[FB] - Where are you now that I need ya ? + Lysandre

Tu ne répondais rien parce que tu n’avais rien à dire, tu savais qu’il lisait facilement dans tes sentiments, dans ce qu’il se passait dans ton propre corps. Tu lui en voulais comme tu étais heureuse de le voir, tu étais irrévocablement attiré par lui parce que tu avais besoin de lui dans ta vie même si tu n’avais plus besoin de ce protecteur dans ta vie. Tu avais seulement besoin de lui, tu ne t’expliquais même pas la raison de ce besoin, sûrement parce qu’il avait été la seule personne à t’aider dans ce moment si difficile, celui qui avait fait en sorte que ton sourire ne disparaisse pas de tes lèvres. Tu ne savais pas, tu ne voulais pas le savoir de toute manière, il était l’imprévu de ta vie, il était celui qui faisait sortir le plus mauvais en toi. Il était tout ce que tu voulais dans ta vie, enfin, tu ne l’aimais pas, du moins tu ne pensais pas, même ça, tu n’en savais rien parce que les années étaient passées sans que tu puisses faire quoi que ce soit. Tu soupiras te rendant compte que tu pensais à tout et à rien sur cette histoire, que tu ne savais même pas quoi penser, quoi faire, tu restas juste planter devant lui, contre lui et tu ne voulais pas que ça s’arrête malgré ton attitude plus que repoussante envers lui. Tu passas sa langue sur ses lèvres ne répondant toujours pas à ce qu’il était en train de te dire, tu avais l’impression de mourir de froid loin de lui, de te retrouver ridicule alors, qu’il était en train de s’échapper encore une fois. Tu regardas à droite, vers le chemin qui allait t’emmener à ta classe et tu reposas tes yeux sur lui, sur cette personne qui était importante dans ta vie malgré les années, tu ne l’avais pas oublié et tu ne pourrais jamais faire une telle chose. Puis sans que tu ne réalises vraiment ce que tu étais en train de faire, tu te plaças devant lui et te jeta immédiatement sur ses lèvres. Tu ne savais même plus ce que tu étais en train de faire, tu étais juste en train de montrer que tu étais accro à lui, accro à ce qu’il représentait dans ta vie et tu continuas de l’embrasser, parce que tu en avais envie depuis le début, parce que tu étais faible face à lui et que tu le serais toujours malgré que tu avais essayé de lui prouver l’inverse. Tu laissas sa langue rentrer dans ta bouche laissant un gémissement sortir de sa bouche, merde, tu étais si faible, mais tu ne pouvais t’en empêcher, tu ne pouvais plus du tout revenir en arrière bien que l’envie fût grande. À la fin du baisé, tu laissas ta tête partir dans son cou et tu fermas les yeux n’ayant rien à dire face à ce que tu venais de faire, tu ne savais pas ce qui t’avait pris, mais tu l’avais fait. Peut-être que tu voulais lui montrer que tu n’étais que cette fille coincée, tu n’en savais rien, tu ne savais plus ce que tu faisais à son contact de toute manière.

