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New Perspective • Dante

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— Dante

Je prenais la route du parc en ayant l'idée en tête d'emprunter un sentir et de m'y perdre un peu. J'allais marcher sans trop regarder où aller avec comme seul accompagnateur mes pensées. J'avais la tête qui tournait un peu en fait, j'étais encore abimé par la fête de hier soir. En fait , je n'avais même pas retrouver le chemin de mon lit. Mes pas étaient la plupart droit , mais parfois ils étaient un peu maladroits. Le temps était beau et clément et me permettait de pouvoir marcher dans l'air frais grâce aux arbres qui couvraient le sentir en laissant filtré le soleil à certains endroits. J'imaginais devant moi l'histoire d'une aventurière qui grimpait à travers les arbres et qui m’observait en même temps.  Mon imagination n’arrête même lorsque la fatigué s’empare de mes membres. C’est une machine qui roule sans cesse à l’intérieur de mes neurones. Elle aime me jouer des terres et me fait rêver dans les moments durs. Je plonge mes billes bleues vers le ciel qui ne comporte aucun nuage, aucune présence de ses traces blanches cotonneuse. Mes prunelles se fondent dans cet espace particulier et un impact arrête mes pas et je tombe à la renverse. Je suis maintenant couché contre le sol après foncé dans quelqu’un. Je cligne des yeux  et je dessine lentement la force d’un homme avant de pouvoir apposer un nom sur celui-ci. Il me rappelle une forte pluie et une longue discussion dans une voiture qui roule contre son intempérie. Moi je voguais comme un pauvre fantôme sur les trottoirs avant qu’il ne s’arrête pour me sauver de ses petites perles d’eaux qui m’avaient malheureusement déjà toutes envahies. C’était Dante l’homme à la même nationalité que la mienne. Faut croire qu’il n’a pas la chance de me voir dans un état normal.    

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— Dante

Boire, ça semblait intelligent hier soir. Oui, ça le semblait tellement ... Avec ce qu'il a apprit, il s'était dit l'italien que ça lui ferait du bien. Queneni. Il avait finit par partir marcher. Marcher pendant des heures. Marcher sans cesse, sans arrêt. Repenser était trop douloureux. Alors une nuit a érrer comme une âme en peine, une douche et puis du sport, c'est ça le quotidien, c'est ça qui le tiens à flot. Et finalement c'est le principal non ? De rester à flot... En pleins jogging, ses pas s'enchainent et l'aide a avoir les idées plus claire, plus sûre. Finalement courir lui permet bizarrement de respirer. De mieux respirer. Plus sereinement. Le sport l'a toujours aider. Bizarrement, le sport le rend plus calme. Le sport est une corvée pour certains mais pour Dante Basini c'est son exutoire. Son rythme cardiaque augmente, doucement mais surement, ses tempes en deviennent presque douloureuse à le marteler mais il court, il continue. Si il s'arrête, il devra faire face et il ne peut pas, pas maintenant. Alors ses pas s'enchainent, ses pieds tombent sur le sol goudronné et pour dire vrai, il ne profite pas vraiment de l'air frais, du dépaysement, non il court. Sans écouteur, le bruit de la rue, déjà vivante même si tôt, occupe ses pensées. Une voiture passe, une brune qu'il confond, il tourne la tête pour la regarder... Il la voit partout depuis l'annonce, c'est horrible et il a juste le temps de s'intimer à lui même que ce n'est pas elle, qu'elle est à Cambridge. Elle n'est pas là. Non il n'y a pas de raison qu'elle le soit, c'est juste son esprit qui lui joue des tours. Il s'apprête à regarder sa route ... PAF il se prend un petit corps frêle de pleins fouet, la jeune femme tombe par terre, après s'être lourdement cognée contre le torse dessiné de Basini. Un regard remplit d'excuse pour sa maladresse ses yeux se posent sur la frêle et magnifique jeune femme qui est à terre. Son visage lui fait tilte, la petite italienne. Son visage le ramène à une soirée pluvieuse, trop pluvieuse où il avait tenter de la sauver de ces gouttes trop froides qui tombaient sur son échine et la gelait sur place. Son visage si fermé il y a quelques secondes se fend d'un sourire "Veïa, salut !" avant de se rendre compte qu'elle a terre à cause de lui. Il lui tend la main et reprend alors "Mes excuses, je ne regardais pas où j'allais, je suis pas si maladroit que ça d'habitude" toutes ces paroles s'enchainent en italien. Veïa ... Elle est comme un rêve qui le ramène droit dans les rues de Naples ou de Rome, elle le ramène dans ce si beau pays, ce pays merveilleux. Et ça, ça fait du bien. "Tu ne t'ai pas fait mal j'espère ?"


