Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityIl me manque. C’est atroce, il me manque tellement. (Oska)
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Il me manque. C’est atroce, il me manque tellement. (Oska)

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C’est pas par vagues, c’est constant. Tout le temps, sans répits.
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Je ne pouvais pas rester indifférente à ce qui était en train d'arriver. Clairement pas. J'étais amoureuse d'Osean, je l'aimais. Il ne le savait pas encore, mais c'était le cas. Malgré que mon meilleur ami m'ait rabâché à plusieurs reprises qu'il fallait que je le dise à mon petit ami, je n'avais pas eu le temps de le faire. D'ailleurs, il n'y avait pas eu non plus de "bons moments". Malheureusement, CS était arrivée avec un article flippant et dérangeant, assez pour me retourner l'estomac et me lacérer le cœur. Osean et sa demi-sœur ? Vraiment ? Même si au début j'avais ri en lisant l'article, tout cela s'était transformé en crise de larmes, puis en colère incontrôlable. Je n'avais clairement pas envie que ces histoires d'inceste recommencent et je n'avais pas imaginé une seule seconde que ça puisse être problématique avec le dunster. Il était si différent des hommes à problèmes que j'attirais habituellement que j'avoue avoir été étonnée en apprenant la nouvelle. Sauf que voilà, j'avais pété un plomb, j'avais voulu qu'il me laisse du temps pour moi et... j'en avais eu... un peu trop. Un mois. Un fucking mois que je n'avais plus de nouvelle d'Osean. Il était mon petit ami, mais rien n'y avait fait, il n'avait pas répondu à mes sms et impossible de le trouver. Je n'avais pas eu d'autres choix que d'attendre son retour, en espérant qu'il revienne évidemment.
C'est dans un soupir que j'abandonnais mon portable sur mon lit. Wade était rentré à Boston et c'était la merde pour nous deux. Osean nous avait surpris en train de dormir dans le même lit et avait imaginé le pire évidemment, alors que je serais incapable de faire quoi que ce soit avec mon meilleur ami... et en plus, ce dernier était préoccupé par bien d'autres problèmes. Osean ne me parlait plus. La situation s'était inversé et ce stress que je ressentais me fatiguait au point de ne même pas avoir eu le courage de sortir de ma chambre d'hôtel. Je me sentais vide malgré le padawan grandissant dans mon ventre. Neuf semaines. Pas de changement visible pour le moment, mon corps était toujours le même à l'exception de mes seins qui commençaient à exister. J'étais même pas certaine qu'il le remarquerait en réalité. Enfin bref, c'est vêtu d'un short, d'un t-shirt star wars et de mes tongs que je partais en direction de la chambre d'Osean pour essayer de discuter avec lui. Nous en avions besoin et j'avais eu la jugeote de me renseigner auprès de l'accueil pour avoir le numéro de sa chambre. Enfin devant celle-ci, je toquais simplement en mettant mon doigt sur le judas pour qu'il ne sache pas que ce soit moi. Maline hein. La porte s'ouvrit d'un grand coup, mais je n'eus que le temps de mettre mon pied dans l'encadrement pour bloquer la fermeture de cette dernière. Un cri se fit entendre dans le couloir. Le mien. Parce que « OH MY GOD, CA FAIT MAL PUTAIN » m'écriais-je alors que mon visage se tordait dans une grimace. C'était aussi douloureux que quand mon petit orteil rencontrait un meuble, je vous assure. « Maman, je vais mourir » me plaignais-je ensuite en attrapant mon pied avec les deux mains, restant en équilibre sur une jambe. C'est à ce moment précis que je fis moins la maligne.

