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— Belaswell

Les magazines poeples racontent souvent de la merde mais j'avoue que sur moi ... c'est rarement le cas, j'ai le droit aux gros titres "Le Prince Zeus se dénude" ou encore "La foudre de Zeus s’abat sur un photographe" moi ça me fais rire mais mes parents rient bien moins il faut le dire, ils sont énervés, énervés que je fasse la une des magazines que le futur héritier fasse de la merde comme dirait mon père. Mais je m'en fiche. Quoi que je fasse on parlera de moi à cause de ma vie de mon pédigré donc autant faire les choses en grand et ne pas me prendre la tête. A cette soirée je m'engueule avec Théa une beauté à l'état pur parce que de un je ne l'ai jamais rappelé et j'ai filtré ses appels et de deux parce que je suis accompagné ce qui déplait fortement à la demoiselle. Elle me cherche, elle me dit qu'elle préfère les vieux, ça m'énerve de penser que l'autre vieillard puisse la toucher. Je lui demande si elle est jalouse et elle le dit enfin, oui elle est jalouse de Cassandre et de toutes les autres filles que je peux voir mais surtout de me voir à son bras là maintenant. "Tu devrais pas" oui voilà ce que je lui réponds rapidement après ce qu'elle me dit. Oui elle devrait pas, c'est elle qui est magnifique c'est tous. "Ah tout à fait oui mais c'est dommage" oui elles auraient pu bien s'entendre même si franchement je kifferais pas que Cassandre parle de trucs persos à Théa ca me mettrais mal à l'aise. Oui Cassandre sait quelques trucs mais rien d'extraordinaire. Par contre son moche de cavalier lui il me sort par les yeux avec ses airs de coincé. On parle rapidement de son père, ce qu'il a fait. Même ma famille à perdu de l'argent à cause de lui mais on s'en remet. Je la regarde et reprends "T'aurais voulu faire quoi ? T'étais pas au courant, ta mère peut être mais toi" Toi t'étais trop innocente pour savoir ce qu'il foutait oui elle n'y était pour rien. "Rien n'est impossible dans la vie surtout quand on a de l'argent, sache le." et là elle m'embrasse, un baiser tendre, intense si bien que je me perds dedans. Je finis par lui demander ce qu'elle veut, c'est à ne plus rien comprendre. Elle me veut moi, mais pourquoi pas avant ? Cassandre débarque et me dis que mon père est là ça me perturbe, il faut que j'y aille il va déjà péter un gros câble. Je lui attrape le bras restant impassible "Ne me traite pas de toutou. Bien sure qu'il n'y a pas que lui il y a même bien plus important mais c'est comme ça. Tu m'embrasse, tu me dis que tu me veux après m'avoir fichu un rateau, tu veux quoi à la fin ? Qui me dis que dans deux jours ce sera pas le même bordel ?" je la regarde avant de lui dire qu'il y avait une chose de sure. Oui Théa est à moi. A moi et à personne d'autre. Elle le prend mal et je me prends une seconde gifle dans la tête, l'autre joue certes mais ce n'est jamais agréable comme sensation. Je l'écoute alors que Cassandre selon ses dires n'attends qu'une chose c'est d'ouvrir les jambes et je vois trois pétasses par semaine, je reprends avec un léger sourire "Toi t'as lu closer cette semaine" oui une double page avec toutes les filles auprès de qui je suis apparut depuis le début de l'année. Elle s'enfuit, j'allais lui dire que je m'en fiche des autres, qu'elle est à moi parce que je la veux. Je sors des toilettes torse nue, tout le monde me regarde, ca fait son effet faut le dire. Je pars vers mon père la regardant du coin de l'oeil jusqu'à ce qu'elle embrasse l'autre moche. Je suis énervé, je ne peux pas me contenir. Je prends sur moi c'est alors que quelqu'un demande à mon père si nous avons des nouvelles de Tutur. S'en est trop. Elle et ça c'est trop me demander. Je me retourne et met une droite au gars en question tandis que les gardes du corps de mon père se précipitent pour me tenir face à mon père stoïque. "Lachez moi. Il croit quoi lui ? Oui bien sure qu'on a des nouvelles, on le laisse exprès crever loin de nous ! Lacher moi !" mon père me regarde reprenant "Zeus arrête de te donner en spectacle tout le monde nous regarde et tu fais quoi fringué comme un gigolo ?" et alors hein ? Le regard noir je le foudroie n'ajoutant rien.

