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i wanna be with you, i wanna feel your love, i wanna lay beside you (carmingham ♡)

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Il était là maintenant et, intérieurement, j'espèrais qu'il serait là tout le temps. Était-ce un événement de la sorte qui allait nous soutenir, nous unir envers et contre tous ? J'avais tellement besoin de lui et seulement de lui. J'aurais pu contacter Dante, Drew ou même Kalista mais non. Je ne voulais partager ça avec personne sauf lui. C'était comme ça et pas autrement. Lui et moi. Je me sentais si bien dans ses bras. Comme à Londres. Je ne savais pas comment l'expliquer, comment expliquer cet attachement plus que démesuré en si peu de temps. Mais c'était comme ça. Assise sur le lit de ce grand hôtel, on entend les vagues s'écraser sur la plage au loin. Je soupire, comme si je devais expulser toute la peine du monde. Il est désolé pour mon père. J'étais plus que désolée, anéantie. L'idée de le perdre me tordait le ventre. J'avais déjà perdu ma soeur, je venais d'apprendre que mon père biologique est décédé depuis un certain bout de temps et là... C'est trop pour moi, beaucoup trop. Je ne voulais pas ressentir tout ça mais j'étais incapable de me fermer, de ne rien ressentir. Kyla Carmichael, bombe émotionnelle prête a éclater dans cinq, quatre, trois, deux, un. BOUM. Je lui annonçais la nouvelle, Steve Jobs, père de quatre filles autre que les trois qu'il a déjà. Huit enfants pour un seul homme, rien que ça. Je l'écoutais, me retenant de craquer. Rien ne changeait. Vraiment ? Il était sure de lui là ? " J'aimerais tellement y croire " Mais je savais que tout allait changer, que j'allais clairement pas être la même, sur plein de points. J'avais tellement l'impression qu'on m'avait manqué que ça me faisait mal au ventre. Je l'écoute et ris légèrement, essuyant les larmes qui coulent le long de mon visage. " Oui je suis au moins une reine là... Et une princesse Disney aussi " Soufflais-je en souriant légèrement. " Je comprends pas pourquoi ils ne nous ont rien dit avant... Tu te rends compte qu'il y avait un contrat qui disait que Steve Jobs " Parce que j'étais incapable de l'appeler par son prénom. " ne devait pas entrer en contact avec nous, que c'était juste quand mes parents le décideraient qu'on pourrait le savoir " Ils voulaient nous protéger mais j'étais persuadée qu'ils nous avaient perdu pour de bon. Enfin, pour ce qui concerne Méline parce que moi, ils ne me perdraient jamais. Fidélité quand tu nous tiens. " Ils auraient pu nous le dire quand il est tombé malade ! Le monde entier savait qu'il était entrain de mourir... Ils ne m'ont même pas laissé le choix " Et c'était ça le pire. J'aurais voulu avoir le choix, la possibilité de refuser. Et là, rien... Ils n'ont pas été sincère. Et moi je le suis sûrement trop...
