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Nudistes nous ? Non, juste complètement torchés | Nate&Booby

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Nudistes nous ? Non, juste complètement torchés…

Eden, Bobby & Nate.



• A la base, j’étais parti pour passer une bonne soirée. Le thème était plutôt bien choisi je trouve. Soirée au bord du lac en sous-vêtement. Bon, pour les garçons, c’était plutôt banal, un boxer et voilà, ont allaient pas se ramener avec un vieux slip de grand père ou bien un string, ont auraient vraiment eu l’air… Bizarre. Mais, ce qui était de bien dans cette soirée, c’était les filles, ouais, elles aussi avaient eu l’obligation de venir en sous-vêtements. Encore mieux qu’un sac remplis de drogue, encore mieux qu’une demande en mariage, que la mort d’un dictateur, une ribambelle de filles se déhanchant en sous-vêtements, c’était limite une boite de strip-tease grandeur nature au bord du lac. Putain, à la base, je pensais appréciais cette soirée. Au fond, je savais que j’allais regarder deux trois filles sans aller les accoster. Je n’étais pas seul, et, la jeune femme qui m’accompagnait prenait plus de place dans mon cœur que toutes ces filles faciles prêtes à vendre leurs culs contre un paquet de gâteau ou un verre de bière. Je savais très bien qu’avec elle, j’allais passer une très bonne soirée, et, une très bonne nuit par la bonne occasion. Tout avait bien commencé, ont étaient là, au milieu de cette soirée à se chauffer doucement avant de rentrer se donner l’un à l’autre, mais, une personne était venu tout chambouler. C’était comme si il avait pris une mini bombe à retardement et que sa cible avait était la belle Eve. A ce que je comprenais, c’est qu’il était un de ces ex, celui qui lui avait pris sa virginité, et surtout, celui qui c’était cassé ensuite. Bon, sur le coup, c’est vrai que je trouva ça pas très cool, mais, par la suite, ils commencèrent à se prendre la tête, me laissant pour seul distraction mes mains posés sur le postérieur de la petite rousse mais aussi ces lèvres par moment. Ils étaient là, en train de déballer de vieux dossier sans vraiment chercher un coupable, mais plus en s’envoyant des pics. Merde, qu’est-ce que je foutais là moi ? Et surtout, pourquoi lui il c’était ramené, j’avais juste envie de passer une bonne soirée. Je connaissais Eve, et, même si elle venait de me dire qu’on allait finir ce qu’on avait commencé, je savais que quelque chose allait clocher. Je le voyais dans son regard. Certaines personnes auraient pu nous prendre pour un couple, d’autre pour des étudiants qui s’envoyaient en l’air, mais, je savais très bien que c’était plus que ça. La petite rousse était avant tout une très bonne amie pour moi, et j’avais appris à la connaitre, à savoir quand quelque chose n’allait pas. Elle n’avait pas besoin de le dire, je le savais. Je le sentais dans sa voix, dans sa façon de se comporter. Je n’allais pas péter la gueule au jeune homme qui était face à nous, après tout, ça aurait plus foutu la merde qu’autre chose, alors, le seul moyen que je trouva, c’était de la serrer un peu plus contre moi, caressant doucement ces cheveux, comme pour la réconforter, lui faire savoir que tout ça c’était du passé. Bon, au début, ça a fait son effet, mais, lorsque l’autre gigolo à côté commença à s’excuser, c’était finit, j’avais beau la serrer contre moi, ça marchait plus et je voyais très bien qu’elle n’allait pas tarder à craquer. C’est vraiment émotive une fille… Et là, elle se détacha de moi, commençant à marcher à reculons pour ensuite se retourner et disparaitre un peu plus loin, sur un banc… « Je vais vous laisser… J'ai eu trop de choc d'un coup... Et Nate, t'es pas obligé de me suivre. » Moi qui était prêt à proposer une bière à Bobby pour se comporter en adulte, oubliant le passé, là, c’était foutu. Il ne m’avait pas l’air bien méchant ce bonhomme. Alors, soupirant lorsque je vis Eve partir, je tourna mon attention vers lui. •