Je n'accorde que très peu d'importance à ces torchons que vend la presse à scandale. Ça ne m'intéresse pas du tout. Surtout que j'ai déjà connu ça. Quand j'ai tout perdu à l'époque, j'avais eu le droit à la couverture avec un gros titre qui anéantissait mon nom de famille. De quoi bien vous ridiculiser dans tous les sens du terme. Je n'osais même plus sorti de ma chambre pour éviter qu'on me balance des âneries à la tronche. J'en ai pleinement souffert de toute cette médiatisation sur ma vie. M'bref. J'avoue que je suis jalouse après qu'il m'ait demandé une réponse mainte et mainte fois. « C'est plus facile à dire qu'à faire. » On ne contrôle pas la jalousie, elle vient d'un seul coup sans que vous vous y attendiez. « Dommage dans quel sens ? » Puisque si tu crois que je m'entendrais un jour avec elle. Tu peux te mettre le doigt dans l’œil. Jamais je serais amie avec cette femme. On parle de mon père. Un sujet qui est tabou dans la nouvelle vie que je me suis construite. « J'aurais tout fait pour éviter ce désastre ... » Je lui aurais fait la morale, je lui aurais foutu une gifle. En vrai, j'aurais tout tenté pour qu'il arrête ses conneries. « L'argent n'achète pas tout. » Je suis bien placé pour le savoir. Je l'embrasse, il répond à ce baiser tendre et intense. Je ne m'y attendais pas du tout. Je dis que je le veux lui. Il ne comprend pas pourquoi je dis ça maintenant. Alors, qu'il y a quelques mois je n'en voulais pas. Puis Cassandre débarque dans la pièce. Il manquait plus qu'elle pour tout foutre en l'air. J'allais m'échapper quand il m'attrape le bras. « Je te traite de la manière dont je le souhaite. Ce n'est pas l'impression que tu donnes. J'ai déjà répondu à cette question, il me semble. » Dis-je en lâchant mon bras de son emprise. Il m'avoue que je suis à-lui. J'en reste bouche-bée. Je ne suis à personne, étant donné qu'il est incapable de vouloir me revenir. Je ne resterais pas ici à attendre qu'il daigne changer de comportement. Je lui fous une deuxième gifle avant de rejoindre la salle commune de la soirée. Je m'approche de Julian pour finalement l'embrassé quand j'aperçois Abélard arrivait dans la pièce torse-nu. Je commençais à partir avec Julian quand j'entends le père d'Abélard lui criait dessus et les paroles que le damoiseau employé auprès d'un homme. Finalement, je me rétracte ... je me précipite vers Abélard et je fais front au père De Belgique-Schueller. « C'est de ma faute s'il se retrouve habillé de cette manière ! Alors, si vous devez vous en prendre à quelqu'un c'est à la fille pauvre qui vous servait de belle-fille à l'époque. » Sur le moment, je m'en contre fichais de me mettre le vieillard et son fils à dos. Ni même que les gens me critiquent sur mon passé et ma présence à cette soirée mondaine. Pour l'instant, ma préoccupation était Abélard. Même s'il me mettait à bout que je faisais de mauvais choix dans mes actes, il restera quoiqu'il arrive ma priorité dans la vie. Quoiqu'on puisse dire, quoiqu'on puisse faire.

