Riptide pv ADAM (a)

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Riptide • ★★★

Mes yeux avaient eu du mal à s’ouvrir. La lumière s’était subitement rallumé et les porte venait de s’ouvrir. Je restais perdue dans se baiser aussi savoureux que surprenant. Gardant encore le secret sur l’homme qui se trouvait en face de moi. Difficilement mes yeux se rouvrirent. C’est seulement après quelques secondes que mon champ de vision s’était adouci rendant les choses bien plus net. Mes lèvres s’étaient reculé de celle de l’inconnu en voyant le visage d’Adam posté juste devant l’ascenseur. Les battements de mon coeur s’étaient arrêtés. Mes joues étaient rouges et pour tout vous avouez je ne savais pas comment réagir. La fureur se lisait sur le visage d’Adam. Il voulait me tuer et rapidement l’énervement me montait aux joues. Il s’approcha de moi rapidement éloignant l’étudiant qui se trouvait devant moi. Mon visage s’arrêta sur l’inconnu. Voilà donc à quoi il ressemblait. Je le détaillais avant de reporter mon attention sur la main d’Adam. Elle venait de se refermer violemment sur mon bras m’entrainant avec lui à l’extérieur de l’ascenseur « HEY ! D’OU TU TE PERMETS DE ME TOUCHER ! RETIRE TES SALES MAINS !» dis-je en m’énervant. Je ne me débâtais pas et en réalité je cherchais à l’affronter. Il me trimbala avec lui avant de se diriger vers le balcon de l’hôtel. Un petit couple était assis un peu plus loin, ma main se reporta à la bretelle de mon T-shirt. « Qu’est-ce qui a ! Tu as un problème ? Charlie n’est pas là pour répondre à tes attentes ! hein !» dis-je méchamment tout retirant mon bras. Il m’avait fait mal ce connard !

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Riptide • ★★★

Le summer camp d’Adam connaissait des hauts et des bas. Un coup, il se réconciliait avec Victoria, l’heure qui suit, il se sent une nouvelle fois trahi. Elle ne lui avait pas dit toute la vérité. C’était valable pour Charlie, avec qui, il s’était pour la énième fois disputer. Cela allait devenir une routine ennuyeuse. Il avait l’impression de la perdre avec ses conneries. Mais c’était aussi valable pour Billie, un coup, c’était l’amour fou, l’autre, la troisième guerre mondiale. Il ne savait pas sur quel pied danser avec la jeune femme. Elle le rendait dingue. Totalement dingue. Adam est perdu dans ses pensées. Aujourd’hui, c’est une journée banale, totalement banale. Enfin, c’est ce qu’il pense naïvement. Il appuie sur le bouton de l’ascenseur, attendant patiemment, afin de pouvoir rejoindre sa chambre. Les portes s’ouvrent et il a une vision d’horreur. Son visage change radicalement d’expression et il est pris d’une colère incontrôlable. Voir Billie embrasser un autre homme que lui le rend dingue. C’était impensable. C’était inacceptable. Il ne réfléchit pas une seconde, avant d’arracher violemment la blonde des bras masculins. Pendant un instant, il croit reconnaître Jamie, mais n’y fait guère attention. Elle proteste alors qui la sort de la boîte métallique « HEY ! D’OU TU TE PERMETS DE ME TOUCHER ! RETIRE TES SALES MAINS !» Cette vision de Billie le dégoutait, mais aussi, l’avait atteint en plein cœur. Ces deux coups en pleine poitrine, il ne s’y était pas préparé. Elle se débat, il ne cède pas, et l’entraîne sur un petit balcon, loin des regards indiscrets. Il referme le porte derrière eux, elle ne sortira pas d’ici tant qu’il n’avait pas eu d’explications. « Qu’est-ce qui a ! Tu as un problème ? Charlie n’est pas là pour répondre à tes attentes ! hein !» Il reste un instant interdit. La blonde en profite pour retirer son bras de son emprise. Tout s’assemble soudainement dans la tête du croate.. La colère monte en lui telle un volcan en pleine éruption. C’était donc ça le mystérieux appel de Charlie. C’était donc elle qui avait répondu à sa place. Tout de suite Adam comprend les accusations de la quincy. « Putain c’était toi qui a répondu à ma place quand Charlie m’a appelé ? » Adam rentre dans une colère noire. A cet instant, il est incontrôlable, Bilile vient de réveiller le monstre endormi en lui. Impulsivement, il pousse la jeune femme contre le mur. Les deux mains masculines viennent de plaquer de prt et d’autre des épaules de la blonde. Il la tient fermement et ne la quitte pas des yeux. « C’ÉTAIT TOI ? » accuse-t-il un peu trop fort. « D’où tu te permets de t’introduire dans MA vie comme ça ? » A cet instant, il déteste d’avoir rencontré Billie.

