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Sagow ✗ Cry baby, cry baby

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❝ SAGOW + On ne peut se protéger de la tristesse sans se protéger du bonheur. ❞Cry baby, cry baby Est-ce Sage me fait de l'effet ? J'colle une tarte à n'importe quel gars qui ose dire qu'il resterait d'marbre en la voyant, parce que c'est juste pas possible. C'est pas juste d'un physique que j'parle là, même si actuellement elle est pas au top de son capital séduction avec cette voix éraillée et son teint malade, mais j'jure qu'en temps normal elle peut facilement faire tourner la tête à n'importe qui. D'jà c'est pas un secret que moi et les blondes c'est une grande histoire d'amour, ou de plans cul j'sais pas trop en fait, alors on peut dire qu'elle marque un point. Puis ses yeux verts plein d'félinité, un battement d'cils et ça te tourne la tête pour d'bon, t'as même pas le temps de détourner le regard que ça y est, t'es ensorcelé. C'qui est triste dans tout ça, c'est qu'il faut que j'vois Sage plus bas que terre pour m'dire à quel point elle est jolie, que cet éclat qui lui illuminait les yeux il est plus là et j'le remarque que maintenant. J'aurai pu me retourner sur elle si y a avait pas eu Emma à l'époque où j'lai connu, c'tait tout à fait mon genre. « Tu m'as démasqué, tu m'donnes de la fièvre » J'me faisais du vent en agitant mes mains d'une manière exagérée allant même jusqu'à tirer la langue comme si j'creuvais vraiment de chaud. J'veux bien me prêter à n'importe quel petit jeu tant que c'est un sourire qu'il y a sur le visage de Sage et pas une grimace de douleur car un souvenir lui revient en tête, hantant ses pensées et l'empêchant d'avancer. J'haussais les sourcils en l'entendant critiquer mon bateau, ouais c'est pas le joli paquebot avec les vahinés qui t'accueillent en bas en t'enfilant un collier de fleurs, mais moi j'suis à bord depuis tellement longtemps que j'my suis habitué, un peu comme Jack Sparrow et son Black Pearl, le petit signe démoniaque en moins. « J'veux partir au Pérou et élever des lamas, fumer de la marijuana avec un poncho sur le dos et une flûte de pan à la ceinture, tu m'suivrais ? » C'est qu'une moitié de délire, j'veux vraiment finir ma vie dans un coin paumé de la planète à faire quelque chose de fou, sauver les bébés outangs-outans des braconniers en portant un pagne de feuilles en Indonésie, travailler dans un laboratoire illégal de métamphétamines au détour de Mexico, chasser les trésors enfouis des Caraïbes, n'importe quoi tant que ça relève de la démence. Ce que venait de dire Sage m'faisait réfléchir, Kalista serait quoi sans son nom de famille ? Une simple fille d'une prof de sociologie, comme il en existe des milliers mais juste parce que son père porte le nom Petrova automatiquement elle devient supérieure et tout l'monde s'écarte de son chemin. « On devrait provoquer le renversement du gouvernement et instaurer l'anarchie pour montrer qui est capable de survivre » J'affichais un sourire ambitieux, moi je suis pour la fin du monde dans un chaos sans nom, et non j'suis pas du tout influencé par Fight Club, ou alors qu'à quatre-vingt-dix pour-cent, c'est rien. J'pouffais en imaginant la scène, quand ça arrive aux autres c'est drôle ouais mais quand Kali a décidé d'me gâcher la soirée comme ça j'avais moins envie de rire et plus de la tuer, littéralement. J'fermais les yeux en respirant doucement, les caresses de Sage aidant à m'apaiser alors que d'habitude le sujet Petrova est risqué. « J'crois que j'aime son souvenir, la fille que j'ai connu quand j'avais seize ans » J'me retournais sur le dos en tirant au passage Sage contre moi, passant mes bras autour d'elle avant de caler mon menton sur sa tête et de fixer le plafond. J'serai amoureux d'un fantôme c'est ça ? Pitoyable.© 2981 12289 0
