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Une nouvelle acceptable ou non (JamesandHappy)

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Happy and James
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"Será que conseguirei, alguma vez, assumir o controle da minha vida? Será que sempre serei empurrada e maltratada pelas pessoas em que confio?"
En fixant mon téléphone, je valse entre le menu, et le numéro de Happy. Je le fixe, en me posant de tonnes de questions. Il méritait la vérité, il était comme mon frère, et c'était important qu'il sache la nouvelle : Je suis une nouvelle fois avec Nevada, oui, celui qui m'a détruit, qui m'a anéantis jusqu'à perdre à plusieurs reprises le contrôle de moi-même. Après tout, Happy, avait été là, durant tout le moment où mon monde s'était renfermé comme un couvercle. Il m'avait supporté, aidé, soutenu. Il m'avait apporté ce que peu de personnes auraient réussi. Une main tendue, sans jugement, et sans critique. Juste, de l'aide. Alors que dans un soupir, je presse sur son numéro, en plaquant mon portable contre mon oreille... Ça sonnait, intérieurement, j'aurai voulu tomber sur sa boîte vocale, me disant qu'il était occupé, ou même absent. Mais ce ne fut pas le cas. J'entendis sa voix se briser, et la mienne se coupait durant quelques fractions de secondes.

Assis sur le canapé, ma main tenait mon front comme pour me donner un certain courage. Je terminais par parler. Fixant un point que moi seul pouvait voir. < Happy ? Comment tu vas ? > Il pouvait entendre dans ma voix, une certaine angoisse. Je ne sais absolument pas comment il allait se comporter, comment il allait avaler le fait... Que je lui ai caché ma relation, et ce,.. Depuis de longs jours ? Mais, je ne pouvais pas, je n'arrivais pas à lui dire. Pourtant, nous nous sommes vus à plusieurs reprises, et quelques fois, je me faisais violence pour le regarder dans les yeux, et lui mentir. Je regrettais, et c'était le moment d'avouer. La seule idée de le perdre, me compressait le coeur. Le frère que je n'ai jamais eu, c'était lui. Uniquement lui. < Tu es occupé ? Il faudrait qu'on se voie. C'est important. T'es en ville ? Tu crois que tu pourrais passer ? > Je n'allais jamais lui dire la vérité au téléphone, c'était bien trop lâche et cela ne me ressemblait guère. Il fallait qu'il vienne. En me levant du canapé, je passe une main baladeuse dans mes cheveux, en les rabattants en arrière. < Écoute, c'est vraiment important. Je sais qu'il est tard, il est quoi.. ? > Mon regard s'abaisse sur ma montre. < Ouais.. Il est 2h00 du matin, mais faut que je te parle. Je t'attends mon frère. >
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Happy venait de sortir de chez une cliente au moment où son téléphone se mit à vibrer. Il ne lui fallut pas plus d’une ou deux secondes pour décrocher en voyant que l’appel provenait de James, son frère de cœur, celui avec qui il avait vécu au moins mille aventures et un milliard de conneries différentes. Peu importe, ils avaient toujours été là l’un pour l’autre, l’américain d’autant plus vis-à-vis de son frère de cœur, récemment dans la tourmente. « Ouais ? Salut James ! » s’exclama-t-il avant de le laisser parler, voulant confirmer cette sorte d’angoisse qu’il avait entendue dans le fond de sa voix. L’entendre s’exprimer ne fit que lui donner l’impression qu’il y avait non seulement anguille sous roche, mais le feu au lac également. Aussi, même s’il écoutait toujours, Happy se hâta de trouver sa voiture sur le parking en face de l’immeuble où il se trouvait, afin de ne pas perdre de temps. « T’es au courant que je bosse surtout de nuit et que là, c’est encore hyper tôt pour moi ? » tenta-t-il de plaisanter en vue de détendre son ami proche, inutile de l’angoisser plus encore qu’il ne semblait l’être. « Je suis en ville, pas super loin de chez toi en plus… je viens d’entrer dans ma bagnole, je te garde en ligne le temps d’arriver, ça marche ? »[/color] proposa-t-il, refusant de le laisser raccrocher, comme si cette sorte d’angoisse s’emparait à son tour de lui. « J’ai démarré, je ne vais pas mettre longtemps à arriver. Tu m’excuseras si je viens les mains vides cette fois ! » La discussion eut bon train avant qu’il ne parvienne jusqu’au « foyer » de James, frappant à la porte, raccrochant par la même occasion. « Bah alors poto, qu’est-ce qui t’arrive ? »
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"Será que conseguirei, alguma vez, assumir o controle da minha vida? Será que sempre serei empurrada e maltratada pelas pessoas em que confio?"
