Belaswell || I deserve better than this

I deserve better than this
— Belaswell

Pour l'instant l'autre sorcière ne m'a pas retrouvé et le hasard fait parfois tous car j'ai finis par atterir dans la cabine de Théa. Elle n'est pas ravi de me voir et bon, il faut le dire moi non plus surtout quand elle me traite de crétin, comment ose-t'elle ? Elle sait que je ne dirais rien de plus parce que c'est elle, elle en profite, elle en joue, ça m'énerve un peu je dois le dire mais je reste fidèle à moi même, je ne dis rien. Je la regarde, j'essaie de precher le faux pour savoir le vrai, je lui dis qu'elle ment, elle peut pas s'en foutre comme ça quand même. Je n'ai pas peur d'elle, j'ai peur de mes sentiments pour elle, je les renie parce que je sais que ça fera des histoires. Je lui dis donc qu'elle ment avec aplomb, je ne vais pas me démonter face à une petite blonde comme elle, il en faut beaucoup pour me faire fléchir. "Je le sais, tu mens c'est tous." oui et ma fierté en prendrait un coup si c'était vrai en même temps. Elle est froide et distante avec moi, j'aime bien c'est vrai, c'est une femme forte qui ne flanche pas comme ça. Elle me manque au fond de moi je le sais même si je ne le ressens pas trop au fond parce que je suis cérébral et pas un sentimental. Pourquoi je suis là ? Clairement pour eviter l'autre sorcière et si au passage je peux l'emmerder je ne dis pas non. "Ah je ne vais pas me priver" ça jamais ! Je suis Abélard Zeus Camille De Belgique-Shueller je fais tous ce que je veux ! Elle me dit de ne pas parler de son mec et de son vieillard. Ils me dégoutent ces deux là, rien que de l'imaginer avec un des deux j'en ai la gorge sèche, les nerfs qui me monte mais sa réaction est bizarre, elle me demande de ne pas en parler et j'en remets une couche. Sa réponse m'étonne, elle me supplie presque, depuis quand Théa me parle comme ça ? Je sens qu'il y a un problème là dessous, je reprends "Pourquoi tu veux pas en parler ? La dernière fois tu t'es bien affichée avec." oui quitte à m'énerver elle s'en foutait, je veux qu'elle me le dise maintenant. Il l'a foutu dehors ? Qu'est ce qu'elle a ? Elle me fait la morale quant à mon comportement de l'autre fois, je la regarde et lui dit qu'il était normal, elle n'est pas d'accord. "Tu devrais avoir l'habitude avec moi depuis le temps qu'on se connait est-ce que tu as déjà vu une seule fois une fille prendre ma défense ? Jamais que ce soit ma mère, ma soeur, Potter ou mes copines, c'est un point d'honneur." oui c'est ma fierté qui parle. Je reste appuyé à la table près d'elle, je sens son parfum qui m'enivre, il me manquait, j'ai envie de l'avoir près de moi mais je pense avec ma tête et je me retiens. Elle m'interdit de l'appeler Thé parce qu'apparemment on est pas proches. Je la regarde plongeant mon regard dans le sien, me perdant au fond de ses yeux "On est proches donc je peux le faire." oui j'estime que j'en ai le droit qu'elle soit d'accord ou pas. Je craque alors, je me rapproche d'elle pour déposer un baiser dans son cou, un baiser qui ne trahi que trop peu mon envie de l'avoir près de moi. Et il n'y a pas à dire, je ne m'attendais pas à une telle réaction. Je la regarde alors qu'elle se lève et enfile un peignoir avec un regard interrogateur qu'est ce qu'elle a ? Je lui dis que si elle veut que je parte elle n'a qu'à le dire, je veux qu'elle me dise de rester. Elle se met à l'autre bout de la salle, elle n'a pas l'aire bien. J'avance vers elle, en la regardant dans les yeux le regard interrogateur, presque inquiet, oui moi Abélard je suis inquiet de la voir réagir comme ça. J'arrive près d'elle et le pose une main de chaque coté d'elle pour pas qu'elle parte, pour la dissuader plutôt parce que si elle veut elle peut. "On a toujours joué comme ça Thé, qu'est ce que t'as ? Pourquoi tu réagis comme ça ? Tu sais très bien que tu peux tous me dire." oui au départ on se cherchait c'était un jeu, puis c'est devenu compliqué mais on s'est toujours cherché c'est un fait en réalité. Je la regarde dans les yeux, proche d'elle physiquement et pourtant si loin parce qu'elle a l'aire vraiment mal.

