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Noage - L, is for the way you look at me.

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✧ Bar. ✧Sage et Noah


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Journée plutôt épuisante et match remporté haut la main contre les Yollow. Je ne suis pas peu fier de mon équipe ni du fait d’avoir battu Sage (alors que, il faut bien l’avouer, elle est plutôt ultra douée). J’étais content de la voir dans ce contexte, en public, en groupe. D’habitude on s’ignore mais là … Je ne sais pas ce qu’il s’est passé, on n’a pas arrêté de se chercher, jusqu’à se sauter dessus dans une armoire. C’est sûre, notre relation n’est plus si cachée que ça et à dire vrai, là, dans ce contexte de vacance, j’ai du mal à trop penser à nos différences. J’ai juste envie de profiter et, je ne sais pas. Je crois que j’adore rire avec elle, on ne rit pas assez souvent tout les deux. Alors, fin de journée, je ne l’ai pas quitté d’une semelle. On a tous décidé d’aller boire une bière dans un bar du coin, le genre de bar plutôt sympa avec deux tables de billards au fond et du rodéo à la télé. Et quand j’emboite le pas à mes camarades, je remarque une ambiance plutôt posée, un chanteur sur la scène qui joue de sa guitare, des gens qu’ont l’air joyeux et … je ne sais pas, je crois que moi-même je me sens … heureux ? Je ne peux m’empêcher de regarder Sage, quand elle sourit, je fonds, c’est plus fort que moi, sa voix, ses cheveux, tout, absolument tout me fait craquer. Surtout son petit plissement de nez. Et je voudrais l’accaparer, je ne sais pas, je me sens bien dans cette lancée de défis mignon. Un haussement de sourcil provocateur, marchant à côté d’elle : « Une partie de billard pour redorer  ton blason de perdante attitrée ? », j’avance vers le bar, veillant bien à ce qu’elle me suive : « deux pintes d’ambrées », et je me tourne vers elle, une fois accoudé au comptoir : « A moins que tu préfère t’amuser avec ton équipe ? », et j’attrape les deux pintes avant de lui en tendre une.

@J. Sage Lewis



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Épreuve terminée ! J'étais fatigué, cette revanche m'avait donné un gros coup, j'en pouvais plus de courir de partout mais j'ai bien rigolé en tout cas. J'avais décidé d'emmener les membres de mon équipe boire un verre après tous leurs efforts dans un petit bar près de l'hôtel, un bar que je connais que trop bien maintenant. Et pour une fois, j'y met les pieds avec la bonne humeur malgré la défaite. J'avais apprécié le moment passé avec Noah, on se voyait différemment, c'était nouveau pour moi, pour nous, on avait pas l'habitude de rire, de s'amuser.. Non, on parlait qu'avec la haine à chaque fois et depuis l'autre nuit, notre relation avait prit un tournant différent.. C'était beau, doux, affectueux et bizarrement, j'aimais ça. Un verre à la main, je souris, trinquant à nos deux équipes et mon regard ne peut se détacher de Noah. Il est beau, trop beau pour être réel. Pour être à moi, amoureux de moi. J'étais rien à côté de lui, et pourtant à deux, on était tout. On ne forme qu'un ensemble et le voir comme ça, son bonheur se lisant sur son visage me fait affreusement du bien. - La perdante sait pourtant tellement bien te faire perdre la tête.. Dis-je en lui rendant son regard provocateur en lui donnant un léger coup de coude complice. - Mais j'dis pas non pour te mettre une raclée en tête à tête ! Soufflais-je doucement en suivant ses pas jusqu'à la table de billard. Je souris en coin, tordant la bouche avant de lui prendre la pinte des mains. - J'irais voir mon équipe après t'avoir battu.. Répliquais-je en tournant les talons, marchant le long de la table, faisant glisser mon index sur le bois. - Allez d'Aremberg, cesse de parler, ta bouche sert tellement mieux pour autre chose.. Sourire amusé, arrogant, regard coquin en arquant un sourcil.