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Les gens me demandent souvent pourquoi je ne parle pas de ce que je ressens, tous simplement car je n'en ai pas envie. J'ai toujours été comme ça, je préfère faire l'idiot devant des photographes que de donner une interview sur la disparition de mon frère, je ne vais pas monayer l'horreur de ma vie. Tutur avait 7 ans, j'étais avec lui et Ana et il a disparut tous ça parce que j'ai été chercher une chemise, une seule pour qu'il l'essaie. La veille de Noël il allait être un beau gosse avec et non, pour le moment plus rien. Les magasines ont fait la une de l'info ils l'ont relayé dans le monde et moi je suis resté le même. Ils se faisaient de l'argent sur le dos de mon frère et c'était hors de question que je le fasse. Ils m'ont même traité de mauvais frère ou je ne sais quoi, je m'en fiche ils ne sont pas importants pour moi. Elle a l'aire jalouse de Cassandre, je ne comprends pas vraiment pourquoi. Elle est plus canon elle le sait mais non elle est jalouse que ce soit elle à mon bras apparemment. "Ca c'est sure." je la regarde avant de souffler ma coupe de champagne alors qu'elle me demande pourquoi c'est dommage, quitte à l'énerver autant le faire à fond surtout que sa question est bête elle sait que je parle d'une amitié "Beh pour un plan à trois si vous vous entendez pas ça va être compliqué" elle va s'énerver ça va être drole même si je pense que je suis à ça d'une nouvelle gifle. Je hausse les épaules et reprends "Je pense qu'on a assez de la merde qu'on fait soit même pour s'occuper de celle des autres." oui je ne sais pas, elle n'aurait pas pu changer son père, il aurait arnaqué les gens autrement je ne sais pas. Je la regarde, l'argent fait le bonheur c'est une chose de sure, enfin pas tant que ça, je suis comme qui dirait jeune beau riche et lucide et c'est le détail qui fou tout en l'aire mais on a jamais entendu un pauvre dire qu'il est heureux ou qu'il ne voudrait pas plus de moyens. Tout à un prix, je le pense sincèrement en tous cas. "Tout à un prix, il suffit de trouver le bon" oui tous s'achète c'est tous. Dans les toilettes elle m'embrasse avec intensité, tendresse, ça me rend fou si j'avais pu je serais resté là à simplement l'embrasser et d'un coté c'est flippant quand même. Moi Abélard qui ne veut pas décoller une fille. Mais je le fais. Cassandre arrive, casse encore plus l'mbiance même si elle me sauve dans un sens, on aura pas besoin de parler maintenant si ? Je la regarde alors qu'elle me traite de toutou à son papa je lui attrape le bras énervé par ses propos. "T'as oublié le respect dans la pauvreté apparemment. et t'as pas été assez claire il faut croire." oui j'en sais rien moi. Je lui dis elle est à moi mais je me mange une gifle alors qu'elle m'engueule et finit par partir. Je retourne dans la salle torse et je la regarde du coin de l'oeil, elle embrasse son moche, ça me dégoute j'ai envie de tous casser. La goute d'eau qui fait déborder le vase c'est quand quelqu'un parle à mon père d'Arthur si on a des nouvelles. Je lui mets une patate et je suis rapidement stoppé par les gardes du corps de mon père tandis que je m'énerve davantage oui pour qui il se prend ? Mon père m'engueule et me foudroie du regard, ça m'énerve encore plus je le regarde noir, il n'a pas à laisser les gens parler de Tutur comme ça. Et voilà que Théa débarque histoire de prendre ma défense tel un preux chevalier. Euh ... elle a oublié que c'était elle la fille ? Tout le monde nous regarde et je reprends plus fort "Allez y appelez les magazines faites vous de l'argent j'attaquerais chacun de vous en justice jusqu'à le dépouiller." oui pour qu'ils arretent tous là. Je me tourne vers Théa reprenant "J'ai pas demandé que tu prennes ma défense, je suis assez grand pour régler ça. Et toi, ne laisse plus personne parler de Arthur comme ça. J'suis torse nue parce que j'avais chaud ça te pose quoi comme problème ?" j'ai un gros problème avec l'autorité c'est vrai, surtout celle de mon père toujours absent. Ma fierté à envoyer boulet Théa, là elle va m'en vouloir et rentrer avec l'autre là, mais je ne pouvais pas la laisser faire ça encore moins devant mon père.