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Tout s’enchainait à une vitesse folle depuis que les portes de l’ascenseur s’était ouverte. Mon regard s’arrêta sur l’étudiant. Je pouvais voir les veines de son coup sortir. Il était en colère autant en colère que moi. Seulement, il ignorait encore toute les raisons qui m’avaient pousser à me satisfaire avec le premier venu. Une fois sur le balcon, je m’étais éloignée de lui tout crachant quelques bonnes paroles. Charlie ? hein ou était-elle sa fameuse charlie ? « Putain c’était toi qui a répondu à ma place quand Charlie m’a appelé ?» mes sourcils se froncèrent prête à répendre mon venin. Il ne me laissa pas le temps de répondre et s’approcha de moi rapidement. Sauvagement, il me plaqua contre lui empoignant fermement mes épaules. Mon regard vrillait complètement. Il était énervée mais je l’étais également. Mes yeux se fermèrent en sentant mon dos contre le mur avant de se rouvrir. « C’ETAIT TOI ?» il était fou, sa voix était forte et important. Le couple se retourna machinalement vers nous. « OUI C’ETAIT MOI !» dis-je sans broncher. Ma curiosité mal placé m’avait encore amener sur un terrain glissant je le savais. Mon regard fusillait celui de l’étudiant « D’ou tu te permets de t’introduire dans ma vie comme ça ?» Mes mains cherchaient à le repouser et se posaient contre son torse. Mes sourcils se froncèrent avant de finalement rire au éclat. « M’INTRODUIRE DANS TA VIE ?! TU SAIS QUOI ADAM ! Y A PLUS RIEN QUI M’ETONNE DE TOI.» dis-je en le forçant à tenir ces distances avec moi. J’étais mauvaise et mes paroles sortaient sans le moindre filtre « de mec qui se frotte à la mafia au mec qui se tape presque tout harvard ! NON PLUS RIEN NE M’ETONNE ET BIZARREMENT MA CURIOSITÉ N’A PLUS A ETRE COMBLER ! » dis-je méchamment avant de subitement me rendre compte de ce que je venais de dire. Comme pour fuir cet aveux, je lui fis : « et toi ! en me coupant de ma baise torride, tu crois pas que tu t’inities aussi dans ma vie !» dis-je en gardant les sourcils froncés.

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Il était hors de lui. Elle allait lui sortir par les yeux. Bientôt la fumée allait sortir de ses oreilles tellement il était fou de rage qu'on ait fouillé dans son portable. Billie n'avait qu'empirer la situation délicate dans laquelle il était avec Charlie. Elle allait le détester à vie. « OUI C’ETAIT MOI !» Lève les yeux au ciel. C'était une peste, une fouteuse de merde. « M’INTRODUIRE DANS TA VIE ?! TU SAIS QUOI ADAM ! Y A PLUS RIEN QUI M’ETONNE DE TOI.» Arque les sourcils. Il n'est pas sûr d'avoir saisi la totalité de ses paroles. Que voulait-elle exactement dire par-là ? Soudainement, l'eliot décide d'ouvrir sa bouche et lancer son venin. Un venin qui atteint violemment le croate. « de mec qui se frotte à la mafia au mec qui se tape presque tout harvard ! NON PLUS RIEN NE M’ETONNE ET BIZARREMENT MA CURIOSITÉ N’A PLUS A ETRE COMBLER ! » Se fige sur place, retient sa respiration, avant d'exploser. Le volcan Katrya était en éruption « Quoi ..? Comment ? COMMENT TU SAIS ? » Explose-t-il. Elle avait fouillé, c'était obligé. Personne ne connaissait ses détails. Personne. Cela était censé rester confidentiel. Dis moi que c'est un mauvais cauchemars. Mais nan, elle continue à répandre son poison. « et toi ! en me coupant de ma baise torride, tu crois pas que tu t’inities aussi dans ma vie !» Ca c'était la meilleure. Il explose de rire, se foutant complètement de sa gueule. « Oh mille excuses d'avoir couper votre moment de baise. » lance-t-il sarcastique. « Franchement c'est tout ce que tu mérites pour avoir fouiller dans ma vie. » Il n'était absolument pas désolé. Il était même très satisfait d'avoir réduit à néant sa partie de jambes en l'air. « Tu sais quoi Billie ? Tu n'es qu'une salope manipulatrice et fouineuse. Vas retrouver ton gars là, car contrairement à toi, t'es la seule meuf que je me suis tapé. LA