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Je crois que j'étais tellement préoccupé par l'idée de me protéger d'elle, des sentiments naissant pour elle, que je n'avais jamais pris le temps de réfléchir à ce qui m'avait plu. A ce qui m'avait tapé dans l'œil. On n'apprécie pas quelqu'un par l'opération du saint esprit, il y a des prémices, des attitudes, des mimiques, des façons d'êtres, des auras qui justifient l'attraction. Et quand je la regarde là, prés de ses amis, gigoter ses cheveux, son sourire figé, ses grands yeux bleus lumineux, je me rends compte d’à quel point je la trouve belle. Ce que j’aime chez Sage c’est le regard qu’elle fait quand quelque chose la touche, le tic de sa bouche, se mordre la lèvre, quand elle se retient de crier, la façon qu’elle a d’habiter l’espace, d’attirer tous les regards sans s’en rendre compte. Elle explose d’un surnaturel déroutant, elle est hautement magnétique et je crois sincèrement, qu’en tout point de vue, tout confondu, elle est le plus beau tableau que je n’ai jamais regardé. Et ça m’arrache un sourire niais, celui de l’enfant amoureux, mes joues presque rougis quand elle vient vers moi : « Han, même là, tu refuse d’admettre ma supériorité évidente ? », je la taquine en évitant son coup de coude avant de poser ma main dans son dos pour l’aider à passer entre les clients : « Parfait, j’ai hâte de voir comment tu vas t’y prendre pour me pulvérisé », provocateur mignon, la voix basse et les yeux plissés, on se retrouve autour de la table de billard nos pintes à la main. Et je la regarde caresser la table du bout des doigts, et je me mords la lèvre tant je trouve notre petite compétition excitante. J’attrape une queue et lui en tend une, je me trouve d’un côté de la table, elle de l’autre : « Alors je te propose de rendre le jeu plus … intéressant. Parions. », regard malicieux. Elle a sa queue, moi je me concentre sur la mienne, craie le bout et me dirige vers la table pour installer les boules dans le triangle, à moitié assis sur la bordure : « Si je gagne, je veux …. », faisant mine de réfléchir avant de reposer mes yeux sur elle : « que tu lâche ton équipe ce soir et vienne diner avec moi. Officiellement. En amoureux. », à peine plus sérieux. C’était quand même ma première invitation officielle à sortir. On lit la gêne et la timidité dans mes yeux je crois. Alors, je me relève de la table une fois les boules placées et pose le triangle sur le comptoir derrière avant d'attraper ma bière : "Si tu gagnes, tu as le droit de demander ce que tu veux", sans vraiment la regarder dans les yeux avant de m'enfoncer dans ma pinte.

@J. Sage Lewis



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Ce soir je me sens légère, je me sens flotter dans l'air comme une fine bulle de savon, un sourire niais collée au visage et je regarde Noah bêtement. Ce soir, on laisse tomber nos carapaces respectives, nos règles à la con qu'on a pas à suivre normalement, nos limites. On se touche, on rigole ensemble, on se regarde avec amour et au grand jour. Là, dans ce bar peuplé, comme on ne l'a jamais fait, comme on a jamais assumé, comme il a jamais pu s'afficher à mes côtés. On est là.. Et on est bien. Je le voit sur son visage, je le ressens au fond de moi, je le lis dans ses sourires, dans sa façon de se comporter, dans ses mimiques. Et j'aime quand il est comme ça, j'aime le voir heureux. C'est tellement rare.. Autant pour l'un que pour l'autre alors on avait le droit de s'octroyer une putain de pause dans notre vie de chien. - Ta supériorité ? Ton seul trône c'est celui où tu poses ton cul pour faire la grosse commission ! Je lâche vulgairement, avec toujours autant de classe et de tact que possible. C'est à dire; zéro. Je m'avance dans la foule, emboîtant le pas alors qu'il me laisse passer, j'attrape sa main sur mon dos pour l'enrouler de la mienne. Je me retourne légèrement, le tirant avec moi, un petit sourire en coin. - Admire.. Et