J'ai arrêté de demander à Abélard de parler de ce qu'il ressentait, puisqu'il m'envoyait chier à chaque fois. J'en avais marre de recevoir la foudre du jeune homme. Il préfère faire l'idiot, tant mieux pour lui. Tant pis pour les autres. Que voulez-vous que je vous dises ? J'ai essayé de prendre de ses nouvelles y a un mois quand j'ai lu sur la une du journal belge qu'Arthur avait disparu. Sachant qu'il apprécie fortement son frère, je m'étais inquiété pour lui. Cependant, il filtre mes appels constamment. Je tombais directement sur sa messagerie. J'ai dû l'inondé de message en tout genre sans aucune réponse à chaque fois. J'avais fini par désespérée. Je suis jalouse de sa cavalière, parce qu'il a une autre blonde au bras que moi. C'est égoïste de ma part, je le sais très bien. Quand il me répond que ça c'est sûr pour le fait que ça soit plus facile à dire qu'à faire. J'acquisse le visage positivement tout en le regardant dans les yeux. Je l'entends me répondre qu'il aurait aimé un plan à trois avec sa pouffiasse et moi. Je commence à bouillir intérieurement. « Tu peux te le foutre où je pense qu'on fameux plan à trois. » Je ne vais pas lui faire un dessin parce qu'il sait très ce que je venais de lui dire. « Peut-être mais, c'est ma famille malgré tout Abélard. » J'aurais tellement aimé pouvoir dire ce que je pensais à mes parents. Puisqu'il faut être lucide, ma mère était au courant de toutes les manigances de mon père. Elle est un peu fautive aussi dans ce cas. C'est ça qui me fout le plus en rogne en réalité. « C'est facile à dire pour toi. Tu ne deviendras jamais pauvre. » Il aura toujours ses parents derrières lui financièrement parlant. On ne peut pas comparer quelque chose d'incomparable. C'est impossible. Ensuite, on s'embrasse dans les toilettes avant qu'il rompt le baiser. Par la suite, on voit apparaître Cassandre la cavalière d'Abélard. « C'est possible, on perd tellement quand on devient pauvre. » Dis-je avant de lui foutre une gifle quand il me dit que je suis à-lui quoique je fasse. Il rêve le petit. Je ne suis à personne, encore moins à lui. Finalement, je retourne dans la pièce commune auprès de Julian et je l'embrasse quand Abélard me regarde du coin de l’œil. Je vais pour m'en aller avec Julian quand j'entends des cris et la voix du père d'Abélard. Du coup, je fais marche arrière et de me précipiter vers Abélard pour prendre sa défense. Or, ce fut le coup d'éclat. Il vient à me rembarrer devant tout le monde. Alors, que j'essaie simplement de l'aider. « Dans ce cas, reste dans ta merde et va sauter la prostituée que tu t'es payés pour la soirée. » Dis-je avant de reprendre aussitôt. « Au passage, Cassandre cette robe ne te va pas du tout. On dirait que tu t'es habillée avec un sac à poubelle. » Je viens à tourner mes talons pour sortir de la pièce. Je commençais à marcher quand je vois Julian me suivre. Je n'ai pas besoin d'un petit chien à mes pieds. « Reste avec ton père, je n'ai pas envie de te voir ce soir. » Rétorque-je avant de sortir de la pièce, je me dirige vers la limousine et je demande au chauffeur de me ramener chez moi.

