Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJuliet, when we made love you used to cry - Sage - Page 2
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Juliet, when we made love you used to cry - Sage

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✧ Hotel. ✧Sage & Noah

Ce qu'elle est belle. Surtout quand elle me désobéit. Là, à sa fenêtre, enroulée dans sa serviette, je devine ses courbes et ça me rend fou. Je ne comprends toujours pas cet effet qu'elle a sur moi, pourquoi je suis là, pourquoi je n'ai envie d'être nulle part ailleurs, à part là. Même ivre, même à moitié à poil, même pathétique et lamentable, je n'ai envie d'être que là. Avec elle. A l'implorer de me laisser entrer, à me mordre la lèvre d’impatience, à la taquiner, à jouer au petit con comme je sais si bien le faire, pour ne pas avoir à avouer la vérité. Cruelle vérité que je n’ose même pas me dire à moi-même : t’es belle comme une comète, je t’ai dans la peau, je t’ai dans la tête. Et je la nargue de mon regard impérieux, même dominé par la situation, je ne peux pas m’empêcher d’agir avec arrogance : « Je t’en prie mon amour, tu le sais que tu me rends complètement fou », sourcil arqué, sourire narquois. Hypocrite ou pas ? On ne sait pas, je ne laisse rien transparaitre, m’amusant de ses émotions comme je me joue des miennes propres. J’ai envie d’elle. De plus en plus, de pire en pire. Je veux monter et elle me fait galérer. Et ça me rend fou d’impatience, et ça me fait sourire de plaisir : « Mmmmhh … ». Je fais mine de faire ma tête boudeuse et je trépigne des épaules en la regardant se refuser à moi : « Tu es d’une cruauté acerbe. Tu m'excite. », dis-je machiavélique avant de me mettre à la fixer, l’insolence dans mes yeux, lascif et fourbe. Je me déshabille lentement du pantalon en la regardant, me retrouvant en caleçon là, dehors, en bas de sa fenêtre. Jamais je n’aurais pensé me trouver en pareil situation et demain je le regretterais très probablement. Et j’essaye de l’exciter par les mots, je veux qu’elle cesse de se débattre, qu’elle obéisse, qu’elle plie, qu’elle descende et qu’elle ne me fasse plus attendre. Mais la fourbe résiste et je redouble de machiavélisme : « Viens. Maintenant. ». Dis-je avant de la regarder ouvrir sa serviette et me narguer encore. Ma langue passe sur ma bouche, je me mords la lèvre, j’ai une crampe puissante dans le bas du ventre. Et en la fixant encore dans les yeux, j’enlève mon caleçon, tout doucement, avant de me redresser nu, dans la nuit, face à elle : « J’ai tellement envie de te faire l’amour Sage … et je sais que tu en as envie aussi. Ma bouche sur ta bouche, ma langue sur tes lèvres, mes mains sur tes reins ... Viens. Maintenant. ».




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