« Je t’aurais bien proposé une bière pour que vous puissiez essayer de tirer un trait sur le passé, mais, vu comment Eve est là, je crois que va falloir attendre un peu… Laisse-moi cinq minutes avec elle et après, on va se la faire cette bière. »

• J’aimais pas ce genre de conflit, ces trucs qui partaient en couille à chaque phrase, moi, j’étais le genre de gars qui ne se prenait pas la tête et qui vivait l’instant présent, et là, voir Eve partir comme ça, ça m’avait bien fait chier. Alors, comme je venais de dire, j’allais la rejoindre. M’asseyant sur le banc à ces côtés, je la pris dans mes bras après avoir essuyer ces larmes. Je crois que depuis que je la connais, c’est la première fois que je la vois pleurer. Caressant doucement le dos de la belle, je lui chuchotai à l’oreille. •

« Pleure pas, tu vaux bien mieux que ça… Sèche tes larmes et vient, on va lui montrer que t’es bien plus intelligente que ça… Tu lui donnes raison là en te montrant comme çà Eve. On va y retourner, on va boire un verre avec lui, on va lui montrer que tu es heureuse et voilà, après on se casse. Mais, ne pense pas au passé, c’est loin derrière toi tout ça… »

• Voir Eve dans cet état-là ne me plaisait pas trop. J’étais habitué à la petite rousse qui rigolait pour un rien, celle qui souriait tout le temps, celle avec qui je pouvais rire tout simplement, pas la Eve triste comme je la découvrais se soir… •
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Nudistes nous ? Non, juste complètement torchés… feat B. Ève-Skye Kennedy & Nate M. Davis
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Je me demande bien pourquoi je suis encore ici a continué de penser à tout cela. Je perdais mon temps et je me disais que je devais arrêter de penser au passé car, cela allait me tuer a force. Ève n'était plus si importante a mes yeux a présent. J'avais tout le bonheur du monde dans les bras d'Adrianna et ce que je lui avais dit n'étaient que du bonus je n'avait rien à perdre. Elle a préféré fuir la situation comme d'habitude et cela commençait a devenir chiant très chiant trop chiant. Pleurer c'est sympathique deux minutes, mais il faudrait penser a grandir et a affronté les fantômes du passé comme ceux du présent. C'était bien trop facile de faire des choses puis de ne pas les assumer. Moi j'assumais tout et s'il fallait faire de la tôle et finalement tuer ma carrière avant même qu'elle commence j'étaie prêt a faire ce sacrifice pour qu'elle ne puisse pas me faire chanter dans l'avenir avec cette histoire une fois que je serais connu. Quelle balance tout à la presse people parce qu'elle n'a plus un rond. Son papa va finir par être comme moi. Par avoir les mêmes réaction et sentiments. Il va la délaisser comme moi car, ce n'est finalement rien de plus qu'une gamine immature qui ne mérite pas un tiers de l'attention que moi et ce blondinet on lui accordaient. Je lui ferais un procès pour diffamation car, elle n'a aucune preuve et au final c'est elle qui serait dans la mouise. C'est sans doute un bon plan de défense si cela devait arriver. Après avoir joué ma plus belle partition de violon pour l'amadoué je m'apprêtait a joué la partie la plus sombre de mon requiem. Mais ça c'était avant que ce blondinet me propose une bière comme si ici il n'y avait pas assez d'alcool pour tenir toute une soirée ! De qui se foutait il ? Je me tournais puis suivi le blondinet avant de les retrouver tous deux sur un banc j'étaie très remonté contre elle et contre ses réactions de gamine qui se vexaient pour trois fois rien ! J'allais être franc cette fois et me comporter comme le plus gros chien de l'univers si ça pouvait au final la rendre plus forte et moins fragile d'entendre autres choses que de belles paroles venant de moi. Je m'approche d'elle et je lui relève la tête d'enterrement qu'elle fait et ce n'était pas pour la réconforter soyez en sur avec ce qui va suivre.

