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Une nouvelle acceptable ou non (JamesandHappy)

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Ah ! S'il en est un dans les cieux qui ait jamais veillé sur toi, que devient-il en ce moment ? Il est assis devant un orgue ; ses ailes sont à demi ouvertes, ses mains étendues sur le clavier d'ivoire ; il commence un hymne éternel, l'hymne d'amour et d'immortel oubli.

Je ne voulais plus débattre sur le sujet de Nevada, après tout, il savait de quoi je pensais, de leur petit jeu de guerre. Je levais même d'un air exagéré les yeux, alors que je suivais le regard de Jimmy sur mon petit jouet, plutôt pas mal, je dois avouer. Les sourcils froncés, je m'appuyais sur le toit de la voiture. < Tu rigoles j'espère ? Tu crois que j'allais te demander de l'argent ? Je fais ça, pour toi. Pas dans le but d'avoir de l'argent. Si je sais que je peux t'aider, je veux le faire. > En lui faisant un signe, je l'incitais à prendre place du côté passagé, alors que je prit place de mon côté conducteur, du moins, pour l'aller, puisque Jimmy prendrait le retour. Je m'attache, allume le moteur qui ronronne immédiatement. Ciel, que ce bruit est jouissif.

< Un pub irlandais ? Je te fais confiance. Tant que la bière est bonne ! > J'ajoutais mes propos, alors que je prenais la route en direction du bar que Jimmy avait choisi, ce n'était pas loin, mais je voulais parler davantage avec lui, avant d'être ivre mort, et de ne plus articuler des mots à la suite. < J'ai vendu la baraque. Et je ne l'ai pas dit à Nevada. > Je me mord l'intérieur de la joue, je ne savais pas comment aborder ce sujet, encore moins quand je venais de le terminer dans un sens. < J'ai vendu la baraque, et le pire... C'est que j'ai menti à Nevada, il veut revenir dans cette maison, mais elle est déjà achetée. Je suis dans la merde. > Attentif à la route, scrutant le visage de mon ami de temps en temps.
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Inutile en effet de continuer à tergiverser sur le sujet de Nevada sous peine que cela ne parte en cacahuète. D’autant que Happy restait pour la paix des ménages, refusant d’être responsable d’une quelconque zizanie. « Tu le ferais gratuitement ? Putain je savais que tu étais généreux mais là tu dépasses tous les trésors de l’amitié, tu es au courant ? » fit-il, gêné. L’américain aurait rêvé pouvoir lui payer ses honoraires, « s’offrir ses services » sans même éprouver la plus petite crainte, puisque son frère de cœur était un excellent avocat, il le savait. Et il n’y avait là aucun compliment laconique, juste de la vérité, sur laquelle il aurait pu s’étendre en un discours sans fin sans risquer de zozoter en prime puisqu’il aurait été sûr de lui. A la place, Happy ne fut pas mécontent de ne pas jouer les pantouflards et de pouvoir profiter d’une soirée avec James en dehors de quatre murs. Un pub irlandais, celui qu’il proposait, s’avérait parfait pour une soirée entre potes. Pas de laiderons ou de sac à vin qui tiennent, bien que ce ne soit pas le but de leur soirée. Un établissement parfaitement tenu. « La bière est excellente même ! Tu m’en diras des nouvelles ! » soutint-il avant qu’un nouveau couperet ne tombe, James confiant une donnée dont même Nevada n’avait pas encore eu vent. « Oh putain… et pourquoi tu l’as vendue cette baraque si jamais il y tient ? » reprit-il sans beugler, d'un calme presque olympien.
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Ah ! S'il en est un dans les cieux qui ait jamais veillé sur toi, que devient-il en ce moment ? Il est assis devant un orgue ; ses ailes sont à demi ouvertes, ses mains étendues sur le clavier d'ivoire ; il commence un hymne éternel, l'hymne d'amour et d'immortel oubli.

Je haussais les épaules, j'ai toujours dit que si je pouvais aider les gens, je le ferai de bon coeur, surtout si cela implique l'un de mes proches, là, c'était inévitable, et je ne pourrais refuser. En conduisant jusqu'au bar qu'il avait choisi, je scrutais du coin de l'oeil le profil de Happy, alors que ma voix reprenait le dessus. < Et bien, c'est simple. J'ai vécu trois mois de merde, dans cette baraque, et je voulais m'en débarrasser. Le souci, c'est qu'au moment où je me suis remis avec Nevada, c'est que la maison était déjà vendue. J'ai dû mentir. Mais je dois lui dire la vérité. > Je soupirai, lourdement. J'avais été stupide de ne pas directement lui dire la vérité, mais j'étais tellement abcédé par sa venue, que je m'étais dit qu'il y avait moment de reprendre la maison, sauf qu'elle était déjà vendue, et que non, ceci n'est pas possible. En me garant, dans une ruelle, histoire que personne ne vienne abîmer ma voiture. Je sortais, verrouillant les portières, tout en marchant jusqu'à l'entrée. < Tu me diras quand tu voudras qu'ont traite le dossier, faudra venir dans mon cabinet. D'accord ? >