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— belaswell

Même si je ne montre absolument rien à Abélard, j'espérais secrètement que l'autre sorcière qui servait de masseuse au jeune homme arriverait très vite pour le récupérer. Mais, dans le fond j'étais contente de le voir devant moi. Je joue avec lui parce que je sais pertinemment qu'il ne dirait rien même si je venais à l'insulter. Je lui mens ouvertement et je continue à faire semblant qu'il ne m'avait pas manqué. En même temps, ça me servirait à quoi de lui dire oui ? Puisqu'il s'en fout complètement de ma gueule, il préfère croire son frère, son meilleur ami Cole, son ex Ariana. Et j'en passe. Je ne fais pas le poids face à eux. Je le sais d'avance, autant ne pas déployer mes armes. Étant donné que ça ne mènerait à rien. « Je joue le même jeu que toi. » Point barre. Tu joues avec moi, je joue avec toi. C'est ainsi. Faut pas chercher plus loin. Je préfère rester loin de lui, jouais à la femme forte alors que je ne le suis plus du tout. Ça faisait des mois déjà. Je suis en train de mourir, de succomber à mes blessures intérieures, petit à petit. Sauf, que personne n'est au courant. Quand je l'entends me dire qu'il ne va pas se priver. Je viens à secouer la tête de bas en haut. Je ne savais pas vraiment quoi lui répondre de toute façon. Par la suite, il vient à me reparler de la famille Phillips. Je n'ai pas envie de me remémorer un très mauvais souvenir dans mon esprit. J'en souffre déjà tous les jours, autant éviter d'en rajouter. Or, je viens à le supplier de ne plus me parler d'eux. Chose que je n'ai jamais fait avec lui. Il me connaît mieux que personne. « La dernière fois c'était du passé Abélard. S'il te plaît arrête avec tes questions. » Je continue à le supplier du plus profond de mon âme. Je ne veux plus entendre parler d'eux, c'est tout. On revient à parler de son comportement de l'autre fois. C'est plus fort que moi, je ne peux accepter cela. C'est dans mes convictions, je ne vais pas les changer pour lui quand même. « Même avec l'habitude de tes sautes d'humeur et ton caractère de merde. Je ne peux pas l'accepter, c'est tout. » Mais, merde Abélard ! Je ne suis pas comme toutes tes autres pouffiasse, ouvre les yeux bordel ! Je reste allongée alors, qu'il continue de s'approcher de moi petit à petit. Même si je commence doucement à serrer les dents, je ne montre aucun signe auprès du jeune homme. « On est très loin de l'être. » Je ne lui accorderais pas la chance de m'appeler Thé. On n'est pas proche, on ne cesse de se disputer, de s'éloigner l'un et l'autre. Il est loin le temps où on passait nos journées h24 ensemble. Puis vient l'instant où il ose m'embrasser dans le cou. Je me relève immédiatement de la table pour remettre mon peignoir et m'éloigner de lui tout cela en baissant la tête vers le sol. Il comprend rapidement que mon comportement est très étrange. Puisqu'il s'approche une énième fois de moi en passant ses mains de chaque côté de mon corps. Je viens à lui retirer ses mains en criant. « NE ME TOUCHES PAS PUTAIN ! » J'avais presque les larmes aux yeux et, Abélard pouvait le remarquer. Je viens à m'éloigner encore de lui pour éviter tout contact physique avec lui. « Malheureusement non ... Je ne peux pas tout te dire Abé ... » Même si j'en meurs d'envie. Comment dire à l'homme que j'aime que j'ai été victime d'un viol ? C'est surnaturel comme situation. Je ne veux pas subir la pitié d'Abélard. Je ne veux pas non plus qu'il s'énerve en cause de moi. Il mérite tellement mieux que tout ça, franchement.