- Je ne pensais pas un traître mot de ce que je t'ai dis tout à l'heure au fait ! Je l'aurais pensé si tu n'avais pas eu ces réactions de gamine pourri gâtés a qui on a refusé un jouet. Tu veux savoir la vérité sur notre relation ? J'étaie un mec un vrai ! Un vrai chien de Brooklyn ! Je ne t'aimais pas j'en avais rien à foutre de toi ! Je voulais seulement me vider en toi comme dans une vieille chaussette ! Tu croyais vraiment que j'étaie une exception et que Brooklyn ne m'avait pas consumer moi aussi ? Non je suis moi aussi un gros salopard seulement un genre différent. Le récital que je t'ai fait pour te voler ta virginité je l'avais déjà sorti à plus d'une il n'avait rien d'original. Ouais c'est triste, mais réel tu venait à Brooklyn pour te faire trouer comme la dernière des catins riens de plus pas d'amour je profitais juste de toi et de tes deux gros seins qui te sers de cerveau ! À présent tu es une femme enfin je crois cela en a pas l'air en tout cas ! Donc tu dois savoir la vérité et si cela peut te rendre plus forte dans ta vie de tous les jours a affronter d'autre vérité encore plus cruelle que celle la je suis très heureux de t'avoir rendu service petite ! Car oui tu es petite ! Tu n'es rien d'autre a mes yeux a présent que la catin que j'ai trouer sans pitié et sans sentiments aucun seulement pour m'amuser ! Je t'ai exploitée et je vois que depuis que t'a goûter au sexe tu as l'air d'apprécier cela avec blondinet ! Malgré tout je ne suis pas ingrats et je vais te remercier d'avoir crachée la tune pour me faire sortir de temps a autres pour pas dire tout le temps de mon internat de Brooklyn. Oui là aussi quand je sortais dehors la nuit en boite et tout ça tu crois que j'allais au toilette pour faire quoi si c'était pas pour goûter à la chair d'autres que toi ? Pendant tout ce temps et c'est une triste réalité tu n'a été que mon compte en banque sur pattes ! La encore comme ton corps j'ai exploité ton argent de ta riche famille. Je t'ai autant arnaqué que ton papa qui arnaque ce pays chaque jour de sa misérable vie de riche ! Tu croyais me connaitre ? Ba non ! Tu te voilais la face du début à la fin je ne suis pas le gentil garçon que tu crois, mais bien le plus gros salopard que tu ne croisera jamais et ça je peux te le garantir ! Les gens appellent ça joué avec les sentiments des autres et c'est exactement ce que je fais avec toi ! Je te fais pleurer et rire à ma guise ! Je te manipulais a mes yeux tu n'étais rien d'autre qu'une marionnette riche ! Tu peux te pincer en croyant rêver, mais tu t'apercevra très vite que ce que je viens de te dire est réel et que j'en ai cruellement rien eu a faire de toi et que j'en ai toujours rien à faire puis ce que comme tu le constates je fais ma vie et toi la tienne. A présent que tu connais mon vrai visage fait ce que te dis ta tête et moi je ferais ce que me dis la mienne ! Crache moi a la figure si ça te fais plaisir ou autres choses mais ça ne changera pas la vérité ! Et la vérité c'est que tu n'est a mes yeux qu'une pièce d’échiquier parmi tant d'autres que j'ai exploiter pour respirer et sortir un peu de l'enfer de Brooklyn ! Je t'ai promis monde et merveille ! Je t'ai promis une famille et tous le bordel ! Je t'ai promis de vivre toute ma vie avec toi et tout le blabla mais ce n'étais la encore que des illusions ! Maintenant ! A présent que tu connais mon vrai visage fait ce que te dit ta tête et moi je ferais ce que me dit la mienne ! Crache moi à la figure si ça te fait plaisir ou autres choses mais ça ne changera pas la vérité ! Et la vérité c'est que tu n'es a mes yeux qu'une pièce d'échiquier parmi tant d'autres que j'ai exploité pour respirer et sortir un peu de l'enfer de Brooklyn ! Je t'ai promis monde et merveille ! Je t'ai promis une famille et tout le bordel ! Je t'ai promis de vivre toute ma vie avec toi et tout le blabla, mais ce n'étais une fois encore que des illusions ! Maintenant ! À présent tu possède des raisons de pleurer vraiment Ève plus tôt que pour des gamineries. Je suis très heureux de te voir triste ça procure en moi une satisfaction rare mais intense car, dans le fond je n'ai pas été le seul a t'avoir tu m'a eu aussi, mais comparer à moi c'était très très très léger ! Et tu n'étais pas une grosse perte loin de la ! Enfin tu es toujours un gros boudin patapouf donc en fin de compte si on peut le dire que tu était un poids pour moi plus qu'autre chose. J'aurais préféré avoir le compte en banque seulement pas le boulet qui allait avec ! Hé oui Ève ! J'ai joué avec toi ma plus belle partition de bluff et de disquettes jamais glisser à une fille pendant un an. Bientôt j'aurais tout l'argent dont j'ai toujours rêvé et que je n'ai jamais eu ! À côtés de ce que je vais gagner en jouant au Basket mes un an de relation a tes côtés ce sera du bombons ! Ce sera bien maigre ! Si cela a été toi plus tôt qu'une autre c'est parce que les filles bien plus magnifique et âgés que toi de Brooklyn sont fauchée ! C'est mon temps et je vais dominer le basket mondial pendant que tu sangloteras devant ta télé comme la gamine que tu es en te mordant les doigts de l'erreur que tu as fait ! Je construirais des châteaux dans le ciel et me bâtirais un empire pendant que tu pleureras toutes les perles salée que ton pauvre corps de catin a a offrir ! Ne m'en veut pas blondinet je suis simplement un homme ! Alors, je pense comme un homme ! À présent tu possèdes des raisons de la réconforté pour de vrai !