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Qui aurait cru que je finirais là un jour ? Dans cette chambre, dans ses bras, cherchant le réconfort et la tendresse perdu et que je n'aurais jamais pensé perdre. Toutes les bonnes choses ont une fin comme on dit, tout finit par se terminer un jour, tout, même le plus beau des amours qu'on pense indestructible vole en éclat, me tailladant le visage et le cœur de ses bouts de verres. Harlow et son visage ravageur, ses yeux durs et sa fossette dans ses rares sourires sincères. Un homme aussi détruit que moi, un homme qui a un lourd passé enchaîné à ses chevilles, qui marche de force alors qu'il aimerait lui aussi tout envoyer chier d'une minute a l'autre, une bombe à retardement prête à exploser. En fait, mon problème c'est que je reste éternellement attiré par les mauvais garçons, par ceux qui finiront un jour ou l'autre par me détruire un peu plus. Je sais pas pourquoi j'avais pas vu son charme dès le premier abord, sûrement que j'étais trop aveuglé par le phénomène Noah.. Je le regarde s'agiter sous mes yeux, se faisant de l'air avec sa main et mimant une fausse montée de température soudaine. - T'as trop de fièvre là j'crois ! Je lâche en venant poser le dos de ma main sur son front. Je finis par hocher la tête activement d'un air faussement désolé. - J'crois même que t'as besoin d'un bon médicament.. Soufflais-je doucement en retirant ma main, quelques mots bourrés de sous entendus, un petit regard en coin avant de tirer de nouveau sur mon joint. On en venait à rêver d'un autre monde, un autre univers, partir sans se retourner, au milieu de rien et de tout à la fois, un sac à dos sur les épaules, juste le nécessaire et tout commencer à zero. Un nouveau départ, une nouvelle vie, une nouvelle identité, tout laisser tomber d'un jour à l'autre sans dire au revoir. Je froisse la bouche en écoutant son projet de se barrer élever des lamas au Pérou, faisant mine de réfléchir avant de tourner la tête vers lui. - J'te suivrais au bout du monde même.. Avouais-je en plantant mon regard sincère dans le sien. Ouais, je pouvais tout claquer sans aucun problème, j'avais plus rien qui me retenait ici, plus rien d'intéressant à attendre. Ça me tente bien les lamas après tout, pourquoi pas ?! Une vie de vagabond, tracé la route au vent, subir les tempêtes, le froid mortel, découvrir les endroits démunis de vie et d'espoirs, vivre au milieu de la misère, j'en trouverais une vraie famille là-bas, j'en suis certaine. Ici, les gens sont moches, hypocrites, égoïstes, menteurs, seuls leur petites personnes comptent et je suffoque au milieu de tout ces gens qui ne me ressemblent pas. - Aucun de ces connards ne survivraient et j'ai envie de dire que c'est pas plus mal au fond ! Dis-je dans un petit sourire mesquin. On rêvait d'un tas de choses l'un contre l'autre, des rêves plus tordus les uns que les autres et c'est ça que j'aime avec lui.. Tout est tellement plus fluide, plus vrais, on se comprend, rien ne nous sépare, on est pareil. Pourquoi j'ai longtemps cherché après celui qui ne m'aurait jamais comprise ? Qui ne m'aurait jamais regardé comme Harlow me regarde, c'est à dire comme Si j'étais "normale" et non pas une grosse merde parce que son compte en banque est plus garnit que le mien. Je le haïssais, je détestais Noah et pourtant, même là, son souvenir vient me tacler. Je repense au jour où j'ai pu l'envoyer en garde à vue, où j'avais joué une comédie merdique mais j'étais allé trop loin ce jour-là.. Je m'en voulais encore de ce que son père lui avait fait subir par ma faute. Et le rire d'Harlow m'arrache aux regrets, au passé mort et éteint. Ma main continue de danser avec sa peau, descendant jusqu'à sa cuisse pour remonter à sa joue, doucement. - Les fantômes.. Faut les chasser un jour ou l'autre. Sûrement qu'à seize ans elle était encore la jeune femme naïve, la petite adolescente perdue qui tombe amoureuse d'un pauvre.. Jusqu'à ce que son éducation prenne le dessus, que ses parents donnent vie au monstre qu'ils ont créés. Je sens Harlow me tirer jusqu'à lui, son étreinte se resserrant, ses bras autour de moi me font terriblement de bien. J'enfouis mon visage dans le creux de son cou, déposant quelques baisers au passage, mes bras s'enroulent autour de lui et mes mains glissent sous son haut pour venir caresser la peau nue de son dos.