Je n'ai pas arrêté de penser au fait, que je devais absolument signaler Happy de ma relation avec Nevada. Mais après tout ce que j'ai vécu ? Il me semblait que cela soit un peu plus compliqué. Malgré tout, je ne doutais pas que mon frère ne s'impose pas à cette liaison, mais qu'en revanche, il ne comprendrait certainement pas pourquoi je lui ai caché cette nouvelle... Et dans quelles circonstances, je vins à me remettre avec mon partenaire. Il est vrai, que depuis quelques jours, mon humeur à totalement changé, il est passé du plus sombre au plus clair, et je ne voyais pas que les gens autour de moi, se poseraient sans doute des questions à ce sujet.

Au moment où j'entends sa voix, je sens la mienne se tendre et devenir bien plus grave que je ne l'aurai espéré. Je prenais sur moi, pour ne pas lui dire directement, et que ce dossier soit terminé. Mais finalement, il préférait me garder au téléphone jusqu'au moment où j'entendis la porte frapper, et le téléphone raccroché. Je vins à me redresser du divan, abaissant la poignée pour que cette distance entre nous soit terminée. Le regard valsant sur mon vieil ami, alors que je vins lui donner une tape amicale sur l'épaule. Lui désignant la place pour qu'il pénètre mon immense maison, qui est.. En vente, ouais, encore un sujet que je dois partager. < Faut que je te parle, c'est assez important. Et je ne vais pas y aller par quatre-chemins. > Les bras croisés, je plantais ma carrure masculine face à lui, les yeux braqués dans les siens. < Tu sais, que j'ai passé une période compliquée.. Ma rupture avec Nevada.. Puis, ma descente aux enfers avec l'alcool. Je l'ai revu, il y a quelques jours, quand j'allais faire un cours à l'université. On s'est embrassé. On a discuté.. Et je suis à nouveau avec, on se laisse une chance. > Ma main passait dans mes cheveux, puis sur ma nuque que je frottais sous la gêne qui circulait en moi.
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La tape amicale fut bien évidemment rendue par Happy, qui souriait avec sincérité à son vieil ami. Ce dernier avait bien fait de l’appeler au moment où il l’avait fait, sans quoi il se serait sûrement dirigé chez une autre cliente et dès lors, son téléphone aurait été éteint. A part laisser un message en espérant que ce dernier pense à rallumer son smartphone une fois le rendez-vous terminé… il n’y aurait pas eu grand-chose d’autre à faire. L’américain ne tarda pas à prendre place, curieux et inquiet en même temps, car il n’avait jamais vu James aussi sérieux, hormis les rares fois durant lesquelles il l’avait vu plaider. Là, il n’y avait aucun dossier juridique qui tienne, cela devait donc relever du personnel. Happy attendit patiemment que son interlocuteur lui balance la bombe afin de pouvoir encaisser et réagir comme il le pourrait. Le temps lui parut presque interminable lorsqu’il eut enfin l’information qu’il redoutait entre les mains : Nevada était revenu sur le devant de la scène, et James lui laissait apparemment une seconde chance. « Donc si je résume, tu donnes une seconde chance à la personne étant en premier responsable de ta descente aux enfers avec l’alcool, j’ai rien loupé comme détail ? » fit-il, non pas forcément surpris - car l’amour n’a pas à s’expliquer - mais plutôt inquiet. Et qui disait inquiétude chez Happy, signifiait parfois élan de colère. « T’as fumé un arbre James ou quoi ?! Je veux bien que tu sois complètement raide dingue de ce type mais merde, quand quelqu’un est plus nocif que bénéfique, normalement t’es censé fuir ! Et il t’a donné des garanties de son changement je suppose ? Histoire que tu ne me dises pas que je juge pas sur pièce ! »
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Ah ! S'il en est un dans les cieux qui ait jamais veillé sur toi, que devient-il en ce moment ? Il est assis devant un orgue ; ses ailes sont à demi ouvertes, ses mains étendues sur le clavier d'ivoire ; il commence un hymne éternel, l'hymne d'amour et d'immortel oubli.

