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Pourquoi résister ? & Love Fox Decour

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Lova Fox Decour & Stanislav Makarov

Cela faisait déjà quelques jours que je fréquentais Lova autrement qu'en amie. Andy la taquinait beaucoup, j'étais souvent avec, j'avais tout de même flashé sur cette magnifique fille. On s'était donc déjà vus plusieurs fois, mais il y avait toujours une sorte de méfiance de sa part envers moi. Comme si elle ne m'aimait pas. Je dois dire que, pour quelqu'un comme moi, c'était toujours "dur" de ne pas avoir ce qu'on voulait du premier coup. Mais j'étais persuadé qu'elle ne résisterait pas encore très longtemps. Genre je suis devin. Bon, d'accord, j'étais plus terrorisé qu'autre chose de peur d'une déception amoureuse, encore une. Aucune femme ne m'avait jamais résisté, sauf Minnie et pour l'instant, Lova. Alors je dois bien l'avouer, le doute était quand même en moi. J'avais invité la jeune fille chez moi - enfin dans la maison que mon père avait acheté pour moi pendant les vacances, malheureusement trop proche du campus pour pouvoir l'oublier mais bon, je n'y pouvais rien, et c'était déjà mieux que rien - et non pas au ciné et au restaurant comme nous l'avions fait précédemment. Elle comprendrait peut-être ainsi que je ne me moquais pas d'elle... comme elle pouvait le croire pour le moment. C'était du moins l'impression qu'elle me donnait.
Andy la taquinait souvent, peut-être un peu trop même. C'était plus affectif qu'autre chose je pense, mais je ne lisais pas non plus dans ses pensées. Elle avait donc appris à se méfier de moi, comme si je pouvais n'être que l'instrument d'Andy, et donc ne pas être sincère. Ce n'était pas cela. Je l'adorais vraiment. Même un peu plus, vous l'aviez compris. En tout cas, Mademoiselle me rendait fou à ne pas céder, à rester distante, méfiante. J'espérais qu'elle comprenait ce que je ressentais, ce n'était visiblement pas le cas. Il faudrait donc que je lui dise moi-même sans doute, et cela me couterait beaucoup. En général, c'était plutôt l'inverse : ces jeunes filles qui me demandent, et non moi. Il y avait un début à tout me direz vous. C'est vrai. Mais c'est tout de même très dur à encaisser quand vous avez toujours obtenu ce que vous vouliez grâce à vos adorables parents toujours absents qui cherchent à se faire pardonner ou même votre frère, toujours là pour vous mais dont vous ne supportez pas les agissements. Telle était ma vie, je n'y pouvais rien. Certaines filles en avaient eu peur, je ne comprends toujours pas pourquoi. Ils étaient tous en Russie, qu'allaient-ils venir faire ici, sérieusement, hein ? Et il n'allait pas tuer une fille parce qu'elle m'avait quitté. Le garde du corps qui m'accompagnait toujours mais qui restait tout de même à distance pour me laisser vivre se trouvait au rez-de-chaussée dans la salle d'entraînement au combat physique. Sans doute s'entraînait-il à me défendre contre une agression qui n'arriverait jamais. Quand la sonnerie de la maison retentit, je me dépêchai donc d'aller ouvrir pour ne pas la laisser poireauter dehors. La femme de ménage était déjà partie, il était environ 11 heures. Ma gouvernante cuisinerait ce qu'elle voudrait de toute manière alors je n'avais pas à m'en soucier.

Bonjour Lova. Comment vas-tu ?
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Stanislav & Lova
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C'est impossible..