prends des notes ! Dis-je avec un jeu de sourcils pour le narguer. Et je fais le tour de la table, le titillant de loin, tiraillant ses sens parce que j'aime ça.. J'aime lui faire perdre ses moyens, lui faire perdre la tête. Tenant la queue de billard d'une main, je plisse les yeux vers lui, froissant la bouche sur le côté, je lève les yeux vers le plafond quand il me dit vouloir parier. - Tout ce que tu veux. Finis-je par affirmer avec assurance en reposant mes yeux dans les siens. Nouveau terrain de jeu alors ? Ça va être drôle comme soirée. J'arque un sourcil, le regardant surprise par sa proposition. - Vraiment ? Noah le romantique ?.. Il y a pire comme châtiment.. Soufflais-je de loin. Proposition alléchante, beaucoup trop pour avoir envie de gagner cette partie ! Je refais le tour pour revenir jusqu'à lui, m'appuyant contre la table de billard. - Et si je gagne.. Je lance alors sournoisement. J'avais envie de lui demander de quitter la Eliot ahah ! Ça me ferait kiffer comme parie pour le coup.. - Un striptease digne du plus grand cabaret, sur la plage, rien que pour moi.. Je parlais doucement, une voix sensuelle à point, me rapprochant un peu plus de lui, je levais les yeux en me mordant la lèvre rien que d'y penser avant de boire une gorgée de ma bière.


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Je crois qu’il y a un truc important dans notre relation qu’on ne saisit pas encore totalement. C’est qu’on a beau être différent, on a beau avoir attisé la haine et la colère, on a beau s’être souhaité les pires merdes de l’univers, on a beau être de deux mondes opposés, on a beau tout mettre en œuvre pour se détester, se repousser … quand on est ensemble, et qu’on baisse enfin nos armures, on est bien. On est bien ensemble, on se fait du bien. On sourit bêtement, on se taquine, tout semble naturel. Et c’est très rare je crois de trouver quelqu’un avec qui on se sente vraiment bien. Surtout pour des personnes comme nous, elle la droguée perdue, moi le noble soumis. Ce soir je prends conscience de ce phénomène, je prends conscience de ce qui me lie à elle : Sage provoque des instants de joie, me procure du bonheur sans le savoir, et moi qui n’ait jamais côtoyé ce genre de sentiment, j’en deviens accro parce que … parce que bordel, tout est tellement plus facile quand on ne se retient pas, quand on se laisse aller : « Mon seul trône, c’est ton corps », répondis-je malicieux avant de me rapprocher d’elle, glisser ma main dans son dos pour l’aider à avancer. Elle finit par attraper ma main, et je la tiens comme ça, mes sens toujours en alerte face à son attitude. Putain mais elle est parfaite, jamais je ne m’ennuie avec elle : « J’admire, j’admire », dis-je avant de lâcher sa main et d’effleurer ses fesses du bout des doigts. Ouai, c’est ça que j’admire surtout. Puis je m’éloigne attraper les queues, lui en tendre une, et proposer un nouveau jeu. Plus mignon que ceux auxquels on a l’habitude de jouer, plus léger : « Oh non, je sais que ce diner est le pire châtiment pour toi, je me souviens de ton « pas la peine d’être niais ». Je vais être plus niais que jamais», et je l’imitais d’une voix aigue surjouée avant de lui lancer un clin d’œil provocateur. Ça m’avait vraiment vexé quand elle avait dit ça dans la voiture. Là, ça me servait surtout d’excuse pour ne pas admettre que … oui, je suis romantique, et oui j’ai vraiment très envie de l’inviter officiellement à sortir. Comme le ferait n’importe quel gentleman, comme elle le mérite. Je me redresse, bois ma bière, quand elle me rejoint, toujours aussi séductrice, charmante, cruelle : « Alors, je te conseil de perdre. Je suis bien meilleur cavalier que danseur et tu risque d’être déçu ». Moi ? Faire un streap tease ? Mon dieu, mais non, ça ne me ressemble tellement pas. Je n’ai aucunement l’intention de la laisser gagner. Je me penche vers elle, comme si j’allais l’embrasser, sans le faire : « Tu commence ou je commence ? ».