Je recule d'un pas puis de deux puis je la regarde méchamment avec un sourire narquois digne du plus grands fils de pute de l'univers qui viendrait de dévoiler des projets pour détruire le monde. Je tourne alors mon regard sur le blondinet qui semble énerver en lui disant de venir s'il a un soucis a réglé avec moi.
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Tirer un trait ? Cette perspective me semblait envisageable malgré mes larmes. Il fallait que j'aille de l'avant afin de m'améliorer et peut être renouer des liens avec Bobby. De plus Nate m'avait toujours été d'un excellent conseil, et ne me négligeait jamais et prenait systématiquement en compte mes sentiments. J'affichais un sourire où persistait encore un peu d'amertume que je tentais au fur et à mesure que nous marchions, de dissimuler. Il fallait que je sois cette adorable rouquine qui n'hésitait pas à se tourner en ridicule afin de faire rire, et de se faire aimer. Cette jeune fille qui avait le cœur sur la main, si bien que certaines personnes en abusaient sans une once de remord... Je me blottissais encore plus contre lui, en quête de réconfort. On reste vraiment pas longtemps, hein ? m'assurais-je avec crainte. Juste le temps de boire un verre, pas plus, sinon je risquais d'être que trop émotive. La hauteur des talons avec lesquelles j'avançais mettait à rude épreuve mes chevilles, et j'essayais de mon mieux de l'ignorer, m'appuyant un peu plus sur son bras. Ses gestes, tout était parfait. J'adorai cet homme qui était un ami inestimable que j'espérai ne jamais perdre : il s'agissait à la fois du meilleur des amants et d'un véritable confident. Je remerciai le destin d'avoir organisé notre rencontre, qui sans elle, ma vie serait bien moins agréable.

