Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityIl me manque. C’est atroce, il me manque tellement. (Oska) - Page 2
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Il me manque. C’est atroce, il me manque tellement. (Oska)

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C’est pas par vagues, c’est constant. Tout le temps, sans répits.
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La crise de larmes, ce n'était pas du cinéma. Je pleurais tout le temps. Chaque fois que je sentais que la situation m'échappait en réalité. Quand j'avais peur. Aujourd'hui, c'était le cas. J'avais peur de perdre Osean. Cela faisait seulement quatre mois que nous étions ensemble et pourtant, je l'aimais déjà, bien plus que je n'avais aimé auparavant. Je n'avais aucune idée de si c'était parce que j'étais plus vieille et que cela prenait une autre importance ou simplement parce que c'était lui et que sa folie ainsi que sa ténacité avaient eu raison de moi.. Je n'en savais rien, mais dans tous les cas, ça revenait au même : j'étais éperdument amoureuse d'Osean. Le genre de relation qui vous donne le tournis et qui vous brise en deux quand elle s'arrête. Je le redoutais, très clairement. Puis finalement, en parlant, en s'expliquant, tout semblait aller déjà mieux. À la seconde où je pensais avoir le feu vert, je fonçais dans les bras de mon petit ami pour recevoir un câlin. Je voulais juste m’enivrer de son odeur et qu'il m'enveloppe de ses bras pour me réconforter. J'en avais besoin. Je coupais court quand mon inquiétude vint me tordre à nouveau l'estomac. Mon regard croisa celui du dunster et je ne pus m'empêcher de poser des questions sur sa santé. « Je crois bien que oui... Fin j'en sais rien c'est spécial je dirais.... Mais pas de la façon que tu pense. ». Je fronçais légèrement les sourcils en le regardant. Avait-il quelque chose à dire ? Cachait-il un truc ? Je ne pouvais rien dire. J'étais à ce moment-là en train de lui cacher ma grossesse alors qu'il était le premier concerné. Je passais à autre chose, lui annonçant que je comptais dormir avec lui. S'il n'allait pas bien, je voulais être là pour lui. Ce n'était pas une question, mais ma réflexion vint tout de même à le surprendre. « Ça me parait être une évidence il me semble. » Je ne pus m'empêcher de sourire avec lui. Je fermais les yeux quand nos fronts virent à se poser l'un contre l'autre, soupirant de bien-être quand ses lèvres charnues vinrent ensuite y déposer un baiser. « Ça fait un mois que mon lit un vide... » chuchotais-je tristement sans ouvrir les yeux comme pour expliquer ma volonté de dormir dans ses bras cette nuit-là. C'était du temps que l'on ne pourra jamais rattraper, c'était impossible. Je le voyais déjà me dire que Wade m'avait tenu compagnie, mais il était clair que toute présence était dérisoire à côté de la sienne. Puis sans quitter ses bras, je lui proposais de manger quelque chose. Je détestais le voir en aussi petit forme. « Ouais, tu me redonne faim alors j'suis pas contre un truc à grailler là tout d'suite. » - « Si je te donne faim, c'est parce que j'utilise mon super gel douche sucre-vanille.. » m'exclamais-je en riant doucement, faisant référence au soir de la mather party hard où il avait clairement dit vouloir me manger, ou plutôt, j'avais imaginé qu'il le fasse. Mes mains vinrent se placer sur son torse et avec un petit sourire je l'obligeais à reculer de quelques pas, le poussant en direction du lit pour qu'il s'y allonge. Une fois à califourchon sur lui, j'attrapais le téléphone non loin de la tête de lit, lui chuchotant, un sourire espiègle aux lèvres. « Tu veux manger quoi ? ». À l'autre bout, j'attendais simplement que le room service décroche.