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— Dante

J'étais là étendu contre le sol en quelques secondes. Mes prunelles cherchaient un sens d’orientation. La terre se mêlait doucement à mes cheveux dorés. J'étais encore cette fois ce fantôme, ce petit fragment de moi même qui se balade la tête dans les nuages. C'est ça qui arrive quand on refuse de quitter le pays des rêves, c'est ça qui arrive aussi quand on est resté un peu trop longtemps à boire la bouteille.  Je devais être un drôle de spécimen pour ce jeune homme à la même nationalité que la mienne. Il devait se demander comme s'y prendre. Je me rappelais de cette pluie froide et de sa gentillesse de m'offrir une place pour réchauffer ma chaire. Une connaissance que je n'avais pas oubliée, car il m'aidait à passer le mal du pays. Il me faisait voyager d'un continent à l'autre en me parlant dans ma langue maternelle. Je ne serais jamais une américaine, déjà il faudrait que j’aime leur langue .  Un sourire s’étire sur mes lèvres lorsque je vois qu’il se rappelle de moi et que je ne suis pas qu’un simple souvenir égaré. Nous voyons tant de différent visage en une seule journée parfois on ne peut pas tout capter. Je bredouille «Salut Dante » Il s’excuse de sa maladresse alors que c’est moi qui avait la tête en l’aire et qui zigzaguait . Je prends sa main pour me relever et l’horizon redevient droit. Ma tourne encore. La poupée de porcelaine n’a pas perdu de morceaux, mais ses pensées sont toujours aussi égarées. Je secoue mes vêtements et mes cheveux. Il n’était plus la rencontre d’un soir, mais plutôt d’un beau matin à peine commencé. Nous brillons doucement sur les rayons du soleil qui arrivent à s’infiltrer. Le temps froid n’est pas au rendez-vous nous sommes tous les deux au chaud. Mes traits doivent avoir meilleure mine, malgré mon regard fatigué. «Non ça va.» Je rie doucement en posant mes yeux bleus comme l’océan sur lui.  . «C’est de ma faute…je regardais le ciel.»Je regarde ma maison depuis qu'on m'a égaré ici sans aide pour m'envoler de nouveau. La brume continue de prendre part sur mes neurones, mais mon sourire est là sur mon visage, heureuse de le croiser sur ce chemin inconnu. Je suis prête à voyager de nouveau, un peu plus longtemps avec une journée devant soit et pas seulement avec une nuit déjà écourtée.  