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Une histoire sans fin, une histoire irremplaçable, un vide qui se comble dans ma vie, dans ma poitrine, l'histoire de Sage et Noah.. Noah et Sage, une osmose parfaite, une union tristement parfaite. Tellement que même les dieux ne voudraient pas que l'on s'assemble, ils en auraient peur, parce qu'à nous deux on défie toutes les lois, toutes les règles, tout le monde. Rien ne nous fait peur, rien ni personne quand on est tous les deux. Et, c'est dans son sourire malicieux qu'il me fait là, que je me sens forte, que je me sens femme et je le sais, là, avec lui personne ne pourra m'atteindre. Tant qu'il sera là, debout près de moi, personne ne pourra nous battre. On restera toujours debout, quoi qu'il arrive, toujours et à jamais Sage et Noah. J'arque un sourcil coquin en tournant à peine la tête vers lui et sa main effleure mon dos, mes fesses et je tremble comme par réflexe. Il éveille tout mes sens en un simple touché, des flashbacks de nous deux me reviennent subitement en tête, des flashbacks goûteux. - Tu sais.. C'est mieux d'admirer quand il n'y a pas l'emballage.. Je dis en murmurant, me stoppant net devant lui en relevant légèrement la tête. Je viens embrasser son menton avant de me remettre en marche jusqu'à la table de billard, un verre en main, ma queue dans l'autre, je fronce les sourcils face à sa mauvaise imitation de ma personne. Je lève les yeux au ciel, secouant la tête, décidément cette phrase l'avait marqué. - Absolument tout avec toi n'est que pur plaisir. Lançais-je en parlant à voix basse, articulant bien pour appuyer sur mes mots. - Je suis aussi terriblement niaise quand j'veux.. Mais shhhht c'est un secret ! Je rétorque avec un petit sourire, venant poser mon index sur ma bouche. Je reviens vers lui, attiré comme un aimant, impossible de m'en tenir éloigné plus de quelques minutes, il m'appelle, comme le chant maléfique des sirènes, mon ange noir, malsain, je ne peux lui résister. - Je veux tout connaître de toi, même tes deux pieds gauche. Je réponds tout en me rapprochant un peu plus de son corps, son visage s'approchant du mien, ma respiration commence déjà à s'agiter, je déglutis, mon regard danse entre ses lèvres et ses yeux pour finalement trouver le courage de me retourner, mes cheveux fouettant son visage au passage. - Comme on dit, honneur aux femmes. Dis-je sur un ton provocateur avant de m'éloigner de lui à pas de loup, lentement, sans me retourner. - Alors, commence, on ne tourne pas le dos à la galanterie. Lançais-je en lui faisant face de nouveau, une voix moqueuse avec un petit sourire satisfait.


