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Pourquoi résister ? & Love Fox Decour

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Lova Fox Decour & Stanislav Makarov

Elle commença par me dire qu'elle était riche, comme si c'était tout ce qui comptait pour moi. Cette remarque me fit sourire. Elle continua sans oser me regarder, comme une petite enfant qui a peur. Je compris qu'elle n'avait pas eu une enfance facile, même si celle-ci avait été aisé. Un père qui ne vous aime pas et des frères semblables, cela doit être une véritable horreur. Sa mère la prenait pour une poupée, et cela me fit doucement rire. C'est vrai qu'elle ressemblait à une poupée mais pour moi, elle était encore plus belle que cela. Elle m'apprit aussi qu'elle avait été fiancée, mais que celui-ci était décédé. Bien, j'étais amoureux d'une veuve qui n'avait jamais aimé son fiancé. Cela ne me dérangeait pas en soi, mais c'était... étrange. Je n'allais pas lui en vouloir tout de même. Je pensais que son père serait content de ma "classe sociale", au moins. Pour cela, il m'apprécierait peut-être même si cela s'annoncerait compliqué apparement. Elle me dit que si je pensais qu'elle était délurée, que je ne voulais pas sortir avec elle et un tas d'autres conneries, elle comprendrait. Elle m'avoua ensuite qu'elle était en train de tomber amoureuse de moi. J'étais persuadé qu'elle attendait une réponse, et que j'enchaîne sur ma propre vie. Je l'embrassai donc tendrement.

Tu trouves que c'est un baiser de quelqu'un qui veut juste rester ami, qui te prend pour une délurée et qui ne va pas sortir avec toi ? Moi aussi je t'aime, Lova.

Il fallait donc que je la prévienne de s'attendre au pire dans mon histoire, car on pouvait dire qu'elle n'était pas simple. Je décidai de marquer une courte pause à la fin de chaque phrase, histoire qu'elle ait le temps de "digérer". En apparence, c'est vrai que je n'avais pas l'air d'être ce garçon.

Je suis riche, mais ça, tu as du le deviner. Bon, tu ne sais pas pourquoi, alors je vais commencer par là. Mon père est chef de l'état major général de Russie, le grade le plus important de l'armée en Russie. C'est un grand ami de Vladimir Poutine. Ma mère, elle, ne rigole pas, est agent secrète. Oui, ça n'existe pas que dans les films. J'ai sans doute eu plus qu'amour de toi de la part de ceux-ci mais, n'étant jamais là, je n'en ai jamais profité pleinement. J'ai un grand-frère aussi. Il est l'un des principaux dirigeants de la mafia russe. J'avais, ma voix se brisa sur ces mots, une soeur jumelle qui est décédée dans un "accident" de voiture, organisé par des ennemis de mon frère et de mon père, et j'aurais du mourir moi aussi. C'est pour ça que j'ai un garde du corps. Je fais du piano depuis l'âge de 4 ans et demi, et du Systema depuis l'âge de 7 ans. C'est un art martial russe d'autodéfense. J'ai un QI supérieur à la moyenne, très largement supérieur même. Et... je suis épileptique. Je suis sortie avec une fille qui s'appelle Minnie, enfin qui se fait appeler comme la copine de Mickey, mais elle a pris peur quand je lui ai présenté ma famille. Disons que, voir des gorilles armés jusqu'aux dents l'a quelque peu effrayé et mon frère... encore plus. Depuis elle refuse de me parler. Alors maintenant, si tu as peur de moi ou quoi, que tu ne veux pas sortir avec moi, je comprendrais bien sûr. Et j'oubliais l'essentiel : je t'aime.
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Stanislav & Lova
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J'avais sorti tout ça d'une vitesse incroyable, comme pour en être débarrassée, avec cependant une pointe d'amertume dans la bouche. J'avais vu sur le visage de Stanislav diverses expressions au court de mon récit, aussi court que j'avais pu le narrer. Ses traits s'étaient durcis et ses sourcils étaient restés un laps de temps froncés quand j'avais eu le malheur de lui raconter que mon père avait fais un mariage arrangé avec ce pauvre type. Mais j'avais bien précisé qu'avant lui, je n'avais jamais été amoureuse, et que tout ça était une grande première pour moi. Par moment, monsieur Makarov affichait quelques sourires et je devais dire qu'en parlant de ma mère mon cœur retrouvait une certaine sérénité. La seule parente qui ne m’ait jamais aimé. Les mères étaient des modèles pour toutes les jeunes filles sur Terre, et en parlant de la mienne, je sentie une fierté absolue. Je ne pu m'empêcher de sentir une pointe de honte en parlant de mon père et de mes quatre frères, ces abrutis. J'aurais voulu cracher tout mon venin, et toute la haine que je ressentais pour eux, mais je n'en fis rien. Alors que je m'arrêtais, ne voulant pas rentrer dans les détails, Stanislav se pencha vers moi et m'embrassa une nouvelle fois. Encore une fois, mon cœur perdit les pédales. Et telle une gamine, je n'aurais jamais pu stopper se baiser. Je passais mes mains sur ses joues en prolongeant doucement ce moment de tendresse.

