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Demoiselle en détresse {Millicent }

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C’était le début du Summer Camps. La fin d’Harvard et le début des vacances. Nate avait pris connaissance de son équipe et c’était avec une petite déception qu’il s’était rendu compte qu’il n’était pas avec Brent. Dans un sens, c’était mieux ainsi. Il aurait passé tout son temps avec son meilleur ami au lieu d’essayer de connaitre les autres membres de son groupe. Puis dans l’équipe 6 il y avait Edelweiss, Maëlys et quelque Winthrop comme Adam et Oliver. L’équipe était plutôt sympa et l’été s’annonçait plein de surprise. Nate était en train de boire un verre avec un petit groupe d’étudiant quand il attendit du bruit vers la ruelle. Curieux, il se dirigea vers cette dernière.
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Voilà maintenant quelques jours que tu avais posé les pieds sur le sol de la Nouvelle-Ecosse. Tu voulais profiter de ces jours de repos pour te ressourcer, ne plus penser à rien et surtout goûter aux plats locaux, découvrir de nouveaux paysages pour les prendre en photo. Armée de ton appareil qui était accroché à ton cou. Commençant à mitrailler chaque rue, chaque magasin et paysages quand soudain un homme inconnu t'aborde d'une façon totalement irrespectueuse. En passant son bras autour de toi. « Mademoiselle, vous êtes très jolies, puis-je avoir votre numéro ou un rendez-vous ? » Tu le regardes avant de commencer à le pousser de toutes tes forces. - Du moins, tu essayais dans le seul but de te débattre. - « Mais lâchez-moi, vous me faites mal. » En effet, celui-ci tenait tes poignets dans ses mains en les serrant très fort. C'est alors que tu commences à crier pour qu'on t'entende. Il était beaucoup plus fort, lourd que toi et tu ne faisais clairement pas le poids même avec tes cours auto-défenses.
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Quand il entendu crier, Nate mit tout ses sens en alertes, se précitant vers le son. Il ne lui fallut même pas une seconde pour reconnaitre la personne qui venait de criait. Millie. Elle était avec un homme un peu trop coller à elle à son gôut. Si elle criait c’était sans aucun doute car elle était contre. Le sang du McLaren ne fit qu’un tour, il envoya son poing en pleine figure de l’inconnu, avec force. Tellement avec force qu’il n’eut pas d’autre choix que de lâcher Millie. Nate l’attrapa et ôta la veste qu’il portait pour la mettre sur les épaules de la jeune femme. Il ne faisait pas vraiment froid, c’était plus par reflexe. Il passa un bras derrière elle pour la garder contre lui, la rassurer avec ce contact. Il porta un regard bienveillant sur elle, la couvant du regard, inquiet. «  ça va ? Tu n'a rien ? » Le cri de Millie résonnait encore dans les oreilles de Nathanael, rien qu’en pensant ce qui aurait pût arriver s’il ne l’avait pas entendu… Son sang bouillait dans ses veines. Il fallait pas être idiot pour deviner qu’il l’aurait sans doute violé. Jusqu’à présent Nate avait reporté toute son attention sur Millie car il se préoccupait avant tout d’elle et de son bien être. Mais quand l’espèce de connard, s’adressa à eux, il se rappela soudainement sa présence. «  Ça va ! T’a qu’à la garder ta pétasse ! » Pétasse ? Ah non ça allait pas le faire là ! Il ne laisserait personne la traiter ainsi. Nate lâcha Millie et s’avança vers l’inconnu pour le frapper de nouveau…  
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Voilà que le gars était collé à toi et te serait les poignets tellement forts que tu ne pouvais pas te défendre, mettre un coup bien placé. Tu avais cru que tu allais être bafouillée de tout ton être physiquement parlant pendant de longues années. Alors la seule solution que tu as eue était de crier de toutes tes forces pour ne pas laisser cette action se produire. Quand soudain, tu vois un poing partir dans la figure du type qui te draguer et voulait plus, l'obligeant à te lâcher. Il est indéniable qu'il t'avait laissé des traces sur la peau. Soudain, une veste vient entourer tes épaules pouvant mettre un visage sur ton sauveur. C'était Nate en personne qui met son bras autour de toi comme pour te protéger. Voilà le Nate que tu aimes et non le connard. Tu ne pouvais pas t'empêcher d'être encore colère contre lui, même si tu avais mis une certaine distance pour laisser cette douleur qui commençait à partir après l'avoir vu avec sa conquête. Ne pouvant pas parler sous le choc, tu fais non de la tête pour la deuxième question en tremblant comme une feuille, ne pouvant pas t'arrêter. Si ce n'est que ses poignets étaient drôlement marqués qui allaient sûrement devenir des bleus par la suite. Cherchant dans le regard quelque peu de réconfort jusqu'à ce que l'homme qui a essayé de forcer les choses te traitent de pétasse. Les mots mirent plusieurs secondes à aller jusqu'à ton cerveau quand Monsieur McLaren recommence à le frapper. Prenant ton courage à deux mains, tu commences à tirer Nate par le haut pour l'éloigner de l'individu. « Nate arrête s'il te plaît, il attend que ça. Laisse tomber, il n'en veut pas la peine. » Néanmoins, tu étais réellement touchée par ce geste qu'il te protège ainsi comme autrefois.