SEULE T'ENTENDS ! » C'est comme un cri du coeur poussé par l'énervement. Elle pensait tout connaître de lui ? Elle se mettait le doigt de l'oeil. Le croate avait peut-être embrassé d'autres filles, mais aucune ne s'était démarquée comme Billie. Aucune. Il avait même dit à Victoria qu'elle lui plaisait. Grave erreur. Il n'avait pas prévu de lui avouer comme ça, pas de ses conditions, pas dans cette situation. Mais c'était sorti tout seul. Il regrette déjà ses mots. Il regrette d'avoir croisé sa route. Il la déteste de tout son être. Il la déteste. Il ne comprend pas comment il peut être attirée par une fille comme ça. C'est le diable en personne. « La prochaine fois apprend à mieux fouiller. »

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Ma curiosité mal placée m’avait toujours amené là ou je l’avais souhaité. Je ne m’étais d’ailleurs pas gêner avec Adam, refoulant un peu plus les limites qui m’avaient été imposé à la prison de Boston. Ce mec avait toujours attiré mon attention même entre ces murs, mon yeux s’étaient baladés volontaire sur ces quelques dossier. Problème de jeux, Problème d’argent, problème avec la mafia, problème de violence. Un tas de chose qui m’avait pourtant pas éloigner de lui. Ces erreurs m’avaient poussé à en savoir plus sur lui. Et derrière, le connard qu’il jouait de façon presque perpétuelle se cachait un homme charmant. Ma tête se recula. J’avais lâcher le morceau et comme une abruti je n’avais rien vu venir, m’emprisonnant moi même dans ma connerie. Ce mec m’obstinait malgré moi. « Quoi... ? Comment ? COMMENT TU SAIS ?» son ton était tranchent et froid. Il ne laissait plus de place au doute. Il était furieux et sa colère animait la mienne. « Comment je sais ? réfléchis deux secondes Adam ! J’étais la stagiaire de ta psychiatre, comment crois-tu que je le sais ! Un regard et j’avais sous les yeux le récit de ta vie alooooors oui j’ai regarder.» dis-je méchamment en fronçant les sourcils. Rapidement, le rire d’Adam me coupa net. Son rire était agaçant et réveillait en moi un profond désir de meurtre. J’avais envie de le tuer pour son audace et pour l’impact qu’il arrivait à avoir dans ma vie. Depuis que je le connaissais beaucoup de chose avait changer. « Oh mille excuses d’avoir couper votre moment de baise.» mes yeux se fronçaient tandis qu’il relâchait ces mains de mes épaules. Il gardait toujours cette même distance. Il était trop prêt. Beaucoup trop prêt ! « Franchement c’est tout ce que tu mérites pour avoir fouiller dans ma vie.» je levais ma tête et finis par lever les yeux au ciel. Consciente que j’avais mis mon nez ou il ne fallait pas. Je ne me voyais pas l’avouer et je lui fis : « Oh arrête deux secondes de faire l’enfant ! » dis-je péniblement avant de poser à mon tour mes mains sur ses épaules pour le faire reculer. Mes pauvres muscles ne le firent même pas bouger d’un centimètre et il fit : « Tu sais quoi Billie ? Tu n’es qu’une salope manipulatrice et fouineuse. Vas retrouver ton gars là, car contrairement à toi, t’es la seule meuf que je me suis tapé. LA SEULE T’ENTENDS !» mes sourcils se froncèrent un peu plus en l’entendant crier. La seule ? mon esprit venait de faire un bon tandis que mon corps lui se précipita sur Adam. Violemment, mes mains le poussaient en arrière cherchant à me défaire de lui. « VA TE FAIRE FOUTRE ADAM !» mon corps s’extirpa avant de sentir rapidement la main d’Adam sur mon bras. Sauvagement, je lui fis : « tu ne vas pas me faire croire que cette charlie, tu ne l’as pas baisé ! TU L’AS EMBRASSE SOUS MES YEUX ADAM ! TU TE SOUVIENS HEIN ! Et puis elle te regarde comme des yeux coquères, alors ne me fait pas croire un seul instant que je suis la seule à combler tes putains d’envies. Parce que je te croirais pas !» têtu la fille, difficile à croire qu’Adam n’avait eu que moi depuis que je le connaissais. « La prochaine fois apprend à mieux fouiller.» je bougeais mon bras pour me défaire de son emprise avant de subitement me coller contre lui et de lui dire droit dans les yeux. « Lâche moi ou je crie !» dis-je entre mes lèvres. Ma mâchoire était serrée. Son regard était provocateur et froid. Je plissais des yeux et fis en criant « AU SECOUUUUUUUUUUUR ! IL VEUT ME VIOLER ! »