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Cette chute libre dans laquelle j'étais depuis un peu plus d'un mois... Moi qui suis optimiste, toujours à fond, de bonne humeur bah... Je fanais pire qu'une vieille fleur mal arrosée. "L'image qui ne te colle absolument pas." laisse moi toi! J'veux plus t'entendre, j'veux plus te voir. C'est de votre faute si j'ai failli me planter l'autre soir. "Non on y est pour rien c'est toi qui sait pas conduire." non c'est vous et vos merdes "C'est toi qui te drogue mon ami, assume." tais toi, juste tais toi. "Il n'y a que la vérité qui fait mal désolé." ouais justement c'est bien le problème. Y'a rien qui va plus puisqu'il n'y a plus rien de vrai, du moins je sais pas. Je sais même pu en fait, je perds pieds et j'veux que ça s'arrête. Ma mère était la blague de trop. Ouais vous l'aurez compris j'suis à l'ouest depuis le début de l'été. J'sais pas pourquoi, je sais pas ce qu'il se passe. À vrai dire j'ai ma petite idée mais j'ai pas trop envie de m'y fier. C'est depuis qu'Alaska veut plus me voir ni me parler je... Bah je fais nawak voilà. "T'en as trop pris gros." ouais je l'a connais celle là merci. J'me suis réfugié dans mes vieux délires mais sans doute un peu trop. Le LSD j'crois que j'ai un peu trop tiré le bouchon et j'contrôle plus rien. Tout se mélange en fait dans ma tête je... J'distingue plus le vrai du faux, les visions du réel et ça commence à me rendre fou. Voir ma mère venir me border c'était le grand final pour moi et depuis j'suis à la dérive. Vive l'été hein, summer camp de merde complètement foiré. Tout ça parce que ce foutu CS a décidé de venir foutre la merde dans mon couple. "Vous pouvez passer au dessus de ça." je sais pas, elle était dans le lit de son meilleur ami la dernière fois remember? J'ai essayé j'te signal d'aller au dessus, de retourner la voir en rampant, de lui prouver, de lui pleurer dans les pattes et le résultat?! J'tombe sur elle au lit avec Wade quoi, non merci, stop j'ai assez donné. J'suis fatigué de tout ça... Maddy elle, elle m'comprend mais j'veux pas qu'elle est à me porter comme ça, j'veux être tout seul, tranquille "Bah tu as géré ton coup, tu l'es là." NON TOUT SEUL J'AI DIS! Sans vous, sans vous tous. J'étais à moitié dans le noir, allongé sur mon lit à bader sur ce plafond qui bougeait d'une drôle de façon. Même là comme ça y'a quelque chose qui va pas putain. Pourquoi mon cerveau déraille à ce point?! "À ta place j'irais à l'hôpital." non j'veux pas y aller, j'vais finir enfermé avec une camisole en désintox et ça non merci. Puis soudain, j'entendais frapper à ma porte. Fronçant les sourcils je passais mes mains sur mon visage avant de tourner le regard, juste pour écouter si c'était réel ou pas et ça frappait encore. Je soupirais donc un grand coup pour me lever et ouvrir quand je voyais Alaska hurler à cloche pied devant moi « OH MY GOD, CA FAIT MAL PUTAIN », de grands yeux ronds je l'a fixais l'air super perplexe "Qu... Quoi? Qu'est ce qu'il y a tu as tes règles?" la phrase à la con putain "Non mais t'es sérieux là..?" mais elle m'fait paniquer elle aussi à débarquer comme ça entrain de crier là « Maman, je vais mourir », par réflexe je m'approchais un peu d'elle, mes mains près à l'attraper si elle tombait sur le côté avant d'constater pour son pieds "Mais non, seulement ton orteil, au pire hein. T'es franchement pas douée, il est pourtant assez gros ce meuble." ouais elle était super maladroite c'est ce qui fait son charme mais là franchement j'ai pas la réaction qu'il faut j'devrais lui fermer la porte au nez. Mais bon vous m'connaissez hein.