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Mon dieu que c'était bon... De la sentir contre moi, de sentir sa chaleur, son odeur, la douceur de ses cheveux contre mon fucking visage ou encore son étreinte pleine d'amour autour de moi. Ça faisait un bien fou... Surtout après tout ça putain! Mais pourquoi on avait fait tout ça bordel?! "Cambridge Secret's remember..?" putain ouais, trop même. Quelle connerie j'vous jure, on est trop des abrutis vraiment. Mais tout ça c'est derrière, j'oublie l'engueulade, le boudin, l'esquive durable et le semi nu avec Wade. Ouais tout ça c'est derrière! Tout hormis mon autre problème... Qui lui était encore d'actu', tellement d'ailleurs que même Laska le voyait sur ma gueule que ça n'allait pas mais étrangement? Elle n'insistait pas, à la bonheur! Ça ferait une crise de moins à contourner et c'est pas plus mal, j'avais déjà eu ma dose d'émotion pour les 24 heures à venir là. Elle voulait rester et dormir avec moi et c'est tout ce que je pouvais espérer d'elle. Un soupire, mon front contre le sien et je déposer un baiser de soulagement sur celui ci alors qu'elle me chuchotait « Ça fait un mois que mon lit un vide... », je grimaçais "À moitié vide tu veux dire." riant sur la fin car autant le prendre à la rigolade maintenant non..? mais je reprenais bien vite "J'te rappel que tu as encore mon t-shirt hein." ouais j'suis un big boss! Comment lui mettre un coup de pression tout en finissant sur une jolie note? Spécial moi ma gueule! "C'est mesquinement mignon dis donc." je sais merci.   Puis elle propose qu'on commande à manger et j'suis carrément pour, en vrai elle me donne réellement faim oui. Riant elle enchaine « Si je te donne faim, c'est parce que j'utilise mon super gel douche sucre-vanille.. », je souriais à mon tour, jouant des sourcils "Ah mais tout s'explique alors, ça vient de là." riant légèrement tandis que je sentais ses mains glisser sur mon torse alors qu'elle me faisait reculer jusqu'au lit sur lequel j'me laissais tomber sans broncher. Venant à califourchon sur moi, elle prit le téléphone de ce petit air que j'aime beaucoup, me chuchotant « Tu veux manger quoi ? » et là j'entre ouvrais la bouche mais... Rien ne sortait. Je savais pas, genre vraiment pas... J'avais de l'appétit mais presque qu'en apparence en fait, car là je peinais vraiment à visualiser quelque chose que j'aimerais vraiment avaler. Fronçant les sourcils, j'hésitais un instant avant de lâcher un peu frustré "Je... En fait j'en sais rien j'te laisse choisir. Surprends moi." ouais autant le tourner comme ça hein, ça fait des semaines que c'est comme ça en vrai... Ça craint.