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Elle me surprend sans arrêt. Dans ses actions, sa façon d’être, ce qu’elle dit. Même le détail le plus minime me surprend chaque fois. C’est ce qui me plait le plus chez elle, la vie devient une aventure. Terrifiante, houleuse, horriblement douloureuse, mais une aventure quand même. Et on comprend mieux pourquoi on respire. La surprise, c’est ce que je préfère. Ça et son sourire en coin, ses cheveux en bataille, sa taille de naine et le fait que je puisse m’en servir comme accoudoir quand je suis fatigué, ses yeux brillants, sa voix d’enfant rouée. Elle me plait parce qu’elle est différente, que tout en elle explose d’une beauté surnaturelle, que je n’en ai jamais rencontré d’autre comme elle. Elle est là dans ma tête, tout le temps, à cogner du poing sur mes tempes. J’ai beau essayer, j’ai beau lutter, rien n’y fait. Elle est là tout le temps, et je n’y échappe pas. A cette attraction palpable, à mon irrésistible envie de l’avoir contre moi, tout le temps. Je sais qu’elle me perdra. Je le sais, parce que je ne réponds plus de moi quand il s’agit d’elle. Je ne contrôle ni mes pensées, ni ma respiration, ni les battements de mon cœur, ni mes frissons. Et ça me tétanise. Parce que pour la première fois de ma vie, je me sens complètement mis à nu. Vulnérable. En danger. Et pourtant, je ne me retiens pas de tomber, encore, plus loin, plus profond : « Mmmh, disons qu’avec l’emballage, ça me permet de faire travailler mon imagination et de tout voir dans un autre contexte … », à peine lubrique, à peine coquin, et je fonce à ma bière et à la table de billard. Elle se joue de moi, je le vois, dans ses airs malicieux, sa façon presque vaporeuse de caresser l’espace de sa bouche et de ses doigts. Elle est … hypnotisante, et moi, somnambule éreinté, je la contemple comme on contemple une aurore boréale. En la trouvant belle. En prenant le risque de devenir fou : « Si tout n’est que plaisir, je te propose d’aller visiter les petits coins sombres de ce bar », à voix basse également, suggestif, avant d’hausser une épaule : « Après que je t’ai battu, évidemment ». Et je la nargue d’un regard faussement supérieur avant de revenir à la table de billard : « Haha, j’aimerais bien voir ce que donne Lewis en niaise, pour le moment, je n’ai eu le droit qu’à la casse pieds », volontairement provocateur, je lui assigne un regard narquois tout en passant la craie sur l’embout de ma queue. Et j’installe les boules sur la table et je la sens venir vers moi, il fait tout chaud dès qu’elle est à côté, comme quand on rapproche deux aimants. Penché sur la table de billard, mes mains qui s’attèlent à la tache, ma tête à peine de biais qui viens lui sourire : « Première chose à savoir sur Noah d’Aremberg : il déteste perdre ». Et je me redresse, lui faisant face, prenant de la hauteur : « Deuxième : il adore t’embrasser », et je lui vole un baiser moelleux avant de me reculer : « Mais surtout, il déteste perdre », clin d’œil à l’appui, prés à livrer bataille, je lui demande lequel de nous deux commence. Et la garce me tacle sur ma virilité. Je fais une moue faussement vexeé et me résigne, venant m’installer au bout de la table pour tirer, bien penché sur la table, mes fesses moulées dans leur pantalon de costume noir : « Avoue, tu cherchais juste à … admirer l’emballage », pour reprendre ses mots, avant de me concentrer et de casser les boules. Aucune ne rentre, mais toutes sont éparpillées sur le green.