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Théa me comprends, elle fait parti de ces rares personnes qui savent me comprendre de par un regard ou une expression du visage même si il faut le dire elle a beaucoup de mal aujourd’hui. Elle est géniale et je sais que je n’aurais pas du filtrer ses appels mais je l’ai fais et il ne faut jamais regretter, je me suis dis oui qu’elle allait faire comme tout le monde et regarder la presse poeple qui racontent parfois des conneries sur moi et d’autres qui s’en tiennent aux faits il faut le dire. Quand Tutur à disparut je n’ai pas supporter les gens autour de moi à me demander comment je vais, si on a des nouvelles, toutes ces questions complètement connes il faut le dire. Bien sure que je suis mal, mon frère c’est comme mon fils tellement je suis plus vieux que lui c’est une chose de sure et je n’ai pas besoin de rester là à me lamenter sur mon triste sort, il faut continuer à vivre. Théa s’était accrochée m’appelant encore et encore tandis qu’à chaque fois je l’envoyais vers mon répondeur « C’est Abélard, je vous rappellerais si c’est important, vous savez ce qu’il vous reste à faire. » oui ils laissent un message que généralement je n’écoute même pas. Elle est jalouse de ma cavalière, j’ai du mal à comprendre pourquoi, Théa est magnifique, à coté Cassandre est bien fade mais ça je ne l’avouerais pas ce serait donner a ma magnifique blonde belge une chance de prendre du pouvoir sur moi et c’est hors de question. Pour l’emmerder je lui dis que c’est dommage qu’elle ne puisse pas se voir Cassandre, oui c’est vrai, on aurait pu faire un plan à trois, elle s’offusque et me dit de me le foutre où elle pense ce plan à trois. Je reprends après un instant « C’est dommage.. » en restant impassible. On parle de sa famille, sa famille d’arnaqueurs qui ont eu tout le monde ! Je lui dis que c’est pas de sa faute, elle n’est pas du même avis, je ne pense pas qu’un enfant puisse faire grand-chose face à la connerie de ses parents mais bon … « Si tu veux rester sur tes positions écoute … » A mes yeux tout à un prix, il suffit juste de savoir lequel, c’est l’offre et la demande, un principe simple de commerce, une notion que j’ai appris il y a bien longtemps. « C’est vrai sauf si la Belgique fait faillite ce que personne ne souhaite ! » oui notre si beau pays quand même. On s’embrasse dans les toilettes, un baiser tendre, intense, trop court à mon gout mais je l’arrete pour savoir ce qu’elle veut et là gros bordel, Cassandre débarque, mon père est là bref rien de bien pour nous. « Ah j’ai vu ça » oui on perd son argent, des choses comme ça mais Théa est toujours aussi belle, je la dévore du regard. Je lui dis qu’elle est à moi et non, elle me gifle avant de retourner dans la salle se proclamant comme une femme libre. Quand j’arrive dans la salle torse nue elle embrasse l’autre moche, je me retrouve obligé de supporter ce spectacle plus que désagréable, me dites pas qu’ils mettent la langue ? ça me dégoute faut le dire. Une énième altercation éclate avec mon père, Théa arrive pour me secourir et je lui fais comprendre que ce n’est pas la peine. Je la laisse me parler mal, je ne vais pas lui répondre devant tout le monde, je reste impassible. Elle s’énerve sur moi puis sur Cassandre elle ne supporte pas ça. Je la reconnais bien là ma belge ! Elle tourne les talons pour sortir de la pièce et je regarde mon père « Je vais rentrer » alors qu’il reste choqué de la scène pour ensuite me diriger vers l’extérieur. Elle envoie chier ce Julian, tant mieux. J’arrive à l’extérieur elle monte dans une limousine, je ne peux pas la laisser partir. Je regarde autour de moi aucun portier, tant pis ils m’entendront après ces incapables. J’ouvre la porte et monte près d’elle la regardant pour reprendre « On va où chez toi ? » ouais j’m’invite !

