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Juliet, when we made love you used to cry - Sage

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✧ Hotel. ✧Sage & Noah

« Aie ! », merde, je venais de marcher sur une espèce d’énorme caillou. Et comme  un connard, j’ai oublié mes chaussures et ma chemise sur la plage. J’ai l’air d’un putain de narvalo avec cette dégaine de pauvre, que le pantalon et le caleçon pour m’habiller. Je ne sais même pas ce que j’ai fais de mon porte feuille, ma clope au bec se consume toute seule et je suis là à tituber sur le trottoir qui longe l’hôtel. J’ai trop bu. Je bois trop. De plus en plus fort, de plus en plus gros. Je n’arrive pas à mettre mes idées en place. Je n’arrive même pas à être à la fête. Ma mère que j’ai laissé à Amsterdam, les appels intempestifs de mon père … Je n’ai pas l’esprit tranquille. Alors je le noie. Comme un connard. Je n’arrive pas à m’amuser, et à cause de ça, elle cogne de plus en plus fort dans ma tête. Je n’arrive pas à arrêter d’y penser, elle m’obsède, elle me hante. J’ai l’impression d’avoir baissé les armes avec une résignation non maitrisée. Comme si le fait d’être malheureux venait être compensé par les moments de bonheur pur que je passe à ses côtés. Elle me hante putain. Depuis hier, avant-hier et tous les jours en remontant jusqu’à notre rencontre. J’ai une vague idée d’où se trouve sa chambre, je ne sais pas pourquoi je pense à y aller. Mais, je suis présentement incapable de me retrouver seul. Ni de me retrouver avec un tas de gens aussi ivre que moi. En fait non. Je suis juste incapable de ne pas être avec elle. Elle me manque, tout le temps, partout, c’est innommable, indescriptible. Elle me manque comme si j’avais besoin d’elle pour expirer l’air que j’inspire. Mais je ne veux pas être vu. Ça, même ivre, j’en ai conscience. Qu’on est dans une relation interdite, que je serais incapable de l’assumer en public. Alors, pour éviter la réception et des rencontres fortuites, je fais le tour de l’hôtel. Je grimpe un grillage avec bien de la peine avant d’atterrir par terre, sur les fesses. Un cri étouffé de douleur m’échappe tandis que je sers fort mes genoux dans ma main en essayant de me relever doucement. Plus de peur que de mal. Et face à moi toutes ces fenêtres. L’une d’entre elle est celle de Sage, je le sais. Là, au deuxième. J’attrape un caillou et tire une première fois, de toutes mes forces. Le cailloux atterris contre le mur et rebondit au sol. Un second, je tire, et je réussis à toucher une fenêtre. Je me baisse dans l’obscurité pour ne pas être vu avant d’avoir décidé de me montrer. Priant pour que ce soit Sage. Il est quatre heures du matin, j’espère qu’elle est là. Qu’elle est seule. Aussi seule que moi. La lumière à la fenêtre s’allume …




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Je prenais un bain chaud, la musique en fond, seule dans ma salle de bain, un joint à la bouche, je profite d'un moment d'apaisement en compagnie de moi-même. Le voyage m'a semblé trop rapide, sûrement parce que j'avais Noah avec moi et que je voulais passer encore et encore du temps avec lui.. Je savais qu'ici, de se voir serait compliqué.. De mon côté il y a Wade qui va arriver incessamment sous peu et qui n'apprécie pas du tout Noah ni même ma relation avec lui, je savais que je n'échapperait pas à une énième conversation avec lui où il dénigrera Noah du mieux qu'il puisse. Et, lui, de son côté, il avait tout le peuple Eliot contre moi, faut dire que je suis pas vraiment apprécié chez eux, le paintball, la soirée de bienvenue d'ici où j'ai sûrement dû casser le nez de l'une d'entre eux, mon plat que j'ai volontairement jeté dans la gueule de Tate aujourd'hui.. Ouais, clairement, je devais être leur ennemi juré numéro un à tous ! Je soupire en écrasant le cul de mon joint dans le cendrier et je me rince avant de m'enrouler dans une serviette. Je passe devant mon miroir, passant mes main sur mon visage et je fronce les sourcils en entendant un bruit aiguë dans la pièce à côté. - Bordel, c'est quoi ça encore ! Je grince des dents en me dirigeant doucement jusqu'au milieu de la pièce. Je regarde autour de moi.. Rien, le néant. J'hausse les épaules et tourne les talons pour retourner dans ma salle de bain quand j'entends le bruit d'un caillou s'écraser sur ma fenêtre. Je fais demi tour, ouvre les volets et je passe la tête pour regarder en bas. Je plisse les yeux, essayant de capturer quelque chose, quelqu'un mais je ne vois rien.. J'ai quand même pas rêver ! - Qui que tu sois, si tu casses cette putain de fenêtre tu payeras les frais de dégradation. Rétorquais-je simplement en attendant une quelconque réponse.