Nous nous rapprochions un peu trop à mon goût de Bobby dont le regard me dissuadait de faire un pas de plus. Pourquoi avais-je la terrible impression que les représailles n'allaient pas être une partie de plaisir. Me trompais-je ? À peine arrivée à sa hauteur, sa voix s'élevait pour débiter un long monologue dont la justesse était absente et dont la vulgarité était au rendez-vous : j'eus le droit à être insultée de catin à plusieurs reprises, de grosse - il était vrai que je n'étais pas d'une minceur extrême - et autres joyeusetés. À quoi cela lui servait-il de changer de version ainsi ? De passer de la gentillesse à la cruauté incarnée ? Cette bipolarité était tout simplement inquiétante et mériterait d'être examinée de plus près par un tiers spécialisé en la matière. Il avait un don pour parler de chose qui n'avait strictement rien à voir avec la situation : qu'il laisse mon père où il est ! Même si ses paroles me dévastèrent aussitôt, j'affichais une expression tout à fait indifférente tout en écoutant les battements du cœur de Nate, l'oreille posée sur son torse si parfait, et je serrais de toutes mes forces sa main. Je ne voulais plus lui donner sa vile satisfaction qu'était celle de me voir abattue... Après avoir reprit une profonde inspiration et refouler les larmes qui menaçaient de refaire surface, je me faisais le saut de l'ange en relevant les incohérences qu'il commettait.

Il y a quelques minutes, j'étais la manipulatrice dans l'histoire...
murmurais-je tout en soutenant son regard.
Et désormais, je n'étais que ta marionnette. N'as-tu pas l'impression que tu t’emmêle les pinceaux ?
Son manque de logique m'était insupportable, alors que j'étais censée être la plus sotte des deux, cherchez l'erreur. J'entortillais une mèche de mes cheveux flamboyants autour de mon doigt tout le détaillant avec neutralité. Que croyait-il ? Que j'allais fondre en larme ou encore le supplier me reprendre ?Je ne vois pas en quoi mon père arnaque ce pays, il fait simplement ce pourquoi il est payé. Il a toujours été aimant envers sa famille, à l'écoute de ses enfants et un véritable exemple de bonté. S'il te plait, laisse-le en dehors de ça. Cet homme, je l'admirai pour son ouverture d'esprit et son côté optimiste. Il a longtemps été le seul à croire en moi, à espérer que je devienne brillante un jour... Après un bref soupire, je continuai. Attaquer sur le physique n'est pas très fin. T'aurais pu trouver mieux. Surtout à une femme ! L'on ne dit jamais à une jeune fille qu'elle est grosse, au grand jamais ! À vos risques et péril, Messieurs. En attendant, le gros boudin comme tu le dis si bien n'en a rien à faire de ce que tu peux penser de lui. Quelques unes de ses paroles me revinrent : « pendant que tu sangloteras devant ta télé » Pour quelle raison ferais-je cela ? Je ne voyais pas en quoi son ascension dans ce milieu pouvait me détruire. Je ne pleurerai que s'il s'agit d'une grosse perte, comme lorsque mon chien s'est enfuit, mais pas parce qu'un type sans aucune suite dans les idées qui m'a fait du mal par le passé, soit reconnu dans ce milieu.

J'en avais terminé : je n'attendais plus qu'une chose qui était de me faire réconfortée par Nate.


