Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityShe's the angel of small death and codeine scene - Sage - Page 2
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She's the angel of small death and codeine scene - Sage

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✧ Chez Sage. ✧Sage & Noah

L’étourdissement. Total. Je ne sais pas si c’est les coups de Wade ou le baiser de Sage. Peut-être un mélange des deux, qui là tout de suite, me rend nauséeux. Je prends tout à coup conscience que je suis dans sa chambre. Dans sa chambre, c’est sérieux. Je veux dire, tant qu’on s’envoie en l’air dans des endroits absurdes et sordides de la faculté, notre relation reste évasive. Elle reste intemporelle, fragile, éparse. Elle n’a pas d’emprise rationnelle sur mes émotions. Mais là … j’ai peur. Vraiment peur parce que je me sens bien. Trop bien, dans son lit, avec elle. Et c’est la raison pour laquelle je suis incapable d’aller plus loin que ce baiser. Complètement incapable. J’ai envie de chialer tant c’est douloureux de ne pas se laisser aller, tant c’est fatiguant d’être sans cesse dans la retenue des sentiments. Parce que les sentiments j’en ai, j’en suis sure, quand je la regarde là, de la manière dont je la regarde, je n’y coupe pas. Ça nait, ça vient, c’est là, ça nous prends au cou, ça nous embrasse. Ils arrivent ces putains d’enfoirés de sentiment. J’ai peur. Je me tétanise. Cristallise. Je la repousse sans vraiment la repousser, là, allongés à côté. Si j’écoutais Noah le connard, si j’écoutais celui que je suis pour tout le monde, que j’ai toujours été, je partirais là, de suite, sans rien dire. Juste, je partirais, comme une fuite en avant, un déni de réalité. Mais mes jambes sont incapables de me porter hors de ce lit. Pas plus que mon cœur. Alors, pour supporter l’insupportable attachement qui me lie à elle, je me tourne, en cuillère, sa main dans la mienne. Le corps rigide, crispé, le souffle haletant. Je ne pourrais pas dormir. Je ne pourrais pas partir. Je suis coincé et j’ai juste envie de crever. Et je sens derrière, sa bouche sur mon dos, son souffle chaud, je réprime les frissons. Y compris ceux procuraient par sa main sur le bas de mon ventre. Du bout des doigts, j’effleure son avant bras, tout doucement, et je prie pour m’éteindre avant de tomber amoureux. Là, encore une fois. Dans son lit. Putain je suis fou amoureux.



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Mon regard posé sur l'arrière de sa carrure, je me plonge dans notre univers, là où plus rien ne compte à part nous, là où je veux profiter de chaque seconde à ses côtés parce que je sais que demain rien ne sera pareil. Que demain il redeviendra aussi détestable qu'il peut l'être à son habitude. Que les mauvais côtés reviendront au galop rapidement. Qu'il ne restera pas comme ça éternellement.. Et la situation est tellement bizarre, je ne sais pas comment le prendre, c'est la première fois qu'on est côte à côte et qu'il ne me touche pas, est-ce une bonne chose ? Une mauvaise ? J'en sais trop rien. Je viens passer ma main libre dans sa chevelure, jouant avec, les yeux fermés, le mieux dans tout ça c'était sûrement de ne pas se poser de question. De vivre le moment présent tel quel ! De ne pas lui trouver de significatif ou autre parce que tout simplement il y en a pas.. Mon autre main continue de caresser son ventre, je sens ses doigts qui parcourent ma peau et j'en frissonne. Les miens courent le long de ses côtes lentement, remontant jusqu'à son visage, sa bouche.. Je voudrais photographier cet étreinte dans ma mémoire, m'en rappeler quand les bons moments ne seront pas au rendez-vous, quand il mettra mon moral au plus bas, quand il jouera habilement avec mes sentiments comme il le fait toujours. J'étais sa poupée de cire, sa marionnette dont il avait les total commandes.
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✧ Chez Sage. ✧Sage & Noah

