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This old man
— Belaswell

Elle n'a jamais vu que je tenais à elle plus qu'en une amie, j'ai joué le mec indifférent c'est vrai en même temps. Ce qui lui ai arrivé, quand elle a perdu son argent ça m'a touché pour elle, elle est passée d'un certain statut social à rien du tous. Mais après le vent qu'elle m'a mit je n'avais plus de pitié, même avant, je ne suis pas le genre de mec à éprouver de la compassion faut le dire. Enfin, nous voilà après plusieurs mois sans se parler, plusieurs mois à l'éviter, qu'on se retrouve à la soirée organiser par son parrain ou je ne sais qui, son mac j'en sais rien et ça m'énerve de penser qu'elle puisse vendre son corps comme ça. Elle vaut mieux que ça. La voir avec un autre m'énerve mais je ne montre rien. Ce soir je suis bien accompagné même si près d'elle Cassandre semble bien banale c'est vrai, elle est super mais elle n'est pas Théa c'est physique entre nous c'est tous même si on est amis je ne porte pas d'intérêt à sa vie et ses problèmes. Je lui lance un pique quant au fait de devenir pauvre et elle me dit qu'elle m'emmerde, elle est sexy quand elle s'énerve mais je joue les mecs indifférent, je vais quand même pas paraitre content. "Ah tu devrais, ton mac ou mec organise la soirée quand même" oui moi je fais ça mon père me défonce même si bon j'ai l'habitude faut le dire. Je l'énerve, je le sens et ça me fais plaisir. Elle me gifle tout le monde nous regarde alors que je les recadre, qu'ils s'occupent de leurs affaires. J'ai le visage fermé énervé dans un sens, énervé de m'être pris une gifle que je mérite pourtant amplement. Quand elle m'avoue qu'elle se tape l'autre moche boutonneux je suis pris de jalousie, ça m'énerve faut le dire, comment elle peut le vouloir lui au lieu de moi ? Elle se fou vraiment de moi. Le vieux l'entretien en plus de ça, mais comment ? Ca me dégoute. "Ma cavalière ? Cassandre est belle et intelligente de ce que je sache je ne sais pas ce que tu lui reproches. T'as raison, couche avec un vieux pour du fric c'est ce que les pauvres font." un pique de plus de ma part. Ca m'énerve je ne supporte pas l'idée. On atterrit alors dans les toilettes et je reprends "C'est normal c'est trop cher pour toi." oui c'est surement pour ça non ? Elle ne peut plus se payer de belles choses alors elle ne s'y intéresse plus mais je sais une chose, elle trouve forcément mon costume magnifique, et il est encore plus beau sur moi faut le dire. Je retire ma veste et lui demande de la nettoyer après tous elle l'a sali mais elle refuse "Tout a fait, elles ont même une belle prime de Noël" oui mes femmes de ménages ne sont pas à plaindre. Elle finit par commettre un meurtre de ma veste en la jetant par terre alors que j'avais retiré ma chemise pour la nettoyer aussi. Je balance ma chemise par terre, elle est fichue "Ah oui ? Et le vieux c'est quoi ? Il te paye pas ce que tu veux ?" oui elle l'a dit elle pompe son fric. Elle me bouscule contre la porte des toilettes et je retourne vers elle m'approchant un peu pour reprendre "Arrête tes conneries, j'aurais fais une exception pour toi tu le sais. T'aurais tous eu, la richesse la gloire et surtout moi." oui je suis hyper sérieux en lui disant ça en plongeant dans son regard. Je finis par m'écarter et reprendre "Mais le passé est le passé, t'as préféré un moche tous pourri et moi les mannequins, les filles de riches tous ça." oui je t'ai pas attendu, j'ai avancé c'est vrai, en même temps elle avait été claire.