Alors que mon regard se figeait sur les traits de mon vieil ami, j'appréhendais grandement sa réaction. Sachant qu'il n'approuverait certainement pas ma décision de reprendre ainsi Nevada. Et, je pouvais le comprendre. Ce gars m'a anéanti en me laissant ainsi, il m'a abandonné. Mais là, j'essayais de penser aux conséquences, j'évitais de penser au futur. C'était le présent qui me préoccupait le plus. Alors qu'il déballait ses propos, je me surpris à fuir son regard, en le faisant valser sur les alentours, à la recherche d'une réponse, et surtout d'une patience et d'un calme dont la nature ne m'a guère offert. Je prenais sur moi, en croisant les bras sur le dos, mon visage penché sur l'une de mes épaules. < Écoute, Happy. Putain. C'est exactement pour ça que je ne t'ai pas prévenu plus tôt ! Je sais que tu n'allais pas être d'accord, et tu as toutes les putains de raisons de pas l'être ! > Ma mâchoire se contracte. Et je soupire, exagérément. Je lui tourne le dos, pinçant le sommet de mon nez. < C'est pas sa faute, si je suis retombé dans cette merde. Bon sang, tu me connais ! Je prends toujours trop les choses à coeur, et là, j'ai envie de me dire qu'il veut vraiment être avec moi, qu'il revient pour de bon. > Ma main passait énergiquement sur la totalité de mon faciès, en rejetant mes cheveux en bataille en arrière. < Tu veux que je fasse quoi au juste ? Que je lui tourne le dos ?! Il a aussi besoin de moi ! Il a perdu des kilos, et il a fait un séjour à l'hôpital. Ah, et tu sais la meilleure ? Son fils de pute de frère, ne m'a même pas informé de la situation, parce que oui, j'étais sur la feuille des gens qu'ils devaient signaler. Mais je n'ai rien eu, il a été à l'hôpital, pendant que moi.. Pendant que moi, je buvais, jusqu'à obtenir l'état que je quémandais. Tu sais non ? L'état de merde, où je me souviens plus de rien, ou ma seule envie, c'est juste d'me tirer une balle dans le crâne. >Je pouffais, de rire. Nerveusement. J'arrivais pas à croire, que je viens de tout déballer de cette manière. Malgré tout, j'avance vers le canapé, je me laisse retomber sur ce dernier, en prenant une cigarette, que je coince entre mes chaires. Je n'arrêtais pas de penser, une seule seconde à cette histoire. Et ça me bouffe, ça me bouffe de l'intérieur. < Je peux pas le laisser tomber. > J'allume la clope. Je tire sur ce bâton de nicotine. Les yeux rivés vers le plafond.
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Happy n’était pas là pour faire le procès de James. Il n’estimait pas que ce soit son rôle, et ne jugeait pas vraiment la décision qu’il avait prise, il craignait simplement que la situation ne revienne à nouveau sur le devant de la scène et que la descente aux enfers de son ami ne soit que plus corsée la « prochaine fois ». Oh il espérait de tout cœur qu’il n’y en ait pas, de prochaine fois. D’un autre côté, les arguments avancés par son frère de cœur pouvaient s’entendre. Si Nevada avait été dans la merde, et que l’avocat n’avait même pas été prévenu… ça, l’américain pouvait l’entendre, le comprendre. Certes, il ne vivait pas d’histoire similaire, et pour lui l’amour restait une pompe à fric orchestrée joyeusement par toutes les industries possibles et imaginables, mais il respectait néanmoins l’histoire de son ami et était même prêt à la soutenir si jamais cela lui redonnait ce sourire perdu, cette volonté de se battre, de sortir la tête de l’eau. « Je vois » fit-il au bout de quelques secondes, le laïus de son frère de cœur ayant fini un instant avant. Sa voix était moins vindicative, plus posée, à l’image du calme étant souvent le sien devant les problèmes de ses proches. Happy le colérique n’avait pas sa place ici, maintenant. « Justement James je te connais et j’ai la trouille pour toi. Juste la trouille. Tu sais bien que je ne juge pas vraiment Nevada, je ne connais pas grand-chose de lui ! Mais j’ai la trouille que ses conneries recommencent et que toi, ta descente te sois fatale cette fois. Bordel je crois que je le haïrais de toute mon âme si jamais une telle chose arrive » expliqua-t-il en soupirant. Il n’était personne pour pousser son ami à voir ou à éviter quelqu’un, mais d’un autre côté, on ne pouvait pas le blâmer d’en avoir quelque chose à cirer. « Bon son frère est un connard patenté, okay. Après, panique pas, je vais pas t’insulter tu me connais aussi je pense ! Si tu penses que ça vaut le coup de vous redonner une chance, que ton copain a aussi souffert et qu’il mérite une seconde chance, alors fonce. Qu’est-ce que tu veux que je te dise ? Rien n’est jamais blanc bleu dans la vie ! J’ose juste espérer que ses conneries, il va les arrêter et fissa. »
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Ah ! S'il en est un dans les cieux qui ait jamais veillé sur toi, que devient-il en ce moment ? Il est assis devant un orgue ; ses ailes sont à demi ouvertes, ses mains étendues sur le clavier d'ivoire ; il commence un hymne éternel, l'hymne d'amour et d'immortel oubli.

