Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(terminé) AUSTIN ▼ les jours passent mais ça ne compte pas j'ai tant de mal à vivre. ivre de ce parfum si différent du tien, pire. j'ai compté chaque minute qui me retient à lui, comme si j'étais ma propre prisonnière.
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(terminé) AUSTIN ▼ les jours passent mais ça ne compte pas j'ai tant de mal à vivre. ivre de ce parfum si différent du tien, pire. j'ai compté chaque minute qui me retient à lui, comme si j'étais ma propre prisonnière.

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Ces vacances étaient vraiment étranges. C'était bizarre d'être à Cleveland tout l'été et en plus.. D'y être avec Austin non loin de moi. J'avais eu pour habitude d'y venir seule et de juste profiter simplement de notre ville d'enfance. Sauf que cette année.. Il avait choisi cette destination aussi. Après une fin d'année catastrophique – sans parler du bal – j'avais eu besoin de partir et de ne pas surtout pas aller au Summer Camp. De toute façon, ça ne m'avait jamais réussi. À part l'année où nous avions commencé à sortir ensemble, le reste n'était que des mauvais souvenirs et nous étions déjà tous ensemble toute l'année alors j'avais besoin d'un break. Je n'avais aucune réponse à mes SMS d'Athéna et Emilia, donc je supposais qu'elles s'amusaient très bien sans moi. Heureusement que Lucas me répond sinon j'aurais pu croire à un Spring Break 2.0 et je préférais éviter de revivre un tel moment. Ce matin, j'avais proposé à Austin de venir chez mes parents pour prendre le petit déjeuner. J'espérais qu'il aurait sa journée de repos, parce que j'avais envie de passer du temps avec lui. Ce n'était pas la première fois que l'on se voyait depuis notre voyage côte à côte dans l'avion. J'aimerais tant revenir en arrière et ne pas avoir fait ce que j'ai fait. On aurait dit.. que ce n'était pas moi. Depuis quand étais-je manipulatrice au point de jouer sur deux tableaux ? C'était n'importe quoi. Je n'aurais jamais du aller au Japon et encore moins embrasser Andrew mais ce qui était fait ne pouvait plus être changé. De toute façon, il m'avait abandonné comme une vieille chaussette donc je ne pouvais m'en prendre qu'à moi-même d'avoir espérer n'importe quoi de sa part. La présence de mon mouton me ramenait sur terre et j'en avais grandement besoin. J'aimerais qu'il me pardonne un jour totalement mais.. Soit c'était impossible, soit il le ferait le jour de ma/ sa mort. Je suis toute en joie par cette vision de l'avenir.

La sonnerie me sort de mes songes alors que je me dépêchais de retirer mon tablier. Autant avoir l'air un minimum joli devant lui, même si ça n'a aucune importance désormais. Me dépêchant d'aller ouvrir, je tombais nez-à-nez avec lui. Austin. Ce garçon qui arrive toujours autant à me faire fondre et je me rendais compte à quel point j'ai été naïve de croire que je pourrais l'effacer en allant avec quelqu'un d'autre. Tant pis pour moi. « 1h50, tu es même en avance » dis-je avec un petit sourire amusée. En vrai, je ne sais pas exactement combien de temps il a mis et je m'en fiche. Il est là et c'est tout ce qui importe. Le plus compliqué reste qu'il est toujours aussi attirant et.. Même plus. Il a mûrit alors que dans le même temps j'étais repassée à l'âge « idiot » en allant voir un autre homme. M'écartant doucement, je le laissais entrer. Le fait de lui faire la bise est vraiment.. étrange. Quand il me l'avait faite dans l'avion, j'étais restée un peu bloquée. Autant parce que je préférais qu'il m'embrasse que le fait que nos peaux se sont touchées et.. Mon dieu, quelle sensation ! En tout cas, sa présence suffisait à me rendre heureuse et même si l'on avait l'air d'avoir tourné la page et de n'être que des amis, mon cœur s'emballerait toujours pour lui. « Tu peux aller dans le salon, j'arrive et.. fais comme chez toi quoi » souriais-je. Je savais qu'il avait l'habitude de le faire, mais ça faisait un moment qu'il n'était pas venu chez mes parents donc bon. Rien n'avait changé de place, mais la dernière fois qu'il était là.. C'était avant Harvard, quand même.