Je ne voulais pas me contenter de la presse des journaux pour avoir des nouvelles d'Abélard. Je préférais l'avoir au téléphone, qu'il me parle de sa propre bouche. Je n'ai jamais cessé de l'appeler même après les nombreuses fois où il m'a foutu sur sa messagerie. Quand j'ai une idée en tête, je ne l'ai pas ailleurs. Il est très bien placé pour le savoir. J'ai continué mainte et mainte fois. J'ai encore essayé de l'appeler dans l'après-midi mais, le néant. Jusqu'à que je le retrouve à la soirée mondaine organisée par Julian et son père. J'étais abasourdi de le voir ici, surtout en compagnie d'une fausse blonde remplie de botox. Je lui montre que je suis entièrement jalouse de sa Cassandre. Je ne la supporte pas physiquement et mentalement. Étant donné que tu peux l'envoyer chier cette blonde, elle ne répond pas. Elle se laisse faire tout simplement. Ça m'exaspère ce comportement. J'ai presque envie de lui faire bouffer le sol à cette femme. Ça s'accentue quand Abélard me dit que c'était dommage que je ne m'entende pas avec elle. La raison ? Il aurait voulu un plan à trois. Même pas en rêve mon gars. Je ne rentrerais pas dans ton petit jeu minable. « Je vais te le faire bouffer ton dommage à force. » Je ne mâche pas mes mots. Faut dire qu'il me pousse à bout. À deux doigts de tout envoyer chié, je n'arrive plus de tout à apprécier cette soirée. On parle de ma famille, de mes arnaqueurs professionnels de parents. Ça m’écœure de repenser à toutes les choses qu'ils ont pu faire. Finalement, je suis bien heureuse d'être parti de leur domicile familial. Même si la Belgique me manque. J'y retournerais un jour où l'autre, je me le suis toujours promis. « Je ne changerais pas d'avis. » Je campe sur mes positions, il campe sur les siennes. Au moins, on est d'accord sur un point. Cela fait une éternité que ça ne se produisait plus. « Même si tu dois me prendre pour une salope ... je ne souhaite pas que tu vis ce que j'ai pu enduré. » Malgré ma haine envers toi, je ne veux pas que tu endures ce que j'ai pu le faire y a peu de temps maintenant. Même à mon pire ennemi je ne lui souhaiterais pas, c'est pour dire. Suite à un échange de baiser plutôt voir fort agréable avec Abélard, sa connasse de cavalière débarque en mettant tout en l'air. Que ce soit l'ambiance comme l'esprit du jeune homme. Il se préoccupe plus de son père et tout le reste que de notre conversation. Je viens à partir des toilettes pour rejoindre la pièce centrale. J'embrasse à contre contre cœur Julian, je pars ensuite avant de revenir sur mes pas. Je veux secourir Abélard contre son père et les gardes du corps. Sauf, que celui-ci m'envoie valsé devant tout le monde. Il veut faire le fier devant son père très bien. Je m'en vais en lui disant ce que je pense et pareillement à sa cavalière. J'étais sur le point de franchir le seuil de l'entrée quand j'envoie boulet Julian. Je grimpe dans la limousine pour demander au chauffeur de me ramener chez moi ... problème. Abélard monte dans la limousine pour s'inviter chez moi ? Je rêve, pincez-moi s'il vous plait. Il est culotté de revenir vers moi après tout ça. « Mon appartement n'est pas le mien. C'est au moche que tu n'apprécies pas. D'ailleurs ta blonde est hors de cette limousine. Merci, au revoir. » Héla-je tout en ignorant du regard Abélard. Sur l'instant, je n'ai pas envie de croiser son regard, ni même de voir son visage. Il a réussi à toucher mon égo, je n'apprécie pas de la manière dont il me traite. On ne me prend pas pour me jeter dans la seconde. J'ai bien plus d'estime de moi que ça.

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Théa faisait partie des personnes que j'envoyais sur messagerie, elle était meme sur ma liste de contacts rejetés il faut le dire clairement donc au final je voyais qu'elle m'avait appeler mais je ne recevais pas l'appel. Au moins je m'emmerdais pas à filtrer tout le monde il y avait ma liste rouge elle était dessus après le vent qu'elle m'avait mit je me suis dis que c'était le mieux à faire et qu'elle ne dirait rien. Mais je l'ai vu, elle insistait c'était à ne plus rien comprendre honnetement, pourquoi elle insistait comme ça ? Qu'est ce qu'elle disait dans ses messages ? J'ai écouté un message une fois, j'ai failli la rappeler et mon orgueil m'a empêché de le faire avec ma fierté. C'était plus simple de ne pas