Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityRetrouvailles au pluriel. (Feat. The fabulous James)
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Retrouvailles au pluriel. (Feat. The fabulous James)

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La loose .. C'était vraiment pas une bonne journée. Jimmy avait commencé sa journée en se faisant mal au pied et il avait reçu un appel de son père lui demandant d'aller à sa place à l'hôpital psychiatrique pour déposer deux ou trois affaires et payer par chèque la cotion qu'il devait a l'établissement. Ce dernier était coincé au lit et c'était assez urgent, seul Jimmy pouvait s'en charger aujourd'hui puisque son petit frère n'était pas à Boston cette semaine. Jimmy était  passé chez son père récupérer les affaires à ramener et était sortit de la complètement blasé. Il n'avait vraiment pas envie d'y aller, il ne voulait pas se retrouver face à sa mère, face à cette ignoble personne. Il marchait dans les rues de Boston avec une main dans la poche et l'autre tenant le sac en question. Qu'est ce qu'il allait lui dire ? Il ne l'avait pas vu depuis des années..
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Les retrouvailles
Jimmy & James
O vazio me engole. Minhas pernas se agitam, inúteis. Minhas mãos agarram o ar, arranham-no, em busca de qualquer coisa sólida. Rajadas frias passam por mim como a ventania de um tornado.
Escuto o baque antes de senti-lo… O vento acabou.
E então há dor em toda parte… A dor é tudo.

Je regardais mes pieds avancer, sans réellement savoir où j'allais. Je sais que je suis parti de mon cabinet d'une façon assez étrange.. J'avais besoin d'air, je me sentais oppressé dans cette pièce. Je n'ai pas recroisé Nevada, je ne sais même pas où il se trouve. Il n'est pas allé en cours aujourd'hui, il est peut-être malade. Mais s'il était, s'il avait été ne serait qu'à l'hôpital, ceux-ci, m'auraient rapidement informé de l'état de ce dernier. Mais rien, aucun appel, c'est sans doute une bonne nouvelle.. N'est-ce pas ? Mais je reste égoïste, et même si cela était une chance de le revoir, j'en serais également heureux. Une journée de merde, les mains dans les poches, et les regrets sur le dos. Je me creusais la tête en réfléchissant à plusieurs choses. Ma mère, qui est toujours portée disparue, sans aucune nouvelle, et ma soeur qui ne m'adresse pas un seul mot. Je me retrouve quasiment seul, et bon Dieu, que j'ai horreur de ça.

À l'instant où je relève mon regard, il se braque en direction d'une silhouette bien plus reconnaissable. Mes lèvres deviennent sèches, et j'ai le rythme cardiaque qui s'affole subitement. Jimmy.. C'est lui, non ? Je ne rêve pas ? Il est si loin, mais si près putain. Peut-être qu'il ne va même pas me reconnaître, peut-être qu'il va passer à côté de moi, sans même m'adresser un regard, mais après tout, c'était sans doute ça, que je méritais. C'était le hasard, cars depuis bien longtemps, je n'avais plus vu le visage de mon vieil ami, de ce frère, que je n'ai jamais eu l'occasion d'avoir. Alors, je reste planté de cette manière, je suis incapable de faire un seul pas, ma voix brise ce silence, quand je vois enfin les traits de ce dernier devenir plus nets. Plus proche. < Jimmy.. >
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Quel était le pourcentage de chance de croiser James à cette heure ci, dans cette rue et dans ces conditions ? C'était un coup du destin, forcément. Jimmy arrivait dans le sens inverse quand ses yeux se braquèrent sur son meilleur ami. Bon sang depuis quand ne l'avait il pas revu ? Ça faisait des mois entiers ! Ils avaient perdu contact tous ces mois pour des raisons plus ou moins floues. En vérité James avait des problèmes personnels qui lui avait complètement collés à la peau et qui l'avaient coupé du monde. Quand à Jimmy, il avait son année à terminer et dieu sait qu'à quel point il y mettait du temps et de l'énergie. Être le premier de sa promotion en botanique et en archéologie n'était quand même pas de tout repos ! Et bien entendu en temps que membre de la Dunster House il devait évidement faire valoir et prouver qu'il faisait vraiment parti de l'élite intellectuelle de cette fac. Son slogan ? "Quand on veut, on peut !"