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— Dante

Un choc, un bruit sourd de chute et l'italien reprend ses esprits, ses traits, tantôt ailleurs sont d'abord surpris, yeux grand ouvert, un ohh qui sort d'entre ses lèvres et puis un doux sourire en voyant les traits fins, menu et féminin de la douce Veïa. Son prénom chante comme une chanson à l'italienne. Elle le ramène à son pays d'origine. Comment oublier cette rencontre ? Veïa est une jeune femme douce et forte à la fois. Il l'a rencontré une fois et pourtant cette rencontre l'a marqué d'une certaine manière. Croiser des comparses de nationalité est toujours un plaisir pour Dante. L'italien est une douce mélodie qu'il pourrait écouter toute la journée. Il se souvient de ces moments où le cafard du pays s'en prend à lui, il s'installe dans un bar quartier italien et écoute cette douce mélodie qui le berce. Croiser des italiens lui donne la sensation d'avoir un petit bout d'Italie près de lui. Un petit bout pur de ses origines. Veïa porte en elle l'Italie, sa chaleur et sa douceur. Une douceur dans ce monde parfois un peu trop cru. Entourer des américain et ici, de canadien, sympathique, mais loin de la mentalité italienne. Au pays, les gens sont chaleureux, ils peuvent passer des heures en terrasse à discuter. Ils sont tchatcheur, romantique, rêveur d'une vie merveilleuse. Les américains sont plus dans le bling bling et le pressé. Veïa pose son océan bleu dans le sien. Son doux visage s'accompagne d'un sourire. Elle se souvient de lui. Sa petite main saisie celle de l'italien et elle se relève, s'inquiétant de savoir si elle n'a rien de cassé, car fine comme elle est, on doit avoir peur de l'abimer au moindre mouvement trop brusque, Elle va bien, elle n'a rien, juste un peu de saleté dans les cheveux et un air fatigué mais elle va bien. Elle émet un petit rire, tellement mélodieux, chantant et reprend de sa douce voix qu'elle est responsable de ce carambolage qui finalement semble rendre nos deux italiens heureux de ce fameux hasard. Il reprend alors "On était tous les deux dans la lune je crois" un petit rire de la part de Basini il s'approche un peu "Attends bouge pas, t'as de la terre dans les cheveux un peu" sa main caresse un instant la crinière blonde de la jolie italienne pour retirer les saletés et il reprend souriant "Tu vas bien ?" cette douce journée ne pouvait finalement pas mieux commencer, se retrouver face à un ange italien, il n'y a rien de mieux si ?


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— Dante

Je suis tellement étourdie, je pourrais jamais être celle qui a les pieds sur terre, car c’est pas moi , c’est pas le petite Veïa qui a envie de voyager et de tout immortalisé. À ce qu’on peut voir ça tendance à m’attirer des ennuies et dans ce cas si une belle surprise. C’est pour ça que je continue malgré tout à vivre à la quatrième blessure. Peu importe les blessures et les égratignures il aura toujours cet éclat qui te fait voir le monde encore comme il se doit. Il faut pas essayer de me décourager, vous n’allez pas y arriver, même quand la poupée de porcelaine se brise. T’as raison on est tous les deux sur la lune. On c’est sans doute que c’était plus tranquille là-haut. Qu’il avait moins de regards accusateurs pour les folies qu’on a envie de faire depuis notre arrivé au Canada. C’est ma deuxième maison en fait je me réfugie sur cet astre quand j’en ai marre et que j’ai envie d’espérer un peu. Tu passe une main dans mes cheveux et je ferme les yeux quelques secondes pour apprécier cette petite caresse , quelque chose de vite fait , mais qui fait différent dans ce moment un peu trop rude en manque d’amour. «Oui je vais bien et toi ?» Le retour a été un peu difficile, mais je me remets lentement de mes émotions. Toi et moi tu n’as aucun reproche et ça me fait du bien. J’aurais pas pu demandé mieux, tu vois je suis un peu égaré en ce moment, je prends pas soins de moi, tu pourrais m’aider à me réchauffer encore une fois. «T’as envie de marcher un peu ? » Je te pose la question, mais en fait je n’attends pas vraiment ta réponse et j’effleure ta main pour t’inviter à suivre mes pas. J’ai envie de savoir ce qui t’arrive, comment ça se passe pour toi le summer camp. Tu n’avais pas remarqué que j’étais un peu plus étrange qu’à l’habitude et ça m’arrangeait. Le sentir nous appelait pour une longue discussion comme celle dans la voiture il y a deux mois plutôt. Sauf qu’on était plus vraiment des inconnus, il avait peut-être plus ce sentiment de nouveauté , mais je savais qu’il avait encore quelque chose d’intéressant à découvrir. Et puis tu étais une des seules personnes que je connaissais qui partageais la même nationalité que moi . Ça m’avait manqué ce sentiment de pas se sentir totalement incomprise.  

