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NOTACO #vivalaeliotution

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Les grandes nations se sont bâties sur le foutre et le sang.



J’exposais mes idées à mes deux camarades avec la précision d’un directeur de cabinet. Vous savez, l’homme de l’ombre, toujours à la droite et en retrait des politiciens qui, néanmoins, assurent de supprimer tous les obstacles qui pourraient se trouver sur son chemin. Et puis, mon addiction aux jeux d’échec a fait de moi un fin stratège. Disons que, là où la plupart des gens ne pensent qu’aux effets immédiats de leurs actions, je prends le partie d’amorcer trois coups d’avance, dont toujours une solution de replis afin que rien ne soit laissé au hasard, que tout soit toujours sous contrôle. J’allais me donner à fond pour cette campagne, pour mes deux amis et pour l’Eliot House. Et je croyais tellement en notre cause que mon sacrifice ne me dérangeait pas le moins du monde. Je ne me présenterais pas, j’étais catégorique. Et de toute manière, quelque soit celui de nous trois qui se trouve élu, c’est comme si nous nous retrouvions tout les trois propulsés sur le trône. J’acquiesce aux dires de Cole et de Tate quand ils confirment ma vision des choses. Ne pas être élu ne signifiera pas être exclu et je pense que nous avons suffisamment d’honneur pour nous faire confiance les uns les autres. En fait, je ne me pose même pas la question, j’ai une confiance aveugle en ces gars-là. Et je ris à leurs expressions lorsque je leur annonce qu’il faudra savoir charmer pour gagner la voix des filles : « Mon père disait toujours, quand on fait de la politique, on ne trompe pas sa femme, on fait des affaires ». Bien que je n’ai jamais été d’accord avec ce propos l’ayant trop de foi vu tromper ma mère. Je chassa vite ces visions de mon esprit pour me remettre dans l’instant présent : « A la bonne heure ! », quand il me congratule de compliment, détendant complètement mon visage pour attraper mon verre de whisky : « Einstein est le précurseur de la bombe atomique alors … ton compliment me va droit au cœur Tate », dis-je franchement amusé, un sourcil haussé pour témoigner de mon machiavélisme. Et j’allais porter mon verre à la bouche quand Cole me surprend par son défaitisme. Le reposant derechef : « Tu plaisantes ? », dis-je presque offusqué, avant de reprendre le plus sereinement et sincèrement du monde : « Comment veux-tu qu’aucun de vous deux ne soit élus ? Ce sont ces filles qui te font perdre la tête ? », Repris-je en parlant des serveuses presque nues qui venaient de passer. Et avec plus d’insistance encore : « Je m’occupe de vous refaire une beauté médiatique, d’arracher les mauvaises herbes sur votre chemin, et de créer les alliances qu’il faut pour avoir la majeur partie des points. Vous, faites ce que vous avez toujours fait de mieux : être des Eliots. Je ne suis pas entrain de te dire qu’on va essayer d’accéder au trône Cole. Je suis entrain de te demander quel couleur de coussin tu préfère pour t’asseoir dessus. », Ferme, absolument convaincu de la bonne marche de nos manœuvres. Dans mon esprit, l’échec est absolument impossible. Pas beaucoup de candidats font le poids, et surtout, on a la majeur partie des voix selon mes sondages : « Mais si tu y tiens, je peux te proposer un plan de repli. Si aucun n’est élu, nous créeront une société secrète comme nos pères l’ont fait avant nous. L’Eliot Suprême, avec nous trois à sa tête. Et en parallèle de tout le reste, nous recruterons les meilleurs d’entre les bleus et nous retournerons Harvard par-dessous. », Mon bras tendu, ma main posée sur l’épaule de Cole : « Je ne te demande pas d’avoir confiance. Je te demande de te soumettre à l’évidence M. Wildingham », dis-je un brin taquin, inclinant la tête comme pour lui dire, tout ira parfaitement bien : « Bon ! », lançais-je en tapant de mes deux mains sur mes cuisses : « Et si maintenant notre Murray nous montrais comment on charme une fille ? », ajoutais-je à l’attention de Tate en lui désignant des yeux une des danseuses.  