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 C’était un rôle nouveau : l’oreille attentive, le petit ami présent, calin, réconfortant… Ca me changer un peu de celui de boulet qui enchainait les conneries c’était certain. Bien sûr que Kyla et moi avions déjà eu des moments forts en confidences et révélations… Quand je lui avais parlé de mon frère, quand elle avait évoqué ses sœurs, quand elle m’avait parlé de son ex… Mais là c’était différent. L’annonce, le secret venait d’être fraichement révélé, elle était complètement anéanti, et c’est avec une certaine appréhension que je pesais chacun de mes mots, me risquant quand même à une légère note d’humour, lui soutirant ainsi un faible sourire. « Kyla ton père est peut être malade, tu veux le ménager certes, mais confronte le, confronte les lui et ta mère à leur mensonge. Exige des explications justement, sur ce qui a fait qu’ils ont tenu ainsi à garder le secret… » Avais-je raison de la pousser à rechercher la vérité ? Peut être que ça allait être pire ensuite ? Peut être qu’elle n’aurait pas des parents Carmichael désolés et se repentant, confessant leur peur de perdre l’amour de leur fille comme justification pour ces années de silence, peut être qu’elle aurait face à elle une vérité bien plus horrible et des magouilles d’argent… L’argent était au cœur de tout de nos jours… Bref, je ne connaissais pas du tout papa et maman Carmichaos, n’ayant eu à faire qu’à ces deux tornades de sœurs, alors je ne savais pas expliquer leur choix, tout ce que je sus dire ce fut : « J’aurais aimé avoir la chance d’entendre les explications de mon père… » Quand il était décédé, que son testament avait révélé tout le scandale de son adultère et de l’enfant qui en était issu, j’aurais aimé le confronter, l’entendre, le questionner. Kyla n’avait peut être plus l’opportunité de connaître son père biologique, mais elle avait encore ses parents pour obtenir les explications et excuses qui s’imposaient.  
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J'avais peut être pas besoin de beaucoup plus que ça pour le moment : lui et son oreille attentive. C'était une première mais j'aimais ce chemin qu'on prenait tous les deux. Unis et plus séparés. Je savais bien qu'il allait devoir repartir sur Cambridge pour la rentrée et que moi, j'allais rester ici pour régler tous ces soucis, pour apporter du soutien à mon père et tout ce qui va avec. On allait encore se séparer alors je profitais de ce moment, me glissant dans ses bras, comme si ces derniers pouvaient me protéger de tous les maux du monde. Je l'espère, vraiment. Genre vraiment vraiment. Ce serait tellement bien, tellement parfait. Je l'écoute et baisse le visage. Je vois très bien ce qu'il veut dire mais je ne sais pas. Est-ce que ça changera quelque chose ? Y avait un contrat donc je suppose que c'était pour le respecter. Mais qui l'a écrit ce putain de contrat ? Bonne question... " Ils vont me dire que c'était pour nous protéger, parce que c'était un homme connu, qu'il était marié et avait des enfants et au final... On est les rejetons illégitimes " Je soupire fortement. Mais visiblement, le contrat qui unissait mes parents à mon géniteur était aussi signé par sa femme. Elle était au courant, elle a du accepter. Je ne sais pas. Et je ne sais même pas si j'ai envie de savoir en fait. " T'imagines la pression médiatique quand ça va se savoir... " À moins que la sortie prochaine du nouvel iPhone étouffe l'affaire et ça, ça serait vraiment pas mal. Je n'ai aucune envie de voir des gens fouiller dans ma vie, dans mon passé et tout ce qui va avec. Je l'écoute et grimace légèrement, serrant mon étreinte autour de son torse, embrassant sa joue. " Tu l'as pris comment quand t'as appris que t'avais un demi frère ? Tu détesterais autant Wade s'il avait pas récolté le fric de sa soeur ? " Imaginons que ça sorte comme ça mais que Wade n'ait rien touché. " T'en veux à ton père de ne jamais vous avoir parlé de sa seconde vie ? " On peut en vouloir à son père à ce point ? Moi, j'en serai incapable, je le sais bien. Je ferme les yeux quelques secondes et soupire légèrement. " Si tu veux pas en parler, je comprendrais... C'est juste qu'à l'heure actuelle, j'arrive pas à leur en vouloir, à les détester tu vois... Je les aime tellement " Et j'ai le pardon facile, encore plus fidèle qu'un labrador...