la voir, de ne pas lui parler au fond je pouvais rester le parfait sombre connard de d'habitude. Et la voilà à une soirée mondaine pour aider des enfants malade si j'me rappelle bien. Elle est magnifique dans sa robe mais une chose m'énerve plus tous, elle est là avec quelqu'un, un espèce de mec plus petit qu'elle de la taille d'un nain qui est franchement très laid, qu'est ce qu'elle fou avec ? Elle est avec lui ? Et quand je vois le vieillard près d'elle ça me dégoute encore plus ça m'énerve jusqu'à ce qu'elle le dise elle n'a couché avec aucun des deux, j'étais trop content faut le dire. Encore plus quand elle m'a dit être jalouse de ma cavalière Cassandre, il ne faut pas elle est magnifique, peut être que je devrais lui dire mais je ne peux pas. Ca l'énerve surtout que Cassandre snob comme elle est ne lui répond pas. Je la taquine un peu en lui parlant d'un plan à trois avec Cassandre, je suis sérieux genre à 25% pas plus faut le dire mais elle, elle y croit vraiment. Je lui dis que c'est dommage et avec ses paroles elle me plait encore plus, j'adore quand elle est comme ça. Je lui souris n'ajoutant rien de plus. Notre discussion vient sur sa perte brutale d'argent et sur sa famille d'arnaqueur parce que bon je ne vais pas dire que j'apprécie son père quand je vois combien il nous a fait perdre. "D'accord" un jour elle comprendra que ce n'était pas de sa faute j'en suis sure, je ne veux pas qu'elle soit malheureuse à cause de ce crétin. Elle me regarde et s'insulte elle même, ça m'énerve qu'elle dise ça, qu'elle se traite de salope quand c'est tous sauf le cas, et si ça peut la rassurer elle était toujours magnifique même sur la presse à scandale qui publiait des horreurs sur sa famille. "Je ne t'ai jamais pris pour une salope et ce ne sera jamais le cas" oui elle est tous sauf ça, c'est une femme, une femme parfois jalouse qui sort des griffes comme une tigresse ou qui est posée mais ce n'est pas une salope même si j'avoue que ce vieillard et l'autre guenon avec elle m’énervent franchement. Dans les toilettes elle m'embrasse et je lui rend son baiser, un moment trop court, des explications inachevées alors que Cassandre débarque et elle se vexe quand je lui dis que je dois y aller. Elle me laisse énervé et part embrasser l'autre gros moche il ressemble à un gnome ce mec là. Elle l'embrasse devant moi, je vois qu'elle me regarde du coin de l'oeil elle fait ça pour m'énerver et ça marche parce qu'un invité à à peine le temps de prononcer le prénom d'Arthur que je lui envoie mon poing dans la figure. Les gardes du corps de mon père réagissent très vite m'attrapant pour que je n'aggrave pas mon cas, comme d'habitude dirons nous. Rien à foutre j'ai le pouvoir et surtout l’immunité politique les gars. Mon père m'engueule notamment sur ma tenue étant donné que je n'ai plus ni chemise ni veste et là que ma tornade blonde débarque pour me défendre. Le problème ? C'est que c'est très rapide de m'énerver mais pour que je me calme c'est bien plus compliqué. Je l'envoie sur les roses, je n'ai pas besoin qu'une fille me défende et encore moins qu'elle se discrédite davantage devant mon père. S'en est trop pour elle, elle s'énerve et quitte la soirée alors que je dis aux deux barriques à glace de me lacher de me lacher pour que je puisse rentrer ils s'exécutent, braves toutous. Je rattrape Théa m'invitant dans sa limousine alors qu'elle est en pétard contre moi il faut le dire. Elle m'ignore elle ne me regarde même pas ça m'énerve je la regarde avec mon traditionnel air impassible avant de prendre son visage dans mes mains pour qu'elle me regarde "En parlant du moche, ne l'embrasse plus jamais il ne te touche pas." oui je suis sérieux, cette vision c'est une vision d'horreur je ne la supporte pas avant de reprendre "Justement allons l'emmerder le gnome en allant chez lui." elle m'a congédié mais je m'en fiche franchement, sa présence me calme, pas sure que ce soit réciproque. Je préfère alors capituler et partir plutôt qu'elle pense que je ne veux d'elle que comme plan cul ou autre "Faut que j'y aille ma voiture m'attend dehors si ces incapables ont bien faits leur travail." oui ils vont tous s'énerver sinon et ma place n'est pas encore auprès d'elle. J'approche mon visage du sien pour embrasser le coin de ses lèvres avant de me tourner pour redescendre de la limousine.