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Je voulais juste voir Osean. Je voulais parler avec lui, arranger les choses au maximum. Il ne s'était absolument rien passé entre Wade et moi, nous n'étions que deux meilleurs amis qui avait dormi dans le même lit, rien de plus. Je n'avais jamais embrassé Wade et je n'en avais pas envie, ça n'allait pas changer maintenant. Ce que je voulais moi, c'était retrouver mon petit ami, parce qu'il me manquait et qu'un mois c'était vraiment trop long pour se faire la tête. Il fallait vraiment qu'on règle nos problèmes au plus vite et c'est pour cela que j'étais venue jusqu'à sa chambre. Il allait falloir que je me montre rusée pour qu'il accepte de me parler. C'était délicat parce qu'il faisait la tête pour rien et je ne savais même plus quoi lui dire pour qu'il s'arrête. Seulement, au moment où il ouvrit la porte mon pied vint à heurter l'encadrement. Mon visage se tordra aussitôt en une grimace de douleur et je me mis à crier sans pouvoir me retenir. Ce sont parfois les choses les plus simples de la vie qui font le plus mal... Osean se mit à paniquer, me posant la seule question au monde qui pourrait me mettre mal à l'aise. « Quoi ? » lui demandais-je à nouveau dans un souffle. Ce n'était pas mes règles, c'était mon pied. Non, et puis mes règles, ça faisait plusieurs semaines que je ne les avais pas eu... Enfin passons. J'en étais arrivée à faire du surplace sur une seule jambe, tenant mon pied souffrant entre mes deux mains. La douleur était affreuse, mais voir les mains d'Osean prête à me réceptionner me réchauffer le cœur. Je me demandais même pendant un instant si je n'allais pas faire exprès de tomber simplement pour qu'il me rattrape. Je suis en manque à ce point. Au lieu de ça, autre stratégie pour gagner du terrain face à "l'ennemi". « Il faut que je m’assoie ». Et voilà que j'entrais dans sa chambre sur mes deux pieds en boitant et en sifflant à cause de la douleur. Entrer dans sa chambre ? Check. Je venais m'asseoir au bout de son lit, découvrant son joyeux bazar. Qu'est-ce qu'il se passait au juste pour lui ? Il avait changé physiquement, il semblait plus triste, moins en forme, plus mince. Je ne pouvais m'empêcher de le détailler avant de bredouiller un « Il faut qu'on parle... » suppliant et avant même qu'il ne puisse pester, je vins à me précipiter vers la porte pour la fermer à clé et garder celle-ci dans ma main. « Je ne partirais pas tant que tout ne sera pas tiré au clair et tant que tu n'auras pas compris qu'il ne s'est rien passé avec Wade. » Je le laissais digérer la nouvelle, mais pas trop longtemps non plus. « Wade est mon meilleur ami, il est comme mon grand frère. Il ne s'est jamais rien passé entre nous et ça ne va pas changer... Tu me manques. C'est toi que j'ai envie de retrouver » me plaignais-je en le regardant, toujours contre la porte.

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C'était quoi ce sketch...? Elle débarque comme ça d'un, coup et hurle dans tout les sens. Normal que j'panique « Quoi ? », je grimaçais "Joker." en la regardant se tortiller sur un pied. Voyant qu'elle tenait bien sur SON pied, j'me redressais, prenant ma place initiale mettant par défaut mes mains sur mes hanches d'un soupire alors qu'elle reprit « Il faut que je m’assoie », ne me laissant pas le temps de comprendre puisqu'elle passait la porte sans attendre, boiteuse pour filer sur mon lit "Hey attends je t'ai... Bon vas-y laisse." m'ouais, comment tu veux que j'empêche ma propre copine d'entrer sérieux "Si c'est encore ta copine hein..." toi commence pas. Je restais debout, près de cette porte encore ouverte, l'air bah pas joyeux ouais, j'constatais même que j'avais des maxi cernes sous les yeux dans le miroir en face de moi putain... La maxi loose. "Laska j'ai pas envie de jouer..." à ça, à rien, j'veux plus jouer à qui chasse qui là vraiment. Mais elle était déterminée la p'tite aujourd'hui « Il faut qu'on parle... », se relevant presque aussi sec pour me passer devant, fermer la porte et garder la clé en main en reprenant cash « Je ne partirais pas tant que tout ne sera pas tiré au clair et tant que tu n'auras pas compris qu'il ne s'est rien passé avec Wade. », je la fixais, en silence quelques secondes avant de répliquer "Et tu m'explique ce que vous foutiez tout les deux à moitié à poil dans ce lit?" franchement le scénario j'le connais hein, il est célèbre celui là arrêtez "Ils jouaient sûrement au monopoly." ouais sûrement... Elle continuait donc « Wade est mon meilleur ami, il est comme mon grand frère. Il ne s'est jamais rien passé entre nous et ça ne va pas changer... Tu me manques. C'est toi que j'ai envie de retrouver », je l'a fixais alors, me pinçant un peu les lèvres avant de détourner les yeux car en vérité, j'suis pas certain de ce que je voyais derrière elle en fait mais passons. Je baissais alors la tête d'un soupire "J'dois donc te croire sur parole? Que en temps que meilleurs amis, j'devais trouver ça tout à fait normal et naturel de vous retrouver comme ça?" n'importe qui passerait la porte aurait imaginé la même chose que moi "Non mais sérieux mets toi à ma place ok? Inverse les rôles et dis moi que tu aurais pas pété les plombs." je m'énervais tout seul là en fait. J'me passais une main dans la nuque, crispant mon visage avant de marcher vers mon lit en bordel "Déjà que tu me plante en mode crise de nerfs pour un article CS à la con, tu me fais la gueule pendant un mois et quand j'décide de porter mes couilles pour te supplier de revenir j'ai le droit à ça? No way moi j'en ai marre." et je posais mon cul sur le lit lourdement, mon visage entre mes mains. Autant dire que j'étais au bout car tout ça, fallait pas oublier que c'était sans parler du reste...