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Sous les coups de Nate, l’homme c’était retrouvé à terre. Nate frappait. Frappait. Frappait encore. De toutes ses forces, de toute sa rage. Il n’était pas faible, ce n’était pas lui sous les coups, c’était lui qui les donner. Alors qu’il abattait encore et encore son poing sur cet homme qui avait pensé à salir sa Millie, il se revoyait enfant, adolescent, tétanisé à l’idée que cet homme qu’il avait longtemps appeler papa décide de nouveau abattre sous courroux sur lui. Il ne pouvait pas se défendre. Il ne pouvait pas en parler de peur qu’on le traite de menteur, d’ingrat. Après tout il était son père, il devait l’aimer. C’était ainsi. Tous les enfants agissent ainsi, ils aiment leur père. Si Nate voulait être comme les autres enfants, être normal, il devait aimer son père et l’acceptait malgré sa violence. C’est ce qu’il avait fait. Il avait accepté sans rire dire, même pas à Millie. Mais aujourd’hui il était adulte et capable de rendre les coups. Aujourd’hui il se déchainait sur cet homme, comme il aurait aimé le faire avec son père, comme il l’aurait fait s’il n’avait pas était un enfant, un être vulnérable face à un alcoolique sans cœur. Alors il continuait de frapper, encore et encore, oubliant Millie et tout le reste, submerger par la colère qu’il avait envers cet homme qui était mort sans même lui adresser les excuses que Nate aurait mérité…  
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Alors que tu tentais de calmer Nate, ce dernier se déchaînait encore plus sur l'homme qui avait essayé de te bafouiller. Commencer presque à te faire peur en voyant se défouler sur l'individu avec autant de violence. Malgré le fait que tu le tire ne change rien puisqu'il continuait à donner des coups. Que faire, quoi dire Nate dans le seul but que l'homme de vingt-trois ans se calme ? Tu te mets alors en face de l'homme qui avait essayé de te faire du mal et du Winthrop, attrapant ses mains de force dans un sale état. Tu savais qu'il faisait ça à cause de son père qui l'avait battu. Commençant à le tirer de toutes tes forces en lui tenant fermement les mains pour qu'il ne s'échappe pas, histoire de le tenir hors de ce connard. « Nate, je suis en vie, il m'est rien arrivé. calme-toi s'il te plaît. » Tu essaies de capter son regard pour qu'il se calme, car là, c'est toi qui avais besoin de lui et vice-versa.