Il s'y était attendu à ce genre de rejet. Le rejet violent, même s'il voulait que tu réagisses bien plus violemment, avec cette passion si belle et non presque avec impassibilité, à croire que tu n'avais pas soufferts autant que tu pouvais le prétendre, que tu voulais le hurler, avec haine, avec rage et colère. Ouais, les émotions bien plus fortes étaient les meilleures, enfin pour lui. Il était frustré, un goût amer en bouche. Où était la fille sauvage qui n'avait plus aucune peur en sa présence, celle qui pouvait bien se trouver sur la piste de danse, se déhanchant avec sensualité contre une quelconque autre fille, l'embrasser sans aucune inquiétude de te recevoir un seau d'eau sur la tête parce que tu ne devais pas avoir honte. Celle qui se sentait sexy, celle qu'il observait, assit sur son siège, son index sous son menton, d'un air parfaitement contrôlé alors que des explosions avec bien lieu dans son organisme. Visiblement disparu parce qu'il avait fuit, une nouvelle fois. Quelle tristesse. Enfin, c'est à cela qu'il pensait avant qu'il ne fasse face à ta présence devant lui. « Tu vas rater ton cours Jaz', ça serait dommage pour une fille coincée comme toi. » Non, il ne mâchait pas ses mots, il ne l'avait jamais fait, ce n'était pas aujourd'hui qu'il allait commencer.  Cependant, sentir les lèvres revenir contre les siennes fit en sorte qu'il sourisse, parce qu'au final, il avait gagné, encore une fois, il avait la victoire à bout de bras une fois, deux fois, trois fois. C'était beaucoup trop tentant, l'un comme l'autre, habitué à vivre cela, est-ce que c'était toujours pareil ? Est-ce que c'était toujours aussi grisant ? Et il avait sa réponse rien qu'en enroulant sa langue autour de la tienne. Paupières closes. Il répondait au baiser tout en prenant le contrôle, n'ayant pas le désir de te laisser les rênes, la possibilité de le troubler plus que nécessaire. Main contre globe de chair qu'il pressait contre lui, de sorte que les deux bassins se rencontrent un peu plus. Plus fort ! C'était ce qui passait dans sa tête, encore et encore sans aucune fin. Torture-moi plus. Électrique moi plus ? Continue. « Dit moi... » Il captura la lèvre du bas qu'il se mit à suçoter. Regard brûlant plongé dans le tien. « T'a bien pris ton pied avec des meufs ? » Question saugrenue et pourtant il n'avait aucune gêne à la poser. Il n'avait jamais caché qu'il trouvait cela très sexy. Certainement une raison de plus pour la protéger. 

Tu savais que ça ne servait à rien de répondre, que vous allez juste vous disputer pour quelque chose de stupide, tu te taisais donc sachant ce que tu étais en train de faire, que tu étais en train de mettre encore une fois ton avenir de côté pour lui, pour cet homme qui te rendait juste folle au fur et à mesure. Tu venais de lui prouver qu’il avait raison rien qu’en l’embrassant, rien qu’en revenant de coller à lui comme ci, tu ne pouvais pas en rester loin. La fille qui se voulait forte avait disparue, tu restais seulement celle qui avait envie de lui, celle qui avait envie de sa présence dans sa vie et qui avait fait de toi cette fille rebelle, qui ne se laissait pas faire. Tu étais accro à sa présence, accro à ses sensations qu’il était capable de te faire vivre, tu avais seulement envie que cela continue, que cela ne s’arrête jamais parce que tu aimais ça. Tu passas tes mains sous le haut de Lysandre pour passer tes mains sous ce haut caressant sa peau sans aucune gêne, tu n’en avais plus aucune en sa présence et c’était aussi cela que tu aimais. Il arrivait à te rendre plus libre, peut-être plus toi-même dans le fond, enfin, tu ne te sentais pas pareil sous son regard que sous le regard des autres. Tu levas les yeux au ciel trouvant sa question plus que stupide, mais c’était le jeune homme, il était comme cela et tu ne voulais pas réellement répondre parce que forcément, tu allais lui dire qu’après le lycée, tu avais ce qu’il te plaisait te foutant du regard des autres, tu n’expliquerais pas que tu ne pouvais pas avoir une relation parce que les gens avaient essayé de plusieurs manières possibles à te changer, de changer ton attirance envers les femmes. « C’est simplement ça qui t’intéresse après toutes ses années qui ont passé, si j’ai pris mon pied avec des meufs ? » Tu penchas ta tête tout en lui lançant un regard faussement noir avant d’avancer ta tête vers son cou, tu laissais ta bouche se posait sur sa peau doucement tout en remontant vers l’oreille, tu laissas les mots sortir d’entre tes lèvres doucement, comme un chuchotement. « Après le lycée disons que je me suis pas mal amusée, ouais. » Tu savais par avance qu’il allait comprendre pourquoi après le lycée, c’était bien pour cela que tu prenais son lobe entre tes dents. Tu avais toujours été comme cela avec lui, il t’avait fait devenir comme cela et bon, tu pouvais toujours utiliser cela pour qu’il ne te pose aucune question sur ce qu’il s’était passée pour toi après son départ.