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Peut-être que j'avais réussi à entrer dans sa chambre pour discuter, mais je sentais bien que ça s’annonçait compliqué. Il avait l'air têtu et je savais déjà que je n'allais pas réussir à avoir le dessus sur lui ou même le convaincre. Ça se voyait, il ne voulait clairement pas de moi dans sa chambre et entendre ses ronchonnements m'attristait plus que je ne l'étais déjà. Je n'étais pas resté très longtemps assise au bout de son lit, dès que j'avais aperçu que la clé de la porte se trouvait dans la serrure, j'avais foncé vers celle-ci pour nous enfermer tous les deux dans la pièce. Je voulais que l'on parle, que l'on mette les choses au clair, je voulais juste retrouver mon couple avant tout ça. Encore une fois... ça allait être hard. Je ne savais même pas quoi lui répondre en réalité parce que j'avais peur de m'enfoncer alors que de base, je n'avais strictement rien fait. D'accord, Wade était en caleçon. Mais je n'étais pas à poil moi. J'étais en t-shirt et en short. Un t-shirt d'Osean d'ailleurs qui sentait la mort parce que je le portais chaque nuit. Alors sérieusement, je ne voyais pas très bien comment je pouvais emballer un autre, si seulement j'en avais eu envie. Je préférais simplement essayer de lui faire comprendre que Wade n'était que mon meilleur ami et que c'était avec lui, Osean, que je voulais être... Mais putain, il mettait ma patience à rude épreuve et il allait réussir à me faire péter un plomb. Je me mis à rire nerveusement. « "Nous retrouver comme ça", tu dis ça comme si on était en train de se rouler des pelles quand tu es entré, c'est n'importe quoi. En attendant, entre Wade et moi, il n'y a aucune ambiguïté et j'aimerais bien que tu m'en dises autant à propos de ta sœur et toi. » Mais bon, fallait pas qu'il s'inquiète, les histoires louches et incestueuses, je commençais à avoir l'habitude. Il commençait à s'énerver et ça m'agaçait. Je venais passer mes mains sur mon visage, essayant de rester zen. J'voulais bien me mettre à sa place, mais est-ce qu'il se mettait à la mienne lui ? « Tu me demandes de me mettre à ta place et tu n'es même pas foutu de te mettre à la mienne... » lui confiais-je en commençant à pleurer. Bah oui, ce n'est pas de ma faute hein, je suis émotive et enceinte alors c'est comme ça. « Elle en est où ta théorie sur Batman et Robin ? » Il allait rien comprendre le pauvre, en plus, il semblait tellement à la ramasse... Je commençais à me poser des questions sur ce qu'il avait fait pendant son absence. « Tu ne t'es pas dit un instant que je t'aime tellement que ce genre de chose pourrait me faire du mal, me faire tomber de haut ? Tu ne t'es pas dit que j'étais terriblement flippé d'aimer quelqu'un autant, que je n'étais clairement pas préparé à ça ? » J'haussais d'un ton, les larmes dégoulinant, mais en vrai j'étais tétanisée par la suite. Bien sûr que non, il ne pouvait pas savoir tout ça, mais c'était aussi mon moyen de lui dire les choses en les détourant légèrement histoire que ça soit plus facile à dire. « J'ai eu l'impression de revivre exactement ce que j'avais déjà vécu et le pire, c'est que je suis revenue vers toi, sauf que tu n'étais plus là. Je t'ai envoyé des messages, je t'ai cherché et tu étais introuvable. Je ne savais même pas si tu étais ici ou à Boston... Qu'est-ce que tu voulais que je fasse ? » Mes deux mains paumes en l'air. J'aurais juste aimé avoir des réponses et être rassurée. Wade était juste venue pour profiter du summer camp, son dernier. Il était venu pour passer du temps avec moi histoire qu'on fasse nos gros gamins dans la piscine. Il n'y avait pas de place pour un truc ambigu entre lui et moi. Il avait simplement voulu me changer les idées, faire en sorte que je ne sois pas seule. Je lâchais un soupir. Je n'allais pas pouvoir le dire autrement, je crois que j'étais déjà assez clair. Il ne s'était rien passé avec Wade, absolument rien. J'étais une personne fidèle et bien trop amoureuse pour aller voir ailleurs de toute façon. Bien trop accro à lui. « Dis-le... » dis-je finalement d'une petite voix en venant essuyer mes joues. « Tu en as marre... ça veut dire quoi ? Que c'est fini ? » Autant qu'il arrache le pansement d'un coup sec, s'il ne veut plus de moi, autant me le faire savoir maintenant.