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« Comment je sais ? réfléchis deux secondes Adam ! J’étais la stagiaire de ta psychiatre, comment crois-tu que je le sais ! Un regard et j’avais sous les yeux le récit de ta vie alooooors oui j’ai regarder.» Il avait été con de lui faire confiance, vraiment con. Il lui balance tous ses reproches à la figure, et elle trouve comme seule défense : hurler. « VA TE FAIRE FOUTRE ADAM !» « Avec plaisir ! Et pas avec toi, j'vais aller voir mes autres "copine" comme tu dis. » L'espace d'un instant, ils avaient joué les parfaits amoureux devant Victoria, dans le seul et unique but de rentre sa meilleure amie joueuse. A cet instant, il avait trouvé un commun accord qui les rendait  tous les deux services. Mais cette fois-ci, leur guerre avait repris de plus belle. C'est lui contre elle. Et il allait la détruire pour avoir fouiller dans sa vie privée. Cela le rendait dingue, elle savait tout de lui, ses secrets les plus profonds, les plus intimes, les plus douloureux. Et lui dans tout ça ? Rien. Il allait lui faire payer. « tu ne vas pas me faire croire que cette charlie, tu ne l’as pas baisé ! TU L’AS EMBRASSE SOUS MES YEUX ADAM ! TU TE SOUVIENS HEIN ! Et puis elle te regarde comme des yeux coquères, alors ne me fait pas croire un seul instant que je suis la seule à combler tes putains d’envies. Parce que je te croirais pas !» Elle était aveugle ou quoi ? Elle ne voyait pas comment Adam la regarder. Oui, elle, Billie. A chaque fois qu'il posait son regard sur elle, son esprit devenait fou. A chaque fois, qu'elle le touchait, son corps perdait le contrôle. C'était elle qui le rendait dingue et pas Charlie. Elle avait vraiment de la merde dans les yeux. « Putain mais tu comprends RIEN. Tu ne vois RIEN. Charlie je l'ai jamais touché, je l'ai juste embrassé. Franchement si t'es pas fichue de faire la différence entre embrasser et baiser quelqu'un, t'es la pire psychiatre que je connaisse. » Se moque-t-il méchamment. C'était pas ça leur métier, analyser et comprendre le comportement des gens ? Billie n'était pas fichue de le faire, c'était le comble pour une stagiaire en psychiatrie. Le croate sentit qu'il l'avait poussé à bout. Peut-être avait-il dit le mot de trop ? Il s'en fiche royalement à cet instant. C'est elle qui l'avait cherché. C'est elle qui avait fouillé dans sa vie privée. C'est elle qui s'était introduit de sa vie. Il avait tant de reproches à lui faire à cet instant. Elle commence à se débattre. « Lâche moi ou je crie !» Ses doigts s'enfoncent encore plus dans les épaules féminins. Il contient la colère qui menace d'exploser en lui, et cela, passe par la force, par la violence. Peut-être qu'il aurait dû accepter de suivre ses séances avec le psy. Soudainement, elle le pousse, se défait de son emprise et se met à hurler de toutes ses forces. « AU SECOUUUUUUUUUUUR ! IL VEUT ME VIOLER ! » Billie aussi car elle est aussi folle que lui. Mais c'est pour cela qu'ils s'accordent si bien. Sans réfléchir, il fait un pas vers elle, et plaque sa main contre ses lèvres.  « Tu vas te taire. »  Gronde-t-il. Il continue à avancer, forçant Billie à reculer. Bientôt, elle se retrouve au bord du balcon. Adam était beaucoup trop énervé à cet instant pour avoir l'esprit clair. Il lui en veut à mort. Il veut la punir pour ce qu'elle a fait. Il décide alors de la prendre dans ses bras. Avec sa force, il la porte, s'approche encore plus du rebord, jusqu'à ce que Billie se retrouve dans le vide. Heureusement pour elle, il y avait la piscine de l'hôtel en dessous. Il allait être sans pitié.  « Donne moi une bonne raison de ne pas te lâcher. » menace-t-il.