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• Qu’est-ce que j’en avais à foutre de sa gueule à ce blaireau sorti tout droit d’une série télévisée qui n’a pas marché ? C’est le genre de gars que tu vas croiser dans la rue mais tu ne vas pas faire attention à lui, c’est celui qui aura la grosse tête juste parce qu’il se sera acheté une nouvelle paire de chaussure et qui ne se sentira plus pisser. Le frustré de la vie sans trop d’envie qui passera sa vie accroupi. C'était ce genre de gars que je ne pouvais pas voir en peinture, ceux qui se prenaient pour des rois, pour des dictateurs ou autre merde du genre. Ce branleur là c’était le genre de bonhomme qui se pensait supérieur aux autres, qui se croyaient le plus beau, le plus fort, le plus intelligent, le plus beau parleur, le plus fantastique, le gars qui pourra ramener n’importe qu’elle fille dans son lit, bref, le gars vraiment lourd, celui qui va te donner envie de lui prendre la tête et de lui frotter contre un mur de béton. J’étais loin d’être le genre de gars à me prendre pour un ouf, à penser être supérieur à tout le monde et à regarder les gens de bas en haut. Mon problème à moi c’était peut-être que je m’en moquais plus qu’autre chose, mais, une chose était sûr, c’est que je détestais qu’on parle aussi mal à des personnes que j’appréciais, et j’avais envie d’une chose, lui foutre la phalange de mon poing contre son putain de nez ensanglanté et le balancer à l’eau pour qu’il se fasse bouffer par des piranha. J’aimais pas les gars comme lui, et, même si j’avais voulu faire un effort en prenant une bière avec lui et Eve, je me rendis vite compte qu’il en avait rien à foutre de la bière et que ce frustré de la vie venait d’être vexé comme pas possible par ce que Eve lui avait dit avant d’aller sur ce banc ou je l’avais rejoint. Ce mangeur de pain était revenue à l’attaque tel un chien enragé, du moins, c’est ce qu’il devait croire, dans sa tête, lorsqu’il se trouvait face à nous, il devait surement se sentir puissant, penser être comme Sangoku, avec sa putain de veine sur le front, sauf que ce n’était pas ça du tout, là j’avais plus l’impression d’avoir un petit caniche qui aboyait devant moi, çà en devenait même risible car il était là, en train de se taper son monologue, truc bien chiant quoi. J’avais limite envie de lui donner de l’argent, qu’il aille s’acheter une bière, baiser une pute, prendre de la drogue, finir perché dans un arbre et qu’il ne nous casse pas plus les couilles, car là, il commençait vraiment à devenir lourd. •

• Ce connard osait insulter Eve. Putain j’avais vraiment envie de lui rentrer un tronc d’arbre dans le cul et de le faire ressortir par sa bouche, faut vraiment qu’il fasse gaffe à ce qu’il dit ce putain d’abruti inconscient. Voilà maintenant qu’il la traire de grosse et j’en passe… Faut vraiment qu’il se détende ou alors il va faire trois ou quatre tour dans son slip ce branleur de première. Il devenait vraiment lourd, je sentais Eve se coller à moi, se contenir, serrer fort ma main contre la sienne. Alors, passant mes bras autour d’elle, je la garda prêt de moi pour me retenir de ne pas lui sauter dessus pour ne pas lui faire manger mon genou. Et là, le paradis sur terre, la perfection, tout ce que vous voulez. Eve était en train de le descendre tel une grosse merde en décortiquant tout ce qu'il avait pu lui dire, en le faisant passer pour un con, pour un abruti qui ne savais pas quoi dire, et, elle avait tout à fait raison, il s’embrouillait comme un débutant, comme un novice. Quel abruti… Déposant un doux baisé sur le front de la belle, je caressa son dos. •

« Tu viens de le tuer là… J’suis fier de toi ! J’pense qu’on va rentrer histoire d’aller continuer la soirée à notre manière ? » • Approchant mes lèvres de son oreille, je continua • « Et je vais pouvoir t’enlever ces sous-vêtements… »

• Sauf que c’est à ce moment-là que je vis l’autre abruti me regarder et me dire que si j’avais un problème, je n’avais qu’à venir le régler… Oh putain il me chauffait ce gars. Je savais très bien que je pouvais l’allumer facilement. C’est le genre de gars qui aboie et qui tape partout sans savoir placer ces coups ça. Soupirant, j’hésita longuement avant de prendre ma décision. Je préférais passer la soirée avec Eve plutôt que d’aller me battre avec une raclure de chiotte qui prend son pied en rabaissant des filles. Alors, secouant la tête, je répondis à ces provocations. •

« Casse toi c’est mieux pour toi, j’ai pas envie de me salir les mains avec toi là… J’ai une toute autre soirée qui m’attend perso, et je sais que je vais kiffer, sauf que là, pour l’instant, tu déranges, alors tu dégages, tu retournes vers tes pouf et tu fais ta soirée dans ton coin, c’est tout… »

• Ne prêtant plus attention à cet abruti de compète, je posa mon regard dans les grand yeux de la belle rouquine avant de venir coller mes lèvres contre les siennes, lui offrant un baisé passionné. Quand je parlais de meilleure soirée, je parlais évidement de la soirée qui nous attendait avec elle. •