Quoi qu'il en soit il n'avait pas seulement son année à terminer, il avait son nouveau travail, ses derniers soucis financiers l'avaient considérablement peiné. Il ramait vraiment pour joindre les deux bouts chaque mois, mais la bourse au mérite existait dieu merci. Il ralentit le pas quand James lui adressa la parole, il le regarda un peu hébété et s'arrêta à son niveau. "Mec ..." Ils avaient été prit tous les deux, mais en vérité Jimmy s'en voulait énormément de n'avoir pas été là pour lui quand il en avait besoin. C'est le meilleur de tous ses amis apres tout, c'est pratiquement un second frère pour lui, il était plein de remords .. Il est resté planté là pendant quelques secondes avant de poser ses affaires au sol et de foncer lui faire une accolade. C'était juste un pure réflexe et même un besoin vital. Il était super heureux de le revoir, le revoir ici d'ailleurs c'était vraiment inattendu.
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Jimmy & James
O vazio me engole. Minhas pernas se agitam, inúteis. Minhas mãos agarram o ar, arranham-no, em busca de qualquer coisa sólida. Rajadas frias passam por mim como a ventania de um tornado.
Escuto o baque antes de senti-lo… O vento acabou.
E então há dor em toda parte… A dor é tudo.

Je n'y croyais pas. Il était bien là, face à moi. Ce mec était comme un frère, un meilleur ami, il avait su me supporter, me soutenir dans n'importe quelle situation. Il était au courant de mon problème avec l'alcool, il en était conscient. Mais depuis quelque temps, quelques longs mois, j'avais décidé d'arrêter de lui parler, simplement parce que je n'en pouvais plus. Je le voyais, il n'a pas essayé de me retenir, il m'a juste laissé partir. Du moins, c'est ainsi que je le perçois, que je le sens. Je n'arrivais pas à lui en vouloir, comment pourrais-je ? C'est impossible. Mes yeux sont rivés en sa direction, et sans même réaliser, il se trouve déjà dans mes bras. Les miens passent autour de sa taille, et je le serre, je le serre si fort. Qu'il comprenne qu'il m'a horriblement manqué, et que j'étais intérieurement désolé de lui avoir fait subir cela. Ma main frotte énergiquement sa colonne vertébrale, jusqu'à quitter ce lieu de retrouvailles, je me sens con. Con, et égoïste. Mais j'ai toujours été ainsi. < Jimmy.. Merde, je ne pensais pas te croiser, ici.. Enfin, ouais, ça fait.. Un moment.. >

Ma phalange passe nerveusement dans mes cheveux en les rabattants en arrière. Je suis heureux et soulagé de voir qu'il allait bien, qu'il s'en sortait, et qu'évidemment.. Il avançait. Dans un geste amical, je pose ma main sur la tempe de mon ami, et je fais cogner mon front contre son crâne. J'ai toujours du mal, à voir, qu'ouais, il est présent, il est bien là. Mais d'un coup, toutes les pensées négatives me reviennent en tête. Et si.. Il a trouvé un autre pote, mieux que moi ? C'est fort probable, vu la merde que tu es James. Personne ne veut de toi, c'est un fait que tu dois avaler. Je chasse ma conscience, et je me recule, je l'observe, l'examine même. Mon ami, mon frère, mon meilleur ami. < Comment tu vas.. Tu sais.. Enfin, depuis tout ce temps.. > Concentre toi, inspire.. Respire... Ma main retombe sur ma nuque, que je frotte, une habitude qui ne m'a toujours pas quittée, lorsque je me sentais gêné.
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Si on lui avait dit qu'il croiserait James aujourd'hui, il n'y aurait pas cru. Ils étaient là, en pleine rue en plein apres midi à se prendre l'un l'autre dans les bras alors que l'été était à son paroxysme. Les pensées négatives qu'il avait par rapport à sa mère s'étaient volatilisées en un instant alors que son deuxième frère venait coller son front contre le sien. Ils devaient avoir une conversation tous les deux à propos de ces derniers mois c'était sérieux. L'un comme l'autre avaient très certainement des choses à se reprocher, des excuses à se faire et beaucoup de choses à se dire. Pour Jimmy, James était une personne vraiment particulière, ce genre de personne qui vous marquent d'un fer blanc sur la peau et qui laissent une marque indélébile sur votre cœur. Il l'avait tellement aidé depuis qu'ils s'étaient rencontrés ... Il avait été la pour lui quand il en avait besoin, il l'avait de nombreuse fois même accompagné chez le psychologue. Jimmy a lui aussi été la pour lui, à sa manière il l'aidait comme il pouvait. 