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J’avais reçu un message il y a quelques heures de la part de mon ex petite amie pour un petit déjeuner convivial chez elle. Il ne m’en fallait pas plus pour prendre ma journée (l’avantage quand c’est votre mère la patronne) de toute façon, je n’avais pas de contrat, c’était vraiment pour me faire de l’argent de poche si je puis dire. J’avais donc que deux petites heures pour me préparer et autant dire que j’avais été large -quoi que pas tant que ça- le temps de prendre une douche sans mouiller mes cheveux pour ressembler à un mouton mal réveiller, de choisir des fringues et me mettre en route, il était déjà pratiquement l’heure de filer.Bermuda/chemise, j’avais opté pour un truc très soft un peu à la mode des touristes, car bordel il faisait une chaleur étouffante dehors.

Autant dire que retourner chez Madisson me faisait vraiment bizarre et ce qui me perturbait encore plus, c’était de passer par la porte d’entrée. Non parce que soyons honnête entre nous, la dernière fois que j’étais venu chez elle ça devait remonter à notre adolescence du temps où nous n’avions pas encore connu Harvard et j’avais pris pour habitude de toujours passer par la fenêtre. Un vrai petit singe je vous jures. Je faisais retentire la sonnerie dans toute sa maison, un petit air mélodieux qui me rappelait toute mon enfance. La Madisson de mon enfance avait bien grandit depuis le temps et je ne le regrettais pas, car postée devant moi, elle était ravissante. Un simple coup d’oeil de sa poitrine à son visage, je lui souriais en lui faisant la bise. Je ne savais plus trop comment me comporter avec elle. Câlin, bise et j’en passe, alors j’optais pour le plus simple. “Je verrais toujours large maintenant, comme ça je serais toujours en avance” plaisantais-je en entrant pour redécouvrir les lieux. C’était l’expérience la plus bizarre que je n’avais jamais vécu. Je déposais mes lunettes de soleil sur la table basse, marchant d’une pièce à l’autre tel un inspecteur des travaux finis. Me retournant par la suite à la volée en claquant des mains, je repris sur un ton enthousiaste.” Bon ! c’est pas tout, mais il est où ce p’tit déj ? !” Disais-je en affichant mon plus beau sourire colgate.
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Le fait qu'il soit en avance m'impressionnait fortement car.. Ce n'était clairement pas son genre et il avait au moins l'honnêteté de l'avouer. Ce que je trouvais admirable de sa part. Heureusement pour moi, j'avais réussi à tout préparer très vite et j'étais certaine que ça allait lui plaire. Je pense que le jour où il n'aimerait plus ma cuisine.. C'est qu'une autre femme me surpasserait dans ce domaine et.. Autant dire que je la retrouverais pour lui péter les bras, histoire de reprendre l'avantage (a) Car l'adage qui dit que « pour satisfaire un homme, tout passe par son ventre » convient très bien à Austin. L'invitant à rentrer, j'étais encore une fois perturbée par le fait que nous nous fassions la bise mais.. J'allais devoir prendre l'habitude de ce geste si peu naturel entre nous. La dernière fois que l'on s'était fait la bise.. ça devait remonter au lycée. Et encore. J'avais pris pour habitude, même lorsque nous n'étions pas ensemble à Harvard, de l'embrasser. Il faut dire que ce n'est pas une nouveauté que je l'aime et.. ça me paraît moins étrange que d'embrasser ses deux joues. Soit, une fois dedans, je le laissais admirer les murs avant de l'entendre me demander où était le petit déjeuner. « J'arrive j'arrive ! Va t'installer sur le canapé » souriais-je en mettant tout notre repas sur un grand plateau. Pain au chocolat et