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✧ Hotel. ✧Sage & Noah

Dans ce tableau désastreux, où je suis à genoux, dévasté, il y a Sage. Sage au dessus, en dessous, à côté, partout. Ma condition me répugne, ma vie m’attriste et je n’arrive pas à garder calme la boule de bile qui grossis dans mon gosier. Je sens qu’à un moment où à un autre je vais exploser, tout défoncer, moi le premier. J’ai peur, tellement peur de ce qui pourrait arriver à mère. J’ai peur, j’appréhende, et y a cette voix taciturne au fond de mon crâne qui me dicte déjà le déroulement de l’histoire : elle va mourir, point. Je me mets une gifle tout seul à cette seule pensée, j’ai envie de hurler, de cogner les murs, dépecer ce grillage là face à moi. Je suis ivre, trop ivre, je le sais parce que je titube. Parce que j’ai cette migraine atroce et le fond d’estomac en feu. Je crois que la dernière fois que j’ai mangé c’était il y a deux jours au barbecue de mon équipe. Pourquoi je vais là, pourquoi je la cherche ? Je n’en sais rien. Etre avec elle, rien qu’avec elle. Lui hurler dessus, l’insulter, me moquer d’elle et de sa condition répugnante. N’importe quelle excuse de lâche pourvu qu’elle ne me laisse pas seul, pourvu que je sois avec elle. L’attachement que je développe pour elle est étrange. Je me l’interdis, de toutes mes forces, et pourtant il est là. Je l’insulte et je reste là. Je la méprise et je reste là. Je n’y peux rien, c’est comme ça, plus fort que moi. Et dans cette atmosphère de vacances, loin d’Harvard et du reste, j’ai l’impression d’être dans un autre monde. Un monde où, bien que caché, rien ne m’interdit d’aller jeter des cailloux à sa fenêtre à quatre heures du matin pour la réveiller. Sans savoir quoi lui dire, sans avoir rien à lui dire. Je n’ai pas besoin de ça, ma prétention justifie tous mes pas, même les faux : je suis là, parce que je suis Noah, quelle autre raison trouver à ça ? Je me baisse instinctivement quand mon deuxième caillou cogne la vitre et je la vois, superbe, apparaitre à la fenêtre. Je prends quelques fractions de seconde pour calmer mon cœur titubant, comme mes jambes qui manquent de me faire tomber quand je suis dans cette position inconfortable, accroupi. Et je reprends mon assurance, mon insolence, mon arrogance. Je me relève de ma cachette, torse nu, sans chaussure, et j’avance d’un pas nonchalant : « Je repaye toutes les fenêtres de cet immeuble si tu veux ». Prétentieux au possible, je penche légèrement la tête sur le côté et approche doucement vers sa fenêtre commençant dans un ridicule jeu d’acteur, ivre, absurde, à réciter la tirade du balcon de Roméo et Juliette revisitée : « Je vais escalader ces murs sur les ailes légères de l’amour », et j’avance en la fixant, insolent, sans aucune retenue, même quand je sais que ça lui fait mal que je parle d’amour comme on parle d’un jouet, « Car les limites de pierres ne sauraient arrêter l’amour, et ce que l’amour veut faire, l’amour ose le tenter ». Je m’arrête pile en bas de sa fenêtre arquant un sourcil en sa direction avant de faire une moue malicieuse : « Allons Sage, tu ne vas pas me laisser là, envoie moi un drap, n’importe quoi », droit dans les yeux, provocateurs, aguicheurs. Tout ce qu’il faut pour me faire détester. Tout ce qu’il faut pour ne pas avoir à lui dire à quel point j’ai envie d’être avec elle là, tout de suite.