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« Tu peux pas en être sûre sans leur avoir demandé… Et je pense que t’as besoin de savoir. » Il y avait eu assez de non dits, et dans son cas, elle avait l’occasion d’en soulever quelques uns. Son père était malade, certes, mais il était toujours là, bien présent pour justifier ses secrets et ses silences. Sa mère aussi était là. Il fallait peut être saisir cette opportunité de tout mettre à plat. Au fond de moi, je savais que j’aurais donné n’importe quoi pour avoir cette chance, pour pouvoir confronté mon père à ses erreurs, pour qu’il puisse me servir un semblant de justification, d’explications quant à sa liaison avec la mère de Forbes et ce gosse illégitime, et surtout sur la façon dont, en le couchant sur son testament, il l’avait projeté dans nos vies, les faisant un peu voler en éclat au passage. Comme si perdre son père ne suffisait pas. Il était un peu mort deux fois ce jour là. Exit l’image de père parfait et irréprochable qu’il avait tant peaufiné et travaillé de son vivant. Quand Kyla évoqua la pression médiatique, je soupirai : « J’imagine très bien. » Propulsé huit ans en arrière dans ma tête, je les revoyais, les flashs de ces vautours à la sortie du bureau du notaire, espérant recueillir un cliché de ma mère effondrée, ou encore les confessions outrées de ma sœur ou les miennes… Des vautours… « Ils se régalent du scandale, ils ne recherchent que ça… » sifflai-je avec un petit air dégoûté. « On a beaucoup souffert, ma mère, Victoria et moi, des pressions qui pesaient sur notre famille… » J’ajoutai ensuite, pas pour l’excuser, mais peut être juste pour que Kyla la comprenne mieux, comprenne mieux ses réactions : « Victoria tout particulièrement. C’est pour ça qu’elle a à cœur de toujours protéger mon image. » Si moi, le roi de la provoc, j’avais joué les malins en flirtant régulièrement avec le monde de la débauche, bordels, maisons closes, prostituées ou escort de luxe, ma jumelle, elle, avait toujours eu une ligne de conduite quasi irréprochable, effaçant mes frasques derrière moi à coup de gros billet. « J’aimerais jamais Wade, je ne l’aurais jamais aimé, avec ou sans ces histoire d’argent… » Mais comme je sentais que Kyla se comparait au bâtard pour le coup, je replaçais les choses dans leur contexte : « Mais ton histoire n’a rien de comparable. Mon père a trompé ma mère. Dans ton cas, il s’agit d’un don de sperme, d’une procréation médicalement assistée, consentie et voulue par ton père et par son meilleur ami. » Rien à voir donc. Les gosses Jobs allaient peut être un peu la jalouser, mais ça aurait été différent si il y avait eu adultère. « Ca reste tes parents c’est normal que tu ressentes ça… » Est-ce que moi j’aurais été capable de pardonner à mon père ses erreurs ? « J’imagine que j’aurais aimé l’entendre à ce sujet en tout cas, comprendre son point de vue… Et c’est pas faut d’avoir essayé de le faire. » Mon attitude, mon côté volage, tout ça c’était un peu aussi pour suivre ses pas, le comprendre, inconsciemment.  
