Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityNudistes nous ? Non, juste complètement torchés | Nate&Booby
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Nudistes nous ? Non, juste complètement torchés | Nate&Booby

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Nudistes nous ? Non, juste completement torches

La nuit tombait peu à peu, voilant discrètement les fenêtres. La lumière n'était pas encore absente : il était encore possible de se mouvoir sans crainte, même si cela ne saurait tarder. Cette soirée risquait d'être mémorable chez les étudiants en quête de plaisirs et d'amusement : il fallait se rendre au lac en lingerie et y boire en abondance et autres joyeuseté. Cette perspective ravissait Ève qui ne ratait aucune occasion de mettre ses attributs sous les feux des projecteurs, ni d'oublier sa soi-disante misérable existence à coup de shoot de Vodka.... Celle-ci était pourtant des plus parfaites, si l'on omettait toutefois sa stupidité récurante : sincèrement, qui pouvait se plaindre d'être la fille du directeur de la bourse de New York ? De voir des domestiques s'affairer à réaliser le moindre de ses caprices ? D'être une amie personnelle d'Isabel Marant ? Que trop peu de personne, et il semblait qu'elle ne mesurait pas l'étendue de sa chance qui la plupart du temps lui portait préjudice.

Miss Kennedy venait à peine de s'extirper de douces eaux qui lui avaient détendu le corps, suite à un entrainement intensif de classique. Qu'elle adorait la danse ! Un art et un sport tout à la fois qui lui permettait d'être reconnue dans ce milieux, d'être en mesure d'éprouver de la fierté et surtout, de prouver qu'elle n'était pas tout à fait cette sotte à qui il faut tout expliquer. Certes, la majeure partie du temps il fallait se montrer patient avec sa personne, mais il était toujours agréable d'admirer son radieux sourire dès qu'elle comprenait ne serait-ce qu'un tantinet. Sa bonne humeur étant communicative, elle vous sera insufflée si bien que vous oublierez aussitôt vos heures de dures labeurs, et vous voudriez sans nul doute prolonger votre conversation. Ève attrapa une serviette qu'elle enroula au dessus de sa généreuse poitrine, et commençait telle à l’accoutumée, son état des lieux. Aucun défaut n'était toléré, pas même le plus anodin : elle les traquait sans relâche. D'une main experte, l'étudiante se dévêtit du tissu qui la protégeait de sa nudité, et réitéra l'inspection. Les cuisses n'étaient pas exceptionnelles, il fallait bien se l'avouer mais elle n'avait jamais réussis à la affiner en raison de la danse intensive : cette pratique avait chassé toute graisse, mais les remplaçait malheureusement par des muscles de même taille. Sans être grosse pour autant ! Son ventre plat faisait son bonheur, et ses seins volumineux lui constituaient un atout de taille.

Passant fébrilement une main dans sa chevelure flamboyante, cette première se résolu à faire les essayages de divers ensembles. Tantôt, la jeune fille avait dévalisé Victoria's Secret sans une once de remord, et espérait trouver la perle rare qui ferait d'elle une déesse venue sur Terre... Une dizaine de sac jonchait son lit, contenant divers sortes de lingerie fine, du push-up à la culotte haute, passant par le string en dentelle comme le soutien-gorge à balconnet. De sa démarche sautillante, elle s'approcha de ses trésors et fouilla dans le premier : il s'agissait d'un soutif bustier que l'on pouvait qualifier de push-up et d'une adorable couleur framboise. Le bas était simple, mais laissait rebondir son fessier. Le résultant lui plaisant, la rousse hésita un temps tout en se mordillant la lèvre inférieure, puis se décida à continuer ses essayages. Un du même modèle, cette fois-ci léopard lui faisait de l'œil bien qu'elle y résista. Un haut à balconnet, et une culotte taille haute à pois crème... La jeune fille soupira tout en jetant l'ensemble à l'autre bout de sa chambre malgré le prix, et demeura quelques minutes lasse à se perdre dans ses réflexions. Finalement, craignant d'une part d'être en retard, Ève opta pour le premier modèle mais de motif léopard qui mettait ainsi ses jolies formes en avant. S'approchant presque de la perfection, celle-ci se coiffa tout en légèreté, et décida de laisser ses cheveux au vent, caressant ainsi ses épaules, et certaines mèches firent de même un peu plus bas. Une large dose de fushia s'appliqua sur ses lèvres pulpeuses, avant de risquer un regard vers son reflet.

La danseuse, plus que satisfaite de son image, enfila une paire d'escarpin Jimmy Choo bordeaux, et s'aspergea de quelques gouttes d'Opium d'Yves Saint Laurent. Aussitôt ceci effectué, elle quitta sa chambre tout en prenant soin de verrouiller celle-ci, ayant commit cette erreur tantôt, et fit ses adieux pour la soirée au chalet féminin. Il ne lui restait plus que quelques mètres à gravir avant de retrouver Nate, son cavalier de ce soir. Il n'était qu'un ami pour sa personne bien qu'elle l'adorait pour son caractère, et pour son physique plus qu’avantageux. De plus, ils leur arrivaient de finir leurs après-midi dans son lit, très fréquemment... Il avait bien voulu l'accompagner en ce lieu, n'ayant ni l'un ni l'autre de partenaire. La silhouette de cet homme lui faisait face, et Ève ne tarda aucunement à accélérer le pas, si bien qu'elle se mit à trottiner dans sa direction, les bras écartés comme pour le prendre dans ses bras : ce qui se fit dans l'instant. « Naaaaaaaate ! » s'écria-t-elle avant de le gratifier de son plus beau sourire. « T'es prêt pour cette merveilleuse fête ? » Elle risqua une œillade sur son corps, puis afficha un faciès radieux. « T'es pas mal canon, dis moi... »



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Nudistes nous ? Non, juste complètement torchés…

Eden, Bobby & Nate.



Vous êtes seul, vous êtes vraiment seul, sans personne pour vous aider, à l'abandon dans ce monde hostile, dans ces rues qu'on pourraient comparer à une jungle Amazonienne vu la foule qui passe chaque jours, chaque heures, chaque minutes, et vous avez pour but d'aller au pied de cet arc en ciel, pour trouver le trésor qui se trouve à son pied. Ce mythe, cette légende, beaucoup d'entre nous y ont cru plus jeune, et d'autre continue d'y croire, sauf qu'il n'ose pas l'avouer, soit par peur de passer pour un enfant, une personne pas très bien dans sa tête, dans sa peau, ou bien car ils ne veulent pas attirer les moqueries sur eux. Ce chemin qui pourra vous faire marcher toutes votre vie, ce moment où vous allez apercevoir cette merveille de la nature, ce phénomène unique, vous allez le suivre, lui courir après, et puis... Envolé, cet espoir, ce petit moment d'adrénaline aura disparu, et vous, vous serez là, prêt à attendre son arrivé pour y retourner, parcourir une fois de plus ce chemin qui peut être sans fin, pour trouver ce trésor... Cette légende pourrait être comparé à cette recherche permanente de l'âme sœur par certaine personnes, cette envie de plaire, de trouver la personne qui vous est destiné, votre rayon de soleil, votre arc en ciel, celle ou celui qui vous fera sourire et rire à n'importe quel moment de votre vie, celle que vous trouverez toujours magnifique le matin au réveil, celle que vous trouverez autant sexy, que ça soit en tenue de soirée ou au lit, complètement malade avec quarante de fièvre ou débordante de joie, ça sera elle, celle pour qui votre cœur battra, celle que vous comparerez à votre trésor. Vous aurez marché pendant plusieurs jours, plusieurs semaines, plusieurs mois, et même plusieurs années pour certains, marcher pour chercher votre trésor, cette femme ou cet homme qui vous rendra heureux et qui vous aidera à avancer, cette personne pour qui vous aimerez vous faire beau, cette personne que vous essayerez de reconquérir chaque jours, vivre chaque instant à ces cotés comme si c'était le dernier que vous passez à ces côtés. Sortir, marcher, visiter des endroits, des lieux, faire les magasins, la conseiller dans le choix de vêtements à acheter, lui demander conseil, l'aider quand quelques choses va mal, partager des souvenirs avec elle, crée votre vie, un petit bout de votre avenir, pouvoir vous projeter quelques mois dans le futur... Votre arc en ciel à vous, ça sera cette personne qui vous rendra heureux et qui animera cette étincelle dans vos yeux, cette flamme dans votre corps. Invincible, à ces côtés vous serez... Je l’avais trouvé cette fille… Il y a bien longtemps, plusieurs années en arrière. Son prénom était Wendy, ça l’est toujours d’ailleurs, du moins, s’il ne lui ai rien arrivé entre temps. Cette fille était mon premier amour, celle pour qui j’étais prêt à tout. J’suis un abruti, j’étais partie à Washington pour mes études, et je l’avais laissé en plan. Je pensais encore à elle, mais, je faisais en sorte de ne rien dire, de faire comme si tout allait bien, comme si tout était beau, mais, au fond de moi, je savais que c’était faux, mais bon, j’avais fait le con, maintenant, elle devait être ailleurs, avec d’autres personnes, elle m’avait même surement oublié, dommage… Bref, ne pensons pas au passé et profitons de cette soirée qui s’annonçait, comment dire… Mouvementé… C’était soirée sous-vêtement au lac ce soir, alors, je peux vous dire que ça allait être plutôt fun. J’avais été acheté un boxer plutôt simple, mais efficace pour ce soir. Je voulais juste me fondre dans la masse. Je n’y allais pas seul, sérieusement, vous m’avez vraiment vu aller à une soirée, en boxer, seul comme un péquenot à qui on a volé ces affaires et qui ne sait pas quoi faire ? Ca va pas la tête ! J’étais accompagné d’Eve. Qui était Eve ? Une amie que j’avais rencontrée il y a peu, et, ils nous arrivaient très souvent de finir dans mon lit. Ouais, ont couchaient ensemble, et j’aimais bien ça, je peux vous le dire, mais, et alors ? Ont étaient d’accord, c’était juste du plaisir mutuelle en fait, rien de plus. Bref, tout ça pour dire que j’étais en chemin pour aller à son chalet lorsque je vis arriver une crinière rousse en courant vers moi, les bras écartés. Hm, elle était là, je n’aurais pas pu la manquer ! La prenant dans mes bras, je déposa un doux baisé sur sa joue. « Naaaaaaaate ! » … « T'es prêt pour cette merveilleuse fête ? » … « T'es pas mal canon, dis moi... » T’es pas mal canon ? Elle était sérieuse ? Elle était là, en soutif qui mettait bien sa généreuse poitrine en avant, et avec un petit bas qui mettait aussi ces fesses en valeur… Là, j’étais en train de me demander si l’ont allaient vraiment aller à la soirée en fait… La regardant en souriant, je m’écarta doucement d’elle avant de lui répondre. •

« Toujours prêt ! Même si pour le moment j’ai plutôt envie de t’enlever cet ensemble, mais, ça attendra ! »