Comment aurais-je pu entrevoir quoique ce soit concernant les sentiments d’Abélard à mon égard ? Abélard était une tombe, il ne laissait rien paraître. C'était difficile pour moi de comprendre quelque chose la-dedans. C'était comme déchiffré un script rempli de code spécial en tout genre. J'en avais été incapable. Puis, quand j'ai tout perdu en cause de mon père. J'ai essayé de changer de vie mais, c'était compliqué. Je n'arrivais pas à me faire à l'idée que je ne pourrais plus rien m'acheter comme j'avais l'habitude de le faire. Je ne voulais pas être entretenu par Abélard, donc je lui ai mis un stop direct. Depuis, ça fait des mois qu'on ne se parle plus. Ce n'est pas faute d'essayer constamment. Cependant, il me filtre entièrement. Difficile d'avoir une conversation dans cette situation. Il vient à me faire un pic sur ma pauvreté d'avant. Ne l'acceptant pas, je viens à lui rétorquer que je l'emmerdais et que je m'en foutais d'être classe ce soir, lors de cette soirée mondaine. « Et alors ? Ça change quoi ? » En réalité, je ne porte pas dans mon cœur mon petit-ami ni même son père. Quoique son père, je le considère comme mon grand-père. Par contre, son fils c'est une autre question. M'bref, je viens par la suite à gifler Abélard et, tout le monde vient à regarder le spectacle. Ce qui m'énerve encore plus. « Je lui reproche le fait qu'elle me ressemble comme deux gouttes d'eau bizarrement. Et je ne couche pas avec le vieux et je n'ai pas couché non plus avec son fils, pauvre idiot. » Jusqu'à présent, j'ai réussi à m'échapper de ce détail dans ma vie. J’atterris dans les toilettes en compagnie d’Abélard. « Tu es pathétique Abélard, tu le sais ça ? » Il commence sérieusement à m'énerver au plus haut point avec ses réflexions ... Il va surement se recevoir une autre gifle d'ici peu. « Tant mieux pour elles, elles peuvent se faire plaisir une fois dans leurs vies au moins. » Si elles sont contentes de vivre ainsi. Je souhaite tout le bonheur du monde à ses femmes. Que voulez-vous que je dis ? Rien, absolument rien. « Je ne réclame que très peu de choses, à vrai dire. » J'ai changé depuis le temps mais, tu ne peux pas le savoir Abélard étant donné que tu me filtres depuis des mois. Je viens ensuite à le pousser de nerfs avant qu'il revienne en force vers moi. « Je ne voulais pas recevoir ta pitié Abélard ! Puis, cela aurait fait de moi une grosse salope de passer d'un frère à un autre. Mais, j'avais surtout peur d'avoir le cœur brisé encore une fois. » Est-ce un crime ? De vouloir se protéger au maximum pour limiter les dégâts ? « Comme toujours, tu as tout préféré les filles pleines de pouvoir. D'ailleurs, je crois que ta cavalière de Lidl t'attends. Elle doit se demander où tu es passé. » J'en ai marre de devoir tout lui justifier dans le moindre détail.

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Je ne suis pas quelqu'un d'expressif si bien que je n'ai jamais dis avant à Théa que je l'aimais. Faut le dire, Théa est belle, intelligente elle me rendais le sourire mais moi je suis un mec, je suis fier, je suis vaillant faut le dire et je ne suis pas le genre à céder j'ai fini par lui dire mais non et son stop m'a clairement refroidit faut le dire je suis fier et elle m'a blessé dans mon égaux. J'ai finis par la filtrer pour ne pas assumer le vent qu'elle m'a mit c'est con je sais mais je suis comme ça, un peu con c'est sure mais je suis comme ça. Là je suis à une soirée avec une belle mannequin et elle est là, elle est belle dans sa robe et j'arrive encore à l'énerver, au fond de moi ça me fais plaisir. Je parle de sa pauvreté et elle me dit qu'elle m'emmerde que de grossierté venant d'une si belle femme. Je lui fais la remarque mais elle n'en démord pas. "Fais gaffe pépé va te couper les vivres si tu te comporte mal en public !" ouais l'autre vieillard là qui l'entretien, ça m'énerve je dois le dire. Je m'en prends une que j'ai mérité mais je ne lui dirais jamais qu'elle a eu raison. Tout le monde nous regarde, je les recadre, qu'ils se mêlent de leurs affaires ou vendre l'info à Closer. Ca m'énerve qu'elle s'affiche avec l'autre moche là franchement ! Elle me dit que Cassandre lui ressemble je la regarde elle me sort alors un truc qui me ravi, j'en souris même à l'entendre, elle ne couche pas avec ! Et oui, ça c'est bon et reprends "Ah Cassandre elle a quand même plus de seins que toi ! Après oui elle est blonde, elle est grande, c'est mon type je ne vois pas le problème" oui j'vais quand même pas lui dire que mon type c'est elle. Je regarde le moche qui l'accompagne et reprends "Il t'a même pas ken ? C'est normal, je suis sure qu'il est gay regarde le" oui moi j'suis un vrai mec tiens ! Elle m'envoie son verre de champagne