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❝ SAGOW + On ne peut se protéger de la tristesse sans se protéger du bonheur. ❞Cry baby, cry baby C'est dans les coups durs comme ça qu'on se rend vraiment compte d'la nature des gens, qu'les masques tombent et laissent place à la vérité, une aventure humaine. Lors d'ma première beuverie avec Sage j'tais bien d'accord pour dire qu'elle avait pas froid aux yeux et que quasiment rien pouvait l'atteindre, une sorte de fille qui se sert des autres dans son intérêt et tant que ça l'amuse, ça me dérangeait pas puisqu'on avait passé la nuit à boire et à se lancer des défis sans vraiment en apprendre plus l'un sur l'autre. C'est triste d'arriver à la conclusion qu'il ai fallu qu'elle soit plus bas qu'terre pour venir toquer à ma porte chercher du réconfort, et j'me demanderai toujours pourquoi. L'feeling est bien passé c'est certain, mais sans plus y'a pas eu ce déclic dès qu'nos regards se sont croisés, alors qu'est-ce qui fait que j'peux la rassurer sans même m'en rendre compte ? J'suis pas un gars qui attire confiance en apparence, mais p'têtre que Sage elle a vu au delà des apparences comme moi maintenant, que j'me rends compte qu'elle a besoin d'une personne pouvant s'tenir à côté d'elle pour lui tenir la main et l'aider à avancer dans la vie sans avoir peur à la moindre silhouette qui s'profile au coin d'une rue. Quoi d'mieux de dédramatiser les évènements en apparence, j'suis pas fait pour rester sérieux pendant une trop longue période alors jouons sur la corde d'la comédie, arrachant quelques sourires par-ci par-là. « Ouais ça doit être ça, et j'sais parfaitement comment m'guérir » J'en profitais pour lui voler d'entre les doigts le joint une fois qu'elle avait pris une inspiration, j'tiens à ma vie et l'empêcher de fumer serait sûrement une très, très mauvaise idée, du moins suffisante pour avoir un bras en moins et manque d'bol j'en ai besoin. J'jouais avec entre les doigts en regardant la fumée s'envoler, ouais j'veux que mon quotidien il soit embrumé par cet air à l'odeur d'herbe dans un coin paumé de la Terre, c'est ça mon paradis depuis que j'suis ado alors j'compte pas abandonner cette vie utopique à vivre comme bon m'semble. On rêve, on est encore des enfants paumés dans un monde trop dur et mené par les adultes pour s'y sentir bien, alors s'imaginer des scénarios à dormir debout ça apaise un peu c'mal de vie qui nous brûle et nous consomme au fond. « C'est où l'bout du monde pour toi ? » J'me posais la question sérieusement, c'est à quel endroit le "bout du monde" en vrai ? Ça dépend d'la configuration de chacun et tout ça, alors pour Sage c'est de quel côté et ça ressemble à quoi ? Pour certaines personnes c'est juste la ville d'à côté, à la limite l'état voisin mais moi je veux vraiment vivre le choc culturel à en être sur l'cul, voir des trucs qu'ils passent que dans les documentaires sur les chaines intellectuelles là, pas ces reportages qui empestent l'argent sur Ibiza ou Paris. Et après l'paradis on s'met à créer cette société anarchique où l'pouvoir revient à ceux qui ont connu la galère, une sorte de purge d'la planète pour que les pauvres gens aient un peu de gloire eux aussi. Même si j'ai grandi dans un certain confort avec des parents influents, j'ai plus rien à voir avec ce style de vie, j'roule pas en Ferrari et j'ai pas l'dernier Iphone, mon studio fait la taille d'un vestiaire et tout ça me convient, bien plus qu'une maison avec huit chambres et trois piscines. « Une sorte d'Hunger Games mais inversé, j'veux voir tout ça arriver » J'avouais avec un sourire mesquin ouais, c'est pas bien d'souhaiter du mal aux autres mais ça tombe à pique, j'suis pas quelqu'un de bien alors ça s'arrête là les remontrances ça m'passe au dessus comme la crise économique ou l'débat sur la légalisation des drogues, j'fais ce que je veux. J'frissonnais légèrement aux baisers de Sage, l'cou ça doit être l'point faible de beaucoup d'monde. J'lui redonnais sa roulée après avoir pris une énième taffe, laissant mes doigts glisser sur son bras comme un peintre promenant son pinceau sur sa toile. « Sauf qu'ils arrivent toujours à te hanter » J'reconnais que c'moi qui ai été vers Kali les deux fois, mais à chaque fois elle est restée pour m'faire face et me montrer que j'tais plus rien pour elle, elle est entrée dans mon jeu pour mieux m'faire tomber.© 2981 12289 0
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