• Passant mon bras autour de sa taille, on commença à marcher en direction du lac qui n’était pas très loin. J’avais envie de m’arrêter dans un coin et de faire autre chose, mais bon, ont avaient une fête, et puis, peut-être que l’on rentrera ensemble, on verra bien. Une fois arrivé à la plage, je pris la petite rousse dans mes bras avant de venir lui chuchoter à l’oreille. •

« Tu sais qu’avec le bas que tu as mis, quand tu marches, t’as le cul qui rebondit ? Perso moi j’aime, mais, fait gaffe à toi ce soir. »

• Ce n’est pas que j’étais jaloux, mais, je l’appréciais quand même et je tenais à elle, c’était mon amie après tout, alors, c’était normal pour moi de la surveiller, de faire en sorte qu’il n’y est pas trop de connard qui lui tourne autour… •
© B-NET

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Nudistes nous ? Non, juste complètement torchés… feat B. Ève-Skye Kennedy & Nate M. Davis
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Ah le Summer Camp ! Le fameux Summer Camp et toutes ses activités déjanter ! Oui parfaitement ! Déjanter ! C'est le mot juste ! J'en ai vu des choses ici ! Beaucoup de choses ! Négative et positive ! Souvent des trucs dingues ! Plus négative que positive d'ailleurs. Toutefois, certaine de ces choses étaient agréables au regard et comme tout homme normalement constituer je n'allais pas m'en plaindre. Je pense et je me dis que si je racontait ça a des mecs de Brooklyn ils hallucineraient, me prendrais pour un mythomane et pire ils voudraient sans doute venir foutre le boxon ici au Camp ! Vaudrait donc mieux que je ferme ma bouche moi ! En parlant de connerie et d'exhibition ce soir il y a une soirée à mon gout particulièrement sympathique. Le concept m'a l'air sympa, je ne sais pas pour vous, mais moi en tout cas il me plait beaucoup. Il s'agit en fait de venir habiller en sous-vêtement. De ce fait, je crois que mes yeux vont bruler en moins de temps qu'il ne faudrait pour le dire avec toutes ces jolies filles en sous-vêtement. Pour la plupart des filles, je pense que ce sera des sous-vêtement de chez Victoria Secret la célèbre enseigne de lingerie vue qu'elles sont pour la plupart très riche et qu'elles peuvent donc se le permettre. Malheureusement pour moi ou heureusement pour ma conscience elles ont l'air toutes plus idiote les unes que les autres. C'est triste a dire, mais réaliste ! Leurs parents voir elles mêmes si elles sont héritières pourraient acheter toute une boutique de Victoria Secret avec le P.I.B du Yémen sans que ça ne creuserais nullement leur compte bancaire. Je suis chanceux d'être ici en compagnie de toutes ces gamines assoiffer d'argent et de sexe et je m'en rends bien compte alors je vais tout bonnement arrêter de penser à la misère du monde et a tout cela. Je vais profiter de ma soirée et m'amuser en hommage a ces petits mecs qui crève la faim dans le monde. Ce soir je ne boufferais surement pas un steak à la fin de la soirée, mais je risque fortement de m'enfiler une fille cependant si j'en crois mon expérience passée ça risque de finir mal ce genre de truc mais bon relativisons ! Je ne suis plus à Brooklyn les gens sont censés je dis bien censé être civilisé un minimum ici ! Ils ont eu une bonne éducation voir même exemplaire malgré le fait qu'il soit riche. D'ailleurs le fait qu'il soit dévergondé à cause de leur richesse m'effraie plus que si j'étaie a Brooklyn. Je pense qu'en réalité en venant a Harvard, je suis venu chez les fous ! Je pense qu'ici je suis plus ou moins chez moi ! Je suis un fou positif qui sait s'amuser et je suis également avec des fous positifs ! Que demandez de plus ?

Rien sans doute rien ! J'espère ne pas revoir de connaissance connue dans ce genre de tenue car, ça ne me rend clairement pas hommage. Bref j'enfile mon boxer le plus sexy celui mettant le plus mes atouts en valeur. Je m'observe dans le miroir et me dit que ça gère ! Cette soirée j'y allais seul et il valait mieux sinon celle qui m'accompagnait risquait de boiter légèrement le lendemain matin car, elle étaie trop sexy pour que j'y résiste. Je sortie une fois mes essais fait en me disant que c'était impeccable et que tout roulais comme il le fallait. Je m'y mis en route direction le lac en prenant soin de bien fermer mon chalet. Chalet qui était d'ailleurs trop grand et trop spacieux pour y vivre seul. Je pense que ce soir je ne vais pas me priver pour y ramener une compagnie pour la nuit. Oui pour la nuit seulement ! Je n'avais pas l'intention de me poser avec une fille après cette soirée après ma déception amoureuse il en était hors de question. J'ai fait une croix sur les relations sérieuses du moins pour l'instant. C'était terminé pour moi. J'arrive enfin près du lac après quelque minute de marche. Je me rends alors compte que les organisateurs de ce camp de fou furieux on vraiment bien gérer le truc. Les activités étaient sympa, les lieux sont proches des chalets, les personnes étaient sympa et ne se prenaient pas la tête et surtout elles ne prenaient pas la tête ! Je ne me suis pas encore battu depuis que je suis ici. Je suis toujours vivant et c'est tant mieux ! Sérieux je m'attendais a pire ou alors je fais peur aux gens dans le bon sens du terme et c'est tant mieux. Je n'ai pas fait ce camp dans le but de m'embrouiller avec des gosses de riches qui n'ont probablement jamais tapé avec un mec autrement qu'en sortant une cuillère en or de leur fesse ! Enfin bref passons tout ce passais pour le mieux et je n'allais pas m'en plaindre. Ce camp était un havre de paix et de débauche en même temps comparer à Brooklyn c'était le paradis seul ceux qui l'ont connu savent de quoi je parle. En ce qui me concerne je toucherais prochainement le ciel avec le basket du moins j'en suis sur et certains. Et puis si je ne crois pas en moi-même qui le fera ? Personne ! Absolument personne ! Croire en moi était mon seul moyen de réussir et c'est ce qui m'a emmener ici alors ce soir je ne me prendrais pas le choux avec toutes ces conneries et je vais profiter de ma réussite car, contrairement à un grand nombre de personne ici je la dois a même et non à mon compte en banque car, je me suis battu contre la vie pour mériter ma place ici.

Soudainement en arrivant la fête et les nombreuses nana en sous-vêtement me font penser à Ève et aux sous-vêtements tous plus affolant les uns que les autres qu'elle mettaient pour me mettre dans son lit une fois de plus ou me rendre dingue ! Ève faisait exploser son compte en banque pour moi. Enfin surtout pour me rendre fou et m'avoir dans ses filets encore et encore. Je ne l'ai jamais aimé pour ça d'ailleurs c'était plus parce qu'elle me complétait. Elle était folle et savait délirer ! Alors que moi a l'époque j'étaie plus du genre timide et réserver. Je lui dois beaucoup de choses car, c'est en grande partie grâce à elle que je suis un mec cool qui sait faire la fête et délirer ! Avant c'était plus tôt Basket, Basket, Basket et Basket ! Je ne faisait que ça ! Toute la journée, je séchais même les cours à l'internat et cela elle le savait car, elle faisait la même chose de son côté. C'est souvent grâce à ce moyen la qu'on faisait nos rencards car, sinon je ne sortais pas de l'internat ! Le personnel ne voulaient pas que je côtoie la drogue etc. Je n'était pas autorisé a sortir pour faire autre chose que du Basket ! C'était la seule chose en quel ces gens la croyaient le sport ! Ah c'était la belle époque ! Celle pour qui je faisait le mur et pour qui je prenais des risques inconsidérée seulement pour voir son beau sourire communicatif de chez Colgate a deux mille dollars la séance chez le dentiste ! Non je n'exagère pas c'est elle-même qui me la dit à l'époque ! Étonnement je m'en souviens encore alors que je m'en foutais complètement de ce genre de choses chez elle ! Néanmoins, je saisissais bien la chance que j'avais de sortir avec Ève et j'en profitais pleinement. Du moins jusqu'au jour où elle m'a vraiment blesser... Je n'aime pas revenir là-dessus car tout était parfait tout comme avec Alex' c'était la seule fille que j'avais vraiment aimé de tout mon coeur et là je parle d'amour pas de coup a tiré d'ailleurs de ce côté la pour son faux âge elle était étonnamment très douer au pieu. Je souriais comme un imbécile heureux en y repensant. Puis je me dis qu'il fallait laisser le passé là ou il était. Ce qui était la cause de notre rupture ? Oh comment avais je pus ne pas y penser ! Quand j'étais tombé sur ce carnet de liaison d'école de gros bourgeois, j'avais un peu fouillé à l'intérieur rien de bien folichon. Enfin si son âge son vrai âge était folichon lui ! Elle m'avait menti a l'époque pour sortir avec moi qui avait dix-sept ans et elle seulement quinze. À un an de la majorité aux USA et a trois ans de celle de pays comme la France. Ouais bizarrement c'était l'une des seules choses que j'avais retenu d'un cours d'histoire l'âge de majorité des Françaises au cas ou un jour qui sait je devais en tringler une ou même me marier avec l'une d'elle ce qui n'arrivera je pense pas de si tôt bien que le pays soit magnifique d'après les écho de dealeur du quartier que j'avais eu plus jeune. Comment dire ça poliment ? Elle est rentrée et puis cela a été plus tôt brutal. Voilà disons ça comme ça. Verbalement hein ! Ne vous méprenez pas ! Du coup on c'est séparé ! Dommage on avait vraiment prévu des choses dingues ! Comme s'installer ensemble et ce genre de choses ! Elle avait l'air mature pour une fille de son âge en y repensant. Oui elle était bête, mais oui je l'aimais... Ève a été une des plus belles année de ma vie on peut se le dire clairement !