© charney for ilh
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NOTACO-#vivalaeliotution
feat Cole & Noah
Je hochais la tête en écoutant les dires de Cole. Il avait absolument raison, si moi et Cole serions les têtes d'affiche pour les éléctions, on partageait les lumières des projecteurs avec Noah. On était le trio de la muerte et rien pouvait nous atteindre tant aussi longtemps qu'on était en parfait union les trois, il y avait personne qui pouvait être plus craints que nous sur le campus. Noah c'était le cerveau, Cole c'était le respect et j'étais la confiance, vu que j'étais celui qui avait déjà occuper un poste de présidence dans le passé et que ma réputation me donnait une certaine crédibilité, je ne respirais que pour vivre selon les règles de la Eliot House et je mourrais en tant qu'Eliot. ''Cela sera un privilège de partager le pouvoir avec vous mes frères.''. Je levais mon verre quand Cole parlait de mon titre de meilleur vp: ''Au plaisir de défendre cette honneur.''. Je m'attendais à tout pour cette élection, sa risquerait d'être la plus serrée depuis mon arrivée chez les bleus. Je riais, c'est vrai, tu commets pas l'adultère en charmant, c'était un outil vital à l'égo d'un mec de savoir charmer après tout. Cole était également la raison de notre trio, c'était possible qu'aucun de nous soit élu, sa serait le pire scénario. Plus les mecs parlaient, plus mon verre de whiskey avait une saveur de victoire, arghhh j'en avais des frissons, parler de pouvoir me faisait frémir, c'était tout ce que je voulais et notre cour royal s'annonçait plutôt bien. ''Ouais, sa va être la chasse aux sorcières pour déterminer qui sont les vrais Eliots, on fera taire les mauvaises langues.''. Je souriais de plus belle àa la requête de Noah: ''Hahaha mais tes marrant Noah, tu as besoin que je te donne des cours? Observe bien.''. Je sifflais une serveuse, une superbe blonde arrivait en mode je suis pas une chienne , on me siffle pas. Je lui dis: ''Pardonnez mademoiselle, nul me contredirait ici que vous êtes ravissante malgré l'établissement dans lequel on se trouve. Je t'ai vu danser tout à l'heure et j'aimerais bien apprendre à mieux te connaître, tu sais.''.


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(Je vous laisse l'honneur de faire la meuf NOTACO #vivalaeliotution - Page 2 1881463262)
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J’exprimais ma confiance en Noah, un brin déçu de ne pas le voir se joindre à nous en tant que candidat. Parce que j’étais persuadé qu’il aurait eu un nombre conséquent de voix, sa petite sauterie avec Sage ne pouvait pas l’avoir complètement grillé dans les sondages… Ou alors j’étais mal aussi. Pensée pour Lucky, pour Emma, la VP mather de l’an passé… Non, ce n’était que du sexe, tout ça, rien de grave... Tate avait peut être eu son lot d’égarements avec des vertes aussi, ce n’était pas cela qui allait nous discréditer ? J’essayais de me rassurer ainsi écoutant la discussion qui se poursuivait entre mes deux amis. J’avais écarté l’idée d’une candidature de ma sœur, n’envisageant pas un instant que Noah se référait à quelqu’un d’autre que Victoria. Vic était ma sœur. Les Petrova étaient… des pièces rapportées. J’avais encore espoir que ma mère change d’avis d’ici le 16 septembre et qu’elle renonce à épouser son ruskov de fiancé. Alors pour moi, Vic n’allait pas se présenter, trop occupée, et je n’avais pas envisagé qu’Oks le ferait. Mais peut être qu’il y aurait d’autres ambitieux parmi nos rangs. J’émis l’idée qu’aucun de nous eux, ni Tate, ni moi, ne soyons élus et alors je récoltais les remontrances de mes interlocuteurs. Un rire s’échappa malgré moi de mes lèvres à l’explication de Noah : les jolies serveuses me faisaient perdre la tête. « Ca doit être ça oui… » Mon regard s’alluma d’une lueur salace se perdant sur la jolie poitrine généreuse d’une des demoiselles… « Ca fait trop longtemps que je n’ai pas vu une paire de seins… » Merci Kyla et son exil loin de moi. Noah reprit plus sérieusement pour me rassurer : côté médiatique, il allait redorer notre image. Je n’étais pas le seul à être controversé, Tate avait aussi une réputation sulfureuse, ce qui me faisait d’ailleurs penser que l’on formerait un duo parfait à la tête de la maison. Je nous voyais déjà imposer nos critères de sélection, bien à nous, du genre taille de bonnet minimale… Peut être que je me projetais trop, mais l’assurance de mes deux compères était contagieuse. « Ok, ok… J’arrête de jouer les rabats joies. » soufflai-je, commentant quand même, sourire en coin : «Et j’approuve quand même le plan de repli. » J’échangeai un regard avec Noah qui avait posé un instant sa main sur mon épaule, et lorsqu’il se détacha, je me reculai pour m’adosser confortablement contre le dossier de mon fauteuil, tournant mes prunelles en direction de Tate attendant la démonstration avec un sourire amusé. « Oui, montre nous… Je veux apprendre de celui qui a réussi à faire flancher les résistances de miss Dunford. » Je l’avais chassée l’année passée, ma meilleure amie. Et cette dernière n’avait jamais cédé à mes avances, je voulais donc connaître le secret du grand Murray, qui lui avait eu l’honneur de l’avoir dans ses bras et ses draps. J’observais donc la technique sifflement m’arracha un petit rire et mes yeux se perdirent ensuite sur la demoiselle à qui Tate avait commencé à servir son petit blabla charmeur, incapable de me concentrer, divaguant bien trop devant les jolies courbes féminines de la jeune femme.