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Les battements de mon cœur s’emballaient au fur et à mesure de la discutions. Je fronçais mes sourcils et déchaînais toute ma colère que j’avais pu accumulé depuis le fameux coup de fil de Charlie. Cette fille m’avait rendu dingue. Adam ne m’appartenait pas mais bizarrement le savoir avec une autre fille que moi me dérangeait. Dans l’ascenseur, je m’étais mise au même niveau que lui. Il était un connard plein de ressource, j’allais être une connasse pleine de ressource. Loin de me douter que j’étais en train de me faire des films sur la relation Adam/Charlie. Il me fit « Avec plaisir ! Et pas avec toi, j’vais aller voir mes autres ‘ copines’ comme tu dis.» mon regard s’était assombri. Continue Adam, continue à envenimer ce feux qui ne demandait qu’à sortir. j’étais rouge, mes mains tremblaient légèrement. Je continuais à cracher mon venin, tentant de le repousser le plus possible. Cette proximité me donnait envie de vomir. Il me répondit tout aussi froidement que moi. « Putain mais tu comprends RIEN. Tu ne vois RIEN. Charlie je l’ai jamais touché, je l’ai juste embrassé. Franchement si t’es pas fichue de faire la différence entre embrasser et baiser quelqu’un, t’es la pire psychiatre que je connaisse.» Il se moquait de moi ouvertement. Son regard était froid mais son mini sourire me glaçait sur place. Je ne voulais plus rien entendre de sa sale bouche. Je me débattais mais ces mains s’enfonçaient un peu plus sur ma peau. Il me faisait mal l’enfoiré. Rapidement, je me mis à crier comme pour le pousser à me lâcher. Sans attendre la main d’Adam se plaqua sur mon visage. Le son de ma voix était étouffer. et il me fit : « Tu vas te taire.» mon regard s’arrêta sur le couple. Ils s’étaient relever pour nous observer. Un regard inquiet se dirigea vers nous. Intervenez putain ! Non ils restaient là à regarder. Il avança m’obligeant à faire de même. Je reculais refusant de me complaire au silence. Je marmonnais entre ces mains. On ne comprenait rien mais je n’avais pas envie de me taire. Il m’obligea à reculer jusqu’au bord du balcon. Mes mains attrapaient le rebord et mes sourcils se froncèrent. Sans m’y attente, il se baissa et m’attrapa. Mes mains se placèrent instinctivement autour de sa nuque et il me souleva contre lui. « Qu’est-ce que tu fou bordel !» dis-je avant de changer complètement d’expression. L’énervement venait de laisser place à la peur. Il me passa au dessus du balcon. Seule ces bras me retenaient du vide qui m’attendait. « Donne moi une bonne raison de ne pas te lâcher.» Ces muscles étaient ressortis et mes bras se resserraient autour de sa nuque. « Tu es sérieux là !» dis-je faiblement. Voilà que j’étais calmée. Le vide m’effrayait. « Tu es un grand malade ! Un putain de gros malade !» dis-je faiblement entre mes lèvres avant de lui dire : « Tu sais quoi adam.» mon regard se releva et se plongea dans son regard. « Je ne regrette pas ce que j’ai fais ! Parce que si je ne l’avais pas fait je n’aurais jamais couché avec toi et je n’aurais jamais eu envie de te connaitre plus ! ALORS MAINTENANT LÂCHE MOI» dis-je et là sans comprendre. La pression de ces bras se desserra ne me laissant même pas le temps d’inspirer. Mes yeux se fermèrent et l’eau se plaqua contre mon corps. La piscine était juste en dessous. Petit connard !