J'arrête a présent de penser à tout cela puis je vois des bières fraiche entreposer la ! Elles ont l'air bien fraiche et elles sont allemande donc par définition TOP ! J'en prends une la dégoupille puis j'en bu une gorgée histoire d'oublier mes souvenirs à la fois si bon, mais si douloureux avec notamment Ève. Je souris a pleine dent ! Je suis très heureux d'être là et ça se sent. Je me dirige ensuite vers la foule puis je me met a danser avec quelque nana avant de voir un visage qui me semble familier. Je m'y dirige puis j'accoste la jeune femme. Elle se tourna et fausse alerte c'était sans doute une illusion d'optique. Je vois un autre visage familier féminin encore une fois et je me dis qu'à force d'y croire je vais devenir fou ! Encore une fausse alerte ! Je me décide a abandonné ces conneries de croire que je reverrais quelqu'un ici ! Je continue de danser avec les demoiselles qui se présente à moi comme si elle voulait me croquer, mais cela ne me dérange pas au contraire. J'espère croiser quand même quelque personne que je connais ou finir dans le lit de quelqu'un. J'avoue que d'avoir la réputation à la rentrée de "bon coup" comme le disent les filles voir "d'excellent coup" ne me dérangerais pas bien au contraire cela ferait de moi instantanément une cible féminine et ce ne serait pas pour me déplaire. Alors, sautez-moi dessus les filles je vous en prie vous ne ferez qu'une chose ! Positive et saine ! Me rendre service !
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Nudistes nous ? Non, juste completement torches

Un tendre baiser sur ma joue, des mots doux en référence à mon ensemble... À vrai dire, il ne s'agissait pas de mots doux au sens premier du terme, cependant ils semblaient de même à mes oreilles. Cet homme était adorable en toute circonstance, et même au lit il fallait l'avouer : Nate n'était pas de ce genre à faire passer son plaisir avant celui de sa partenaire, et demeurait quelqu'un d'avenant. Celui-ci passa son bras autour de ma taille, tandis que je posais ma tête sur son épaule et appréciant au mieux l'instant présent. Nous marchâmes dans cette position plusieurs minutes durant, et j'aurais voulu que ce moment perdure bien plus encore. Pour mon grand dam et plaisir à la fois, ce dernier me prit dans ses bras et me chuchota à l'oreilles une phrase qui me fit rosir. Celle-ci était teintée de jalousie - très infime - pour ceux qui auraient l'occasion de m'aborder au cour de la soirée. J'étais venue avec Nate, je repartirai avec Nate, point. Je n'avais aucunement l'envie de l'abandonner à la fête pour un bel apollon : je n'étais ni une garce, ni une fille incapable de mesurer la chance qu'elle avait d'être en sa compagnie. « T'sais Nate... » Commençai-je avec un sourire tout en posant mes mains sur son torse nu - quel agréable contact... « J'ai pas besoin de faire gaffe, j'ai pas franchement l'intention d'aller courir les garçons, j'ai déjà un très beau modèle en face de moi... » Je ponctuai ma phrase en déposant un baiser sur ses lèvres si désirables avant de me remettre en route, et reproduisant la manière dont nous étions l'un contre l'autre avant cette interruption.

De petites perles de satin ne tarderait aucunement à s'incruster élégamment sur cette étole de satin nuit, que l'on nommait moins poétiquement le ciel. Il parait que l'astre lunaire dans toute sa splendeur montrera sa rondeur entièrement ! De quoi pouvoir conter quelques histoires d'horreurs autour d'un feu de camps, et terminer celles-ci dans les bras protecteur d'un merveilleux jeune homme, et l'embrasser jusqu'au lever du jour... Cette perspective m'enchantait tandis que nous nous approchions dangereusement du lieu de rendez-vous. Une pulsion soudaine que j'aurais nullement souhaité refouler m'assaillait : je me campais devant mon interlocuteur, et colla ma bouche à la sienne dans un désir passionné. Tandis que mes mains n'aspiraient qu'à explorer d'endroits interdits, je savourais cet échange au mieux avant de le rompre sans crier gare. Au creux de l'oreille, me mettant cependant sur la pointe des pieds malgré mes talons, je lui susurrais les mots suivants « Après la fête, suis-moi jusqu'à ma chambre » Après un baiser papillon, j'allais au bout de mes pensées. « Histoire que les bonnes habitudes ne se perdent pas. » Tu m'étonnes, je n'avais aucune envie que nos soirées cessaient, et même si le sexe entre ami étaient déconseillé par beaucoup, ils nous étaient simplement indispensable. Nous continuâmes notre avancée, percevant d'ores et déjà la musique émanant de la piste de danse, ou encore la rumeur des conversations.

Cette fois-ci, je pris sa main dans la mienne, et accéléra la cadence sans oublier de lui jeter quelques œillades langoureuses à intervalles régulières. J'avais hâte à un point inimaginable de me fondre dans la foule, danser, et surtout boire quelques verres. J'allais sans doute passer pour une dépendante de première, mais j'avais besoin d'un peu d'alcool afin de me remettre d'aplomb, ou de me faire le plus grand bien. Cette vilaine habitude m'était apparue dans le courant de ma quinzième année, ne pouvait supporter plus longtemps ma personne : je me trouvais trop grosse, bien trop sotte et étourdie. Cette vision ne m'avait pas quitté pour autant, et je tentais de la gommer de mon esprit à coup de verre de vodka ou autres joyeusetés. « On fait quoi en premier ? » lui adressai-je plus pour la forme que par réelle nécessité : je me dirigeai déjà vers le bar, des envie d'un Sex on the beach à base de vodka, de sirop de melon et d'autres jus exquis. J'attendais que Nate revienne pour passer commande pour nous deux, suite à cela, je sirotais tranquillement ma boisson tout en dévorant du regard mon partenaire. « Tu dis de moi... Mais j'ai plutôt l'impression que c'est toi que les filles vont draguer... » Sur un ton beaucoup moins sérieux, je prononcerai ceci « Et ne prend jamais des rousses, elles sont trop désireuse de passer par la case "lit" » Je ponctuai ma phrase d'un petit clin d'œil avant de me blottir contre lui.

Tout contre la chaleur de son corps, j'observais la foule dansante, reconnaissant de temps à autres quelques visages que j'oubliais aussitôt. Certains s'embrassaient avec une fougue non dissimulée, et frôlaient de temps à autre l'indécence : cette fête promettait d'être merveilleuse. J'allais m'apprêter à lui proposer un petit plongeon dans le lac lorsque je cru reconnaître quelqu'un, mais pas n'importe qui : Bobby. Ma première fois, mon premier amour véritable. Je devais avoir quatorze ans tout au plus, et lui dix-sept ans... Cet écart d'âge ne m'avait aucunement empêché de le trouver attirant, et bien plus encore : de l'aborder avec une assurance que j'avais développée auprès des hommes en un rien de temps. Tous deux, nous n'avions aucun point commun, j'étais la petite bourgeoise au manteau Marc Jacobs, et lui... Ce n'était pas du tout le même genre, et c'était sans doute cette différence qui me plaisait. Très vite, nous dévirent très proches, et d'ailleurs, si proches que ma première fois ne se fit pas attendre - sans pour autant lui avouer que j'étais si jeune. Les souvenirs brulants de cette merveilleuse journée de printemps restaient encrés en moi, comme une gravure sur de la pierre. Je me souviendrais toujours de cette ensemble Victoria's Secret hors de prix, ressemblant fort à celui que je portais actuellement - coïncidence ? - et de cette folle initiative que j'ai pris. Vendredi, tôt le matin, j'ai troqué mon Vuitton que j'arborais pour les cours contre un sac en cuir bien plus grand, contenant des affaires pour trois-quatre jours.

Revêtant mes vêtements les plus affriolant, une robe bustier pêche de chez Carven et des Louboutin vertigineuses, j'ai supplié le chauffeur qui devait à l'accoutumée m'emmener à l'école de me déposer à Brooklyn. Même si celui-ci se faisait réticent, ses hésitations s'évanouirent devant un pourboire plus que plaisant. Sur le chemin, je réfléchissais aux différentes manière de lui faire comprendre mon désir ardent de lui, si bien que j'emmêlais les pinceaux et opta pour l'improvisation. En bon employé qu'il était, il ne posa aucune question et promit de venir me chercher lundi soir, et expliquerait à mes parents que je passais le Week-End chez une amie. De plus, ayant versé une très jolie somme à la secrétaire de mon école, mes absences n'étaient plus signalées. J'y suis entrée presque tremblante à l'idée de sauter ce cap, bien que cette sensation s'évanouit à l'instant même où je passais le portail, et partais à la rencontre de Bobby. Quelques dizaines de minutes s'étaient écoulées, et il semblait comprendre mes attentes sans que je n'eus à les formuler : il fit glisser ma robe à terre et bientôt nos corps étaient étroitement mêlés. Il était excellent, et j'avais envie que cela se reproduise encore et encore... Les jours et les mois qui suivirent furent tout aussi exquis, et précieux que cette nuit : il s'agissait d'une idylle. Je séchais sans aucune honte les cours - n'améliorant aucunement mon niveau pitoyable, mais mon père était là pour remédier à cela avec son chéquier - et lui faisait de même. Nous nous retrouvions sur le terrain de basket, puis nous nous baladions tous les deux, et la crainte qu'il découvre mon âge véritable ne me taraudait plus : j'avais confiance en la passion qui nous liait, ou du moins qui me liait à lui.

Un incident si malheureux que je le regrettais même aujourd'hui le força à me quitter... Alors que j'étais venue lui tenir compagnie - une très agréable compagnie - durant le week-end, j'avais oublié mon carnet qui était en quelque sorte notre "fiche d'identité" au lycée. Pourquoi as-t-il fallu qu'il l'ouvre ? Feuilletant les pages, il était tombé sur la pire chose qu'il puisse lire en ce bas monde : ma date de naissance. J'approchais de ma quinzième année, et lui, avait presque dix-huit ans. Le lendemain, sans me douter de sa colère nouvelle, j'étais arrivée le sourire aux lèvres, des rêves de décadences dans l'esprit, et tout cela se gomma à l'instant même où je m'avançais vers lui. J'eus le droit à ses reproches, à ses mots durs qui me blessèrent au point de faire naître des larmes sur mon visage sans qu'il ne s'en formalisa. Je n'avais aucune excuse, tout était de ma faute et mon romantisme me poussait à espérer qu'il me rappelle un jour afin que nous nous revoyons. Et aujourd'hui, il était devant moi à se faire cajoler par divers gonzesses. Une rage soudaine s'empara de mon être, si bien qu'après un regard mauvais en sa direction, j'enlaçai brusquement Nate, et l'embrassait avec fougue tout en faisant courir ma main dans son dos, frôlant de près ses fesses cachées par le boxer. Après quelques baisers dans le coup, je lui glissai à l'oreille de la manière la plus discrète qui soi ce qui suivit.[color#ff6699] « Là-bas, le mec qui se trémousse avec la blondasse avec de la cellulite »
Je reprenais mon souffle sur ce pique, mais il fallait avouer qu'elle n'était pas très ferme. « C'est un de mes ex. » Je plantais cette fois-ci mon regard dans le sien. « On pourrait pas... enfin, tu sais pour le rendre jaloux. » Je soupirai. « Pour qu'il regrette de m'avoir plaquée. »

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Nudistes nous ? Non, juste complètement torchés…

Eden, Bobby & Nate.