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Je crois que je ne me lasserais jamais de ses bras. C'était pour cela que j'arrivais toujours à m'y blottir comme si nous étions deux aimants. Un mois que j'en avais été privé et cette nuit, je comptais bien dormir sur lui. Il allait mourir de chaud, avoir mal partout, mais ce n'est pas grave, c'est pour la bonne cause. « À moitié vide, tu veux dire. » Aller, prends ça dans les dents Alaska. Mon sourire disparaît automatiquement et je me sens quelque peu blessée. S'il part dans ce sens, ça ne nous avancera pas tellement, surtout que j'avais totalement accepté de le croire quant aux rumeurs sur sa sœur et lui. Pour moi, c'était oublié. Il riait, mais c'était encore trop frais pour que je trouve ça drôle. Peut-être que lui, passer un mois tout seul ça n'avait pas été si terrible. Raaah, bordel, pourquoi je suis si susceptible aussi. « J'te rappelle que tu as encore mon t-shirt hein. » Un mince sourire réapparaissait sur mes lèvres. Que m'arrivait-il ? Je voyais bien qu'il se rattrapait comme il pouvait et si j'avais été réellement en forme, je serais déjà les deux pieds dans le plat en train de râler. « D'ailleurs en parlant de ça, il m'en faut un nouveau pour que je puisse laver l'autre. Après un mois, je t'épargne l'odeur. Si tu m'avais pissé dessus pour marquer ton territoire ça aurait été la même chose... » Et voilà. Zéro glamour. Je lui demandais finalement s'il avait faim. Peut-être qu'il voudra manger un morceau maintenant que j'étais de "retour". J'avais bon espoir. Je me laissais aller à la plaisanterie, lui rappelant que c'était mon gel douche qui lui donnait faim. « Ah mais tout s'explique alors, ça vient de là. ». Je mêlais mon rire au sien avant de le diriger doucement vers le lit, l'obligeant à s'allonger pour que je vienne me mettre à califourchon sur lui. Même si rien que ça pourrait m’enflammer et me donner envie de lui tirer ses vêtements, je me contentais d'attraper le téléphone pour appeler le room service. « Je... En fait j'en sais rien j'te laisse choisir. Surprends moi. » Il ne semblait vraiment pas dans son assiette et ça commençait à m'agacer intérieurement. « Je devrais t'attacher au lit et fouiller ta chambre.. » lui confiais-je en chuchotant. Il allait très vite comprendre pourquoi je disais cela. Par contre, mauvais timing la personne à l'autre bout du téléphone se raclait la gorge, me faisant instantanément rougir. Oups. « Euh.. » J'expliquais brièvement vouloir commander de la nourriture, réfléchissant en même temps à ce que nous allions manger et attention, la surprise du chef, « ... Une pizza. Non. Deux pizzas. Une au fromage et une autre au chorizo. ». J'en salivais d'avance. C'était bien connu, moi et ma passion pour les pizzas. J'avais toujours été une grosse bouffe et je n'avais même pas peur d’engloutir une pizza à moi toute seule et vue la tête de mon petit ami, je comptais bien lui faire avaler l'autre. Il était malade, mais pas vraiment et ce n'était pas ce que je pensais. Il ne prenait pas de drogue donc... De toute façon, Osean n'avait jamais été un grand consommateur, enfin je crois. Alors quoi ? C'était à cause de nos histoires ? De notre presque rupture ? C'était un homme, il ne voulait peut-être pas me l'avouer, je n'en sais rien. Je raccrochais le téléphone en le remettant à côté de la tête de lit avant de regarder d'un air faussement choqué Osean qui se trouvait toujours allongé sur le lit, en dessous de moi. « J'ai dit au monsieur que j'allais t'attacher au lit... » lui confiais-je en gloussant. « C'est la honte ! ».

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Ouais désolé mais fallait bien que je la tacle encore un petit coup pour la blague de sa nuit avec Wade hein. Moi j'étais en chien forever alone tout ce temps "Pas tant que ça non." si tout seul! Vous n'existez pas. Moi j'en riais maintenant, je préférais en fait, mais elle visiblement ça ne l'a faisait pas rire du tout vu que son sourire disparaissait aussi sec. Tant pis... Un dernier pic pour la route dira t-on. Mais je ne voulais pas qu'elle boude, pas déjà alors qu'on venait à peine de se "retrouver" si l'on peut dire. Heureusement elle souriait un peu répondant « D'ailleurs en parlant de ça, il m'en faut un nouveau pour que je puisse laver l'autre. Après un mois, je t'épargne l'odeur. Si tu m'avais pissé dessus pour marquer ton territoire ça aurait été la même chose... », impossible de ne pas sourire et rire tout simplement avant d'hocher la tête "Bah je vais te le laisser encore un peu histoire que tout le monde le sente bien, après je t'en donnerais un autre." ça c'était ma Laska à moi, tout ce que j'aime! "Vous êtes bizarre quand même." oui et je t'emmerde. Après ça elle me proposait de manger avant de me coucher sur le lit. Ouais j'avais faim mais en même temps non... Après un mois à presque rien avaler, penser nourriture me donnait faim et envie de vomir en même temps, chelou je sais mais comme ça. Donc non je ne savais pas quoi commander et Laska en commentait en chuchotant « Je devrais t'attacher au lit et fouiller ta chambre.. », je souriais alors répliquant un "Tu peux toujours essayer." coquine va! "Ça c'est pour se venger de l'autre fois." ou tout simplement parce qu'elle soupçonne quelque chose. Sauf que le mec au téléphone avait tout entendu. Elle pris commande « Euh.. Une pizza. Non. Deux pizzas. Une au fromage et une autre au chorizo. », avant de raccrocher alors que je restais silencieux à jouer avec une mèche de ses cheveux. Prenant un air choqué elle reprit « J'ai dit au monsieur que j'allais t'attacher au lit... » avant de rire "Il a peut-être aimé, ça se trouve il va venir vérifier dans le trou de la serrure." souriant d'un petit jeu de sourcils « C'est la honte ! », je secouais la tête "Mais non il a l'habitude, il doit se passer un tas de trucs chelou dans les hôtels t'inquiète. Et au pire on lui offrira notre petit film il sera content." riant sur la fin.