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« Tu sais quoi adam.» Je t'écoute. C'est ta dernière chance de te rattraper, pense-t-il intérieurement. « Je ne regrette pas ce que j’ai fais ! Parce que si je ne l’avais pas fait je n’aurais jamais couché avec toi et je n’aurais jamais eu envie de te connaitre plus ! ALORS MAINTENANT LÂCHE MOI» Avouait-elle enfin qu'Adam lui plaisait ? Il prend ça pour un "oui", sauf que cela ne l'empêcha pas d'aller jusqu'au bout de sa vengeance. Le croate détendit son emprise, ses muscles se lâchèrent et Billie tomba dans le vide. Enfin presque. Le corps féminin heurta violemment l'eau. Les regards se retournèrent vers eux, vers lui. Il a ce sourire jusqu'aux lèvres, ce sourire diabolique. Adam était sérieusement dérangé. Voilà, ce qui arrivait lorsque vous refusez de consulter un psy. Voilà ce qui arrivait lorsque vous tombez sous le charme de la petite stagiaire en psychiatrie. Il fallait être aussi timbré que les détenus pour faire ce métier. Billie et Adam étaient en train de tomber dans la folie. Ce poison qui consume doucement votre corps, votre esprit, puis votre coeur. L'esprit masculin était déjà perdu. Regardez-le. S'il avait toute sa tête, il n'aurait jamais jeté Billie d'un balcon. Pourtant il l'avait fait. Il était fou, complètement fou. Billie le rendait dingue. Pour elle, il était prêt à faire les choses les plus folle pour attirer son attention. Et cela semblait plutôt bien marcher. D'ailleurs, le croate avait une petite idée pour fêter sa victoire. Il est toujours là, en haut de son balcon. Sourire aux lèvres, il attend que Billie refasse surface. Soudainement, la tête blonde sort de l'eau, le regard noir. Adam, quand à lui, éclate de rire, avant de lui offrir un magnifique fuck. Eh oui, il a gagné. 1-0. Le croate décide d'enlever son haut. Il prend son temps, afin que Billie puisse bien admirer ses abdos qu'elle ne pourra pas toucher. Puis, il monte sur le rebord du balcon et plonge, comme un poisson dans l'eau. En remontant à la surface de l'eau, il s'approche de Billie et vient lui murmurer provocateur à son oreille « Je te laisse avec tes copines "les baleines". Pendant ce temps, tu m'excuse, mais j'dois aller voir ma copine. » Pas toi Billie, tu n'as plus ce privilège, tu la laissais filer entre les doigts. Quel dommage. Adam voulait se venger. Il voulait que Billie ressente la douleur qu'il avait eu, lorsqu'il l'avait vu embrasser Jamie. De la vengeance pure et dure. Il s'éloigne de l'eliot et va voir une jolie fille un peu plus loin dans la piscine. Pas trop loin non plus, Billie devait voir le spectacle. Le croate glisse quelques belles paroles à l'oreille de la belle inconnue. Il passe une main autour de la taille féminine et quelques minutes plus tard, il l'embrasse. Tiens prend ça dans ta face Billie. Si tu tiens à moins, t'as qu'à te battre pour m'obtenir.