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La première fois que Millie c’était adressé à lui, le jeune McLaren n’avait pas prit conscience du fait qu’elle s’adressait à lui, de sa présence. Mais quand elle se mit à le tiré avec force, s’adresser de nouveau au jeune homme. Cette fois, il sortit de sa transe. Son poing resta en suspens jusqu’à ce qu’il ne laisse mollement tombé sa main. Il était visiblement choqué. Il s’était laissé emporter par ses sentiments, car il avait gardé en lui bien trop longtemps sa colère. Cet évènement «  anodin » si on peut dire, avait déclenché quelque chose en lui qu’il avait beaucoup à comprendre ou même à justifier. Millie chercha son regard, craignant que ses mots ne suffisent pas à le calmer. Mais ça avait suffi. Nate n’était clairement pas dans son état normal. Il jeta un regard à l’homme toujours au sol qu’il avait clairement salement amoché. Il commençait déjà à voir plusieurs bleus. Son nez était probablement cassé et son arcade pissé le sang. La colère du McLaren était retombé et il semblait horrifié par ce qu’il venait de faire… Il regarda ses mains, abimé, couverte de sang, visiblement choqué. «  Qu’est-ce qe j’ai fait… » Murmura-t-il avant de se mettre à pleurer…
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Tu étais en train de tenter de le calmer comme tu le pouvais. Tu avais tenté de lui tenir les mains pour qu'il se calme en captant son regard. Cela semble marcher puisqu'il te regardait avant de s’effondrer en larmes. Sans attendre une seule seconde, tu viens te blottir contre lui, mettant tes bras autour de lui et c'est maintenant à toi de craquer, mais silencieusement. Tu commençais à réaliser que tu avais failli y passer enfin surtout au niveau de ta dignité. Séchant tes larmes avant de mouiller le tee-shirt de Nate, tu commences à lui caresser le dos pour le réconforter et te décolle de lui. Tu avais les yeux rouges, mais ce n'était pas important. Posant tes mains sur chaque joue du Winthrop, tu lui caresses celle-ci à l'aide des pouces pour sécher les larmes du garçon de vingt-trois ans. « Je suis là, tu n'es pas comme lui. » Dis-tu en faisant référence à son père qui l'avait frappé. Maintenant fallait que tu passes au commissariat afin de porter plainte, mais tu n'avais franchement pas envie d'y passer toute l'après-midi.
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Tu n’es pas comme lui… Précisément les mots que Nate avait besoin d’entendre. Il n’avait pas du tout envi d’être comme lui. Son père adoptif était mort depuis presque un an maintenant mais il n’en avait toujours pas fini avec lui. Ce qui lui avait fait subit continué de la hanter. Parfois Nate s’en voulait de le détesté autant, de ne pas arrivait à oublier. Si seulement il y avait pût avoir une formule magique qui l’aurait aidé à garder en mémoire que les bon moments. Parce qu’il y en avait eu… Ils avaient été ternis par les mauvais, mais des bons il en avait eu. Pas autant que les Wesaley, mais il en avait eu. Les mains ensanglanté, il était dévasté parce qu’il venait de faire. Il essuya ses larmes et regard l’homme qu’il avait frappé avant de regarder Millie avec un regard plein d’espoir. «  Tu crois ? » demanda-t-il en y croyant à peine. C’était là sa plus grande peur : être comme lui ! D’abord l’alcool en septembre dernier et maintenant la violence…  Il craignait que ce soit génétique, que ce soit son destin. Les chiens ne font pas des chats. L’homme au sol se releva, visiblement il ne voulait qu’une chose, partir au plus vite. Nate aurait de la chance s’il ne portait pas plainte. Le McLaren le laissa partir et se massa doucement le poing.  
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Tu étais totalement sûre de tes propos que Nate n'était pas comme son père adoptif, car il ne battait pas personne et surtout pas les enfants. Logique, vous allez me dire puisqu'il n'en a pas. C'est juste là que Monsieur McLaren t'avait défendu, car il devait tenir à un minimum à toi et en faisant ça, il avait pu croire qu'il avait agi comme lui. Ayant gardé tes mains sur ses joues, tu essaies de le réconforter grâce à ton regard qui était compatissant, mais il y avait aucune pitié, mais juste l'envie de l'aider. « Je ne crois pas, je suis sûre Nate. » En disant ses mots, l'homme qui s'était fait frapper se relève et part en courant. Maintenant reste plus qu'à espérer qu'il ne porte pas plainte. En voyant le poing ensanglanté ainsi que gonflé du brun aux yeux verts, tu l'attrapes doucement et sort de ton sac, un mouchoir que tu poses autour de sa main. « Vaut mieux qu'on rentre à l'hôtel si on veut soigner ta main. » Bien sûr, il n'y avait pas d'arrières-pensées derrière la tête juste une envie de s'occuper de lui et vice-versa peut-être comme autrefois. Il n'était pas obligé d'accepter non plus.
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