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C'était quand même vachement mieux avec lui. J'étais contente de le retrouver, il m'avait terriblement manqué et le pire, c'est que je ne pouvais même pas lui en vouloir. J'étais amoureuse de lui, alors non, je ne lui en voulais pas, du moins, je préférais passer à autre chose et simplement essayer de rattraper le temps perdu dès maintenant. Il semblait fatigué, sur le point d'arriver au bout de sa vie. Je n'avais aucune idée de ce qu'il avait fait pendant son (mon?) absence, mais je lui faisais confiance. Il me le dirait si c'était si important, si c'était autre chose qu'à cause de notre "séparation". Alors ouais, je lâchais l'affaire, le laissais m'envoyer des piques et je souriais juste, heureuse de le retrouver. Je faisais de mon mieux pour détendre l'atmosphère, apporter un peu de légèreté... Par exemple en parlant de l'odeur de son t-shirt, celui que je portais pour dormir. « Bah je vais te le laisser encore un peu histoire que tout le monde le sente bien, après je t'en donnerais un autre. » Je riais à mon tour en le regardant. « En même temps, je n'ai pas besoin de t-shirt quand je dors avec toi et comme je compte te kidnapper pour toutes les nuits à venir... » Plus besoin de son t-shirt, il pourra donc retourner dans la valise (celle d'Osean histoire que la mienne n’empeste pas trop). Je lui volais un bisou avant de finalement le forcer à s'allonger sur le lit. J'attrapais le téléphone et j'appelais le room service afin de commander à manger. Je ne voulais pas faire d'histoire, mais en même temps, il se passait quoi pour qu'il soit devenu un zombie en peu de temps ? Je commentais en chuchotant, lui rappelant que quand je lui cachais quelque chose, il avait été jusqu'à m'attacher à mon lit pour fouiller dans mes affaires. J'étais capable de faire la même chose. Je n'eus pas le temps de continuer dans ma lancée puisque j'étais interrompue par le raclement de gorge du mec du room service. La honte, la honte, la honte. Mes joues étaient rouges et je ne préférais pas regarder mon Osean qui allait se moquer de moi. J'étais pas longue à trouver un repas digne de ce nom. Une pizza et le tour est joué. En même temps, il n'y avait aucun moyen de cuisiner un vrai repas et nous n'étions pas les plus fortunés, donc deux pizzas allaient faire notre bonheur ce soir. Je raccrochais et je regardais mon petit ami en cachant ma bouche de mes mains. « Il a peut-être aimé, ça se trouve il va venir vérifier dans le trou de la serrure. » - « Haaaan, tu crois ? » demandais-je aussitôt en bonne fille naïve. J'avais un peu la honte quand même. Mais je savais qu'Osean et moi n'avions pas la même définition du mot "honte". « Mais non il a l'habitude, il doit se passer un tas de trucs chelou dans les hôtels t'inquiète. Et au pire on lui offrira notre petit film il sera content. » J'haussais les sourcils en le regardant avant d'afficher un sourire amusé. « Tu veux que d'autres hommes me voient nu maintenant ? » lui demandais-je de manière innocente en me penchant vers lui, mes mains enfoncées dans le matelas de part et d'autre de sa tête.