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L'espace remplie de fumé, les rires stridents et j'entends la voix via les baffes délabrées zinzinuler, raisonnant dans tout le bar, camouflé par la zizanie de la foule agitée, un endroit puant la débauche et la misère, mes chaussures qui pèguent contre le sol sûrement via l'alcool renversé par des sac à vin et je me faufile, me frayant un passage entre les personnes présentes, esquivant les aisselles puant l'ornithorynque et les deux, trois cagole qui sont de sorties pour se trouver un vieux friqué mais qui n'y trouveront rien. Je me retourne légèrement vers Noah, une mine faussement vexé par ses propos. - T'es en train d'me dire que tu n'aime pas assez ce qu'il se cache sous l'emballage ? Tellement que tu préfères.. L'imaginer de façon différente ? Dis-je en imitant grossièrement sa voix et dessinant des guillemets à l'aide de mes doigts, telle une pantomime. On arrive sur le lieu de la guerre, entre nous c'est toujours comme ça, il faut toujours un enjeu, une relation sous forme de bataille cruelle, comme la Palestine et l'Israel, une guerre où en voit pas la fin.. Vous voyez l'analogie ?. On s'aime à se déchirer, à s'en faire baver, on aime se prouver et tester notre amour. Une vilaine attraction, un plaisir indéfectible dont on s'amuse en vain. On se délecte de l'ambiance de cet agora, tous les deux, je le regarde de loin, lui et ses mimiques, là, devant moi, je le voit comme un repas pantagruélique, j'ai envie de dévorer chaque parcelle de son épiderme tellement il m'attire. - Et de manière plus.. explicite, plus coquine, ça veut dire que tu as envie de défaire le papier cadeau ? Lançais-je à voix basse, un sourire en coin, me mordant de nouveau la lèvre inférieure. Les pensées obscènes se baladant dans ma tête à ce même moment.. J'aurais du mal à dire non si l'occasion se présente, en même temps j'arrive jamais à dire non quand il s'agit de Noah. - On l'a encore jamais fait ici.. Je viens alors susurrer au creux de son oreille d'une voix mielleuse. Je recule de quelques pas, arquant un sourcil à sa manière d'être sur de lui, me défiant du regard, j'hoche la tête en tournant les talons. - Ne vend pas la peau de l'ours avant de l'avoir tué ! Soufflais-je avant de lui tourner complètement le dos pour faire face à la table de billard. Je l'écoute porter son discours rébarbatif à mon sujet, me faisant étirer les lèvres en un sourire provocateur. - C'est parce que je ne fait pas dans la niaiserie, contrairement à certain.. Et hop ! Un pique de caler, à force de trop me chercher il finit toujours pas trouver. Je le laisse faire, plaçant les boules dans le triangle, je n'arrive pas à détacher le regard de sa silhouette, je ne voyais même plus les énergumènes autour de nous, seul lui compte. - Tu risques d'être vachement déçue ce soir alors.. Le narguais-je en me rapprochant plus près de la table, puis avançant vers lui à pas de loup, me plantant derrière lui pour faire courir mes doigts sur son dos. Il se redresse pour me faire face, venant me voler un baiser que j'ai à peine le temps de lui rendre. Il recule, je fronce les sourcils et attrape le tissus de son haut pour le ramener à moi. - J'adore t'embrasser aussi.. Alors laisse moi le temps de bien le faire.. Je lance en venant l'embrasser plus passionnément qu'un simple baiser furtif. Je le repoussais d'une pression de ma main sur son torse, le faisant se reculer de quelques mètres en arrière pour aller prendre place au coin de la table, mes yeux qui s'attardent sur son corps beaucoup trop parfait, insistant quelques secondes de plus sur son fessier en souriant bêtement. Il a dû sentir mon regard persistant qu'il me tacle dessus, et je lève les deux mains en l'air comme si je venais d'être prise la main dans le sac. - Je l'avoue votre honneur, c'est beaucoup trop dur d'y résister ! Dis-je sous un faux air innocent. Il tire dans le tas et je regarde les boules rouler doucement, je regarde le positionnement de chacune d'elle, la bille blanche placée je tape dedans pour tenter de faire rentrer deux boules rayées mais qu'une seule tombe dans le trou. - À ton tour ! Lançais-je en me redressant et venant boire dans ma bière.