En fermant les yeux, je soupirais un grand coup. Je m'étais répété cette phrase toute la matinée, et dieu sait que je m'étais levée tôt et que la nuit fût courte. Je ne pouvais pas être amoureuse de lui, non.. Alors pourquoi cette pression sur ma poitrine et ce noeud dans le ventre à chaque fois que je croisais son regard où qu'il me souriait ? Tu dérailles, ma pauvre fille. Stanislav ne voudrait jamais de toi comme petite amie ! C'était absurde. Il faisais parti du quatuor à éviter. La rentrée n'avait pas encore commencé que j'avais déjà fais leur connaissance. Bien que Stanislav ce soit montré attentionné, je ne savais pas quelles étaient ses intentions. Je rouvrais alors les yeux et fixais mon reflet dans le miroir. M'emparant d'un élastique, je relevais mes cheveux en une grande queue de cheval et me passais de l'eau sur le visage. Stanislav m'avait donné rendez-vous chez lui pour onze heures. Etait-ce pour celà que j'avais passé la nuit à chercher une position "confortable" pour pouvoir dormir ? Mes mains tremblaient légèrement, j'avais l'impression de vaciller. Sans plus attendre, je me dirigeais vers ma chambre. Du moins, le mettre carré qui me servait de chambre. On me prêtait ce petit studio pour l'année afin que je trouve un maison plus confortable. En attendant, je devrais faire avec ! Vu que je m'étais levée aux aurores, j'avais eu le temps de tout préparé : douche et petit déjeuné compris. Une fois dans ma chambre, j'ouvrais ma valise et me choisis un simple t-shirt manche longues et un short tout en songeant qu'il serait bien tant de défaire mes bagages. Une fois habillée, je détachais mes cheveux qui me retombaient en bas du dos. Je jettais un coup d'oeil au réveil "10h30". Faisant un dernier tour dans le studio, je m'emparais des clés de la voiture et partie. On ne pouvait pas la rater ! Sa maison était grande et majestueuse. A côté, mon studio n'était rien.. J'arrivais à 11h tapante, et je cru mourir. Je haïssais cette sensation que faisait mon coeur dans ma poitrine. Il battait bien trop fort, je pouvais même l'entendre. Expirant une dernière fois, je descendis de la voiture et me dirigeais vers la porte avant de sonner. Je regardais les alentours. Un vaste jardin dominait la maison. C'est au moment où j'étais perdu dans mes pensées qu'il ouvra la porte. Quelle gourde !

- Comme promis, je suis venue..
J'esquissais un sourire timide, n'osant pas le regarder dans les yeux, bien trop intimidée par le garçon qu'il était devant la fille que moi j'étais.



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Elle était venue, c'était déjà un bon point tout de même ! Cela voulait bien dire qu'elle ne me fuyait pas complètement... Je ne savais pas quoi dire alors je lâchai un simple "merci". Je me dégageai de la porte d'entrée pour la laisser rentrer dans la maison. Elle semblait impressionnée par la taille. Je dois dire que mon père n'avait pas fait dans la demie-mesure. Il pensait sans doute que cela m'aiderait à me faire des amis, ce qui ne fut pas vraiment le cas au final. Oh, bien sûr, j'en avais, mais j'étais surtout "le gosse de riche avec un garde du corps" et du coup, les gens n'osaient pas trop s'approcher de moi, de peur sans doute de se faire plaquer au sol par un véritable gorille.
En parlant de lui, à peine a-t-il entendu le bruit de la porte qu'il accourut pour savoir si j'avais besoin d'aide. Il me prenait véritablement pour un gamin. D'un signe de la main je lui dis que tout va bien et qu'il n'y a pas de panique à avoir. Je lui dis de retourner à son entraînement et de ne surtout pas nous déranger. Ensuite, je me dirigeai vers ma chambre, au premier étage, qui était d'ailleurs plus un appartement qu'une chambre étant donné que j'y avais un salon, une cuisine et une salle de bain. Lova me suivait : après tout, elle n'avait pas vraiment le choix puisqu'elle était chez moi et qu'elle ne connaissait pas l'endroit. Je me retournais tout de même par moments, plus pour admirer ses magnifiques yeux bleus qu'autre chose. Arrivé en haut, j'ouvris la porte que je lui tins comme un majordome l'aurait fait, juste pour rire.