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Moi qui pensait à me rouler un dernier joint et dormir comme un ours jusqu'à demain matin, bah pour le coup c'est bien raté vu le sombre connard qui s'amuse à jeter des pierres à la fenêtre de la chambre. Agacé, j'ouvre les volets en grands, cherchant une silhouette dans l'obscurité de la nuit, je plisse les yeux quelques secondes et je m'apprête à refermer la fenêtre quand une voix que je reconnaîtrais entre mille se fait entendre de nulle part. Je me rapproche sur le rebord de la fenêtre, penchant la tête en avant pour essayer de le voir, lui, mon démon, mon ange, est-ce que je rêve ? Est-ce mon esprit malsain qui me joue des tours ? Ma tête remplie de toi, de nous, de nos baisers qui veut me faire halluciner ? Et je t'aperçoit, là, planté à quelques mètres sous moi, je fronce les sourcils, pas de chaussure, torse nu, ta voix dégringolante par l'effet de l'alcool. Qu'est ce qu'il fout dans cet état ?! C'est la première fois que je le vois aussi.. Pathétique ?. Je soupire quand il commence à se la jouer Romeo et Juliette des temps modernes, ça me fait aussi légèrement rire de le voir comme ça ! Pour une fois que c'était pas moi la meuf déchirée dans notre "relation". - Je rêve ou monsieur le connard d'Eliot cache un coeur d'artichaut et est fan de Romeo et Juliette secrètement ? Lançais-je sur un ton plus que sarcastique en venant m'accouder au rebord de ma fenêtre. J'éclate doucement de rire pour ne pas réveiller tout le peuple autour de moi. - T'es donc en train d'insinuer subtilement que je suis la reine de ton cœur et que tu es fou de moi ? Je demande en souriant en coin. Il voulait parler d'amour ? Alors parlons-en. Je me redresse finalement en levant les yeux au ciel, putain les gens sous alcool c'était vraiment chelou vu du côté sombre, et comme c'est rarement le cas chez moi, ça me fait encore plus drôle. - Je t'offre ma porte, passe par là, c'est plus sûr vu dans quel état t'es ! J'avais joué les infirmières il y a pas longtemps déjà, mais s'il s'ouvrait le crâne en bas de ma fenêtre je ne saurais pas quoi faire et tout le monde pensera que c'est la petite camée de service qui a procédé au meurtre du richard d'Eliot imbu de lui même.

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✧ Hotel. ✧Sage & Noah

Pathétique, inconstant, rebelle attardé, adolescent pernicieux. Lâche et rebutant. Dans mon costume de chaire, délabré comme un garçon des rues, je déambule difficilement tant l’alcool rend mes pas démesurément leste. Tapis dans le noir, la peur sans être peur m’arrache un sourire cocasse, situation loufoque où je me présente pour la première fois face à Sage comme le plus abrutis des abrutis. Le roi des cons. Et quand elle hurle d’arrêter sans savoir à qui elle s’adresse, j’arrange ma voix suave d’une tonalité lyrique pour lui offrir le récital pathétique de quelques vers de Shakespear. Et j’avance vers elle, nonchalant, titubant. Les yeux humides, le regard flou, qui cherchent son visage splendide en souvenir : « J’adore Roméo et Juliette », et je soupire en souriant m’arrêtant sous sa fenêtre, tête levée vers elle : « N’en déplaise à ton aversion pour l’art, la littérature classique et les niais. Ils ne sont pas beaux parce qu’ils s’aiment mais parce qu’ils dépassent les limites et les interdits. Et ça, ça me connait ». Sous entendu faussement subtil, écho à notre propre situation. Et elle se joue de moi, de mon état, se moquant de mes prétendus sentiments envers elle. Je pouffe un rire nerveux hochant la tête, avant de la relever vers elle : « Je t’en pries Sage, ne me torture pas », moqueur, condescendant, évitant la réponse et les faux semblants. Mon œil provocateur, mon sourire narquois, je lui demande de me laisser monter. Tel que je suis là, je pourrais grimper. Je veux grimper. Idée fixe d’un mec bourré à moitié à poil dehors à quatre heures du matin : « Je n’ai pas envie qu’on me voit ! Il n’y a pas une autre entrée que l’entrée principale ? », Hors de question de prendre le risque d’être vu, « Et passe moi une cigarette ! », C’est moi qui demande cette fois. Tout est inversé, cette fois.