Tu trouves que c'est un baiser de quelqu'un qui veut juste rester ami, qui te prend pour une délurée et qui ne va pas sortir avec toi ? Moi aussi je t'aime, Lova.

Je le regardais alors dans les yeux, ce que je n'avais jamais pu faire depuis que je l'avais rencontré avec ma timidité excessive envers le garçon. Il venait de me faire tomber dans mon propre piège. Je mordais délicatement ma lèvre inférieur comme pour garder la saveur de ce baiser. J'étais à court de mot ; j'avais en face de moi mon petit-ami. Je me sentais idiote de n'avoir même pas une phrase à placer. Peut-être qu'au fond, j'étais encore un peu intimidée. C'est alors qu'il se mit à me parler de sa vie. De sa richesse et.. de sa famille. Avant même qu'il ne puisse me le dire, j'avais déjà deviner pourquoi un géant de deux mètres sur deux mètres le suivais partout. J'hochais négativement de la tête, comme incrédule. J'avais devant moi le garçon le plus riche de Russie et sur qui pesait une belle épée de Damoclès ! Sa jumelle était décédée dans un accident de voiture, et sur l'intonation de sa voix, je sentais que cet événement avait dut briser toute son enfance. Je passais une main sur son bras en le caressant doucement. Pourtant, je sentais bien qu'en sortant avec ce garçon je risquais de m'attirer de grands ennuis. Puis il continua sur Minnie, son ex. Bizarrement, mon cœur eut un raté. Une petite pointe de jalousie ? Sûrement. Je n'avais aucune envie qu'il retourne auprès d'elle un jour. A la fin de son récital, il me rappela à quel point il m'aimait. J'étais sonnée par tout ce qu'il m'avait dit, c'était beaucoup d'informations à accumuler d'un coup. De ma main je le poussais alors tout doucement sur le lit jusqu'à ce qu'il s'allonge et j'allais m'asseoir à califourchon sur lui. C'est avec tendresse que je caressais doucement ses joues.

- Je suis désolée, pour ce qui est arrivée à ta soeur. Et je dois t'avouer que je suis un peu apeurée par tout ce que tu as vécu et ce que tu vivras sûrement encore. Mais il y'a une chose que tu dois savoir.. A ces mots, je me penchais sur lui en passant mes mains sur son torse et chuchotais ces quelques mots : C'est que tu ne vivras pas tout ça sans moi Stanislav.

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Lova Fox Decour & Stanislav Makarov