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Tant mieux si elle avait gardé mon t-shirt qui sentait le bouc, ça allait éloigner les chiens m'voyez et au moins elle en riait « En même temps, je n'ai pas besoin de t-shirt quand je dors avec toi et comme je compte te kidnapper pour toutes les nuits à venir... », j'arquais un sourcil en la fixant un petit sourire en coin apparaissant sur mon visage car c'était plus fort que moi "C'est du genre alléchant comme prévision." ouais faut dire ce qui est, surtout si elle est nue! J'avais besoin de la retrouver surtout après cet été de merde qu'il fallait que face disparaitre de mes souvenirs. Sauf qu'elle voulait qu'on commande à manger que moi la bouffe en ce moment... C'était plus trop ça et ça devenait dure de le cacher, suffisait de voir ma gueule hein. J'avais un peu perdu en muscle et j'avais une mine de zombie donc bon. Je tâchais de tricher, l'invitant à choisir le repas bien que j'étais pas certain de l'avaler. Sauf qu'elle était sur moi à me parler de cochonnerie et le gars du service au téléphone avait tout entendu. Gros malaise! Enfin pour elle, moi ça e faisait bien marré car ça se trouve il a aimé entendre ça « Haaaan, tu crois ? », je riais en hochant la tête plus serein et détendu "Ouais j'en suis même sûr!" car merde après tout on est à l'hôtel, des trucs il en a vu plein ça doit même plus le choquer le gars. Haussant les sourcils, ma belle répliquait « Tu veux que d'autres hommes me voient nu maintenant ? » là je me stoppais net de sourire, fixant droit devant moi pensif quelques instants avant de répondre "Bah ma fois si il payent ouais!" riant sur la fin avant d'ajouter "Non en fait même comme ça je péterais un câble... J'suis pas du genre partageur comme tu as pu le constater." ouais j'suis même super jaloux en vrai et j'y pouvais rien, je l'aime... Enfin ce foutu gars arrivait avec ses pizzas et j'inspirais un grand coup car j'allais devoir les manger mais j'avais faim quand même, Alaska m'avait réouvert l'appétit et je pense que doucement mais sûrement j'allais de nouveau manger comme un porc car elle était revenue, je l'avais enfin récupérer et au fond, malgré le bad de mes hallucination, j'savais que les choses allaient s'arranger, ou pas.

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Finalement, tout s'arrangeait très rapidement. Osean était de retour. Nous étions de retour, ensemble. J'allais pouvoir profiter pleinement de mon summer camp désormais que mon petit ami était à mes côtés. Nous allions pouvoir reprendre notre relation là où elle s'était arrêtée et oublier ce passage à vide. Puis, j'avais une nouvelle important à lui partager, j'étais enceinte. Nous allions devenir parents et j'étais certaine qu'Osean allait faire un père formidable. Mais, je venais juste de le retrouver et je dois avouer que je ne me sentais pas de dévoiler mon secret pour le moment. Je préférais me laisser aller aux plaisanteries pour détendre toujours plus l'atmosphère et faire oublier les récentes crises. Quoi de mieux que de le prendre au jeu en faisant apparaître sa jalousie ? C'est vrai que j'étais plutôt étonnée de l'entendre dire qu'il revendrait nos films cochons. Je crois plutôt qu'il détesterait qu'un homme pose juste un regard son mon corps dénudé. « Bah ma fois s'ils payent ouais! » Je le regardais d'un air choqué en lui offrant une tape sur son épaule avant qu'il ne reprenne ensuite. « Non en fait même comme ça je péterais un câble... J'suis pas du genre partageur comme tu as pu le constater. » Un sourire et je me penchais pour lui voler un baiser. « J'aime quand tu ne me partages pas... » lui confiais-je ensuite avant que l'on soit dérangé par l'arrivée de notre repas. Nous allions pouvoir rester en tête à tête pendant un moment, un long moment et rattraper le temps perdu.

FIN DU RP

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