être sûre que je ne faisais pas d'erreurs. J'étais persuadée que non mais bon... Et c'était d'ailleurs pour cela que je restais évasive sur mes sous vêtements, profitant de ce petit moment pour le narguer mais non, il n'aurait rien avant un petit nombre d'heures. Hors de questions de craquer maintenant, comme ça. Ça nous ressemblerait bien mais je me l'interdisais, surtout pas alors qu'il y avait eu pire qu'un petit soucis d'alcool à la Eliot House. " J'ai pas envie de bacler ça, va falloir attendre " Soufflais-je simplement et puis... rien de mieux pour refroidir un homme que de lui parler de sa mère. Faut dire que s'il venait à se mettre à parler de mon père, ça me refroidirait directement aussi. Je me remets tout bien, remonte mon bustier, replace mon collier et souris quand il me dit que c'est lui qui accompagne sa mère jusqu'à l'autel. " Elle doit être tellement heureuse que tu l'accompagnes Cole... C'est le plus beau cadeau que tu puisses lui faire " Soufflais-je sur le ton de la confession avec un léger sourire sur le visage. J'étais fière de lui quand même parce que je savais à quel point il ne voulait pas de ce mariage et surtout, à quel point il n'avait pas envie d'être ici. En tout cas, maintenant que j'allais rencontrer sa mère en tant que sa petite amie et non pas Kyla, l'une des meilleure amie d'Oksanna, j'appréhendais quelque peu. Je ne voulais pas qu'elle me voit d'un autre oeil. On avait bien accroché en Russie et je voulais que ça reste pareil maintenant, que ce soit même encore mieux. " J'espère alors... Histoire d'avoir une Wildingham dans la team Kyla&Cole " Soufflais-je avec un sourire avant de poser ma main sur son torse et lisser sa chemise. " Je sais que tu n'aimes pas Avery parce que c'est le frère de Briony mais... Si elle sortait avec Tate ou Noah, tu l'accepterais ? " Je crois que le soucis est là, en fait. Avery avait l'air d'être un type sympa au final. Bon, je ne l'avais vu qu'une fois ou deux de loin mais il n'avait pas ce regard et ce visage de tête à claque. Et puis, si elle était heureuse avec lui, tant mieux... Mais je crois que le problème avec les Smythe-Wildingham c'est qu'ils ont peur d'être remplacé. Une vraie bande d'idiots finis. Je lui souris et me pose sur le divan présent dans la salle. Il ronchonne et je souris. Un vrai gamin... Mais je l'aime ce gamin. " Viens là " Soufflais-je en lui tendant la main pour qu'il se place face à moi. Mes mains sur son visage, je caresse sa joue de mon pouce et souris. " Ça va aller Cole... Ne penses pas à toi aujourd'hui et penses à ta mère, c'est sa journée. Elle aime Nikolaï et quoi que tu dises, quoi que tu fasses, ça changera rien Cole. Tu ne ferais que la décevoir en t'opposant à tout ça et toi comme moi, on sait que t'as pas envie de la décevoir encore une fois... " Et puis c'est bon, elle allait finir par l'envoyer en Alaska avec toutes ses conneries. " Je sais que c'est difficile, que t'aurais préféré qu'elle tombe amoureuse de quelqu'un d'autre ou peut-être même qu'elle reste seule... Mais ta mère est une femme extraordinaire et elle a le droit à son bonheur aussi " Soufflais-je simplement. " Les mariages me rendent niaises, je le sais mais... Elle va être magnifique, tu vas la voir sourire comme jamais... T'aimes ta mère non ? Alors garde ces ronchonnements pour plus tard, pour ce soir. Tu pourras me faire le debriefing de tout ce que t'as détesté ce soir au lit, avant de dormir. Tu pourras tout critiquer de A à Z mais pour le moment, fais le pour ta mère, elle le mérite " Lâchais-je en ne le quittant pas du regard. " Et quand t'auras envie de tout envoyer valser, tu me regardes... Tu verras mon regard de petite fille émerveillée et je suis sûre que ça te fera fondre comme neige au soleil " Soufflais-je avant de poser mes lèvres sur les siennes. " Je suis là pour toi. C'est toi et moi contre le reste du monde. Dès que ça ne va pas, tu me le dis " Même s'il me le dit toute la cérémonie, toute la journée, j'accepterais.