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Est-ce que ma réaction était mal? Est-ce que j'abusais en réagissant comme ça..? "Moi je ne l'aurais même pas laissé entrer." t'es pas un exemple à suivre... Laisse moi gérer mes histoires. Le fait est que je m'étais fait défoncé pour un article bidon, que j'avais pas eut mon mot à dire et que quand je voulais me faire pardonner pour un truc que j'ai pas fait je l'avais pécho dans un lit avec son meilleur pote alors merci hein... C'est qui le pigeon après ça? "Bah toi." merci. Sauf qu'elle voulait pas le comprendre, riant nerveusement « "Nous retrouver comme ça", tu dis ça comme si on était en train de se rouler des pelles quand tu es entré, c'est n'importe quoi. En attendant, entre Wade et moi, il n'y a aucune ambiguïté et j'aimerais bien que tu m'en dises autant à propos de ta sœur et toi. », je lui faisais de gros yeux "T'es sérieusement entrain de remettre ça sur le tapis là..? Réellement?" pestant en secouant la tête d'un à peine audible "J'y crois pas c'est l'hôpital qui se fou de la charité." ouais clairement. "Cherche pas c'est toi qui a tord, c'est toujours comme ça avec les femmes, même si tu as raison tu as tord." ouais je commence à le constater. Elle tentait de rester calme en reprenant les larmes aux yeux « Tu me demandes de me mettre à ta place et tu n'es même pas foutu de te mettre à la mienne... », je fronçais alors les sourcils revenant vers elle "Mais si justement je me suis mis à ta place! Je t'ai couru après pour te l'expliquer, te rassurer sur le fait que c'était n'importe quoi, qu'il n'y a strictement RIEN entre Maddy et moi mais t'as rien voulu savoir parce que t'es putain de bornée!" respirant fort pour me calmer. Ça me rendait ouf ça, qu'elle trouve encore le moyen d'me le balancer alors que merde, je l'avais trouvé au lit avec son best! Allô? Est-ce que j'étais en boxer dans le même lit que Maddy à un moment donné? NON! Elle reprit « Elle en est où ta théorie sur Batman et Robin ? », je grimaçais "Quoi..?" avant de secouer la tête embrouillé, passant mes mains sur mon visage d'un long soupire "Hey tu entends ça?" quoi ça..? "Ce bruit de font..?" non commence pas j'te jure que c'est pas le moment j'suis déjà assez à l'ouest. « Tu ne t'es pas dit un instant que je t'aime tellement que ce genre de chose pourrait me faire du mal, me faire tomber de haut ? Tu ne t'es pas dit que j'étais terriblement flippé d'aimer quelqu'un autant, que je n'étais clairement pas préparé à ça ? », posé sur mon lit la tête baissée et les yeux fermés, je restais comme ça un instant avant de réaliser ce qu'elle était entrain d'me dire en pleurant. Je rouvrais alors les yeux pour redresser la tête vers elle « J'ai eu l'impression de revivre exactement ce que j'avais déjà vécu et le pire, c'est que je suis revenue vers toi, sauf que tu n'étais plus là. Je t'ai envoyé des messages, je t'ai cherché et tu étais introuvable. Je ne savais même pas si tu étais ici ou à Boston... Qu'est-ce que tu voulais que je fasse ? », quoi répondre à ça..? "Rien je crois là elle a pas tord t'as failé." ouais je sais, j'étais dégouté et... Pas bien à cause de toi et tes potes remember? "Ah oui désolé...", je me pinçais alors la lèvre inférieur "Donc tu dors en petite tenue avec ton meilleur ami parce que j'suis pas là..?" ouais ok c'est la seule chose que j'avais en tête sur toute la phrase mais le reste m'importait aussi hein, c'est juste que j'avais toujours pas digéré le truc et que j'voulais pas parler de mon "problème". Moi aussi j'étais têtu quand j'le voulais, preuve! Mais je commençais à l'a désespérer car elle repris d'un soupire en essuyant ses joues « Dis-le... Tu en as marre... ça veut dire quoi ? Que c'est fini ? », je relevais alors les yeux vers elle une nouvelle fois l'air triste avant d'me lever pour m'approcher "Si je voulais que ça se termine Laska, se serait fini depuis longtemps crois moi." passant ma main sur sa joue pour balayer ses larmes "Qu'est ce que tu crois? Si je réagi comme ça c'est parce que moi aussi je t'aime et ça m'a bouffé ce que j'ai vu, j'ai cru que tu m'avais trompé et ça m'a fait mal, très mal même. Et sans ça, ça m'a bouffé de jalousie de vous voir comme ça, vraiment. Je suis amoureux de toi et j'aime pas te partager. Ce mois a été une torture sache le..." et tu sais pas à quel point ma grande...