Et s'embrasser ainsi, là dans ce couloir de lycée avec vos deux corps pressés l'un contre l'autre, un baiser passionné, on ne pouvait pas le nier. Comme quoi, même après autant d'année, ils avaient gardé la même alchimie. Et peut-être que le jeu allait prendre la même direction. Désormais qu'ils étaient des adultes, des adultes capables d'assumer leurs actes, qui n'avaient plus vraiment les limites imposées à cause de leur condition de lycéen, non aujourd'hui, ils étaient des étudiants, des étudiants qui étaient pourtant capable de plaquer leur étude du jour au lendemain. Il sourit, malicieusement, c'était beaucoup trop tentant pour s'arrêter, pas alors que tu caressais la peau de son torse, comme totalement obnubilé par sa présence. Ouais, il était de nouveau important, vous étiez presque comme Bonnie et Clyde, sans être en couple, pourquoi mettre des mots sur votre condition. Il avait eu sa première relation sexuelle avec toi, mais ne l'avait jamais réellement révélé, espérant qu'il n'avait pas été trop ridicule, même si la plupart du temps, les premières fois n'étaient pas géniale. Vous aviez tout juste 16 ans, n'était-ce pas normal ? Enfin, malgré ce qui s'était déroulé, c'était toujours pareil entre vous, vous aviez continués les sorties dans des boîtes sordides, continués à jouer avec les sentiments de vos victimes. « Attention, tu vas devenir accro à mon corps maintenant. »Il avait changé en 6 ans, son corps était devenu un peu plus mature, il avait désormais des abdominaux qu'il travaillait en salle de sport, des poils sur sa poitrine qu'il rasait, n'aimant pas vraiment ce petit détail. Il avait l'impression d'être un vieux barbu. Il était toujours un peter pan, refusant de grandir, refusant de commencer à devenir un homme, l'enfant éternel restait tel qu'il était. Et il avait grandi, faisant désormais 1mètre79 dont il était plutôt fier. Et c'est dans un désir du moment, qu'il te souleva, les mains sur tes fesses, levant la tête alors que vos bouches se retrouvaient de nouveau et il te gardait contre lui alors que les sens devenaient encore folle. « Tu sais que j'adore l'idée de toi faisant baisant des meufs. » Dégradant ? Honteux ? Rien à foutre. Il murmurait les mots tout contre la peau du cou, là où son nez avait trouvé refuge. « Vraiment ? On va vérifier cela alors. » Et il te laissa rejoindre le sol avant de te donner une tape sur la fesse droite, regardant avec un plaisir non feint celle-ci presque rebondir. « Jolie cul. » Le bout de sa langue passa sur sa lèvre inférieure, lentement en un geste qui se voulait sensuel. « Voyons voir si tu vas vraiment avoir le courage de laisser tomber ce cours et me suivre. » Il pencha la tête d'un côté, attendant sa réponse, avec ce sourire mutin, les iris brillants. 