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— Dante

Des retrouvailles inattendu, un joyeux hasard dans cette journée qui aurait pu tourner au cauchemar finalement. Mais là, non, elle en est loin. Cette rencontre imprévue le ramène à des endroits tellement beau. Il se télé transporte par la pensée au bar d'un bistro italien, entouré de ses comparses de nationalités, il se retrouve sur un vespa a traverser la ville. Tout ces trucs typiques de l'Italie, sauf la gondole qui passent sous le pont des lamentations, quand on ne sait pas vraiment nager, on ne s'y risque pas. Basini est courageux pas mais fou comme il dit. La jolie poupée italienne semble elle aussi ravie de le voir, du moins c'est ce qu'il en conclue en voyant son doux sourire. Sa voix mélodieuse arrive aux oreilles de notre gentleman qui sourit lui aussi, ses zygomatiques fonctionnent bien quand elle est là. L'accent de la jolie blonde lui fait penser à un hiver en Italie. Un hiver doux et magnifique. Dans ce pays toutes les saisons sont appréciables. Dans ce pays tout est beau. Surtout quand on est un patriote comme il l'est. Leur carambolage imprévu mais finalement joyeux et positif était dû à leur côté rêveur à tous les deux. Lui rêvant d'un monde en et si pour refaire en partie sa vie voir si il aurait été plus heureux et elle, dans les nuages où elle se sent si bien, leurs pensées vagabondaient jusqu'à se percuter l'un l'autre. Une main dans ses cheveux pour retirer la saleté qui s'y est logé pendant un instant. Un geste doux, pour ne pas risquer de la casser, elle semble tellement précieuse et fragile. Après ce court instant de douceur et de contact physique, il prend de ses nouvelles, ça fait longtemps qu'il n'avait pas vu cette jolie poupée venue du plus beau des pays, qu'il n'avait pas fait face à cette brise de calme dans ce monde de fou. Elle lui répond avec sa douceur et son ton rêveur habituel, elle semble habité par la rêve et ça la rend tellement unique. Tellement spéciale, mais spéciale dans le bon sens aux yeux de Basini. Elle semble pur. Sans défaut. Sans imperfection. Elle semble être son contraire face à lui et sa part d'ombre. Face à lui et ses secrets. Face à lui et la mafia qui est le poison dans ses veines. Elle, elle est la pureté de l'hiver. Aussi blanche de la neige. Quand lui il est les tempêtes de l'automne. Lui est le vent fort qui fait tomber les feuilles d'arbres qui arrachent la beauté à la nature, elle, elle est la douce fraicheur qui les recueille avant le printemps, qui les prépare à un nouveau départ. "Ca va aussi." après tout, en ce moment précis, ça ne peut que aller face à ce mirage, cet halo de paix qu'est la jolie jeune femme. L'océan de ses yeux dans ceux de la jeune femme, elle lui propose de marcher. Enfin, c'est une proposition avec une seule réponse possible : oui. Car sans même attendre une parole italienne de la part de Basini, leurs mains s’effleurent et ce court contact indique à Dante le chemin vers lequel ils vont. Ses pas s'enchainent, suivant ceux de la jeune femme. Il ajoute simplement pour la forme "Avec plaisir" toujours avec son accent typique de Naples, sa ville d'origine. Il aurait forcément dit oui, même si elle avait attendu. Un moment de douceur, un moment d'Italie dans ce monde parfois si rude et abrupte est toujours apprécié. Leurs pas filent lentement dans la même direction, de manière synchroniser, pieds droit en même temps, pieds gauches en même temps, c'est naturel, comme une connexion invisible qui les lient le temps de cet échange. "Alors, tu profites bien de ton summer camp ?" une question pour briser le silence quelques instants. Pour entendre encore quelques paroles à consonance italienne, pour être bercer encore quelques secondes par la mélodie de sa voix.