Si mademoiselle veut bien se donner la peine d'entrer je vous prie...

Une fois que cela fut fait, je lui fis visiter l'appartement dans ma maison, et j'allai m'asseoir sur mon lit. J'attendais qu'elle dise quelque chose, car elle n'avait pas beaucoup parlé depuis qu'elle était entrée. Je n'étais quand même pas si impressionnant que cela, si ?
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La maison était tout bonnement impressionnante. Bien que mon père soit un riche entrepreneur et que j'ai toujours vécu dans la luxure, cette maison dépassait toutes mes ententes. J'affichais un sourire poli avant de franchir le seuil de la porte. Stanislav me dépassait bien de deux têtes, il faut dire que j'étais vraiment petite. Et la grandeur de ce salon n'arrangeait pas les choses ! Je me sentais vraiment toute petite. Je m'attardais sur chaque recoins dans la maison.

- C'est.. Vraiment magnifique et.. Wow.

Je lâchais un petit rire avant de me tourner vers mon compère afin de lui sourire. Je n’aperçus pas son garde du corps monter pour s'assurer de la sécurité de Stanislav. Au début, sa présence m'avait un peu surprise. Mais je dois dire que je m'y étais habituée, bien que cela suscitait ma curiosité. C'est en me retournant de nouveau vers Stanislav que je vis son garde du corps repartir à ses occupations.
-Je dois dire qu'il m'impressionnera toujours autant.. dis-je avec gentillesse tout en laissant place à un nouveau sourire.
Puis nous nous dirigeâmes à l'étage. Tout aussi grand que le salon dans lequel j'étais. Je suivais Stanislav et ne le perdait pas des yeux. Les quelques fois où il se retournait vers moi, je sentais mes joues s'empourprées. Il ouvrit une porte qui laissa place à une nouvelle pièce, qui, aux premiers abords, me paru comme un second salon. Il me laissa passée avec des coutumes de majordome. J'esquissais un sourire sincère en faisant un semblant de révérence.

- Merci bien monsieur.

Et ce que je cru être un deuxième salon tout aussi immense et luxueux que le premier ne fût pas le cas, du moins si on rajoute un lit en plein milieu. Ce n'était autre que sa chambre. Je mordis ma lèvre inférieur en affichant un regard tout bonnement émerveillé. Certes, la luxure et les merveilles ça me connaissait. Mais je ne pouvais m'empêcher d'être épatée devant une telle splendeur ! Stanislav avait pris place sur lit en me regardant. Je devais vraiment avoir l'air d'une môme.. ! C'est timidement que je vins m'asseoir au bord du lit à ses côtés.

- Ta maison est juste splendide Stanislav.. lâchais-je tout doucement avant de le regarder.
Oui, j'aimais beaucoup ce garçon. Fallait-il que je me l'avoue ?


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Elle s'assit à côté de moi, sur le lit. A cet instant, mon coeur battait à mille à l'heure. Je ne savais guère quand lui avouer mes sentiments, j'étais un véritable gamin face à elle, mon garde du corps avait raison. Elle avait dit qu'elle était impressionnée par cette armoire à glace, et je dois avouer que je la comprenais. J'espérais toujours que mon père ne lui dirait jamais de me mettre une claque. Je regardai ses magnifiques yeux bleus et j'en étais sur et certain : j'en étais tombé amoureux. Pas un amour d'adolescent, non, loin de là même. Tout était différent avec elle, et je ne savais pas pourquoi. Oh, elle était belle, riche, intelligente.. Mais pourquoi me faisait-elle cet effet là, à moi ? Je n'avais jamais craqué comme cela, je dois bien l'avouer. Elle fit une remarque comme quoi ma maison était magnifique. Oh, elle était grande, c'est vrai, mais ce n'était rien comparé à celles de Russie et quelques autres propriétés, notamment dans les îles paradisiaques. Je ne pus m'empêcher de lui dire :

Oh, tu sais, ce n'est vraiment pas grand chose... Mon père trouve même qu'elle est trop petite, mais pour trois personnes, cela suffit amplement... Il la compare à notre maison à Moscou, qui est sur cinq étages : je lui ai bien dit que ce n'était pas comparable mais il ne veut rien entendre. La seule pièce que je trouve véritablement magnifique à Moscou, c'est la galerie d'arts avec ses dorures... Et je ne la trouve pas aussi belle que toi.