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— Belaswell

Elle est distante, elle m'en veut et moi je veux échapper à l'autre tarrée poilue mais elle ne veut rien entendre, Théa est bien décidée à me faire galérer moi Abélard. Elle et moi on joue à un jeu dangereux, c'est comme ça que je suis tombé dans le love de Théa on va dire. Mais je ne lui dirais jamais qu'elle m'a manqué ou même que j'ai pensé à elle je ne suis pas fou. Je la regarde alors qu'elle n'est pas d'accord avec moi, je la regarde, oui elle joue au même jeu que moi, je la regarde et je reprends "tu crois que je joue moi ?" oui elle le croit vraiment ? Je sais qu'elle le sait mais est-ce qu'elle est sure d'elle à ce jeu là ? Théa est une femme forte et indépendante, elle a du caractère, c'est ce qui me plais chez elle en plus de d'autres atouts notamment physiques qui ne sont pas négligeables. Elle s'agace quand je parle de l'autre vieillard et de son moche de copain. Ca m'énerve de penser qu'elle ait pu être avec eux parce que Théa elle n'est qu'à une seule personne : moi et elle le sait pertinemment je lui ai dis. C'était ma façon de lui dire que je la voulais elle mais la dernière fois elle l'a mal pris. Enfin, elle n'est pas contente que je parle de son mec et de son mac. Elle me supplierait presque, je ne comprends pas, ça ne lui ressemble pas. "Réponds y et je ne les poserais plus." oui qu'est ce qu'il s'est passé avec son gus là ? Déjà il ne lui a pas volé d'argent, il a même du lui en donner vu qu'elle est là. On parle alors de mon comportement de l'autre fois, elle me connait, elle sait comme je suis. Elle me sort alors que j'ai un caractère de merde, je reprends "J'ai peut etre un caractère de merde mais je suis beau. Et franchement je suis juste droit dans les baskets et plein de principes c'est tous." oui moi je ne vois franchement pas de problèmes si ? Je m'approche d'elle tel un loup de sa proie, doucement mais surement. On est proches elle et moi mais elle le nie, je la regarde reprenant "Pourtant j'arrive d'ici à sentir ton parfum Thé." oui elle ne parle pas de proche de cette façon là et alors ? Ca va la décontenancer, ca va etre drole. Je l'appelle comme je veux, je n'ai pas d'ordre à recevoir. Je craque, je penche ma tete pour lui embrasser le cou et là elle pète un cable, elle se rhabille elle ne veut pas que je l'approche, ca m'inquiète même si au fond je ne comprends pas surtout. A une période elle me disait tous et là on en est loin. Je la regarde avant de m'approcher à nouveau posant une main de chaque coté de son visage mais elle pète encore plus un cable. Elle avait les larmes aux yeux, elle me hurlait dessus, qu'est ce qu'elle avait ? Elle s'éloigne elle veut pas que je l'approche davantage et j'avoue que je suis décontenancer de la situation. "Tu sais très bien que tu peux tous me dire même tes pensées les plus sombres, qu'est ce que t'as ? Je sais qu'il y a un truc qui va pas." oui je ne suis pas con. Je la regarde, je reste plus loin d'elle elle ne veut pas que je l'approche et ça, ça me blesse vraiment parce que je sens que c'est sincère, qu'elle ne veut vraiment pas et que je ne comprends pas la raison. C'est pas la première fois qu'on est proches comme ça, elle n'a jamais pété un cable au contraire elle entrait dans mon jeu.