HJ : désolée du retard, bug dans mes notifs surement NOTACO #vivalaeliotution - Page 2 1779901633
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Les grandes nations se sont bâties sur le foutre et le sang.



Il y avait quelque chose … de foutrement excitant à tout ça. Les gens de petites conditions ne peuvent pas comprendre le plaisir subtil et la jouissance infime que procurent les discussions de pouvoir. J’avais une confiance absolue en Cole et Tate, ils étaient de loin ceux que je respectais le plus sur le campus. Voir, les seuls que je respectais étant donné que je ne suis clairement pas le genre de gars à user et abuser de confiance. Mais voilà que mon camarade que je pensais plus téméraire se laisse envahir par une vague d’inquiétude. Je ne peux m’empêcher de le taquiner, m’empressant aussitôt d’aligner les mots et les faits qui, je l’espère, sauront le calmer. Comme c’est risible, voilà le Noah qui d’ordinaire pessimiste se gonfle de conviction pour faire office d’appuie et de béquille de conscience à ses deux amis. Je n’y peux rien, la loyauté est le centre névralgique de mon système et dès l’instant où j’ai compris que ces deux garçons avaient l’étoffe de parfaits chefs de guerre, une inconditionnelle dévotion s’est enclenchée. Oui, je le reconnais, je suis bien plus romantique en amitié qu’en amour. Que voulez-vous, une gonzesse de perdu c’est dix copains qui reviennent. Je grossis les yeux en regardant Cole quand il me dit que ça fait longtemps qu’il n’a pas vu une paire de sein. Et bien, à défaut de m’être sympathique, cette chère Kyla pourrait au moins prendre soin de l’appétit de mon camarade. Je n’en dis rien, refusant de me jeter dans une nouvelle jouxte, sachant pertinemment qu’à ce sujet, lui et moi ne sauront jamais d’accord sur nos désaccords. Et sa remarque sur la Dunford m’arrache un rire léger, mes yeux se posent instinctivement sur Tate avec une certaine admiration, une fierté non dissimulée : « Comment ça ? Tonton Murray a réussit à réchauffer son armure de glace ? ». Décidemment, il m’étonnera toujours. Et je souris à chacune de ses remarques, surtout quand je le vois se lancer dans son baratin avec la serveuse. Hochant négativement la tête, grossièrement réprobateur, j’enchaîne : « Mon pauvre Murray. Tu sais quel a toujours été ton problème ? ». Je tends le bras pour attraper la serveuse par la taille et la fait asseoir sur mes genoux. Imperturbable, froid avec elle, comme je l’ai toujours été avec toutes les filles. Je me tourne enfin vers elle, feins un sourire insolent, et plonge à son cou pour le déguster. Me redressant, je me tourne vers Tate : « C’est que tu parle trop ! ». Et mes yeux se reposent sur la serveuse, d’une voix faussement mielleuse teintée de taciturne : « Apprends-lui ». Je la pousse délicatement de manière à ce qu’elle se relève et l’invite d’une inclinaison de tête à rejoindre Tate : « Tu vois, la langue ne sert pas qu’à palabrer ». Je me laisse tomber sur le sofa, me délectant du spectacle qui s’offrait à mes yeux avant de me tourner vers Cole : « Tu es toujours au régime ? ». Sous-entendu, fidélité et compagnie.

© charney for ilh
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