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Devais-je vraiment leur demander le pourquoi du comment ? À quoi est-ce que ça servirait ? Et puis, je me mettais dans ses chaussures quelques minutes. Je ne voulais peut être pas savoir le pourquoi du comment maintenant mais qu'en serait-il dans six mois, un an ? Qu'en serait-il quand j'aurais envie, besoin de savoir et qu'il n'y aurait peut être plus personne pour me répondre. Il avait raison, je devais leur demander, je devais aller au fond des choses mais je ne savais pas si j'en étais capable. C'était la fin des mensonges, certes, mais est-ce que ça irait plus loin ? N'allaient-ils pas me mentir droit dans les yeux ? Non, ils ne sont pas comme ça. Enfin, c'est ce que je crois. Je remets tout en question depuis que je sais, comme si toute ma vie avait été un long et doux mensonge. Mais j'avais surement besoin de tout savoir en cas de questions, pour ne pas passer pour l'ignarde de la famille, celle qui ne comprenait rien du tout, qui était balancé là dedans. Après tout, c'était le cas. J'allais être jeté dans ce monde, dans cette pression médiatique comme on balançait les prisonniers dans les cages aux lions à l'époque des romains. Je l'écoute et mon visage se ferme légèrement, je baisse le visage. Mon histoire lui rappelle trop la sienne et je m'en veux. Mais bon, c'est une manière d'en apprendre plus de lui et d'apprendre aussi comment je risque de réagir, de voir comment il a réagi. Victoria l'a très mal vécu et je n'ai aucun mal à comprendre comment. Surtout avec quelqu'un qui s'en fiche, qui réagit.... de manière tout sauf contrôlée. Méline. " Et pour elle, pour ta mère t'as jamais voulu te calmer ? " Parce que c'était la famille, non ? Moi, je le voyais comme ça. J'étais prête à me terrer dans un trou de souris pour eux, pour ne pas leur faire du mal. Et je ne savais pas si c'était l'idée du siècle. Loin de là, surement. Mais de toute façon, tout ce que je faisais était une terrible idée. J'avais l'impression d'enchaîner les erreurs, de les cumuler et de les multiplier. Cette distance, ma réaction excessive, venir ici et me fermer dans un silence déstabilisant face à mes parents. Je l'écoute et acquiesce. Oui, il y avait un adultère de son côté et rien du mien mais est-ce que ça changerait quelque chose ? On a rien touché à sa mort, on nous a laissé dans l'ignorance et là, cas de conscience ? Je ne sais pas... " Ses enfants doivent penser la même chose de nous tu sais... en plus on est quatre " Enfin, on était quatre. Et c'était ça le pire. Chaque personne avait ses raisons de faire ce qu'elle faisait mais les enfants ne les comprenaient pas. " Ex escort et enfant illégitime. T'as chopé le gros lot avec moi " Lâchais-je en souriant légèrement. Je soupire. Je n'arrive pas à leur en vouloir et pourtant... Pourtant tout était différent maintenant. " Je crois que tu pourras jamais comprendre Cole... Tu savais pas ce qu'il se passait dans la tête de ton père et comment il en est arrivé là " Soufflais-je en lui adressant un léger sourire. " Si tu tiens de lui pour tes excuses bidon, je pense qu'il t'aurait dit qu'il a été accroché au lit par une folle furieuse qui l'a drogué et hop " Je le taquine légèrement. " Je pensais que je pouvais leur faire confiance sur tout, que je ne devais jamais douter d'eux et là... Je remets tout en question " Et quand on a pas un moral assez stable, c'est clairement pas facile. Ma petite vie avait volé en éclat hier. " Moi qui pensait que ça n'arrivait qu'aux autres... " Belle blague. Non, ça n'arrive pas qu'aux autres.