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Oups, j'avais appuyé là où il ne fallait pas apparemment. Parler de sa sœur, en remettant en question ce qu'il ressentait pour elle était, semble-t-il, un mauvais choix. En même temps, il y avait quelque chose de rassurant dans sa réaction, mais j'attendais d'être fixée. Perso, je n'avais rien fais de mal avec Wade. Même si, je l'accorde, je refusais très clairement que l'on échange les rôles. Donc, j'avouais - à moi-même - que d'accord, ça pouvait porter à confusion, ou même taper sur les nerfs. C'était un bon début non ? Enfin bon. Fallait pas trop que je fasse ma maligne, car en réalité, j'étais au bout de ma vie à ce moment-là. J'avais juste envie de pleurer, de me mettre à genoux et de le supplier de m'aimer encore et encore. Ou alors... de me jeter dans ses bras. Je voulais me jeter sur lui et l'obliger à me faire un câlin parce que j'étais en manque de mon petit ami, et non, je n'avais pas envie de gâcher notre temps dans une dispute. Surtout que nous étions deux têtus et que très clairement, ça allait être un dialogue de sourds puisque aucun de nous deux ne voudra avouer que l'autre à raison. Le pire dans tout ça ? C'était que c'était un match nul. Je laissais échapper un soupir en comprenant très vite que le chemin vers le terrain d'entente allait être long. Et si j'étais juste en train de le perdre ? Rien que d'y penser, j'en avais les larmes qui me montaient aux yeux et la gorge qui se serrait. Je voulais juste qu'il se mette à ma place, je ne suis peut-être pas toute rose, du moins, j'ai peut-être agi bêtement, mais, il n'était pas mieux. « Et bien la "putain de bornée" est contente de l'apprendre ! » Et je me redressais pour me donner un peu plus de contenances, essayant de rester... digne ? Raah, je n'en savais rien. J'avais l'impression d'avoir fait les pires choses au monde, mettant en péril mon couple alors que punaise, je n'étais pas la seule et ce que j'avais fait n'était... rien ou pas si pire que ça en avait l'air. Et je pleurais comme une fille parce que j'en étais une et qu'en plus, j'étais enceinte. Je ne voulais juste pas perdre mon chéri. Je soupirais, essayant de me calmer malgré les larmes qui dégoulinaient telle une fontaine et je repris la parole pour tenter d'expliquer les choses. Je lui disais ce que j'avais sur le cœur, je faisais de mon mieux pour tout dire et être la plus vraie possible. Je venais de lui dire que je l'aimais merde ! Et lui, même pas il relevait. Il me balançait juste une question sur le fait que je puisse dormir avec mon meilleur ami quand il a le dos tourné. Mon visage se décomposa et je n'eus même pas le courage de répondre. Je rendais les armes. Il avait gagné. Je n'étais pas plus  avancée finalement. On s'était disputé pour quelque chose qui n'en valait pas la peine selon lui, d'accord. Mais après ? On s’engueulait parce que j'avais dormi avec Wade. Mais ensuite ? Il était où lui pendant un mois ? Pourquoi il avait une tête à faire peur ? Ses cernes, j'avais les mêmes sous les yeux quand j'avais arrêté la drogue. Mais lui... Lui, il n'avait pas besoin de sevrage ? Il avait quoi ? Enfin bon, je supposais que ça allait être des questions sans réponse puisqu'il en avait marre. Il l'avait dit lui-même. Il en avait marre et il faisait une fixette sur Wade et moi, en train de se prendre la tête dans un lit, Wade en caleçon et moi en pyjama. En vrai, ça me rendait ouf. Mais bon, j'avais rendu les armes, alors à lui de choisir. C'est à ce moment qu'il se leva, venant me faire face avec son air triste. « Si je voulais que ça se termine Laska, se serait fini depuis longtemps crois moi. » Ça phrase résonnait dans ma tête et je n'avais aucune idée de comment je devais le prendre. Il y