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Moi je suis l’italienne qui a grandie dans la pureté et pour être la gentille fille parfaite. Je m’assoyais dans les jardins fleurs de ma tante et je rêvais à travers les milles couleurs. Je suivais sans dire un mot quand il fallait faire les courses. J’étais celle qui avait des gênes étranges, car j’étais trop blanche et que le soleil brulant du pays latin ne voulait pas brunir ma peau de porcelaine. Pourtant je le sais que je viens d’une famille à une grande hiérarchie, des purs italiens qui n’ont pas envie de voyager. Je suis la première qui s’égare et qui prend un chemin différent. C’est dur à faire et c’est encore moins accepté. Quand je le regarde j’ai l’impression de revoir le reste de ma famille, j’ai l’impression de voir Harlow. Même si on voyage d’un continent à l’autre certaine chose ne change pas il faut croire. C’était ressemblant, mais tellement différent en même temps. Lui il était plus doux que le regard que ma mère m’envoyait quand elle me regardait. Il était par contre un gentleman comme le faisait mon père. Il me procurait une douce chaleur par contre dont j’avais dû mal à ne pas en devenir accro. Cette chaleur que je vivais sur la plage de florence et lorsque que je marchais dans les marchées. J’aime comment il me traite, comment il essaie d’être délicat parce qu’il a peur de me briser. Parfois j’ai envie de me faire brasser, de me faire traiter comme toutes les autres femmes qu’on peut croiser, mais ces petits gestes comme cette caresse dans mes cheveux pour que je puisse rester belle comme une fleur m’enchante comme un oiseau au printemps. J’aimerais pouvoir arrêter le temps, parce que je ne veux pas revenir au Canada, je ne veux pas quitter ma maison à nouveau qui me manque tant. Il va bien et ça ne fait qu’agrandir mon sourire, car je sais maintenant qu’il partage ce moment de bonheur avec moi. Mon cœur aurait été en peine de voir que je ne lui apporte pas cette petite tendresse et cette aventure unique. Il commence à suivre mes pas qui sont un peu maladroit. Il peut m’aider à marcher un peu plus en ligne droite, je serais sensé voler. Je m’accroche à son bras pour la longue balade qui nous attend. Les passants ne pourrons pas comprendre, ils penseront seulement que nous sommes des jeunes âmes qui profite du plein aire. Tant mieux s’ils ne savent rien je n’ai pas envie de les emporter dans mon univers. Deux rêveurs qui s’entrechoquent parfaitement. «Oui. » Je marque une pause en réfléchissant à ce moment de folie qu’on appelle le summer camp. C’est intense et éphémère comme moment bientôt il va falloir retourner au bouquin. Je n’ai pas envie d’y retourner je veux encore valser. Il est habitué à mes petits silences, il me lance toujours le temps avant que je reprenne la parole. « Je profite , je vie pleinement le moment . Tu sais ça me rend heureuse et ça me fait du bien. C’est différent d’harvard … » Je regarde le ciel une fois de plus et les arbres danser sous la brise. «.J’adore les aventures pour moi venir ici c’est quelque chose de nouveau. C’est même magique.» Le bonheur pur reflète mon visage, je le regarde pour le faire voguer sur l’océan à travers mes prunelles. «Et toi ?»  