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Bon, finalement ma nuit ne sera pas torturé comme je le pensais.. De le voir, là, en bas de ma fenêtre, nous mettant dans la peau de deux personnages mondialement connus tout droit sortit d'une pièce de théâtre. Je rêve d'un amour semblable à cette comédie romantique, d'un amour aussi fort, aussi poussé, un amour qui nous mènera à la perte de l'un et de l'autre. Mourir pour l'un et l'autre. J'étais une éternelle sentimentale au fond, je rêvais encore du grand amour tout en sachant qu'il n'existe pas. Plus. Je souris en le regardant vanter les mérites de ce bonheur à l'état pur. - Hum.. Et ça te connaît en quoi ? Qui te fait dépasser les limites et les interdits monsieur d'Aremberg ? Je souffle dans un sourire narquois dans la nuit sombre. Je voulais pousser, pousser ses révélations au maximum.. On dit que c'est en étant en état d'ivresse que ressortent les pires vérités. Pourquoi pas tenter cette théorie ? - Te torturer ? C'est donc un torture que de n'avoir d'yeux que pour moi ? Je suis donc si déplaisante ? Je lance sur le même ton d'ironie en me redressant légèrement. Je soupire en levant les yeux au ciel, même là, il avait peur d'être vu. - C'est vrai, j'avais oublié le fait que t'as honte de moi.. Dis-je sur un air je m'en foutiste. J'arque un sourcil du haut de ma fenêtre et tourne la tête en direction de ma commode où se trouve mon paquet de clope. J'en attrape une pour la caler entre mes lèvres et je viens l'allumer. - Vient la chercher si tu la veux ! Je souffle la première bouffée de fumée blanche, laissant un nuage se transformer. - Y'a une issue de secours à ta gauche.

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Ivresse pathologique. Je commence à basculer. Du côté où l’alcool ne me contient plus, à l’inverse, j’exulte. Et demain je m’en voudrais. De mon état présent, des qu’en dira-t-on. Noah Arjen d’Aremberg vu à moitié nu sur la plage. Retrouvées, chaussures italiennes de Noah Arjen d’Aremberg. Aperçu Noah Arjen d’Aremberg scandant une tirade de Shakespear sous la fenêtre de Sage. Demain, je m’en voudrais. Et comme à chaque fois que je m’en veux, j’éclaterais la gueule de n’importe quel connard médiocre. Là, tout de suite, je n’ai qu’à moitié conscience de ce qu’il se passe. D’une manière exacerbée. Je me sens fatigué et complètement euphorique. Elle me teste de sa tour d’ivoire et je la nargue d’une réponse volontairement hypocrite : « Toi, voyons. Qui d’autre ? », Haussement de sourcil machiavélique, et je poursuis, faisant mine de me tenir le cœur quand je lui dis qu’elle me torture : « Arrête ça Sage, tu sais à quel point j’ai envie de toi, laisse moi monter ». Elle me propose de passer par l’entrée principale, mais même ivre, ça, je ne le ferais pas. Et quand elle dit que j’ai honte d’elle d’un ton ironique, ça m’interpelle. Quoi, elle Mather, n’a pas honte de fréquenter un Eliot qui la rabaisse ? Pour le moment, cette pensée m’échappe, mais je sais qu’une fois mon état stabilisé elle reviendra en trombe. Je quémande une cigarette, pour une fois, c’est moi le plus mal lotie des deux. Et elle en porte une à sa bouche me défiant d’aller la chercher : « Tu sais très bien que les issus de secours ne s’ouvrent que de l’intérieur. Viens me faire monter … », regard insistant, ouvertement coquin, provocateur.




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Je ne m'attendais à avoir de la visite, encore moins la sienne et encore moins dans cet état pitoyable. Alors, comme ça, les Eliot aussi aimé abuser de l'alcool.. Au fond, finalement la seule différence entre nous était leur compte en banque bien garnit et le nôtre où il n'y a que poussière et toile d'araignée. Seule différence, rien à leur envier, eux, par contre si. Ils devaient obligatoire refoulés leur vrais nature, leur relations amoureuses qui n'est pas dans la norme.. - J'ai toujours su que tu étais fou de moi ! Rétorquais-je sur le même ton de voix que lui, le narguant du haut de mon immeuble, là où il ne pouvait pas encore m'atteindre, là où mon assurance est encore à son maximum. Je fronce les sourcils à sa remarque.. Il avait donc envie de moi ? Sa manière douloureuse de me le dire, je sentais quand même dans sa voix un fond de vérité. J'affiche un petit sourire en coin, malicieux. - À quel point t'as envie de moi ? Prouve-le ! Le défiais-je alors en haussant légèrement la voix. Je lui donne le moyen de me rejoindre incognito en oubliant le fait que je devais descendre pour lui ouvre. Je recule légèrement, baissant la tête vers ma tenue. - Je suis pas vraiment vêtue pour venir t'ouvrir.. Une simple serviette enroulant mon corps. Je le taquinais, le poussant jusqu'à ses limites.