avait une pointe de soulagement et puis, il y avait cette petite voix dans ma tête qui me disait « Tu es tellement chiante ma pauvre fille, que tu le fatigues, mais qu'il résiste ». Waaw. Mon petit ami était un Jedi méritant une médaille pour sortir avec une chieuse. Mais tout cela fut vite oublié par la suite parce qu'Osean avait le don de me faire tomber amoureuse de lui again and again. D'un geste doux, il venait essuyer mes joues, me laissant stoïque. « Je suis tellement désolée » bredouillais-je en le regardant avant de me nicher dans ses bras et de le serrer fort contre moi, mon visage dans son cou. Je voulais rester comme ça une éternité. Je faisais de nouveau le plein d'énergie et d'amour, juste en m'enveloppant de son odeur et de son corps. Il me donnait l'impression d'être la pire créature qui existe, le genre de monstre qui ne méritait rien, surtout pas l'attention d'une personne comme lui. Ça me rendait triste en réalité. Est-ce que je méritais tout ça ? Je n'avais pas assez de confiance en moi et je ne voyais pas toujours où était le mal. Mais je voulais qu'il soit heureux. Égoïstement, je voulais qu'il soit heureux avec moi parce que je l'aimais tellement que je ne m'imaginais pas sans lui. « Ça remonte à quand la dernière fois que tu as passé une vraie nuit et que tu as mangé un vrai repas ? » lui demandais-je inquiète en défaisant légèrement mon étreinte pour le regarder. Baladant mon pouce sur ses cernes.

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Elle soupirait encore et toujours mais en même temps voilà quoi! Elle débarque et ose encore me repprocher des trucs "Le même truc que la dernière fois à vrai dire..." ta gueule! On a compris. J'aimais pas la voir comme ça en plus, triste, les yeux humides... Elle commençait à pleurer merde! Je supportais pas la voir si mal... Mais fallait pas que je cède, non pas si vite, surtout pas qu'elle ne cédait rien non plus « Et bien la "putain de bornée" est contente de l'apprendre ! », je serrais les dents et les fesses hein... Car là c'est MOI qui lui faisait du mal et j'avais horreur de ça. Et voilà elle pleurait vraiment "À chaudes larmes." arrête d'en rajouter! Arrête de me parler tout court putain. Je pétais à nouveau un câble alors qu'elle tentait de s'expliquer une nouvelle fois et moi je jouais le jaloux, imprimant bien son discours, mais ne ressortant que le plus insignifiant ce qui ne manqua pas de l'a faire se décomposer sur place. Elle en changeait presque de couleur sur le coup et moi j'en pouvais plus. Je ne voulais pas la perdre, je l'aimais fort, genre... Vraiment fort "Tu en es même carrément amoureux tu veux dire." Je... Oui, c'est ça, j'en suis amoureux. Je me levais donc pour lui faire face, porter mes couilles et enfin le lui dire, genre pour de vrai, avec les mots justes m'voyez? Elle restait planté là à me fixer alors que j'essuyais ses larmes de mes doigts. Un instant de silence et enfin... « Je suis tellement désolée », elle venait se jeter dans mes bras son visage dans mon cou pour me serrer fort contre elle et... J'en faisais autant, la serrant fort contre moi, plongeant mon visage dans ses cheveux. J'inspirais un grand coup avant de soupirer et d'embrasser sa tête pour revenir la serrer contre moi quand soudain elle dit « Ça remonte à quand la dernière fois que tu as passé une vraie nuit et que tu as mangé un vrai repas ? » et elle s'écartait un peu, doucement, pour venir glisser ses doigts sous mes yeux. Je la fixais, me mordant la lèvre inférieur "Je ne sais pas je... J'dors plus très bien ces derniers temps et j'ai pas spécialement faim non plus." ouais façon de diminuer ce qu'elle dit alors qu'elle a parfaitement raison "C'est clair que tu as une sale gueule." et c'est de votre faute!