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— belaswell

La situation en elle-même est assez compliquée. Je n'arrive pas à ne plus en vouloir à Abélard pour ce qu'il m'a fait subir à la dernière soirée mondaine. De son côté, il essaie d'échapper à sa tarée de masseuse. Il semble avoir complètement oublié ce qui s'était passé entre nous la dernière fois. Or, je ne pouvais pas faire comme-ci j'avais réussi à lui pardonner. Je préfère le faire ramer un peu avant de lui promettre quoique ce soit. Puis, je sais qu'il a Hadès et Cole derrière lui. Donc même si on vient à vivre une relation, elle sera tellement compliquée que je pourrais risquer de péter un câble. Par la suite, je lui avoue que je joue au même jeu que lui. Il ne semble pas le prendre bien. Au fond, je m'en fiche un peu qu'il le prenne bien ou mal. « Tu as toujours joué avec moi. Or, la fois où tu avais pris ton courage à deux mains pour me faire ta déclaration. » Non cette fois-ci, je t'avais cru du début à la fin. De tes sentiments pour moi, de ta façon de me voir, de tout. Cependant, j'avais eu peur d'avoir le cœur brisé une deuxième fois par la même famille. Pourtant, même si l'instant je ne pensais pas ressentir une once de sentiment à son égard. Je me suis pris à mon propre piège. Puisque je l'ai croisé quelques temps plus tard au bras d'une blonde. Ça m'a fait complètement vrillée. D'ailleurs sa pouffiasse s'en souvient encore, il me semble. Abélard a tout pour plaire à une femme. Il a du caractère, il est séduisant, il a peur de rien. Tout ce qui me fait fondre, en gros. Je commence à m'énerver au moment il parle du vieillard et de son petit con de fils. Comment lui dire que j'aurais tellement aimé ne jamais les rencontrer, ni même vivre avec eux à Abélard ? C'est assez compliqué pour moi de faire cela. « Non je ne suis plus avec lui et, je n'ai pas envie d'avoir de ses nouvelles. Pour ce qui concerne le vieillard, il est mort il y a quelques mois maintenant. » Tu es content ? Tu as eu toutes les réponses que tu désirais Abélard ? Maintenant lâche moi avec eux, nom de dieu. Je lui avoue qu'il a un caractère de merde par la suite. En même temps, c'est tellement la vérité. « Tu veux dire que je ne le suis pas de mon côté ? » Finalement ... tu as bien raison. Je ne suis pas droit dans mes baskets, j'ai fait que des choix de merde dans ma vie. En commençant, par abandonner la seule famille qui m'a réellement aimé dans la vie. Je continue de nier le fait qu'on soit proche. En même temps, ce n'est pas réellement faux. On s'est éloigné au fil des mois qui se sont écroulés. On a plus la même complicité qu'on a pu avoir par le passé. « Je ne te parle pas de cette façon là. » Je n'ai pas envie de rire en ce moment. J'ai qu'une envie c'est d'éclater en sanglot, de vider toutes les larmes de mon corps que j'accumule depuis un laps de temps. Sauf, que je m'énerve encore une fois contre Abélard. Puisqu'il vient à m'embrasser dans le cou. Chose que je ne peux pas admettre après mon agression. Je n'arrive plus à être aussi tactile qu'autrefois avec un homme. Je n'ai plus aucune confiance en eux. Je m'éloigne de lui pour rejoindre la porte de la cabine alors que le beau brun se trouve de l'autre côté de la pièce. « J'ai ... j'ai été victime d'un viol Abélard ! C'est pour ça que je me comporte de cette manière, j'ai plus aucune confiance aux hommes et, encore moins en moi. Je me sens salie au plus profond de moi. Et, je ne veux pas que tu me voies de cette manière. » Dis-je avant d'éclater en sanglot, je viens à me recroqueviller sur moi-même et je vide toutes les larmes que je peux avoir à l'intérieur de moi.