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 C’était vraiment dans un esprit de renouveau, désireux d’opérer ce grand ménage, de reprendre le contrôle de toute ce qui se passait entre nos murs, que j’avais l’espoir de chambouler le règlement, et d’empêcher les allers venus d’autres personnes extérieures à la confrérie. Je pouvais voir la lueur vexée dans les yeux de Kyla, mais je me disais aussi que quand j’allais lui raconter les récents incidents, elle allait comprendre. Peut être même qu’elle m’aiderait à fermer les chaînes sur la porte de la EH…  L’épisode de l’alcool bas de gamme qui avait rincé mon costard à la soirée d’ouverture la laissa de marbre. « Oui, on va sévir… C’est bien cela l’idée. » Sauf qu’ensuite, je me lançai dans d’autres confidences, sans vraiment savoir par où et comment présenter la chose. « Y’a eu une autre intrusion… D’une autre mather… Mais à un autre moment… Pas au cours de la soirée… » Je regardais le bout de mes chaussures, fuyant le regard de ma petite amie dont je redoutais d’avance les foudres. « Lucky a réussi à entrer l’autre nuit. Elle s’est introduite à la Eliot. Dans ma chambre. Dans mon lit. Pendant que je dormais… » Pourquoi on parlait de ça maintenant déjà ? Ca aurait été tellement mieux, de s’envoyer en l’air, un petit coup vite fait avant le supplice qui nous attendait pour la journée à venir. Mais ce n’était pas dans les plans de Kyla, il allait falloir attendre. Et si ces noces me mettaient d’une humeur massacrantes, Kyla, elle, semblait ravie. Elle me révéla connaître ma mère et quand on évoqua le cas Vic, qui avait déjà classé Kyla dans sa blacklist, je révélais, ronchonnant, qu’elle n’avait pas son mot à dire, encore plus maintenant que je savais avec qui elle avait choisi de se mettre en couple. « Noah et Tate ? »  rigolai-je à la question de mon interlocutrice. « Je les adore Kyla, ils comptent parmi mes meilleurs amis, mais soyons réalistes : ils ne sont pas fait pour être en couple. »Alors savoir ma sœur amoureuse de l’un deux ça serait avoir l’assurance de la voir finir le cœur brisé. « Non, je l’accepterais pas. Elle aurait pu rester célibataire aussi, c’est bien. » Fallait mieux seule que mal accompagnée à ce que l’on disait. Fichue possessivité maladive. On en revenait à parler du mariage qui me révulsait tant. « Si il lui arrive quoi que ce soit à cause de ce ruskov, je… » Je supportais pas l’idée que la sécurité de ma famille soit mise en jeu, surtout pour des préceptes aussi débile que l’amour, le bonheur et tout le tralala. « C’est bien beau d’être heureuse, amoureuse et mariée, mais ça lui apportera quoi si elle est raide morte à cause des magouilles de son mari ? » Même les baisers et les douces paroles de ma petite amie n’arrivait pas à faire taire ma peur grondante : « Je ne supporterais pas qu’il lui arrive quoi que ce soit Kyla. » avouai-je alors en plongeant mon regard dans le sien, parce que je savais très bien qu’elle la comprenait, cette crainte. Même si de son côté, c’était sur son père que sa peur était centrée, que la menace n’était pas une organisation mafieuse mais bien la maladie, la trouille était la même : que la vie nous enlève une personne chère et irremplaçable.
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