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 Je partageais avec ma petite amie ma vision de sa situation familiale chaotique, elle devait être perdue, certes, mais elle avait sur les trois protagonistes impliqués dans l’affaire, deux qui étaient toujours là et en mesure de répondre à ses questions. Elle resta un instant silencieuse, songeant surement à ce que je venais de lui conseiller. Je ne pus m’empêcher de faire le parallèle à ce que j’avais moi même vécu, lors du décès de mon paternel, surtout lorsqu’elle évoqua ces vautours de journalistes qui risquaient de se jeter sur l’affaire comme sur un os à ronger.  Elle baissa les yeux un instant, et je réalisais que mon soupir et l’expression tracassée de mon visage l’avaient surement fait culpabiliser. Je me décrispais pour reprendre donc : « Hey, t’es pas toute seule là dedans, je serais là avec toi… Je sais bien dompter ces bêtes là désormais… » tentai-je de la rassurer au sujet des médias, mes doigts se glissant tendrement dans les siens. Je profitais d’ailleurs de la discussion pour jouer les avocats de la défense de Victoria, comme si donner l’explication de ce que l’on avait traversé à la découverte du testament de notre père, mon attitude et ma tendance à la débauche ensuite, et ce qu’elle avait du faire pour me couvrir et étouffer mes frasques, comme si tout ça allait excuser sa méfiance envers Kyla. La demoiselle me demanda alors si je n’avais jamais envisagé de ma calmer, pour Vic, pour ma mère. « J’ai presque failli épouser une aristocrate allemande, catho, vierge et coincée. Je pense que si j’ai fait des efforts. » Et thanks god, ces fiançailles étaient tombées à l’eau. Parce que même si j’avais magouillé dans tous les sens pour essayer de m’en dépêtrer, je savais au fond de moi que j’aurais fini par obtempérer et respecter les souhaits de ma mère. « Mais comme au mariage en septembre on pourra s’afficher officiellement ensemble dans ma famille, elle abandonnera toutes ces idées farfelues de fiançailles arrangées. » rassurai-je, pour ne pas que la jeune femme aille s’imaginer que ce genre de mariage de convenance était encore d’actualité. Je donnais ensuite ma vision des choses à Kyla : si moi j’aimerais jamais Wade, pour moi leur situation était différente. Les enfants Jobs auraient surement moins ce goût de trahison. Leur père avait été vidé popole dans un tube à essai en laboratoire pour que son meilleur ami puisse fonder une famille… Mais ma petite amie redoutait néanmoins la réaction de la célèbre famille. Surement que quand l’argent s’en mêlerait, les choses se corseraient… « Arrête Kyla… » J’attirai doucement sa main, toujours tenue dans la mienne, jusqu’à mes lèvres pour embrasser doucement ses doigts. « Carmichael ou Jobs, ça ne change rien…» Au final, elle restait une future madame Smythe-Wildingham non ? Je lui fis part de mon vécu, de ma propre expérience, avouant que pour ma part, j’aurais aimé confronter mon père au sujet de ce scandale, entendre sa version, écouter ses explications, et Kyla suggéra alors quelques hypothèses, si tant est qu’il était aussi doué que moi dans le domaine des excuses bidons. « Hey ! » répliquai-je en prenant une expression faussement vexée. « Mes excuses ne sont pas bidons. C’est vrai que ce n’est jamais ma faute. » Tête d’ange. Elle reprit alors sur son sentiment de trahison, le fait qu’elle avait perdu confiance en ses propres parents, et mes bras s’enroulèrent alors autour d’elle pour l’enlacer doucement en soufflant : « Tu veux qu’on fasse quoi pour te changer les idées ? »  
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C'était sacrément difficile pour moi tout ça... J'avais toujours vu mon père comme le seul et unique homme de ma vie, comme celui qui ne pourrait jamais me décevoir et j'étais plus que déçue sur le coup. Enfin non, ce n'était pas de la déception mais du choc, un choc terrible que je n'étais pas prête d'oublier. Je leur avais toujours fais confiance, ne voyant que le 'mieux' en eux. Ce sont mes parents, ils ne peuvent pas me faire de mal. Mon dieu... Et Meline... Elle et son caractère de cochon, elle et ses grands mots. Ça ne l'étonnait pas parce qu'elle avait eu une putain d'enfance et d'adolescence de merde avec Delilah alors que