Il regarda James et lui sourit simplement, vous savez ce genre de sourire chaleureux qui n'arrive que de temps en temps. "Ca va, un peu blasé par ce qui m'attend, mais maintenant que jt'ai avec moi ça va nettement mieux mon pote ! " lui dit il en lui collant une petite frappe sur l'épaule. Il connaissait assez James pour savoir qu'il était gêné par ces retrouvailles soudaines, il l'était aussi, mais il devait détendre l'atmosphère à sa manière et ne pas montrer un quelconque signe de gêne. Ça pourrait plomber l'ambiance pensait-il. "Merde ça fait du bien de te revoir !" Il leva ses deux bras et les passa dans ses cheveux en reculant d'un pas. "Et toi ça va ??" Lui demanda t-il avec entrain. "T'as toujours une belle gueule a ce que je vois enfoiré" plaisanta-t-il en lui chatouillant le menton pour l'emmerder. Il se saisit de l'incroyable opportunitée qui s'offrait à lui et lui demanda. "Dis moi tu fais quelque chose de précis la ? Sinon si tu veux m'accompagner à l'hôpital ça me remonterait grave le moral" Ah ça, Jimmy a toujours été franc et direct et il le restera jusqu'à à la fin de sa vie. Quelque chose ne va pas ? Il le dit en face, il désire quelque chose ? Il ouvre sa bouche. C'est aussi simple que ça ! 
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O vazio me engole. Minhas pernas se agitam, inúteis. Minhas mãos agarram o ar, arranham-no, em busca de qualquer coisa sólida. Rajadas frias passam por mim como a ventania de um tornado.
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Je le fixais, comme si c'était une sorte d'hallucination. Il était vraiment là, alors ? Merde. C'était mon frère, mon meilleur ami. Il avait vécu des choses avec moi, il m'avait supporté durant de longues années, il ne m'avait jamais jugé. Je soupire, d'abord. Je suis encore sous le choc, de cet affrontement. Pour une fois, je remercie le destin, je remercie la vie. Il vient, et il parle, j'écoute à peine. Parce qu'au fond de moi, je l'ai laissé partir. Je l'ai laissé partir sans pouvoir me retenir. J'ai été perdu, seul, au beau milieux de cette merde, et personne, personne ne pouvait comprendre, personne. Où étais-tu Jimmy ? Où étais-tu, lorsque je pleurais, où étais-tu, lorsque je noyais ma peine dans l'alcool. Où étais-tu, quand la seule information que j'avais, de ma mère, c'était qu'elle s'est battue, qu'elle est partit, comme tu es parti. Il me tient le menton, et ma vision devient une nouvelle fois intact. J'ai envie de lui citer toutes les citations qu'il pouvait exister sur l'amitié, sur le fait que je regrette ce que j'ai fait. Que je regrette de l'avoir abonné. Alors, je lui souris, je place mon visage sur mon épaule. Et je le regarde, jusqu'à que mon corps s'approche et entoure sa taille d'une accolade amicale. Je voudrais lui raconter, que je suis au bout, que je suis près à exploser comme une bombe, et que je suis toujours autant perdu. Mais je n'y arrive pas, pas pour le moment.