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Loin d’imaginer une telle tournure, il m’avait volontairement lâché dans le vide. L’enfoiré, mon corps s’engouffrait dans l’eau tiède de la piscine et une espèce de soulagement me consumait de l’intérieur. Je n’étais pas morte et aussi étrange que cela puisse paraître, j’étais soulagée de me sentir toujours en vie. Je n’avais mal nul part. Je n’avais rien de cassé. Je remontais à la surface et mon regard se porta immédiatement à l’étudiant. Un sourire s’était inscrit sur ces lèvres. Ce sourire qui me donnait envie de l’étrangler. Celui qui montrait qu’il avait gagner et que j’avais une nouvelle fois perdu. Mes défaites s’enchainaient et je détestais perdre face à lui. Tout le monde nous dévisageait surpris par la scène à laquelle il venait d’assister. Je plissais les yeux avant de l’entendre rire. Il se foutait royalement de ma gueule et cette situation ne me plaisait pas du tout. Son doigt s’avança en ma direction et il me fit un gros fuck. L’enfoiré. Je fis une moue baissant le regard. Si il croyait une seule seconde que j’allais lui répondre, il se foutait le gros doigt dans l’oeil. Prête à me diriger vers le bord de la piscine, je le vis sauter du balcon et plonger dans l’eau. Mon regard se porta sur sa silhouette qui se déplaçait dans l’eau pour me rejoindre. Il sort sa tête de l’eau et nos regard se croise. Doucement, il s’approche « Je te laisse avec tes copines les baleines. Pendant ce temps, tu m’excuses, mais j’dois aller voir ma copine.» mes sourcils se froncèrent délicatement ne comprenant pas tout de suite ce qu’il allait faire. Il s’éloigna pour se rapprocher d’une demoiselle. Mon regard était insistant, mes lèvres touchèrent l’eau au moment ou il approcha son visage de cette fille pour venir l’embrasser. Ce même baisés qui avait hanter mon esprit. Ce même baisé qui m’avait rendu folle. Je détournais le regard, hésitant à fuir. Ma gorge se serra et mes sourcils se froncèrent un peu plus. Il était sérieux, il était sérieux et sans le voir venir ma haine revenait me hanter. Je me dirigeais vers l’étudiant et sa copine. Arriver à leur niveau, ma main se posa sur l’épaule d’adam et mon regard le fusilla avant de venir plaquer fortement mon autre main sur sa joue. Ma gifle résonnait partout dans la piscine. Les regards s’étaient une nouvelle fois tourner vers nous et je fis à la fille : « Tu sais quoi, je te le donne !» dis-je entre mes dents avant de partir de la piscine. Éclate toi ! Éclate toi parce que avec moi tu n’auras plus rien.

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Diabolique jusqu'au bout, Adam voulait rendre folle Billie, il voulait qu'elle soit aussi folle que lui l'était d'elle. Maintenant qu'elle était rentrée dans sa tête, qu'elle hantait son esprit jour et nuit, qu'elle connaissaient ses moindres secrets, il voulait sa recherche. Elle n'avait pas le droit d'entrer dans son jardin secret de la sorte. Pourtant, d'un autre côté, il trouvait cela attirant. Billie était assez folle pour mettre son travail en danger, de un en fouillant, de deux, en fréquentant un ex détenu. Parfois, c'était à se demander lequel était le plus timbré des deux. Chacun l'était à sa façon. Adam s'exprimait par la violence, qu'en à Billie, c'était par la manipulation. Car oui, s'il ne l'avait pas poussé à bout, il ne l'aurait jamais découvert. Il voulait avoir des réponses à des questions. Sauf qu'elle lui colle la gifle de sa vie. Les regards se tournent vers eux, tellement le bruit avait été fort. Bizarrement, Adam a le sourire aux lèvres, car il savait que ses gifles étaient affectives. Il n'a le temps d'en placer une, qu'elle s'était déjà enfuie de la piscine, visiblement très remontée.. Merde, le baiser n'était pas vraiment eu l'effet attendu. Laissant en plan, la pauvre victime de sa manipulation, il sort de la piscine afin de rejoindre Billie. La jeter du balcon, l'avait calmé d'un coup, et permit d'extérioriser. Cela lui avait procurait un bien phénoménal. Il rentre de nouveau dans l'hôtel, et aperçoit la silhouette féminine dans le couloir. Il presse le pas afin de la rattraper. Encore et toujours. Adam n'était jamais loin de sa Billie. « Alors White, on abandonne ? » lance-t-il pour attirer son intention. Elle tourne sa tête et il croise de nouveau ses iris bleutés. « Tu comptais me le dire quand ? T'es une sacrée menteuse. » Il est stupide d'avoir mis sa confiance en une inconnue. Ses airs angéliques étaient trompeurs, c'était un vrai démon à l'intérieur d'elle. Le croate avait fini par se rapprocher d'elle, laissant quand même une distance raisonnable entre eux.