• Lorsque vous faites une valise, vous êtes toujours obligé d’en mettre trop, d’en mettre toujours plus, juste au cas où… Mais, est-ce vraiment utile ? Combien de pourcentage de chance avez-vous pour qu’il y ai une tempête de neige et que votre grosse doudoune d’hiver va vous servir en plein mois de mars, et à Venise en plus ? Surement zéro virgule zéro zéro zéro zéro zéro un à la puissance dix pour cent… Donc, vous avez vraiment peu de chance, mais non, vous décidez de la prendre quand même, on sait jamais hein. Si l’on regarde bien, la valise sera composée d’au moins un quart de vêtements et d’affaires qui vont servir à rien… Alors bon, pourquoi vous prendre la tête à faire une valise super bien et tout pour qu’au finale vous ayez trop de choses et que vous ne puissiez pas mettre les souvenirs que vous achetez dans votre valise. Et oui, il faut penser à ça aussi. Lorsque vous partez en vacance, vous allez revenir avec des souvenirs, histoire de garder quelque chose de ce pays, ramener un truc, et, si vous partez avec une valise déjà bien rempli et dur à fermer, comment allez-vous faire pour pouvoir repartir en paix sans avoir peur que cette dernière n’explose au premier choc du à toute cette pression que vous avez mis à l’intérieur lorsque vous sautiez dessus dans cette chambre d’hôtel pour la refermer et pouvoir repartir ? Bonne question, vous allez surement stresser et vous demandez si la valise va tenir le coup, vous l’espérez… Quand j’ai fait mes valises pour aller vivre à Washington, j’avais fait le gros abruti de première, le dégénéré de base, le connard à l’état pur. Déjà de un, je n’aurais pas dû les faires et partir, ça, c’est simple, mais, de deux, j’en avais oublié la moitié, j’avais tout laissé chez Wendy… Intelligent le gamin ! Je n’avais pas réussi à l’oublier en fait, je le savais au fond de moi, mais, je faisais comme si de rien était, et, par moment, j’y arrivais, j’arrivais à me dire que tout ça était du passé, j’avais fait le con, je devais assumer. Eve était une des personnes qui arrivaient à me faire aller de l’avant, rien que par sa présence, sa façon de se comporter avec moi, je l’appréciais vraiment cette petite rouquine. En allant la chercher, je lui avais fait savoir en la prenant dans mes bras que dans ces sous-vêtements, ces formes étaient bien mises en valeur, et qu’il fallait qu’elle fasse attention aux autres garçons. Sans trop attendre, cette dernière déposa ces mains sur mon torse tout en répondant à ma petite jalousie. « T'sais Nate... » … « J'ai pas besoin de faire gaffe, j'ai pas franchement l'intention d'aller courir les garçons, j'ai déjà un très beau modèle en face de moi... » Haussant les épaules, elle ne me laissa pas le temps de répondre que ces lèvres étaient déjà collé au mienne, alors, sans demander mon reste, je la serra un peu plus contre moi pour continuer ce baisé avant de reprendre nos position initiale et repartir en direction de cette soirée. Un jeune enfant est presque à chaque fois automatiquement inconscient, cherchant juste à trouver ces limites, sa voie. Qui n'a jamais essayé de voir si il pouvait voler, de voir si il n'arrivait pas à bouger des objets par la penser ou si il n'était pas un super-héros ? Cette envie de se dépenser, de rentrer chez soi salle et de se faire disputer par ces parents. De vouloir faire comme les grands sauf qu'on est trop petit, de se sentir impuissant face à ce monde qui nous entoure, mais sans avoir aucun problème à ce niveau-là, se moquer de cette impuissance, de ce manque de pouvoir, ce manque de charisme. A cet âge-là, on s'en moque, tout ce qu'on veut c'est pouvoir s'amuser, aller au parc et descendre le toboggan la tête en bas pensant que c'est quelques choses de très dangereux, et de recommencer plusieurs fois tout en pensant risquer sa vie à chaque fois. Un enfant voudrait être grand, pour être fort, puissant, et n'avoir peur de rien. Je pense qu’on était un peu ces enfants-là avec Eve. On ne se prenait pas la tête, ont étaient des amis, mais ont couchaient souvent ensemble, ont s’embrassaient dans la rue comme un couple, on se comportait comme un couple en fait, mais, ont étaient plutôt des gamins qui profitaient de la vie, de ces moments qu’ils pouvaient passer ensemble. C’est vrai que certaines personnes auraient pu nous prendre pour un couple après tout. Vous avez déjà vu de simple amis marcher mains dans la main, s’arrêter en pleine rue pour s’embrasser ou coucher ensemble ? Personnellement, à part Eve et Nate, je n’en ai pas encore vu… Mais on s’en fou, amusons nous, profitons de ces instants de bonheur qu’on peut passer ensemble, peut-être qu’un jour tout ça s’arrêtera. En plein milieu du chemin, dans un coin plutôt isolé, la belle s’arrêta face à moi pour venir se coller contre moi et m’offrir un baisé passionné que je ne tardai pas à continuer. Je sentais ces mains se balader sur mon corps. Je vous le dis, si elle continue comme ça, on va rapidement dire adieu à cette fête et on va aller dans un coin plus tranquille… Déposant ces mains sur ces fesses, je m’étais amusé à rentrer ma main à l’intérieur de son bas, caressant doucement ces fesses, comme pour la chauffer, lui faire une sorte d’aperçu avant la soirée. Décollant ces lèvres des miennes, elle se mit sur la pointe des pieds pour venir me chuchoter à l’oreille. « Après la fête, suis-moi jusqu'à ma chambre » … « Histoire que les bonnes habitudes ne se perdent pas. » La regardant en souriant, je retira ma main de son bas pour déposer un rapide baisé sur ces lèvres et répondre ensuite à ces phrases. •

« J’ai pas l’intention de les perdre… Je crois qu’on va faire un saut rapide à la fête, boire deux trois verres, et on va rentrer… »

• Attrapant ma main, la belle m’emmena en direction de la soirée. Lors d'une soirée, on a le droit à plusieurs cas de figure, le stéréotype parfait du jeune homme qui a décidé de se mettre la tête et de ne pas rentrer chez lui, pour fuir la réalité selon lui, se retrouver dans un monde merveilleux très opposé au notre, un monde où tout est beau, tout est orné de couleur, et bien sûr, tout est au ralentis, plus rien n'est réelle, et c'est ce que recherche une multitude de personnes. Premièrement, vous allez commencer à boire, à vouloir vous faire bien voir en enchaînant plusieurs en étant toujours aussi bien, sans vraiment d'effet secondaire lié à l'alcool, mais trente minutes plus tard et cinq verre de whisky après, vous avez complètement changé, vous êtes mal à l'intérieur, mais à l'extérieur, vous parler et vous ne vous arrêtez pas, vous faites des blagues, vous vous croyez drôle, mais ce n'est pas le cas, vous êtes lourd, ennuyant, et alcoolisé. Puis, trente minutes plus tard, on ne vous retrouvera pas coucher dans un lit, mais la tête dans une bassine. Deuxièmement, vous aller boire beaucoup et rapidement tout ça pour vous échapper, comme le premier cas, mais contrairement à lui, vous allez être tout d'abord dans votre coin, puis on va vous retrouvez dans un groupe de personnes à vous entendre dire que vous fêtez votre nouvelle amitié ou quelques chose du genre, puis quelques temps après, vous serez redevenu comme au point de départ, seul, la tête dans une cuvette, une bassine ou derrière un buisson. J’étais pas comme ça, je n’avais pas décidé de me mettre mal et de ne plus me rappeler ce qui aurait pu se passer, loin de là même. « On fait quoi en premier ? » … « Tu dis de moi... Mais j'ai plutôt l'impression que c'est toi que les filles vont draguer... » … « Et ne prend jamais des rousses, elles sont trop désireuse de passer par la case "lit" » Je ne pus m’empêcher de rire à sa dernière phrase, et, comme pour la rassurer, je la serra dans mes bras pour déposer caresser ces cheveux. C’était la première rousse avec qui je couchais, et, pour vous dire la vérité, je n’étais pas déçu, loin de là. En fait, j’en avais rien à branler de la couleur de ces cheveux, tout ce que je voyais, c’est que j’étais bien avec elle, rien de plus. Caressant sa joue, je lui déposa un doux baisé sur ces lèvres rosés avant de répondre. •

« Qu’est-ce que tu veux qu’elles fassent les autres ? J’suis avec la plus belle fille de la soirée là ! Et en plus, elle est rousse, alors, c’est qu’elle est désireuse de passer par la case lit, non ? »

• J’aimais bien la taquiner, l’embêter un peu, histoire de pouvoir rigoler avec elle. Car oui, notre relation ne s’arrêtait pas juste au cul, avant tout, nous étions des amis, et, un beau jour, ont c’étaient dit, tient, pourquoi pas coucher ensemble, çà se trouve, ça pourrait être pas mal ? Ça avait été plus que pas mal, et, ont avaient pas arrêté depuis ! Mon coktail dans une main, l’autre caressant la douce joue d’Eve, je regardais la foule qui dansait autour de nous, ces gens à moitié pété qui se frottait contre un poteau ou alors ces gars qui se frottaient contre les filles, putain, eux, ils étaient chaud, vraiment. Y’en a c’était limite la fille la barre de strip tease et le gars qui tournait autour, y’a vraiment des phénomènes étranges en soirée, surtout aux soirées sous-vêtements… Et là, sans trop que je comprenne, je sentis le corps de la petite rousse se coller au mien, ces mains parcourir mon dos allant jusqu’à mes fesses et ces lèvres collés au mienne, ne voulant s’en détacher. J’étais pas contre hein, vous vous en doutez bien, mais, sur le cou, j’avais pas trop compris en fait. « Là-bas, le mec qui se trémousse avec la blondasse avec de la cellulite » … « C'est un de mes ex. » … « On pourrait pas... enfin, tu sais pour le rendre jaloux. » … « Pour qu'il regrette de m'avoir plaquée. » Et bien là, je comprenais. La regardant avec un large sourire sur les lèvres, j’haussa la tête en signe d’acceptation pour ensuite déposer un petit baisé sur ces lèvres avant de lui prendre la main et de l’emmener non loin de ce gars avec qui elle avait pu sortir. Commença à danser, je fis en sorte de coller mon corps contre le sien, n’hésitant pas à passer mes mains sur ces seins ou bien sur son postérieur. Approchant mes lèvres de son oreille, je lui déposa de doux baisés dans la nuque avant de lui chuchoter à l’oreille. •

« Il a fait le con de te lâcher, il aurait pas dû… Mais, tant mieux pour moi ! »

• Elle voulait le rendre jaloux ? Il n’y avait aucun problème, moi, j’étais partant, alors, continuant mes doux baisés, je la resserra contre moi, passant cette fois ci ma main dans le bas de la rousse pour caresser ces fesses tout en faisant attention que son ex puisse nous voir. Moi, un enfoiré ? Mais non, quand même ! J’aime juste rendre service en fait… Collant mes lèvres contre les siennes, je l’embrassa à pleine bouche, histoire qu’il comprenne que je n’étais pas juste là pour danser...•