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Ils ne se connaissent pas vraiment. Ils ne se sont croisés qu'une fois après tout. Pendant une nuit un peu trop pluvieuse, un peu trop froide, pendant le printemps mais finalement, il la connait non ? Elle vient de chez lui. Elle vient de sa maison, de sa terre d'origine. Elle vient des même racines que lui. Et elle perdue dans ce monde dur et froid loin du pays du soleil, comme Dante Basini. Ils sont italiens et c'est probablement pour ca que son instinct le pousse à lui faire confiance. Une chose risquée pourtant, partout en Italie, on connait les rumeurs sur les Basini. Dans les rues, les bruits court. Tout le monde connait l'histoire de la plus grande mafia Italienne, de la Camora, la mafia la plus meurtrière et connu dans le monde entier. Tous les italiens ont entendu parlé de l'histoire des ancêtres de Dante, qui, dans un village qui cri famine, ils ont trouvé la porte de sorti : l'illégalité. Elle pourrait être au courant, mais elle est de son sang. Ils sont du même gène. Amoureux de leur pays. Il lui donne on confiance alors qu'il ne devrait probablement pas. L'armoire de glace autour de son coeur et son côté froid et distant part avec elle. Regardez le. Une caresse dans les cheveux, aussi douce qu'une légère brise de vent d'été, au bord de la mer, un sourire, des paroles douces et chaleureuses et une réelle joie de la voir qui se lit dans son regard. Son regard, la fenêtre de son âme ternie par ces mauvaises choses qu'il a fait il fût un temps. Mais avec elle, il est loin de ce gars habituel. C'est comme ci il ne voulait qu'elle ne voit que ses bons côtés. Il veut lui montrer le meilleur de lui même, cette part de soleil enfouie en lui, parfois trop bien caché pour le monde autour de lui. La douce Veïa l'invite à partager sa route quelques temps. Un frôlement de main, aussi doux qu'un flocon de neige qui tombe au creux d'une main. Il la suit. Sans poser de question. Que dire, à ce moment précis, il la suivrait, peut importe où. Vous savez elle lui donne ce sentiment d'être en sécurité. Le sentiment d'être à la maison, existe t-il meilleure sensation que celle là ? Franchement ? Elle saisie son bras comme ci pendant cette balade, il serait le rocher qui la maintien debout, et il la laisse faire. Le Dante bougon et pas tactile s'efface en sa présence. Il sourit même et ce contact, cette proximité ne le gêne pas. Il pourrait même prolonger la balade juste pour garder encore un peu la douce italienne près de lui, de manière totalement égoïste. Rompant le silence, il lui pose une nouvelle question, réellement intéressé mais aussi dans le besoin d'entendre de nouveau son accent chantant tellement craquant et adorable. Elle lui répond entre deux rêveries car finalement, c'est ce qu'elle est une rêveuse, une libre penseuse, en sa présence, on se retrouve avec elle dans les nuages. Sa réponse reflète totalement l'image qu'il a d'elle et en même temps qu'elle, il regarde les arbres, imaginant ce qu'elle imagine en les regardant. Son sourire s’élargit en même temps que ses paroles, la comprenant juste entièrement. Le Canada, ce summer camps, c'est une pause dans sa vraie vie. C'est un moment de douceur et de bonheur, un moment d'aventure où le seul mot d'ordre est de profiter. Elle pose son océan sur lui et leurs mers bleues présentent dans leurs prunelles se rejoignent un instant "Je suis comme toi, je profite de chaque moment ici." un sourire toujours présent, il se trouverai bien con si il se voyait je pense. Mais il se sent bien et il l'exprime, normal non ? "Ici, c'est comme une brèche temporelle, une pause dans le temps, où tout est possible et où la découverte et le renouveau sont juste les mots d'ordres. C'est tellement plaisant." oui, c'est agréable, reposant, ça permet de se ressourcer après une année difficile et une prochaine année qui sera peut être pire qui sait ? Ou bien plus belle. Ce n'est pas parce que Basini voit constamment le verre à moitié vide que parfois, le positif ne peut pas se poser sur le pas de sa porte comme une plume d'oiseau qui atterrie comme une fleure sur l'herbe verte d'un jardin. Regardez, il a bien rencontré Veïa et Veîa, c'est la positivité assurée non ?