dans la gueule quand je lui demande ses tarifs pour une soirée. Je finis par aller aux toilettes avec elle et fermer ça à clef. "Je vois pas en quoi Théa, je me fais pas entretenir pour avoir un semblant de richesse." Je finis torse nue, elle a pourri ma veste. Ca m'énerve faut le dire elle m'énerve, tous chez elle m'énerve là. "Ah mais c'est un plaisir pour elles de travailler pour moi tous les jours je te le dis, je suis parfait." reprenais-je sérieusement, oui sans modestie faut le dire. "Très peu de choses à part de belles robes et autre, t'as toujours aimer le luxe, tu me la feras pas à moi." oui j'aime le luxe aussi je m'en fiche j'assume. Elle me pousse je reviens vers elle l'emmenant doucement contre un mur et me mettant devant elle assez proche l'entendant dire qu'elle ne voulait pas de ma pitié. "Parce que t'en as quelque chose à faire du regard des gens ? Quoi qu'on fasse ils parleront toujours. C'était pas de la pitié." avec mes dernières paroles je tapait dans le mur, j'étais énervé qu'elle pense ça. Je la regarde droit dans les yeux alors qu'elle me parle des filles que je peux fréquenter "Soit pas jalouse, t'aurais pu être l'une d'elles ou même plus. Tu veux vraiment que j'aille la rejoindre et que je rentre avec elle ce soir ?" oui elles se sont que des plans culs, après j'ai Ariana avec qui je suis sorti plus d'un an avec qui c'était sérieux mais Théa, c'était Théa seulement je ne voulais pas perdre la face devant elle. Je me rapproche d'elle à sentir son souffle sur moi restant là à la regarder droit dans les yeux d'un regard de défi.

Habituellement, on ne lit pas en moi comme dans un livre ouvert. Très peu de gens connaissent réellement mon passé. Il y a qu'Hadès, Abélard et Braxton qui le savent. Pour les autres, j'essaie de mentir, de dissimuler la vérité. La moitié du temps, on dit que les femmes ont un cœur tendre ... on peut tout leur faire, elles pardonnent facilement. Mon œil ouais. Je ne fais pas partie de ce groupe de femmes. J'accorde ma confiance qu'une seule fois. Si on l'a perd, c'est difficile de la récupérer par la suite. Toutefois, Abélard ne m'a jamais fait quoique ce soit. Hormis, filtrer mes appels. D'ailleurs, je ne comprends toujours pas pourquoi. J'aurais peut-être la réponse un de ses jours. Que sais-je ? Je n'aime pas être vulgaire. Or, avec Abélard ce soir c'était difficile de me retenir. « J'ai peut-être pris mes avances sur le pépé. » Rétorque-je en essayant de foutre le doute à Abélard. Je ne sais pas si ça l'emmerde que je sois entretenue par un vieillard. Il ne montre rien. C'est frustrant. Ensuite, il reçoit une gifle de ma part. Les gens autour de nous viennent à regarder la scène ce qui nous énervent davantage. Je viens à lui avouer que sa cavalière Cassandre me ressemble étrangement. « Ce n'est pas l'effet que sa robe fait sur elle. On dirait une planche à repasser cette fausse blondasse. » Je ne mâche pas mes mots, en même temps je n'apprécie pas sa cavalière. Et, je n'aimerais jamais les autres femmes qu'il fréquente. « Absolument pas. Je n'offre pas mon corps à n'importe qui. » Au moins, il sait que je me respecte en tant que femme. Je ne couche pas avec le premier venu. Je m'étais enfuie dans les couloirs du lieu où se trouve la soirée pour me calmer. Sauf, qu'Abélard vient à m'enfermer dans les toilettes avec lui. « Tu en as pas marre de te répéter ? » Je le regarde retirer sa chemise. Je m'octroie le droit de jeter un coup d’œil sur son torse bien musclé. C'est un crime d'être aussi beau. « Personne n'est parfait Abélard. » La modestie le tuera un jour ou l'autre. « J'avoue j'aime le luxe, je m'en suis jamais caché. Mais, ce n'est pas pour autant que je lui réclame de m'acheter des choses tous les jours. » Dis-je avant de le pousser d'énervement. Sauf, qu'il revient aussi vite vers moi tout en me bloquant entre le mur et lui. Cette situation ne me plaisait pas forcément. « Sur certain point, oui je m'en préoccupe. » Je viens à sursauter légèrement quand je le vois frapper contre le mur à côté de mon visage. Je lui dis ce que je pense des femmes qu'il fréquente. Qu'il apprécie ou non, je m'en fiche comme de la dernière pluie. « Je ne suis pas une femme parmi tant d'autre Abélard. Sache-le. » Je ne veux pas qu'on me prenne pour un soir pour que le lendemain, on me jette comme une chaussette. Il le sait mieux que personne, c'est ça le pire. Je laisse le damoiseau s'approchait de moi tout en le regardant dans les yeux. Je venais à sentir son souffle sur mes lèvres. Je le regarde intensément comme pour le défier. Or, je viens à succomber à la tentation suprême. Je dépose délicatement mes lèvres sur les siennes, pour lui faire un baiser tendre mais, tellement intense à la fois.