croissant fait maison, jus d'orange et jus de pomme artisanal, confiture – beurre – nutella, il y avait de tout et même des fruits. Je voulais vraiment qu'il soit content d'être ici et qu'il ne parte pas au moins de trente minutes. Ce serait dommage. Arrivant tranquillement dans le salon, je souriais de plus belle en posant le tout sur la table. « Tu me dis s'il manque quelque chose » dis-je doucement avant de lui donner un verre et une assiette. Normalement, j'avais tout fait pour ne plus avoir besoin de me relever et il faut dire que j'étais très fière de moi. Au moins.. Il n'aurait pas à fouiller dans les placards comme chez moi pour trouver à manger. Tout était à disposition, fait par mes soins et surtout.. Avec amour. Comme toujours pour lui. ♥
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Je souriais en m’installant alors que je l’entendais s’afférer en cuisine. Quant à moi, je n’avais plus qu’à mettre les pieds sous la table et à attendre que le repas arrive. Madisson aurait vraiment pu faire la femme parfaite. De bons petits plats, une maison très bien rangé et l’homme -qui donnerait tout de même un petit coup de main- n’aurait plus qu’à profiter de sa petite femme. Cette pensée me fit sourire, mais pour le moment j’étais bel et bien célibataire, mais j’espérais ne pas le rester toute ma vie. Bien entendu, j’avais laisser tomber l’idée de me mettre avec mon ex petite amie pour la énième fois, être de simples amis se révélait être beaucoup moins prise de tête. Certes on sentait toujours cette petite ambiguïté entre nous, mais il nous fallait peut-être encore un peu de temps pour vraiment passer au delà.

Je m’assayais convenablement au fond du canapé en voyant tout ce qui arrivait. “J’vais prendre dix kilos avec tout ça” Riais-je en m’emparant d’un croissant. On aura beau dire ce qu’on veut, mais c’est bon cette merde -normal, c’est gras- “Nan nan c’est parfait cocotte t’inquiète” je souriais une nouvelle fois? “Alors, quoi de beau à me raconter ? Des potins ?” Je m'asseyais en tailleur sur son canapé en me tournant pour me mettre face à elle comme deux bons meilleurs amis qui se retrouvent dans leur ville d’enfance.
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D'un côté.. J'aimerais tellement pouvoir croire que l'on puisse se remettre un jour ensemble que ça me fendait le cœur de remarquer que nous étions revenus à cette époque où je n'étais qu'une simple meilleure amie à ses yeux. Comme avoir goûter au bonheur, mais l'avoir jouer et perdu à la roulette en faisant le tout pour le tout. Je ne savais pas si j'avais une once de possibilité de me racheter un jour et autant dire que lui poser la question directement ne me viendrait même pas à l'idée. De toute façon, c'était entièrement de ma faute donc je ne pouvais m'en prendre qu'à moi-même. Il sait – enfin, je l'espère – que je l'aime toujours alors.. C'était à lui de décider. Enfin.. J'avais entendu dire comme quoi Andrew reviendrait. J'espérais qu'il ne croit plus au père Noël et que j'allais revenir vers lui en un claquement de doigts. Il pourrait même ramper par terre, c'était mort. Me faire abandonner comme une vieille chaussette avant l'été, merci. Et après, ça dit que ça tient à toi. Sincèrement.. J'avais fait l'erreur deux fois – enfin trois – d'aller vers un autre homme qu'Austin.. Je retenais désormais la leçon. J'avais de toute façon bien trop jouer avec le feu. Déjà que je ne savais pas comment il avait fait pour me pardonner pour Konrad et Lucas.. Peut-être parce qu'il savait que j'étais juste désespérée ? Sûrement. Mais Andrew.. C'était très compliqué et je ne pouvais que m'en mordre les doigts désormais.