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Nudistes nous ? Non, juste complètement torchés… feat B. Ève-Skye Kennedy & Nate M. Davis
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Je ne pensais pas qu'elle allait me répondre ainsi honnêtement elle a bien joué le coup. Je n'avais rien contre elle mais ce qu'elle ma fait avec ce blondinet m'avait fortement énervé si bien que mes mots on dépasser ma pensée et que le self contrôle que je prônais tant était parti en fumé. Je ne savais pas quel réaction adopté face a elle car elle me troublait beaucoup. Du coup je changeais de réaction comme de chemise même si je l'aimais beaucoup je ne désirais pas qu'elle pense pouvoir me contrôler. Je devais l'avouer elle me faisait mal. Ce blondinet dans le fond je ne lui en voulait pas vraiment c'était juste pour l’impressionner mais visiblement c'est raté car c'est l'effet inverse qui c'est produit. Pourquoi est ce que j'ai fais l'enfoiré ? Maintenant c'est impardonnable et irréparable. Je n'ai plus qu'a assumé ce que j'ai dis avant même si ça faisait mal. Je ne voulais pas lui montrer que je l'aimais beaucoup mais après tout qu'est ce que ça ferait ? Ce n'était pas comme ci c'était une inconnu puis ce que c'était Ève.

<< Tu me connais bien a présent Ève. Je n'ai pas envie que tu me blesse malheureusement c'est exactement ce qu'on c'est fait ce soir mutuellement. Sauf que tu ma plus blesser que je ne t'ai blesser. Je pensais être fort mais je me rends compte qu'il suffit que tu passe et je craque. Moi aussi je suis triste et je voulais te le cacher a vrai dire. Je voulais te faire du mal comme tu ma fait du mal avec lui mais tu a été plus maligne que moi sur ce coup la en ne tombant pas dans mon piège. Je me disperse tu a raison mais a présent j'ai saisit que t'était plus la gamine d'autrefois. Tu a beau avoir que dix-huit ans t'en a fait du chemin. Je dois l'admettre tu me surprend. Je n'aime pas ouvrir mon coeur a des inconnus mais je me rends pas compte qu'en faite tu n'en est pas une du coup je ne sais pas quoi faire. La situation est un peu inédite pour moi. J'ai réagis comme un gamin de collège tu ma rendu jaloux avec ce gars la et c'était astucieux de ta part parce que au final c'est moi qui ai cédé. Je ne m'étaie pas préparer a te revoir du coup je suis surpris c'est tout. Je suis impardonnable d'avoir traité ton père et toi. Mes mots on dépasser mes pensée mais il faut que tu prenne du recul en te disant bien que tu ma énervée et que tout ce qui est sorti maintenant est sorti sous la colère. J'ai rien contre toi et tu sait que tu restera précieuse a mes yeux peu importe nos embrouilles mièvres digne de collégien. Au fond je me dis qu'on a beau être plus âgé tous les deux c'est toi qui a avancer et moi qui ai régresser.

Je la regarde avant de tourner mon regard vers son ami et de lui tendre ma main.

<< C'est quand tu veux la d'ou je viens c'est le pain quotidien. A toi de voir si tu pense pouvoir me battre ou si tu veux enterrer la hache de guerre ? >>