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— Belaswell

Depuis que j'ai dis à Théa que je voulais etre avec elle, c'est compliqué. En même temps je ne vais pas la remercier alors qu'elle ne m'a pas cru à l'époque et que je me suis fais envoyer pètre correctement. Ensuite nous nous sommes croisés à cette soirée et voilà, ça va trop vite parfois. Je la regarde et je la trouve changer en outre le fait qu'elle m'en veut franchement beaucoup. Elle m'en veut d'être parfois un peu trop entier mais je suis comme ça après tous non ? Je ne lui dirais jamais que j'ai tord car c'est faux, ce n'est pas à une fille de prendre ma défense jamais. Elle me dit qu'elle joue comme moi, je la regarde et lui demande si elle pense que je joue. Je ne montre rien une fois de plus, en réalité je ne sais pas faire ça, je suis cérébral et je ne connais pas les trucs de sentiments, j'y crois pas vraiment. "Tu m'as pas cru sur le moment tu m'en as même collé une mais j'ai l'habitude avec toi. Après si tu penses que je joue, tant mieux pour toi" oui je ne lui dirais pas si elle a raison ou tord, elle n'a pas besoin de savoir après tous non ? Oui et après ma déclaration, elle m'a envoyé pété, je lui ai dis qu'elle avait raison, que je jouais une fois de plus et elle était partie de son coté moi du mien. Quelques mois plus tard quand on s'est recroisés elle m'en a voulu d'être avec une blonde qui pouvait au loin lui ressembler mais moi je m'en fichais, une provocation de plus de ma part parce qu'au fpnd de moi je suis comme ça, soit je m'énerve et je casse tous soit je ne dis rien et là je réfléchis à comment mener une véritable guerre psychologique à mon adversaire. Je n'ai jamais voulu faire du mal à Théa mais c'est compliqué. On parle alors de son mec l'autre laideron fin comme un spaghetti qui n'a aucune classe. Elle ne veut pas parler de lui ni du mac qui l'accompagnait la dernière fois. Ces deux mecs là, je les auraient défoncé si j'avais pu mais je savais que ce ne serait que creuser davantage le fossé avec Théa alors je l'ai laissé partir. "Ah Papy t'as tous léguer alors ? Et laisse moi deviner, poil de carotte n'a pas apprécié ?" oui je ne vois pas d'autre hypothèse pourtant j'ai cherché des dizaines d'hypothèses dans ma tête. Je réfléchis rapidement c'est une qualité. En vérité j'aime jouer aux échecs. D'après elle j'ai un caractère de merde mais bon, je suis droit dans mes baskets j'ai pas a m'en faire ! Je lui fais la remarque qu'en plus je suis beau. Elle me demande si je sous-entends qu'elle elle n'est pas droite et reprends "A toi de me le dire." une question par une question, réponse typique d'Abélard Zeus Camille De Belgique Schueller ! Je suis proche d'elle au point de sentir son parfum et je la taquine quand elle me dit qu'on est plus proches. Je la regarde alors qu'elle n'est pas ravie du tous. Je reprends "On a toujours été proches, quoi que tu dises Thé." ouais c'est comme ça c'est tous, pas autrement. Elle s'énerve contre moi quand je lui dépose un baiser dans le cou, j'ai craqué mais quand même de là à réagir comme ça. Elle se rhabille, elle me fuit, elle ne supporte pas que je la touche et je ne comprends pas. C'est alors qu'elle me l'explique en explosant en sanglot tandis que je reste de mon coté de la pièce figé. On pourrait croire que je ne fais rien mais en vérité je réfléchis même si je ne montre rien. Si je commence à m'énerver elle va m'en vouloir d'être toujours le même impulsif. Je la regarde, je la fixe alors qu'elle pleure et je n'y vais pas. Je ne l'aiderais pas en la touchant une nouvelle fois. Mon cerveau fonctionne dans tous les sens, je me concentre pour ne pas m'énerver, je me contiens, je ne peux pas me montrer touché devant elle, je casserais tous chez moi en rentrant. J'avance vers elle sans un bruit avant de reprendre "Relève toi et arrête de pleurer Thé." je tends une main vers elle avant de la faire se lever et faire qu'elle me regarde "T'as pas a baisser la tête et a te sentir mal, c'est lui, et je vais l'aider pour ça t'en fais pas." oui je vais détruire sa vie jusqu'à ce qu'il vienne me supplier ou qu'il crève dans un conteneur ou dans les égouts ou qu'il finisse en prison par être le souffre douleur des autres, j'en jubilerais. Oui, clairement il ne mérite pas que je paye quelqu'un pour le tuer, je pourrais mais non, je vais faire de sa vie un enfer par la puissance de Zeus. Il ne s'en relèvera pas et je trouverais ça tellement jouissif de le voir lui qui a sali ma Théa, lui qui lui a fait du mal, je trouverais ça jouissif de le voir sans rien, sans argent pour manger absolument rien. Mon visage est fermé face à elle, je ne peux pas me montrer touché par ça mais il va crever ce fils de chien ou en tous cas il va souffrir encore plus qu'elle elle peut souffrir. J'en fais la promesse.

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— belaswell

« Je venais de me faire briser le cœur par ton frère, je n'avais pas envie que ça recommence une nouvelle fois avec toi ... c'est ça la simple raison de mon ignorance à l'époque. » Il mérite d'apprendre la vérité. J'étais déjà anéanti quand Hadès m'a dit qu'il me quittait parce que je n'avais plus d'argent. Alors, quand Abélard m'a avoué ses sentiments je ne savais pas comment réagir. J'étais déjà au plus mal, je ne voulais pas agrandi la souffrance que je pouvais ressentir. Par ailleurs, je lui avais fait comprendre les choses lors de notre rencontre il y a quelques mois. On s'était engueulés violemment, je m'étais même interposé entre lui et son père pour le défendre. Sauf, qu'il m'a parlé comme une merde. N'acceptant pas ce qu'il avait fait devant tout le monde. J'avais fui la soirée pour rentrer dans l'appartement où je résidais. Voilà que je le retrouve aujourd'hui au spa, après avoir vécu pas mal de turbulence dans ma vie. Quand il vient à me parler du laideron qui m'a servi de mec, je lui réponds au tact au tact de ne plus me parler de lui. « Tu as raison sur toute la ligne. » Je ne pouvais pas mentir, c'est ce qui s'est passé dans les grandes lignes. Je lui dis également qu'il a un caractère de merde. D'un côté c'est ce que j'apprécie chez lui aussi. Sauf, que je ne lui dirais pas. « Vas-y laisse tomber ... » Je n'ai pas spécialement envie de me dénigrer même si je sais très bien que j'aie fait des choix de merde depuis mes dix-huit ans. « Si tu le dis Abé ... » Je ne veux pas me battre pour cette petite broutille. Je m'éloigne du jeune homme après qu'il m'ait embrassé dans le cou. Je ne supporte plus aucun contact physique avec un homme. C'est pour ça que je me rhabille avec l'aide de mon peignoir pour m'éloigner de lui. Ensuite, quand il ose posé ses mains sur mes hanches, ce fut la goutte d'eau qui faisait déborder le vase. Je viens à le repousser pour aller de l'autre côté de la pièce avant de tout lui dire et d'éclater en sanglot. Par le passé, j'aurais rentré directement dans le jeu du jeune homme sans le moindre mal, sans le moindre scrupule. Or, aujourd'hui tout à changer. Je m'étais recroquevillé sur moi-même quand je sens finalement la main d'Abélard pour me relever de ma place. « C'est plus facile à dire qu'à faire Abé ... » Je viens à le regarder dans les yeux quand il me dit ses mots-là. « Évidemment que je me sens mal, je suis sali ... j'ai l'impression que je ne pourrais plus faire confiance aux hommes. » Dis-je en le regardant dans les yeux. Finalement, je viens à plonger dans ses bras pour éclater une nouvelle fois en larmes. Mine de rien, j'ai besoin de le sentir contre moi, de savoir qu'il est là pour me réconforter. Même si le contact physique est extrêmement difficile pour moi, je n'arrive pas à faire autrement quand je suis face à lui.