En moment où je quitte l'étreinte, je prends une grande respiration. Ma voix est un peu tremblante. Il le sait, il le sait que je suis fort, que je sais se que je veux. Mais il le sait, aussi. Que quand je vais mal, tout va mal. < Je viendrais, n'importe où, dès que tu auras besoin de moi. > Je plonge ma main dans la poche de mon jean, en ressortant un paquet de cigarette, dont une que je coince entre mes chaires. J'ai besoin de fumer et surtout de retirer toute la merde que j'ai dans la tête. < Alors, j'ai toujours une belle gueule ? Enfoiré ! J'aurai toujours une belle gueule, comme toi ! > Il avait cinq ans de moins que moi, mais je ne les voyais absolument pas. C'était comme si nous avions vécu notre enfance ensemble. < On va voir ta mère ? > Je savais, pourquoi Jimmy allait à l'hôpital. Ce type, n'y jamais sans aucune raison. J'étais au courant pour sa mère, et j'estimais que je devais être présent pour lui, le soutenir, et l'aider à franchir les portes. < Y a toujours l'infirmière bonnasse là-bas ? > Il faut que je lui change les idées, un minimum. En débutant la marche inverse de la mienne, je fume tranquillement me clope, alors que mes yeux valsent entre la rue, et le profil de mon frère.
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Il sourit à son frère et lui fit une petite tape sur l'épaule quand ce dernier lui fit une petite déclaration. Il lui avait vraiment manqué, pensait le Bulgare. James venait de sortir une cigarette de son paquet, à sa vu Jimmy ne pu s'empêcher de se pincer les lèvres. Il essayait d'arrêter de fumer depuis trois mois et nombreux étaient ses amis qui l'encourageait a en finir. Il carburait aux patch et mâchait un chewing-gum special à l'occasion pour faire passer l'envie. Mais aujourd'hui n'était pas sa journée, il était deja d'humeur assez maussade avant de rencontrer James et la vue de cette cigarette le poussa à la faute. Il rit quand James lui répondit en le complimentant. "Haha, oui visiblement mon sex-appeal fonctionne toujours aussi bien ! " plaisanta y-il en lui faisant un clin d'œil.

Il se baissa et ramassa le sac remplit d'affaire qu'il avait déposé par terre et se mit lentement à marcher en avant quand James lui demanda si ils allaient voir directement sa mère à l'hosto. Il le regarda et émit un faible "ouais ..." Il se tourna vers lui et lui demanda "Je peux te prendre une clope steuplait ? Faut vraiment que j'en grille une sinon je vais péter un cable ... Ça fait trois mois que j'ai arrêté de fumer t'imagines ? ". Il passa sa main dans les cheveux tout en marchant. "J'espère bien qu'elle est là " dit il en souriant. " Elle était vraiment super bien foutue ! Par contre, je me demande encore comment on peut vouloir travailler dans un endroit comme celui la, c'est dingue. "
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Je regardais Jimmy, en lui souriant, je le regardais longuement. J'avais l'impression que le temps avait passée à une telle vitesse, que j'avais du mal à m'y retrouver. Pourtant, il était vraiment là, à me parler de sa vie, et ce, avec une naturelle qui me faisait légèrement ricaner, bien qu'il ne pût guère l'entendre, j'évitais d'avoir ce genre d'attitude durant ce genre de moment. En arquant un sourcil, je lui passais ma cigarette que je venais à peine d'allumer. Histoire qu'il n'aille pas besoin de le faire lui-même. J'en prenais une nouvelle, et fis le même traitement que celle qui la précédait. < Dis-moi, ce qu'il se passe Jimmy. C'est rare, que tu vas voir ta mère. C'est ton père ? > Je me souviens de quelques trucs, mais peut-être que tout avait changé, et que je parlais de dossiers déjà bien enfuis sous la terre.

En marchant jusqu'à l'endroit prévu, je grimaçais, aux pensées négatives qui se bousculaient dans ma tête. Je n'ai jamais été très à l'aise dans ce genre de lieux, mais je prenais mon courage pour l'accompagner, et être présent. < Aller, on rentre. > Je lançais le bâton de nicotine dans le cendrier. Puis j'attendais Jimmy, avant de débuter des bats dans l'établissement. L'odeur me montait aux narines, et la vision des gens, vêtus de blancs, ainsi que l'ambiance à m'en pétrifier le sang. < Ça va aller. > Lui dis-je accompagné de ma main, sur son épaule. Je regardais les infirmières, qui elles me scrutaient d'un regard assez pesant. Bon, j'avoue que dans un blanc impeccable de cet hôpital, et mes tatouages d'un noir profond. Je ne dois pas vraiment passer inaperçus.
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il se saisit de la cigarette et la porta à ses lèvres. C'était mal il le savait, il comptait vraiment arrêter de fumer. Il inspira et expira cette fumée blanche en soupirant d'aise. Ses nerfs s'étaient quelque peu apaiser. Il regarda son meilleur ami "Ouais ça fait quatre ans que je l'ai pas revu ... " dit il en baissant un peu la tête. Cette femme lui avait gâché toute son adolescence, l'avait traumatisé, hantait ses cauchemars. Il revoyait parfaitement la scène dans laquelle elle se jetait sur son frère et sur lui même pour tenter de les déchirer en deux avec un couteau de cuisine. Il la destestait. Mais qui ne haïrait pas ce genre de personne ?  "Mon père est malade aujourd'hui il est bloqué au lit, il aurait normalement dû aller payer la cotion de l'hôpital. Quand à mon frère il est parti en Espagne alors tu comprends je dois m'en charger. Il faut aussi que j'apporte à la ma mère un petit coussin et des trucs qui lui appartiennent." Dit il en tirant une taffe. 