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Nudistes nous ? Non, juste complètement torchés… feat B. Ève-Skye Kennedy & Nate M. Davis
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C'était une bien bonne soirée ici prêt d'Harvard. Il y avait des nana a foison près du lac et pas beaucoup autre part. C'était vraiment l'endroit où il fallait être. Du coup la seule option valable c'était de boire et de draguer les jolies filles qui m'entouraits. J'étaie sur une autre planète actuellement en train de me frotter avec une belle blonde et de jouer avec elle a un jeu de séduction plus tôt clair entre nous. La soirée, le temps tout était parfait. J'allais sans doute devoir m'habituer à ce genre de soirée et ce n'était pas pour me déplaire. Je ne comprends pas ceux qui sont rester dans leur chalet ce soir. Les sois disant sainte nitouches ou les intellos qui sont plonger dans leur livre ou encore les anorexiques ou gros geek qui ne sortent jamais de leur univers et n'ont jamais touché une fille autrement que sur leur PC ! Je ne les comprenais vraiment pas ces gens la. La soirée était magnifique alors pourquoi rester cloitrer dans un chalet a ne rien faire ? Alors que dehors la fête de l'année est sans doute en train d'avoir lieu. Je pensais à tout cela en continuant de relooker la blonde qui me chauffait encore un peu plus. Autant continuer a se mettre bien avec un verre ou deux ! C'est décidé ! Ce soir je bois comme un pochtron ! Je laisse ma conquête de la soirée un court instant le temps d'aller nous chercher a boire. Puis je reviens instantanément vers elle. Je lui tendis son verre puis je bois le mien cul sec. J'étaie très excité ce soir il ne fallait pas en faire plus pour me mettre aussi bien. Dès que je me suis levé ce matin et qu'on m'a annoncé la soirée j'avais le pré sentiment que cela allait être une bonne soirée et vous voulez savoir ? Eh bien c'est entièrement le cas ! J'ai débarqué a Harvard, il n'y a pas si longtemps que cela et je me mets déjà a boire ce qui n'est pas dans mes habitudes... Il n'y a pas à dire j'ai vite pris mes marques ! Je me sens déjà chez moi ici Mais bon on va dire que c'est exceptionnel ce que je fais ce soir c'est pour la fête. À ce moment la pour moi un verre de plus ou de moins cela ne signifiais pas grand-chose vue qu'à mes yeux c'était la fête et qu'il fallait en profiter a fond. C'était d'ailleurs ce que je faisais. Merde cette blondasse semble vraiment m'apprécie à ma juste valeur. Elle est soit complètement déchiré sois elle a un appétit démesuré. Dans les deux cas j'en ai rien à foutre car, c'est moi le chanceux qu'elle a choisi. Elle me fout un citron dans la bouche puis m'embrasse en le retirant sensuellement. Il n'y a pas à dire c'était vraiment une bonne fête. Elle se met a caressé mes fesses et je fais de même autour d'un collé serré qui devient un peu plus torride de minute en minute. Je pense vraiment avoir mérité tout cela de droit ! Ce droit de faire la fête, ce droit de tous les excès, ce droit d'être ici même tout simplement car, ne vous méprenez pas je ne suis pas ici comme 90 % des gosses grâce à ma carte de crédit ou mon influence. J'en avais chier sévèrement dans ma vie et a présent je récoltais le fruit de mon dur labeur. Et qu'elle fruit étaient ce mesdames et messieurs ! Les gens tueraient en temps normal pour que cette blondasse surement siliconée au possible, mais appétissante leur daigne un regard. Cette soirée est sympa avouer que voir de jolies filles c'est toujours sympa pour le plaisir des yeux, mais je suis un garçon plutôt sérieux généralement j'ai passé l'âge de toutes ces futilités même si je les appréciais encore beaucoup. Qu'elle homme refuserait le plaisir de la chair féminines sous une couette ? Je cherchais avant tout a faire une carrière pro en venant ici, mais on dirait bien que les demoiselles présentes dans cette université si dévergondé de l'intérieur, mais qui semble si lisse à l'extérieur ne me laisseront pas tranquille visiblement. Alors, je me prépare je tourne un instant la tête et aperçoit une fille qui me semble familière. Je la regarde de bas en haut et je me dis "Merde fillette il n'est pas un peu trop moulé ton haut ?"

L'amour pour l'instant je ne désire pas le revoir de si tôt après ce qu'il s'est passé récemment. Alors, je ne cherche que de la confidence ou de belles amitiés, je fixerais les choses directement et sauf exception ou fait exceptionnel, je ne resterais qu'amis avec ceux que je rencontrerais ici. Si en plus de tout ça ces amis sont beau et mature en plus d'être présent ce ne sera que du bonheur. Je comprendrais qu'il aie ou ai eu une histoire difficile car j'en ai moi aussi connu une. Bref tout ça pour dire que j'espère faire de belle rencontre ici a Harvard. Si en plus de tout ce que j'ai dit ces amies féminines aiment partager mon lit parfois alors ce serait parfait tout comme la nouvelle chaudasse qui frottaient encore une fois son gros popotin sur mes abdos. À présent la seule chose qui pourrait faire terminer cette soirée d'enfer ce serait d'enfin finir avec quelqu'un du camp dans mon lit car, je suis un peu en manque n'ayant rien fait depuis mon arrivée dans ce camp. Toutefois, c'était en bonne route alors je n'allais pas m'en plaindre. Je ne pense pas au hasard ou à ce genre de choses à mon humble avis. Je pense seulement que c'est le destin ! J'ai trimer toute ma vie et maintenant je suis ici. Une sorte de compensation du destin en somme.. Ah j'imagine tout ce que je vais faire ici si je trouve de bon potes. Tout ça me laisse rêveur... Je suis arrivé il n'y a pas si longtemps que cela et je suis déjà chez moi. J'ai déjà espoir ! Je ne savais pas que Harvard donnait ce genre d'effet dès l'arrivée mais c'est plaisant ! On s'y fait ! Ou alors c'est l'effet de l'alcool ! Au pire je n'en sais rien et actuellement je m'en fiche. Je n'avais jamais pensé reprendre gout à la vie si vite avoir tant d'espoir après ma déception amoureuse. C'est dingue ce que cet endroit t'apporte au niveau du confort physique et moral. Le scout qui est venu me chercher à Brooklyn avait raison. On se sent bien et à l'aise ici. Comme si on était chez sois on prend immédiatement nos marques. J'aurais aimé avoir une mère qui me paye une université aussi classe comme 80 % des vrai gosses de riche qu'il doit y avoir ici malheureusement ça n'a jamais été le cas.

Je regardais la fille sur qui j'avais pensé que son haut était bien trop moulé pour elle de bas en haut. Elle semblait étrangement ce rapprocher de moi et je commençait a avoir peur que ce sois une connaissance. Elle contrairement à moi était accompagné d'un garçon. Je repense encore une fois a Ève. Je ne m'en lasse jamais mais ça me fait mal au coeur d'y repenser car, les souvenirs sont si bon. Je me demande ! Et si elle était ici ? Et si elle était sur ce campus ? Je me pince légèrement en me disant que c'était beau de rêver. De une elle n'aurait jamais pu à cause de son Q.I d'huitre et de deux elle aurait fait comment pour rentrer si c'était le cas hein ? Je regrette beaucoup les durs mots que j'ai eu à son égard. Pas l'acte que j'ai fait car, je n'étais pas en tord, mais les mots. Sur le coup je l'avais laissé en pleure sauf que sur le coup je me sentais trahi, blesser dans mon être comme dans mon égo donc j'en avais rien à foutre à ce moment la car, moi-même je me sentais mal. Je ne suis pas un roc incassable et sans sentiments j'ai beau ne pas montrer ces facettes sensibles de ma personnalité a personne a par mes amis très proches pour pas qu'on me prenne pour un canard je n'en reste pas moins un être humain avec un coeur et des sentiments comme tout le monde il faut croire ! Il faut que j'arrête de penser à elle et que j'arrête de culpabiliser car, je le sais pertinemment qu'avec des si on referait le monde. Tout le monde ce dit à un moment ou un autre dans sa vie et si j'avais dit ou fais tel ou tel chose différemment ? Et je sais aussi pertinemment que chaque minute passer ici sors de mon compte en banque et donc de mes besogne au restaurant italien de Brooklyn. On, je ne referais pas les mêmes choses au même moment même si a y repenser, je ne regrette rien. Ce qui est dit est dit ce qui est fait est fait que ce sois pour Ève ou pour d'autres personnes. Je me dis que maintenant que je suis ici je dois arrêter de me prendre la tête et de penser. Je pense trop. Je cogite trop. Trop souvent et a de trop grosse quantité. Relativiser et prendre la poudre d'escampette c'est bien mieux à mon gout que de se mettre c'est trop nombreuses erreurs dans la face à chaque fois que l'on se sent mal alors que l'endroit n'y est pas propice. Cela me nuit vraiment d'être parano À ce point la. Je m'en rends bien compte. De très bon souvenir vont naitre ici, je le sens bien. Ce genre d'endroit au cadre idyllique fais souvent naitre de belle histoires car, il n'y a pas mieux. Ou peut être que je me voile la face comme d'habitude pour éviter les tristes réalités de ce bas monde. Ah j'aimerais tant la revoir ne serait ce que pour lui présenter mes excuses me cela a bien peu de chance de se produire. Cette fille continuais de rouler des galoches à ce mec et a le tripoter en me regardant étrangement. Intriguer je m'approchais d'elle pour l'accoster son visage me rappelle quelqu'un, mais je ne voyais vraiment pas qui. J'étaie un peu confus du coup je la regardais puis la coupa légèrement dans son appétit amoureux ou sexuel appeler cela comme vous voulez.


- Excuse moi mais j'ai l'impression que l'on se connait ? J'ai l'impression que tu me chauffes avec ce mec ! Enchantez vieux d'ailleurs en passant moi c'est Bobby ! Si je me trompe désoler mais j'ai vraiment l'impression que vous me visez tous les deux là alors qu'il me semble qu'on ne se connait pas enfin je crois ? Si c'est le cas rafraichis la mémoire miss ?

Je la regardais intrigué en souriant si je la connaissais ? Je n'en savais strictement rien. L'alcool ne m'aidais de plus pas à avoir toutes mes facultés physique et mental et peut-être que je planais en croyant que c'était destiné à moi comme le gros parano que je suis. Il faudrait que j'arrête de boire pour la soirée. Arrêter les conneries aussi car, là si s'en est encore une cela commencera a faire beaucoup. J'aimerais réussir ma carrière professionnelle certes mais, j'aimerais aussi avoir une épaule féminine sur qui compter en cas de besoin et si je réussie j'aimerais que cette épaule m'accompagne dans ma réussite ! Que cette épaule féminine soit avec moi a profité de mon succès ou que je profite avec elle du sien et ce sera mérité ! Mérité car, elle aura été la dans les joies comme dans les peines. Dans la déception comme dans la réussite. Mais pas trop car, je suis un grand sentimental et être trop loin d'elle me manquerait horriblement. Quand je suis attaché a quelqu'un ou a quelque chose j'y fais vraiment attention. Je ne désire pas provoquer de déception ou autre sinon je me met moi -même dans des états pas possible comme si j'avais perdu une chance inouïe ! Vu le calendrier infernal des match si je deviens pro, je ferais mieux de ne pas trop m'attacher sinon j'aurais du mal. Mais très honnêtement je pense pouvoir gérer tout ça Cependant, pour tout cela il faudrait déjà la trouver la femme idéal et ça ce n'est pas gagné mais, je pense que cela viendra. Ève était vraiment cette chance à mon avis et je l'ai laissée filer comme un vulgaire objet. À présent je le regrette amèrement. Surement pas tout de suite mais, cela viendra. Du moins j'en suis persuadé. Puis je me dis que tout compte fait vu ce qui se passe dans ma vie en ce moment en tout cas, je pense que la solitude va m'accompagner encore un peu. En attendant un signe du destin ou que le temps passe je continue des les regarder en attendant une réponse de l'un d'eux. La musique tourne, les sons sont vraiment bon et les amplis crachent le son a fond. C'est vraiment cool. Je continue de leur sourire la soirée était vraiment sympa. La belle vie quoi. Enfin ça y ressemble beaucoup... Ou du moins c'est l'illusion que je me donne... Ou que je préfère me donner...