Quelle finesse dans mes avances, je dois bien le reconnaître, je n'excellais pas dans ce domaine. Au moins, je lui avait fait un véritable compliment, et elle s'en rendrait vraiment compte si elle voyait la propriété, et ses jardins. Je passais pour un véritable gosse de riche ; malheureusement, je n'avais pas joué fin sur ce côté-là de ma vie. Je ne savais pas comment elle réagirait... C'est vrai qu'elle était riche mais peut-être pas autant que mon père, un des personnages les plus importants de Russie... J'espérais qu'elle comprendrait que je n'avais pas cherché à l'impressionner et à la rendre mal à l'aise. Ce n'était pas mon intention, et j'avais donc peur de m'être lamentablement trompé en lui parlant ainsi. Pourtant, un courage invincible s'ancra en moi. Je pris son doux visage entre mes mains, le tournai dans ma direction écartai une mèche de ses sublimes cheveux qui lui tombait devant le visage, admirai une dernière fois ses magnifiques yeux bleus et l'embrassai. Je ne revenais pas de ce que je venais de faire. J'avais déjà embrassé des filles mais jamais sans savoir si elles m'aimaient ou non avant. C'était donc une grande première pour moi, ce baiser.
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J'étais vraiment toute proche de lui. Depuis que je le connaissais je ne pense pas avoir été aussi proche. Une semaine auparavant il m'avait prévenue pour cette invitation. Bien sûr je l'avais acceptée sur le champ, mais il va s'en dire que je m'étais beaucoup posé de questions. Et surtout sur ses intentions envers moi. Il était d'une beauté incroyable. Oui, c'était un garçon très séduisant. Alors que j'admirais ses traits, sa voix me sortie de mes pensées. Il me parlait alors de sa maison en Russie. Ce qui aurait pu s’averé être inintéressant de la bouche d'une autre personne, ne fût pas le cas pour Stanislav. Je buvais ses paroles en hochant de la tête par moment. J'étais intéressée dans tout ce qu'il pouvait me dire. Il aurait bien pu me dire n'importe quoi que je l'aurais écouté avec attention. C'était un garçon impressionnant et doté d'une intelligence nettement supérieur. Il parlait de tout avec un recul et une ouverture d'esprit incroyable ! Il se mit à me parler des galeries d'arts, ce qui était un point fort pour moi qui adorait l'art et la littérature ! Et sans que je ne m'en rende compte, captivée par sa voix, il finit par me complimenter. Je restais un moment incrédule, sans dire un mot. Je ne cessais de fixer son regard. A vrai dire, je me sentais bien idiote. Impossible de lui dire quoique ce soit. Je finis par esquisser un sourire en tournant la tête de l'autre côté. Je passais une main sur mon bras avant de lâcher un petit "Merci" qui ressemblait plus à un chuchotement qu'autre chose. C'est alors qu'il passa une main sur mon visage afin que je puisse le regarder en face. C'était sur, bien que je sois timide face à lui, je ne pouvais plus éviter son regard. Il remit une mèche des mes cheveux en place avant de poser ses lèvres contre les miennes. Si seulement il avait su, que jamais de ma vie, je n'avais embrassé un garçon. Ou du moins, qu'aucun garçons ne m'avaient jamais embrassé de cette manière. En un mouvement, je me reculais, posant mes mains sur son torse, en ne cessant de le regarder. Mais finalement, j'avais finis par comprendre que ce baiser n'était pas anodin pour lui, et qu'il le faisait par envie et surtout avec des sentiments. Alors, je m'agenouillais sur le lit et passais mes mains derrière sa nuque avant de l'embrasser de nouveau de la façon la plus douce qui soit. Au moins, j’espérais qu'il comprenne que je pourrais tomber folle, folle, folle amoureuse de lui.