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La plupart des gens me prennent pour un con prétentieux, je le suis c'est vrai mais je ne suis pas que ça. Théa fait partie des gens qui me connaissent mais elle ne sait pas lire à travers mes silences parce que c'est vrai que quand il s'agit de ce que je peux ressentir j'suis pas expressif, pas franchement souriant je passe pour un vrai snob. Mais je m'en fiche pas mal. Quand quelque chose me saoul j'arrête d'en parler, je passe à autre chose et voilà. Quand Théa m'a dit non ça m'a bardé du coup j'ai arrêté de lui parler et je pense qu'elle n'a pas franchement comprit pourquoi mais bon je m'en fiche un peu elle aurait du comprendre. On se prend la tête à cette soirée, oui elle est énervée et moi aussi de la voir avec un vieu et un moche, elle m'insulte et je ne répond pas je lui fais une remarque, ce qu'elle me sort m'énerve mais j'ai le visage impassible. Oui je veux pas lui montrer à quel point ça m'saoul qu'elle soit avec ce vieux là je la regarde droit dans les yeux reprenant "Si ton kiffe c'est les papys écoute mais t'as raison, ça se trouve il est sourd donc il t'entend pas" oui je dénigre l'autre vieux, si je pouvais le bannir de Belgique je le ferais franchement sans mal. L'idée même qu'elle puisse se le taper m'énerve. Je l'énerve elle m'en colle une et tous le monde nous regarde ce qui nous irrite tous les deux. Elle critique ma cavalière je la regarde avec un regard de défi "T'es jalouse d'elle ? Sa robe lui va franchement très bien" Mais pas autant que la tienne sur toi mais ça je ne lui dirais jamais bien trop fier pour. Savoir qu'elle ne s'est pas offerte a l'autre moche en costume trop grand pour lui me ravi faut le dire ! Je la regarde et reprends en haussant les épaules "C'est tant mieux tu vaux mieux que ça et je te comprends, il est vraiment affreux." Ouais si j'avais une fille aussi moche même pas je la touche et le vieux n'en parlons pas. Je me prends du champagne dans la tête de sa part et la suit pour m'enfermer avec elle dans les toilettes de la soirée. "Non c'est la réalité" oui j'vois pas le mal faut le dire. Ca m'enerve qu'elle soit avec un vieux pour son argent et si elle couche pas avec alors elle fait quoi ? "Moi je le suis regarde moi" oui j'suis parfait et un futur roi autant dire que personne ne peut rien me dire. "Et tu rêves pas parfois d'avoir comme avant un compte en banque presque illimité ?" oui parce que bon là elle doit demander. Je la regarde apparemment le regard des gens l'importe là dessus, elle ne voudrait pas passer pour je ne sais quoi en sortant avec un mec puis avec son frère, moi franchement je m'en fiche qu'Hadès l'ait déjà eu surtout que je sais au fond de moi pourquoi il l'a fait enfin je pense savoir. Je la regarde et je reprends "Ca tu devrais t'en foutre ca aurait été pire pour moi que pour toi et pourtant je le voulais." oui un futur roi qui sort avec une pauvre c'est sure que ca l'aurait mal fait, surtout moi quoi. Je frappe dans le mur près d'elle d'énervement qu'elle pense que j'ai pitié c'est faux j'aurais envie de lui hurler dessus. Je m'approche d'elle alors qu'elle est contre le mur et lui demande si elle veut vraiment que je rentre avec Cassandre en lui disant qu'elle aurait pu être l'une d'elle j'écoute sa réponse reprenant "Je le sais. T'aurais pu être bien plus que toutes les autres" oui elle aurait pu. Je plongeais mon regard dans le sien avec un air de défi alors que je sentais son souffle sur moi, son parfum, ça me rendais fou. C'est alors que ses lèvres captures les miennes pour un baiser tendre et intense à la fois, je me perds dans le baiser lui rendant avec tendresse alors que je m'approchais un peu plus d'elle avant de finir par reprendre mes esprits, elle m'a dit non, elle veut quoi ? Je termine le baiser en douceur la regardant un instant dans ses yeux avant de reprendre "Tu veux quoi Théa ?" oui pourquoi elle m'embrasse maintenant ?