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On a toujours ses moments de détresse, ses moments qui nous donne envie de tout lâcher et de partir à la dérive au plus vite. On a ses moments de nostalgie qui nous tient dans le passé, qui nous tordent le cœur et qui nous empêche de nager pour avancer. Ce matin je naviguais dans ce grand océan, je ne reconnais pas ce bleu autours de moi, même s’il était la même couleur que mes yeux. Tout me semblait étranger et je me suis noyé sous les nombreuses bouteilles. Ce n’était même plus le liquide vitale qui m’entourait en fait, mais cet alcool que j’ingurgite en trop, ces temps si. Puis, il a cette comète qui passe dans le ciel, un petit grain d’espoir, quelque chose de lumineux qui nous donne le gout de se relever. J’avais envie de recoller mes morceaux et colmater les fissures sur ma porcelaine. Pourtant je suis cette âme qui est toujours positive et qui ne se laisse pas prendre par les démons qui se promènent dans l’ombre. Certaine chose nous rattrape plus facilement que d’autre. Il est cette lumière aujourd’hui, cette étoile en plein jour qui me ramène sur la berge. Je me tiens à lui à son bras, mais en fait c’est que j’ai peur qu’il parte trop rapidement avant d’avoir récupérer toute mon énergie. Je n’ai pas envie de revenir en arrière, je veux qu’on y reste le plus longtemps stp. Tu n’as pas besoin de faire une promesse, juste de continuer à marcher avec moi, peut-être jusqu’au bout du monde, je veux pas m’arrêter et de toute façon j’y arrive même pas. Tu vois je plonge la tête première encore une fois sans même prendre garde alors que je ne devrai sans doute pas. Après tout on se connait pas, tu es qu’un souvenir qui me ramène à la maison à chaque fois. Pourtant tu me laisses t’approcher sans dire un mot comme si tu appréciais ce contact toi aussi. T’as besoin d’être réconforté, besoin de voyager. C’est presque trop doux comme moment, mais ça fait du bien. Tu es dans mon petit monde pour le moment, dans un drap de velours. Tu es enveloppé du mieux que je le peux. On vibre sur la même émotion, sur la même danse. Tu m’emmènes tellement loin dans un endroit que je connais déjà, mais que je n’ai pas vu depuis si longtemps que ça me mets presque en extase. Je t’explique mes rêves, mes paroles en l’aire naïve comme une gamine qui connait rien, mais tu me réponds la même chose. Tu acquiesces ce que je dis me rapportant que ce moment ici est comme une brèche temporelle. Tu as raison j’ai presque l’impression que tout c’est arrêté, mais c’est cet instant, ici en ce moment qui me fait cet effet là. C’est en ce moment que je me ressource auprès d’une personne presque inconnu, mais que j’ai l’impression de connaitre sur le bout des doigts. J’ai l’impression qu’on pourrait faire face à tout que rien ne pourrait arrêter cette petite escapade sur le sentier dans le bois. Comme une sorte de bouclier qui nous rend invisible aux yeux des passants et qui nous protège des intempéries. La nature nous emporte dans une valse et dans un rêve brillant. Il n’est pas aussi doux que moi, on le ressens quand il porte sa voix et pourtant il suit chaque pas à la perfection. Pas une seule ne faute, pas une seule fois. «J’ai pas envie que ça s’arrête» J’ai pas envie de rentrer port , même si la lumière du phare est belle. «Oui tu as raison tout est possible , comme le fait de rencontrer une personne qu’on a vu une seule fois dans sa vie. » Je ne me rappelais plus si on était laisser quelque chose pour reprendre contact, mais pour moi il était mon ange alors que j’en étais un. «Tu tombe pile au bon moment . » J’appuie ma tête contre son bras, comme pour dormir juste quelques secondes. Je respire la fragilité en même temps d’être aussi fort que le roc . 