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— Belaswell

Elle avait le coeur brisé par Hadès et blablabla je la regarde reprenant "Hadès voulait me faire chier c'est tous alors il s'est mit avec toi Théa juste parce que je l'ai empeché d'être avec Zia." la voilà la cruelle vérité et je ne culpabilise même pas de l'avoir dit, au fond je jubile, parce qu'Hadès va s'en manger une la prochaine fois ou je ne sais pas. En plus de ça elle arretera de me parler d'elle et Hadès vu que ce n'était rien, elle était juste trop aveugler par les belles paroles de mon frère pour voir son jeu et voilà, là au moins elle le saura, Hadès il aime Zia, il l'a toujours aimé mais dans le fond il l'aura jamais. Elle m'a mit un vent elle n'aurait pas du. Enfin il s'était peut etre attaché a elle mais bon, quand elle est devenue pauvre il l'a vite bachée pour une fille qui entrait plus dans la norme. A la soirée Théa est revenue vers moi et moi trop fier je l'ai laissé partir terminant ma soirée avec Cassandre une amie parce que voilà, j'avais juste pas envie d'être seul. J'émet une hypothèse sur son pseudo mec le petit moche qui l'accompagnait à la soirée et qui m'énervait. Elle approuve, le vieux lui a donc tous léguer ? Qu'est ce qu'elle a fait pour ça ? Ca m'énerve mais je ne montre absolument rien, je reprends "Tu devais être vraiment spéciale pour lui" oui apparemment pour qu'il lui lègue sa fortune, moi jamais je ferais ça à quelqu'un que j'aime pas. Elle me dit que j'ai un caractère de merde, ça me fais rire, c'est vrai elle a raison mais je ne vais pas lui dire, je finis par lui retourner une question à savoir si elle est droite et elle se vexe, je la regarde reprenant "Comme tu veux" avec un air de défi dans le regard. Elle me dit que je n'ai pas le droit de l'appeler Théa, qu'on a jamais été proche, je lui dis le contraire, même là nous sommes proches, à quelques centimètres l'un de l'autre. Elle finit par me dire que c'est si je veux. Je la regarde, je cherche comme une réponse dans son regard mais rien. Je finis par lui embrasser le cou et elle s'emballe, s'éloigne et craque. Elle finit par me dire la vérité, je savais qu'un truc n'allait pas, d'ordinaire elle ne dirait rien, elle entrerait même dans mon jeu sans complexe mais pas là. Non, il lui a fait du mal, il l'a sali. Cette idée me dégoute. Je la regarde alors qu'elle s'effondre, je ne sais pas quoi faire, elle ne supporte pas la présence des hommes donc même la mienne quoi que je fasse, peu importe qui je suis. Je me sens impuissant face à ça, j'ai envie de retourner cette pièce pris de colère mais je ne fais rien, ça ne l'aiderait pas au contraire. Je me contiens et je réfléchis. Je veux le fumer ce fils de chien, qu'il finisse à la rue, qu'il n'ait plus rien, qu'il finisse en taule, tabasser, je ne sais pas encore mais je sais d'avance que je vais trouver une idée sadique et brillante pour le mettre plus bas que terre. Je lui dis de se relever, elle n'a pas à baisser la tête face à une telle chose parce que je le sais au fond de moi, quoi qu'elle ait fait c'est pas sa faute à elle, pour ça je suis intransigeant tous simplement parce que j'ai une soeur et que mine de rien j'ai aussi une mère et le respect de la femme c'est un principe chez moi. Je lui tends une main lui disant d'arreter de pleurer et de se relever. Elle objecte je reprends "Aller arrête" l'aidant à se relever lui disant qu'elle n'a pas a baisser la tête ou a avoir honte elle me dit qu'elle n'y arrive pas. Je n'ajoute rien plongeant mon regard dans le sien avant qu'elle ne plonge dans mes bras fondant à nouveau en larmes. Je ne dis rien, je suis un peu surpris, mais au moins elle arrive a encore être proche de moi. Je resserre mes bras autour d'elle lui caressant doucement le dos par dessus son peignoir comme pour lui montrer que je suis là. "T'en fais pas, il s'en sortira pas comme ça, je t'en fais la promesse Thé il va regretter d'être né tellement il va souffrir. Il va regretter de t'avoir toucher. Pleure pas, ça va aller." J'engagerais quelqu'un pour lui arracher les doigts un a un à la pince ou n'importe quoi, mais il va souffrir, et ensuite il vivra comme ça et il se rappellera toujours d'une chose : on ne touche pas à ce qui appartient à Abélard Zeus Camille De Belgique Schueller. Théa en fait parti, elle le sait, je le sais, il aurait dû le savoir lui aussi.