Ma main continue d'être tendu et je le regarde en souriant en coin. J'aimerais laisser tous cela derrière moi et me comporter comme un homme un vrai pas une contrefaçon de plouc. Je ravalais ma fierté pour me comporter en adulte et je me dis qu'au fond je venais d'apprendre une leçon et que finalement la soirée n'était peut être pas perdu pour autant. Ève a bien grandis et elle a trouvé des gens sur qui compter ici. Des gens qui l'aime pour ce qu'elle est et qui l'accepte comme elle est. Chacun a fait son petit bonhomme de chemin sauf qu'elle a évolué alors que moi j'ai régresser comme si elle m'avait transmis ses défauts et qu'elle avait pris mes qualités. Ce soir j'aurais pu être intelligent mais au lieu de ça j'ai joué au montagne russe niveau sentiments me perdant moi même dans mes attitudes. Ce n'était pas le bon Bobby ce soir. Je voulais l’impressionner mais ça ne marche plus. Elle a grandis et a compris les stratagèmes elle est moins bête qu'elle en a l'air dans le fond et sans doute et ça va sans doute vous choquez plus intelligente humainement parlant que la plus part d'entre nous. Je passe au dessus de la simple jalousie car elle ne m'apporte finalement que du vices et des idée noir. Pourquoi ce comporter comme la dernière des merdes et passer pour un crétin ? Je n'avais qu'a voir la vérité en face et accepter le fait que j'avais commis une erreur. L'erreur était plus de moi au final en y réfléchissant bien. L'amour n'a pas d'âge et qu'est ce que ça aurait pu faire au fond qu'elle m'aime a dix, vingt ou même trente ans ? Avec beaucoup de recul je me dis que j'ai été bien con. Le passé restant le passé il est bien trop tard pour culpabiliser. J’espère au moins repartir l'esprit libre de tout ça. En tout cas c'est tout le mal que je me souhaite.
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Nudistes nous ? Non, juste completement torches

Je ne savais plus sur quel pied danser, ni quel attitude arborer. Je me sentais le cul entre deux chaises, partagée entre deux avis. D'un côté, j'avais ce merveilleux Nate qui me ravissait de par ses attentions tendres, de l'autre un homme à qui je venais de rendre la monnaie de sa pièce. J'esquissai un sourire lorsque ce premier approcha ses lèvres de mon oreille, me partageant son envie de me débarrasser de mes sous-vêtements que je trouvais bien inutile en sentant le désir grandir en moi. Lèvres que je ne tardais aucunement à capturer avec les miennes, lui donnant un maigre avant-goût de ce que je lui réservais. Son soutien moral comme physique m'était si précieux ! Je me lovais dans ses bras, me délectant de sa présence. J'avais envie de demeurer ainsi jusqu'au petit matin, de pouvoir compter sur quelqu'un qui puisse me réconforter convenablement. Nate s'en prenait à Bobby, si bien que je désirais encore plus prolonger notre contact : qu'il était gentil de me défendre encore et encore. Pour mon plus grand étonnement, celui qui quelques minutes auparavant me traitait de catin semblait presque repentissant quant à la manière dont il m'avait traité. J'en ai marre de tes changements d'humeur, Bobby. déclarai-je sans que la colère ne me quitte. Je glissais de nouveau ma main dans cette de Nate. Je n'avais plus envie de lui pardonner, du moins pas dans l'immédiat. Mon honneur et mon égo venaient de se prendre un sacré coup dont ils ne seront pas de sitôt prêts à s'en remettre, et cela me convenait plutôt bien : je n'étais pas encore apte moi-même à renouer des liens avec lui.

Il tendit la main en signe de paix, attendant un retour. Dans l'instant d'après, je me collais de nouveau à mon ami, comme pour le distraire de l'importun. J'avais envie de me glisser dans la chaleur de mes draps, dans le réconfort de ses bras. Mes sous-vêtements me tiennent légèrement chaud d'ailleurs, Nate... Tout en approchant mes lèvres des siennes, mon souffle battant ces dernières, je lui murmurais mon désir. D'ailleurs, il me tarde de sentir ta peau contre le mienne... Je n'avais plus envie d'adresser la parole à Bobby, il m'avait trop faite souffrir... Cela faisait la seconde fois que mes larmes coulaient à cause de lui, et je ne lui donnerai pas l'opportunité de recommencer dans un futur plus ou moins proche. J'ai trop délivré de chance durant ma vie, à tous ceux qui s'étaient jouée de moi, tout ceux qui m'ont dévalorisée, et je n'avais plus l'envie de commettre encore une fois cette erreur. Faisant courir mes mains sur le torse de mon sauveur, je gratifiais Nate d'une énième sourire avant de faire une dernière requête. On peut y aller maintenant ? Je crois que j'en ai eu assez pour la journée.



FIN DU RP !
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