Nos silhouettes pénétraient dans le lieux, et mon regard suivait les personnes installées au bar, ainsi qu'aux tables. Je dois avouer que c'était plutôt chaleureux, même si la musique n'était pas à mon goût. Je souris, faisant signe à Happy afin de nous asseoir sur les chaises hautes. Levant ma main en signalant notre présence auprès de la serveuse. < Je vais prendre un whisky, et toi ? >
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Autant dire que Happy était complètement fan de cette voiture. La coupe était parfaite, elle devait vibrer sous la vitesse, un beau truisme que voilà. Aucun risque de trouver ladite coupe infundibuliforme, à moins d’être complètement aveugle, de mauvaise foi ou chattemite. L’américain n’était rien de tout cela, et craignait presque de rayer la carrosserie une fois qu’il serait au volant. Cette pensée fut balayée tel un pantomime par le discours de James, lui apprenant, à sa plus grande surprise, la vente de la maison apparemment adorée par Nevada. Gros problème. La colère du petit ami de l’avocat serait sûrement des plus frénétiques lorsqu’il l’apprendrait mais en attendant, ils avaient un peu de temps pour essayer de trouver une solution ensemble. « Je comprends totalement le fait que tu aies vendu cette baraque… je pense que j’en aurais fait autant à ta place ! Mais peut-être qu’il ne t’en voudra pas si tu lui expliques ? Mets bien en avant que tu étais trop mal pour la garder, mais qu’après tu as regretté de l’avoir mise en vente, manque de bol c’était trop tard… » tenta-t-il, levant les mains pour accompagner ses propos, bien loin d’être panégyrique. « T’es vraiment parfait, je ne sais pas ce que je ferai sans toi ! » s’exclama-t-il alors qu’ils arrivaient au fameux pub, aussi bondé qu’une foule en pleine agora. « Je crois que je vais te suivre sur le whisky ! On trinque à quoi ? »
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Ah ! S'il en est un dans les cieux qui ait jamais veillé sur toi, que devient-il en ce moment ? Il est assis devant un orgue ; ses ailes sont à demi ouvertes, ses mains étendues sur le clavier d'ivoire ; il commence un hymne éternel, l'hymne d'amour et d'immortel oubli.

J'écoutais attentivement les subjectivons de Happy, concernant la vente de ma baraque, à vrai dire, je mettais de côté, peut-être qu'il avait raison, si je mettais en avant le fait que je regrettais, peut-être qu'il comprendrait. Ou peut-être pas, j'en doute fortement même. Dans un faible soupire, je hausse vaguement les épaules, en scrutant les profils des clients présents. On pouvait admirer des femmes, des hommes, plutôt influencés par l'alcool, d'autres se voyaient parfaitement qu'ils allaient conduire. En soit, tout était bien réparti. < Je ne sais pas Happy, Nevada est quelqu'un qui s'énerve rapidement, je sais même pas si j'aurai le temps d'expliquer, qu'il me sautera dessus pour m'étrangler. > Les sourcils froncés, en voyant nos commandes arriver, entourant mon verre de ma phalange je redressais le tout, en venant cogner contre le verre de Happy. < On trinque à nous, tout bonnement ! > Dans un faible rire, je trinquais avec lui, avant de venir boire une longue gorgée de cet alcool. Dieu que j'aime cette saveur. Je repose le verre, posant mon regard sur mon vieil ami. < Tu repenses des fois au passé ? Comment c'était simple ? Avec nos conneries, et tout le bordel. >

Je me souvenais bien de cette époque, où ma seule préoccupation était de sortir et de ramener une fille chez moi. Finalement, j'ai toujours été ainsi, boire, fumer, sortir, boulot, une sorte de routine, hors les moments passés avec Happy qui me demandait un peu plus d'énergie. Les conneries entre potes, c'était ça, qui me laissait un goût amer dans la bouche. Mais j'aimais mon présent, me dire que j'ai parcouru tant de choses pour ouvrir mon cabinet, avoir ma propre demeure, et enfin assumer mon orientation sexuel.
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Dans le genre, Nevada et James n’avaient pas l’air de vivre d’amour et d’eau fraîche, mais plutôt d’amour et… de disputes. On ne pouvait pas appeler cela une relation épistolaire, bien au contraire, mais ce n’était pas davantage une relation vraiment stable pour le moment. La colère du petit ami serait sûrement pantagruélique et frénétique à souhait avant même que l’avocat ne puisse même essayer de sabrenasser les fondations de leur vie commune. « C’est à ce point là ? Je ne peux même pas te proposer d’essayer de tâter le terrain, on n’est pas exactement copains lui et moi… en tout cas pour le moment » fit-il valoir, à grand regret pour le coup. Happy aurait pourtant été tout sauf ergophobe s’il avait réellement fallut parler au jeune homme afin de tâter le terrain. Quitte à être détesté plus encore par le principal intéressé en venant avec ses gros sabots et ses impedimenta. Mais là n’était pas la question, hélas. On n’achèterait pas ledit petit ami avec un discours amphigourique. De toute manière, il n’écouterait peut-être même pas James, c’était un triste truisme. « Alors à nous ! » Pas d’abstème ce soir, l’américain trinqua de bon cœur avant de boire une bonne lampée de son whisky, non sans s’enivrer de toute sa saveur. « Si je me souviens… j’avais l’impression d’être libre perso. Dommage qu’on ne refasse pas le passé, ou qu’on ne puisse pas y revenir ! Même cette bonne Mary Poppins en serait bien incapable, avec son Supercalifragilisticexpialidocious… il te manque le passé toi ? »
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Ah ! S'il en est un dans les cieux qui ait jamais veillé sur toi, que devient-il en ce moment ? Il est assis devant un orgue ; ses ailes sont à demi ouvertes, ses mains étendues sur le clavier d'ivoire ; il commence un hymne éternel, l'hymne d'amour et d'immortel oubli.