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J'étais au bout de ma vie pour ne rien vous cacher. Je pleurais comme une madeleine, mais vraiment, il y avait de quoi. Je ne voulais pas le perdre, je voulais garder mon petit ami. Je me sentais bien avec lui, on était souvent sur la même longueur d'onde. On se chamaillait régulièrement, mais franchement, j'adorais notre couple, j'avais des réels sentiments pour lui. Je l'aimais et cette fois, je ne le cachais pas. Je ne voulais pas que quoi que ce soit vienne ternir le tableau. Et puis au moment où je commençais à me dire que je le perdais, une lueur d'espoir réapparaissait. Il se levait pour me faire face, essuyer mes larmes avec délicatesse pour me dire finalement les plus belles choses qu'une femme puisse entendre de la part d'un homme. Il m'aimait. Je le savais déjà, mais cette fois, il le disait. Je ne pouvais que venir me réfugier dans ses bras, faire le plein d'énergie et de lui. Ma bouffée d'oxygène. Maintenant, il était mal, parce que je comptais le coller 24 heures sur 24. Nous avions un mois à rattraper et je comptais bien le lui faire comprendre. Avant ça, je me préoccupais de sa mine fatiguée. « Je ne sais pas je... J'dors plus très bien ces derniers temps et j'ai pas spécialement faim non plus. » Je fronçais légèrement les sourcils en le regardant toujours. « Tu es malade ? J'avais la même tête à mon sevrage... ». Ouais, j'étais moche quand j'avais arrêté la drogue. Il restait beau en toutes circonstances, mais quand même, il y avait un truc qui n'allait pas, ça se voyait. « Tu me laisses dormir avec toi cette nuit. » Ce n'était pas une question. Je voulais passer du temps avec lui. « On peut appeler le room service si tu veux.. ? Ou on commande un truc à manger.. ? ». Je ne voulais pas qu'il meurt de faim. Bientôt, j'allais faire deux tours avec mes bras quand je le sers fort...

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La voir pleurer cette torture! Surtout quand ça venait de moi, quand c'était par ma faute mais là... Il fallait y passer. J'avais mal, j'étais mal et c'était à cause d'elle! Elle m'avait défoncé pour un article de merde, m'avait ignoré longtemps et m'avait fait la mauvaise blague de dormir avec son best en boxer. Non merci c'était trop. L'accumulation, l'overdoose quoi. Mais... Je l'aime, l'en suis fou amoureux même et c'est pour ça que je me met dans de tels états. Par amour ouais. Qu'est ce que j'suis con. Le cliché que je ne pensais jamais atteindre "L'amour fait autant de bien que de mal et si seul les personnes qu'on aime sont capable d'autant nous blesser." arrête ta philo' c'est pas le moment, j'ai besoin d'air bordel! Combien de fois j'vais devoir te le dire..? "C'est bon j'ai compris." merci. La situation tournait alors quand je déballais mon sac, je lui avouais tout, fin je laissais sortir ce que j'avais sur le coeur surtout et je me sentais mieux, elle aussi d'ailleurs ça se lisait sur son visage et ça me soulageait. Et enfin mon câlin, mon tout doux et tout mignon câlin... Que ça faisait du bien putain. Sauf qu'elle parlait de ma sale gueule et je devais avouer les faits, j'dormais pas et je mangeais pas ouais. Fronçant les sourcils elle répliquait « Tu es malade ? J'avais la même tête à mon sevrage... », je grimaçais baissant les yeux un instant "Je crois bien que oui... Fin j'en sais rien c'est spécial je dirais.... Mais pas de la façon que tu pense." ouais même moi j'sais pas de quel façon je pense, genre en fait j'sais même pas si j'suis vraiment malade ou pas m'voyez..? J'en sais rien du tout. Puis là elle me demandait d'un coup « Tu me laisses dormir avec toi cette nuit. », de grands yeux, j'arquais un sourcil assez surpris mais dans le bon sens du terme "Ça me parait être une évidence il me semble." souriant doucement sur la fin pour poser mon front contre le sien et y déposer un baiser en m'écartant un peu sans qu'on se lâche pour autant « On peut appeler le room service si tu veux.. ? Ou on commande un truc à manger.. ? », je souriais en coin avant de hocher une fois de la tête "Ouais, tu me redonne faim alors j'suis pas contre un truc à grailler là tout d'suite." ça me fera du bien même si c'est surtout elle qui me fait du bien, l'a retrouver, l'avoir pour moi, comme avant... Ça m'avait trop manqué en vrai.

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