Sav et moi, on avait toujours été chouchoutée parce qu'on suivait les règles tout simplement. Sainte Kyla, suivant les règles comme un chemin de croix, cherchant toujours le meilleur moment pour faire le moins de mal possible, quitte à souffrir. Mais là, ils avaient choisi le pire moment. Il était mort et mon père était visiblement sur la scelette. Il fallait que je profite de lui mais là, quand je le voyais, je ne voyais que le mot 'MENTEUR' affiché en néon sur son front. Je devais faire avec et les questionner tant qu'il est encore tant. En tout cas, c'est comme si j'avais toute la peine du monde sur les épaules. Je ne voyais que mon chagrin et ma peine et Cole avait beau vouloir me rassurer, me montrer que mon cas n'avait rien du sien, je ne cessais de me comparer mentalement a Wade. J'étais là bâtarde dans l'histoire, l'enfant hors mariage. Consentis, certes. Mais en même temps, Wade aussi était surement consenti. Mon estomac se retourne et je le regarde. " Parce que ta mère t'as forcé... Mais c'est pas grave, je suis là pour te remettre dans le droit chemin " Soufflais-je avec un leger sourire sur le visage. Étais-je capable de tout ça ? " Je vais lui faire le plus bel effet qu'aucune femme ne lui ait fait... Elle va être folle de moi " Riais-je simplement. Je la connaissais vaguement et on avait bien accroché toutes les deux. En espérant que sa mère ne changerait pas d'avis parce que je passais d'amie des Petrov à petite amie de son fiston chéri. Ses lèvres sur ma main. Je relevais légèrement le visage et lui adressais un léger sourire. " Je suis une princesse Disney maintenant. Parce que ouai, j'ignorais qu'il possédait une bonne partie de Disney-Pixar... Tu vas devoir les regarder avec moi maintenant " Riais-je légèrement pour me détendre, en regardant son visage, histoire de ne pas louper sa réaction à deux millions. Ça allait me remonter le moral ça. Et puis je devenais taquine, loin d'avoir envie de passer mon temps avec lui à pleurnicher même si je savais que l'émotion de cette découverte allait me tomber dessus a un moment ou a un autre du week-end... " C'est souvent de ta faute Cole parce que tu joues avec le feu " Lâchais-je avec un sourire avec que ses bras se glissent autour de moi. " Je vais te faire jouer avec un glaçon comme au Chili tu vas voir " Soufflais-je avant de me blottir contre lui. " J'ai réservé une table pour 21h près de la plage... Ça te gêne si on reste là un peu ? Allongés dans le lit ? " J'avais besoin de ça, de tendresse et d'affection. " Je parle pas de dormir " Soufflais-je avec un sourire en coin. Peut-être que c'est ce que je voulais aussi... Le retrouver, retrouver l'homme que j'aimais et faire l'amour avec lui. Pas de baise, pas de sexe, l'amour.
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 C’était étrange comme cette terrible situation dans laquelle se retrouvait Kyla résonnait comme familière en moi, me faisant me projeter quelques années auparavant, quand les propres squelettes de ma famille avaient été sortis du placard. Etalés au grand jour, à la presse, les frasques de mon père et la découverte de son batard de fils, ça m’avait particulièrement remué, et m’avait poussé à faire des mauvais choix, à adopter une mauvaise attitude pour la suite… Mais j’avais été prêt à me ranger, lorsque, couteau sous la gorge, ou plutôt bague au doigt, ma mère m’avait poussé à me fiancer à cette coincée d’Ombeline. L’évoquer maintenant, à posteriori, ça nous ferait presque sourire, tous les deux, alors qu’à l’époque ça avait été à deux doigts de nous séparer complètement, cette histoire de mariage arrangé. Kyla me souffla alors qu’elle était désormais là pour me remettre sur la bonne voie. Mes lèvres vinrent alors se poser sur les siennes alors que son rire s’échappait après m’avoir assuré qu’elle ferait une bonne impression à ma mère. « Je ne vois pas comment il pourrait en être autrement… Je ne vois pas