Happy, a toujours été celui qui ne m'a jamais jugé, qui m'a toujours soutenu et qui m'a tendue lorsque les moments les plus difficiles étaient face à moi. Mais c'était ainsi, et je lui étais redevable, comme souvent. Même si j'avais du mal à aider mon entourage, il faisait partie d'un petit groupe dont, je ne pourrais jamais tourner le dos. En le regardant, élancé dans ces propos, je l'écoutais attentivement jusqu'à boire ces mots. Il avait raison, sur toute la ligne. Moi aussi, j'espérais qu'il ne joue pas au con, et qu'il n'essaie pas de rompre avec moi. En laissant un faible soupire, je vins me relever du divan, tout en écrasant la clope à peine entamée. < Je veux pas que tu le déteste. Je sais que toi et lui, c'est difficile. Mais arrêtez votre petite guerre. Tu es comme mon frère, et lui, c'est mon petit-ami, j'aimerais vraiment que vous vous entendiez normalement ! Je ne dis pas être meilleurs amis. > Je lâchais un faible soupire, en passant une énième fois ma main dans mes cheveux en bataille. Tout en faisant valser mes yeux sur les alentours. J'avais envie de boire, juste de boire un verre. < Tu veux un verre ? On pourrait sortir. Je crois qu'on a besoin de décompresser un peu. > C'était peut-être une excuse pour pouvoir sortir, et surtout être en compagnie de mes plus vieux démons. En soit, cela est davantage mieux que de rester ainsi, à se disputer. Les choses étaient faites, j'avais pris le courage d'affronter cela, et surtout, Happy en était informé. En lui tournant le dos, je prends ma veste en jean sur l'une des chaises, en la plaçant sur mes épaules carrées. < Comme ça, tu me parleras de tes aventures. J'ai loupé quelques trucs, non ? > Après tout, je venais de parler de moi, et c'était à son tour de cracher les bouts que j'ai loupé, durant mon moment d'absence. J'empoignais les clefs de ma GTR NISMO. Fanatique de ce genre de joujoux. < Je conduis, au pire tu pourras la conduire au retour, c'est mon nouveau jouet. > Je lui fis un clin d'oeil qui fut suivit de prêt par un faible ricanement. Changement d'humeur ? De sujet ? Oui, effectivement. Je ne sais jamais comment aborder les sujets les plus sensibles. Et je savais que Happy, était assez grand et très curieux pour ne pas oser poser de questions.
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Happy ne put décemment retenir un petit rire face à la tirade suivante de James. Demander à l’américain de s’entendre carrément avec Nevada, c’était un peu beaucoup, du moins pour le moment. Dieu sait combien il était prêt à tout céder à son frère de cœur, mais là… « Hey moi j’étais en paix quand je l’ai rencontré ! C’est lui qui a commencé avec ses piques pourries ! James tu sais que je t’adore et que tu peux me demander n’importe quoi, mais pour l’instant, si je peux éviter d’être en sa compagnie c’est pas plus mal. Tu sais que je déteste qu’on « m’agresse » gratuitement » fit-il valoir, penchant légèrement la tête en esquissant une petite moue. Ne pas se côtoyer n’était pas si mal, cela évitait la petite guéguerre qu’ils risqueraient de se livrer. Happy craignait qu’en venant à nouveau en paix devant Nevada, ce dernier ne lui donne qu’une envie : le cataloguer comme persona non grata à jamais. Et ce n’était pas ce qu’il souhaitait, par égard à son ami proche. « Je ne dis jamais non à un verre, tu sais bien ! » reprit-il en se levant à son tour, cette discussion des plus sérieuses ayant justement réveillé son envie de sortir et de festoyer. Ils étaient doués pour cela, qui plus est. Extrêmement doués. « Mes aventures… oh il n’y a pas grand-chose à dire. Si ce n’est que les médecins me pressent pour que je débranche ma mère adoptive, toujours dans le coma. Je crois que ça mérite limite une cuite ! » En revanche… ce qui attira son attention avec double supplément chantilly, ce fut l’annonce du petit bijou apparemment récemment acheté par les bons soins de James. « Je crois que c’est moi qui ai loupé un truc ! Tu l’as eu où ce bijou ? Je sais même pas si j’vais oser la conduire au retour ! »
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Ah ! S'il en est un dans les cieux qui ait jamais veillé sur toi, que devient-il en ce moment ? Il est assis devant un orgue ; ses ailes sont à demi ouvertes, ses mains étendues sur le clavier d'ivoire ; il commence un hymne éternel, l'hymne d'amour et d'immortel oubli.