Le passé, c'était une très bonne question. Est-ce que ce dernier me manque ? Peut-être un peu, mais pas complètement. J'ai toujours été quelqu'un qui ne pensait qu'au futur, et jamais, je n'avais eu l'idée de me poser et de réfléchir à mes actes précédents. Mais là, accompagné de mon vieil ami, j'incline mon visage sur l'une de mes épaules, tout en haussant les deux en même temps. < Je sais pas, peut-être que nos moments me manquent, ouais. Le fait qu'on traînait toujours ensemble. À faire des conneries. > Je fais tournoyais le verre entre mes doigts, et contre ma paume, d'un air songeur et absent. Je m'éternisais grandement sur ma propre question. < Si tu devais changer un truc, dans ton passé, c'est quoi ? Je crois que je t'ai jamais posé cette question, et c'est le moment ! > J'affiche à la fois, un sourire tendre et amusé. Je bois une longue gorgée de mon alcool favori, et je repose mon regard sur Happy. Je scrute quelques fois les alentours, en observant les clients qui rentraient dans le bar où nous étions installés. J'avais tant de choses à dire à Happy, que je ne trouvais pas le moment parfait pour lui annoncer des choses. Sans doute parce que cela ne serait pas pour ce soir, en vu des événements et surtout le fait de parler constamment de Nevada et de lui. Encore maintenant, j'avais envie de lui poser des tonnes de questions, du pourquoi ils ne s'entendent pas, pourquoi lui, ne pourrait pas l'inviter à boire un verre et mettre tout sur la table. Ouais, je rêvais, je sais. Mais je restais persuadé qu'un jour, ces deux-là, puisse enfin s'entendre.. Ou de rester dans la même pièce dans vouloir s’entre-tuer. Je termine ma boisson, rapidement, levant mon index pour signaler une autre tournée à moi et à mon vieil ami. < Tu sais, que j'ai toujours été jaloux de toi ? Les nanas tombaient toutes à tes pieds ! Je me souviens avoir retenu quelques thons, pour que tu puisses chopper la plus canon ! > Un faible rire, venait s'évader dans l'air, en imaginant la scène et les souvenirs de ces fameuses soirées, plutôt arrosées, évidemment.
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« Faire des conneries on peut encore en faire tu sais… juste de manière plus raisonnable ! » plaisanta-t-il de bon cœur, même si Happy pensait sincèrement ses propos. Sortir en boîte, conduire vite, boire… il y avait encore des conneries à faire, même pour un avocat de renom et un futur véto. Il y avait toujours une possibilité pour toi, et on ne pouvait pas dire que l’américain n’y ait pas déjà réfléchi, lorsqu’il s’ennuyait ou que son passé lui manquait. « Si je pouvais changer une chose… je ne serais pas devenu gigolo. J’aurais choisi une autre vie. Et toi ? » Une phrase bien lourde de sens, qui signifierait qu’il aurait renié tout ce que sa mère lui avait inculqué. Mais était-ce vraiment dérangeant ? Bah, le jeune homme se serait rapidement retrouvé seul, mais ne l’était-il pas actuellement ? Sa mère adoptive dans le coma, sans frère, sœur, père, oncle, cousins… rien. Il n’avait plus rien ou si peu… cela n’aurait pas changé grand-chose d’avoir été seul avant, fondamentalement. Mais au moins, Happy se respecterait davantage qu’il ne le faisait aujourd’hui, et ça, cela aurait pu tout changer. Néanmoins, au-delà de ce genre de pensée, il devait s’avouer curieux sur ce que James pourrait bien vouloir changer. Il n’avait pas eu une vie parfaite non plus, bien sûr, mais le beau blond ignorait totalement ce qui clochait au point de vouloir être effacé dans la vie de l’avocat. « C’est vrai, t’as retenu quelques escalopes de thon mémorables ! » rit-il de bon cœur à cette idée. « Mais tu t’es tapé des canons aussi… j’étais quand même pas le seul ! »
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