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« Je suis entrain de te dire que je vénère ce qu’il se cache sous l’emballage et me délecte de quelques images salaces le mettant en action », lubrique, insatiable faim érotique. Tout en elle me plait, c’est incroyable. Incroyable comme je ne m’en lasse jamais, comme je la trouve belle, comme je me sens attiré. C’est toujours plus fort, comme si chaque nouveau jour je retombais amoureux de ses courbes. Jamais je ne pourrais me résoudre à une existence sans elle. Et ce soir, dans ce bar, je veux en être rassasié. La dévorer des yeux aux gosiers, que rien ne m’empêche de l’aimer comme j’ai envie de l’aimer. Inconditionnellement, puissamment. Foutrement profond. Je ne peux m’empêcher de rire à ses remarques, bon sang ce qu’elle me fait rire. Mes lèvres sont presque fatiguées de s’étirer autant, jamais je ne me suis autant amusé avec une personne. Elle est ma pote, mon amie, mon amante, ma maitresse, mon amour. L’amour de ma vie. Et devant le billard on surenchérit. Pas de répits au jeu, c’est comme ça qu’on exulte. Comme ça qu’on teste nos pas boiteux, qu’on se dit qu’on est fou l’un de l’autre sans avoir à en prononcer les mots. Il n’y a aucun défis que je ne saurais relever si elle me le demandait. Et c’est ce qu’il y a de si effrayant. Savoir que là, dans mon cœur allumé, dans mes yeux illuminés, je serais prêt à n’importe quoi pour elle. Pour lui prouver que j’ai envie d’elle. Que j’ai toujours envie d’elle. Pour lui prouver que personne sur terre n’est plus parfait que moi pour elle. Pour lui prouver qu’elle et moi, c’est comme ça, c’est évident. Aussi vrai que le jour se lève, aussi vrai que la nuit se couche à l’aurore : « Sage », l’interpellais-je sérieux, le visage tourné vers elle, le regard insistant : « J’aurais TOUJOURS envie de défaire l’emballage ». Plein d’assurance, sans aucune peur de l’admettre. Mes yeux qui la sondent comme si je voulais les pénétrer. Et je finis par rire à sa remarque lui proposant une partie intime, une fois que je l’aurais battu : « Je ne propose jamais un défis que je ne suis pas sûre de gagner », arrogant, insolent, haussement de sourcil dans sa direction. Le billard, j’ai toujours adoré ça, Lachlan et moi on en avait un dans le garage, on passait des dimanches entier à l’épuiser. A la table de billard, me préparant à installer les boules, je tourne brusquement la tête vers elle, exagérément offusqué, l’envie de rire retenue à la commissure de mes lèvres. Ok, touché. Elle ne me lâchera jamais avec ça : « Fais gaffe, je pourrais finir par devenir très, très, très méchant ». Bien provocateur et surtout outrageusement coquin, limite pervers : « Hm. Comment tu as dis déjà ? Ne vends pas la peau de l’ours avant de l’avoir tuer ? Oui, c’est ça », lui lançant un regard diablement arrogant avant d’aller furtivement l’embrasser. Et quand elle me rattrape par le col, qu’elle me donne un baiser plus … passionné, je m’étourdis. Presque la tête qui tourne quand elle recule son visage et que je la regarde. Et tandis qu’elle me pousse d’une main sur mon torse, je me mords la lèvre. Bon dieu, elle est là, et ses lèvres me manquent déjà. Et je m’installe au poste de tire, me préparant à casser, avant de la narguer de mon fessier frêle : « Je t’en prie, vas-y, n’en rate pas une miette ». Et je fais mine de gigoter légèrement les fesses, me mettant à rire, avant de me concentrer sur la boule blanche. Tout s’éparpille sur le green et je me redresse satisfait avant de venir vers elle : « Montre moi ce que tu sais faire Lewis. Montre-moi à quel point tu as envie de ce strip tease sur la plage ». Et elle va pour tirer. Ah oui, quand même. Je ne m’attendais pas vraiment à ce qu’elle sache jouer. Je souris en hochant la tête vers le sol, en fait, je trouve ça hyper attendrissant. Et quand elle me dit que c’est à mon tour, je reviens au poste de tir : « La 9 dans le trou en haut à gauche. Si elle rentre, tu finis ta bière cul sec ». Et je tire fort. Trop fort. Délibérément. Je crois que pour gagner contre Sage, il faut lui laisser croire pendant quelques instants qu’elle a le dessus. Et une fois qu’elle est pleine d’assurance, sortir les griffes. Alors je me redresse en un haussement faussement peu réjoui d’épaule : « Oups ».