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— belaswell

Quand je l'entends me dire ses mots. Je reste stoïque, bouche-bée par les révélations que je viens d'apprendre. Je savais qu'Hadès était un gros con mais,  à ce point ? Certainement pas. « C'est encore pire que tout, ce qu'on a pu me faire subir jusqu'à présent. » Je préfère être honnête avec Abelard, comme je l'ai toujours été avec lui. Même si, j'aurais aimé qu'il m'avoue cela avec plus de tact. Une chose est sûre, la prochaine fois que je croise Hadès il va se prendre une magnifique gifle dans la tronche. Je ne me laisse pas marcher sur les pieds et encore moins par un salopard de son espèce. S'il voulait tellement blesser Abelard par rapport à Zia, il aurait pu trouver une autre option que de se servir de moi. J'en reviens pas. J'ai l'impression d'être le jouet de cette famille et, ça m'énerve à un point inimaginable. Alors, que j'ai fait le premier pas vers Abelard. J'ai essayé de mettre de l'eau dans mon vin. De prendre sur moi, de ne pas piquer une crise. Or, quand je l'ai vu débarquer avec cette fausse blonde j'ai pété un câble. Je lui avoue par la suite que je viens d'hérité de l'argent du vieux avec qui j'ai vécu pendant des années. Une révélation qui ne devait pas plaire spécialement au jeune homme. « Je n'en sais fichtrement rien. Au moins, tu n'auras peut-être plus honte d'être vu avec moi devant les autres. » Du moins je l'espère de tout mon cœur. Par la suite on vient à parler du fait que le beau brun est quelqu'un droit, je me vexe rapidement parce qu'Abelard sous-entendait que je ne l'étais pas. Il vient ensuite à m'embrasser dans le cou, ce fut l'élément déclencheur. Je viens à m'énerver, je le remballe, je m'écarte et je finis par craquer. Je viens à lui avouer la vérité. Une vérité que j'aurais tellement appréciée gardée pour moi. Puisque je ne veux pas être prise en pitié, ni même me sentir faible face aux autres. Pourtant, je suis salie, j'ai perdu toute confiance en moi, je suis souillé de la tête au pied. Voilà mon ressenti. Toutefois, je viens à me perdre dans les bras d'Abelard, je me remets à pleurer comme jamais ... Néanmoins, j'entends les paroles qu'il me dit, ça me touche énormément. Sauf, que je ne sais pas quoi lui répondre, c'est compliqué comme situation. Je n'ai pas spécialement envie qu'il lui arrive des bricoles où même qu'il finit en prison en cause de mon passé avec ce gros con. « Je veux surtout que tu me promettes de ne rien faire qui pourrait risquer ta vie. Je ne veux pas te retrouver à la morgue et encore moins derrière les barreaux Abelard. » Étant donné qu'il est l'homme de ma vie, je le sais maintenant. J'ai été conne par le passé et je m'en rends compte aujourd'hui. Faut mieux tard que jamais, n'est-ce pas ?