Ils étaient arrivés face au bâtiment en question et Jimmy avait une sale boule au ventre juste en regardant les dédales de l'entrée. Il jeta lui aussi sa cigarette à la suite et savança un peu alors que James lui donnait un peu de courage en posant sa main sur son épaule. Il le regarda d'un air incertain et savança vers le comptoir a l'accueil pour s'adresser nerveusement à la secrétaire en blouse blanche. "Euh, bonjour madame .. Je viens régler la cotion pour ma mère, madame Bodovsky". Elle le fixait d'un air limpide, il avait l'impression qu'elle pouvait voir son âme de là où elle était. Elle donnait froid dans le dos et les grandes cernes qui creusaient ses yeux n'arrangeait rien. "Bodovsky vous dites ? Veuillez patienter s'il vous plaît" dit-elle. Elle se tourna vers son ordinateur et chercha le nom dans ses nombreux dossiers. "Bodovsky, c'est bien ça. Le montant est de trois cents douze dollars et quinze centimes." Il sorti de son portefeuille un chèque signé et lui tendît directement. C'était horriblement cher, Jimmy avait un petit pincement au cœur en lui tendant le chèque. Elle le prit et le rengea dans un tiroir avant de lui indiquer "Si vous souhaitez lui rendre visite c'est la chambre numéro 256. Au revoir."
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Je savais que cela n'était pas plaisant, d'être dans une telle situation. La seule manière dont j'avais de le soutenir, c'était d'être présent, et de lui donner un certain courage. Lorsqu'il s'avançait vers la réceptionniste, j'entendis la somme astronomique qu'il devait payer. Bon sang, c'est beaucoup. Je fronçais les sourcils, en passant mon regard sur les alentours, tandis qu'il réglait la note, avant que me voix perce le silence de cet hôpital glaciale. < C'est beaucoup cents douze dollars quand même. Tu ne trouves pas ? Tu ne penses pas que tu pourrais trouver un institut, meilleur, avec les mêmes traitements, et moins cher pour ton père ? > Je fronçais les sourcils, alors que je croisais mes bras sur mon torse. J'avançais vers le long couloir, alors que quelques personnes nous observaient, ainsi que quelques passants qui bizarrement avait le droit à ce genre de promenade. Bien que je n'étais pas super à l'aise, j'observais le profil de mon meilleur ami, passant ma muqueuse sur la longueur de mes lippes. Je n'allais pas rentrer dans la chambre de sa mère, je devais le laisser faire. Du moins, c'était un respect. Je n'entre pas de cette manière dans la vie privée des gens. < Je vais t'attendre, je vais fumer une cigarette. Je suis dehors, d'accord ? Fais attention, et n'y reste pas trop longtemps. > Je préférais lui préciser le fait de ne pas rester trop longtemps avec sa mère. Elle ne mérite clairement pas que Jimmy se foute mal. En passant une main sur la nuque de ce dernier, je lui offrais un petit sourire de confiance. < Courage. >

Au moment où je quittais les longs couloirs de l'hôpital. Je sortais aussitôt en prenant une bouffée d'air frais. Je m'adossais contre le premier mur, afin de sortir mon paquet de cigarettes et d'en glisser une entre mes chaires, je l'allumais, et j'attendais que Jimmy sorte de là. Je n'aimais pas le laisser seul, mais encore une fois, je ne me voyais pas aller avec, rendre visite sa mère, surtout qu'elle ne me connaissait pas. Le regard observant les alentours, je recrachais la fumée. Je ne savais pas si je devais dire à Jimmy mes soucis, surtout qu'il semblait en avoir lui-même assez.
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