Revenant dans le salon avec toutes les bonnes choses que j'avais faite pour lui, sa remarque me fit lever les yeux au ciel, sans cacher un petit sourire aux coins de mes lèvres. « Genre, tu vas aller à la salle de gym une heure ce soir et paf ! tu auras tout perdu ouais » riais-je avec lui. Une fois assise sur le canapé, je mettais des dessins animés – et ouais, on ne se refait pas – en fond avant d'attraper un pain au chocolat. « Oh pas grand chose tu sais » souriais-je. Ma vie n'avait jamais rien eu de très palpitant.. à part mes déboires amoureux de fin d'année. « Je n'ai pas de nouvelles de mes meilleures amies, j'ai des doutes sur le fait que toutes mes amies soient là à la rentrée et.. J'ai Lucas qui m'a demandé de venir au Summer Camp » dis-je en préférant être franche. « Il m'a dit de t'embrasser, mais je suppose que te passer son bonjour oralement suffit » souriais-je un peu en continuant de manger. Autant essayer de prendre la température discrètement, même si je savais pertinemment que c'était voué à l'échec.
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En réalité, je m’étais toujours foutu du nombre de calories que je pouvais engloutir en une journée, car à côté de cela, je me dépensais tout de même pas mal. Entre la marche, mon jogging le matin quand il fait beau, puis les fêtes ça claque pas mal -même si je m’étais calmé ses derniers temps, la preuve, je n’étais même pas parti au Summer Camp- et pour ce qui était du sexe -l’un des sports qui fait perdre le plus de calories quand même- c’était le calme plat. Je n’y avais pas accordé plus d’importance que ça ses derniers temps faut dire et vous savez quoi ? Je ne m’en portais pas plus mal. Comme quoi, on ne pense pas que avec notre queue.

“Pourquoi t’es pas parti au Summer Camp ?” Elle avait ses amies là bas et puis si on le lui avait même proposé. J’étais persuadé que ça lui aurait un peu changé les idées, mais je savais aussi à quel point elle aimait pouvoir retrouver ses parents. Elle était très famille faut dire et ça peut se comprendre, retrouver ses points de repères, ça fait toujours du bien. “T’étais pas obligé de préciser” Riais-je. “ça fait très ambiguë du coup dit comme ça, alors qu’il n’y a pas de quoi, on a tourné la page hein ?” Je souriais en en finissant mon délicieux croissant pour attaquer un pain au chocolat. “Mais je lui enverrais un message à l’occasion pour lui faire un bisou sur la fesse gauche” Je souriais-je à mes conneries.
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Il est évident que vous avions de la chance, l'un comme l'autre, de ne pas avoir à penser au sport à faire après avoir trop manger. Franchement, si notre métabolisme était dans la moyenne.. On serait sûrement en sur-poids. Moi, en tout cas. Niveau sport, je n'étais pas une flèche et ce n'était pas un autre sport qui allait me faire perdre toutes les calories que je mange.. Surtout que j'étais totalement calmée depuis le bal de fin d'année. Et même bien avant, mais bon. Manger tranquillement en compagnie d'Austin me mettait du baume au cœur. Même si ce n'était pas autant que je l'imagine, notre relation est assez calme ainsi et.. Il fallait que je m'habitue à « juste ça » et arrêter d'en vouloir toujours plus. Sa question me surprit alors que je buvais mon jus de fruit. Que dire ? « Je n'avais pas trop la tête à ça » avouais-je. « J'adore mes amies et tout ça mais.. On est presque 24/24h avec eux en cours, en soirée et en voyage alors j'avais juste besoin.. de m'éloigner un peu de tout le monde » murmurais-je. Cependant, le fait que lui soit là me réconfortait un peu. « Et toi ? » Parce qu'après tout.. C'était bizarre qu'il ne soit pas là bas à s'amuser comme il le fait tous les étés donc.. Autant lui demander gentiment.