Tous ces mots étaient sortis de ma bouche comme ça, sans peser le sens auparavant. Je n'avais jamais vraiment raconté mon histoire en entier, d'un seul coup, comme ça. On savait par exemple que j'avais perdu ma soeur dans un accident de voiture, mais que c'était un "attentat". On savait qui était mon père et mon frère, en général, mais pas ma mère. J'omettais toujours des détails sur ma vie, car je ne voulais pas qu'on pense du mal de moi, qu'on me prenne en pitié, qu'on me fasse passer pour un dieu ou je ne sais quoi (quoi que ça j'aimerais bien !). J'avais peur de l'avis qu'on pouvait avoir sur moi alors je ne disais rien sur moi, sauf aux gens extrêmement proches. Bah ouais, j'étais comme ça, j'y pouvais rien du tout. De sa main, elle me poussa tendrement pour que je m'allonge sur le lit, puis elle se mit à califourchon sur moi. Elle me caressa les joues, m'assurant qu'elle était désolée pour ma soeur, pour ce que j'avais vécu et que je vivrais sans doute encore. Elle se pencha sur moi, les mains sur mon torse, et me dit que je ne vivrais pas cela sans elle. Sur ce, je relevai très légèrement la tête de manière à pouvoir l'embrasser. J'étais sûr de trois choses : elle était un peu sonnée par tout ce que j'avais pu lui dire, elle l'avait encaissé rapidement car elle m'aimait et elle était prête à vivre à mes côtés. Que pouvais-je demander de plus ? Je ne savais pas de quoi serait fait l'avenir, mais avec de la chance, Lova serait à mes côtés. Alors je continuai de l'embrasser tendrement, je la fis basculer sur le côté et c'est moi qui me mit à califourchon sur elle, en faisant bien attention à ce qu'elle ne soit pas écrasée en dessous : c'était quand même ma dernière volonté. Je passai une main dans ses cheveux que j'affectionnais tant, et l'embrassai doucement dans le cou, puis je descendis un peu plus bas, sur sa poitrine. Je remontai ensuite sur sa bouche, et recommencai le même mouvement plusieurs fois de suite. J'aurais pu me contenter de cela pendant une dizaine d'années, j'en étais persuadé. Je l'aimais tellement.

Depuis le temps que j'attendais une fille comme toi, qui me comprendrait et ne fuirait pas dès que je lui parlerais un petit peu de ma famille... Je ne suis pas près de te laisser partir, ça c'est sûr.

Sur ces mots, je l'embrassai encore une fois avec un peu plus de fougue qu'auparavant. J'étais sans doute l'un des hommes les plus heureux du monde : j'avais des amis, une petite copine que j'aimais comme pas possible... Que pouvais-je demander de plus ? J'étais riche, j'avais tous mes besoins matériels et sentimentaux comblés... Bref, j'étais comblé quoi.
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Stanislav & Lova
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Croyait-il vraiment que j'allais le laisser partir ? Lui ? Cela m'étais impossible. Certes, j'étais légèrement effrayée par tout ce qu'il venait de me dire. Et ?, ça promettait une aventure la plus palpitante de toute ma vie. J'allais balader mes doigts sur son torse doucement. Stanislav avait un beau corps et mes doigts découvraient peu à peu les formes de mon nouveau et premier copain. Il se redressait légèrement et venait m'embrasser, et, encore une fois, un frisson vint me tétaniser. Goûter à ses lèvres était la chose la plus délicieuse qui soit. Je passais mes mains sur ses joues en accentuant légèrement le baiser, essayant de le rendre aussi intense que l'amour que je ressentais pour lui à présent. Je me laissais allée dans ce baiser plus qu'envoutant alors qu'il me fit basculer légèrement sur le côté. Ce n'est pas pour autant que je me défaisais de ses lèvres, cherchant toujours leur contact. Il se mit à califourchon par dessus moi avant d'aller déposer de doux baisers le long de mon cou et sur ma poitrine. Et je me sentais incroyablement bien. Baigner dans un bonheur absolu et chaud. Je me laissais bercée sous ses caresses en les appréciant de manière démesurées. Je penchais légèrement ma tête en arrière, lui laissant plus d'accès à mon cou et passais mes mains dans ses cheveux bruns alors qu'il répétait ces mêmes baisers plusieurs fois de suite ce qui me décrocha un petit rire enfantin. Il se redressa légèrement en plongeant son regard dans le mien afin de me dire que j'étais la première fille à ne pas fuir face à lui et sa vie mouvementée avant d'ajouter qu'il ne me laisserais pas partir. C'est des étoiles pleins les yeux et un sourire aux lèvres qu'il m'embrassa de nouveau. Je me redressais alors et cessa le baiser quelques secondes pour lui parler :

- Parce que tu crois vraiment que suis prête à t'échapper ?

Il y'avait un petit timbre taquin dans ma voix. J'esquissais un petit sourire et approchais doucement mes lèvres des siennes en allant légèrement mordiller sa lèvre inférieure avant de me mettre à genoux sur le lit, en le dépassant de quelques centimètres en me redressant.

-Parce-que, si c'est ce que tu crois, crois-moi, tu es bien loin du compte.

Je posais délicatement mes mains sur ses joues et allais de nouveau l'embrasser, encore plus fougueusement que ce qu'il m'avait offert quelques secondes auparavant.