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Nate devait être l'une des personnes en qui je pouvais placer mon entière confiance. Il était sincère avec ma personne, d'une incroyablement gentillesse et avait l'étrange pouvoir de me redonner le sourire, même dans les moments où je n'avais guère envie de le faire. Avant tout un excellent ami, je n'éprouvais aucune gêne à lui faire part de la plupart de mes mésaventures - exception fait de ma première avec Bobby, mais ce genre de chose était à conserver le plus précieusement possible : ce n'est pas tous les jours une première fois ! - et je ne doutais aucunement de sa fiabilité. Beaucoup nous connaissant, s'imaginaient qu'entre nous il ce n'était qu'une histoire de vils plaisirs bien qu'il s'agissait en réalité d'une grande histoire d'amitié. Certes, nous sommes que peu rapprochés depuis que nous partagions souvent le même lit... Ceux qui nous apercevaient dans la rue songeaient à un adorable couple, se tenant main dans la main et se susurrant des mots doux et s'embrassant avec une tendresse passionnée. Cet homme, je ne l'échangerai contre rien au monde. De plus, nous n'avions que les délices du couple, et nous abandonnions les mauvais côtés : la Colère et sa fidèle amie Jalousie ne nous séparaient jamais, et nous ne nous formalisions aucunement si l'un de nous deux embrasse un tiers. Les éloges faites à mon égard me réconfortaient et m'aidaient en un sens, à faire évanouir mes nombreux complexes - celui sur mon poids entre autres tout aussi handicapant. Quelque part, j'avais hâte que la fête touchait à sa fin, que nous puissions terminer la soirée avec un peu plus d'intimité, et ses gestes emplis de tendresse ne faisaient qu'attiser le désir brûlant de plaquer mon corps contre le sien.

Sa réponse me plut : elle était parfaite avec une pointe de second degré. Bien évidement que je n'attendais que cela. « Peut être, qui sait ? Je suis peut être blonde en vrai ! » À vrai dire, cela expliquerait un nombre faramineux d'évènement, mais malheureux j'étais belle et bien rousse de nature. D'ailleurs, il m'était impossible de me mettre au soleil sans que ma peau ne se couvre de vilaines rougeurs. « Puis, ça expliquerait pas mal de chose, non ? » murmurais-je avec amertume, une amertume qui se troquait pour un sourire des plus enthousiaste. J'étais ainsi, j'exécrais laisser la mauvaise humeur ou tout autre sentiment du même moule s'insinuer dans la conversation. Dès que j'aperçus un fantôme du passé qui portait le nom que je connaissais que trop bien pour m'avoir hanter plusieurs mois durant, et lacéré mon cœur sans aucun remord, je sautais littéralement sur les lèvres de Nate, et jouais la carte de la provocation en laissant aller mes mains jusqu'à une certaine limite. Suite à mes explications, il comprit ma manœuvre et à mon grand bonheur, il accepta. Aussitôt, nous nous rendîmes sur ce qui semblait tenir lieu de piste de danse, et nous nous collâmes l'un à l'autre, se caressant plus que le respectable. Ses mains sur mon corps, ses lèvres contre les miennes, j'avais presque envie d'abandonner ma puérile vengeance et l'enfermer dans ma chambre jusqu'à la fin du Summer Camp. Cependant, j'appréciai l'instant présent au maximum en me laissant prêter à un jeu que j'adorais déjà en m'autorisait à effleurer un certain endroit qui aurait rendu fou plus d'un homme.

Effectivement, il fut bien imbécile de m'abandonner de la sorte mais comme il venait de le préciser, ce n'était pas d'un malheur : je l'avais lui. Bien évidement, ce n'était nullement la même chose mais cela me suffisait amplement : l'amour n'était indispensable à chaque époque de la vie. Après avoir glissé sa main dans ma culotte sous le nez de Bobby qui devait se régaler avec cette fausse blonde aux seins bien évidemment siliconés, et m'embrassa avec fougue. Je répondais avec tout autant d'ardeur à son baiser, et passai mes bras autour de sa nuque. Pour mon grand dam, ce merveilleux instant n'eut pas de prolongation, et nous fûmes interrompu par l'objet de ma vengeance, qui ne semblait même pas se souvenir de ma personne. Ayant aussi levé cette mascarade, même si nous n'aurions pas tardé à faire de même sans prétexte, ce homme semblait être moins bête que je l'aurais redouté. « C'est sûr... » Murmurai-je à son égard tout en me blottissant bien plus encore contre Nate. « T'as dû te taper tellement de gamine de quatorze ans et leur voler leur vertu... » Je soupirai avant de continuer. « Que tu n'as même plus le souvenir de la fille que t'as jeté malgré ses pleurs. » À l'accoutumé, j'étais bien moins rancunière, toutefois il m'avait traité d'une manière telle que j'étais animée par tant de colère, ainsi, lui pardonner me paraissait impensable.

Une question se souleva dans mon esprit : comment pouvait-il être à Harvard ? Son niveau intellectuel était-il si élevé que cela ? En même temps, j'étais l'une des plus sottes de toute l'Amérique, et pourtant je fus admise - il fallait avouer que j'avais soudoyé d'une manière très peu catholique celui qui faisait passer les examens d'entrée... N'ayant pas le porte-feuille en conséquent, j'imaginais qu'il devait être bien plus intelligent que je le croyais. Malgré moi, je détaillais avec un étrange désir ce corps que j'embrassais jadis, que je pouvais serrer contre moi à ma guise... Un pincement au cœur me ramena à la réalité, et la perspective de le revoir en ce lieu et selon ces circonstance me déplurent. « Et tu sais, je suis très contente de ne plus être avec toi, j'ai rencontré bien mieux. » Il était vrai que j'avais gagné au change, et même si je faisais passer Nate pour plus qu'un Sex Friend auprès de Bobby, peut m'en importait. Toute mon attention se reporta sur mon partenaire, et je ne pus résister bien longtemps, et je l'embrassais de nouveau. Sans un regard pour celui que j'aimais jadis, je prononçais ceci : « Sache que je ne te chauffe pas. » Sans vraiment comprendre pourquoi, je ne pouvais me détourner du seul vêtement qu'il portait, mais m'en dégagea au plus vite de peur qu'il ne l'ait remarqué. « J'ai le droit de danser la décadence avec qui je veux, Bobby, je n'ai pas besoin de ton accord vu ce que t'étais en train de faire avec cette... » Je reprenais mon souffle avant d'achever. « Cette pétasse silliconé qui ne fait pas que la cellulite, c'est vraiment laid. »

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Nudistes nous ? Non, juste complètement torchés…

Eden, Bobby & Nate.



La drogue était quelques choses que le jeune homme n'appréciait pas particulièrement... Il y avait déjà touché, comme malheureusement quatre-vingt-dix pour cent des jeunes hommes de son âge, mais il n'avait pas vraiment accroché, il ne trouvait pas ou était le bonheur à être totalement déconnecté de la réalité et ne pas comprendre les phrases que l'on vous dit. Certaines personnes étaient accros à ce genre de stupéfiants, ils aimaient la défonce et tout ce qui s'y rapportait. Lewis n'avait jamais compris comment on pouvait devenir accro à ce genre de produits, encore, tomber dedans, ça, il comprenait et imaginait très bien. Première exemple, vous êtes un ou une grand(e) fêtard(e), vous trainez souvent dans des boites de nuits ou des bars. Vous allez un jour tomber sur une personne ayant de la drogue sur elle, elle va vous proposez de gouter, puis d'en acheter. Vous êtes en soirée, et vous trouvez que ça change de l'alcool, donc vous prenez le numéro de cette personne, vous vous dîtes que ça pourrait surement vous servir pour les prochaines soirées. Vous aviez raison, ça vous a servi, vous avez recomposez ce numéro et la personne est venu vous livrer votre colis comme vous l'appelez, car au téléphone, c'est dangereux de dire ce genre de mots, de noms de drogues, et vous le savez donc vous utilisez d'autre noms. Plus les semaines passent, et plus son numéro est composer dans votre liste d'appel. Plusieurs mois, ou peut être une année plus tard, vous êtes devenue accro à ce genre de produits, que ça soit les petits cachets ou les drogues basiques que malheureusement, tout le monde peut se procurez de nos jours. Deuxième exemple, et l'un des plus fréquent ici, à New York, les fréquentations, vous avez une personne dans votre groupe d'ami qui va sortir du lot, la personne un peu folle qui vous fera automatiquement rire par ces geste ou par ces phrases, la personne qui est un peu décaler et qui a l'air de se moquer de tout. Et à certain moment, elle va vous parlez sérieusement, elle seule saura rentrer dans un débat et ne trouver jamais aucune conclusion. Vous allez voir tous ces regards souvent tourner vers lui, vous aimeriez être comme ces personnes, vous sentir important et drôle, vous sentir tout simplement "cool", c'est le mot utiliser par son entourage pour le décrire. Et un jour, vous allez apprendre qu'il touche à la drogue, qu'il en consomme régulièrement, et que c'est pour ça qu'il ose s'afficher, qu'il n'a pas peur des remarques, car il est presque tout le temps dans son monde, sur sa planète, ou sur son petit nuage, utilisé l'expression que vous voulez, dans tous les cas, il n'est pas clean. Étant un peu timide, vous voulez être comme lui, c'est devenue un peu votre modèle, vous avez oubliez tous ces artistes et ces sportifs que vous idolâtriez, vous voulez être comme lui, donc vous allez essayer ce qu'il prend, vous allez vous rendre compte que vous aussi, vous osez. Et c'est à ce moment-là que vous allez rentrer dans ce cercle vicieux et que vous allez avoir du mal à en sortir, si vous essayez... Toutes ces soirées alcoolisés, ou la plupart des étudiants vont finir déchiré à coucher le bide à l’air sur la plage, ce n’était pas vraiment mon monde, mon élément, ma façon de vivre, mais, quand j’étais avec Eve, j’en avais quasiment rien à foutre de l’endroit où l’ont étaient. C’était une très bonne amie avant tout pour moi, ce n’était pas juste une fille avec qui j’aimais coucher. Aux yeux des gens, de ceux qui auraient pu nous croiser ce soir, ils nous auraient pris pour un vrai couple. Ça ne me déplaisait pas au fond, j’étais bien avec elle, mais, j’aimais cette relation qu’on entretenait, une relation où l’on ne se prenait pas la tête, ont profitaient juste de l’instant présent, du moment de bonheur qui s’offrait à nous. « Peut-être, qui sait ? Je suis peut être blonde en vrai ! » … « Puis, ça expliquerait pas mal de chose, non ? » Elle en blonde ? Hm, pas vraiment ! J’avais fait une petite pause, fixant son visage essayant de l’imaginer en blonde, et, en fait, je la préférais en rousse, c’était plus… Comment dire… Sexy. Ouais, Sexy. C’était le mot. Passant une main dans ces cheveux, je déposa un doux baisé sur ces lèvres avant de la regarder avec un large sourire et de lui répondre. •