Je ne m'attendais pas à me prendre la tête lors de cette soirée mondaine. Encore moins, de tomber nez-à-nez avec Abélard. Je pensais qu'il se trouvait loin de cette ville avec son frère Hadès à la recherche du bonheur où des conneries à faire. Pourtant, il se retrouve face à-moi avec sa pimbêche de Lidl. Elle me sort des yeux cette blondasse décolorée. On est tous les deux énervés, lui je ne connais pas ces raisons. En même temps il fait comme avant, il garde tout à l'intérieur de lui sans dire ce qu'il pense. C'est aussi cela qui m'énerve ce soir en le voyant. « C'est peut-être ça qui m'excite justement ... » Il me provoque alors, autant rentrer dans son petit jeu. Finalement, on vient à ce défier du regard l'un et l'autre. Et la question fatidique vient de retentir. Était-ce jalouse ? C'est fort probable. « Si je te réponds positivement, ça te ferait quoi? » S'il trouve que la robe va bien à sa cavalière, c'est qu'il a besoin d'urgent de lunettes pour mieux voir. Quand il me répond qu'il me comprend lors que je lui avoue que je ne m'offre pas au premier venu. Ça me fait plaisir, sans pour autant montrer quoique ce soit. « La réalité elle me barbe. » Réplique-je avec honnêteté. Je viens à hausser les épaules quand je l'entends me répondre qu'il était parfait. « Tu es parfait uniquement physiquement Abélard. » OH MY GAD ! C'est bien la première fois que je lui avoue ce genre de choses à voix haute. Je ne veux pas qu'il prenne la grosse tête suite à mes propos. « Te dire que non ça serait calomnié la vérité. Alors, oui j'en rêve ... Cependant, ce n'est plus possible en cause de mon père. » Si d'habitude le regard des autres m'importe peu, le fait qu'on puisse me juger sur mes relations avec les frères princiers me perturbait pleinement. « Ce n'est pas comparable ton ressenti et le mien. » Effectivement d'être vu avec une pauvre ce n'était pas spécialement apprécié de la famille princière. Mais, qu'on puisse me traiter de salope où de trainer ... jamais je ne l'aurais acceptée. Je sursaute au moins où il frappe contre le mur des toilettes. « Tes parents ne l'auraient jamais accepté, sois réalité une fois dans ta vie. » Ils auraient tout fait pour que tu me largues comme une merde. Que tu fasses la même chose que ton frère. Cette fois-ci je ne l'aurais pas supporté une seconde fois. C'est déjà dur de surmonter une première, crois-moi. Je continuais de défier du regard Abélard tout en sentant sa respiration contre mes lèvres. Puis soudainement, je cède ... je viens à l'embrasser d'un baiser tendre mais intense à la fois. C'est bien la première fois que je le faisais. Toutefois, j'allais foutre la pagaille dans l'esprit d'Abélard et le mien, sans le vouloir réellement. « Je veux que tu me reviennes, Abélard. Je veux que tu arrêtes avec tes pimbêches écervelées. C'est trop réclamé au futur roi de Belgique ? » Tu as toujours voulu savoir ce qui se passait dans ma tête. Voici tes réponses tant attendu. J'ai envie qu'on redevienne aussi proche qu'avant, qu'on arrête de s'engueuler, que tu arrêtes de me filtrer, que tu me parles une bonne fois pour toute.