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En un seul mouvement, elle se recula, me laissant penché dans l'espace vide, interloqué, choqué même. Aucune fille ne m'avait jamais refusé un baiser, j'avais toujours tout obtenu dans ma vie. Pourquoi avais-je fait ce geste stupide ?J'avais tout gâché en ne sachant pas si elle m'aimait ou non. J'aurais du lui demander avant. La questionner pour savoir si elle avait un copain ou non. Je ne savais même pas si elle avait un copain tout de même ! Mon Dieu, quelle connerie avais-je encore pu faire... Je la voyais déjà se levant du lit et courant vers la sortie, mon garde du corps qui se demanderait ce que je lui ai fait, et les questions qu'il n'oserait pas poser de peur de se faire renvoyer comme le précédent. On avait un contrat : on pouvait parler, oui, mais il ne me questionnait pas sur ma vie pour en faire un compte rendu à mon père dans mon dos, hors de question ! J'imaginais déjà mon père me questionnant sur une éventuelle nouvelle petite copine et lui dire qu'il n'y avait personne... Et voir mon garde du corps perdre la face devant lui, mon armoire à glace qui subirait sans doute un interrogatoire détaillé, voir même costaud, après. Mon Dieu, qu'avez donc fait encore une fois... Plus jamais je n'embrasserais une fille sans avoir la permission avant ! Il faudrait vraiment revenir aux anciennes coutumes où l'on demande la main d'une fille à son père : il n'y aurait pas d'erreurs possibles au moins. Ce serait déjà ça, même si elle ne nous aime pas.
Soudain, elle s'agenouilla sur le lit, passa ses mains derrière ma nuque et m'embrassa de la manière la plus douce que je n'ai jamais connu. J'étais rassuré. Je l'avais juste surprise, prise au dépourvu, mais elle semblait m'aimer quand même. Je n'aurais rien à expliquer à mon père, à mon garde du corps et à je ne sais qui ensemble. Je pouvais dire que j'aimais Lova Fox Decours, et que cela était réciproque. Enfin, je n'étais pas sûre de ses sentiments bien sûr on ne l'est jamais totalement mais d'après la manière dont elle avait réagie... Je passai les mains derrière sa taille et continuai de l'embrasser mais un peu plus fougueusement cette fois. Maintenant, il fallait que je lui dise trois petits mots tout simples, mais non vides de sens. Trois petits mots qui ne se disaient pas à la légère. Trois petits mots qui pouvaient changer une vie.

Je t'aime.
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Mes doigts parcouraient doucement sa nuque avant d'accrocher doucement son t-shirt. Et voilà ! Encore cette sensation où j'avais l'impression que tout le monde pourrait entendre mon cœur battre. Mais, comparé à ce matin et les jours précédents, cette sensation n'était plus aussi désagréable. Je savais pourquoi mon coeur réagissait ainsi : il avait ses lèvres contre les miennes et ses mains posées sur moi. J'étais amoureuse. J'espérais simplement que ce baiser soit aussi éprouvant pour lui que comme moi je le ressentais. Il posa délicatement ses mains sur ma taille et je sentis des frissons me parcourir le dos. Et, de nouveau, ce ne fût pas désagréable. Nous mîmes tous deux fin à ce baiser tandis que j'essayais de contrôler mon souffle irrégulier. Son visage était toujours près du mien et j'allais coller mon front contre le sien. J'avais l'impression d'être une petite fille perdue dans les bras d'un homme, un vrai. Devrais-je lui dire que c'était mon premier baiser ? Mon premier amour ? Je ne lui avais jamais parlé de ma famille, de mon père et de mes frères qui me haïssait. D'ailleurs, je ne connaissais pas bien sa vie non plus. Et, alors ? Je savais que quoiqu'il me dirait, j'accepterais tout. Puis, après ce baiser plus que fougueux, il laissa échappé quelques mots de ses lèvres, tel un souffle, un "Je t'aime". Je ne pouvais pas douter, j'étais certaine qu'il ne mentait pas. C'est avec nervosité que je mis à rire et à lui sourire :