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Lova Fox Decour & Stanislav Makarov

Tandis que je l'embrassai, elle se releva légèrement pour rompre le baiser et me parler, pour me dire qu'elle n'était pas prête à m'échapper. Je rigolai avec une légèreté incomparable. J'étais heureux à 100%, 200% même. J'aurais pu dire que je n'avais jamais ressenti cela s'il n'y avait pas eu Minnie, mais ce n'était pas le cas. Cependant, Lova était au courant de tout sur ma famille désormais, et elle ne semblait pas plus inquiète que cela. Je ne savais guère pourquoi elle avait tant de courage face à cela : je pense qu'à sa place, j'aurais fui, comme l'avait fait toutes mes exs auparavant. Et bien oui... Je n'avais pas une vie de rêve et pourtant j'étais l'une des plus riches personnes de Russie, mais y pouvais-je vraiment quelque chose ? Je ne crois pas non. Il aurait fallu que mon frère et mon père et ma mère, tous les trois oui, soient des gens normaux. Et j'étais moi même prédestiné à être proche du futur régime, de la prochaine "génération". Je serais peut-être conseiller, ou ce genre de chose. Président ne m'intéressait pas vraiment : trop d'apparitions publiques où les opposants vous huent sans cesse. Le mieux est qu'ils ne sachent pas qui vous êtes, n'est ce pas ? C'était pour cela que j'avais pris "droit" comme principal enseignement à Harvard même si cela ne m'intéressait pas le moins du monde. J'aurais aimé rejoindre l'armée, comme mon père, pour prendre sa suite. Hélas, en tant qu'épileptique, je n'y avais pas ma place...
Lova approcha doucement ses lèvres de moi et me mordilla la lèvre inférieure. Elle savait s'y faire et pourtant elle disait n'avoir jamais connu l'amour ! Puis elle se mit à genoux et me dit que si je pensais qu'elle était prête à partir, j'étais loin du compte. Un éclat de rire résonna dans la pièce. Elle posa délicatement ses mains sur mes joues et m'embrassa comme nous ne l'avions jamais fait encore. Je passai les mains sous son tee-shirt pour lui retirer. J'espérais qu'elle comprendrait mes intentions... J'allais peut-être un peu vite, mais j'en avais véritablement envie. Et de toute façon, je l'aimais, c'est tout ce qui comptait non ? Mes mains caressaient tendrement son dos et sa peau parfaite. Je savais pourquoi sa mère la chérissait autant. C'était impossible de faire autrement. J'approchai mes lèvres de son cou et suçai légèrement sa peau, de manière à lui laisser une trace tout de même assez discrète de moi. Je collai un peu plus mon corps au sien et mes mains descendirent un peu plus bas, pour aller se coller sur ses fesses. J'étais un garçon, il ne fallait pas m'en vouloir. Et pour l'instant, elle ne m'avait pas vraiment repoussé, alors pour moi, cela signifiait un "oui". Je continuai de l'embrasser doucement et lui murmurai ensuite doucement à l'oreille un "je t'aime", à peine audible, mais qu'elle aurait entendu, j'en étais persuadé. Puis je repris mes bisous et mes câlins.
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Stanislav & Lova
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Mes paroles et mes gestes déclenchèrent quelques rires de la part de Stanislav. Moi qui ne l'avais presque pas vu sourire, et qui, pour sûre, ne l'avais jamais entendu rire, je me sentais comblée. J'affichais le plus radieux des sourires en l'entendant. J'avais espéré qu'il remarque cette étincelle qui illuminait mon regard en cet instant. Je ne pouvais plus avoir de doute sur qui ce garçon représenterais pour moi, et si je ne m'étais pas trompée, je pouvais affirmer que lui et moi étions définitivement ensemble, ce qui me fit sourire de nouveau. C'est sans un mot de sa part ni de la mienne que la suite des événements se précipitèrent. Stanislav passa ses mains sous mon t-shirt et parcourait de ses doigts les moindres parcelles de ma peau. Mes mains, posées sagement sur sa nuque tremblaient légèrement. Il attrapa le bas de mon t-shirt et me l'enleva. Bien que je n'avais jamais couché avec un garçon auparavant, je me laissais faire avec une certaine confiance. Mais, je me sentais quand même un peu plus vulnérable. Une pensée désagréable mais pour le moins rassurante me traverssa l'esprit : Stanislav savait sûrement comment s'y prendre. Si il avait eu nombres d'ex petites amies à son compte, il était certain qu'il connaissait le corps de jeunes filles par cœur. Quant à moi, j'étais tout simplement expérimentée dans ce domaine et j’espérais qu'il ne soit pas déçue de ma part. Dans un mouvement, il allait collé ses lèvres à mon cou afin d'y laisser une petite trace violâtre. Certes, si je laissais mes cheveux détachés personne ne s'en apercevrait, mais sous la chaleur qui écrasait toute la Californie ces derniers temps, je doutais fortement de laisser mes cheveux en bataille. L'idée que quiconque puisse voir cette petite tâche me fit alors bizarrement sourire. Nous joignables nos lèvres à plusieurs reprises en nous embrassant tendrement. Je cherchais sans arrêt leur contact avec un désir et une passion enflammée. Il descendit ses mains à mes fesses en me murmurant un "Je t'aime" qui parut tel un souffle chaud à mon oreille. J'attrapais alors le col de son haut avant de m'allonger sur le lit et de l'attirer contre moi. Passant mes mains dans son dos, je retirais doucement son t-shirt avant de le jeter au pieds du lit en un mouvement. Avant qu'il ne puisse continuer avec moi, je lui lançais un regard confiant avant de le celer par des mots concrets :