« Non non non ! Je te préfère en rousse, le blond, ça t’irais pas ! »

• Ont avaient pas vraiment eu le temps de profiter de cette soirée qu’un gars était venu tout chambouler notre soirée. Eve m’avait rapidement expliqué que c’était un gars qui l’avait prise pour une conne et, qui fallait aller le rendre jaloux. Sans problème, c’était une mission pour moi ça ! Je ne m’étais pas gêné pour l’embrasser à pleine bouche, n’hésitant pas à rentrer ma main dans son bas de maillot de bain pour venir caresser sensuellement ces belles fesses. Et là, n’ayant pas le temps de continuer, je vis ce fameux gars arriver à notre hauteur et nous adresser la parole.
« Excuse-moi mais j'ai l'impression que l'on se connait ? J'ai l'impression que tu me chauffes avec ce mec ! Enchantez vieux d'ailleurs en passant moi c'est Bobby ! Si je me trompe désoler mais j'ai vraiment l'impression que vous me visez tous les deux-là alors qu'il me semble qu'on ne se connait pas enfin je crois ? Si c'est le cas rafraichis la mémoire miss ? »
Heu, c’est à nous qu’il était en train de parler ? Bon, sur le coup, je n’eus pas trop le temps de répondre que Eve ne c’était pas gêné pour lui rafraichir la mémoire. « C'est sûr... T'as dû te taper tellement de gamine de quatorze ans et leur voler leur vertu... « Que tu n'as même plus le souvenir de la fille que t'as jeté malgré ses pleurs. » Comment ? Cette partie de l’histoire, je ne la connaissais pas, j’étais en train de l’apprendre en fait. Ce gars est un porc en fait, il dépucelle une gamine de quatorze ans et il la jette comme une vieille chaussette troué et puante ? Merde, ça, ça craint, vraiment ! En plus, je ne sais pas mais, Eve est une fille adorable quoi… Gardant la belle entre mes bras, je caressais doucement son dos tout en répondant au garçon face à nous. •

« J’étais juste en train de passer une bonne soirée avec ma copine, rien de plus… On se chauffe un peu avant de rentrer, si tu vois ce que je veux dire… »

• Ouais, j’aimais bien être cash. D’un côté, peut-être que ça le dégouterait, qu’il aurait aimé être à ma place, rentrer avec elle et faire ce que moi j’allais faire avec elle, c’est-à-dire, coucher ensemble toute la nuit, prendre sacrement son pied, et puis, m’endormir avec la belle, sentant son beau corps collé au mien, le contact de sa peau contre la mienne. Dommage pour lui, maintenant, c’était moi qui avais droit à ça. « Et tu sais, je suis très contente de ne plus être avec toi, j'ai rencontré bien mieux. » … « Sache que je ne te chauffe pas. » … « J'ai le droit de danser la décadence avec qui je veux, Bobby, je n'ai pas besoin de ton accord vu ce que t'étais en train de faire avec cette... Cette pétasse siliconé qui ne fait pas que la cellulite, c'est vraiment laid. » J’aimais quand Eve était assez agressive de cette façon, c’était plutôt drôle à voir, et, l’entendre parler comme ça, ça me donnait juste envie de la prendre et de me casser d’ici avec elle, histoire d’aller passer une meilleure soirée avec elle, car là, je le voyais bien, elle n’était pas au top de sa forme. Continuant de la serrer contre moi, je n’avais pu m’empêcher de sourire à sa dernière phrase. Etant un peu joueur, j’avais envie de la déstabiliser devant ce gars, et, par la même occasion, pourquoi pas le rendre jaloux, alors, passant discrètement ma main dans le bas d’Eve, je m’amusais à caresser doucement son postérieur, m'arrêtant au niveau de son intimité que j'effleurais seulement d'un doigt. J’étais un enfoiré, je le savais, mais bon, c’était plutôt amusant de la chauffer devant un de ces ex. •

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Nudistes nous ? Non, juste complètement torchés… feat B. Ève-Skye Kennedy & Nate M. Davis
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Ève ? La Ève que je connaissais ? Elle s'était trouver quelqu'un ? Quelqu'un de bien j'espérais pour elle malgré le fait que l'on se sois séparé il y a maintenant longtemps je ne voulais que son bonheur alors j'étaie heureux pour elle même si cela me faisait un léger pincement au coeur. Ce qui se passait dans ma tête en ce moment ? Une folie pure et dur ! Tant de souvenir remontait dont cette fameuse soirée qui a provoqué notre rupture. A y repenser j'aurais je pense préférer ne pas tomber sur ce carnet car, rien ne semblait à part cela pouvoir nous briser hors comme si la destinée elle même s'acharnait sur nous c'est exactement ce qui s'est passé. Je venais sans doute de subir la pire chose qu'un homme peut subir. Une ex a qui je tenais me fait du mal en direct avec un autre mec pour remuer le couteau dans la plaie comme si je n'avais pas déjà pas assez mal. Ève me faisait mal à l'intérieur. Je relativisais en me disant que je l'avais mériter, mais même cela ne me faisait rien j'avais encore mal. Devant eux je n'allais pas le montrer, mais a l'intérieur je souffrais. Je l'avais en travers de la gorge. Elle avait osé dévoiler une tel chose à ce gars la ! Elle m'avait plus ou moins trahi sur ce coup la même si elle ne me devait plus rien. Ève se positionnait en victime devant lui alors que c'était clairement le contraire. C'est elle qui m'avait dupé et elle faisait la fière devant lui. Bien évidemment si j'essaye de rétablir la vérité ce sera peine perdu, mais pourquoi ne pas essayer qui ne tente rien n'a rien. Même si actuellement vu comment il est en train de la tripoter je doute qu'il sois attentif à mon explication. Je tourne le regard vers ma blonde et lui dis de se barrer vu que visiblement je vais être occupé ici. Je suis occupé a les regarder et j'attends patiemment que le garçon qui l'accompagne finisse de faire ses perverses petites affaires sur mon ex. C'était un homme et j'en suis un aussi alors je comprends qu'il se fasse plaisir, mais la a mes yeux c'est clairement abusé. Je commence ma mise en scène. Mon combat contre moi-même pour ne pas montrer que j'ai les boules devant elle. Mon visage aurait dû se crisper, et j'aurais dû passer en un instant d'un visage joyeux et expressif au contraire. Néanmoins, je suis un garçon solide alors je souffle discrètement un coup puis leur sourit de plus belle histoire qu'il constate que je n'en ai strictement rien à faire ou du moins qu'il en ai l'impression. Si j'arrive a faire ne serais ce que cela je serais heureux. J'ironisais après la réponse du garçon.

- Je suis content pour vous et je constate également que tu es de moins en moins bête Ève ou alors que je t'ai très sérieusement sous-estimer intellectuellement ou buccalement si tu vois ce que je veux dire. Tu t'en fiches surement, mais je suis pas ici pour les vacances. Je vais être honnête avec toi. J'intégrerais l'équipe de Basket de l'Université a la rentrée en échange je m'engage a assuré la moyenne. Peu importe toute la rancoeur que tu as envers moi je te pardonne. Au fond de toi tu sais que ce n'est pas moi qui est en tord. Bonne continuation a toi et à ton copain ou sex friend appelle ça comme tu veux.

Je me demande bien ce que j'ai fait au bon dieu pour mériter de manger un tel coup-bas. Mais bon je me souviens d'une phrase d'un ami basketteur qui disait que le Karma était une saleté. Certes je l'avais largué d'une manière plus tôt dur, mais cela ne justifiait absolument pas que je vois ce genre de choses perverse destiner uniquement a me faire du mal. Du moins j'en étais sur. Non je ne me prenais pas pour une victime et c'était prouver clairement qu'il me prenait pour cible vue que le jeune homme continua de la tripoter de plus en plus profondément en me fixant bien comme il faut. Je trouvais ça plus tôt puérile comme réaction pour les deux jeunes adultes qu'ils sont même si ils ne doivent avoir de jeune adultes que le statut vu la débilité et la puérilité qui se dégageait de leur action pour me rendre sois disant jaloux. Je me préparais a tourné la page. J'allais tourner les talons. J'allais fuir la bataille comme un moins que rien. Je leur tournais alors le dos en me préparant a les fuir, mais je me dis alors que ce n'était pas mon genre de tourner le dos au gens car, clairement c'était un manque de respect et j'étaie un gamin bien élever. Secondement je ne voulais pas laisser ces deux bouffons gagner ce qu'il croit être une bataille alors que ce n'est est pas une. La douleur passera je pense que je vais rester et simplement serrer les dents car, je suis un dur. Je me tourne vers eux de nouveau puis je me concentre sur Ève car, après tout a mes yeux le mec qui l'accompagnait n'était a mes yeux qu'un objet de décoration ou un accessoire pour la soirée. Je n'avais pas apprécier qu'elle balance a ce gars la qu'elle doit connaitre à peine notre passé. Surtout une information aussi crucial. J'allais tourner les talons et laisser couler mais finalement ce n'était pas une bonne décision s'il fallait la faire passer pour une salope je ne me générais pas car, après tout elle aussi ne c'est pas gêner pour m'afficher devant son sextoy sur pattes. Il me faut le temps de reprendre mes esprits et me contrôler a présent et surtout de ne pas m'emporter car, c'est exactement ce qu'elle cherche. Malheureusement une grande partie des émotions sont ce soir visible car j'ai laissé les lunettes de soleil pour des lunettes basiques sans verres seulement pour le style. Il faut dire que je n'aime pas montrer mes faiblesses sans doute une question d'orgueil. Et la situation actuel me prouvait que j'avais raison. C'était de l'orgueil positif alors. Je suis un garçon positif alors je vais faire comme si leur futilité n'était pas arrivé et je vais me ressaisir. Malgré le fait que je le gardais en travers de la gorge, je me décide enfin a sortir des mots de ma bouche. Je fronce les sourcils. Puis je les observe ! J'observe un long instant les deux personnes qui viennent de me faire beaucoup de mal.

- Je voulais tourner les talons et me barrer, mais tout compte fais ce serait pas une conduite d'homme. Toi le sextoy sur pattes tu ne sais rien de ce qui s'est passé alors ne crois pas Ève sur parole. Ève n'est pas la fille que tu crois être ! C'est une grande manipulatrice et la vérité sur toute cette histoire c'est que Ève a trahis ma confiance en me mentant sur son âge uniquement pour sortir avec moi ! Je ne suis pas le fautif dans l'histoire mec ! Tu aurais sans doute fait la même chose que moi mec pour pas te retrouver en tôle pour abus sur mineur ou autres trucs délirants. Dis le contraire. Ose dire le contraire. Ose dire que tu aurais fait différemment mec ! Je ne connais pas ton nom et je ne désire pas te manquer de respect en t'appelant mec loin de moi cette idée et même si c'est le cas je ne m'en excuserais pas car, ce que tu fais avec elle c'est un manque de respect flagrant alors je ne vois pas pourquoi je te donnerais ce que tu ne me donnes pas le respect va dans les deux sens.