Je me sens complet. C’est effrayant. Je ne me suis jamais senti aussi complet, aussi rassuré, aussi … bien. C’est insupportable. Je suis dos à elle et je n’arrive pas à fermer les yeux. Malgré la fatigue et l’épuisement de la soirée, malgré ma migraine, malgré la douleur lancinante de mon nez ecchymosé. Je n’arrive pas à fermer les yeux. Sa main qui parcourt mes côtes, son autre main dans mes cheveux. Je frémis. Je me demande à quoi on ressemble vu d’en haut. Deux amants ? Deux amoureux ? Deux pauvres cons ? Oui pauvres cons, c’est sans doute ça. On se satisfait du répit, se complet du silence pour éviter d’avoir à dire les mots qu’on n’osera jamais prononcer. Je suis bien avec toi, je ne te le dirais jamais. Je suis dingue de toi, je ne te le dirais jamais. J’ai envie de toi, je ne te le dirais jamais. Je crois que je tombe amoureux de toi, je ne te le dirais jamais. Et merde. Merde, merde, merde. Qu’est ce que tu fous Noah, ça ne te ressemble pas ! Et pourtant je n’ai aucune envie de partir. Aucune volonté. Mes jambes ne m’emporteront nulle part. Même là, à côté, collée à moi, elle me manque. C’est affreux, terrible, dangereux. Mon cœur ne sait pas aimer, il ne veut pas aimer, il n’aime pas aimer. Comment je survis moi si je me mets à avoir des sentiments ? Et ses doigts sur mon menton, sur mon bouche, me tire de mes songes d’une manière douloureuse. Mes yeux se crispent, j’ai tellement envie d’elle. On devrait dormir. Oui peut-être. Peut-être qu’on devrait faire comme si de rien n’était. Peut-être que ça finira par s’arrêter. Je ne supporte plus ses caresses, elles martèlent mon corps de mille et un frissons bouillant. J’attrape sa main et la décolle de mon visage. La contemple un instant avant de déposer un baiser sur le bout de ses doigts. La paume. Le poignet. Je finis par me retourner, m’allonger sur le dos, face au plafond. La tête penchée sur le côté, de biais. Je la regarde un instant, effrayé. Visage fermé. Sans rien dire là, je la regarde. Des yeux à la bouche, de la bouche au nez. Je décompose son visage. Et je fais mine de fermer les yeux. Tant tout ça est trop fort pour être ressenti dans mon pauvre corps d’abrutis pathétique.



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Et j'ai un sentiment bizarre qui se creuse dans ma poitrine, un sentiment de bonheur devenu trop rare presque inexistant jusqu'à ce que je fasse sa connaissance. Mais, là, tout était si différent, c'était notre première nuit ensemble, réellement ensemble, une nuit toute entière en l'ayant à mes côtés, comment vais-je pouvoir survivre à ça ? Déjà que mes journées me semblaient vide sans lui, maintenant au tours de mes nuits de souffrir de son absence. Je vais rapidement y prendre goût, j'y prends déjà goût en fait. C'est un supplice. Non, c'est tellement bon en fait. Je ne vais plus pouvoir m'en passer, je vais me perdre dans les ténèbres de l'insomnie après ça. Là, maintenant, c'est comme s'il chassait toutes mes peurs, l'esprit de mon père qui vient me hanter chaque soirs, c'est comme s'il était la barrière entre le mal et moi. Entre mes plus grands vilains secrets et moi. Et comment il réagirait s'il apprenait ce que j'ai fait ? Comment il me verrait s'il savait que j'ai du sang sur mes mains ? Il Va fuir. C'est obligé, c'est comme ça, qui pourrait aimer et vivre aux côtés d'une meurtrière ? Personne, pas même lui. Et c'est là qu'il me tire de mes pensées négatives en m'offrant le doux spectacle de son visage, de ses yeux se fermant doucement. Je n'ai pas envie qu'il dorme, qu'il me laisse seule éveillée, terrifiée de mes anciens mauvais souvenirs, de mes fantômes du passé. Me lâche pas, donne moi une nuit paisible pour la première fois depuis des lustres. Une nuit inoubliable. Je t'en supplie. Je me rapproche de lui doucement, posant ma jambe sur ses cuisses recroquevillées. Je viens poser mon front contre le sien, mon nez caressant le sien et je l'embrasse lentement..

