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Lova Fox Decour & Stanislav Makarov
Cela faisait déjà quelques jours que je fréquentais Lova autrement qu'en amie. Andy la taquinait beaucoup, j'étais souvent avec, j'avais tout de même flashé sur cette magnifique fille. On s'était donc déjà vus plusieurs fois, mais il y avait toujours une sorte de méfiance de sa part envers moi. Comme si elle ne m'aimait pas. Je dois dire que, pour quelqu'un comme moi, c'était toujours "dur" de ne pas avoir ce qu'on voulait du premier coup. Mais j'étais persuadé qu'elle ne résisterait pas encore très longtemps. Genre je suis devin. Bon, d'accord, j'étais plus terrorisé qu'autre chose de peur d'une déception amoureuse, encore une. Aucune femme ne m'avait jamais résisté, sauf Minnie et pour l'instant, Lova. Alors je dois bien l'avouer, le doute était quand même en moi. J'avais invité la jeune fille chez moi - enfin dans la maison que mon père avait acheté pour moi pendant les vacances, malheureusement trop proche du campus pour pouvoir l'oublier mais bon, je n'y pouvais rien, et c'était déjà mieux que rien - et non pas au ciné et au restaurant comme nous l'avions fait précédemment. Elle comprendrait peut-être ainsi que je ne me moquais pas d'elle... comme elle pouvait le croire pour le moment. C'était du moins l'impression qu'elle me donnait.
Andy la taquinait souvent, peut-être un peu trop même. C'était plus affectif qu'autre chose je pense, mais je ne lisais pas non plus dans ses pensées. Elle avait donc appris à se méfier de moi, comme si je pouvais n'être que l'instrument d'Andy, et donc ne pas être sincère. Ce n'était pas cela. Je l'adorais vraiment. Même un peu plus, vous l'aviez compris. En tout cas, Mademoiselle me rendait fou à ne pas céder, à rester distante, méfiante. J'espérais qu'elle comprenait ce que je ressentais, ce n'était visiblement pas le cas. Il faudrait donc que je lui dise moi-même sans doute, et cela me couterait beaucoup. En général, c'était plutôt l'inverse : ces jeunes filles qui me demandent, et non moi. Il y avait un début à tout me direz vous. C'est vrai. Mais c'est tout de même très dur à encaisser quand vous avez toujours obtenu ce que vous vouliez grâce à vos adorables parents toujours absents qui cherchent à se faire pardonner ou même votre frère, toujours là pour vous mais dont vous ne supportez pas les agissements. Telle était ma vie, je n'y pouvais rien. Certaines filles en avaient eu peur, je ne comprends toujours pas pourquoi. Ils étaient tous en Russie, qu'allaient-ils venir faire ici, sérieusement, hein ? Et il n'allait pas tuer une fille parce qu'elle m'avait quitté. Le garde du corps qui m'accompagnait toujours mais qui restait tout de même à distance pour me laisser vivre se trouvait au rez-de-chaussée dans la salle d'entraînement au combat physique. Sans doute s'entraînait-il à me défendre contre une agression qui n'arriverait jamais. Quand la sonnerie de la maison retentit, je me dépêchai donc d'aller ouvrir pour ne pas la laisser poireauter dehors. La femme de ménage était déjà partie, il était environ 11 heures. Ma gouvernante cuisinerait ce qu'elle voudrait de toute manière alors je n'avais pas à m'en soucier.
Bonjour Lova. Comment vas-tu ?
Andy la taquinait souvent, peut-être un peu trop même. C'était plus affectif qu'autre chose je pense, mais je ne lisais pas non plus dans ses pensées. Elle avait donc appris à se méfier de moi, comme si je pouvais n'être que l'instrument d'Andy, et donc ne pas être sincère. Ce n'était pas cela. Je l'adorais vraiment. Même un peu plus, vous l'aviez compris. En tout cas, Mademoiselle me rendait fou à ne pas céder, à rester distante, méfiante. J'espérais qu'elle comprenait ce que je ressentais, ce n'était visiblement pas le cas. Il faudrait donc que je lui dise moi-même sans doute, et cela me couterait beaucoup. En général, c'était plutôt l'inverse : ces jeunes filles qui me demandent, et non moi. Il y avait un début à tout me direz vous. C'est vrai. Mais c'est tout de même très dur à encaisser quand vous avez toujours obtenu ce que vous vouliez grâce à vos adorables parents toujours absents qui cherchent à se faire pardonner ou même votre frère, toujours là pour vous mais dont vous ne supportez pas les agissements. Telle était ma vie, je n'y pouvais rien. Certaines filles en avaient eu peur, je ne comprends toujours pas pourquoi. Ils étaient tous en Russie, qu'allaient-ils venir faire ici, sérieusement, hein ? Et il n'allait pas tuer une fille parce qu'elle m'avait quitté. Le garde du corps qui m'accompagnait toujours mais qui restait tout de même à distance pour me laisser vivre se trouvait au rez-de-chaussée dans la salle d'entraînement au combat physique. Sans doute s'entraînait-il à me défendre contre une agression qui n'arriverait jamais. Quand la sonnerie de la maison retentit, je me dépêchai donc d'aller ouvrir pour ne pas la laisser poireauter dehors. La femme de ménage était déjà partie, il était environ 11 heures. Ma gouvernante cuisinerait ce qu'elle voudrait de toute manière alors je n'avais pas à m'en soucier.
Bonjour Lova. Comment vas-tu ?
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