Voilà qui était dit ! J'avais corrigé son compagnon c'était maintenant à son tour de manger. Et faites moi confiance je n'allais pas y allez de main morte ce que j'ai dit à son blondinet n'était qu'un avant gout de ce que Ève allait prendre en pleine face. Quitte a la faire encore pleurer j'allais au moins dire la vérité et lui exprimer le fin fond de ma pensée. Je souffle un coup puis la regarde méchamment. Oui j'avais perdu mon calme. Oui j'étaie sortit de mes gonds, mais ce n'était clairement pas à cause de leur jeux sexuel digne de deux ados découvrant leur corps comme des imbéciles heureux n'ayant jamais suivi de cours d'anatomie. Enfin bref. J'aurais dû m'en douter qu'elle déformerait les choses. Je ne suis pas Misogyne, mais en cet instant je commence a comprendre ce genre de personne mais, je dois être positif me remettre en question et laisser ma rancune et mes préjugés de côté. C'est vrai quoi ! Qui suit je ? Qui suit je pour la juger ainsi ? Personne ! Ève a un bon fond je le sais même si la elle ne le montre pas. J'avais beau essayer de positiver et de me calmer la rage prenait le pas sur ma raison. C'est pour l'instant ce que je pensais mais ça pourrait très vite changer vu mon état de colère avancer Bon mes états d'âme étant déclarée intérieurement . Je me préparais a les déclarer oralement. Je l'observe attentivement de haut en bas elle me sourit narquoisement en pensant que cela me ferait déchanter. J'aimais les filles sur d'elles, mais la s'en était trop a mes yeux. qui s'entretiennent puis ce que je suis un sportif de très haut niveau. N'ayons pas peur des mots et surtout de le dire. Ève me faisait royalement chier avec cet air moitié chien battu moitié catin et je me devais de corriger ça. J'espère un jour retrouver mon âme soeur après ma déception amoureuse et si se devait avoir une nouvelle relation sérieuse j'aimerais vraiment qu'elle soit comme celle que j'ai eu avec Ève. Cependant, en l'état actuel je rage plus que je ne fais autre chose. J'exprime enfin mes pensée à l'oral et cette fois je regarde Ève l'air de lui dire qu'elle allait en prendre pour son grade fragile ou pas.


- Pour ce qui est de toi ! Oui toi qui me souris narquoisement en espérant me blesser ou me faire je ne sais quoi ! Sache que ce n'est pas le cas. Tu me fais pitié ! Oui totalement pitié ! Tu me débecte de faire ainsi la catin devant quelqu'un qui a soit disant et je cite tes mots à toi pour pas que tu dise que je suis un menteur et je m'en souviens d'ailleurs très bien ! Quelqu'un qui "Compte pour moi". Si je compte toujours ou que je comptais a tes yeux tant que cela je voudrais bien savoir pourquoi tu m'infliges ce genre de choses ? Tu déformes les histoires et puis les remix comme une musique pour que ça t'arrange. ça te plait de passer pour une mythomane devant ton blondinet ? C'est ça que tu veux être ? C'est vraiment ça ? Tu veux être une fille qui invente et ré invente l'histoire seulement pour te voiler la face ? Oui parfaitement te voiler la face car c'est actuellement ce que tu fais en te mentant à toi-même et en mentant à ton blondinet ! La vérité la vrai tu la connais et tu sais qu'elle sera et restera vrai et ce même si tu la déformes par quelque stratagème que ce sois. Moi je suis un adulte contrairement a certaines et je sais pardonner. Je sais prendre du recul ! J'avoue que j'ai été très dur avec toi quand on s'est séparé, mais tu m'avais dupé ! Tu a trahi ma confiance. A y repenser je suis aussi un peu fautif je n'aurais jamais dû fouiller dans ce carnet de liaison et crois moi ou pas que si je savais sur quoi j'allais tomber et ce que cela impliquait je ne l'aurais pas ouvert ! Si je devais changer ne serais ce qu'une chose dans ma vie c'est celle la. Je ne regrette rien qu'une chose dans ma vie ! C'est la seule chose que je regrette sincèrement dans ma vie. C'est d'avoir ouvert ce carnet car, en faisant ça j'ai malheureusement mit fin a quelque chose de beau. Oui a quelque chose de magnifique et c'est définitivement Ève ce que je pense et c'est sincère c'est qu'avec beaucoup de recul et de maturité je pense que je te dois aussi des excuses ! Des excuses pour mes mots ! Des excuses pour ma conduite ! Des excuses pour avoir ouvert ce carnet aussi. Je ne veux pas refaire le passé ou essayer de te mettre dans ma poche. Je ne veux pas te faire revenir ou ce genre de choses. Si tu es heureux avec ce gars la tant mieux pour toi et la encore avec du recul et de la maturité c'est tout ce que je te souhaite. Du bonheur car, au fond tu le mérites ! Tu es une fille bien ! Ta joie est communicative comme pas d'autre. Maintenant que ceci est dit que tu me pardonne ou pas je m'en fiche car, j'aurais été honnête. J'ai tourné la page, mais sache que je ne t'oublierais jamais Ève ! Tu as été pour moi une belle histoire et sans doute une de mes seules histoires sérieuses. C'était fantastique sur tous les plans et avec toi je me suis surpris moi même. Tu ma décoincé dans tous les sens du terme malgré ton jeune age a l'époque tu était très mature je dois l'avouer. Je pensais pas qu'au sexe avec toi comparer au autres. Quand je dis que tu étais une de mes seules vrais histoire c'est n'est pas du bluff c'est véridique. Maintenant que tu sais tout ça je peux m'en aller. La voilà la vrai vérité blondinet. Bonne continuation et je te souhaite au risque de me répéter tout le bonheur du monde.

Je lui tournais cette fois le dos en regardant le sol légèrement ému et je restait là. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle me retienne ou un truc de ce genre, mais au fin fond de moi j'espérais très fortement que ce sois le cas. J'observe fixement et avec attention le sol. Je pensais vraiment tout ce que je venais de dire et au risque de le regretter car, j'avais ouvert mon coeur et par conséquent montrer mes sentiments ce que je détestais faire et vu que c'était une ex c'était probablement encore pire mais bon je relativisais en me disant que ce qui avait été dit avait été dit et que ce qui avait été fait avait été fait.
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Ses mains sur mon corps caressant chaque parcelle de ma peau avec tendresse... Il aurait pu me rendre folle de désir si nous n'étions pas bordés par la foule. J'aurais voulu qu'elle disparaisse et nous laisse seuls, l'un contre l'autre dans l'intimité du soir. Nous pourrions ainsi laisser libre cours à nos imaginations débordantes et passionnées, et nous nous embrasserions jusqu'au lever du jour. Malheureusement pour nous, le destin semblait en avoir décidé autrement : Bobby, que je provoquais ostensiblement en me laissant toucher à divers endroits par Nate, nous interrompit. Son visage n'avait aucunement changé, comme si le temps me l'avait conservé afin que je puisse le reconnaître. Blottie tout contre mon partenaire, j'écoutais ses paroles, ses doutes qui mirent à jour nos manœuvres qui auraient dû entrainer de la jalousie de son côté. Mais, l'était-il ne serait-ce qu'un peu ? À sa place, d'ailleurs rien qu'à juger de mon comportement face à cette blonde, j'aurais été et je l'étais, verte de rage. Cependant, la manière dont il s'adressa à nous me laissa supposer qu'il n'éprouvait pas une once de ce sentiment. Quelque peu déçue, je laissais mes mains se balader sur son corps plus que désirable, découvrant à chaque seconde un peu plus de sa perfection. L'importun ne se souvenait pas non plus de moi, et je dû lui rafraîchir la mémoire en lui énonçant les différentes choses qu'il m'avait faite, me prendre ma vertu entre autre. Nate me réconforta avec ses mots, quoiqu'il y avait un léger mensonge avec le « copine », même si le reste n'était que la pure vérité. J'adressais un sourire à ce dernier, avant de déposer un énième baiser sur ses douces lèvres. « Et j'espère que nous pourrons bientôt... » J'approchais ma bouche de son oreille, lui murmurant la dernière partie de la phrase. « Finir ce que nous avions commencé... »

Mon ancien amant se décida finalement à parler, et à débiter des choses que je trouvais absurdes. De plus, comment osait-il insinuer que Nate n'était que là pour mon plaisir ? Il était avant tout un très bon ami, et comptait bien plus à mes yeux qu'un Sextoy sur patte comme le dit si peu élégamment Bobby. Comment pouvait-il nous juger au premier coup d'œil ? La suite m'étonna autant qu'elle me blessa : étais-je réellement cette manipulatrice, et la fautive de surcroit ? Cette liste de me présumés défauts fit monter quelques larmes, et je ne tardais pas à me réfugier dans les bras de Nate en quête de réconfort. Ma voix était faible, à peine audible. « Je vois pas en quoi je t'ai manipulé, ou n'importe qui d'autre... » Je tentais vainement de ne pas sangloter, d'arrêter ma peine lorsqu'il était encore temps. « Bobby, en attendant, je ne t'ai pas largué. Je faisais New York-Brooklynn chaque jour, je mentais à mes parents, je fuyais l'école et ça ne faisait qu'empirer mon niveau...» Enumérais-je avec une pointe d'amertume. J'avais mis en péril ma jeune vie sans m'en soucier, juste pour le voir, pouvoir l'embrasser sans limite de temps... « Pour toi, ducon. » Laissais-je échapper tout en caressant le postérieur de Nate, me procurant un mince sourire. Les grandes eaux ne tarderont aucunement à se manifester, à faire couler le peu de mascara que j'arborai et mon naturel enthousiaste.

La suite ne me plut guère plus, et je sentais ma tristesse s'amplifier peu à peu, jusqu'à devenir un ballon gigantesque qui un jour, finira par exploser. J'étais donc une vulgaire menteuse doublée d'une catin ? Mes mains commencèrent à trembler malgré moi, signe que j'allais très prochainement fondre en larme. Il fallait que je me fasse bien plus forte et d'être bien moins émotive. J'avais la terrible sensation que de milliers de flèches me transperçaient de part en part, ne laissant aucune minute de répit. La présence de Nate m'aidait à surmonter cela, et je me blottissais d'avantage contre son torse, ressentant alors une vague de chaleur des plus agréables. Ses mots ne furent plus si attaquants, ils devinrent presque doux, pour finir par être adorables. Des excuses, des regrets. Une certaine culpabilité mêlée très étroitement à du chagrin. Je voulu le retenir, mais il était trop tard : l'accumulation fut trop forte entre les émotions de la journée combinées à celle de la semaine et bientôt, je ne pouvais contrôler les eaux salées qui coulaient sur mes joues. Aussitôt, je m'éloignais de mon ami tout en manquant de me tordre la cheville. « Je vais vous laisser. » Annonçai-je d'une voix fragile. « J'ai eu trop de choc d'un coup... Et Nate, t'es pas obligé de me suivre. » Je lui assurai tout en commençant à rebrousser le chemin, laissant libre court à mes sanglots. J'étais désormais à plusieurs dizaines de mètres d'eux, et je me laissais tomber sur un banc, pleurant de plus belle.
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