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✧ Chez Sage. ✧Sage & Noah

Je déteste la sensation que j’ai dans le ventre. Les espèces de papillons malades, les crampes, la frustration, la gêne. Je me sens gêné, je ne supporte plus ses caresses, je ne supporte plus la situation, être là, à côté, c’est trop … douloureux. Douloureux, parce que c’est vrai. Parce que je le sais que je suis incapable de partir, qu’elle me plait, et je la déteste de me faire ressentir. Je la déteste d’offrir à mon cœur une autre finalité que celle pragmatique d’oxygéner le reste de mon corps. Je la déteste de me faire perdre mes moyens, de me mettre si mal à l’aise que je me sens obligé de fermer de les yeux. Fermer les yeux oui. Après le silence, le noir. Et c’était sans compter sur mes sens aiguisés qui tout à coup se mettent à tout diagnostiquer. J’entends son souffle lent, lourd. J’entends ses jambes qui bougent. J’entends mon cœur qui bat. Et je déglutis péniblement. Je me sens observé, je suis certain qu’elle me regarde. J’ai les yeux fermés, trop fermés pour que ça puisse paraitre naturel. Et je me maintiens, j’essaye de faire comme si de rien n’était quand je sens sa jambe venir se caler sur ma cuisse. Le tourbillon enivrant là dans mon ventre, la crampe, les papillons qui se transforment en guêpes. Je plisse les yeux plus forts comme s’il s’agissait du pire des supplices. Et en même temps je l’implore. Je suis incapable de dormir, incapable de disparaitre, incapable de réfléchir. Elle est là, tout autour, tout ailleurs s’est arrêté. C’est son front qui vient se poser contre le mien, ma bouche qui s’ouvre sans que je la commande récoltant son souffle maitrisé. Elle m’embrasse. Je me laisse embrasser. Je ne peux pas ne pas prolonger. C’est doux, c’est tendre, c’est … mon dieu, qu’est ce qu’il m’arrive. Ma main qui remonte dans son dos, entre ses deux omoplates pour venir appuyer, la plaquer plus contre moi. Mon autre main qui vient effleurer son menton, caresser sa joue, tenir son visage. Et nos baisers presque timides, incertains, délicats. Comme si on s’embrassait pour la première fois.



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Un premier doux moment entre deux êtres qui sont dépourvus de tendresse, qui ne connaissent que la voie du mal et des ténèbres. Qui aiment se détester, qui ne savent pas comment prendre l'amour, comme le dompter ni comment l'accepter. Parce que ça fait mal, autant que ça peut faire du bien, ça fait mal, on va s'aimer beaucoup trop, on s'aime beaucoup trop, on s'aimera beaucoup trop. Jusqu'à la folie, à la perte de conscience, de bon sens, d'humanité. On s'aimera jusqu'à en vomir, jusqu'à en chialer, à en baver, à en haïr l'autre.. Mais ce soir, j'ai juste envie de t'aimer, de me laisser bercer par les battements de nos cœurs beaucoup trop forts. Beaucoup trop rapide quand tu viens poser tes mains sur ma peau, quand tes lèvres s'amusent des miennes, et je m'approche encore de toi jusqu'à nous emboîter parfaitement. Les yeux fermés, je plane, je divague dans cet océan de bonheur. Je me laisse aller à nos gestes souples et délicats. Et ma bouche ne lâche pas la tienne, ma main vient se plaquer à ta nuque pour garder cette proximité. Je te veux. Oui, je te veux tellement.

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Perdu, las et là, dans ses draps de cotons, l’odeur de son parfum qui m’encercle de toute part. Mes yeux fermés noient mon esprit dans le trou béant de mon ventre. Reste là, enfonce toi, creuse encore, ne te débat pas. J’essaye d’efface autant que je le peux la sensation sordide que me procure cette situation. Perdition. Condamné. Lâche, empoté. J’essaye d’effacer et je crispe les yeux, je crispe la bouche. Je voudrais m’évanouir. Ne plus bouger. Paralyser. Disparaitre. Interrompre les battements tonitruants de mon cœur en papier kraft. Je suis condamné et je débarque dans l’asile de Cupidon. Sa jambe sur la mienne, son front contre le mien. Je sens dans son baiser toute la tendresse que je veux rejeter. La tendresse qui me répugne, qui me donne des hauts le cœur tant je déteste à ce point faire fondre la glace. Et pourtant elle fond. Je fonds. Là, devant elle, je suis tétanisé. Sans nul autre recours que d’obéir à mon instinct éminemment humain. Je l’aime je crois. Je ne résiste pas. Ma bouche sur la sienne, je danse des lèvres. On échange nos salives, nos souffles et nos soupirs comme si tout en nous hurlaient rien de ce que t’es ne m’appartiens pas. Tout est à moi, tu es à moi. Ma main qui caresse sa joue, tient son visage et mon corps qui percute sa soumission. Je m’emporte, je dévie, je divague. J’essaye encore de freiner. J’essaye encore d’arrêter. Je suis effrayé. Un chien de garde pathétique qui perd son costume de loup sauvage. J’interromps nos baisers, paniqué par leur ferveur et je la regarde dans les yeux. Bref instant de douleur. Je la regarde, je voudrais la rejeter, je voudrais la repousser, je voudrais dégager. Mais c’est impossible et je ressens une putain d’envie de chialer. Je cours à ses lèvres de nouveau, comme on court à la potence. Mon corps fragile l’appel, qu’elle se sert à moi encore plus fort. Mes mains qui l’agrippent comme si elle allait disparaitre sous mes yeux. Et d’un mouvement lent, trop lent pour être perçu autrement que comme un élan naturel, je pivote, et me retrouve à moitié sur elle. Ma langue dans sa bouche, mes mains de part et d’autre de son visage. Je la regarde encore, je n’arrive plus à fermer les yeux. Même quand on s’embrasse, je n’arrive plus à fermer les yeux. J’ai la tête qui éclate, je voudrais seulement dormir, m’étendre sur l’asphalte et me laisser mourir.