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Si j'avais su je ne serais pas venu, j'avais pas spécialement envie de voir ça, Théa avec ce mec tous dégueulasse là. Oui il est vraiment moche avec ses lunettes et son cpostume trop grand, et c'est qui l'autre vieillard qui est en age de la retraite avec elle aussi ? Oui je suis jaloux mais je ne le montre pas je prends sur moi je suis comme ça j'ai toujours été comme ça. Même pour Arthur je ne montre pas que sa disparition me tue à petit feu je fais le fier, le mec qu'à pas mal le mec qui ressent parfois rien du tous je me protège faut le dire. J'ai appris dès mon plus jeune age que de toute facon quoi qu'on parle les gens parleront et qu'on parle de moi en bien ou en mal l'essentiel c'est qu'on parle de moi. Ses paroles me glaces et pourtant je reste de marbre, son kiffe c'est les vieux frippés elle est sérieuse ? Je la regarde reprenant "Chacun son kiffe moi je préfère la chair fraiche comme on dit" oui faut le dire je couche pas avec des vieilles et des cougars je les laisses pas m'approcher même. Je la regarde elle critique la robe de ma cavalière , serait-elle jalouse ? Je la regarde lui demande et sa réponse me fais hausser les épaules. "Rien du tous" c'est faux je serais trop content mais je ne lui dirais pas. Je l'écoute, elle la barbe, je creuse davantage "En quoi elle te barbe ?" aller qu'elle l'avoue c'est que c'est elle à mon bras ! Dans les toilettes avec elle je me retrouve torse nue parce que madame n'a pas voulu nettoyer ma vestej je la regarde et lui dit que je suis parfait jusqu'à ce qu'elle le dise que au moins physiquement je suis parfait. Ca m'arrache un sourire, je la regarde "Juste physiquement t'es sure ?" j'suis parfait tous court elle peut le dire ! Je la regarde de haut en bas, je la dévore un peu du regard sans trop le montrer. "Ca aurait pu l'être t'es pas responsable des fautes de ton père." oui je lui aurais tous donné. Elle me parle de ressenti, je hausse les épaules et reprends "Ca aurait pas été plus facile pour moi." surtout de la voir souffrir pour les unes de journaux, ce qu'on dit sur moi c'est simple je m'en fiche complètement c'est pas des journalistes qui vont me toucher avec leurs merdes. Je suis proche d'elle, je frappe dans le mur elle m'énerve. "Et alors ? Tu me crois assez con pour suivre les règles ?" je dis pas que ca aurait été facile mais quand même. Je suis proche d'elle je sens son souffle sur moi jusqu'à ce qu'elle m'embrasse tendrement, intensément. Je lui rends son baiser avec autant de tendresse, c'est bien une première pour moi j'suis pas le genre tendre. Je lui demande ce qu'elle veut et sa réponse me glace. Elle fou le bordel dans ma tête. Elle me pose une question, oui non j'en sais absolument rien. Je la regarde plongeant mon regard dans le sien avant d'entendre la porte s'ouvrir. Cassandre entre alors reprenant "Tu sais quoi Ab' ? Tous le monde t'attends. T'as fais quoi de ta veste et de ta chemise ? Ton père est là finalement." je la regarde, et merde pourquoi j'ai pas fermé cette putain de porte ? Je la regarde et me retourne vers Théa elle va me crucifier sur place. "J'arrive j'avais un truc à régler." non je devais la voir et maintenant je ne sais plus. Cassandre quitte la pièce, je me passe une main dans les cheveux tendu de ce qu'il vient de se passer.

Si j'ai essayé de prendre contact pendant presque un mois, c'était par rapport à Arthur. Je savais que sa disparation avait dû toucher bien plus qu'il ne le laisses paraître à Abélard. Je le connais mieux que n'importe qui. Il était mon ami bien avant toutes ses engueulades entre nous. Je me confiais à lui et inversement. Aujourd'hui, j'essaye de le pousser à bout pour qu'il me parle. Qu'il arrive à me dire ce qui se trame dans sa tête. Bah non. Il reste de marbre devant moi après lui avoir dit que c'était peut-être ça qui m'excite chez le vieillard. « Chacun à ses préférences ... » Héla-je pour voir comment il allait réagir. Depuis que le vieil homme m'a pris sous son aile, je n'ai jamais eu de geste déplacé avec lui. Ni même coucher pour de l'argent. J'avais bien été claire dès le départ. Il avait accepté mes conditions sans le moindre mal. Je critique encore une fois la tenue de sa cavalière. Rien ne me plaît chez cette femme. Elle me file la nausée dès que j'ose parlé d'elle. « Dans ce cas, ça ne me sert à rien de te répondre. » Je ne vois pas ce que ça changerait si je réponds positivement sur le fait que je sois jalouse de voir cette pouffiasse au bras d'Abélard. « C'est bien trop long à expliquer ! » Par la suite, je dépose mon regard sur le torse du jeune homme après qu'il est retiré sa chemise pour la jeter par terre à côté de sa veste. J'avoue avec honnêteté qu'il est parfait physiquement, uniquement. Chose qui lui arrange un sourire. Un sourire que j'ai toujours adoré voir sur ses lèvres. « Bien plus que tu ne le croies. » Mentalement, il sait être adorable comme un vrai connard. Donc je ne peux pas qualifier qu'il est parfait aussi mentalement. « Si je le suis inconsciemment Abélard. J'aurais dû lui faire la morale quand je vivais encore chez eux. » Meuglai-je en haussant les épaules. « Je ne t'ai jamais dit le contraire ! » C'est peut-être pour cela aussi que j'ai préféré tout stoppé entre nous. Je ne voulais pas que tu souffres comme j'ai pu le vivre. « Tu aurais suivi les règles si tes parents auraient décidé de te couper les livres. » J'en suis même persuadé à 99.9%. Tu aimes trop le luxe, les soirées mondaines, les costards hors de prix, j'en passe encore. Je l'embrasse intensément et tendrement. Il me rend le baiser sans que je m'y attends pour ensuite le rompre. Je lui avoue ensuite que j'aimerais qu'il me reviennes, qu'il arrête avec ces grognasses ... J'ancre mon regard dans le sien encore une fois quand je vois la porte des toilettes s'ouvrir et voir la tête de Cassandre. « Je lui ai sollicité un strip-tease, chose que tu n'es pas capable de réclamer pouffiasse. » Rétorque tac-au-tac auprès de la cavalière d'Abélard. J'ai envie de la mettre plus bas que terre. Mais, finalement c'est moi qui me retrouve mal à l'aise. Puisque le père d'Abélard était présent sur les lieux. Dois-je m'enfuir sans qu'il me voies ? Très bonne question. Je regarde le beau brun se passait la main dans les cheveux après avoir dit à Cassandre qu'il allait arriver. « Donc, ça s'arrête là, ce soir après ce qu'il vient de se produire ? » Je veux une réponse claire, pas de mensonge. Je t'en supplie Abélard.