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- C'est nul quand tu imagines, je préfère quand tu passes à l'action. Dis-je sur un ton faussement ennuyé, faisant la moue en gardant ce petit sourire au coin des lèvres. Ce que c'était bon de se laisser aller à un corps à corps féroce avec lui, il m'a donné le vrai sens de "faire l'amour", je l'avait jamais saisis jusque là, j'en avais même jamais eu l'occasion en fait et je crois.. Non je suis certaine en fait, jamais ça aurait pu être aussi bien, aussi beau qu'avec lui, dans ses bras. Je me laissais fondre sous sa peau luisante, jusqu'à épuisement et même quand on venait de finir j'avais envie de recommencer. Putain, c'était fou, irrationnel, dangereux de faire l'effet qu'il me faisait. Je pourrais me laisser m'faire écraser sous les rails d'un train si l'enjeu était d'avoir une dernière nuit avec lui. Je relève rapidement la tête quand je l'entends dire mon prénom, fronçant les sourcils en attendant la suite et.. Je souris niaisement, sourire que j'essaye de cacher en froissant la bouche, gêne que je montre en venant remettre une mèche de cheveux derrière l'oreille. Le ton de sa voix était plein de sincérité et ça me faisait du bien de l'entendre, comme si une vague de bonheur, plus intense venait de m'envahir. - Tu me montrera ça une fois que tu auras perdu ! Alors soit rapide pour ta défaite, ou encore mieux.. Abandonne tout de suite, j'aime pas attendre.. Ah, putain, ce que je t'aime Noah. C'est tout ce dont à quoi je pensais là, tout de suite, à quel point je l'aime. - C'est ce qu'on verra d'Aremberg ! Je lance pleine d'audace, le visant avec ma queue de billard en plissant les yeux comme si je venais de désigner ma cible. Et je ne cesse de le titiller, comme il me titille depuis tout à l'heure, j'attaque, comme un serpent, discrète. Ma morsure lui sera fatale, un vilain venin auquel il goûte et ne cesse de répliquer. Insolent, il l'a toujours était et j'aime quand il renchérit. Son ton menaçant ou presque, murmurant subtilement quelques sous entendus auxquels je me laisse croire, j'étire mes lèvres avec arrogance, avec envie. - Grrr.. Ce que tu me fait peur ! Je fais mine de trembler, sarcastique, il n'était pas le seul à être culotté. Une bonne petite effronté, comme je l'ai toujours était, je le défi du regard, le poussant presque à devenir méchant. Sado ? Très certainement. Il reprend ma réplique et je soupire en secouant la tête. Il m'embrasse, un trop mince baiser à mon goût, je n'ai pas pu profiter et en gosse capricieuse je le rattrape pour prendre mon dû. Ahhh, ce que j'ai envie de le manger quand il se mord la lèvre comme ça, quand il me regarde de cette façon. - Arrête de faire ça avec ta bouche.. Je rétorque d'un ton presque ferme. Je pouffe un petit rire en levant les yeux au ciel quand je le voit gigoter comme une ado de seize piges, je secoue négativement la tête. Ah, ça, non ! J'en rate jamais une miette c'est certain. - J'en ai envie et tu vas le faire alors prends exemple. Je réponds sûre de moi avant de me mettre dans une bonne position, de taper et de faire entrer une boule sur deux. À demie satisfaite, je me redresse en relevant les épaules. Il me rejoint, je pose mon bras sur son dos et je rapproche mon visage du sien pour voir son champ de vision, il prédit le résultat final et.. Rate son tour, je souris avant de me relever. - Tu vas danser pour moi ce soir d'Aremberg ! Soufflais-je à son oreille avant de passer mon bras devant lui pour l'inviter à se décaler et ainsi prendre sa place. - Je te donnerais des cours particuliers mon amour.. Dis-je en relevant la tête vers lui, déposant un baiser sur son menton avant de me remettre en place pour tirer. Je tire et la boule rate le trou de quelques centimètres, je serre les dents, en mauvaise perdante que je suis, je me retourne pour lui faire face. - Je te laisse un peu gagner ! Souriante, tentant de pas trop perdre la face.


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