« Et toi tu vas être accro à mes lèvres bébé. » Tu souris malicieusement sachant qu’il avait raison, tu pouvais facilement devenir accro à son corps surtout quand tu remarquais les changements chez lui, il était vraiment un bel homme et tu mentirais – encore une fois – si tu disais l’inverse. Il était beaucoup plus grand que toi, tu avais toujours la tête en arrière pour le regarder, pour ne jamais arrêter de regarder son visage. Tu te laissas porter en laissant un rire sortir de ta bouche, tu secouas ta tête avant d’entourer tes jambes autour de la taille du jeune homme et de poser tes mains sur ses joues tout en continuant de le regardais avant que tes mains ne voyagent dans ses cheveux tout en laissant sa tête partir dans ton cou. Tu savais que tu étais en train de laisser les autres voir ce qu’il se passait entre vous, tu savais qu’il n’y avait pas de mot précis pour décrire cela, tu n’en avais même pas un pour décrire ce que tu étais capable de ressentir alors, décrire cette relation était impossible à tes yeux. « Je le sais parfaitement. » Tu souriais face à remarque, tu avais l’habitude de ce genre de remarque de la part du jeune homme et tu repris la parole. « Et je sais aussi, que tu aimes beaucoup faire en sorte que je reparte avec toi ensuite qu’avec une jolie jeune femme. » Tu caressais son cuir chevelu étant réellement bien en ce moment même, tu ne savais pas s’il était en couple ou pas, tu ne connaissais pas sa vie même si tu n’avais pas envie d’arrêter de profiter de toutes les sensations qu’il était en train de te faire vivre. C’était tellement bon, merde. « Sans problème. » Tu étais bien en ce moment même si tu étais déçue de retrouver le sol, mais tu ne pouvais pas du tout rester dans ses bras. Tu laissas tes deux pieds retrouvaient le sol avant de froncer les sourcils face à ce qu’il venait de faire, tu fis une moue boudeuse avant de laisser un sourire en coin se dessinait sur ses lèvres. « Ça, je le savais déjà. » Tu parlas contre sa bouche avant de prendre sa langue entre ses lèvres pour la suçoter doucement. Tu te détachas de lui pour aller prendre ton sac sachant qu’il avait gagné, qu’il gagnerait tout le temps de toute façon. Tu remettais ton sac sur ton épaule avant de lui prendre sa main et de le tirer vers l’extérieur. « Tu m’emmènes où ? » Tu te demandais vraiment ce que le jeune homme serait capable de te faire faire, mais ce n’était pas grave, tu serais prêt à lui suivre n’importe où comme avant.

« Tellement sûre de toi. » Murmurât-il tout,en attrapant tes hanches pour presser ton bassin contre le sien et il sourit, juste un peu plus, tout contre ta bouche qu'il n'embrassa pourtant pas, malgré l'envie qui le prenait au ventre. Non, c'était toujours plus grisant de laisser le désir grandir un peu plus en lui, toujours plus jusqu'à ce qu'il soit intenable. « Hm... peut-être qu'un jour, on devrait coucher avec une meuf en plus ? » Il pencha la tête tout en chuchotant les quelques mots tout cela alors qu'il se mordait la lèvre inférieure, imaginant sans mal l'idée d'une telle chose. Oh merde, il était clair que ce n'était pas une bonne idée, pas alors qu'il était dans cette pièce, dans ce couloir à la vue de tous, il fallait éviter de se montrer ainsi en spectacle, ouais normalement. Au final, l'image de la fille parfaite qui rendait ses devoirs à temps avait vite disparu en sa présence. Qu'est-ce qu'il aimait cela, tellement qu'il nichait son nez dans le cou et qu'il humait l'odeur tout en pressant la fesse droite dans la paume, appréciant de sentir cet globe qui était décidément délicieuse. « Beaucoup trop prétentieuse. » Vengeur, il claqua de nouveau la fesse alors que sa main montait jusqu'à la nuque, sous la sensation de sa langue sucer d'une telle manière. Et il gémit parce que c'était bon même s'il préférait ne pas montrer les points érogènes sur sa personne, c'était plus facile pour avoir le contrôle. Un sourire au coin, il te suivait alors que tu te dirigeais vers l'extérieur, si bien qu'il sourit, d'un air moqueur, parce qu'à la base, c'était lui qui savait où ils allaient, pas le contraire non ? « Ça serait beaucoup trop facile de te le dire. » Il marcha jusqu'au parking, là où se trouvait sa moto, son petit bijou, son cher bébé qu'il prenait que quand il avait une heure ou deux de cours, donc aucun besoin de rapporter ses affaires. « Essaye de deviner. » Il te pressa contre le véhicule, t'empêchant donc de t'y échapper, rien qu'à l'aide de ses mains sur les hanches et qu'il approchait une nouvelle fois sa bouche de la sienne. « Je te donne comme indice... Robe moulante. » Il passa sa langue sur ses lèvres tout en approchant de nouveau son visage du tien, ses yeux descendant sur les lèvres ourlées rouge sang à cause de ce rouge à lèvre.