This old man
— Belaswell

J'suis pas le genre de mec qui donne des nouvelles ou même qui en prend. Je me dis toujours que si les gens veulent des nouvelles ils n'ont qu'à ouvrir la presse poeple Belge ils me verront régulièrement pour mes frasques à répétition. Je suis pas un sage garçon a ses parents qui reste sage, déjà à 17 ans j'ai été chopé torse nue à la sortie d'une boite strip tease, mon père a pété un plomb. Là depuis la disparition de Tutur c'est toujours la même, je fais la une donc si les gens veulent savoir comment je vais ils n'ont qu'à lire ces conneries après tous non ? Je suis quelqu'un de secret c'est vrai. Elle me dit qu'elle préfère les vieux pleins de rides aux mecs beaux comme des dieux comme moi, ça m'énerve mais je ne dis rien, je reste impassible, je reprends après ses paroles "Oui voilà" franchement il a quoi de plus que moi l'autre pépé là ? Bientôt il sera en chaise roulante et elle devra le laver, il y a quoi de bien là dedans ? Je lui demande si elle est jalouse très sérieusement, en vérité je suis content surtout si elle me dit qu'elle est bien jalouse franchement mais elle se vexe de mon indifférence. Je reprends après un instant "Ca m'interesse quand même" ouais même si j'fais le mec détaché qui n'en a rien à faire. "J'ai tous mon temps, je t'écoute" oui qu'est ce qu'elle a à reprocher à Cassandre ? Après une bonne engueulade et du champagne je finis torse nue dans les toilettes avec elle. Elle me sort alors que physiquement je suis parfait, et oui c'est naturel chez moi il faut le dire ! Ca m'a donné le sourire faut le dire je suis content. Je lui demande si c'est juste physiquement, et sa réponse me fais sourire "J'en doute pas" elle est juste trop fière pour dire que je suis la perfection incarnée. On parle de son père je la regarde le visage assez fermé reprenant "Il n'a pas prit soin de toi, tu n'y es pour rien c'est lui l'adulte, c'est lui qui était coupable" oui elle elle n'a rien à se reprocher, elle a tous perdu et elle a gardé la tête haute. Si on avait été ensemble moi aussi j'aurais mangé, je le lui rappel simplement. "Heureusement que tu n'as pas dis le contraire" oui ça aurait été fort mauvais de sa part. Je l'écoute ensuite me dire que j'aurais suivi les règles, que sinon mes parents m'auraient coupé les vivres, elle n'avait pas tord là dessus, j'aime trop la richesse, le luxe, les soirées mondaines, je me sens important je la regarde reprenant "On aurait pu trouver un moyen quelque chose" ouais au pire on se serait vu à l'abris des regards même si bon, jamais je ne me serais habillé comme un pauvre exprès, jamais je ne mettrais mon corps si beau dans du synthétique ou du bas de gamme. Elle m'embrasse alors, un baiser plein de tendresse et intense que je lui rends elle me rends fou il faut le dire mais je me contrôle pour arreter le baiser et lui demander ce qu'elle veut sa réponse me sidère, maintenant elle me veut ? J'avoue que je suis un peu paumé là. Je la regarde cherchant une réponse alors que Cassandre débarque, j'ai effectivement oublié de fermer la porte. Elle me demande ce que je fais et Théa et réponds pour l'envoyer chier, à ça elle ne l'aime pas je crois. Je lève les yeux au ciel. Cassandre me regarde pensant que j'allais la défendre, répondre à Théa et je lui dis simplement que j'arrive Théa va assez m'en vouloir comme ça et j'ai pas besoin de défendre Cassandre, c'est pas ma meuf. "J'ai des responsabilité Théa tu veux quoi ? Il y a quelque mois tu me dis non là tu m'embrasses comme si t'attendais que ça. J'en sais rien en plus mon père est là je vais aller le faire rager un peu" ouais ça il sait pas ce qu'il l'attend. Je la regarde ou plutôt je la dévore du regard avant de reprendre "Il y a une chose de sure en tous cas, t'es à moi quoi que tu fasses." ouais, façon machiste de lui dire que je ne veux pas qu'elle couche avec d'autres mecs. Un gars du service passe et je reprends "Eh le moche là" ouais il est très laid. Je lui désigne ma chemise et ma veste des yeux "Allez jeter ça c'est foutu" ouais, j'mets pas un truc qui a été par terre je le dis. C'est bien, je vais pouvoir emmerder mon père, débarquer torse nue et de qui on parlera demain encore ? De Abélard De Belgique-Schueller si c'est pas beau tous ça ! Oui je reviens rapidement à la réalité, je veux de Théa mais pas ce soir, pas comme ça.