comment elle pourrait ne pas t’aimer… » murmurai-je ensuite, tout contre ses lèvres. La preuve, moi, j’avais essayé. J’avais tenté de me détacher, j’avais essayé d’étouffer tout ça, et le résultat était là : même après cette période d’éloignement j’étais toujours accro. Au point de m’illustrer dans le domaine tout nouveau pour moi de l’exclusivité et de la fidélité. J’attrapai sa main ensuite, guidant ses doigts jusqu’à ma bouche pour y déposer un baiser alors qu’elle affirmait son statut de princesse Disney. Et la sentence qui allait avec : tous les films Disney avec elle. « Si on peut faire un remake façon Cole à chaque fois, j’accepterais sans grogner promis… » approuvai-je alors avec un petit sourire pervers. Notre tendance à détourner les grands classiques de l’enfance façon salace n’était plus à prouver. Mais de la retrouver joueuse, et souriante, ça faisait du bien… Sauf que l’on dériva sur ma fâcheuse tendance à jouer avec le feu et j’haussai les épaules : « Tant que je ne me brûle pas, il n’y a pas de mal si ? » Un jour, j’allais me cramer, c’était certain. N’est pas pyromane qui veut. Dans mes bras, elle me promit alors un nouveau jeu comme au chili, avec un glaçon, et un petit rire s’échappa de mes lèvres. « J’ai pas envie que tu me rafraichisses là… » Surtout après cette longue séparation loin d’elle. Mon étreinte se resserra un peu sur elle, doucement, néanmoins prêt à lui laisser les rênes de la suite de nos retrouvailles. Parce qu’elle avait peut être envie de sortir, peut être envie de dormir, d’aller se balader… Bref qu’importe le programme, même si j’avais terriblement envie de l’embrasser avec passion et de lui retirer un à un chacun de ses vêtements pour retrouver son corps et sa peau contre la mienne, j’allais me tenir et respecter ses envies. Elle m’expliqua alors avoir réservé une table, plus tard dans la soirée, ajoutant qu’elle voulait qu’on reste ici. « Ca me va… Ton programme sera le mien. » Et quand elle ajouta son –allongés dans le lit- mes lèvres s’étirèrent à nouveau d’un léger sourire… Mes yeux pétillèrent lorsqu’elle termina sa phrase en clarifiant qu’elle n’envisageait pas de dormir. « Ha oui ? Et tu veux faire quoi d’autre dans ce lit ? Regarder des dessins animés ? » m’amusai-je à la questionner, jouant celui qui ne comprenait pas. 
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Il ne voit pas comment sa mère ne pourrait pas m'aimer ? Et bien moi, j'avais bien des idées... Et des idées plus réalistes les unes que les autres. Si Victoria avait tout balancé à sa mère, j'étais grillée et adieu les "merveilleuse Kyla" et bonjour aux regards en biais. Mon dieu, il ne manquerait plus que sa mère me compare à la femme que son défunt a mis enceinte... Je perdais presque mon calme légendaire et la confiance que j'avais en moi pour ce coup. C'est pas possible, il ne faut pas que je panique. Victoria n'a peut être rien dit et peut être qu'Elizabeth ne gardera qu'un bon souvenir de moi. Étrangement, c'est ce que je souhaite. J'aimerais tellement me faire accepter mais ça risque d'être difficile, terriblement difficile... Plus que je ne pourrais l'imaginer. Sourire aux lèvres quand il embrasse ma main, je lui parle de regarder tous les dessins animés produits par Disney-Pixar et je sais que ça ne l'enchante pas. Je le regarde en fronçant les sourcils quand il parle de les faire à la façon Cole. " À la façon Cole et Kyla " Soufflais-je comme pour réclamer que ces Aladdin et Jasmine, Pocahontas et compagnie ne soient que pour moi, à jamais. J'avais envie d'être son exclusive, la seule qui lui ferait un quelconque effet, la seule qui... ferait battre son coeur. Je l'aimais à ce point, prête à tout renoncer pour lui, quitte à renoncer à mon bonheur. Je pensais à ce Disney qui m'avait toujours terriblement plu... Mulan. Cette femme qui se bat pour son père, qui tombe amoureuse d'un homme qui finit par la renier quand