Alors que je lui passais le bonjour de Lucas – comme je le pouvais sans avoir l'air trop idiote vu ce que mon frère m'a demandé de lui faire – je ne pensais vraiment pas qu'il relèverait mes paroles et encore moins.. à son interrogation. Qu'étais-je censée dire ? Que « Oh oui Austin, je t'ai totalement oublié voyons, la preuve, je me suis barrée avec mon Prince et je suis devenue Princesse, ça ne se voit pas ? » La blague. « Je ne pensais pas que ça avait l'air ambigu » dis-je avec douceur et un léger sourire. « Et.. Tu sais, même si je me sens toujours aussi conne d'avoir fait ce que j'ai fait et que ça ne sert probablement à rien de te le rabâcher encore une fois, je suis toujours amoureuse de toi, Austin. Avant, maintenant, demain et les jours suivants. J'ai essayé de lutter assez souvent et même il y a peu pour me faire croire que je pourrais peut-être aimer quelqu'un d'autre aussi fort que je t'aime mais.. J'ai bien compris que ça ne marchait et que ça ne marcherait jamais » soufflais-je en haussant les épaules. Je n'avais plus rien à perdre désormais. « Fais gaffe, Monsieur Watson a une nouvelle petite amie et il n'ose même pas me la présenter.. Ne te fais pas mordre par elle » riais-je pour clore le sujet précédent.
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Venant de Madisson, sa réponse collait parfaitement avec son mode de vie. Elle adorait pouvoir se retrouver seule dans sa petite ville natale, alors pas étonnant qu’elle soit aussi surprise que moi, Austin Jeremy Da Silva, tire un trait sur le Summer Camp pour travailler et retrouver sa petite maman. Je n’avais jamais rien cacher à Madisson -ou du moins pas longtemps- ce n’était donc trois fois rien que de lui dire le pourquoi du comment. Elle avait l’air d’humeur à se confier sur à peu prêt tout et on avait toujours que ce qui se passe à Cleveland, reste à Cleveland. “J’ai eu une dure année, j’avais besoin de retrouver mes origines. Je serais bien aller au Portugal, mais pas de sous et revoir ma mère va me faire du bien” Je marquais une pause pour avaler un morceau de pain au chocolat. “Tu sais entre mes conneries, notre rupture, noter relation ambiguë, le tremblement de terre qui m’a bien cassé, la drogue, l’alcool, les insomnies, j’avais besoin de dire stop, car mon corps commençait à ne plus suivre.” Riais-je en prenant ma tasse de café. “Voilà, tu sais tout” souriais-je.

Toujours en tailleur, je l’a regardait, encaissant ce qu’elle m’avoua le coeur ouvert. “Tu sais que je t’aime aussi ?” Demandais-je, pas sûr qu’elle le sache. “On fait tous des conneries dans la vie et de base j’aurais pas dû t’en vouloir comme ça, car j’ai été bien plus horrible que toi à te tromper et à jouer avec ton coeur pour la seconde fois” Oula, ça faisait bizarre de se confier ainsi, mais peut-être que le destin nous avait tous les deux réunis ici pour qu’on ait enfin notre discussion que nous n’avions jamais pris le temps d’avoir. “Mais entre nous, je pense que c’est plus simple qu’on reste meilleurs amis” Dis-je honnêtement en souriant avant d’être pris de court par cette annonce. “Bah figure toi que je n’étais même pas au courant ! J’en ai loupé des choses à rester cloîtré dans ma chambre” Faut dire que ses derniers temps j’avais un peu fait l’ermite, faut dire ce qui est.