- Je te fais confiance..

C'est la gorge serrée que je murmurais ces quelques mots en espérant alors qu'il avait véritablement compris que j'étais encore vierge, que je n'avais pas menti, et que c'était ma toute première fois.

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Lova Fox Decour & Stanislav Makarov

J'étais fou amoureux de cette fille. Oui je sais, je vous l'ai déjà dit cent fois, mais bon, je ne peux m'empêcher de le dire et de le redire. Je me jurai néanmoins de ne pas être niais comme certains amoureux que je connaissais et dont je ne pouvais m'empêcher de me moquer, car ce serait l'hopital qui se fout de la charité, n'est ce pas ? Mais rien ne m'empêchait de lui dire que je l'aimais encore et encore et encore et toujours. Elle s'allongea sur le lit, m'attira à elle, et me retira mon tee-shirt d'un seul geste. Elle me murmura qu'elle avait confiance en moi, et je compris qu'elle était bien vierge, mais si elle savait s'y faire. Je ne pus empêcher de sortir un petit rire cristallin qui se perdit dans notre silence où je l'embrassais. Je déboutonnai son pantalon, lui retirai doucement, et vient me placer contre sa peau brulante. Je l'embrassai doucement partout : la bouche, le cou, les seins et enfin au plus proche de ce qui conservait sa virginité. Mes lèvres glissaient tendrement sur toute sa peau, douce, chaude. Je retirai aussi mon pantalon, et continuai de l'embrasser dans l'ordre décrit un peu plus haut, une main dans ses cheveux, l'autre dans son dos. Je n'osais aller plus loin pour l'instant, peut-être que Lova prendrait un peu aussi les choses en main. Elle n'avait pas l'air d'être le genre de fille à se laisser faire. Certes, c'était sa première fois, mais après tout, quand on n'a pas d'idée précise, les inventions sont parfois encore plus excitantes. Je retirai la main de son dos pour caresser tendrement ses seins. Je lui faisais visiblement de l'effet, et je peux assurer qu'elle m'en procurait aussi, alors qu'elle ne faisait pour l'instant.. rien. Mais ça ne me dérangeait pas. Je le faisais avec elle, et c'était tout ce qui comptait pour le moment. Je me demandais ce qu'en pensait Lova. Et oui, je n'étais pas télépathe, malheureusement d'ailleurs, alors je ne savais pas si je lui procurais du plaisir ou non. J'avais certes de l'expérience dans ce domaine, je me considèrais comme plutôt bon mais est-ce que les garçons ne se considéraient-ils pas tous comme cela ? Il me semble malheureusement que si, alors je n'étais pas sûr de mes "capacités". Et comme c'était Lova, que je l'aimais plus que tout à cet instant présent, j'espérais que j'étais au niveau. Pour elle au moins. Encore une fois, je lui répétais que je l'aimais, comme un souffle. Elle avait prononcé 7 lettres, j'étais à elle. Entièrement. Et je n'imaginais pas que ça puisse changer.
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