il apprend qu'elle lui a menti. Mais il revient parce qu'il l'aime, parce qu'on ne rencontre pas une fille comme ça à chaque dynastie. Allais-je être la Mulan de son Chang ? La belle blague. Mais en même temps... " Et quand tu te brûleras, il sera trop tard et la brûlure sera impossible à cacher " Soufflais-je simplement en haussant les bras avant de parler de glaçons. " ah bon ? Pourtant on est à Miami, ton petit corps a du se réhabituer au climat londonien " Soufflais-je en l'embrassant tendrement avant de me blottir dans ses bras. J'avais tellement envie de tout oublier, d'oublier la souffrance que je ressentais, la trahison palpable de la part de mes parents. Je voulais arrêter de penser et rester avec lui. Non Miami, ce n'est pas aujourd'hui que j'exhiberais Cole Smythe-Wildingham. Je le garde pour moi, égoïste que je suis. Je m'allonge sur le lit, le dos et les cuisses sur le matelas et l'attire avec moi. " Non pas de dessins animés " Pas maintenant, du moins. Je me glisse contre lui et embrasse ses lèvres. " Je veux que tu m'embrasses jusqu'à perdre haleine " Soufflais-je en embrassant la ligne de sa mâchoire jusqu'à atteindre son oreille et souffler, à voix basse " Et qu'on fasse l'amour jusqu'à ce que tout l'étage veuille nous faire virer " Je souris contre son oreille et glisse une main sur son torse.
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  Je tentais de la rassurer, confiant sur l’entente qui allait forcément s’opérer entre ma mère et elle. Oui, bon, petit détail, il faudrait taire cette histoire d’escorting, certes, mais hormis cela je ne voyais pas ce qui pourrait empêcher ma mère d’apprécier la jeune femme. Evoquant ensuite son nouveau statut de princesse Disney, c’est donc de la mission de regarder tous les dessins animés du même nom que j’écopais. Peut être que ça pourrait être bien, même si je ne gardais pas un excellent souvenir d’insectes et compagnie, peut être que ça serait différent, si on s’essayait à un remake coquin à chaque film. « A notre façon oui… » confirmai-je, sourire qui en disait long aux lèvres et regard pétillant. « Enfin, si on se rappelle encore comment on fait, après tout ce temps on est peut être rouillés… » plaisantai-je ensuite pour souligner la trop longue période d’abstinence dans laquelle nous nous trouvions. Elle souligna le fait que j’aimais un peu trop jouer avec le feu… J’objectais dans que je ne me brûlais pas, tout allait bien. On était dans l’imagé mais l’idée était là, et le verdict avait beau se faire dans la bouche de Kyla à coup de métaphore, le message était évident et quelque peu menaçant. Joue, joue donc mon coco… Jusqu’à la fois de trop. J’étais prévenu… Mais je préférai rebondir sur les glaçons, répliquant que j’envisageais une ambiance plus réchauffée… « Peut être que je suis habitué au climat londonien, mais je ne serais pas contre avoir encore plus chaud… » Fais monter un peu plus la température Kyla, parce que clairement ce n’était pas de la météo de Miami que je parlais. Et lorsqu’elle m’entraîna vers le matelas, me soufflant que ce n’était pas des dessins animés qu’elle comptait nous occuper au lit, je sus qu’on était finalement sur la même longueur d’onde. Et ce qu’elle me susurra ensuite n’avait plus rien de sous entendu, on passait à l’explicite et ça me plaisait. La sentir contre moi, son souffle sur ma peau… « Tu ne vas pas avoir besoin de me le réclamer deux fois… » Et aussitôt après ces mots, j’exécutais son ordre, là au dessus d’elle. Ma bouche épousait la sienne avec douceur d’abord, alors que l’une de mes mains s’échappait pour venir relever lentement sa robe, caressant sa cuisse… Mes lèvres ne s’écartèrent des siennes que pour reprendre mon souffle, laissant échapper un : « Tu m’as tellement manqué… » Avant de venir de nouveau s’abreuver de ses baisers, mes doigts remontant un peu plus encore…  
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