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Je déteste être dans cette position inférieure. Pour la première fois de notre relation, c’est Sage qui a le dessus. Moi qui suis ivre, à moitié à poil dehors à quatre heures du matin, à sa fenêtre, pathétique, entrain de l’implorer de me faire monter. Parce que j’ai envie de la voir. J’ai foutrement envie d’être avec elle et ça, je suis incapable de l’avouer. Elle me questionne et me teste, fort heureusement pour moi, j’ai une arrière ligne de conscience difficile à détronner même dans un état second. Et je la nargue de toute ma prestance, hypocrite (ou pas d’ailleurs), volontairement exagéré : « Je suis à moitié nu sous ta fenêtre et je t’implore, ô grande Sage, impératrice de mon cœur et de mes testicules, de me laisser accompagner ta nuit ». Et je feignais la blase et la résignation en lui disant d’arrêter de me torturer, en lui avouant d’un ton un peu trop sincère, un peu trop direct, que j’avais envie d’elle. C’est l’honnête qui fait l’assurance chez moi, parce que je passe rarement par quatre chemins pour dire les choses et ça, ça déstabilise souvent l’interlocuteur. Toujours perchée dans sa tour d’ivoire elle me fait mariner, et au fond de moi, j’adore ça, j’adore lui courir après : « Descends, je te montre à quel point … », et mon air coquin, et mon sourcil arqué. Je cesse de la regarder un instant, balayant l’environnement des yeux à la recherche d’une autre voie que l’entrée principale pour la rejoindre. Avant de reposer mes yeux sur elle. Et je me mords la lèvre de plaisir en la regardant reculer, me dire qu’elle ne porte pas la tenue adéquate pour venir m’ouvrir. Bon sang, ce que j’ai envie d’elle, en flèche, d’un coup, la comme ça. Je tends les bras en baissant la tête vers mon corps pour lui montrer que moi non plus, je n’ai pas une tenue adéquate : « On est deux ». Et je relève la tête vers elle, toujours le même regard provocateur, tandis que de mes mains je défais la braguette de mon jean noir : « J’ai envie de te baiser maintenant, tout de suite. Contre la porte de sortie de secours. Dans l’escalier. Dans le couloir. Dans l’ascenseur. Contre la porte de ta chambre. Cinq fois avant d’arriver dans ta chambre ». Et je descend mon pantalon lentement, sans la quitter des yeux, avant de me retrouver en caleçon devant elle, toujours aussi provocant et insolent dans le regard, narquois dans le sourire : « Et je recommencerais encore et encore, dans ton lit, par terre, sur le bureau, dans la douche, contre chacun des murs, sur toutes les chaises, jusqu’à ce que le jour se lève … ».




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Aaaaah, bordel ce que je pouvais aimer cette tête de con qui se trouve juste en bas de ma fenêtre, à des heures aussi indécentes dans un état de la même mesure et, ce que je kiff le plus dans cette relation stupide, désastreuse, c'est le fait d'être toujours autant surprise. Parfois en bien comme ce soir et souvent en mal.. Mais j'aimais ça, j'aimais le fait de ne rien pouvoir contrôler, de passer du tout au rien, du rien au tout avec lui, de ne pas pouvoir prédire ses faits et gestes, la suite des choses. Tout pouvait basculer d'une minute à l'autre entre nous, passer du rire aux larmes, des larmes aux rires.. Je bombe légèrement le torse fièrement en entendant sa mascarade, le sourire aux lèvres. - Hum.. Pas mal ! De ton cœur et tes testicules ? Ça fait beaucoup quand même.. J'ai autant d'emprise sur toi mon chère Noah ? Je rétorque en le piquant légèrement. M'amusant presque de cette scène complètement décalée. Et le sujet dévie sur ses envies du soir, sur ses envies de moi d'après ce qu'il dit, me demandant de descendre pour qu'il puisse me prouver ses dires. Je fais mine de réfléchir une seconde, regardant le ciel. - Non ! C'est trop facile si j'descends ! Je finis par dire en m'accoudant à la fenêtre et vient poser les yeux sur lui. Je penche légèrement la tête sur le côté et j'hausse les épaules. - T'es encore trop habillé à mon goût.. Je viens le défier de nouveau. Et il se met à déboutonner les boutons de son pantalon, je fronce les sourcils sans trop comprendre à quoi il joue, puis je regarde à droite à gauche, j'avais pas trop envie qu'il se fasse remarquer comme ça ! Quoi quuuuue.. J'aimerais bien en fait. Je l'écoute parler, imaginant faire l'amour avec lui dans chacune des pièces qu'il cite, je me mords la lèvre et je serre inconsciemment les jambes. Mon regard se pose sur son jean qu'il descend doucement, putain, j'ai tellement envie de lui maintenant. - Alors trouve un moyen de me rejoindre.. Je lance doucement en ouvrant à peine ma serviette laissant entrevoir quelques parcelles de ma poitrine. - Dépèche toi, je suis pas patiente..

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