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Ma réponse sur le fait que je ne sois pas allée au Summer Camp semblait convenir à Austin. De toute façon, il me connaissait mieux que personne pour savoir qu'entre mes amis et ma famille, je faisais une fois sur deux. J'en avais profité durant toute l'année scolaire entre les voyages et les week-end alors cet été, je souhaitais juste souffler loin de tout le monde. Je n'étais pas du tout gênée qu'il soit dans les parages, bien au contraire. On arrivait à avoir une conversation tout à fait banale et dans le plus grand des calmes. Autant dire que c'était un exploit. Je ne m'énervais pas et lui s'ouvrait un peu plus à moi. L'entendre s'ouvrir aussi aisément à moi sur les raisons de sa présence ici et non avec ses amis me surprenait un peu. Le Austin mâture était vraiment loin du petit con que j'avais l'habitude de côtoyer. « C'est vrai que ça n'a pas été une année très calme pour toi » souriais-je. « Je suis contente de te voir ici et je pense que ta mère a du être très heureuse que tu reviennes la voir » dis-je posément. Il n'était pas très « fiston à sa maman » mais je sais qu'il lui donnerait la Lune s'il le pouvait. Il n'avait jamais été méchant, juste un peu inconscient mais c'est ce qui faisait une partie de son charme, de toute manière.

Lui faire encore une tirade sur mes sentiments m'épuisait un peu. Il savait très bien ce que je ressentais et ce que j'attendais entre nous mais.. Sa réponse me surprit. Il devait sûrement avoir vu mon étonnement parce que.. Je pensais qu'avec ce que j'avais fait, ses sentiments était tout bonnement partis en fumée. Quoi de plus logique. Apparemment.. non. La suite me laissait totalement sur le cul. Ce qu'il avouait était tout ce qu'Athéna et Emilia n'avaient pas compris dans sa réaction vis-à-vis de mon rapprochement avec l'ancien Winthrop. La fin.. me brisait encore un peu, mais bon.. Peut-être avait-il raison dans le fond. « Je.. je ne savais pas que tu m'aimais encore » avouais-je avec un léger sourire presque gênée. « Cette histoire est passée et.. on va de l'avant, ça ne sert à rien de polémiquer là-dessus » On avait chacun nos tords et puis.. Il avait grandi, moi aussi et voilà. « Je ne peux pas t'obliger à sortir avec moi, de toute manière » riais-je doucement. Autant être clair que.. Moi j'en aurais envie mais le fait que ça se finisse toujours mal.. Je n'avais pas envie de le perdre encore une fois, j'étais fatiguée de ça. « Non mais, il me l'a balancé comme ça genre « avec Alaska, c'est fini.. je suis avec Asia maintenant » et il ne veut même pas me la présenter » râlais-je en roulant des yeux.
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“Pour toi aussi” A vrai dire cette année à été calme pour personne. C’était qu’on pouvait appeler des vacances bien mérité et dieu seul sait que je n’étais pas pressé de retourner à ma petite routine Harvardienne avec les cours. J’en baillais d’avance avant de m’arrêter en entendant Madisson évoquer ma mère. Autant dire que j’adorais ma mère, je crois bien que ma meilleure amie était la seule à savoir que ma mère était toute ma vie, mais chut, c’était un secret, car j’étais bien trop fier. “Surprise surtout” riais-je.

Cette conversation devenait de plus en plus bizarre et ouais, dire encore une fois -même après avoir rompu- que j’étais amoureux d’elle était genre la chose la plus bizarre au monde tout en sachant qu’il ne se passera plus rien entre nous. C’était mon choix personnel et sans doute le plus judicieux que je n’avais jamais fait. En réalité, j’avais toujours les nerfs du fait qu’elle ait hésité entre Andrew et moi ainsi que d’avoir été pris dans un double jeu. J’avais horreur de ça. Le sujet était clos. C’est vrai, nous n’allions pas polémiquer toute une vie là dessus autant arrêter d’en parler. “T’inquiète, il n’aura pas le choix, je vais le harceler” riais-je. C’est vrai, depuis quand on se cachait des choses en tant qu’ami ? “Sinon moi je ne le crois pas s’il ne me l’a montre pas. Il pourrait très bien s’inventer une fausse petite amie pour vaincre sa solitude” Me moquais de lui. Oui, c’est mal de se moquer des absents, mais il l’avait cherché (a)
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