En écoutant attentivement Happy, je levais les yeux d'un air exagéré. Intérieurement, je savais qu'il avait raison, mais d'un autre côté, je n'arrivais pas à voir ainsi Nevada. Sachant parfaitement que ce dernier avait une jalousie monstre, mais j'étais ainsi, la plupart du temps, je fusillais du regard ceux qui essayaient de se rapprocher de lui. Après tout, il est à moi, et j'estimais que personne ne devraient lui tourner autour de cette façon. < J'ai compris Happy, mais fait un effort. Je sais que tu peux le faire. Nevada, n'est pas méchant, il a certes un comportement assez dur, mais je te promets que quand tu le connais, il est vraiment adorable. > J'avais articulé mes propos, en lui faisant un signe de façon à s'avancer vers l'entrée, et de sortir de ma demeure après avoir éteint toutes les lumières, et d'avoir pris le temps de fermer à clef. Dressant un sourcil, je tournais mon regard vers mon vieil ami, en arquant un sourcil. < Ils ont le droit de faire ça ? Mettre la pression aux proches ? > J'avais horreur des hôpitaux, c'était vraiment un truc que je ne supportais pas. Cependant, je n'avais pas à mettre un avis sur le sujet. C'était sa mère, et même si j'avais décidé d'ajouter mon grain de sel, je ne pourrais jamais me le permettre. < Tu sais que tu peux m'appeler, hein ? S'ils te pressent, je suis avocat. > Je ne permettrais jamais à quiconque de presser Happy, c'était quelque chose que je ne pourrai l'accepter. Après tout, il m'a longuement soutenu, et je me dois de lui rendre l'appareil dans n'importe quelle situation. < Pendant ma séparation. J'ai vendu l'ancienne voiture, et j'me suis acheté la nouvelle GTR. > D'un clin d'oeil complice. Nous faisions le tour de ma demeure, pour arriver à la hauteur de mon garage. J'avais plusieurs voitures. Je ne dis pas que j'étais un collectionneur, mais j'avouais aimer énormément ce genre de jouets. Jusqu'à la pointer du doigt, en marchant jusqu'à la bête. < Faudra bien que tu me ramènes. Il est hors de question de le laisser planter devant un bar. > En pénétrant dans le petit habitat. J'enfonçais la clef dans la serrure, en démarrant le moteur qui se mit à ronronner immédiatement. < Tu connais un bar ? Je t'offre le premier verre ! > J'étais ainsi, j'aimais offrir, même si je n'avais rien en retour.
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Happy pensait effectivement que Nevada ne pouvait pas être qu’un petit con arrogant, il y avait forcément du bon en lui - positivité quand tu nous tiens - mais d’un autre côté, faire des efforts alors qu’il en avait déjà fait le premier pour mieux se les être pris dans la tronche… il y avait plus motivant. « Je te promets de réfléchir à la question. Pour le moment tu m’excuseras mais je le laisse assimiler le fait que je ne suis pas l’ennemi » rit-il doucement pour dédramatiser et faire comprendre à James qu’il ne comptait pas déclarer la guerre à son Jules. Plutôt faire preuve de patience et laisser venir. Peut-être était-ce le plus intelligent à faire, d’ailleurs. « Je ne sais pas s’ils en ont le droit mais ils le prennent ! Tu pourrais y faire quelque chose toi ? Tu sais que je n’ai pas les moyens de te payer ? » fit-il valoir, sans rancœur aucune, énonçant une vérité avec laquelle il devait bien vivre. Happy savait que pour le moment et jusqu’à la fin de ses études, voire même encore un peu après, il serait fauché comme les blés. « Je vois… t’as eu raison de ne pas t’emmerder ! » L’américain alla jusqu’à applaudir en voyant la beauté intergalactique se trouvant devant ses yeux. Il hocha positivement la tête, la promesse silencieuse de le ramener tout en acceptant au passage de conduire ce pur bijou. « J’en connais plusieurs… mais à deux rues il y a un pub irlandais avec une ambiance excellente ! »
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