- Vous ne devriez pas me dire ça, Monsieur, je pourrais tomber plus amoureuse que je ne le suis déjà.

Je caressais doucement ses joues alors que mes mains allaient de nouveau se perdre en bas de sa nuque. De mes doigts, je caressais ses cheveux. Combien de temps ce bonheur durera-t-il ?


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Lova Fox Decour & Stanislav Makarov

Ses doigts fins et raffinés parcouraient ma nuque puis mon tee-shirt. Quelle douce sensation... J'avais déjà eu des rapports, ce serait un mensonge que de dire le contraire mais là, nous n'avions rien fait... Et la sensation était mille fois plus forte. Ses doigts parcourant doucement mon dos, rien que cela, suffisait à combler mon coeur de bonheur. C'était étrange tout de même. Jamais je n'avais vécu cela auparavant, et je pensais même que Minnie, autrefois, était l'amour de ma vie. Or je n'avais jamais ressenti cela avec elle. Qu'avait donc Lova Fox Decour de plus qu'elle ?

Vous ne devriez pas me dire ça, Monsieur, je pourrais tomber plus amoureuse que je ne le suis déjà.
S'il le faut, Mademoiselle, je le ferais mille fois pour que vous m'aimiez autant que je vous aime

Elle caressait tendrement mes joues puis ses mains se dirigèrent de nouveau se perdre en bas de ma nuque. De ses doigts, elle caressait mes cheveux. Elle avait véritablement des doigts de fée, j'en étais sûre. Son front collé contre le mien, je me sentais entier, comme si j'étais vide depuis tout ce temps. Depuis son meurtre. J'avais une main dans ses cheveux et je fis passer l'autre sous son tee-shirt, sans rien faire, juste pour sentir sa peau douce comme celle d'un bébé contre la mienne. Je l'aimais, elle m'aimait. C'était un véritable bonheur d'être avec elle et j'espérais que cela durerait une éternité, toute ma vie. Je ne connaissais presque rien d'elle, elle ne connaissait presque rien de moi. Nous étions comme deux étrangers l'un envers l'autre qui apprenaient à se connaître d'une manière peu conventionnelle. Elle ne savait pas pourquoi j'avais un garde du corps, pourquoi j'étais si riche. Elle ne savait rien de moi, et je dois avouer que d'elle, je n'en savais pas plus. Il fallait que nous nous parlions, mais je craignais de rompre ce silence tranquille qui régnait entre nous. Pourtant, il faudrait que je lui parle de ma famille avant d'envisager quoi que ce soit avec elle. Elle ne pouvait pas deviner un dizième de ce que j'avais vécu, de ce que je vivais ou même qui étaient mes parents, mon frère. Je me devais donc de tout lui raconter, mais elle d'abord.

Parle moi de toi. Je veux tout savoir de toi, de ta naissance à aujourd'hui. Même si certaines choses ne sont pas glorieuses ou je ne sais quoi. On a tous commis, connu ou vécu des erreurs, des horreurs. Alors je veux tout savoir. Tout.