I deserve better than this
— Belaswell

Il parait que je suis sadique et diabolique selon certains, parfois le malheur des gens fait mon bonheur faut le dire, détruire une vie, briser un destin, parfois c'est quelque chose qu'on ressent au fond des tripes, de la satisfaction. Les gens pensent qu'il faut être heureux, je ne suis pas vraiment d'accord avec cette philosophie de vie. Oui au moins maintenant Théa pourra plus me dire "Hadès machin" ou je ne sais quoi, maintenant elle le sait, il voulait juste me faire chier. Je vois dans ses yeux et son expression stoïque qu'elle n'en revient pas de mes révélations mais elle va devoir s'y faire parce que je ne vais pas lui mentir. C'est une chose que Théa ne pourra jamais me reprocher, aussi con que je sois, je ne me laisserais jamais faire et encore mieux, je ne lui mentirais jamais. "Remet t'en c'est pas si grave franchement et ça date maintenant." oui elle s'en fiche de mon frère ou non ? Au fond oui c'est peut etre aussi un test pour voir si elle va réagir et ce qu'elle va dire. Je voudrais qu'elle reste de marbre mais elle ne sait pas faire, Théa est expressive en tous cas je sais lire dans ses yeux. Moi pour ma part je suis quelqu'un de discret là dessus, incapable de me montrer trop sympa ou même trop mielleux je suis impassible, parfois on dirait que rien ne me surprends, je ne suis pas tactile, je préfère un peu de distance sauf avec elle. Je veux la tester et je commence à la taquiner un peu engageant même la conversation sur quelque chose de fort déplaisant de base : son moche et le vieillard qui l'entretiennent. Elle ne veut plus en entendre parler et finalement elle a hérité, ca me dérange beaucoup mais ca elle n'a pas besoin de le savoir, qu'est ce qu'elle a fait pour hériter hein ? Je la regarde oui, elle devait etre spécial pour lui mais j'espère pas aussi spécial que ce que je peux m'imaginer. "Non ça devrait aller maintenant on peut trainer ensemble." ouais on peut nous voir en public sans que je n'ai honte. Je la regarde je suis à moitié sérieux quand même, j'ai une réputation à tenir il faut le dire je ne suis pas n'importe qui. Je sais en plus que ça va l'énerver que je dise ça mais elle a tendu le baton pour se faire battre cette fois. Je suis droit, je le dis elle elle se sent visé mais après c'est à elle de me dire si elle est droite ou non. Je me rapproche jusqu'à déposé mes lèvres au creu de son cou pour y déposer un baiser. Une envie comme ça cherchez pas. D'ordinaire Théa est la première a jouer avec moi mais cette fois ce n'est pas le cas, elle s'éloigne, se recouvre et finis par me dire la vérité qui me transperce. Elle souffre et je souffre avec elle. Il l'a violé, il a profité d'elle. J'ai le démon en moi concrètement, je veux qu'il souffre. Je veux voir ses pupilles, ses yeux suppliants, la peur dans son regard, je veux qu'il me craigne, je veux devenir son pire cauchemar. C'est cette idée qui me fait tenir à ce moment là, sinon je casserais tous dans cette putain de pièce bien trop petite et peu meublé. Je regarde autour de moi, j'espère que personne ne va venir. Elle craque, elle pleure, elle ne veut pas m'écouter et elle finit par venir dans mes bras pleurant tous ce qu'elle pouvait. Je lui promets qu'il va souffrir. Elle finit par me dire qu'elle ne veut pas que je risque ma vie. Elle oublie que j'ai l'immunité diplomatique, je pourrais faire n'importe quoi, la couronne me protégera c'est une chose dont je suis sure. "T'en fais pas pour ça." oui qu'elle ne s'en fasse pas, l'autre guignol va souffrir, il va avoir une vie misérable jusqu'à mettre fin à ses jours par lui même voilà ce que je veux, le pousser au bord du précipice et lui donne un léger coup de coude pour qu'il plonge lui même. Je veux voir son regard éteins, je veux qu'il ne vive plus et c'est sure que ca arrivera. Il a fait le plus grosse erreur de sa vie. La vengeance est ce qui m'empêche de sombrer là maintenant face à elle, elle est désemparée et c'est le seul moyen pour moi. Le voir souffrir, voilà la seule chose qui pourra me faire oublier ce qu'il a fait subir à ma Théa. Elle se relèvera je le sais, mais à ce moment précis je sais que sans ça moi je ne pourrais pas tourner la page.