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Vous savez, nous ne sommes rien dans ce monde. Nous ne sommes qu'une poignée de grain de poussière. Nous ne sommes que de toutes petites choses. Insignifiante. On pèse autant qu'une plume qui s'envole à nous seul. Nous ne sommes qu'une bande d'électron, nous hérons sur terre, dans des buts parfois précis, définis, parfois non. On se retrouve parfois perdu, on essuie des déceptions et pourtant certaines rencontre entre deux grains de poussière peuvent changer beaucoup de choses ... Parfois on fait des rencontres formidables, pendant notre courte vie. Parfois on rencontre des gens extraordinaire et immédiatement on ne se rend pas compte de la place qu'ils prennent mais avec le temps, on ne peut le nier et on ne peut dire qu'une chose : nous étions fait pour nous rencontrer. Ma vie aurait tellement été morose sans toi. Parfois, les gens arrivent et changent notre vie. Et quand ça arrive, on ne peut que se sentir heureux heureux d'avoir rencontrer ces gens au bon moment d'avoir fait telle chose qui l'a mené sur son chemin. Nous ne sommes que les pantins d'une force supérieur, esclave des pêchés dont sont soumis les hommes mais pourtant, Dante pourrait vous le dire, Veïa a en quelques sortes changer sa vie. Avec elle, il est calme, il ne cri pas, il ne fait pas le fou, elle le ramène à la maison. Elle est ce qu'on pourrait qualifier de son ange italien. De son ange à lui. Là quand il en a besoin. Car finalement le hasard avait fait qu'il l'avait rencontré à chaque fois qu'il avait terriblement besoin de quelqu'un. Qu'il avait terriblement besoin de compagnie. La tête pleine, la tête remplit de pensée négative que par sa présence, l'ange blond à la peau de porcelaine gommait. Avec elle il n'avait rien de cabosser. Il n'avait rien de foncièrement méchant bien qu'il ne le soit pas réellement. Avec elle, il est à la maison, il se trouve à la fois sur le pont des soupires, sur une vespa a faire le tour de Rome, il se trouve au milieu du colisé et a se perdre dans les rues de Venise, il se trouve à Naples dans la villa des Basini, plus grande villa de la ville que le clan possède presque entièrement. Un démon sur son épaule a beau lui crier de fuir, car elle est italienne justement et que là bas tout le monde a entendu les histoires du grand méchant mafieux. Et comme la guerre des mafias à commencé réellement. Et comment, maintenant ils en sont arrivés à faire toutes ces illégalités au nom de la Camora, sans honte, sans crainte. Non avec elle, il était loin de ces pensées. Une douce brise de vent caresse son visage fatiguée par le manque de sommeil et des tourment et ce visage bien que portant les traits de l'inquiétude et du remord est transpercé d'un petit sourire. Veïa contre lui, il ne la repousserai pour rien aux mondes. Veïa, douce fée, doux ange, innocente et pourtant avec cet air de femme forte. On dirait qu'elle a déjà vécu beaucoup mais avec cet air pur qui l'entour, vous voyez ? « Alors n’arrêtons pas. » non qu'ils continuent encore un peu, encore beaucoup cette balade. Qu'ils continuent de marcher, qu'ils restent dans ce petit instant où finalement tout est beau et où leurs coeurs a voyagé jusqu'à ce pays si merveilleux de la botte. Qu'ils ne s'arrêtent pas. « Ouais, c'est le destin je crois ... Tu y crois au destin toi ? » le destin les avait remis sur la même route. Finalement elle était restée cette fille sous la pluie, il ne l'avait jamais revu. Pourtant il y avait pensé à cet ange, plusieurs fois. Comment allait-elle ? Faisait-elle plus attention ? Où était-elle ? Avait-elle regouter à l'Italie. La tête blonde de la douce Veia s'appuie un peu plus son bras, se presse contre lui et détâche son bras juste pour la garder contre lui, entourant de son bras ses épaules, elle se retrouve contre son torse « T'imagines pas comme toi aussi. » oui bel ange. Il était perdu, il était mal et tu apparais, comme ça, comme un oasis quand on meurt de soif. Comme la marraine la bonne fée quand Cendrillons en a le plus besoin. Oui Veia, jolie ange italien, tu es tombée pile au bon moment pour le sortir de la noirceur de ses pensées. Et ce halo blanc de lumière s’immisce en lui et le rend lui aussi pendant quelques instants à tes côtés, scintillants et blanc.



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