Au moins, le message devait être clair. Je l'embrassai furtivement avant qu'elle commence, comme une sorte d'encouragement. Je m'encourageais moi-même car je devais moi aussi me préparer à tout lui révéler, et j'avais peur qu'elle s'enfuie comme Minnie l'avait fait.
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Il était magnifique. Même si la rentrée était proche et que je ne connaissais pas encore cette foule d'élèves qui allaient arrivés, je ne doutais pas un seul instant qu'il serait à mes yeux, le plus beau garçon qui soit. Le contact de ses mains sur ma taille me rendaient encore plus heureuse et faisais battre mon cœur un peu plus fort. J'avais vraiment peur que mon organe qui me tient en vie me lâche sur un coup trop fort. Pour rien au monde je n'aurais voulu avoir un infarctus maintenant. Le monde aurait put s'effondrer, je m'en fichais. Stanislav passa sa main sous mon t-shirt, et je sentais ses doigts parcourir délicatement mon ventre avant de s'arrêter en dessous de ma poitrine. Sentirait-il les frissons qu'il me procurait ? Mon dieu, faîtes en sorte que non ! A cette pensée, mes joues s'empourprèrent doucement. Stanislav me faisait un effet incroyable. Je passais de la timidité à l'envie irrésistible de l'embrasser encore une fois en deux secondes. Je voulais qu'il soit à moi, pour toujours. Je m'étais bien juré de ne jamais m'accrocher à un homme de ma vie, mais plus le temps passerait, plus je sentais que je ne pourrais jamais le laisser partir. C'est alors que les choses "sérieuses" se mirent en place quand il me demanda poliment de lui parler de moi. Mon cœur fit un raté et j'étais partagée entre la peur : peur de ce qu'il penserait de moi, peur de ce qu'il me dirait sur lui mais aussi partagée avec le soulagement ; je n'étais pas pour lui qu'un simple coup de cœur, ou une fille de plus dans sa vie , je serais peut-être cette fille qu'il ne lâcherait pas de si tôt pour aller voir ailleurs. Je m'asseyais alors correctement dans la même position dans laquelle j'étais juste avant qu'il ne m'embrasse.

-Je suis riche.

J'esquissais un petit sourire, n'osant pas me lancer dans le fin fond de la souffrance que j'avais vécu. N'osant pas le regardé, je repris en regardant face à moi, une façon pour moi de me rassurer.

- Bien que mon enfance fût aisée, il n'en a pas été de même pour l'amour que j'ai reçu. Je suis née d'une mère anglophone et d'un riche entrepreneur français. Avant moi, ma mère n'avait accouché que de garçons. Cinq enfants. Nous avons tous un an d'écart. Ça aurait put être une enfance formidable certes.. Je me coupais un instant prise par l'émotion. Je soupirais doucement avant de reposer mon regard sur Stanislav et repris :
- Mon père ne m'a jamais aimé. Il était totalement misogyne. Il a fait en sorte que mes frères se comportent de la même façon que lui envers moi. J'ai passé ma vie à être détestée par ces Hommes. Ma mère, elle, était folle de moi. J'étais sa fierté, sa petite poupée. Elle était couturière et me faisais les plus belles robes. Mon père est toujours en quête d'argent. Alors à mes seize ans, il a organisé une sorte de mariage arrangé afin que je porte le nom d'un des fils d'un entrepreneur franco-russe. Ça a eu lieu. Rien est impossible quand on a l'argent. Mais mon sois disant époux est mort, deux mois après. Je ne l'ai jamais aimé. Je me suis toujours juré de me méfier des hommes.. Pour tout te dire, je n'ai jamais connu l'amour.. Alors.. Si, si évidemment après ça tu penses que je suis une pauvre vieille fille délurée et que tu ne veux pas qu'on sorte ensemble, je le comprendrais..

Je mordais ma joue et affichais un regard dénué de sens. J'espérais juste qu'il ne retourne pas en arrière.

- Je crois que je tombe amoureuse de toi Stanislav. Depuis qu'on s'est rencontrés, je dois t'avouer que c'est la première fois que je ressens ça..

C'est sur ces derniers mots que j'attendais qu'il me réponde. Et, cela semblait bien long..


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