« Ce n’est que la vérité. » Tu te laissais tirer par l’homme qui était devant toi, tu passas une nouvelle fois tes mains sous son haut ne pouvant pas t’en empêcher. Tu étais attirée et tu ne pouvais pas t’enfuir, tu ne pouvais pas parce que tu avais envie de rester contre lui, qu’une personne qui avait envie de lui les vois comme cela ensemble, coller comme cela. Tu passas ta langue sur tes lèvres laissant ta langue toucher les lèvres de Lysandre qui était devant toi. Tu laissas un rire sortir de ta bouche en l’entendant te dire une telle chose, tu ne pouvais pas t’arrêter et tu parlas d’une voix qui se voulait sensuelle, qui se voulait presque tentatrice sachant que tout avait recommencé comme avant, ils seraient même capables d’aller encore plus loin sachant qu’ils sont plus âgés qu’avant. « Tu sais qu’il faut que tu aies de très bons arguments pour que je recouche avec toi ? » Tu souriais en coin sachant parfaitement que l’idée plaisait beaucoup à Lysandre et tu n’en doutais même pas. Il avait toujours beaucoup aimé te voir avec d’autres femmes, te regarder te déhancher avant de venir te chercher pour que les deux bouches ne se retrouvent comme pour montrer que tu étais sienne, que personne ne pouvais réellement te prendre. Tu laissas un gémissement sortir de ta bouche en sentant la prise sur ta fesse, à croire qu’il aimait aussi beaucoup cette partie de ton corps, du corps qu’il n’avait pas pu voir depuis des années. « On se demande à cause de qui j’ai pu le devenir. » Tu penchas ta tête sur le côté avant de faire une moue boudeuse en sentant cette claque sur ta fesse encore une fois, à croire qu’il n’arrêterait pas de faire une telle chose. Tu étais aussi très heureuse de l’entendre gémir face à ce que tu venais de faire, il n’était pas si insensible que cela, ce qui était une bonne nouvelle pour toi parce que tu pourrais t’amuser avec cela, tu pourrais bel et bien le draguer et faire de lui ta cible ce soir sans qu’il ne le sache. Tu continuais d’avancer comme ci, tu connaissais le chemin alors que pas du tout, il finit par reprendre le contrôle comme d’habitude. « Non, ça serait normal si tu m’entraînes dans tes plans encore. » Tu parlas doucement avant de te mordre la lèvre te demandant comment cela allait évoluer maintenant, vous étiez deux adultes actuellement, tout était permis et vous n’avez aucune limite. Tes bras s’enroulaient autour de son cou avant de te mordre encore une fois ta lèvre inférieure te demandant si les choses seraient comme avant, si tu couchais avec lui est-ce que ce serait pareil ? Bien sûr que non, vous avez tous les deux un peu plus d’expériences, mais quand même, tu te posais la question comme sur ce qu’il se passait dans ta tête à son contact. « Je dirais boite de nuit. » Tu souriais en coin en parlant doucement avant de poser une de tes mains sur sa joue tut en avançant ta tête comme Lysandre était en train de le faire. « Si tu veux m’embrasser, tu n’as qu’à faire ça. » Tu avanças encore plus ta tête et tu collas ta bouche contre celle du jeune homme tout en te collant d’avantage à lui, tu ne pouvais pas te retenir de le faire avant de poser une de tes mains sur la nuque refusant qu’il se recule maintenant.