Je ne regarde que très rarement les magazines people. Je préfère de loin envoyer des sms aux personnes que j'apprécie fortement où les appeler directement pour avoir de leurs nouvelles. Je ne me contente pas de conneries que la presse à scandale peuvent vendre. Puisque je sais très bien que la moitié des choses sont fausses. Du moins, une bonne partie. Je lui apprends que je préfère les hommes plus âgés et ridés que des dieux grecs. Cela ne lui fait ni chaud ni froid. Il reste impassible face à mes propos. Il me demande ultérieurement si j'étais jalouse. Je lui demande si ça changerait quelque chose. Il me répond que non. Du coup, je me vexe en lui répondant que ça ne servait à rien que je réponds à sa question. Or, il persiste à savoir la vérité. « Oui je suis jalouse. Ça me rend folle de te voir aux bras de cette fille ! » De plus, elle ne te met même pas en valeur Abélard ! C'est pathétique. « C'est physique, je l'aime pas ... ça peut arriver non ? » Comme tu n'aimes pas mon cavalier. On est quitte, n'est-ce pas ? J'avoue de vive voix quelques temps plus tard, qu'il était parfait physiquement. Le genre de révélation que je ne fais pas habituellement. Il le sait très bien. « Ça ne retire pas le fait que je m'en veuille de l'avoir laissé faire ! » C'est plus fort que tout. Toute ma vie je m'en voudrais Abélard. Tu ne pourras pas changer ma façon de penser. « Il y avait pas d'autre moyen, tu le sais aussi bien que moi. » Je ne suis qu'une pauvre merde aux yeux de tes parents, ça le restera jusqu'à la fin des temps. Faut simplement que tu l'acceptes Abélard, comme je l'ai accepté. J'avoue après le baiser qu'on s'est échangé à la question d'Abélard. Il était tout retourné à ce que je lui avouais. De plus, il n'avait pas eu le temps de me répondre quoique ce soit étant donné que sa cavalière débarquée dans les toilettes. Je viens à la rembarré aussi vite. Je ne l'aime pas et je l'aimerais jamais. « S'il y a que ton père qui compte, pas de problème. Cours le rejoindre comme le ferait un petit toutou à son maître. » Il te manque plus que la petite clochette autour du cou et, tu joues le rôle à la perfection. Par contre, quand je viens à entendre la suite de ses paroles. Je viens à exploser de rage. Je lui fous une deuxième gifle avant de répondre ceci. « Je ne suis pas ta chose, ni même celle que tu peux sortir quand bon te semble. Je ne suis pas Cassandre qui n'attend qu'une chose, d'ouvrir les jambes pour que tu la sautes. Encore moins, l'une de tes pétasses que tu dois voir trois fois par semaine. » Je m'enfuis des toilettes pour revenir dans la salle où les gens se trouvaient. Je viens à choper une coupe de champagne pour la boire d'une seule traite. Je me place à côté de Julian le temps que les choses se calment. Cependant, je n'y arrive pas. Je craque dès que je vois Abélard arrivait dans la salle torse-nu près de son père. Du coup, je ne me gêne pas pour embrasser Julian fougueusement avant de lui chuchotait à l'oreille que je voulais rentrer immédiatement en sa compagnie. Peut-être que ça ferait réfléchir Abélard sur son comportement où même les mots qu'il emploie.