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Tellement de chose me passent par la tête, tellement que je n'arrive plus à penser, que tout s'embrouille, que les mots fusent à l'intérieur, que mon cœur est juste en feu sous les battements du sien. Et je suis complètement envoûté par son visage, si près du mien, trop près du mien pour que je ne perde pas mon âme. Clairement, j'avais vendu mon âme au diable. Mes maux, mes bleus au cœur s'étaient envolés quand je me suis retrouvé dans ses bras, quand il avait son souffle sur moi et quand il caresse mon visage. Rien ne vaut cette sensation là, rare, précieuse, inoubliable, irremplaçable.. Rien ne la vaut même pas tout l'or du monde. Je l'embrasse, les yeux fermés, naturellement, avec douceur, avec envie, avec amour. Je veux lui faire comprendre ce que je peux ressentir à ce moment-là avec un autre moyen que la parole, que les mots, seuls les actes comptent car il m'est impossible de mettre un mot sur ça tant c'est fort. C'est trop. Il me renverse sur le dos, venant s'installer à moitié sur moi, une jambe sous les siennes, l'autre à demie levée en dehors de son emprise. Je laisse glisser mes mains le long de son dos, jusqu'à son bassin ou la pression de mes doigts s'accentuent. Ma langue s'amuse de la sienne, lui tourne autour, la caresse, entrelacés, tout est tellement bon avec lui.

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✧ Chez Sage. ✧Sage & Noah

Elle est belle, putain qu’elle est belle, trop belle, bien trop belle pour moi, trop belle pour que ce soit soutenable ou supportable. Je la regarde et j’ai envie de mourir tant je la trouve belle. Son visage, son corps, tout, tout entier et je me sens insuffisant, et je me sens impuissant parce que quoiqu’on puisse faire, j’aurais toujours cette soif étanche, je voudrais toujours aller plus loin, l’union parfaite de ces deux êtres si imparfaits et si affreux. Quand elle est là, dans mes bras, elle me manque, ce n’est pas assez, je deviens fou, je pète les plombs, ce n’est pas assez et j’ai putain d’envie de chialer tant la frustration et la crampe dans mon ventre et entrain de m’éviscérer. Et je sens que c’est intense, trop intense entre nous ce soir. J’ai mal partout, et j’oublie tout. Je suis fasciné, scotché, obnubilé par les yeux et la bouche de Sage. Je sens que pour la première fois je perds le contrôle parce que, putain, je suis submergé par un marais de sentiments et d’émotions épars que je n’arrive pas à contrôler, que je n’arrive pas à sceller. Je regarde Sage et j’ai juste envie de mourir comme Roméo et Juliette, comme dans jeux d’enfants, ensevelit dans du béton parce que de toute façon, rien dans ce monde ne sera jamais suffisant pour nous supporter elle et moi avec notre amour pourris, atrophié, sale. Et ce carnage intérieur détonne de la douceur avec laquelle j’orchestre mes baisers. Quand j’ai sa bouche la sur la mienne, quand je nous fais pivoter et que je me retrouve sur elle à la regarder. Ses doigts qui pressent mon bassin contre le sien et ma tête qui finit par tomber dans son cou : « Tu me rends fou … ».



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